Harcèlement de rue au Luxembourg : la police recommande de faire le dos rond et de ne pas sortir seule la nuit, des féministes préfèrent éviter une loi qui oppresserait les non-Blancs

LUXEMBOURG – Faut-il légiférer sur le harcèlement des femmes dans la rue? Tout le monde n’y est pas favorable. La police livre ses recommandations.

[…]

Difficile dans ce contexte d’agir pour la police, qui reconnaît que «toute personne faisant l’objet d’injures ne se manifeste pas nécessairement» tout en livrant une série de recommandations. Parmi elles, «ne pas sortir seule quand il fait nuit», «crier à haute voix en cas d’agression» ou encore «ignorer des propos et comportements provocateurs».

Des conseils bienveillants dont ne peuvent se satisfaire des femmes qui aspirent à plus de tranquillité. Toutes les associations féministes ne sont pourtant pas d’accord avec la nécessité de mettre en place une loi pour punir le harcèlement de rue. C’est notamment le cas de Lëtz Rise Up. Interrogée sur le bien-fondé de cette pétition, la présidente Sandrine Gashonga estime «qu’augmenter les pouvoirs de la police» n’aboutira qu’à «renforcer les violences faites contre des populations qui y sont déjà exposées, c’est-à-dire les hommes et jeunes hommes non blancs, les migrantes et migrants et les travailleurs et travailleuses du sexe, entre autres». La militante féministe et antiraciste considère par ailleurs que l’impact des lois en question a été «marginal» en France et en Belgique. […]

L’essentiel

Via Fdesouche


Note : Sandrine Gashonga, présidente de l'association féministe Lëtz Rise, est une rescapée du Rwanda. Sa priorité : les siens avant les femmes blanches.

Aucune reconnaissance vis-à-vis de la société blanche qui l'a accueillie et protégée. Je vous laisse deviner comment ces gens nous traitent lorsqu'ils acquièrent du pouvoir dans nos sociétés.

Chaque semaine, cet été, Le Quotidien rencontre des anciens réfugiés qui ont (re)construit leur vie au Luxembourg. Aujourd’hui, Sandrine Gashonga : elle vient du Rwanda, pays ravagé par un génocide dans les années 90.

Lequotidien.lu

Montpellier : Une adolescente agressée sexuellement, l’Afghan récidiviste était sous contrôle judiciaire

Un Afghan âgé de 32 ans a été interpellé ce mercredi par les policiers de Montpellier (Hérault). Il est accusé d’avoir agressé sexuellement une jeune fille de 12 ans. L’homme était sous contrôle judiciaire au moment des faits dans le cadre d’une condamnation pour… agression sexuelle.

L’insistance et la dextérité d’un père de famille a permis l’interpellation de l’agresseur présumé. Une enquête avait été ouverte en septembre dernier après le dépôt de plainte de cet homme qui dénonçait l’agression sexuelle de sa fille âgée de 12 ans, dans le tramway de Montpellier, raconte Métropolitain.

Le jour des faits, la collégienne a d’abord été abordée par son agresseur. Ce dernier s’est montré de plus en plus pressant et l’adolescente a décidé de changer de place à plusieurs reprises. L’inconnu ne s’est pas découragé et l’a suivie avant de lui toucher les fesses, ainsi que les parties intimes à travers son pantalon. Puis il est descendu à la station suivante.

[...]

Actu17.fr

Nos remerciements à Apostat-Afghan

Harcèlement à la RTS : Plus de 200 personnes ont livré leurs témoignages

L’enquête sur les cas de harcèlements à la RTS comptabilise près de 220 témoignages. [...]

La SSR a lancé mi-novembre trois enquêtes indépendantes suite à une enquête du Temps qui révélait des dysfonctionnements au sein de la RTS en épinglant trois collaborateurs, dont l’ex-présentateur Darius Rochebin. Il est fait état de harcèlement sexuel, de gestes déplacés ou encore d’abus de pouvoir. Deux cadres ont été suspendus et un troisième s’est temporairement retiré.

TdG

Les avocats de la RTS croulent sous les demandes de plaintes pour harcèlement

Des semaines d’attentes. Voilà ce qui attend les collaborateurs ou anciens employés de la RTS ayant décidé de témoigner auprès du bureau d’avocats mandaté par l’entreprise afin de centraliser les plaintes.

«J’ai essayé de les contacter afin de témoigner du harcèlement moral que j’ai vécu pendant des années, mais il va falloir être patient. Ils croulent sous les demandes.»

[...]

