LETTRE OUVERTE A AMAR LASFAR, PRESIDENT DE L’ASSOCIATION MUSULMANS DE France, Recteur de la mosquée de Lille

Par Mohamed Hamdaoui, ce jour à 14h sur sa page facebook

 

Monsieur le président de l’Association Musulmans de France,

J’ai fait mes calculs : si je devais transformer mes singularités en autant de reflexes identitaires, je devrais au bas au bas mot être membre de 59 communautés différentes.

Je devrais en effet être membre de l’Association des musulmans de Suisse. Des Suisses musulmans. Des musulmans de Suisse laïques Des musulmans de Suisse laïques qui viennent malgré tout de rouler des œufs de Pâques dans le jardin parce que ça faisait plaisir aux gamins du quartier (et parce que les œufs étaient en action au supermarché du coin).

De l’Association des handicapés de la jambe gauche. De l’Association des citoyens de Suisse qui vont voter en glissant un bulletin dans l’urne. De celle de celles et ceux qui essaient de respecter les règles d’orthographe. De l’Association des humains qui trouvent normal de se brûler le bout des doigts au moment de manger des escargots au beurre sortis du four. De l’Association des bipèdes qui se réjouissent de revoir bientôt des abeilles. De la Communauté d’intérêt des esthètes qui adorent prendre le matin au petit-déjeuner une tartine à la confiture d’abricots du Valais en buvant une tasse de café bouillante. De l’Association des cinéphiles pour qui « L’Homme qui tua Liberty Valence » est un des plus sublimes westerns de l’histoire… Etc… Etc… Etc…

Si je devais transformer toutes mes singularités en autant de reflexes identitaires et autant de combats politiques, j’aurais besoin de multiples vies. Et deviendrais complètement cintré.

Il arrive parfois que des élèves de ma ville chargés de « faire une conférence » sur les politiciennes et politiciens viennent m’interroger. Je réponds à toutes leurs questions – même les plus intimes. Ils savent désormais que je vénère les chansons de Brassens et Gilbert Laffaille, que je suis capable de me damner pour un mille-feuilles et que je rêve un jour de voguer près de baleines. Ils savent aussi que je suis imperméable aux romans d’André Gide, ne suis pas un grand fan du lait de soja et persiste à penser que le but de Geoffrey Hurst lors de la finale de la Coupe du monde de football 1966 était valable. Mais je refuse inexorablement de répondre quand ces gamins me demandent si je crois en Dieu.

Parce que répondre à cette question (à laquelle j’ai soi-dit en passant apporté une sentence définitive il y a bien longtemps : c’est …), m’obligerait à me « situer dans un camp ».

Monsieur le président de l’Association Musulmans de France.

Je refuse catégoriquement que la religion, peu m’importe laquelle, soit instrumentalisée à des fins politiques.

Il y a plus de dix ans, sous prétexte d’obtenir des voix auprès de la « communauté musulmane » de France, Nicolas Sarkozy avait dragué votre chère UOIF (Union des organisations islamistes de France), une organisation notoirement proche des Frères musulmans. Dix ans plus tôt, Lionel Jospin avait laissé le Conseil d’État permettre au voile d’entrer dans l’école. Tous deux espéraient peut-être museler ces extrémistes, oubliant au passage que chaque fois dans l’histoire où des démocrates ont tenté de pactiser avec leur ennemis, ces derniers ont essayé de les bouffer. Deux renoncements graves de conséquences.

Monsieur le président de l’Association Musulmans de France.

Je refuserais d’être représenté par une personne comme vous qui juge utile d’exhiber lors d’un salon au Bourget des poupées représentant des gamines portant le voile, allant jusqu’à affirmer que « le voile est une obligation pour les femmes ». Lorsque je vois dans mon quartier des gamines emprisonnées dans ce linceul ambulant, je chiale. Pardon.

Je refuserais d’être représenté par une personne comme vous qui souhaite la création d’écoles privées confessionnelles, alors que l’école doit demeurer un lieu où l’on s’intègre en faisant l’acquisition du savoir académique, mais aussi du doute, de l’excellence et de l’échec, où l’on s’enrichit intellectuellement en acceptant aussi de se soumettre à certaines règles non négociables.

Je refuserais d’être représenté par une personne comme vous qui ose encore prétendre que Tariq Ramadan incarne un « courant de pensée » respectable. Ce sinistre Tartuffe, emprisonné faut-il le rappeler depuis exactement deux mois pour des faits d’une extrême gravité, et peut-être protégé ici en Suisse par certains parce qu’il incarnait pour eux une « certaine diversité », a donné durant plus de vingt ans une image désastreuse de celles et ceux qui portent un prénom à consonance musulmane.

