Ada Marra : « La Suisse doit accueillir un nombre significatif de réfugié-e-s de Lesbos, et exiger la même chose des États membres de l’Union européenne. »

« Nous demandons au Conseil fédéral de faire venir en Suisse des personnes directement depuis les îles grecques, et d’utiliser les capacités des centres d’asile fédéraux et cantonaux, autant que les mesures Covid-19 le permettent », déclare Ada Marra, conseillère nationale (VD) et vice-présidente du PS Suisse.

 

 

« Surtout après cet incendie dévastateur, la Suisse ne peut pas rester inactive et garder les yeux fermés face à cette catastrophe humanitaire. En tant que bénéficiaire des accords de Schengen-Dublin située au cœur de l’Europe, elle a, avec les autres États européens, une responsabilité particulière. »

[...]

Sp-ps.ch / 24heures.ch


Rappels :

Lausanne, la ville aux 4 milliards de dettes, réclame sa part d’incendiaires de Moria

Allemagne : Les Verts et la gauche veulent accueillir tous les migrants de Moria

Allemagne : manifestations pour accueillir des migrants du camp de Moria, détruit par un incendie déclenché par… des migrants

La seule réponse du PS face aux conséquences du Covid-19 : Taxer!

Le président du parti socialiste, Christian Levrat, veut faire payer la facture du nouveau coronavirus aux riches. "La crise doit être payée par ceux qui ont réalisé des profits pendant la crise", déclare-t-il vendredi dans la presse.

"Nous voulons créer un fonds alimenté par une taxe de solidarité", explique le conseiller aux Etats fribourgeois dans un entretien diffusé par les journaux alémaniques du groupe de presse Tamedia. Les plus hauts revenus devraient être soumis à un supplément de 10% d'impôts fédéraux pendant un certain temps, ajoute-t-il.

[...]

Lfm.ch


Pendant ce temps, nos élus octroient 11 milliards aux "pays en voie de développement" sans aucun garde-fous, alors que nous avons besoin de cet argent.

Comment se fait-il qu'il n'y ait aucune votation à ce sujet?

Rappels :

Suisse: 11,11 milliards de francs entre 2017 et 2020 pour l’aide au développement.

Pour la période 2021-2024, nos élus ont décidé d’octroyer plus de 11 milliards à l’aide au développement

Suisse : Les demandes d’asile ont presque doublé en juillet

Suisse : La coprésidence du PS recevrait 80’000 francs de rémunération

Si Mattea Meyer et Cédric Wermuth sont élus à la coprésidence du parti socialiste, ils recevront chacun une indemnité de 35’000 francs plus 5000 francs de frais, a expliqué samedi M. Wermuth à la «Aargauer Zeitung». L’élection doit se tenir à la mi-octobre.

Suisse : Candidat du PS, il pourrait être le premier Kosovar élu au Parlement « pour y faire entendre la voix des étrangers »

Comme Xherdan Shaqiri dans l'équipe nationale, Arber Bullakaj rêve d'entrer au Conseil national pour y faire entendre la voix des étrangers.

Naturalisé à 19 ans

Dans «Blick», ce candidat du Parti socialiste (PS) dit «vouloir donner une voix aux migrants et aux migrantes. Près d'un tiers de la population en Suisse n'est pratiquement pas représentée au Palais fédéral. C'est très regrettable. Dorénavant, nous aurions notre mot à dire». Venu en Suisse à l'âge de huit ans, il a demandé sa naturalisation à 19 ans, devant emprunter à ses parents les 3500 francs pour obtenir son passeport. Il s'est établi à Wil (SG).

