Ada Marra a déposé une initiative à Berne pour que le droit à l’assistance non remboursable soit accessible à tous, y compris aux clandestins

Eric Felley pour 20minutes.ch – Interdire l’obligation de rembourser, pouvoir disposer de réserves suffisantes ou interdire le «chantage» au permis de séjour, la socialiste vaudoise veut sortir l’aide sociale de ses mécanismes de paupérisation.

[...]

Elle constate qu’en l’état actuel plus de 30% des personnes, qui pourraient prétendre à cette aide, renoncent [...]

Elle propose donc d’interdire l’obligation de remboursement (qui demeure dans certains cantons comme Neuchâtel ou Fribourg par exemple). [...] Elle propose enfin d’interdire la possibilité de traitements différenciés en fonction du passeport, du permis de séjour ou d’établissement dans un même lieu d’application (au niveau cantonal ou communal).

Article complet suivi de 227 commentaires:

https://www.20min.ch/fr/story/ada-marra-veut-redorer-le-blason-de-laide-sociale-474149105319

La majorité des commentaires montrent qu'Ada Marra récolte autant de détestation qu'elle en a pour notre pays.

La photo qui accompagne l'article semble être un portrait déjà photoshoppé d'Ada Marra lorsqu'elle était une collégienne, il y a 32 ans...

Suisse : le taux le plus élevé de chômage et d’aide sociale se trouve à Lausanne, avant Genève.

Plus de chômage, moins d'espace dans les logements et plus d'accidents sur les routes: dans de nombreux domaines, les villes romandes proposent une qualité de vie plus faible que les alémaniques. Mais d'autres indicateurs nuancent le constat.
(...)

Chômage plus élevé à Lausanne

Concernant les taux de chômage et d'aide sociale, il est le plus élevé à Lausanne, avant Genève et Bâle. Lucerne et Winterthour sont les mieux loties avec un taux de chômage à 2%.

En revanche, Lugano est la ville qui compte le moins de bénéficiaires de l'aide sociale à la retraite.

RTS / Bfs.admin.ch/bfs/fr

Nos remerciements à Victoria Valentini

Vaud : L’escroc français négocie sa peine de prison, puis s’évapore

Un Français qui vivait plutôt bien d’un business de sous-location a perçu 156’000 francs de revenu d’insertion. Et là, il est aux abonnés absents.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce Français de 49 ans était à l’aise: une fortune d’un demi-million de francs, une carte de crédit «gold» et de belles voitures. Pourtant, entre 2011 et 2016, il a réussi à obtenir 156’000 francs de revenu d’insertion (RI).

[...]

20min.ch

Les camarades réclament solidarité, assistance et logements subventionnés pour les “travailleurs non déclarés”

Débat RTS/Forum entre Bastienne Joerchel, directrice du Centre social protestant vaudois,

Christina Kitsos, conseillère administrative en ville de Genève,

Stéphane Rossini, directeur de l'Office fédéral des assurances sociales,

et Giuliano Bonoli, professeur de politiques sociales à l’Université de Lausanne.

*

Débat entre quatre gauchistes au pouvoir pour savoir si notre filet social est à la hauteur de leurs idéaux.
Bien entendu, les quatre arrivent à la conclusion que la crise du Covid a montré d’énormes trous dans ce filet, qui est trop complexe et ne tient pas compte des « travailleuses et des travailleurs » qui se trouvent depuis longtemps sur notre territoire sans avoir accès aux prestations sociales, comme l’aide sociale et le logement subventionné, alors que ces gens cotisent aux assurances sociales. Ces défaillances et lacunes de notre filet social seraient une bombe à retardement.

En effet, dans bien des cantons de Suisse romande, un clandestin peut se procurer un numéro AVS et y verser des cotisations (partielles), ce que l’usine du social leur recommande afin de pouvoir faire du forcing pour l’obtention du permis d’établissement. 

Les quatre intervenants déplorent que la Confédération transfère ces charges sur les cantons, les communes et des ONG. C’est le fonctionnement du système qui serait à repenser pour que plus personne ne passe entre les mailles du filet.

Les lacunes à corriger seraient d’offrir un meilleur accès à l’information, de rendre le système de l’assistance moins complexe, moins spécialisé, de diminuer les critères qui définissent les ayants droit. Il faut mettre en place un système qui s'adresse à tout le monde.

Christina Kitsos : Il faut rappeler que l’aide sociale est un droit. C’est un droit constitutionnel et ce n’est pas une assurance sociale.

