Grenoble. Des policiers témoignent : “On nous demande de fermer les yeux. La politique de la ville, c’est la verbalisation de véhicules”

Quand il part en intervention avec son taser et sa matraque, David, policier municipal depuis plusieurs années à Grenoble, sait qu'il n'a pas les moyens pour ses missions.

 

“L’arme de poing, il ne veut pas en entendre parler. Il y a des individus qui se baladent avec des couteaux ou avec une arme à feu et dans ce cas-là, on se retrouve coincé. Les policiers municipaux se sentent dénigrés”, assure-t-il.

 

Après son élection en 2014, Eric Piolle avait annulé la commande des armes à feu.

Et aujourd'hui Julie, policière municipale elle aussi, a l'impression de ne plus faire son métier correctement. “On nous demande simplement de fermer les yeux. La politique de la ville, c’est la verbalisation de véhicules et pas du tout d’aller dans les quartiers s’occuper des problèmes de délinquance”, précise-t-elle.

Un manque d'effectif

À Grenoble, les 93 policiers municipaux sont assistés de 90 caméras de vidéo-protection, Un tiers d'entre elles seraient hors-service.

[...]

Bfmtv.com


Note : Cette ville est évidemment dirigée par un maire de gauche.

Rappels :

Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble revendique publiquement la violation de la loi française pour accueillir les clandestins et provoque le procureur « Condamnez-moi. »

France : pendant que Grenoble subit violences et insécurité, le maire de gauche rappe des « fuck » au volant d’une voiture…

France : Grenoble, ville dirigée par un maire rouge-vert, est devenue un «Chicago français», selon un syndicat policier

Le retour des Khmers rouges ? Le maire de Grenoble veut « dégenrer » les cours des écoles

France. Grenoble : il déambulait avec deux couteaux de cuisine et criait « Allah Akbar »

Grenoble. Un ex-prof de math, né au Maroc, condamné à 2 ans de prison pour apologie du terrorisme

France. Grenoble: Les politiques de gauche détruisent la ville « Plus de 52 ans pour rembourser la dette. »

Grenoble: Les dealers et les immigrés violents hébergés par le maire écologiste. Un restaurant attaqué, les gens forcés à se taire…

Dealers armés à Grenoble

Cette élue LREM totalement rattrapée par la réalité

Extrait tiré de l'émission "BFM Story", diffusée sur BFMTV le 26 Août 2020.
Je vous recommunique ma vieille page de don Liberapay pour ceux qui souhaitent me soutenir, ce serait apprécié après tout ce temps: https://fr.liberapay.com/Dissident-Of... Je vous invite également à régulièrement visiter la page "Communauté" de ma chaîne, où je relaie des interventions «non-publiables» sur cette chaîne : https://www.youtube.com/channel/UCBG7...

France. Grenoble : il déambulait avec deux couteaux de cuisine et criait « Allah Akbar »

Un homme déambulait avec deux couteaux de cuisine à grandes lames aux abords de la gare de Grenoble vers dix heures ce dimanche matin. Il a crié à plusieurs reprises "Allah Akbar" tout en faisant une prière.

L'homme interpellé est âgé de 19 ans

Alors la brigade anti-criminalité de Grenoble intervient. L'homme refuse de jeter ses couteaux à terre, et menace un policer. Il est finalement interpellé. Il s'agit d'un jeune homme de 19 ans, habitant Grenoble et né en Algérie. [...]

Francebleu.fr

Nos remerciements à Pierre 1er

Grenoble. Un ex-prof de math, né au Maroc, condamné à 2 ans de prison pour apologie du terrorisme

Un ancien professeur de mathématiques a été condamné à deux ans de prison. Le procureur de la République avait réclamé quatre ans d’emprisonnement dans ses réquisitions. Interpellé le mois dernier, l’homme de 53 ans avait fait l’objet d’un signalement de la part des services de renseignement. Plus de 1.000 photos et une centaine de fichiers audiovisuels de propagande djihadiste étaient enregistrés sur son ordinateur.

Né au Maroc, cet homme de 53 ans était incarcéré depuis son interpellation fin juillet à Fontaine, en Isère. Il comparaissait devant le tribunal correctionnel pour « apologie du terrorisme » et « diffusion de l’enregistrement d’images relatives à la commission d’une atteinte volontaire à l’intégrité de la personne ».

(...)

Ce sont les services de renseignement qui ont signalé une possible radicalisation et des centaines de fichiers ont été retrouvés sur son ordinateur. Cela allait de scènes de décapitation à une vidéo sur la marche à suivre pour commettre un attentat en Europe ou des livres d’apprentissage des mathématiques édités par l’Etat islamique où les enfants sont invités à compter des bombes.

Sur son compte Facebook – fermé depuis – le père de famille a partagé de nombreux contenus comme le serment d’allégeance à l’Etat islamique. Certains fichiers ont été téléchargés depuis l’organe de propagande de l’EI, Amaq, via la messagerie cryptée Telegram. Mais pour lui, il s’agissait simplement d’assouvir sa « curiosité » : « Mes téléchargements étaient à titre informatif ».

(...)

Le Parisien

France : pendant que Grenoble subit violences et insécurité, le maire de gauche rappe des « fuck » au volant d’une voiture…

L'art délicat de la communication politique...