Je refuse d’être représenté par des personnes comme vous qui prétendent vouloir représenter un « Islam de France » (ou d’ailleurs). Bordel. L’ « Islam de France », tout comme celui de Suisse, de Belgique, de Navarre ou de Tamanrasset, d’Adelaïde, de Baltimore ou Smolensk, de Montevideo, de Nador ou de Peshawar n’existe pas. Nous autres qui avons été baptisés selon les rites de cette religion, sommes et voulons d’abord rester des individus libres. Libres de pouvoir disposer de lieux de culte dignes de ce nom, mais libres aussi de ne pas y mettre les pieds. Libres de vénérer un prophète, mais libres aussi de le caricaturer.

Je refuserais d’être représenté par quelqu’un qui ne veut pas admettre qu’il serait enfin temps d’expurger du Coran certains passages indignes, pour pouvoir valoriser les autres qui sont lumineux, comme dans tous les autres livres qualifiés de saints par certains.

Il y a quelques jours, une octogénaire de Paris, ville que j’aime tant, a été assassinée semble-t-il en raison de sa confession. Juive.

Il y a quelques jours, un sale type a trucidé d’autres humains du côté de Carcassonne en beuglant « Allah ouakbar ».

En 2018. En 2018. En 2018.

Et vous, au même moment, vous avez réussi le triste exploit depuis le Bourget, lieu d’où se s’étaient envolés tant d’aventuriers en quête d’un monde meilleur, de tenir en notre nom des propos d’une crasse médiocrité.

Alors, Monsieur le président de l’Association Musulmans de France,

De grâce. Changez d’époque et de discours.

Nous n’avons plus besoin de discours victimaires. Nous n’avons plus besoin d’être infantilisés. Nous n’avons plus besoin de porte-voix.

Votre modèle de « pensée » Tariq Ramadan appelait jadis honteusement de ses vœux un « moratoire » sur la lapidation des femmes.

Permettez-moi de promulguer avec effet immédiat un oukase non négociable : « foutez-nous la paix ».

Laissez les humains que nous sommes dire à votre place ces évidences, puisque vous rechignez à les exprimer :

- Nous ne voulons pas de dérogations dans les écoles, les hôpitaux ou d’autres lieux publics sous des motifs religieux.

- Nous reconnaissons sans ambiguité possible la primauté des lois humaines sur toutes les règles qualifiées de divines.

- Nous condamnons donc de facto toutes les atteintes à cet ordre juridique, par exemple l’homophobie, l’antisémitisme, le sexisme ou toute autre atteinte à la liberté et la dignité humaine.

- Nous proscrivons le voile intégral et tous les autres signes de soumissions des femmes.

- Nous oeuvrons en faveur du développement d’un Islam laïque comprenant la promotion de mosquées au financement transparent, dirigés par des imams ayant suivi un cursus reconnu. Y compris bien sûr des femmes – quelle évidence.

- Nous refusons de qualifier systématiquement d’ « islamophobe » toute critique de la pratique de notre religion. Il n’y a donc pas lieu d’alourdir le Code pénal d’un délit ou d’un crime supplémentaire – la loi contre le racisme suffit largement.

Monsieur le président de l’Association Musulmans de France,

Nous sommes à un tournant,

Dans la plupart des pays arabo-musulmans, de plus en plus d’humains, en particulier de femmes, luttent pour leur liberté. Pour leur droit d’être des individus à part entière. Pour avoir le droit de ne croire en rien. A mon tout petit niveau, j’essaie d’être à leurs côtés. Fraternellement.. Je ne compte pas trop sur vous pour nous aider. Mais sachez qu’ici, nous ne céderons pas d’un pouce. Hors de question de laisser certains étendre leurs funestes métastases. Qu’ils soient imams, pasteurs, curés, ou autres rabbins.

Notre liberté n’est pas négociable.

Mohamed Hamdaoui ,

 

 

Démagogie du Matin Dimanche à l’égard de l’UDC / lettre ouverte

Par François Brélaz

Le 26 novembre 2016 le Matin Dimanche publiait l’article « Un flyer au contenu raciste met l’UDC dans l’embarras. » J’ai réagi avec une lettre de lecteur suite à cet article malhonnête dont le seul but est de dénigrer ce parti. Comme je le supposais, ma lettre n’a pas été publiée le dimanche 3 décembre. Alors, voici mon texte… 

Pas de quoi fouetter un chat… 

Par François Brélaz, ancien député UDC 

Faire du journalisme, c’est en certaines occasions, choisir un sujet mineur, le monter en épingle, le gonfler pour tenter d’en faire un évènement d’importance planétaire.

C’est ce qu’a fait votre collaborateur Lucien Christen dans Le Matin Dimanche du 26 novembre avec son article « Un flyer au contenu raciste met l’UDC dans l’embarras. »

Tout d’abord, il serait intéressant de savoir combien de flyers ont été distribués, dix ou deux mille, voire plus ?