Il faut distribuer plus d’argent et poser moins de critères. Durant le premier confinement, 70% des personnes qui faisaient la queue pour les aides alimentaires n’avaient pas d’aide sociale. Il faut travailler sur le non-recours aux prestations sociales. La loi sur les étrangers, avec permis « B » et « C », rend les gens réticents à demander de l’aide par peur de ne pas pouvoir renouveler leur permis.

Et les personnes en situation de demande d’asile disparaissent quand elles savent que leur demande d’asile sera refusée, néanmoins ces personnes restent dans nos villes. Il n’y a pas de filet social qui recouvre les besoins de ces personnes.

Les cantons reçoivent bien des aides fédérales, pour le logement et les primes d'assurance maladie, mais pas d’aides pour le reste.

Le  système social est en tension, on ne pourra pas continuer ainsi s’il y a une troisième vague. Ce système est un système à étiquettes, il faut être malade ou chômeur, etc. Être dans le besoin devrait suffire pour obtenir de l’aide.

Il y a un autre problème. Selon une étude, les  travailleurs au noir ne bénéficient pas d’une grande bienveillance dans la population. Les gens veulent une solidarité conditionnelle, ils ont le réflexe de se protéger contre les profiteurs. Cela doit changer. On parle souvent des profiteurs, mais on ne parle pas de ceux qui ne connaissent pas leurs droits à demander de l’aide.

La Chaîne du Bonheur a récolté des millions de francs, ce qui montre que l’esprit de solidarité est là. Mais la population doit comprendre que dans la durée, l’aide sociale, c’est un droit. L’article de la Constitution devrait être mieux connu pour que la population comprenne l’obtention de l’aide publique. Si on conditionne cette aide, si elle reste au bon vouloir de la population, cela va poser un problème éthique.

Non, il n’y a aucun risque que la solidarité s’émousse en Suisse.

Plus de 50% des personnes qui ont fait la queue aux Vernets pour l’aide alimentaire étaient des sans-papiers et malgré cela, la population genevoise a témoigné d’un vrai élan de solidarité. Il est également vrai que les gens ont été sensibilisés par l’opération Papyrus, cela a habitué les Genevois à la solidarité.

Il y a aussi les employés qui n'ont pas de contrat de travail écrit. Leurs employeurs ne respectent pas les lois, il y a des abus. Il y a aussi les gens qui sous-louent des logements pour se faire de l’argent sur le dos des plus précaires.

Le Covid nous permet une évaluation directe de notre système social. L’accompagnement du processus politique va être extrêmement intense ces prochaines années. Les lacunes donnent de bons arguments sur tous les thèmes évoqués et offriront un levier pour les faire aboutir. – fin du résumé

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/le-debat-notre-filet-social-est-il-a-la-hauteur?id=11773822

*

Cenator : En somme, c’est de grand reset que les quatre camarades nous parlent.
Bien entendu, à les croire, il y aurait seulement des abuseurs qui se feraient de l’argent sur le dos des clandestins, tandis que personne ne se fait de l’argent sur le dos des contribuables.

Selon ces quatre intellectuels, le monde entier pourrait venir s’installer en Suisse pour s’y faire entretenir car la Suisse est riche.

Et pour ces gens, si le système s’effondre, c’est qu’il était mauvais. C’est tant mieux : la gauche ne rêve que de cela depuis la révolution de 1917, même si chaque essai a donné des résultats horrifiants. Notre establishment marxiste est certain qu’il saura construire un système plus juste, sans nations, sans identité, sans capitalisme, plus égalitaire, un système où, par exemple, les quatre intervenants auront une place de choix pour bâtir ce monde nouveau.

*****

La carrière politique de Stéphane Rossini résume totalement ce qu'est la prise du pouvoir du marxisme culturel sur notre pays.

Rossini est la figure emblématique du PS en Suisse romande, avec sa contribution à la diffusion de la pensée unique dans le monde académique, dans la recherche. Il est également emblématique du putsch marxiste actuel, mené au pouvoir par les manipulations et méthodes de persuasion de nos médias.

Son portrait, c’est du copié-collé avec les autres politiciens pastèques que nous avons en Suisse. Ce sont ce genre de personnes qui ont mis en place la tyrannie idéologique qui domine notre vie de A à Z.

Rossini était également « Consultant indépendant dans le secteur des politiques publiques », c’est-à-dire qu’il livrait à l’État des rapports et donnait son avis contre rémunération. Ces éléments étaient financés par nos impôts, établis à travers une vision orientée au possible, mais néanmoins considérés comme INDÉPENDANTS.
Les universités de Suisse romande recrachent chaque année depuis cinquante ans ce genre d’intellectuels.