Tdg.ch


Rappels :

Scandale à la RTS : Le rédacteur en chef Bernard Rappaz se retire provisoirement

«Darius Rochebin ne reviendra pas (…) ils vont négocier une porte de sortie»

Darius Rochebin accusé de harcèlement sexuel : la RTS aurait couvert ses agissements

Darius Rochebin va déposer une plainte pénale contre Le Temps

 

 

 

A Genève, les femmes se sentent en insécurité dans l’espace public

Rappel : A Genève, 61% des habitants sont issus de la migration

Dans l'article du Temps, Marylène Lieber, "professeure en études genre de l’UNIGE", en profite pour parler de "racisme" et "d'islamophobie" (et cela après des attentats islamistes visant les non musulmans, excusez du peu!) alors que le sujet de l'article vise l'insécurité des femmes. En clair, elle se sert de l'insécurité subie par les femmes pour imposer son mantra de gauche au lieu de remettre en question l'immigration issue de cultures patriarcales. C'est la raison pour laquelle Le Temps n'est souvent plus crédible : l'idéologie a remplacé l'information et l'analyse objective.

Plus encore, ce sont justement ces migrants qui sont les plus violents et les plus intolérants lorsqu'une femme désire profiter de sa liberté. Pendant ce temps, les Iraniennes sont durement réprimées lorsqu'elles tentent simplement de se débarrasser de leur voile.

 


Les femmes ne se sentent pas libres partout dans l’espace public. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par l’Université de Genève (UNIGE) sur mandat de la Ville de Genève, qui mène depuis 2019 un plan d’action pour lutter contre le sexisme.

«Les femmes se sentent en insécurité dans l’espace public en raison du sexisme. Or les lieux de loisirs où elles se sentent en sécurité ne sont financièrement pas accessibles à toutes les catégories sociales. La conjonction de ces deux phénomènes est frappante», a déclaré mardi devant les médias le conseiller administratif Alfonso Gomez, magistrat de tutelle du service Agenda 21 – Ville durable.

[...]

«Si le sexisme est un obstacle majeur, le racisme, l’islamophobie, l’homophobie ou l’absence de statut légal constituent d’autres formes de discriminations», relève Marylène Lieber, professeure en études genre à l’UNIGE

[...]

Le Temps

Dans le clip de l’Oréal intitulé « Agissons ensemble contre le harcèlement de rue », seuls les Blancs sont des agresseurs

Dans le clip de l’Oréal intitulé : « Agissons ensemble contre le harcèlement de rue », ils ne montrent que des hommes blancs comme agresseurs alors que dans la vraie vie ça se passe autrement…

 

https://youtu.be/w7J5N4qfflk

 

Si avec ce clip vidéo vous ne vous apercevez pas de la « préférence étrangère » en France, c’est que vous ne voulez pas admettre la vérité qui dérange, à savoir que les migrants sont respectés, protégés et aidés par le Gouvernement Français…

Myjournal.fr


Rappels :

Epinglée pour ses tweets contre Israël, l’égérie voilée de L’Oréal au Royaume-Uni démissionne

L’Oréal choisit une mannequin voilée pour une publicité pour shampoing

Bavière : un Érythréen harcèle sexuellement une jeune Allemande, la police publie la photo d’un harceleur blanc

Traduction du tweet de la Police fédérale de Bavière :

« Un Érythréen de 31 ans, qui harcelait sexuellement une Allemande de 15 ans dans un RER […], a pu être arrêté par la police lors d’une opération de recherche. La police fédérale de Munich enquête. […] »

 

Via Fdesouche

Nouveau concept féministe à Lausanne : Le harcèlement par le regard

Dans son édition de lundi, le quotidien «Libération» consacre un article à la question du regard insistant comme une forme de violence sexuelle que peuvent ressentir les femmes. Sous le titre «Eye rape: le viol par le regard», l'auteure de l'article précise que le concept vient des Etats-Unis, mais qu'il est en passe de faire débat en Europe.

Pour preuve, la journaliste française prend l'exemple de l'application de la Ville de Lausanne, mise en service en novembre 2019, qui permet de signaler à la police tout comportement dérangeant à connotation sexuelle ou sexiste. La liste des nuisances comprend les «sifflements», «les bruitages, gestes obscènes, frottements», tandis que le «regard insistant» figure en tête.

[...]

Le Matin

Allemagne. Marla, 14 ans : « Les filles ne peuvent plus se déplacer librement à cause des soi-disant réfugiés » (Vidéo)

Marla, âgée de 14 ans : "Les filles ne peuvent plus se déplacer librement et sans inquiétude dans notre pays natal!"

 

https://youtu.be/MRJoTLA_pT4

 

Marla a "presque 15 ans" et fréquente une école privée à Cottbus.

Courageuse, elle raconte sa vie dans une petite ville.

Elle déclare qu'elle été harcelée sexuellement. Elle, tout comme ses amis, n'ose plus se rendre en ville. Selon Marla, c'est en raison de la présence "des soi-disant réfugiés". Ils ne se sentent plus en sécurité.