Alors qu'il est attendu, en cette rentrée, sur pas mal de sujets (la violence dans l'agglomération grenobloise, entre autres...), le maire de Grenoble Éric Piolle a "offert" à ses supporters comme à ses adversaires, une petite récréation sur ses réseaux sociaux.

Dans une vidéo postée sur ses comptes officiels Facebook et Twitter, on voit et on entend en effet l'élu écologiste, au volant, fredonner une chanson du rappeur Nekfeu. Les paroles? "Je te parle de mes reufs, les vrais, pas les faux, les frères, pas les potes, les traîtres, on les fuck".

Le maire poste ce petit texte sous la vidéo : "Chanter sur Nekfeu c'est parfait. Vous chantez sur qui, vous ?"

Et à votre avis, que s'est-il passé? Pas énormément de réponses à la question musicale posée, mais beaucoup de commentaires, pas mal de "haha", des "super" et des pouces levés également, certes, mais aussi, forcément, façon boomerang, un paquet de tacles : "Il pollue avec sa voiture", "On touche le fond", "Mon Dieu que je suis content d'avoir quitté Grenoble quand je vois son maire"...

D'ici à ce qu'il se fasse appeler Piorelsan sur ses affiches de campagne en 2020...

 

 

 

Ledauphine.com

Nos remerciements à Philip

 

Rappels :

France : Grenoble, ville dirigée par un maire rouge-vert, est devenue un «Chicago français», selon un syndicat policier

Éric Piolle, le maire « rouge-vert » de Grenoble, n’a pas eu un mot pour Adrien Perez (une Marche blanche est organisée aujourd’hui à 16 heures)

Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble revendique publiquement la violation de la loi française pour accueillir les clandestins et provoque le procureur « Condamnez-moi. »

France. Grenoble: Les politiques de gauche détruisent la ville « Plus de 52 ans pour rembourser la dette. »

Grenoble: Les dealers et les immigrés violents hébergés par le maire écologiste. Un restaurant attaqué, les gens forcés à se taire…

 

France : Grenoble, ville dirigée par un maire rouge-vert, est devenue un «Chicago français», selon un syndicat policier

Une délinquance 63% plus élevée que dans les autres villes de France de la même taille. C'est une situation sécuritaire «catastrophique» que dénonce l'antenne du syndicat de police Alliance en Isère.

Le syndicat Alliance Police Nationale a dénoncé le 17 août l'insécurité «catastrophique» régnant à Grenoble, un «Chicago français», alors même que le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb était en déplacement à quelques kilomètres de là, dans le Vercors. Dans son communiqué, l'antenne iséroise du syndicat de police met en exergue «une délinquance 63% plus élevée» dans la cité alpine «que dans des villes de même taille». «Rien que sur ces quinze derniers jours, on dénombre plusieurs agressions au couteau et règlements de comptes par armes à feu, l'un des protagonistes ayant moins de seize ans...», relève-t-il.

Le syndicat souligne qu'avec d'«autres acteurs de la sécurité» (mairie, préfecture, direction de la sécurité publique), il avait «tiré le signal d'alarme» auprès du «gouvernement et des directions centrales», sans résultats. Alliance Police Nationale rappelle les propos du procureur de la République à Grenoble, Jean-Yves Coquillat, qui avait affirmé il y a un an n'avoir «jamais vu une ville de cette taille aussi pourrie et gangrénée par le trafic de drogue». Déplorant que le ministre Gérard Collomb «ait préféré se consacrer à la sécurisation des activités sportives et à l’air pur du Vercors plutôt qu’à l'atmosphère beaucoup moins vivifiante de la cité grenobloise», le syndicat affirme que trente postes ne sont pas pourvus sur la ville, «sans perspective de renfort sur les prochains mois». Selon lui, les policiers démotivés «sollicitent leur mutation, faute d'attractivité pour les retenir». Il demande notamment que le bassin grenoblois «soit considéré en secteur difficile et bénéficie de la prime de fidélisation correspondante» comme c'est le cas à Lyon. Et qu'il reçoive rapidement de nouveaux effectifs, comme à Marseille. «Sans un changement radical de politique, dans peu de temps, la loi de la rue remplacera celle de la République», pronostique-t-il.

Dans la nuit du 28 au 29 juillet, Adrien Perez, un jeune homme de 26 ans, a été mortellement poignardé devant une boîte de nuit située à Meylan, près de Grenoble, alors qu’il tentait de défendre son ami agressé. Meurtris, ses parents ont dénoncé le climat de violence qui règne dans le pays, tandis que la droite pointe le laxisme de l'Etat.

RT

 

Rappels :

Éric Piolle, le maire « rouge-vert » de Grenoble, n’a pas eu un mot pour Adrien Perez (une Marche blanche est organisée aujourd’hui à 16 heures)

Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble revendique publiquement la violation de la loi française pour accueillir les clandestins et provoque le procureur « Condamnez-moi. »

Grenoble: Les dealers et les immigrés violents hébergés par le maire écologiste. Un restaurant attaqué, les gens forcés à se taire…

Éric Piolle, le maire « rouge-vert » de Grenoble, n’a pas eu un mot pour Adrien Perez (une Marche blanche est organisée aujourd’hui à 16 heures)

Mercredi 8 août, une marche blanche pour Adrien Perez est prévue à 16 heures, organisée par ses amis place de Verdun, pour dénoncer son meurtre et l’insécurité de plus en plus présente dans l’agglomération grenobloise et en France.