Ci-après, un résumé de la carrière de Stéphane Rossini.

Né en 1963 à Sion, membre du Parti socialiste, Rossini était directeur de l'Office fédéral des assurances sociales jusqu'à fin novembre 2020.

Rossini préside actuellement le conseil de Swissmedic, ainsi que la Commission fédérale de l'assurance-vieillesse, survivants et invalidité. [...]

Consultant indépendant dans le secteur des politiques publiques, en particulier des politiques sociales et de la santé, Stéphane Rossini est également chargé d'enseignement aux universités de Genève, Neuchâtel et Lausanne dans les domaines de l'administration publique, des sciences sociales et de la gestion de la santé.

Âgé de 55 ans, le Valaisan est licencié en sciences politiques et docteur en sciences sociales de l'Université de Lausanne.

Conseiller national de 1999 à 2015, Stéphane Rossini a notamment siégé à la Commission de gestion et à la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique. Il a également présidé le Conseil national en 2015.

[...]

https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-75704.html

Carrière professionnelle

De mai 1989 à mai 1990, il est assistant à l'université de Lausanne et à l'Institut de hautes études en administration publique (IDHEAP) de la même ville, situé à Chavannes-près-Renens, auprès du professeur Pierre Gilliand. Entre mai 1990 et juin 1994, il est chargé de recherche dans le cadre du Programme national de recherche 29, puis, entre juin 1994 et juin 1995, chef de projet de recherche à l'IDHEAP. Il est également directeur du diplôme de formation continue en travail social à l'université de Neuchâtel; il devient directeur-professeur du diplôme de formation continue en juin 1995.

Consultant indépendant au Conseil et recherche en politique sociale (CONSOC) à Haute-Nendaz entre 1995 et 2005, il devient chargé de cours  en 2001 à l'université de Genève puis, dès octobre 2006, enseigne à la Haute école spécialisée de Suisse occidentale de Lausanne et de Neuchâtel en tant que professeur-directeur du Master of Advanced Studies en action et politiques.

Carrière politique

En 1993, il est élu au Grand Conseil du canton du Valais, où il siège jusqu'en 1999, date à laquelle il est élu au Conseil national.

Réélu au Conseil National lors du scrutin du 23 octobre 2011, il est nommé président du Conseil national le 24 novembre 2014 […]

Le 3 octobre 2011, il annonce sa CANDIDATURE AU CONSEIL FÉDÉRAL pour succéder à Micheline Calmy-Rey […]

Source et extraits de : https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phane_Rossini

Vaud : Un Tunisien et une Allemande détournent 650’000 francs de prestations sociales.

À la tête d’une fortune immobilière et pécuniaire sur des comptes en Tunisie ou en Suisse au nom de ses enfants, un couple a touché quelque 650’000 francs de prestations sociales sur dix ans.

Victimes d’une dénonciation anonyme, le mari, Tunisien d’origine aujourd’hui âgé de 70 ans, et sa femme, d’origine allemande et d’un an sa cadette, ont été détenus 114 jours après leur interpellation en été 2015.

[...]

Durant toute cette période, le couple a déclaré zéro revenu, sollicitant tous les services de l’État pour obtenir des aides.

[...]

20Min.ch

Suisse : Un demandeur d’asile aurait financé l’Etat islamique avec l’aide sociale

Un membre présumé de l’État islamique aurait appelé à des attentats-suicides et aurait planifié des attaques terroristes. A présent, il doit comparaître.

Ce n'est pas le premier procès d'un membre présumé de l'Etat islamique en Suisse, mais peut-être le plus important : un Irakien de 52 ans qui vivait dans un centre d'asile suisse devra répondre devant le Tribunal pénal fédéral à Bellinzone à partir de mercredi prochain.

Le ministère public de la Confédération accuse l'homme d'avoir violé la loi fédérale sur l'interdiction d'Al-Qaida, de l'État islamique et de groupes apparentés et d'avoir participé à une organisation criminelle. En outre, lui est reproché la fabrication et le stockage de multiples représentations de violence, notamment propagandistes et cruelles, de commettre de multiples fraudes et de conduire une voiture sans autorisation.

L'acte d'accusation comporte près de 100 pages. Le site "Bluewin" résume les points principaux.

Qui est l'accusé ?

Selon le ministère public, l'accusé était membre de l'organisation terroriste interdite État islamique (EI), opérant à partir de la Suisse depuis 2014 environ, mais au plus tard à partir de la mi-2016.