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Le Matin

Nos remerciements à Dany Riviera

 

Socialistes vaudois: la règne du népotisme

Alexandre Berthoud, vice président du PLR: "Nous avons de nouveau affaire à cette petite inteligentsia socialiste" - au sujet de la nomination de Benoît Gaillard à la présidence du conseil d'administration de la CGN (24H, 31.1.2018)
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Caroline Christinaz
vendredi 1 février 2019

Vaud -  L’entrée en fonction de Benoît Gaillard à la présidence de la CGN fait tiquer les partis de droite. Son élection pose la question d’un conflit d’intérêts compte tenu de l’accession potentielle de son épouse, Rebecca Ruiz, au Conseil d’Etat vaudois

«Il ajoute une corde à son arc», affirmait 24 heures le 19 janvier. Le socialiste Benoît Gaillard est, depuis le 1er janvier, le nouveau président de la Compagnie générale de navigation (CGN) sur le Léman. Un regard frais y sera apporté, promet l’ancien collaborateur personnel de la ministre vaudoise des Transports, Nuria Gorrite [...]

Selon des informations de La Liberté relayées dans Le Courrier, ce nouveau mandat «représente un gros 40% pour une rémunération estimée à 50 000 francs». Malgré sa fascination avouée dans les colonnes de 24 heures pour «les machines à vapeur que l’on peut voir à l’intérieur des bateaux», Benoît Gaillard n’a jamais navigué. [...]

Le canton, principal actionnaire de la CGN

Ce qui dérange, c’est le potentiel conflit d’intérêts que suscite la candidature de son épouse Rebecca Ruiz, socialiste également, au Conseil d’Etat. Sachant que le canton de Vaud est le principal actionnaire de la compagnie de navigation CGN, l’élection de sa femme, considérée par ailleurs comme favorite à la succession de Pierre-Yves Maillard, incitera-t-elle Benoît Gaillard à démissionner de sa toute fraîche fonction? Ou le slogan du PS «Pour tous, sans privilèges» serait-il usurpé?

Lire aussi: Rebecca Ruiz en favorite pour le Conseil d’Etat vaudois

[...] «Nous avons de nouveau affaire à cette petite intelligentsia socialiste. En cas d’élection de Mme Ruiz, cette nomination posera un problème. Il ne peut pas y avoir des rapports de hiérarchie entre conjoints», invoque le vice-président du PLR, Alexandre Berthoud, sur le réseau social.

[...]

Accusés de copinage

Du côté de l’UDC, les réactions sont plus virulentes. Sur Facebook, Yohan Ziehli, président des Jeunes UDC vaudois, publie une vidéo choc sur fond de musique anxiogène qu’il intitule «Le Parti socialiste vaudois ou les petites promotions entre amis». Tout en accusant la gauche de copinage, le clip évoque les liens entre le milieu des transports publics et le PS.

Des condamnations qui exaspèrent Jessica Jaccoud, la présidente du Parti socialiste vaudois: «Ces élections dépendent d’une décision souveraine du Conseil d’Etat [...]

Egalement atteint jeudi, Benoît Gaillard déplore l’aspect insultant de la vidéo des Jeunes UDC. [...]

Source : Le Temps

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La candidate socialiste Rebecca Ruiz a bénéficié d’un contrat de maîtresse secondaire alors qu’elle n’a jamais enseigné. C’est la cheffe du département de la formation, sa collègue de parti Anne-Ccatherine Lyon, qui en a décidé. Ce contrat effrite la transparence budgétaire et flirte avec la notionde copinage.

Du côté des transports publics, l’ancien président du PS lausannois, Benoît Gaillard, qui avait débuté au poste de collaborateur personnel de Nuria Gorrite, vient d’être propulsé à la tête de la CGN,, département de la même Nuria Gorrite, socialiste.

Transports publics toujours. c’est la présidente du PS Vaud, Jessica Jaccoud, qui a repris l’administration de la compagnie de chemins de fer NStCM, dans le département de Nuria Gorrite.

Citons encore le mari de la dernière conseillère d’Etat, Cesla Amarelle, d’abord bras droit du socialiste Pierre-Yves Maillard, puis nommé directeur financier du CHUV, par un ministre socialiste, et déplacé au conseil d’administration de l’hôpital fribourgeois à l’élection de sa femme.

En plaçant des proches à des postes très bien rémunérés, le parti socialiste obtient une part de leurs revenus, qu’il peut utiliser pour ses campagnes politiques. Cette part provient en partie de vos impôts. Le parti socialiste dispose de TROIS FOIS plus d’argent que son opposant Pascal Dessauges pour la campagne au Conseil d’Etat vaudois.