 

 

Pourquoi pas, plutôt, une manifestation de colère devant la mairie ? Car Grenoble, aujourd’hui, c’est le Chicago des années 30 : dans la nuit de samedi à dimanche, un adolescent âgé de 16 ans s’est involontairement brûlé en tentant d’incendier une voiture. France Bleu ajoutait naïvement dans son article : « La faute sans doute au liquide inflammable qui s’est répandu sur lui. » Non, messieurs de la radio d’État : la faute à lui-même. Cette radio indiquait que, la même nuit, un jeune homme de 27 ans avait été retrouvé gravement blessé à l’arme blanche dans le parc Mistral. Son pronostic vital était engagé. Un suspect s’est rendu à la police, il est actuellement en garde à vue, cela, juste une semaine après la mort d’Adrien.

 

 

Disons-le, la dégradation progressive de la qualité de vie à Grenoble est patente. Comme l’expliquaient des Grenoblois sur un site de collectif citoyen :

 

« La place Condorcet est devenue, depuis quelque temps déjà, le lieu de réunion favori d’un groupe de jeunes peu sympathiques qui, sous prétexte de ne rien avoir à faire et de s’ennuyer, empêchent tout le monde de dormir : scooter, musique, cris… jusque très tard dans la nuit. Les menaces sont courantes, on vous demande de descendre vous battre, on vous dit qu’on voit où vous habitez et que vous allez le payer. Les habitants terrorisés se plaignent à la police mais rien ne change. »

« De même les façades et garages sont tagués, les vitrines des commerces ont été cassées, le quartier est jonché de détritus et, dans certains coins, les déchets et encombrants abandonnés s’entassent pendant des semaines. »

 

Toujours sur le même site, on peut lire :

 

« Place des Géants, excédé par le bruit la nuit, un habitant a répandu de l’huile partout où on pouvait s’asseoir, y compris sur les jeux d’enfants. Piscine Jean-Bron, les familles ont dû abandonner les bassins parce qu’une rixe avait éclaté entre une vingtaine de personnes. Quartier Hoche, un restaurateur a été dans l’obligation de fermer, ne pouvant plus faire face aux menaces. Rue de Strasbourg, un commerçant a donné sa caisse à un homme armé. Rue Dr-Mazet, pendant des semaines, une bande pénétrait dans les magasins pour voler de la marchandise. Grenoble bat des records de délinquance. Déjà, en 2014, le niveau était supérieur de 63 % à la moyenne nationale. »

 

Le père d’Adrien Perez ne disait pas autre chose :

 

« Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible. »

 

Mais que fait alors la mairie ?

Elle s’oppose… à la pose de caméras de vidéoprotection et refuse d’augmenter les effectifs policiers (103 agents pour 160.000 habitants) et de les armer. Même Jean-Yves Coquillat, le procureur de la République, a publiquement déclaré qu’il n’avait « jamais vu une ville aussi pourrie et gangrenée ». Par contre, « Piolle Pot », comme on appelle le maire ici, est prêt à accueillir tous les migrants et les « étrangers » du monde. Entre 2006 et 2014, il y a eu 2.243 Français de plus à Grenoble, contre 2.429 étrangers (aujourd’hui, c’est certainement plus d’étrangers).

Le plus monstrueux est que notre Khmer vert, deux mois avant l’assassinat d’Adrien (qu’il n’a à notre connaissance, d’ailleurs, officiellement pas condamné, comme le montre son compte twitter qui ne parle que de pic de pollution et d’éco-mobilité…), remettait, contre l’avis du préfet, la médaille de la ville à Cédric Herrou, jugé pour passage illégal de migrants dans la vallée de la Roya : Tout un symbole !

Bvoltaire

 

Rappels :

Grenoble: Les dealers et les immigrés violents hébergés par le maire écologiste. Un restaurant attaqué, les gens forcés à se taire…

Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble revendique publiquement la violation de la loi française pour accueillir les clandestins et provoque le procureur « Condamnez-moi. »

France: Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble « Aucun mur ne sera assez haut pour arrêter un Homme qui veut vivre en Europe »

France. Grenoble: Les politiques de gauche détruisent la ville « Plus de 52 ans pour rembourser la dette. »

 

France. Grenoble : un autocar pillé par une bande de « jeunes » après la victoire des Bleus en Coupe du Monde (Vidéo)

Dimanche, à Grenoble, pendant que beaucoup fêtaient le titre de champion du monde des Bleus, une partie de la fête dégénérait. Un car Flixbus était notamment pillé par des jeunes. Un étudiant grenoblois a filmé la scène.

 

 

 

Source

Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble revendique publiquement la violation de la loi française pour accueillir les clandestins et provoque le procureur « Condamnez-moi. »

Nous parlions déjà de cet individu dans ces articles:

France. Grenoble: Les politiques de gauche détruisent la ville « Plus de 52 ans pour rembourser la dette. »

 

Grenoble: Les dealers et les immigrés violents hébergés et protégés par le maire écologiste. Un restaurant attaqué, les gens forcés à se taire…

 

France: Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble « Aucun mur ne sera assez haut pour arrêter un Homme qui veut vivre en Europe »

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M. le Procureur de la République, je vous écris ce jour puisque la solidarité envers les éxilé.e.s reste un délit. Forte de sa politique d'accueil et d'aide, la Ville de Grenoble enfreint l'article L 622-1 du CESEDA. Condamnez-moi.