L'homme vivait dans un centre d'asile et a fréquenté la mosquée controversée An'Nur à Winterthur. Selon le journal "Tages-Anzeiger", neuf hommes et trois jeunes gens des environs se sont rendus en Syrie, vraisemblablement pour y rejoindre le régime terroriste.

Selon le ministère public, l'accusé lui-même a agi depuis la Suisse. Son objectif était "d'établir un califat mondial en tant qu'entité étatique, basé sur les piliers d'une doctrine extrémiste violente, salafiste-jihadiste, dont l'utilisation de moyens de violence terroristes fait partie intégrante.

[...]

Des attentats terroristes prévus en Suisse ?

Le 10 août 2016, l'accusé aurait téléchargé sur son téléphone portable un document contenant des informations pour débutants sur les explosifs et les poisons, a déclaré l'accusation.

Le document de 216 pages était un cours de formation de l'Etat islamique, qui comprend sept leçons ainsi que des chapitres de questions et de discussion. Selon le ministère public, il s’adresse expressément aux personnes qui souhaitent commettre des attentats djihadistes contre des pays occidentaux.

Le document décrit l'équipement et les matières premières nécessaires pour la fabrication d'explosifs et leurs possibilités d'approvisionnement. Il contient également des informations sur la fabrication d'engins explosifs et/ou incendiaires non conventionnels et leur mode d'utilisation, à savoir les "objets susceptibles de provoquer des éclats et les détonateurs improvisés", indique l'acte d'accusation.

Le document contient des descriptions et des illustrations sommaires d'explosifs, tels qu'une voiture piégée avec un chargement de bidons d'essence et de bouteilles de gaz, qui est déclenchée par un téléphone portable.

Les 216 pages sont également destinées à contenir des conseils sur la manière de se comporter, notamment en ce qui concerne la confidentialité, afin d'éviter d'être découvert par les parents et les autorités, "tout en indiquant, entre autres, d'autres moyens d'obtenir les substances requises afin de ne pas attirer l'attention".

Le 14 avril 2017, l'accusé aurait reçu un message vocal d'un cadre de l'Etat islamique. Selon le ministère public, celui-ci a ordonné à l’accusé de préparer "d'autres choses" "là-bas", c'est-à-dire en Suisse, afin d'obtenir la satisfaction d'Allah et de faire appliquer la charia. Selon l'accusation, les "autres choses" sont des attaques terroristes.

Le prévenu a répondu qu'Allah le récompenserait par la gentillesse, qu'Allah le bénisse pour cette belle déclaration, si Allah le veut, avec la permission d'Allah. Ainsi, le prévenu a accepté l’ordre de préparer des attentats terroristes en Suisse.

L'accusé aurait soutenu l'Etat islamique avec de l'argent de l'aide sociale

À plusieurs reprises, l'homme de 52 ans aurait effectué des transactions afin de permettre à l'Etat islamique de poursuivre ses activités terroristes. C’est ce que le procureur lui reproche. Par exemple, il aurait transféré près de 3 500 francs suisses à un destinataire en Turquie pour permettre la libération d'un membre de l'Etat islamique.

En outre, le ministère public accuse le prévenu d'avoir soutenu financièrement un homme qui a planifié un attentat suicide au moyen d'un bus.

Le prévenu aurait reçu de l'argent d'un bureau d'aide sociale pour "financer ses moyens de subsistance et, si possible, ses activités régulières de soutien à l'Etat islamique", selon l'accusation.

Il avait "frauduleusement" présenté des faits au bureau d'aide sociale afin d'obtenir de l'argent qui ne lui avait pas été accordé.

Lors des réunions, il aurait nié à plusieurs reprises avoir des revenus et des biens à sa disposition, mais ses dénégations auraient été fausses. Étant donné qu’il s’agissait de biens immobiliers en Irak, cela n’a pas pu être vérifié. Entre février 2017 et mai 2017, il aurait reçu un soutien de près de 4400 francs suisses.

Les cellules dormantes ont-elles été construites ?

Selon le ministère public, l’accusé aurait ordonné à une femme d’organiser les «frères kurdes» afin de créer une cellule dormante de l’État islamique. À cette fin, l’accusé lui aurait ordonné de suivre un cours de charia de l’État islamique et d’apprendre à construire des cellules dormantes, y compris en ce qui concerne leur répartition géographique et l’attribution d'ordres, aux fins des objectifs de l’État islamique, qui comprennent notamment la perpétration d'attentats terroristes.

[...]