Marre de la politique des petits copains ? Pensez-y avant d’aller voter.

Source : Faceboook - Yohan  Ziehli

Les socialistes suisses attaquent Trump, Poutine et Erdogan pour contrer l’UDC

Erdogan se trouve aux antipodes de la droite patriote suisse puisqu'il vise l'islamisation de l'Europe, aidé en cela par le multiculturalisme issu de l'idéologie de la gauche.

A contrario, s'agenouiller devant des juges étrangers ne pose aucun problème à ces socialistes.

 

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Pour lancer la campagne contre l'initiative de l'UDC, le PS sort une affiche provocatrice où elle appelle à une Suisse qui résiste aux trois autocrates Trump, Poutine et Erdogan.

Valérie Piller Carrard (PS/FR):« Dans leur politique, ces trois présidents affaiblissent la protection internationale et le multilatéralisme. (...)

Le Matin

 

Nos remerciements à Info

 

Rappels :

Suisse: Le National serre la vis aux mosquées. Simonetta Sommaruga: « C’est de la discrimination. »

Berne. Mohamed Hamdaoui, socialiste: « Il ne faut pas surveiller systématiquement les imams du canton. Ce serait de la discrimination. »

Genève. La loi sur la laïcité: Les féministes crient à la discrimination envers les musulmanes voilées.

Pendant que Sommaruga désarme les Suisses, la Confédération offre l’asile à 30 individus à risque.

Attentat islamiste en Suisse: Sommaruga ne veut même pas expulser les terroristes!

Simonetta Sommaruga flashe sur un drapeau suisse confectionné avec des tissus du monde entier, symbole du multiculturalisme.

Terrorisme: Le Conseil fédéral refuse une mention pour lutter contre l’islam radical « Ce serait discriminatoire. »

Ambiance chalet au Parti socialiste. La chronique d’Yvan Perrin

Dans son magistral ouvrage "Le Prince", Machiavel suggère à celui pour qui il écrit de faire exécuter ses basses besognes par quelqu'un d'autre afin de ne pas être mis en cause si les choses tournent mal voire puisse sacrifier son séide en cas de besoin. Manifestement, Christian Levrat, président du parti socialiste suisse a de bonnes lectures et fait donc donner son chef de groupe parlementaire à Berne, le Vaudois Roger Nordmann, pour rappeler les usages élémentaires à la Jeunesse de leur parti. On savait la présidente Tamara Funiciello turbulente, prête à bruler son soutien-gorge pour la cause, mais l'activisme échevelé de la dame et de ses troupes ne faisait qu'irriter en privé les hautes sphères qui subissaient la fougue de la jeunesse.

Aujourd'hui, comme nous le conte Le Matin du jour, il en va tout autrement. Le rejet de Prévoyance 2020 le 24 septembre dernier a profondément meurtri le parti à la rose dont le projet était porté par son Conseiller fédéral Alain Berset. Pour ajouter à cette grande douleur qu'ils ne gardent plus muette, les camarades estiment que leur jeunesse a joué un rôle prépondérant dans la défaite, chose qui passe mal. Roger Nordmann accuse ainsi Dame Funiciello de n'avoir pas pris au sérieux la responsabilité qui était la sienne durant la campagne pour avoir été "idéologiquement aveuglée" !

On peut le croire sur parole, Roger Nordmann s'y connait en aveuglement idéologique, lui qui ne s'est jamais départi de ses œillères roses. Pour notre homme, lorsque la section mère s'est prononcée démocratiquement, les jeunes ne doivent pas s'y opposer. Soulignons le terme démocratiquement qui a une certaine importance, manifestement au sens où l'entendait la défunte Allemagne de l'Est. Le chef de groupe poursuit, accusant sa jeunesse d'avoir l'esprit brouillé par l'idéologie, par exemple avec la proposition de la semaine de 25 heures, idée catastrophique de la bouche même de Roger Nordmann. En clair, au parti socialiste, la jeunesse colle les affiches sur lesquelles trônent les pontes et se tait. Hélas, notre homme rêve tout éveillé.