 

 

Source

Grenoble: 4 CRS attaqués par de la racaille à scooter. Deux agents blessés, dont un grièvement.

Selon nos informations, ces quatre fonctionnaires étaient de repos et étaient donc habillés en civil lorsque, dans la soirée, deux d'entre eux ont quitté la CRS 47. Alors qu'ils venaient d'en franchir le portail, ils auraient été pris à partie par des jeunes à scooter qui passaient à ce moment-là, sans que l'on puisse affirmer à ce stade qu'ils savaient qu'ils s'adressaient à des policiers.

D'autres jeunes sont alors arrivés et, voyant leurs collègues en difficulté, deux autres CRS qui disputaient une partie de pétanque dans un square de l'autre côté de la rue, se sont approchés.

 

 

Une bagarre a alors éclaté à l'issue de laquelle deux des CRS ont été blessés : un sérieusement, notamment à coups de casque,  l'autre plus légèrement.

Secourus par les sapeurs pompiers, le premier a été transporté à l'hôpital Michallon de Grenoble-La Tronche, le second à la clinique mutualiste.

Les fonctionnaires de l'hôtel de police de Grenoble se sont rendus sur place afin de procéder aux constatations et ont ouvert une enquête afin d'établir clairement les circonstances de cette agression.

Source

France. Grenoble: Les politiques de gauche détruisent la ville « Plus de 52 ans pour rembourser la dette. »

Les chiffres officiels des comptes des villes tels que publiés par le Ministère des Finances arrivent toujours en retard. Mais ceux de 2015, un an après l’arrivée de la municipalité Piolle (Europe Écologie Les Verts) sont éloquents et dramatiques s’agissant de la dette.

4 mois seulement après avoir été élu Eric Piolle recourait déjà à l’emprunt pour terminer l’année 2014 : en juillet le conseil municipal l’autorisait à emprunter 13 millions d’€!

E.PIOLLE A CREVÉ TOUS LES PLAFONDS de la DETTE 

Depuis il ne s’est plus arrêté. Les chiffres de l’année 2015 tels qu’ils nous sont parvenus sont accablants en matière d’endettement: la capacité de désendettement Grenoble est passée cette année là de 8 ans à … 52,6 ans selon le graphique du Ministére des finances. L’association des Maires fixe entre 9 et 13 années la capacité de désendettement « normale ».

EN 2008 le SOLDE ÉLUS VERTS/ADES: + 10 % D’IMPÔTS 

Or en 2008, il a fallu solder 13 ans de gestion Destot/Safar (PS) à laquelle les Verts/Ades, le principal groupe de la majorité Piolle actuelle participait. La ville était au bord du gouffre : les impôts ont été augmentés de 10 %  Grenoble devenant la première ville de France de plus de 100 000 habitants pour l’impôt sur les ménages. Elle l’est restée.

ENTRE 2011 et 2014 UN CLIENTÉLISME EFFRÉNÉ POUR LA RÉÉLECTION 

Entre 2011 et 2014 , dans un clientélisme effréné pour sa réélection la municipalité  Destot/Safar a accéléré  encore l’augmentation des dépenses de fonctionnement de la ville dilapidant totalement cette hausse d’impôts, volant littéralement les grenoblois. En 2014 Grenoble frôlait la limite légale d’une épargne brute négative , c’est à dire des dépenses de fonctionnent supérieures aux recettes. La commune ne peut plus payer ses amortissements et son budget est alors irrégulier puisqu’il ne finance pas une dépense obligatoire.

E.PIOLLE HISSE GRENOBLE EN TÊTE POUR LA DETTE 

Impôts les plus élevés de France que le Maire ne peut plus augmenter. Dépenses de fonctionnement pour lesquelles Grenoble avait aussi pris la tête. Restait le 3 ème levier, la dette, critère sur lequel Grenoble n’était pas encore la première.

Dés juillet 2014 , Eric Piolle recourt à l’emprunt. Si tout va bien il devrait parvenir à hisser Grenoble également en tête des grandes villes pour la dette par habitant. Il ne restait que ce titre à conquérir.

(...)

Source: grenoble-le-changement.fr

France: Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble « Aucun mur ne sera assez haut pour arrêter un Homme qui veut vivre en Europe »

On rappelle que ce maire est responsable de situations scandaleuses, jusqu'à protéger la racaille contre les Français de souche qui tentent de gagner honnêtement leur vie:

Grenoble: Les dealers et les immigrés violents hébergés et protégés par le maire écologiste. Un restaurant attaqué, les gens forcés à se taire…

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Le siècle des migrations a démarré: n'ayez pas peur Emmanuel Macron. Aucun mur ne sera assez haut pour arrêter un Homme qui veut vivre, même au coeur de l'Europe.

Les migrants risquent leur vie entre France et Italie: ça suffit! Changeons les règles du jeu!

 

 

Rappels:

France. Grenoble: Deux migrants poignardent à plusieurs reprises un jeune homme qui résistait

France. Grenoble : deux Algériens, se prétendant mineurs isolés, interpellés pour une agression

Grenoble: Les dealers et les immigrés violents hébergés par le maire écologiste. Un restaurant attaqué, les gens forcés à se taire…

A noter que ce même maire gauchiste possède une société à Singapour.