La rédaction du Matin dimanche a avisé Mme Brunschwig-Graf, présidente de la Commission fédérale contre le racisme de ce flyer. Je considère cela comme la délation, dans la mesure où votre collaborateur savait par avance quelle serait sa réaction, l’indignation !

Le milieu des journalistes est un milieu de gauche et il est de bon ton de dénigrer l’UDC. N’empêche que c’est le seul parti avec la volonté de freiner une arrivée excessive de migrants dont beaucoup ne travailleront jamais…

 

Martine Brunschwig Graf, l’amie des musulmans

Lettre et questions d'Hani Ramadan à Martine Brunschwig Graf

Chère Madame,
Je n’aurais pas pris ma « plume » pour m’adresser à vous, tant vous me paraissez une personne insignifiante, si vous n’aviez eu l’outrecuidance de vous vanter de m’avoir « puni », il y a bien des années, pour mes propos sur des éléments du droit musulman. ( RTS le 15 novembre 2017 . L'invité-e de Romain Clivaz - Martine Brunschwig Graf, ancienne conseillère d'Etat genevoise.)
Car soit vous avez la mémoire courte, ce dont je doute ; soit vous versez dans une forme d’hypocrisie misérable, ce dont je suis à peu près certain.

Suite

Lettre ouverte à l’émission de la RTS « Les beaux parleurs » du 19 novembre 2017

 Un lecteur nous prie de publier :

Mesdames, Messieurs,

J’ai eu le douteux plaisir d’entendre l’émission « les beaux parleurs » de ce dimanche 19 novembre 2017. Si j’ai pu apprécier la belle résistance de Mme Marie-Hélène Miauton, cela n'a pas empêché la « féministe de service » d'y aller de son commentaire sur les fusils d'assaut « utilisés notamment contre les femmes » (sic!)

[Dans l'émission de ce dimanche, après 1:07:20, et notamment à 1:10:19.]

Dans le feu nourri de questions et remarques aussi sottes les unes que les autres, Mme Miauton a laissé passer cette énormité. En tant que tireur, moniteur et collectionneur, je ne peux m’y résoudre, même si ce faisant j’ai conscience d’accorder trop de considération à une jeune dogmatique qui, n’était-ce son ascendance, ne ferait jamais parler d’elle nulle part. Quelle tristesse, une jeunette née en 1985 et qui parle encore comme si elle avait brûlé son soutien-gorge en 1968 !

La seule utilisation d'un Fass90 « contre les femmes » à ce jour et à ma connaissance, concerne un tragique fait divers dans la région de Zurich en novembre 2007. Un jeune adopté d'origine équatorienne de 21 ans avait volé des munitions à l'armée, et abattu -à distance- une jeune apprentie coiffeuse à un arrêt de bus. Dire que ce drame est lié au fusil d'assaut serait aussi malhonnête que prétendre que c'est un drame de l'adoption ou de l'immigration.

Il convient de relever que les contrôles sont plus sévères désormais lors de la conscription ( https://www.lematin.ch/suisse/626-appeles-juges-trop-dangereux-pour-l-armee-/story/13514195 ). Parce que jusqu’à ce drame de 2007, c’est bien la gauche, socialistes en tête, qui s’opposait à la transmission du casier judiciaire pour des raisons de « protection de la personnalité ».

Il y a certes eu d’autres drames ou fusillades en Suisse : http://www.arcinfo.ch/articles/suisse/avant-daillon-une-chronologie-des-fusillades-en-suisse-252199

On constate, même si on est heureusement loin d’un échantillon statistique valable qui devrait contenir 300 cas au minimum, que les femmes ne sont pas spécialement plus victimes que les hommes. Et que malgré des informations parfois peu détaillées (notamment sur l’origine des criminels, on se demande bien ce que font les journalistes!), si les fusils d’assaut étaient massivement utilisés contre les femmes de ce pays, on le saurait.

Pour être concret dans mes reproches : vous n’avez aucune connaissance des armes, aucune culture armurière, vous êtes à 100 % dans les préjugés, parce que dans votre « milieu » (je veux dire : entre « élites » autoproclamées), il est de bon ton d’être contre les armes. Vous m’excuserez si j’ai la faiblesse de considérer que dans ce domaine votre déontologie journalistique laisse à désirer !

Je ne me fais pas d’illusions sur le fait que je n’aurai – une fois de plus – droit à aucune réponse ni excuse de votre part. Je vous écris peu, moins d’une fois par année, à chaque fois que vous dépassez vraiment les bornes. Je vous rappellerai cependant que dans moins de trois mois, le 4 mars 2018, le peuple souverain se prononcera sur l’initiative « no billag ». Ce n’est sans doute pas la première fois que vous entendez ces arguments, mais je crois plus que jamais qu’il est bon de vous les répéter, parce que manifestement vous n’avez encore rien compris, du haut de votre tour d’ivoire.