Elle affirme également que les filles ne s'habillent plus de manière trop audacieuse afin d'éviter d'être des cibles.

Marla a prononcé son discours le 21 août 2019 à Luckau dans le Brandebourg.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Frauenpanorama.de / 19vierundachtzig.com

Allemagne : Un magazine féministe dénonce les agressions sexuelles des migrants « Une société parallèle est en train d’émerger »

Emma est un magazine bimestriel féministe germanophone. Il a été fondé en 1977 par la journaliste féministe allemande Alice Schwarzer.

Malgré le nombre considérable d'articles au sujet des agressions sexuelles en France, en Allemagne et même en Suisse, nos médias romands refusent d'en parler. Cela démontre à quel point ces journalistes n'ont rien appris du Réveillon en Allemagne et n'ont qu'une seule obsession : défendre l'immigration de masse en Europe, quel que soit le nombre de victimes, même si cela se fait au détriment de nos enfants.

 

**********

 

Harcelées, insultées, pelotées: les femmes deviennent des proies faciles dans les piscines en plein air. Les auteurs de ces actes ? La grande majorité d'entre eux sont des migrants. Les maîtres-nageurs se plaignent : Depuis 2015, cela s'est intensifié.

Pendant longtemps, les politiciens et les médias n'ont pas voulu appeler le problème par son nom de peur d'être accusés de racisme. Mais cela ne fait qu'aggraver la situation. A présent, les maîtres-nageuses en parlent.

 

"Si vous n'appelez pas un chat un chat, vous ne ferez qu'exacerber le problème."

 

"Prends ton maillot de bain, emmène ta petite sœur et va au lac Wannsee !" C'est comme ça que la chanteuse Connie Froboess s'éclatait encore joyeusement dans les années 50. Aujourd'hui, elle ne pourrait plus le chanter ainsi.

"Les femmes sont massivement harcelées par les migrants. Les maîtres-nageurs sont insultés. De plus, il y a une forte propension à la violence et un manque de respect ! Une piscine extérieure doit être un lieu de détente et non un lieu de terreur !" Ce n'est pas n'importe qui qui le dit, mais Peter Harzheim, le président de l'association fédérale des maîtres-nageurs allemands.

Jamais auparavant autant de piscines extérieures n'avaient sonné l'alarme dans toute l'Allemagne. La nouveauté : des groupes entiers de jeunes hommes harcèlent les filles et les femmes, cherchent à provoquer des émeutes avec d'autres hommes et parfois même frappent.

Selon les statistiques, la police de Rhénanie-du-Nord-Westphalie identifie les auteurs comme étant des "jeunes hommes d'origine nord-africaine, arabe et turque". Heiko Müller, vice-président du syndicat de police de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, met en garde : "Une société parallèle est en train d'émerger dans les piscines en plein air - si nous ne prenons pas enfin des mesures plus sévères contre la violation des règles".

"Briser les règles" comme dans ce cas: Lors du dernier week-end de juin, un grand nombre de policiers a dû intervenir à deux reprises dans le Rheinbad de Düsseldorf pour mettre en sécurité les hôtes et les maitres-nageuses. Sur place, les fonctionnaires ont vu la scène suivante : un homme debout protégeant sa famille, entouré de centaines de jeunes hommes lui hurlant dessus.

Auparavant, ces jeunes avaient sauté par-dessus les couvertures et les baigneurs. Lorsqu'un père de famille leur a fait face, d'autres jeunes hommes se sont rangés du côté des fauteurs de troubles.

Au bout du compte, environ 400 jeunes hommes "d'origine arabe" ont harcelé les fonctionnaires, ont jetés des objets sur eux et les ont insultés. Du spray au poivre a également été utilisé. Le père de la famille est un Allemand d'origine turque. Seul le quotidien turc Hürriyet a mentionné cette information. Jusqu'à présent, presque toute la presse allemande considère toujours qu'il est correct de ne mentionner ni la nationalité de la personne harcelée ni celle du harceleur - bien que cela joue un rôle des deux côtés.

Le 26 juin à Gelsenkirchen, après une dispute entre deux jeunes Turcs dans la piscine extérieure du paradis du sport, un coup de couteau a été donné. Un homme blessé a été transporté à l'hôpital par le personnel de secours. Là, le jeune homme de 23 ans a été opéré.

Dans la piscine d'Essen, le 24 juin, un groupe de jeunes "méditerranéens" a attaqué deux maîtres-nageurs et une fille de douze ans. Selon une porte-parole de la police, le groupe avait provoqué les surveillants en éclaboussant d'eau les gardiens. Quand l'un des surveillants a demandé aux jeunes d'arrêter, les hommes sont sortis du bassin; l'un d'eux a frappé le surveillant au niveau de l'oreille. Un deuxième a également été attaqué physiquement. Puis le groupe s'est enfui de la piscine. En partant, l'un des hommes aurait donné un coup de poing au niveau de l'estomac à une fille non impliquée.