Tamara Funiciello ne manque pas de répartie, qui lui conseille "de mieux utiliser son temps à du travail de contenu" plutôt que de jouer au papa de la Jeunesse socialiste. Merci pour lui, le voici chaudement habillé pour l'hiver. Manifestement, la mise au pas en vue d'éviter les couacs prévisibles durant la campagne pour les élections fédérales 2019 semble assez mal engagée. Les jeunes auront au contraire à cœur de ringardiser leurs anciens en lançant une foule d'idées toutes plus saugrenues les unes que les autres, propositions dont la vieille garde devra se distancer sans avoir l'air de désavouer la relève. Bonne chance !

Autre sujet de mécontentement pour Christian Levrat, les Femmes socialistes donnent elles aussi de la voix, exigeant d'ores et déjà que la personne qui lui succèdera à la tête du parti soit une femme. Envisager le départ du Grand Chef, remarquable crime de lèse-majesté dont souffre silencieusement l'intéressé. Il supporte mal que l'autorité qu'il estime sienne soit remise en cause par des gens manifestement incapables de saisir sa pensée complexe comme on dirait chez Emmanuel Macron. Sa couronne de politicien le plus influent de Suisse semble vaciller puisque l'influence en question ne convainc plus guère au sein de ses propres rangs. C'est en chef dont la succession se prépare que Christian Levrat va conduire les prochaines élections fédérales, il le sait et ça le rend nerveux. Nul doute que nous allons encore entendre souvent Roger Nordmann exprimer la pensée du Grand Manitou et ses mots gagneront en acrimonie au fil des excentricités de la Jeunesse socialiste dont on sait qu'elle ne déçoit jamais.

Tout cela est de bon augure pour notre Pays.

 

Yvan Perrin. le 8 octobre 2017

Après ses enfants, la Suisse doit reconnaitre ceux des autres.

On sait depuis fort longtemps que le Parti socialiste n'accorde plus guère de valeur à la nationalité suisse, multipliant les initiatives visant à octroyer le passeport à croix blanche à toute personne qui en ferait la demande sans remplir le moindre critère. Dans l'esprit gauchiste, la démarche est cohérente. Du point de vue des camarades, on ne peut que déplorer que de fâcheux nationalistes au front étroit aient encore l'impudence d'accorder quelque importance aux droits démocratiques liés à la citoyenneté suisse. C'est bien entendu un argument phare brandi par ces rances patriotes qui estiment qu'au vu des droits qu'il octroie, le passeport helvétique doit se mériter.

Que nenni. Dans l'esprit socialiste, nos droits démocratiques ne sont qu'un regrettable obstacle permettant au Souverain de corriger les visées de Christian Levrat et de ses disciples. Ce n'est pas un hasard si le Parti socialiste tient tant à délayer la Suisse dans l'Union européenne dont le gouvernement non élu promeut le programme à grands coups de directives. Il suffit de voir avec quelle satisfaction la gauche accueille le projet de désarmement des citoyens libres et responsables voulu par la Commission européenne, ceci dans le droit-fil de la politique liberticide menée à Bruxelles. Dans la mesure où le but ultime du socialisme consiste à supprimer nos droits pour les confier à une coterie d'apparatchiks incestueux, il est évident que les droits en question n'ont plus de valeur et partant, ne sauraient exiger le moindre effort pour obtenir le document qui leur est attaché.

Aujourd'hui, le Conseiller national socialiste Cédric Wermuth passe à la vitesse supérieure. Il proclame que les enfants nés en Suisse de parents réfugiés devraient obtenir la citoyenneté à la naissance, ce qui, en clair, constitue la mise en œuvre du droit du sol. Cette notion, le ius soli, revient à faire une vache d'un cheval au prétexte qu'il est né dans une étable. Une telle proposition démontre clairement le profond dédain que la gauche voue à nos valeurs, à notre histoire, à ce que nous sommes en voulant octroyer notre passeport à ces hordes qui accostent en Italie, assoiffées de prestations sociales, prosélytes d'une religion qui appelle à notre destruction.