Je ne paye pas une redevance pour me voir imposer une propagande de gauche. Je ne paye pas une redevance pour me faire continuellement insulter en tant qu’amateur d’armes.

Soyez également sûr d’une chose : chaque fois que vous salissez intentionnellement les chasseurs, tireurs ou collectionneurs de ce pays, ce sont 20, 30 ou 50 personnes qui comprennent pourquoi il faudra absolument voter oui à « no billag ». Je suppose que d’une certaine façon je devrait vous remercier(?)

Vous vous passerez de mes salutations, j’ai pour habitude de saluer ceux avec qui on peut parler dans un respect mutuel. Un terme dont le sens semble vous échapper.

Jeferson (nom connu de la rédaction)

 

LETTRE DE PROTESTATION A LA RTS

Par Jean-Pascal CATTIN

Adressée en recommandé à :

RTS
Direction Générale
Quai Ernest-Ansermet 20
Case postale 234

CH – 1211 Genève

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Copie : Rédaction RTS /  TdG Sophie Roselli / Réseau social Facebook / Lesobservateurs.ch

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Genève, le 30 juillet 2017

Concerne: protestation pour traitement tendancieux et à charge de l’opération «Defend Europe»

Mesdames, Messieurs

Préalablement je me permets de me présenter : Jean-Pascal CATTIN, père de Monsieur Jean-David CATTIN co-Directeur de l’opération « Defend Europe » qui a fait l’objet d’un reportage à charge et malveillant dans votre journal du 19h30 le lundi 24 juillet écoulé.

Je suis en outre porteur du soutien d’un nombre particulièrement important de correspondants du réseau social Facebook indignés par la façon dont vous avez traité cette opération et plus particulièrement mon fils, Monsieur Jean-David CATTIN, un de ses principaux animateurs.

J’ai décidé dès lors de dénoncer votre parti-pris par la publication de divers articles sur le réseau social Facebook et cinq d’entre eux dont vous trouverez copie ci-joint ont reçu à ce jour, soit en moins d’une semaine, au total de 356 « likes » et 154 partages. Plusieurs personnes se sont jointes à moi pour me soutenir dans ma démarche parmi lesquelles d’honnêtes citoyennes et citoyens de tous les Cantons Romands ainsi que de l’Etranger ainsi que des personnalité politiques dont des Conseillers ou ex Conseillers Nationaux, des Grands Conseillers et des Conseillers Communaux.

Le sentiment général qui prédomine dans ces commentaires que je tiens à votre disposition, est la lassitude si ce n’est la colère engendrée par la présence toujours plus marquée de populations humaines complètement étrangères à notre forme de vie, n’ayant pas envie de s’intégrer, ne cessant d’avancer leurs exigences financières et religieuses et qui de surcroit ne respectent ni les autochtones ni un minimum de savoir-vivre qu’elles devraient pourtant observer au contact de leurs hôtes ou à tout le moins aux habitants des pays auxquels ils demandent assistance et asile préférant sans doute se comporter comme de véritables sauvages en pays conquis.

Ces inconvénients et incivilités les plus graves et grossières sont systématiquement passées sous silence par les médias officiels afin de pas compromettre, probablement pour des raisons humano-idéologiques, l’hébergement de ces réfugiés, et ce, quitte à créer un profond sentiment d’injustice envers celles et ceux des honnêtes concitoyens de ces pays européens habitués qu’ils sont à travailler dur et à respecter toute sorte de codes de conduites afin de permettre d’offrir à leur famille, aux leurs et à elles-mêmes un niveau de vie acceptable.

Pour seule réponse, les autorités politiques ainsi que leurs porte-voix médiatiques invoquent un soi-disant repli sur soi-même teinté de l’inévitable racisme pour mieux culpabiliser celles et ceux qui ne seraient pas d’accord avec cette politique de quasi envahissement de notre continent européen.

Ce genre de visions politiques est purement et simplement inacceptable de la part de médias vivant, tel que le vôtre, de redevances que paie votre public à qui on ne demande pas si la ligne politique dirais-je progressiste pour rester dans les normes de l’acceptable lui convient ou non. Votre rédaction ne devrait pas perdre de vue que votre journal télévisé n’est pas là pour promouvoir la propagation d’idées progressistes mais pour informer son public le plus objectivement possible de l’actualité. Après avoir consulté nombre de mes connaissances, les avis sont unanimes. La presse et les médias suisses sont trop souvent marqués à gauche ou pour le moins emprunts d’idées anti traditionalistes, et ce encore davantage que vos homologues français dont le journal Libération dont vous connaissez comme moi les orientations semble plus objectif dans sa transmission des infos.