A Haltern am See, une bagarre de masse entre 20 personnes s'est produite le 26 juin dans la piscine extérieure. La nationalité des auteurs de ces actes n'est pas mentionnée. Mais le rapport de police indique : "Apparemment, des chaises et une poubelle ont aussi servi d'armes. Il n'a pas été possible d'effectuer une enquête exhaustive auprès de tous les participants sur place sans l'aide d'un interprète".

Dans les piscines extérieures de Bielefeld, Werl et Lünen, quatre baigneurs ont été frappés et envoyés à l'hôpital. Ici aussi, les voyous étaient issus de l'immigration.

Une autre liste aurait fait exploser ce texte [NDLR : Le texte serait devenu trop long car il y a trop de cas à évoquer] : celle des filles et des femmes harcelées. Dans de nombreuses piscines extérieures en Allemagne, elles font état de harcèlements et d'agressions sexuelles. Elles sont saisies sous l'eau sur et dans leurs parties génitales et au niveau de leurs poitrine, ou alors elles ont leur bikini arraché. Elles sont harcelées et filmées sous la douche. Les femmes qui sont couchées au soleil sont photographiées ou traitées de "putes". Même les petites filles sont harcelées.

De ce fait, les femmes et les familles évitent de plus en plus les piscines en plein air.

Spécifiquement les week-ends, elles quittent la zone par peur des agressions et en raison de l'atmosphère tendue. "Depuis 2015, il y a des problèmes dans nos piscines avec les jeunes migrants [NDLR : La date coïncide avec l'ouverture des frontières exigée par Merkel]. C'était un processus rampant. En attendant, on a l'impression que seuls les jeunes hommes d'origine arabe peuvent oser aller à la piscine extérieure", dénonce Peter Harzheim, qui décrit cette évolution désastreuse. Les municipalités essaient d'y faire face avec les services de sécurité. La Rhénanie-du-Nord-Westphalie examine actuellement la question de savoir si l'accès aux piscines devrait être restreint davantage et si une interdiction des couteaux devrait être introduite.

"La façon dont ces hommes traitent les femmes est inacceptable."

"Est-ce cela que nous voulons ? demande Peter Harzheim. "Une piscine extérieure dans laquelle des uniformes patrouillent ? Pour l'instant, il n'y a pas d'autre solution. Nous avons besoin de plus de soutien de la part de la police et des politiciens. Ces émeutiers doivent être réprimés plus sévèrement. Celui qui ne nomme pas le problème par son nom, ne fait qu'aggraver le problème!"

Pour avoir décrit ses expériences et celles de ses collègues féminines, le maître-nageur a systématiquement été catalogué à droite. C'est le cas pour de nombreuses personnes qui s'attaquent à des auteurs d'actes de violence issus de l'immigration.

Lorsque Markus Schnapka, le chef du département des services sociaux de Bornheim près de Bonn, a imposé l'interdiction des piscines en 2016 après des expériences désastreuses avec les réfugiés masculins qui étaient devenus agressifs, des critiques dévastatrices se sont élevées (EMMA rapporté en février 2016). Markus Schnapka, qui travaille avec les migrants depuis 1977, a été accusé de "racisme" par le Conseil pour les réfugiés de Rhénanie-du-Nord-Westphalie et par l'Alliance "Bonn stellt sich quer".

"Je ne tolérerai plus cette situation", déclare Harzheim, le maître-nageur expérimenté de 64 ans, originaire d'Olpe. Il y a un problème énorme ici dans les piscines en plein air d'Allemagne.

Depuis 40 ans, il se tient au bord des bassins. Il est père de deux filles et grand-père de plusieurs petits-enfants et il déclare : "Les femmes et les filles ne doivent pas être forcées de quitter les espaces publics".

Aujourd'hui, un maître-nageur sur deux en Allemagne est une femme. "Nous sommes fiers d'avoir fait entrer les femmes dans la profession. Mais récemment, une apprentie m'a dit qu'elle avait maintenant peur d'exercer. Cela ne devrait pas être le cas!", s'indigne Harzheim. Il poursuit : "La façon dont ces hommes traitent les femmes est inacceptable".

Ces problèmes touchent également l’Autriche et la Suisse. En Suisse, les maîtres-nageuses sont particulièrement visées par les migrants [NDLR : La presse romande n'a strictement rien voulu publier à ce sujet.]. Elles sont sans cesse harcelées, agressées, subissent des crachats. Elles sont insultées et méprisées.