L'idée, toujours du point de vue du Parti socialiste, présente toute une série d'avantages. La procédure d'asile se limiterait à sa plus simple expression pour celles et ceux qui auraient eu le bonheur d'avoir descendance chez nous. On ne saurait en effet soumettre au moindre examen des personnes dont la progéniture arbore le passeport à croix blanche. Rapide digression pour relever que c'est bien le seul endroit où les islamistes tolèrent la présence d'une croix. L'éventuelle expulsion d'un géniteur turbulent ne constituerait plus une option même si nous le décidions. La Cour européenne veille et casserait toute décision d'éloignement prise dans un tel contexte. Ce serait aussi l'occasion pour la gauche de remplumer son électorat dans la mesure où nombre de réfugiés préfèrent se complaire à l'aide sociale plutôt que se prendre en charge. Comme on peut le voir dans nos villes, les bénéficiaires des largesses publiques ne mordent pas la main qui les nourrit, assurant de confortables élections à ces camarades qui s'assurent une clientèle sur le dos des derniers contribuables. L'inverse est également vrai comme on le voit à Berne ou à Genève, deux villes qui font preuve d'une remarquable mansuétude voire d'un soutien affiché aux casseurs, considérant que leur violence est légitime puisque de gauche.

A l'heure où Cédric Wermuth souhaite octroyer nos droits à ceux qui rêvent de nous les enlever, souvenons-nous des mots du célèbre écrivain français Bernard Werber. Selon lui, toutes les civilisations qui faisaient des petits napperons, des gâteaux en sucre et des émaux ont été détruites par celles qui faisaient des massues, des haches et des flèches. Petits napperons, gâteaux en sucre, émaux, un résumé poétique du programme socialiste.

La Côte-aux-Fées, le 14 juillet 2017                                                          Yvan Perrin

Naturalisation facilitée: Pour Le Matin, les gens ont « peur » de la langue arabe

Christian Hofer: On parlait de cet argumentaire ici.

Vous noterez le parti pris de ce journal qui se positionne de facto en faveur du parti socialiste en prétendant que *les Suisses ont peur*, allégation qui vise à biaiser le débat et à prétendre en filigrane qu'il y a du racisme. Une accusation qui met de facto le parti socialiste dans une position confortable d'attaque.

Or avant d'être naturalisé, le débat relève de l'intégration. Il n'y a pas d'intégration lorsque le parti socialiste s'adresse aux individus en arabe ou en turc. Le Matin fait semblant de ne pas le comprendre.

Mais cela signifie surtout que la parti socialiste a très bien cerné quel type d'immigration subit la Suisse et en faveur de qui s'adresse réellement cette naturalisation facilitée: aux musulmans issus des pays arabes dont la culture rétrograde et patriarcale ne pose aucun problème aux féministes socialistes.

 

Via le Facebook de Monsieur Jérôme Desmeules

Lorsque le Parti socialiste suisse milite en arabe et en turc pour la naturalisation facilitée

Pour ceux qui doutent encore de la véritable nature de ce parti.

Voilà la Suisse qu'ils proposent, un pays qui ne possède plus aucune racine, plus aucune tradition ni religion historique. Nos spécificités n'ont aucune valeur pour ces apatrides.

Quant à leur propagande, payer des impôts ne donne en aucun cas le droit d'acquérir un passeport. C'est un élément normal pour quiconque travaille, quel que soit le pays.

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"Le Parti socialiste suisse (PS) s’engage pour une Suisse de la cohabitation, une Suisse de la diversité linguistique, religieuse et culturelle (Nd Christian Hofer: En clair, une Suisse qui n'a plus rien de suisse)

Plus de deux millions de personnes résidant dans ce pays n’ont pas de passeport suisse. Ces gens vivent ici, vont à l’école avec nous, jouent au football avec nous ou vont au cours de natation avec nous, ils travaillent avec nous, ils paient des impôts, comme nous... Ils font partie intégrante de notre pays, de la Suisse. Ils n’ont toutefois pas le droit de participer aux décisions politiques, bien que bon nombre de celles qui sont prises au Parlement ou dans les urnes aient un effet immédiat sur chacun d’entre nous – et donc sur eux aussi.