Dans le cas d’espèce, le Téléjournal a d’emblée catalogué mon fils dans la catégorie des officiers plutôt indésirables alors qu’en réalité il était en voie d’obtenir grâce à ses qualités et compétences intrinsèques ses qualifications pour obtenir le grade de capitaine. De par ses prestations, il avait toutes les chances d’être retenu pour entrer à l’école centrale jusqu’à ce que des dénonciations issues probablement des milieux d’extrême-gauche de ce pays le dénoncent à sa hiérarchie pour idées considérées politiquement incompatibles. Je tiens à préciser que durant tout son parcours militaire il a toujours traité tous ses hommes d’une manière équitable qu’ils soient Suisses de souche ou étrangers récemment naturalisés et quelque fût leur religion. On lui a donc fait un injuste procès d’intention dirigé par un groupe d’officiers davantage terrorisé par l’extrême-gauche souhaitant son élimination tout en se situant dans la politique du moindre risque, vivant dans la crainte récurrente de voir leur budget s’amenuiser.

Pour donner bon poids à ces allégations ridicules, on a été chercher un incontournable « expert » au look de post-soixante-huitard assumé en la personne de M. Samuel Althofer en charge du Bureau de prévention de l’extrémisme et de la violence, souffrant de oikophobie et tristement rendu célèbre pour avoir déclaré que « la chemise Edelweiss est un signe d’exclusion ». Bien entendu après avoir entendu le verdict d’une telle sommité il était dès lors parfaitement inutile de donner la parole à la défense.

Bref voici où en est l’information de l’autoproclamée « notre télévision » qui pour le surplus n’a pas hésité à mettre en scène le spectacle avec le concours zélé de la journaliste de service chargée de présenter le journal. Tout y était, y compris l’expression catastrophée de cette dernière, qui, si elle avait eu à annoncer un véritable attentat djihadiste perpétré à Genève avec morts et blessés n’aurait sans doute pas pu se montrer plus démonstrative… Grotesque !

En un mot, il fallait retenir qu’en aucune façon il y a lieu remettre en cause ce qu’il faut bien appeler « des sauvetages » organisés de migrants par des ONG d’extrême-gauche et ne surtout pas aller contrôler ce qui se passe réellement entre les côtes de la Lybie et du nord de l’Italie au risque d’être inexorablement taxé de racistes, de fachos et de sans-cœur. A toutes fins utiles, je rappelle à votre rédaction que le principe de raccompagner les migrants à leur lieu de départ est justement étudié par une commission de l’UE ce qui démontre bien que la situation existante ne peut plus durer.

La RTS, à l’instar du Blick et du gratuit 20’ est tombée dans le piège de la facilité et de l’insulte convenue. Fait aggravant pour ces deux derniers, ils ont martelé des contre-vérités dans le but probable de faire du tirage, ce qui est tout simplement indigne d’un travail journalistique.

Si les médias en général ne font que perdre en crédibilité envers leur public, il ne faut certainement pas s’étonner. Pour parer à cela, il faudrait surtout inculquer à vos étudiants en journalisme les bases d’une transmission correcte des informations afin d’éviter le piège des commentaires particulièrement tendancieux, idéologiques et injustes. A défaut, la qualité y perdra au détriment de la tambouille, du convenu et pour certains d’entre-eux de la désinformation au détriment de l'information.

Je porte enfin à votre connaissance que cette lettre de réclamation sera comme convenu publiée sur le réseau social Facebook ainsi que votre réponse que vous voudrez bien me faire parvenir dans les meilleurs délais.

Recevez, Mesdames, Messieurs, mes salutations.

Jean-Pascal CATTIN

 

Lettre ouverte d’un Français qui n’en peut plus: Les travailleurs sont harcelés par l’Etat, les dealers immigrés agressent et bénéficient de l’impunité

Lettre ouverte

Monsieur Le Préfet,

Je vous écris en tant que citoyen mais aussi père, pour dénoncer des faits qui se produisent en toute impunité dans le centre ville de Grenoble, et plus précisément dans le quartier ******.

Pour mémoire et bien que tous ces faits soient relatés dans de nombreuses plaintes auprès des services de police, je reprends pour plus de clarté dans l’ordre chronologique.

Mon fils, W., est arrivé en novembre 2015 sur Grenoble pour reprendre un restaurant situé au sis au ****** .

Le restaurant avait été auparavant squatté par ce que le langage politiquement correct appelle des « jeunes », ce qu’on aurait qualifiés de « voyous » en un temps où l’on parlait un français sensé.

Mon fils a donc entrepris des travaux fort couteux de rénovation pendant des mois, alors même que ces « jeunes » issus du quartier mais aussi venant d’autres zones de non-droit réputées de Grenoble organisaient devant le restaurant une activité de deal de drogues, accompagnée des indispensables démonstrations de force, d’intimidations liées à l’activité nocturne de ce genre de business garant de la paix sociale selon vos services.

Comme ce renouveau d’activité commerciale semblait déplaire à cette population besogneuse issue de la mixité sociale, ces derniers s’en sont pris à mon fils à de nombreuses reprises, le menaçant de casser les vitrines, de mettre le feu au restaurant, ce qui fait que mon fils a du s’installer 24 heures sur 24 dans son établissement pour surveiller et prévenir en cas de mise en œuvre de ces menaces sous condition.