L'accusation exige que les frais de procédure soient partiellement à la charge de l'accusé. Sur un total d'un peu moins de 690 000 francs suisses, l'homme de 52 ans doit payer un peu moins de 327 000 francs suisses.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bluewin.ch / 24heures.ch (ancien article)


 

Rappels :

Un Irakien lié à l’Etat islamique opérait en Suisse : « Il avait reçu des instructions pour attaquer la Suisse. »

Suisse. Alerte d’attentat à Berne: Un Afghan de 21 ans arrêté dans l’Eglise du Saint-Esprit.

L’imam bosniaque naturalisé suisse voulait refaire l’attaque de Nice. Le couple planifiait également des attentats en Suisse.

Bienne: Maman fière de son fils jihadiste mort en martyr. Le père aurait participé à la planification d’attentats en Suisse tout en percevant de l’argent du canton.

6 mois de prison ferme pour la jihadiste qui était favorable à un attentat en Suisse. « Elle suivra une psychothérapie »

Un dangereux djihadiste genevois arrêté en Syrie. Il prévoyait de faire un attentat en Suisse.

Suisse : un jeune islamiste avait porté plainte pour s’opposer au contrôle de son téléphone portable

Suisse : Des sympathisants présumés de l’Etat islamique rapatriés. Ils n’ont pas été placés en détention.

 

 

 

Suisse : Malgré sa grande dépendance de l’aide sociale, une mère turque voit son permis de séjour renouvelé. Elle a déjà encaissé 685’000 francs.

Le Tribunal fédéral revient sur la décision du Service des migrations du canton de Zurich qui avait refusé de renouveler le permis de séjour d’une Turque vivant depuis 24 ans en Suisse.

 

 

Dans un arrêt publié mardi, la 2e Cour de droit public a estimé que l’intérêt privé de cette Kurde à rester en Suisse primait sur l’intérêt public à son renvoi. Depuis 2010, elle a certes reçu 685’000 francs de l’aide sociale.

Un montant qui doit être relativisé du fait qu’elle s’occupe seule de ses deux fils âgés de 10 et 11 ans et qu’elle reçoit à peine 200 francs de son mari dont elle est séparée.

[...]

TdG.ch


Rappels :

Genève : A l’abri des regards, Erdogan tient un discours anti-intégration et fait le signe des Frères musulmans. « Infiltrez la société suisse! »

Turquie. Basilique Sainte-Sophie : Le premier prêche musulman a été fait épée à la main et traitait de la conquête islamique

Musulmans à Francfort : « Nous devons faire de l’Allemagne un califat islamique »

Union Européenne : La Turquie va recevoir 500 millions d’euros supplémentaires pour financer les « réfugiés »

La Jeunesse Socialiste Genevoise diffuse sa haine de la Suisse lors du 1er Août : « La JSG ne vous souhaite pas une bonne fête nationale. »

Erdogan bloque la livraison de 200.000 masques de protection à destination de l’Italie

Erdogan menace de faire déferler 3,7 millions de migrants sur l’Europe

Suisse : la Police Fédérale finance des aumôniers musulmans sous prétexte de combattre l’extrémisme

Vaud : un Français touchait l’aide sociale mais roulait en Porsche et possédait une carte de crédit “gold”

Un Français touchait le revenu d’insertion, mais roulait en Porsche et avait une carte de crédit «gold». Il est désormais en prison.

[...]

Entre 2011 et 2016, le prévenu a perçu 156’000 francs de revenu d’insertion (RI). Or, tout ce qu’il avait raconté pour obtenir cette aide était faux. Une enquête a établi que l’homme possédait près d’un demi-million de francs répartis sur divers comptes bancaires. Grâce à cette petite fortune, il avait droit à une carte de crédit «gold».

[...]

20min.ch

Vers la fin du remboursement de l’aide sociale en Valais?

Constituante - Contrairement à la pratique actuelle, l’aide sociale ne devrait plus être systématiquement remboursée par ceux qui en bénéficient. C’est ce que propose la commission de la Constituante chargée des tâches sociales.

Aujourd’hui, l’ardoise reste. Les bénéficiaires de l’aide sociale qui retrouvent une situation financière relativement stable doivent rembourser les montants perçus. A l’échelle romande, seuls le Valais et Fribourg se montrent aussi intransigeants. «Nous proposons de changer de paradigme pour ne pas couler les plus démunis», explique Damien Raboud (UDC), président de la commission 6 qui traite notamment des questions sociales.

Si une personne retrouve un train de vie normal, elle ne doit pas faire face à une dette... [...]