En comparaison européenne, la naturalisation en Suisse est très difficile, elle coûte cher et elle s’apparente à un parcours du combattant. La nouvelle Loi sur les étrangers dresse même quelques obstacles encore plus difficiles à surmonter sur le chemin des candidates et des candidats. À partir du 1er janvier 2018, seules les personnes au bénéfice d’un permis C pourront demander le passeport suisse. Pour tous les détenteurs d’un permis B, cette possibilité n’existera plus (contrairement à aujourd’hui). Cela concerne 650’000 personnes.

Conjointement avec le PS Migrant-e-s, le PS Suisse lance un appel et une campagne pour la naturalisation des personnes au bénéfice d’un permis B. Nous voulons informer, encourager et aider. Nous voulons plus de Suisse pour toutes et tous."

Asile: Le parti socialiste se battra pour garder nos frontières ouvertes et s’oppose aux renvois Dublin

Le parti socialiste s'attend à une augmentation du nombre de migrants ces prochains mois, ainsi que l'a indiqué son président Christian Levrat. Mais il combattra néanmoins "avec la dernière énergie" toute velléité de fermer les frontières et d'employer l'armée à cette tâche, comme demandé par l'UDC.

Une solution à l'échelle européenne

La Suisse ne solutionnera pas ses questions en matière d'asile sans collaborer avec ses voisins européens, a affirmé le conseiller national zurichois Tim Guldimann. L'Europe se trouve maintenant à la croisée des chemins et doit impérativement réformer le règlement de Dublin, en se donnant les moyens de garantir son application.

40% des migrants arrivés en Suisse sont des "cas Dublin", a expliqué le Zurichois. mais le PS n'est pas favorable à un renvoi des réfugiés vers l'Allemagne ou l'Autriche, aussi longtemps que ces deux pays sont confrontés à des flux bien plus plus élevés que la Suisse.

Source

Le MCG Thierry Cerutti condamné pour avoir traité le parti socialiste de nazi

L'élu MCG n'aurait pas dû comparer le parti socialiste de Vernier au parti nazi, estime le Tribunal de police.

Le gendarme et député MCG Thierry Cerutti a été condamné pour calomnie, aujourd'hui vendredi, par le Tribunal de police. En comparant le PS de Vernier (PSV) au parti nazi, il a évoqué une organisation qui a «exploité des camps de sinistre mémoire et éliminé des millions d'êtres humains». En faisant un lien direct entre le PSV et les atrocités commises à l'époque, il s'est accomodé d'une atteinte à l'honneur et s'est rendu coupable de calomnie. Le juge lui inflige 90 jours-amende (à 210 francs le jour) avec sursis et une amende immédiate de 3500 francs, compte tenu de sa prise de conscience toute «relative».

MontWal

Avant ce verdict, Thierry Cerutti avait pris la parole pour signaler que «depuis 11 ans que je fais de la politique, je ne compte pas le nombre de fois où des membres du MCG ont été traités de fascistes, de chemises noires ou brunes, de nazis et de toutes sortes de noms d'oiseaux. Lorsque nous avons porté plainte, les procédures ont toujours été classées par le Ministère public. Il n'y a jamais de réaction lorsque le MCG se fait traiter ainsi. La seule chose qu'on nous répond est que nous devons avoir le cuir solide.»

Source

A lire:
Hitler était socialiste, un homme de gauche - par Bernard Raquin

Le socialisme en chemise brune

Pierre Milza, historien de référence « Mussolini: l’homme de gauche qui a donné naissance au fascisme »