Certaines nuits, ces éléments de la diversité qui nous fait du bien vivre ensemble, sont allés taper dans la porte à plusieurs reprises alors même qu’ils se livraient à leurs activités favorites de trafic de drogue et de consommation de cannabis sur la voie publique, cela en parfaite impunité bien sûr, bénéficiant en cela de la quasi immunité accordée par les pouvoirs publics si on en juge les faits.

Depuis son ouverture au mois d’avril, mon fils ainsi que moi-même avons à de multiples reprises reçu des menaces de mort sous condition, des dégradations de véhicule, de vitrines, des menaces avec voies de fait par des individus armés dont au moins deux fois de possibles armes à feu.

Occasionnant non seulement des nombreux frais suites aux dégradations, non prises en compte par les assurances pour la plupart en raison des franchises et donc restant à notre charge.

Mais en plus des fermetures du restaurant alors en plein lancement, car il n’est pas possible d’être à la fois en train de porter plainte des dizaines de fois avec tout ce que ça sous-entend de délais d’attente quand on sait qu’en moyenne il faut à chaque fois trois heures pour porter plainte, plus le temps nécessaire perdu pour réparer les dégradations faites au véhicule ou au restaurant.

Si cela ne suffisait pas, mon fils a été victime de menaces de mort sous conditions, faits réprimés et normalement jugés auprès du Tribunal Correctionnel, de la part du même individu trafiquant notoire et dûment fiché par les services de police, identifié formellement et pourtant que l’on voit tous les jours se promener en toute impunité devant nos yeux dans le quartier.

Suite aux nombreuses plaintes de la part des habitants du quartier *****, se plaignant notamment des incivilités permanentes  mais aussi du bruit, une réunion s’est tenue à la mairie début juillet où une quarantaine d’habitants étaient présents ainsi qu’un responsable de la Police Nationale, un responsable du secteur Nord de la Police Municipale, une adjointe au maire, un conseiller municipal du secteur et le responsable de la sécurité de la mairie, quoique je ne sois pas sur de la dénomination exacte du poste de ce dernier vu que du point de vue de la mairie l’insécurité à Grenoble n’existe pas.

Et que nous vivons dans une métropole apaisée selon le maire Eric PIOLLE, nonobstant quelques meurtres mensuels avec des armes à feu ou des armes blanches, qu’il convient dès lors de classer dans la catégorie « arts et spectacles » sans doute… à moins que comme l’absence du port du casque à scooter cela soit une coutume locale.

Comme je viens de revenir depuis peu sur Grenoble vous voudrez bien excuser cette imprécision de ma part et la mettre sur le compte de mon ignorance des traditions dauphinoises.

Néanmoins, le bon sens me commande d’établir quelques comparaisons entre la situation que je qualifierais de « normale », celle de mon fils par exemple jeune chef d’entreprise à l’âge de 23 ans, et celle d’individus du même âge ou guère plus jeunes qui visiblement ne bénéficient pas des mêmes largesses de l’état en terme de d’imposition, de normes, et de bienveillance d’une administration pourtant si prolixe de formulaires et de paperasse.

Mon fils a investi non seulement des heures de travail, mais aussi des dizaines de milliers d’euros venant soit de sa précédente activité mais aussi il faut le reconnaître de l’entraide familiale, et il lui faudra certainement encore de nombreux mois pour avoir une activité pérenne, le temps qu’il se fasse une clientèle et si toutefois cette dernière n’est pas découragée par l’activité des dealeurs qui ont fait du quartier **** le GQG du dispatch de drogue pour le centre-ville de Grenoble.

Il faut dire que le stationnement certes légal mais bruyant d’une dizaine voir plus de « pépites de la nation » qui hurlent, braillent et cassent des bouteilles de verre juste devant le restaurant a découragé plusieurs fois des habitués de franchir ce tir de barrage pour y accéder.

Paradoxalement, comment justifier que dans le même temps où mon fils entreprend courageusement une première entreprise, que des dizaines de « jeunes » devant lui gagnent avec le trafic de drogue des milliers d’euros, sans payer ni impôts, ni charges sociales, ni CSG, ni RDS, ni CRDS, ni CFE, ni TVA, sans crainte d’une visite URSSAF, d’un rappel du RSI ni respect d’aucune norme légale ou d’hygiène.

Mais en plus font tout pour l’empêcher de travailler sereinement !

La réponse de l’état en la matière est tout simplement désespérante : de l’aveu même des policiers aussi bien nationaux que municipaux, non seulement disent qu’ils ne peuvent rien faire, mais en plus qu’ils ont reçu des consignes pour ne pas déranger ou provoquer les « jeunes » mis en cause.