Valais : À l’aide sociale, un réfugié iranien s’achète 28 voitures en neuf ans

Un Iranien a dissimulé la fortune qu’il possédait et l’a utilisée pour faire un commerce de véhicules. Il a été condamné pour ses abus.

[...]

Pas d’expulsion prononcée

[...]

La procureure Catherine Seppey a décidé de ne pas l’expulser, la majorité des délits ayant été commis avant l’adoption de la loi relative à cette mesure. «Détenteur d’un permis F, le condamné réside depuis des années en Suisse. Sa demande d’asile a été acceptée. Il a trois filles, dont une née en 2018. L’intérêt public à l’expulsion ne l’emporte pas sur les intérêts privés», souligne la magistrate.

20min.ch

Nos remerciements à Dany Riviera

Suède : crise de l’État providence

  • D'ici une génération, la population de Malmö, troisième plus grande ville de Suède, sera en majorité composée de personnes d'origine étrangère. Quelle pourra bien être l'intégration des migrants ? Quel groupe intègrera les autres groupes ?
  • De nombreux enfants nés en Suède apprennent mal le suédois et ne le parlent pas vraiment. Dans nombre d'écoles maternelles et primaires, il reste peu de personnes dont le suédois est la langue maternelle. Ce changement se déroule à un rythme rapide.
  • La société suédoise sera radicalement différente dans une décennie, mais l'État providence, qui a été le blason de l'État suédois dans le monde, sera lui aussi fondamentalement modifié. Il n'est pas exclu qu'il finisse par être supprimé.

[…]

Suite : Gatestone Institute

Genève : un étranger trompe l’Etat durant 12 ans et touche plus de 220 000 francs

Un retraité a perçu près d’un quart de million d’aide sociale, alors qu’il était propriétaire et n’habitait plus en Suisse.

[...]

Pincé grâce à la cellule enquête spéciale de l’Etat et arrêté en 2018, il a été condamné à 30 mois dont 15 avec sursis pour escroquerie par métier notamment. Il a aussi été expulsé pour 10 ans.

20Minutes.ch

 

Bienne : L’imam Abu Ramadan sous enquête pour fraude à l’aide sociale

Le prédicateur biennois, déjà accusé de discours haineux, aurait dissimulé des revenus de plus de 100'000 francs.

Deux ans après avoir tenu des propos haineux envers les juifs, les chrétiens, les bouddhistes et les chiites à la mosquée Ar’Rahman de Bienne, l’exilé libyen vit toujours à Nidau, juste à côté, et touche une rente AI avec prestations complémentaires. Mais sa situation est de plus en plus précaire.

Déjà visé par une enquête pénale pour discrimination raciale, il a aussi été dénoncé par la ville de Nidau pour fraude à l’aide sociale. De 2003 à 2017, l’ancien agronome a perçu 590'293.95 francs de prestations financées par le contribuable, comme le montrent nos recherches menées conjointement avec le magazine Rundschau de la télévision alémanique SRF.

[...]

24heures.ch

Les Suisses paient 1,56 milliard par an rien que pour les Érythréens

Chaque mois, les Suisses doivent payer 130 millions de francs pour les seuls Érythréens, soit 1,56 milliard de francs par an.

Pratiquement aucun Érythréen ne retourne dans son pays d'origine - sauf en vacances - bien qu'une vie belle et paisible soit possible en Érythrée. La raison est simple. Rien qu'en 2017, les faux réfugiés et les migrants économiques d'Érythrée ont reçu 1,56 milliard de francs en espèces et en prestations de la part du contribuable suisse.

Le fait que cela n'incite pas à quitter la Suisse, où coulent le lait, le miel et l'aide sociale, est évident et ne constitue pas une surprise. Plus de 90% des 37 102 Érythréens vivant en Suisse ont bénéficié de l'aide sociale en 2017, ce qui aurait coûté environ 1,5 milliard de francs. Et ce, malgré le fait que les personnes admises temporairement pouvaient facilement exercer une activité lucrative.

En juillet 2018, le Tribunal administratif fédéral a statué qu'il ne serait généralement pas déraisonnable de renvoyer des Érythréens. La décision du Tribunal administratif fédéral est néanmoins inutile

Cette décision est inutile parce que l'administration le conçoit différemment. Dès que les "faux réfugiés" ont des enfants et que ceux-ci vont à l'école, le personnel de l'Office fédéral des migrations considère cela comme un stade avancé d'intégration. Un retour en Érythrée (en dehors de la période des vacances) est donc perçu comme inacceptable.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Vimentis.ch

Nos remerciements à Info

 

Conséquence de l’immigration démesurée: risque accru d’aide sociale dès 46 ans déjà

Les conséquences nuisibles de l’immigration démesurée s’avèrent de plus en plus clairement. La pression sur les salariés nationaux a massivement augmenté, comme le confirment les chiffres publiés aujourd’hui de l’initiative des villes pour la politique sociale. Le risque de finir dans l’aide sociale a considérablement augmenté dès l’âge de 46 ans déjà.