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« Dès que j’ai eu des problèmes, j’ai alerté les élus. On m’a parlé de “temporalité”, de “solution dans la durée”, de “médiateur”, de “cinéma de plein air” pour les jeunes. Moi, ça fait deux ans que je n’ai pas vu mon appartement et que je vis dans mon restaurant. Et vous voulez calmer des gens comme ça avec un cinéma de plein air ? » raconte William Taylor au DL (30/12/17).

« Il  dit ne pas avoir pu franchir le seuil du secrétariat téléphonique des élus municipaux « précise le journaliste Benoit Bouy. ça tombe mal pour la campagne de « proximité » engagée avec les voeux d’Eric Piolle !

 

Grenoble vitre cassées

 

« AVANT MOI LA GÉRANTE A ÉTÉ CONTRAINTE de PARTIR à CAUSE des MÊMES PROBLÈMES » 

Restaurateur place André Malraux, William Taylor appartient à la longue liste de ceux qui se sont fait blouser parce que « le propriétaire des murs ne m’a jamais dit que la gérante du restaurant qui était installée ici avant moi avait été contrainte de partir à cause des mêmes problèmes. Elle y a perdu plusieurs centaines de milliers d’euros ! ».

RAOUL BLANCHARD, JOUHAUX, Place des GÉANTS, PARTOUT C’EST LA VALISE ou la TÊTE COURBÉE 

Pas très loin, rue Raoul Blanchard l’acquéreur d’un appartement a subi la même aventure qu’elle a raconté à maintes reprises. Le locataire HLM qui viole toutes les lois de la vie commune dispose d’un autre  appartement HLM  pour une autre compagne… Comme William Taylor elle n’a jamais eu accès à un élu !  Comme la trentaine de locataires de HLM de Jouhaux qui subissaient la loi des délinquants et ont demandé leur mutation en urgence. Devant l’immobilisme municipal, laissés seuls face à la violence ils sont rentrés dans le rang. Place des Géants c’est un propriétaire qui ne peut pas vendre son logement à un prix décent pour pouvoir fuir les « communautés » qui imposent leur loi.  Partout dans Grenoble c’est la valise ou le silence avec la tête courbée. Seuls ceux qui en ont les moyens peuvent s’échapper.

 

Grenoble2

 

IL MONTE LA GARDE DANS SON RESTAURANT LA NUIT 

William Taylor lui, n’a pas le choix. Il est courageux. La nuit il doit monter la garde dans son restaurant pour prévenir les destructions. Il a été victime de quatre coups de couteau au bras. Sur l’autoroute la voiture de son père a perdu une roue qui était dévissée. Vitrine cassée, menaces, poubelles en feu, clients qui subissent les bouteilles vides jetées à leurs pieds…

« HALLS D’IMMEUBLES SQUATTÉS, PORTES FRACTURÉES, DÉGRADATIONS CHAQUE MATIN… »

Comme le raconte le DL, après que « Grenoble, le Changement » ait décrit plusieurs fois la situation, « William Taylor s’était jusque-là tu face à ces halls d’immeuble squattés, ces portes fracturées, ces barrettes de shit ou ses cocottes de cocaïne échangées contre quelques billets et ces dégradations chaque nouveau matin recensées ». 

E.PIOLLE EST PRÉSIDENT de L’OPHLM QUI ATTRIBUE LES LOGEMENTS ! 

La vie quotidienne à Grenoble au temps de M.Piolle. Lequel est président de l’OPHLM (Actis) responsable des attributions de logements. La plupart des délinquants sont logés par lui et peut être paient ils leur loyer en espèces majoré de 10 %? Jamais aucune famille n’a été convoquée par le Maire,  jamais aucun avertissement n’a été émis à fortiori aucune amende ou menace d’expulsion.

 

Grenoble

 

SANS IMPLICATION FORTE de la MUNICIPALITÉ POUR DÉLOGER les DÉLINQUANTS…

On peut être logé en HLM, financé par l’impôt et contrevenir à toutes les lois de la République ? Sans une implication forte de la municipalité pour déloger les délinquants tout le monde sait bien que les autres actions seront vouées à l’échec. Seul un étau peut réduire cette délinquance endémique qui pourrit et gangrène la ville comme l’avait dénoncé Jean-Yves Coquillat le Procureur  de la République.

AVEC les MUNICIPALITÉS CARIGNON, le QUARTIER LE PLUS DEMANDÉ 

Ces solutions sont portées par les collectifs de citoyens avec Alain Carignon : Hoche est d’ailleurs le bon exemple du passé qui rejoint l’avenir ; sous les municipalités Carignon il était le quartier le plus demandé car l’équilibre des attributions était sauvegardé. La dérive a commencé sous Destot dont l’actuelle Présidente de Grenoble Habitat, Maryvonne Boileau (Verts/Ades) était Présidente de l’OPHLM jusqu’en 2008.