Et d’aucuns dirent qu’ils n’oseraient jamais porter la main sur un voyou de peur d’être mis à pied et perdre les moyens de subsistance de leurs propres familles.

Mais aussi se plaindre du total manque d’appui de la part de leur hiérarchie ainsi que de décisions de justice totalement inadéquates qui consistent à relâcher les auteurs de troubles ou d’agressions avant même que les victimes n’aient fini de porter plainte.

Ainsi que du manque de moyen, mais sans volonté politique claire et forte soutenant sans ambages les forces de l’ordre il est évident que le problème se situe bien en amont et ne se limite pas à une question d’effectifs mais avant tout à une restauration du rapport de force et l’inversion de la peur : quand un policier a peur d’agir, il est évident que les voyous en profitent car ils sont très bien informés quand à l’impunité dont ils bénéficient.

En fait d’équité devant la loi, tout se passe comme s’il y avait une justice à double vitesse : d’un coté les gens qui respectent la loi, la paix civile, les biens privés et publics.

De l’autre ceux qui ne sont assujettis à aucune de ces obligations, et se sentent dégagés de toute forme de respect ou de devoir envers notre société.

Le message que vous (les institutions) envoyez est terrible : d’un coté une majorité de la population qui n’a que des devoirs et subit de plein fouet les conséquences de la tolérance zéro.

Le moindre kilomètre/heure dépassé sanctionné sans appel, le moindre retard de cotisations sanctionné par des amendes et pénalités, la moindre faute permettant de remplir le carnet à souches d’autant plus que les agents de l’état savent pertinemment que cette population respectueuse des lois et de l’état a peu de chances de se rebeller ou même de se montrer désagréable.

De l’autre, une population qui dégrade par plaisir ou par désœuvrement les biens publics et privés pour lesquels il semble qu’elle n’éprouve nul respect, et qui subvient de manière totalement illicite à ses besoins sans subir aucune des obligations légales et en toute impunité.

Le plus terrible est que cela semble être rentré dans les mœurs, quand on entend un responsable de la sécurité de la mairie de Grenoble déclarer devant quarante personnes, je cite textuellement, « le trafic de drogue tout le monde s’en fout ! »

Que faut-il comprendre ?

Que l’activité nuisible de certains emporte plus de droit que l’existence de ceux qui respectent les règles de notre société ?

Que faut-il croire ?

Que les politiques et l’état ont abandonné totalement ceux qui constituent le tissu économique local et qui supportent le principal de l’effort contributif ?

Que faut-il conclure ?

Que nous, les citoyens respectueux de l’état de droit n’avons plus notre place dans cette société qui nous abandonne au profit des éternelles populations à problème, pour qui depuis quatre générations on n’en finit pas de trouver d’excuses ?

15 000 entrepreneurs s’expatrient de France tous les ans parce qu’ils ne trouvent plus dans ce pays les conditions de vie nécessaires à leur épanouissement, faut-il que nous les suivions pour vous satisfaire ?

Que faut-il que je dise à mon fils ?

Que la France l’a abandonné ?

Que ce pays ne veut plus de lui ?

Que cet état le laissera toujours seul en face de problèmes de plus en plus nombreux, de voyous de plus en plus déterminés car convaincus de leur puissance par l’absence totale de réaction de l’état et de protection réelle des personnes et des biens ?

Au moins et à défaut d’avoir le courage d’appliquer les pouvoirs régaliens de l’état, ayez au moins celui de la franchise : si nous, entrepreneurs, sommes de trop dans votre pays, nous trouverons bien un autre pour nous accueillir.

Veuillez recevoir, Monsieur Le Préfet, l’expression de mes salutations respectueuses.

Noms connus de la Rédaction

Nos lecteurs nous écrivent. Lettre ouverte à Mmes Géraldine Savary et Ada Marra : la burqa et les féministes

Lettre ouverte à Mmes Géraldine Savary et Ada Marra, en réaction à leurs propos tenus dans un article sur la burqa et les féministes paru dans « Le Matin Dimanche » du 27 mars 2016

Force est de constater que les femmes – certaines femmes dirons-nous pour éviter de généraliser - sont les pires ennemis … des femmes. Les réactions de Géraldine Savary et Ada Marra sont typiques du discours dogmatique socialiste qui ne peut concevoir d’adhérer à une initiative proposée par un autre parti, et surtout pas un parti de droite ! Que diable, on reste socialiste ou on ne l’est pas. Même si le bon sens et notre bagage occidental judéo-chrétien devraient naturellement les amener à soutenir cette initiative, le dogme agissant comme une chape de plomb les en empêche. C’est ce qui s’appelle avoir des priorités partisanes. C’est pour le moins rassurant et ça donne froid dans le dos.
Contre toute attente, il est consternant – pour ma part, cela se rapproche de l’écœurement - de les voir minimiser, défendre, justifier certaines causes qui in fine annihilent leur propre genre : de l’excision en Afrique en passant par les unions forcées, les mariages de jeunes filles mineures, la polygamie, jusqu’à la servilité des femmes et le port d’oripeaux vestimentaires au Moyen Orient, voire dans l’ensemble du monde musulman. Vous trouverez toujours des femmes qui, sur de telles thématiques, proclameront que nous devons respecter les minorités et leurs coutumes rétrogrades voire barbares au nom de l’ouverture de nos propres sociétés sur le monde et de l’acceptation des différences culturelles. De véritables petits soldats Mesdames Géraldine Savary et Ada Marra, qui soutiennent bec et ongles que la burqa n’est ni un problème, ni une menace dans nos sociétés.