Le dernier constat de l’initiative des villes pour la politique sociale est inquiétant: aujourd’hui des salariés âgés de seulement 46 ans sont de plus en plus souvent poussés vers l’aide sociale. Selon le rapport publié aujourd’hui, le risque d’aide sociale chez les 46 à 55 ans a passé de 4,9 à 5,7% durant les dix années écoulées.

Ce développement a une double conséquence: d’une part, les charges de l’aide sociale croissent constamment, d’autre part, la proportion d’assistés sociaux de longue durée augmente. Un chômage durable accroît le risque de maladie psychique qui, à son tour, rend plus difficile une réinsertion dans la vie professionnelle.

L’immigration démesurée menace la paix sociale

Selon le rapport de l’initiative des villes pour la politique sociale, ce développement s’explique surtout par le changement structurel et une formation insuffisante, voire inexistante. En revanche, ses auteurs passent systématiquement sous silence la cause première de ce développement, à savoir l’immigration démesurée. C’est elle qui pousse de plus en plus de travailleurs nationaux dans l’aide sociale. Selon une étude, les ressortissants UE/AELE sont presque deux fois plus souvent au chômage que les Suisses et tirent beaucoup plus d’argent des caisses de chômage qu’ils n’y versent. Alors qu’aujourd’hui déjà six bénéficiaires de l’aide sociale sur dix sont des étrangers, la forte immigration – le plus souvent de personnes mal qualifiées – via la libre circulation des personnes et l’asile se poursuit. Ce même rapport de l’initiative des villes pour la politique sociale relève pourtant qu’en raison de la numérisation le nombre d’emplois pour des travailleurs mal qualifiés diminue constamment.

Pour sauvegarder les institutions sociales et, surtout, la paix sociale dans notre pays, l’UDC demande que la Suisse gère à nouveau l’immigration de manière autonome et selon ses propres besoins. Grâce à l’UDC, les citoyennes et citoyens suisses pourront probablement dans sept mois déjà, soit le 17 mai 2020, trancher cette question en votant sur l’initiative de limitation.

source: Communiqué de presse UDC

Berne : Un Tamoul accusé d’abus sexuels sur mineures, faux dans les titres et d’abus d’aide sociale

À Berne, le fondateur d'une église libre est accusé d'avoir abusé de plusieurs fidèles, dont certaines étaient mineures au moment des faits. Il aurait également détourné des fonds.

[...]

De plus, le pasteur a depuis peu des problèmes avec les services sociaux de sa commune de résidence, Köniz (BE). Car bien qu'il travaille officiellement à plein-temps en tant que pasteur, le sexagénaire touche l'aide sociale. La commune a donc déposé plainte pour faux dans les titres et abus d'aide sociale.

[...]

20Min.ch

Asile en faveur de l’Afrique et du Moyen-Orient : La gauche manipule notre tradition humanitaire

Très peu de citoyens semblent aujourd'hui avoir la moindre idée que notre législation actuelle en matière d'asile a été créée sur la base de l'expérience de la Seconde Guerre mondiale. Voici le contexte :

"La notion de réfugié dans la loi suisse sur l'asile reflète ce contexte historique : elle se fonde sur la Convention de Genève du 28 juillet 1951 relative au statut des réfugiés qui, comme l'écrit le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), était "initialement limitée à la protection des réfugiés principalement européens immédiatement après la Seconde Guerre mondiale". Son champ d'application était clairement limité, tant sur le plan géographique que sur le plan temporel".

Il n'a jamais été question d'étendre le concept de réfugié au monde entier. Les "organisations d'aide", "l'industrie de l'asile", les politiciens verts de gauche et leurs alliés de l'administration et des médias nous font aujourd'hui croire que les "réglementations légales" n'ont jamais fait l'objet de discussions ou de votes démocratiques.