"J'ai déjà vécu beaucoup de choses, mais ce qui se passe actuellement dans les piscines suisses n'est plus acceptable", déclare Michel Kunz, président de l'Association suisse des maîtres nageurs. "Le mépris pour les femmes a atteint un niveau tout à fait inacceptable." Là-bas également, les piscines sont équipées de dispositifs de sécurité.

Également en Autriche. A Vienne, un "bain pour femmes" est même actuellement à l'étude. Le parti "L'Autriche sociale du futur", qui participera aux élections de Vienne l'année prochaine, l'exige du moins. Selon le fondateur du parti, Turgay Taskiran, un médecin d'origine turque, les femmes musulmanes ne sont pas les seules à aimer cela [NDLR : En clair, il utilise l'agressivité des migrants musulmans, ses propres coreligionnaires, pour obtenir une piscine dédiées aux femmes musulmanes sous l'excuse de "protéger les femmes" au lieu de remettre en question la culture des siens]. Beaucoup de femmes viennoises auraient peur des "regards lubriques" et des agressions sexuelles dans la piscine en plein air. Un retour au 19ème siècle ?

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Emma.de

 

Rappels :

Carola Rackete : « Nous devons également accueillir les réfugiés climatiques. »

Suisse : Maitres-nageurs insultés, menacés, victimes de crachats « Ce sont surtout les hommes d’autres cultures qui posent problème »

Allemagne : des bandes de jeunes venus de France sèment la pagaille dans les piscines, le maire de Kehl lance un appel à l’aide

Kehl (All.) : 50 jeunes Nord-Africains « venus de France » prennent d’assaut une piscine publique et y sèment la pagaille

Pays-Bas : un groupe de jeunes Marocains sèment la terreur et agressent sexuellement des jeunes filles dans une piscine municipale

Munich : une centaine de jeunes « d’origine étrangère » provoquent une émeute à la piscine et menacent de poignarder un maître nageur

 

 

 

Allemagne : un groupe de migrants agresse sexuellement une femme et tabasse son ami. Les agents de sécurité sont également attaqués.

Un incident est survenu durant le festival folklorique de Weimar au cours duquel même des hommes de la sécurité ont été blessés.

Lors de la fête populaire aux Oignons de Weimar, plusieurs hommes ont harcelé une jeune femme (20 ans) samedi soir. Selon la police, ils l'ont entrainée au centre de leur groupe et l'ont harcelée. Lorsque l'ami de la femme (26 ans) est venu l'aider, il est tombé et a été frappé par les jeunes hommes.

 

 

Des agents de sécurité ont ensuite essayé de les aider et ont été attaqués. Ils ont été légèrement blessés. Selon la police, le groupe d'agresseurs comptait une vingtaine de personnes.

La police a retrouvé quatre suspects, trois Syriens et un Irakiens, qui ont été provisoirement arrêtés. Les suspects se trouvent de nouveau en liberté. Ils font l'objet d'une enquête  pour mise en danger de la sécurité publique. (...)

Bild.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

Munich : Un père allemand frappe l’Érythréen qui a agressé sexuellement sa fille. La police ouvre une enquête contre le père pour lésions corporelles.

Après le harcèlement sexuel de sa fille au Hackerbrücke de Munich, un homme de la ville d'Unterschleißheim s'est fait justice lui-même contre l'auteur de l'agression. A présent, il fait l'objet d'une enquête.

L'incident s'est produit le dimanche 30 septembre, vers minuit, à la gare du S-Bahn de Hackerbrücke : l'Érythréen a peloté les fesses de la jeune femme de 21 ans sous sa jupe ; au moment du crime, il était ivre. Puis le père de la jeune femme de 21 ans l'a frappé au visage avec son poing.

Un employé de la sécurité de la Deutsche Bahn a observé l'incident et a alerté la police. (...) Les policiers enquêtent actuellement sur l'homme de 28 ans pour harcèlement sexuel et sur l'homme de 42 ans pour lésions corporelles.

(...)

Merkur.de

Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Dans les clips officiels du gouvernement contre les violences sexuelles, l’homme blanc est l’agresseur. L’homme noir est le protecteur.

Commentaire du gouvernement socialiste français :

"Dans les transports en commun, il est possible d’intervenir pour faire cesser une tentative de violence sexuelle si vous vous sentez en sécurité. Vous pouvez adopter plusieurs stratégies : mobilisation des autres témoins, intervention ou diversion… Votre réaction doit être proportionnelle à la menace. "

 

 

 

Autre clip officiel, l'homme blanc est toujours l'agresseur:

 

 

L'homme noir au secours de la femme harcelée

 

 

Chaine Youtube du gouvernement français

Allemagne : Une jeune femme d’Essen en colère contre le comportement irrespectueux des hommes arabo-musulmans

Une jeune résidente d'Essen d'origine afghane veut donner libre cours à sa colère. Le déclencheur : Un adolescent de 17 ans d'origine arabo-libanaise qui a frappé une policière devant un bar à chicha sur la Kopstadtplatz.