Pour en revenir à leurs doutes existentiels sur le port de la burqa en Suisse et, par extension, dans nos pays occidentaux, il serait opportun de préciser certains concepts. Tout d’abord, il n’est pas question de « burqa » uniquement. En Arabie Saoudite, je comprends qu’on parle d’abaya, en Iran de tchador et en Afghanistan de burqa (ça a le gout de la modernité ces noms, ne trouvez-vous pas ?). A cela s’ajoute le voile islamique recouvrant le visage des jeunes filles dès leur puberté. Malheur, elles deviennent impures ! D’autres termes doivent fort probablement exister, mais je ne prétends pas être familier avec les méandres de la mode islamique pour pouvoir me prononcer de manière exhaustive sur le sujet. Par contre, c’est immanquablement le même schéma : il s’agit toujours d’attributs vestimentaires imposés aux femmes, et uniquement à ces dernières, en vertu soi-disant de textes religieux. Je crois comprendre qu’il n’en est rien et qu’aucune loi n’oblige à porter quoi que ce soit. Il s’agit encore une fois d’interprétation faite par des hommes – et oui – qui considèrent finalement que, par nature, les hommes sont jugés comme des êtres lubriques et faibles, et les femmes comme des séductrices. En somme, être bon musulman exige donc d’éviter tout contact tentateur avec l’autre sexe. Inévitablement, les femmes sont ségrégées et portent sur leur corps la culpabilité de leurs pouvoirs tentateurs - quelle horreur. Et bien non, Mesdames les donneurs-de-leçon moralisatrices ! La ségrégation en vertu de votre sexe s’appelle du sexisme et le sexisme est une forme abjecte de racisme qui touche 50% de notre population. Parlez-en à Madame Brunschwig Graf ; elle est sensée défendre et embrasser la cause.

Ça ne marche pas comme cela dans nos sociétés occidentales du XXIème siècle, et nous ne voulons pas que de telles coutumes – sous couvert d’interdits et d’obligations religieuses moyenâgeux - puissent être tolérées et se répandre comme une trainée de poudre dans notre pays. Pour mémoire, les premiers soubresauts médiatiques ayant trait au voile islamique en France (fichtre, même pas question de burqa) datent du début des années 90, à une époque où le législateur hexagonal n’avait pas encore pris la mesure du problème. Voyez le résultat aujourd’hui ! Je ne peux que vous conseiller, Mmes Savary et Marra, de faire preuve de velléités de globe-trotteur et de visiter Riyad, Istanbul, Téhéran, Lille, Berlin, Paris et, bien évidemment, Bruxelles (notre président vient tout juste d’y faire un bref séjour instructif). Mais pas besoin d’aller si loin en définitive : passez juste la frontière genevoise et allez vous balader à Annemasse. Encore plus près me direz-vous ? Et bien, déambulez dans les rues lausannoises entre Renens et la gare centrale ou encore à Genève depuis Vernier jusque Cornavin. Ah, cette fois, c’est bien chez nous. Cela vous permettra de descendre quelque peu de vos chaires magistrales et d’être confrontées à la réalité du terrain afin de vous rendre compte du changement opéré en quelques années au sein de nos environnements citadins. Si vous n’êtes pas encore convaincues (malheureusement, cela se pourrait étant donné votre ostracisme dogmatique), et dans l’éventualité où vous seriez mères, posez-vous cette simple question : est-ce bien cela que je veux laisser à mes propres enfants ?

A bon entendeur,
Philippe Audergon
Vaud

 

Immigration – La nouvelle lettre ouverte du Général Martinez au Président de la République française

Ci-dessus le général Antoine Martinez

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Tout d’abord, s’agissant de ces migrants, qui sont pour l’immense majorité non pas des réfugiés, mais des clandestins économiques, ce sont pour la plupart des hommes jeunes qui ne sont pas tous issus de pays en guerre et qui se montrent déjà vindicatifs et menaçants.
Les médias se gardent bien de montrer ces scènes ahurissantes où ils manifestent déjà leur mécontentement par des comportements agressifs qui ne correspondent pas à ceux de réfugiés accablés fuyant le chaos.

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