La France est moins démocratique que la Russie

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Oser écrire, comme je le fais ici, que la France est moins démocratique que la Russie, ou, inversément, que la Russie est plus démocratique que la France, c'est politiquement très incorrect, mais alors vraiment, très, très incorrect. Je ne suis ni Russe, ni Français. Je ne vis ni en France, ni en Russie. Mais depuis quelques années, j'ai le sentiment hautement désagréable que la France n'est plus gouvernée et qu'elle est en fait soumise à un régime : le régime socialiste français.
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En tant que chrétien, je pense que la liberté d'être chrétien est mieux défendue en Russie qu'en France. En tant que libéral conservateur, je pense qu'il est plus facile de faire des affaires en Russie qu'en France. En tant que politologue, je pense que les analystes et experts russes sont intelligents et que leurs homologues français ne le sont pas. Voilà, tout est dit, écrit, en toute simplicité.
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Ci-après, on lira les extraits adaptés d'une longue interview accordée par Yvan Blot, à propos de la sortie de son livre "La Russie de Poutine", livre préfacé par Philippe de Villiers. Yvan Blot déclare notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Les médias occidentaux se placent dans le cadre d’un courant qui consiste à vouloir créer artificiellement une opposition entre la Russie et l’Europe, cela pour le seul avantage des États-Unis. Cela correspond à la doctrine Brzezinski, qui souhaite depuis plusieurs années couper la Russie de l’Europe le plus possible. Les médias sont souvent dans cette ligne.J’ai une expérience de la Russie depuis de nombreuses années. Je me suis occupé de la Russie quand j’étais au Parlement européen et, depuis trois ans, je fais beaucoup de coopération avec la Russie et je travaille avec deux clubs de réflexion russes en science politique.
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Yvan Blot : J’ai voulu casser un certain nombre de mythes sur la Russie, avec des expériences vécues ou des éléments statistiques difficiles à contester, notamment en provenance de la Banque Mondiale. J’ai voulu m’attaquer à quelques mythes. Le premier, c’est que la Russie serait intrinsèquement un pays d’agresseurs, ceci pendant toute son histoire : or, mon sentiment est que la Russie a plutôt été l’agressée. C’est un pays qui a été envahi par les Mongols, par les Suédois, par les chevaliers teutoniques, les Polonais, Napoléon et, pour finir, Hitler. Ils ont toujours fini par triompher. Donc, pour moi, c’est un peuple de résistants, beaucoup plus que d’agresseurs. Le deuxième mythe – c’est celui qui surprendra le plus – c’est qu’à mon avis, la Russie est un pays plus démocratique que la France.
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Yvan Blot : Ensuite, on nous explique que c’est un pays sous-développé. J’ai entendu des responsables politiques français importants dire que la Russie n’était pas différente de l’Arabie Saoudite, car c’est un pays qui ne vend que du pétrole. Ce n’est pas très sérieux. Si vous vous référez aux chiffres de la Banque Mondiale, vous constaterez que le pétrole c’est 9% du PIB de la Russie, contre 45% en Arabie Saoudite. Ensuite, le produit intérieur brut de la Russie a rattrapé celui de l’Allemagne en 2014. On peut dire que l’économie russe a à peu près la même force de création de richesses que l’économie allemande. On ne trouve cela nulle part, sauf dans les statistiques du FMI et de la Banque Mondiale.
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Yvan Blot : En matière de technologies, la Russie a prouvé qu’elle était capable de faire des produits de haute technologie. Elle exporte des centrales nucléaires, elle exporte des armements extrêmement sophistiqués et, si vous voulez aller dans une station orbitale, il faut prendre une fusée russe parce que les Américains n’en fabriquent plus. Yandex, qui est le moteur de recherche le plus connu en Russie, a été créé deux ans avant Google. L’antivirus Kaspersky, que tout le monde a sur son ordinateur, c’est un brevet russe également. La plus grande surprise s’est produite il y a quelques mois, lorsqu’un bateau de guerre américain est passé en mer Noire, un avion russe est passé au-dessus et le commandant du bateau a constaté que les radars n’avaient pas indiqué la présence de cet avion.