Par la suite, la famille du Libanais est arrivée au commissariat et a menacé la police.

A présent, la résidente d'Essen communique sa colère contre certains concitoyens arabo-musulmans. La jeune femme veut rester anonyme.

Elle explique au site d'information WAZ : "Mes parents sont originaires d'Afghanistan. Mes frères et sœurs aînés sont nés en Afghanistan, mais ma carte d'identité désigne la ville d'Essen comme lieu de naissance. Je suis âgée de 31 ans." Elle a été éduquée de manière libérale. Elle n'est pas musulmane.

Dans un entretien avec WAZ, elle décrit plusieurs situations quotidiennes à Essen. Une fois, elle a été insultée par un Arabe parce qu'elle se trouvait encore dans la rue le soir et qu'il la prenait pour une musulmane. Cela l'a beaucoup énervée.

Elle a vécu une deuxième situation similaire:

"Une autre fois, un Arabe m'a prise pour une musulmane et ça m'a rendu malade:" Salope, Que fais-tu à te promener comme ça?". J'ai juste continué à l'ignorer. (...)

Derwesten.de / Waz.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Rappels :

Agression d’une policière à Essen : Le délinquant libanais a déjà été libéré. La famille est venue menacer les policiers au commissariat.

Allemagne. Munich : Des musulmans imposent leur prière en pleine rue et ordonnent à un Allemand de partir. (Vidéo)

Allemagne : 18 hommes attaquent le personnel d’un club avec des armes. On suspecte un gang d’Irak. (Vidéo)

Allemagne : Les clans arabes font la loi. La police avait décidé de ne pas réagir pour éviter de se faire traiter de xénophobe.

Allemagne : Un Somalien poignarde un homme parce que celui-ci lui refuse une cigarette « Allahu akbar. Je tue les chrétiens! »

Bahreïn : 2 femmes harcelées sexuellement dans une piscine et accusées d’indécence « Dans l’islam, les femmes doivent être pudiques. » (Vidéo)

Le Bahreïn est bien entendu un pays musulman. Ici pas d'Amnesty International ni d'officine d'extrême gauche pour pleurnicher. Evidemment.

 

**********

 

Relayée massivement sur les réseaux sociaux, une vidéo en date du 3 août montre deux jeunes femmes se faire harceler par des hommes dans un parc aquatique au Bahreïn dont le responsable estime que les deux victimes auraient dû éviter de se baigner.

«The Lost Paradise of Dilmun Water Park», un parc aquatique situé au sud du Bahreïn, a été le théâtre le 3 août d’une scène de harcèlement sexuel, rapporte le site Mashable. Filmée, la scène montre une dizaines d’hommes, hilares, en train de toucher à plusieurs reprises deux jeunes femmes vêtues d’un bikini. Cernées, celles-ci tentent alors non sans peine de quitter les lieux.

 

Militer pour les droits de l’Homme est un combat risqué au Bahreïn. Plus d'une vingtaine d'activistes risquent aujourd'hui la peine de mort.

 

Malgré les images, le responsable du parc aquatique a estimé dans un communiqué que les deux jeunes femmes étaient à l'origine de l'incident : «Il avait été conseillé aux femmes présentes dans le parc aquatique de ne pas fréquenter les piscines bondées. Les deux femmes ont donc clairement choisi de se baigner dans une piscine fréquentée par des célibataires, et se sont donc mises dans une situation risquée.» (Nd Christian Hofer : pour un musulman, la femme est coupable car les hommes ne peuvent évidemment pas se maitriser.)

 

 

 

Harcèlement sexuel ou pas ? Les internautes bahreiniens sont partagés

Très largement partagée sur les réseaux sociaux, la vidéo a suscité des réactions variées. De nombreux internautes bahreïniens ont fait part de leur indignation après avoir visualisé la vidéo. Parmi eux, certains appellent les autorités à faire preuve de sévérité envers les auteurs d'harcèlement sexuel.

D’autres, tout aussi nombreux, ont estimé au contraire que la tenue des deux jeunes femmes était indécente. Un internaute a publié une partie de la Sourate du Coran An-Nour (La lumière) dans laquelle Dieu incite les femmes à la pudeur. «Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qui en paraît et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines ; et qu’elles ne montrent leurs atours qu’à leurs maris.»

«Une prostituée ne merite que cela. Bravo à tous ceux qui l’ont harcelée», a écrit un autre internaute.

Malgré la vidéo, les deux victimes n’ont pas déposé plainte. Quant aux agresseurs, il se sont vu infliger un simple avertissement à l’issue d’une enquête menée par l’établissement en collaboration avec le ministère bahreïnien de l’Intérieur.

