Christian Hofer: Texte caractéristique d'un individu qui n'a rien appris de ce qui se passait dans les pays voisins, qui impose son dictat politique en trompant sciemment les lecteurs. Le vocabulaire limité et convenu de l'individu dénote son appartenance idéologique. On n'échappera donc pas aux techniques dont la gauche abuse: "idées reçues", "amalgames" et autres inversions.
La moitié des musulmans en Suisse provient de la guerre des Balkans. Leur présence a été voulue par les socialistes au nom "de notre tradition humanitaire". Dès lors, on a mis les Suisses devant le fait accompli, sans jamais leur demander leur avis. Et c'est aujourd'hui encore, la même technique qui est imposée via une immigration débridée.
Réponse de Grégoire Nappey? Il faut l'accepter!
Mais plus encore, c'est la même technique qui est appliquée partout en Europe, avec divers éléments récurrents:
1. Nier la problématique.
2. Prétendre que le danger provient des autochtones qui ne sont pas assez ouverts et les culpabiliser
3. Condamner médiatiquement les "islamophobes", ce qui laisse le terrain libre à l'immigration de masse puisque ceux qui osaient s'y opposer sont désormais traités de "racistes" par la population elle-même.
4. Mentir en déclarant que les victimes sont les musulmans pendant que les minorités sont persécutées dans les pays islamiques.
5. Mettre les autochtones devant le fait accompli et prétendre qu'il faut à présent "s'acclimater".
6. Passer sous silence la responsabilité de la gauche. Elle peut ainsi continuer son travail de sape et insulter le peuple autochtone, relativiser sa culture, détruire son histoire et sa religion.
7. Psychiatriser les individus encore récalcitrants en prétendant qu'ils sont déviants, qu'ils fantasment, qu'ils n'y connaissent rien.
8. Partir en guerre contre le terrorisme-qui-n'a-rien-à-voir-avec-l'islam et désarmer le peuple européen qui était pourtant opposé à cette immigration.
Quant à l'acceptation de "l'univers musulman dans notre paysage", cela démontre que cet individu ose nous donner des leçons alors qu'il n'est rien ni personne. Ici nous sommes encore en démocratie et aucun Suisse digne de ce nom n'acceptera un dogme qui le considère comme inférieur!
Bien évidemment, ce journaliste n'évoquera jamais les inégalités de l'islam vis-à-vis du chrétien. Il n'évoquera pas non plus l'interdiction de mariage entre un non musulman et une musulmane ni les lieux saints qui sont interdits aux non musulmans. Que l'islam criminalise l'apostasie, exige un abattage rituel écœurant, réserve aux homosexuels un sort épouvantable devraient faire réfléchir même les plus aveugles, spécifiquement les personnes de gauche qui prétendent tant défendre les plus faibles et les animaux. Visiblement, cela ne gêne aucunement Nappey.
Et ce personnage ose parler de... réalité.
C'est une manipulation commune, se présenter en personne tempérée, défendant la "vérité" face aux "impressions" d'une population pétrie "d'idées reçues". Heureusement, Nappey est là pour nous servir son texte faisandé, recyclage de textes maintes fois vus et revus issus d'autres politiciens tout aussi ignorants.
Enfin, il est très amusant de voir ce personnage parler de trahison et de racines, lui qui désirait brader notre hymne national pour du... football. Visiblement les bien-pensants ont la mémoire bien courte et pensent pouvoir duper le public comme bon leur semble.
Son texte est d'autant plus savoureux après le fameux reportage de Bernard de la Villardière qui démontre les faits sans complaisance, avec des allochtones qui méprisent la laïcité, et qui n'hésitent pas à revendiquer la charia. Mais c'est sans doute encore là le "fantasme d'une population sevrée d'amalgames".
Il faut croire que certains journalistes savent encore faire leur métier sans le mélanger à leurs affinités politiques. Quant aux autres, ils ne méritent que notre plus profond mépris!
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« Les chiffres, on leur fait dire ce qu’on veut », a-t-on parfois envie de répliquer à l’avalanche de statistiques que les politiciens et groupes de tous bords brandissent avant de les interpréter comme ça les arrange. Mais parfois aussi, les données peuvent casser les idées reçues et remettre certaines réalités à leur place.
En essayant de dresser le portrait-robot des musulmans de Suisse, c’est un peu l’impression que l’on a. D’abord, ils ne sont pas si nombreux que certains veulent le faire croire. Et puis, comparé à d’autres religions, l’islam semble être celle où l’on pratique le moins. Ou alors en privé.
On est donc loin des hordes exotiques se ruant chez nous pour y construire un minaret à côté de chaque clocher et imposer leur culte au détriment de nos habitudes chrétiennes séculaires. Une partie de l’opinion en est consciente, mais le ressenti commun est parfois flou ou biaisé, trop souvent mal influencé. (Nd Christian Hofer: Par contre, influencer les lecteurs par un article totalement partisan est tout à fait "louable".)
Il faut dire que les extrémismes et le terrorisme qui en émane plombent l’islam en général. Toute une religion est souillée par les paroles et les actes sanglant d’une minorité. Et la perception populaire s’en ressent fortement, peinant à faire la part des choses. (Nd Christian Hofer: Oui évidemment, les Yézidis et le génocide chrétien ne sont rien en comparaison des musulmans qui sont pointés du doigt... quelle inversion ignoble!)
Il est donc bon de s’attarder un peu sur ces chiffres, à l’occasion des assises aujourd’hui à Fribourg des musulmans de Suisse. Ils remettent (un peu) les choses à leur place. Ne pas raconter n’importe quoi en se basant sur des simples impressions, éviter les amalgames, accepter que l’univers musulman fasse aussi partie de notre paysage religieux, comme le judaïsme ou l’hindouisme par exemple : cela s’appelle regarder la réalité en face et l’accepter sans du tout trahir notre culture et nos racines spirituelles.
Source Nos remerciements à