 

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UN CRITÉRE de TRANQUILLITÉ PUBLIQUE DANS l’ATTRIBUTION des LOGEMENTS 

Aujourd’hui il faut sanctionner et comme le propose Alain Carignon établir un critère de tranquillité publique dans les attributions, habiliter les cadres  des HLM et des institutions publiques,  les gardiens d’immeubles à dresser procès verbal, bref reprendre en mains à la base une situation trop dégradée. William Taylor, à visage découvert, incarne la multitude de ceux qui sont le dos au mur dans une ville où la municipalité est en connivence à minima de fait avec la délinquance.

Source

France. Grenoble: Deux migrants poignardent à plusieurs reprises un jeune homme qui résistait

Deux jeunes gens soupçonnés d’avoir très sérieusement blessé à coups de couteau un jeune homme de 25 ans, dimanche vers 2 h 30 sur l’avenue Félix-Viallet à Grenoble (lire nos éditions de lundi), ont été présentés à un magistrat instructeur et placés sous mandat de dépôt dans la soirée de lundi, a-t-on appris hier auprès du parquet.

Le jeune homme rentrait d’une soirée avec un ami

Le jeune homme rentrait d’une soirée avec un ami lorsqu’il avait été agressé par les deux jeunes gens qui lui avaient volé son téléphone sous la menace d’un couteau.

Tentant de résister à ses agresseurs, il avait été atteint de trois coups de couteau, un à une joue, un autre au front et le troisième à un bras.

Des policiers municipaux qui patrouillaient dans le secteur étaient parvenus à interpeller les deux voleurs.

Ces derniers ont été placés en garde à vue dans les locaux de la police nationale ; le parquet ayant ouvert une information judiciaire, les suspects ont été mis en examen pour vol et violences en réunion et avec armes, puis écroués.

l’un des suspects serait mineur et l’autre jeune majeur

Selon le parquet, l’un d’entre eux serait mineur et l’autre jeune majeur, sans que ces âges puissent être confirmés dans la mesure où il s’agit de ressortissants étrangers dont l’identité n’a pu être établie formellement.

L’Incapacité totale de travail (ITT) la victime a été estimée à 15 jours.

Source Via suavelos.eu

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Journal quotidien d’un Français au contact de l’immigration: « Ils essaient à présent de mettre le feu au restaurant de mon fils. »

Un lecteur nous écrit, essayant simplement de vivre et de travailler honnêtement en France avec son jeune fils. Voilà la réalité qui ne sera jamais publiée par les journaux traitant de l'immigration et du multiculturalisme, éléments qui font la fierté de la France socialiste dans l'hypocrisie la plus totale.

Est-ce cela que nous voulons en Suisse?

(Bien entendu, pour la sécurité des personnes impliquées, nous avons enlevé les noms et la dénomination des lieux.)

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Grenoble quartier .... : nouvel incendie criminel et tentative d’homicide

Depuis que W. 23 ans a repris ce restaurant situé au cœur du centre-ville place ..., une affaire qui avait été fermée pendant près de deux ans, les exactions commises par un véritable gang de voyous ne cessent de s’accumuler.

Au départ parce que l’arrivée de nouveaux occupants dans cette affaire qui avait été squattée par ces mêmes Maghrébins dérangeait car dans l’esprit de ces derniers c’était une intrusion sur leur territoire.

La place ..., un espace dédié à la consommation et au deal de drogue, que l’ouverture prochaine du restaurant risquait de déranger, alors W. a été menacé de toutes les manières : depuis les coups contre la porte en pleine nuit jusqu’à des menaces de mort explicites.

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Mais aussi de casser les vitrines et mettre le feu au restaurant.

Ce qui vient de se passer ce weekend, quand, suite à une énième altercation dans cette lutte incessante entre la nécessité de garder la paix publique pour permettre l’activité du restaurant, et la prise de contrôle de l’espace public par le gang du quartier ..., un incendie criminel visant à faire bruler le restaurant avec ses occupants a eu lieu dans la matinée de samedi à 4h30.

Deux containers poubelles remplis d’essence avaient été mis intentionnellement contre la vitrine du restaurant, sous le préau au contact direct des appartements de l’immeuble, et les flammes atteignaient déjà une hauteur de 3 m.

Sans la présence et le sang-froid du jeune restaurateur qui a poussé le container dans la rue, le restaurant aurait pu rapidement prendre feu avec ses occupants ainsi que l’immeuble tout entier car les flammes léchaient déjà le plancher du premier étage.

Ce dimanche, les voyous constatant sans doute l’échec de leur première tentative, renouvelaient leurs attaques en fracassant les vitrines et les portes vitrées sur plus de 10 mètres linéaires en pleine après-midi.

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W. s’apprête donc non seulement à déposer plainte contre les mêmes voyous pour la douzième fois en 9 mois, mais aussi à fermer son affaire le temps que les travaux de sécurisation et de remplacement puissent avoir lieu, ce qui nécessitera de nombreux jours entre les procédures d’expertise et les devis et la réponse des assurances.

Fragilisant ainsi les chances de succès de son affaire encore naissante, dans une période difficile où le commerce souffre déjà à Grenoble.

Pour information, depuis un mois pas moins de 5 incendies criminels ont été provoqués par la même bande dans les immeubles du quartier ....

Lettre ouverte d’un Français qui n’en peut plus: Les travailleurs sont harcelés par l’Etat, les dealers immigrés agressent et bénéficient de l’impunité

Lettre ouverte

Monsieur Le Préfet,

Je vous écris en tant que citoyen mais aussi père, pour dénoncer des faits qui se produisent en toute impunité dans le centre ville de Grenoble, et plus précisément dans le quartier ******.