"Au royaume bahreïni, si tu es harcelée, c’est que tu l’as cherché"

S. Yousif Almuhafdah est un activiste de l’organisation des droits de l’Homme Bahrain Human Rights. Pour lui, cette vidéo illustre l’impunité des harceleurs à l’intérieur du royaume. "Ce n’est pas la première fois que cela arrive, dit-il. De nombreuses affaires de ce genre ont lieu dans les lieux publics comme les hôtels, les restaurants, les parcs... et très souvent le personnel ferme les yeux."

 

 

RT

Mashable.france24.com

Mia, 19 ans, se lâche sur son twitter : « 90% des mecs qui me harcèlent dans la rue et sur internet sont des noirs et des arabes »

La jeune Mia a fait une expérience sociale intéressante : révéler le nombre d’hommes avec lesquels elle a couché, sans maquiller la réalité comme une beurette qui se fait recoudre l’hymen pour parler en public. Et elle n’y va pas de main morte pour désigner racialement ses oppresseurs et leur hypocrisie !

mia

Un choix de société qui n’a rien de futile

Que vous approuviez ou non qu’une fille ait de nombreux partenaires, ce qui est sûr c’est que le harcèlement vient toujours les mêmes. Il est normal, dans une société libre, de ne pas approuver 100% de nos compatriotes. Ce qui est grave, c’est que la haine vienne toujours des mêmes frustrés sexuels de cité.

Les talents de nos « quartiers » montrent bien où aboutit le projet de « remoralisation » des mœurs par la religion. Des bandes d’hommes désœuvrés ayant peu ou pas accès aux femmes, avec des femmes voilées ou recluses chez elles. Quand on oppresse les femmes aux tenues trop courtes et aux mœurs trop légères, on finit dans une société pourrie où tout le monde est perdant : homme comme femme.

N’hésitez pas à saluer Mia sur son twitter pour son courage : désigner racialement ses oppresseurs n’est pas chose facile.

Source: Madame.suavelos.eu

Rappel:

Après avoir milité pour le multiculturalisme, Lausanne veut bannir le harcèlement de rue en utilisant… l’humour (Vidéo)

Après avoir milité pour le multiculturalisme, Lausanne veut bannir le harcèlement de rue en utilisant… l’humour (Vidéo)

Pour montrer que ces actes doivent appartenir au passé, Lausanne range le harcèlement de rue au musée. La ville a lancé lundi sa campagne de sensibilisation placée sous le signe de l'humour.

 

 

Afin de faire passer le message sur ce thème «extrêmement compliqué et extrêmement sensible», Lausanne a choisi le concept d'un fictif «Musée du harcèlement de rue (MdHR)», a expliqué Pierre-Antoine Hildbrand, municipal de la sécurité et de l'économie.

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

 

 

Genève. Vernier: Un élu PS mis à la porte pour harcèlement sexuel

Christian Hofer: A noter que les médias romands cachent soigneusement le nom et le prénom du socialiste et refusent de publier sa photo contrairement au PDC Yannick Buttet.

Pour le parti socialiste, "l'affaire est classée". L'habituelle hypocrisie de gauche.

**********

Un jeune conseiller municipal PS de Vernier aurait harcelé pendant un an sa voisine dans l'hémicycle, y compris pendant des séances du législatif.

Selon la présidente de la section locale Marie-Rose Pérez-Milano, l'authenticité des accusations ne fait aucun doute. «Plusieurs personnes nous ont relayé les faits. Nous avons des témoignages», affirme-t-elle.

(...)

Source et article complet

Harcèlement sexuel chez les Jeunes Socialistes : 8 femmes accusent le féministe antiraciste Thierry Marchal-Beck

Huit femmes brisent la loi du silence et accusent un ancien président du MJS d’agressions sexuelles. Un comportement répété entre 2010 et 2014, parfois en public, et que beaucoup de cadres connaissaient. Révélations.

De 2011 à 2013, Thierry Marchal-Beck dirigeait le MJS, l’organisation de jeunesse du Parti socialiste. Et c’est lui que huit femmes accusent aujourd’hui de faits pouvant être qualifiés de harcèlement et d’agressions sexuelles, entre 2010 et 2014. Huit victimes qui brisent la loi du silence, même si Libération a pu recenser au moins quatre cas supplémentaires. Dans leur grande majorité, ces faits sont prescrits et n’ont pour l’instant pas fait l’objet d’un dépôt de plainte, même si deux victimes y réfléchissent.