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Yvan Blot : Les techniciens se sont aperçus que tout le système électronique du bateau était entièrement paralysé. L’avion s’est éloigné et, à partir d’un certain moment, tous les appareils se sont remis à fonctionner. C’est de cette manière que l’on a découvert que certains avions russes avaient la capacité de paralyser totalement tous les équipements électroniques d’un adversaire. Ce qui fait qu’à l’OTAN, on s’est beaucoup inquiété et l’on s’est dit que les Russes, en cas de conflit, étaient capables de paralyser toutes les communications des armées occidentales. Donc, dire qu’ils n’ont pas de technologies, cela ne tient pas debout.
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Yvan Blot : L’idée la plus répandue dans les médias, c’est que Vladimir Poutine est un dictateur, mais l’état d’avancement de la démocratie en Russie, notamment à travers ce comité qui permet au peuple de vérifier que toutes les réformes sont bien faites, en faisant remonter leur expérience vis-à-vis de chaque fonctionnaire. C’est une organisation qui a des ramifications un peu partout, qui s’appelle le front national pan-russe, qui comprend des milliers de citoyens qui ont pour tâche de surveiller le parti au pouvoir et de surveiller les élus aussi, parce que Vladimir Poutine n’a pas confiance dans les corps intermédiaires et il se méfie de la bureaucratie. Donc, à l’intérieur de son propre système, il a créé un mécanisme de contrôle démocratique pour s’assurer que les décrets sont bien appliqués par les fonctionnaires et les élus locaux.
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Yvan Blot : C’est très ingénieux comme système et c’est un élément de démocratie à l’intérieur du système russe. Par ailleurs, en matière d’élections, les dirigeants politiques sont élus et même de façon plus directe en Russie. Les maires sont élus directement, alors que chez nous ce n’est pas le cas, et les préfets, qui étaient nommés autrefois, sont maintenant élus par la population. C’est une décision de Vladimir Poutine et les Russes ont beaucoup apprécié la possibilité d’élire leurs propres préfets. Enfin, pour une dictature, vous trouvez des journaux pro-Poutine et des journaux anti-Poutine en quantité. Or, à l’époque soviétique, il n’y avait jamais de journaux contre le gouvernement. Les Russes peuvent sortir de Russie et revenir en Russie quand ils le veulent.
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Yvan Blot : A mon avis, c’est une démocratie plus forte que la France, parce que le gouvernement fait la politique que le peuple souhaite. C’est pour cette raison que Poutine a 80% de soutiens. En France, comme les élites politiques ne font pas du tout la politique que les gens souhaitent, Hollande se retrouve avec 15% à 20% de soutiens. La Russie est plus démocratique que la France, car la France est une oligarchie qui pratique une politique sur des tas de sujets, qui n’a rien à voir avec ce que souhaite le peuple : je pense à la fiscalité, l’immigration, l’insécurité ou le chômage. Est-ce ce qui explique les 80% d’opinions positives pour Poutine en Russie ? C’est indiscutable.
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Yvan Blot : Les sondeurs occidentaux sont étonnés par leurs propres résultats, parce que ce ne sont pas des sondages faits par le Kremlin. Pour eux, Poutine c’est la stabilité et la croissance économique. Il faut voir que le niveau de vie des Russes a quadruplé depuis que Poutine est là, les deux dernières années ont été stagnantes, c’est vrai, mais la richesse par habitant a quadruplé. Il y a une très forte croissance qui est due, bien sûr, au gaz et au pétrole, mais tout ne s’explique pas par cela. La production d’électricité de la Russie est le double de celle de l’Allemagne, c’est le quatrième pays du monde. C’est un pays qui a très fortement progressé et le niveau de vie est maintenant celui d’un pays occidental, conclut Yvan Blot (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté, 18.4.2016
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http://www.kernews.com/yvan-blot-a-mon-avis-la-russie-est-un-pays-plus-democratique-que-la-france/3825/
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Le Parti socialiste français se mêle des affaires de la Suisse

François Hollande a prévenu cette semaine : il sera désormais le champion des valeurs universelles des Bisounours qui aiment beaucoup la planète, les enfants, les animaux et un peu tout le monde. Si notre (p)résident affirme qu’il sera sévère avec les pays membres de l’Union européenne qui auraient le malheur d’élire des dirigeants un peu trop eurosceptiques ou conscients du problème posé par la submersion migratoire, il n’hésitera pas non plus à s’attaquer à des pays souverains qui ne sont pas dans l’Union européenne.

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