Pour mémoire et bien que tous ces faits soient relatés dans de nombreuses plaintes auprès des services de police, je reprends pour plus de clarté dans l’ordre chronologique.

Mon fils, W., est arrivé en novembre 2015 sur Grenoble pour reprendre un restaurant situé au sis au ****** .

Le restaurant avait été auparavant squatté par ce que le langage politiquement correct appelle des « jeunes », ce qu’on aurait qualifiés de « voyous » en un temps où l’on parlait un français sensé.

Mon fils a donc entrepris des travaux fort couteux de rénovation pendant des mois, alors même que ces « jeunes » issus du quartier mais aussi venant d’autres zones de non-droit réputées de Grenoble organisaient devant le restaurant une activité de deal de drogues, accompagnée des indispensables démonstrations de force, d’intimidations liées à l’activité nocturne de ce genre de business garant de la paix sociale selon vos services.

Comme ce renouveau d’activité commerciale semblait déplaire à cette population besogneuse issue de la mixité sociale, ces derniers s’en sont pris à mon fils à de nombreuses reprises, le menaçant de casser les vitrines, de mettre le feu au restaurant, ce qui fait que mon fils a du s’installer 24 heures sur 24 dans son établissement pour surveiller et prévenir en cas de mise en œuvre de ces menaces sous condition.

Certaines nuits, ces éléments de la diversité qui nous fait du bien vivre ensemble, sont allés taper dans la porte à plusieurs reprises alors même qu’ils se livraient à leurs activités favorites de trafic de drogue et de consommation de cannabis sur la voie publique, cela en parfaite impunité bien sûr, bénéficiant en cela de la quasi immunité accordée par les pouvoirs publics si on en juge les faits.

Depuis son ouverture au mois d’avril, mon fils ainsi que moi-même avons à de multiples reprises reçu des menaces de mort sous condition, des dégradations de véhicule, de vitrines, des menaces avec voies de fait par des individus armés dont au moins deux fois de possibles armes à feu.

Occasionnant non seulement des nombreux frais suites aux dégradations, non prises en compte par les assurances pour la plupart en raison des franchises et donc restant à notre charge.

Mais en plus des fermetures du restaurant alors en plein lancement, car il n’est pas possible d’être à la fois en train de porter plainte des dizaines de fois avec tout ce que ça sous-entend de délais d’attente quand on sait qu’en moyenne il faut à chaque fois trois heures pour porter plainte, plus le temps nécessaire perdu pour réparer les dégradations faites au véhicule ou au restaurant.

Si cela ne suffisait pas, mon fils a été victime de menaces de mort sous conditions, faits réprimés et normalement jugés auprès du Tribunal Correctionnel, de la part du même individu trafiquant notoire et dûment fiché par les services de police, identifié formellement et pourtant que l’on voit tous les jours se promener en toute impunité devant nos yeux dans le quartier.

Suite aux nombreuses plaintes de la part des habitants du quartier *****, se plaignant notamment des incivilités permanentes  mais aussi du bruit, une réunion s’est tenue à la mairie début juillet où une quarantaine d’habitants étaient présents ainsi qu’un responsable de la Police Nationale, un responsable du secteur Nord de la Police Municipale, une adjointe au maire, un conseiller municipal du secteur et le responsable de la sécurité de la mairie, quoique je ne sois pas sur de la dénomination exacte du poste de ce dernier vu que du point de vue de la mairie l’insécurité à Grenoble n’existe pas.

Et que nous vivons dans une métropole apaisée selon le maire Eric PIOLLE, nonobstant quelques meurtres mensuels avec des armes à feu ou des armes blanches, qu’il convient dès lors de classer dans la catégorie « arts et spectacles » sans doute… à moins que comme l’absence du port du casque à scooter cela soit une coutume locale.

Comme je viens de revenir depuis peu sur Grenoble vous voudrez bien excuser cette imprécision de ma part et la mettre sur le compte de mon ignorance des traditions dauphinoises.

Néanmoins, le bon sens me commande d’établir quelques comparaisons entre la situation que je qualifierais de « normale », celle de mon fils par exemple jeune chef d’entreprise à l’âge de 23 ans, et celle d’individus du même âge ou guère plus jeunes qui visiblement ne bénéficient pas des mêmes largesses de l’état en terme de d’imposition, de normes, et de bienveillance d’une administration pourtant si prolixe de formulaires et de paperasse.

Mon fils a investi non seulement des heures de travail, mais aussi des dizaines de milliers d’euros venant soit de sa précédente activité mais aussi il faut le reconnaître de l’entraide familiale, et il lui faudra certainement encore de nombreux mois pour avoir une activité pérenne, le temps qu’il se fasse une clientèle et si toutefois cette dernière n’est pas découragée par l’activité des dealeurs qui ont fait du quartier **** le GQG du dispatch de drogue pour le centre-ville de Grenoble.

Il faut dire que le stationnement certes légal mais bruyant d’une dizaine voir plus de « pépites de la nation » qui hurlent, braillent et cassent des bouteilles de verre juste devant le restaurant a découragé plusieurs fois des habitués de franchir ce tir de barrage pour y accéder.