Toutes ont été militantes ou cadres du MJS. Quelques-unes le sont encore, à Paris ou en province. Pour certaines d’entre elles – une minorité –, cela a commencé par des relations sexuelles consenties avec celui que la planète socialiste appelle «TMB». Jusqu’au jour où il a dérapé. Contacté par Libération, l’intéressé se dit «sidéré» par l’objet de notre enquête, refusant de se livrer «à un exercice biaisé de questions-réponses». L’ancien dirigeant socialiste explique qu’il se tient «naturellement» à la disposition de la justice et se «réserve le droit d’engager toute procédure». Récit, chronologique, d’une ascension et d’une dérive qu’il appartiendra à la justice de démêle

Sur des motifs réels ou factices, le jeune ­dirigeant convoque la secrétaire nationale chez lui plutôt qu’au siège du PS. «J’ai dû le masturber pour m’en débarrasser. Il disait : «Comme tu as dit oui une fois, tu ne peux plus dire non maintenant.»»(…)

Mais il la suit jusque dans le couloir de l’immeuble. «Devant la porte de l’appartement, il me plaque contre le mur, commence à m’embrasser de force, raconte-t-elle. Je mens et je dis qu’un de mes cousins dort à l’intérieur. Il ne peut plus entrer. Pour ne pas que cela aille plus loin, je me sens obligée de lui faire une fellation. Je veux qu’il s’arrête, que son harcèlement s’arrête. Il part tout de suite après.» (…)

Pendant qu’il lui parle, d’un ton égal, Thierry Marchal-Beck ferme la porte subrepticement derrière elle et enlève sa ceinture, raconte-t-elle. «Sa voix n’a pas changé pendant qu’il faisait ça», témoigne aujourd’hui la jeune femme. Tout se passe très vite : «un quart ou une demi-seconde» plus tard, TMB a ouvert sa braguette. «Il prend ma tête, l’approche de son sexe pour m’obliger à lui faire une fellation. Je le repousse très fort, je l’insulte et je pars en courant.» Quelques jours après la scène, ils se recroisent et TMB «fait comme si de rien n’était», se souvient-elle, ­claquant même la bise à sa camarade. «Et après, comme d’habitude, il monte à la tribune pour dire combien il faut protéger les femmes parce qu’il est un grand féministe. C’était surréaliste», estime Diane six ans plus tard.(…)

Libération

Des féministes signent une tribune contre la pénalisation du harcèlement de rue. « Cela renforcerait la répression contre les migrants »

Agresser verbalement une femme est interdit dans tout espace public. Pourquoi dès lors viser spécifiquement un lieu fréquenté par des populations socialement et racialement stigmatisées ?

Depuis quelques jours, la question du harcèlement de rue est revenue sur le devant de la scène avec l’annonce de la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, de la préparation, en collaboration avec le ministre de l’Intérieur, d’un projet de verbalisation du harcèlement de rue (1). Quelques jours plus tard, quelques lignes dans Libération expliquaient qu’un groupe de travail allait être chargé de proposer une loi pour faire de ce problème une infraction et donc le pénaliser.

(…)

Ainsi, le problème de cette catégorie et plus encore des projets de verbalisation et de pénalisation est bien de circonscrire une catégorie spécifique d’actes jugés inacceptables - le harcèlement de rue - et une catégorie de personnes - les hommes des classes populaires et racisées - qui sera jugée particulièrement problématique. Or, on sait que les jeunes hommes des classes populaires et racisées subissent déjà, plus que d’autres, le contrôle policier et les violences des forces de l’ordre. On peut donc légitimement craindre que cette nouvelle infraction viendra renforcer cet état de fait.

Verbaliser ou pénaliser le harcèlement de rue ne répondra pas aux différentes formes de contraintes sur le corps et la mobilité des femmes, dans la rue et ailleurs. Constituer une nouvelle infraction ne fera que renforcer la répression et le contrôle des hommes des catégories défavorisées. En tant que féministes et chercheur.e.s sur les violences de genre, nous nous opposons à la pénalisation d’une question liée aux droits des femmes, qui servira à désigner quelles formes de sexisme sont illégitimes, et donc à maintenir dans l’ombre celles qui, commises dans les beaux quartiers et les grandes entreprises, restent légitimes et irrépréhensibles.

Elizabeth Brown Université Panthéon-Sorbonne, Paris-I Natacha Chetcuti-Osorovitz Centrale Supélec et Idhes-ENS, Alice Debauche Université de Strasbourg, Pauline Delage Université Lumière, Lyon-II, Eric Fassin Université de Vincennes-Saint-Denis, Paris-VIII, Claire Hancock Université Paris-Est Créteil, Maryse Jaspard Université Paris-I Panthéon-Sorbonne, Solenne Jouanneau Université de Strasbourg, Hanane Karimi Université de Strasbourg, Amandine Lebugle Ined, Véronique Le Goaziou Lames-CNRS, Marylène Lieber Université de Genève, Marta Roca i Escoda Université de Lausanne, Sylvie Tissot Université de Vincennes-Saint-Denis, Paris-VIII, Mathieu Trachman Ined.

Source