Voici encore une citation du rapport :

"La majorité des pays du Tiers-Monde a également un droit de facto à l'immigration - par le biais du système d'asile. Toute personne qui crie "Asile, asile" à Chiasso sera automatiquement intégrée dans une procédure. Il y en a parfois 1000, parfois 2000 ou - comme lors de l'année record 2015 - plus de 3000 par mois. Dans l'année, cela correspond tantôt au nombre d'habitants de la ville de Baden, tantôt à celui de Kreuzlingen ou même de La Chaux-de-Fonds.

Nous choisissons les mauvaises personnes - l'image produite montre que nous avons créé ce système d'immigration pour les personnes originaires d'Afrique ou du Proche et Moyen-Orient sans jamais vraiment en discuter, et encore moins voter démocratiquement. Contrairement à la libre circulation des personnes, le souverain n'a jamais dit oui ou non à une immigration massive en provenance d'Érythrée ou d'Afghanistan.

Au lieu de choisir ceux que nous voulons et qui sont capables de faire quelque chose, nous préférons les immigrants peu instruits de cultures étrangères qui sont souvent difficiles à concilier avec les valeurs locales. Il est plus difficile pour un Américain hautement qualifié de venir en Suisse que pour un Somalien analphabète. Une grande partie des immigrants demandeurs d'asile sont musulmans et font plus ou moins d'efforts pour respecter les coutumes et les lois qui s'appliquent ici. Ils viennent souvent de sociétés brutales où les attaques au couteau font partie de la vie quotidienne et où les femmes ne valent rien."

Il devrait être clair pour tout citoyen informé et rationnel que pour toutes ces raisons, il est grand temps d'abolir et de redéfinir le "concept de réfugié" et le statut d'asile pratiqué aujourd'hui.

Cependant, le lavage de cerveau [NDLR : de la part des milieux qui bénéficient de cette situation] est aujourd'hui avancé à un tel point qu'une telle proposition, ne serait-ce que parce qu'elle viendrait de l'UDC, serait immédiatement rejetée.

Reste à voir combien de temps encore ce système, pour lequel les citoyens les moins favorisés doivent casquer et qui poussera de plus en plus de communes au bord de la faillite dans les années à venir, va tenir.

J'espère que le plus grand nombre possible de lecteurs liront attentivement ce texte et le diffuseront. Si les citoyens continuent de voter à gauche et pour les Verts, la situation ne fera qu'empirer.

Walter E. Haefliger

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Weltwoche.ch

Nos remerciements à notre lectrice

 

Rappels :

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Suisse. Aide sociale : plus de la moitié des bénéficiaires sont des étrangers, principalement des réfugiés ou des requérants d’asile

Bien évidemment, une personne naturalisée est comptabilisée comme étant "suisse" dans ce genre de statistiques, ce qui laisse imaginer les chiffres réels.

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Le Conseil fédéral a dévoilé que plus de la moitié des bénéficiaires de l'aide sociale étaient de nationalité étrangère, principalement des réfugiés ou des requérants d'asile.

En 2017, 345'348 personnes ont perçu au moins une fois de l'aide sociale en Suisse. Quelque 57% étaient de nationalité étrangère [...].

Parmi les 195'900 bénéficiaires étrangers, les Erythréens arrivent en tête (32'864) devant les Syriens (17'220) et les ressortissants de Serbie, Monténégro, Kosovo (14'882). Afghans, Turcs, Italiens et Portugais dépassent la barre des 10'000 personnes.

[...]

20 Min.ch

Nos remerciements à Wilhou

Suisse : Les noms des bénéficiaires du social bientôt publics? La gauche s’étrangle.

La liste des personnes touchant des aides pourrait bientôt devenir plus facilement accessible. La gauche s'y oppose. Le Parlement devra en débattre cet automne.

Le conseiller national socialiste Cédric Wermuth (PS/AG) dénonce une décision «à s'arracher les cheveux». [...] «Les données devraient être utilisées à des fins d'analyse», affirme la conseillère nationale Barbara Steinemann (UDC/ZH). «Il s'agit de savoir pourquoi, par exemple, 90 % des Érythréens ont recours à l'aide sociale

[...]

20Min.ch

Zurich. Fraude à l’aide sociale: comment un couple turc a dupé les autorités

Ils roulaient en Audi Q5, avaient un travail et percevaient des indemnités journalières de la Suva. Ce couple turc a caché tout cela à la Commune et touchait une aide sociale. Le couple doit désormais répondre de ses actes devant le tribunal.

Le couple était assisté par les services sociaux d’Embrach (canton de Zurich) depuis novembre 2017. Le transporteur et la femme au foyer ont déclaré qu’ils ne disposaient pas de revenus suffisants et qu’ils avaient donc besoin de ce soutien.

[...]

Bluewin.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

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