Paradoxalement, comment justifier que dans le même temps où mon fils entreprend courageusement une première entreprise, que des dizaines de « jeunes » devant lui gagnent avec le trafic de drogue des milliers d’euros, sans payer ni impôts, ni charges sociales, ni CSG, ni RDS, ni CRDS, ni CFE, ni TVA, sans crainte d’une visite URSSAF, d’un rappel du RSI ni respect d’aucune norme légale ou d’hygiène.

Mais en plus font tout pour l’empêcher de travailler sereinement !

La réponse de l’état en la matière est tout simplement désespérante : de l’aveu même des policiers aussi bien nationaux que municipaux, non seulement disent qu’ils ne peuvent rien faire, mais en plus qu’ils ont reçu des consignes pour ne pas déranger ou provoquer les « jeunes » mis en cause.

Et d’aucuns dirent qu’ils n’oseraient jamais porter la main sur un voyou de peur d’être mis à pied et perdre les moyens de subsistance de leurs propres familles.

Mais aussi se plaindre du total manque d’appui de la part de leur hiérarchie ainsi que de décisions de justice totalement inadéquates qui consistent à relâcher les auteurs de troubles ou d’agressions avant même que les victimes n’aient fini de porter plainte.

Ainsi que du manque de moyen, mais sans volonté politique claire et forte soutenant sans ambages les forces de l’ordre il est évident que le problème se situe bien en amont et ne se limite pas à une question d’effectifs mais avant tout à une restauration du rapport de force et l’inversion de la peur : quand un policier a peur d’agir, il est évident que les voyous en profitent car ils sont très bien informés quand à l’impunité dont ils bénéficient.

En fait d’équité devant la loi, tout se passe comme s’il y avait une justice à double vitesse : d’un coté les gens qui respectent la loi, la paix civile, les biens privés et publics.

De l’autre ceux qui ne sont assujettis à aucune de ces obligations, et se sentent dégagés de toute forme de respect ou de devoir envers notre société.

Le message que vous (les institutions) envoyez est terrible : d’un coté une majorité de la population qui n’a que des devoirs et subit de plein fouet les conséquences de la tolérance zéro.

Le moindre kilomètre/heure dépassé sanctionné sans appel, le moindre retard de cotisations sanctionné par des amendes et pénalités, la moindre faute permettant de remplir le carnet à souches d’autant plus que les agents de l’état savent pertinemment que cette population respectueuse des lois et de l’état a peu de chances de se rebeller ou même de se montrer désagréable.

De l’autre, une population qui dégrade par plaisir ou par désœuvrement les biens publics et privés pour lesquels il semble qu’elle n’éprouve nul respect, et qui subvient de manière totalement illicite à ses besoins sans subir aucune des obligations légales et en toute impunité.

Le plus terrible est que cela semble être rentré dans les mœurs, quand on entend un responsable de la sécurité de la mairie de Grenoble déclarer devant quarante personnes, je cite textuellement, « le trafic de drogue tout le monde s’en fout ! »

Que faut-il comprendre ?

Que l’activité nuisible de certains emporte plus de droit que l’existence de ceux qui respectent les règles de notre société ?

Que faut-il croire ?

Que les politiques et l’état ont abandonné totalement ceux qui constituent le tissu économique local et qui supportent le principal de l’effort contributif ?

Que faut-il conclure ?

Que nous, les citoyens respectueux de l’état de droit n’avons plus notre place dans cette société qui nous abandonne au profit des éternelles populations à problème, pour qui depuis quatre générations on n’en finit pas de trouver d’excuses ?

15 000 entrepreneurs s’expatrient de France tous les ans parce qu’ils ne trouvent plus dans ce pays les conditions de vie nécessaires à leur épanouissement, faut-il que nous les suivions pour vous satisfaire ?

Que faut-il que je dise à mon fils ?

Que la France l’a abandonné ?

Que ce pays ne veut plus de lui ?

Que cet état le laissera toujours seul en face de problèmes de plus en plus nombreux, de voyous de plus en plus déterminés car convaincus de leur puissance par l’absence totale de réaction de l’état et de protection réelle des personnes et des biens ?

Au moins et à défaut d’avoir le courage d’appliquer les pouvoirs régaliens de l’état, ayez au moins celui de la franchise : si nous, entrepreneurs, sommes de trop dans votre pays, nous trouverons bien un autre pour nous accueillir.

Veuillez recevoir, Monsieur Le Préfet, l’expression de mes salutations respectueuses.

Noms connus de la Rédaction

Bouteflika hospitalisé aux frais des Français, état de siège à Grenoble

Hier après-midi, l’entrée de la clinique d’Alembert de Grenoble : ne pas entrer et ne pas déranger Bouteflika et ses gardes du corps….

 

Difficile pour les Français malades d’accéder hier à la clinique d’Alembert de Grenoble où le « président-dictateur » algérien Abdelaziz Bouteflika, 78 ans, est hospitalisé depuis l’après-midi du 3 décembre. Des forces de sécurité françaises, mais aussi des gardes du corps Algériens contrôlaient tous les accès. Abdelaziz Bouteflika a tellement peur des islamistes intégristes en Algérie et des médecins algériens qu’il préfère se faire hospitaliser en France, mais pas à Paris, ville devenue peu sûre à son goût depuis les attentats du 13 novembre dernier.

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