“Préjugés racistes” : «Autant en emporte le vent» retiré par HBO Max

Le classique, qualifié par certains historiens de révisionniste, a été retiré de la plateforme de streaming HBO Max.

 

 

Le film «Autant en emporte le vent», qualifié par certains historiens de révisionniste, a été retiré de la plateforme de streaming HBO Max, en plein mouvement de protestation contre le racisme et les violences policières visant les Noirs aux Etats-Unis.

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20min.ch

Trump attaque de front la censure des réseaux sociaux

Publié par Jean-Patrick Grumberg le 30 mai 2020

L’affaire couvait depuis des années. Les réseaux sociaux de la Silicon Valley ont « une forte culture de gauche » selon l’aveu même du patron de Facebook Mark Zuckerberg, et ils censurent les conservateurs à tout va – avec le soutien jovial des médias fourbes qui feignent de ne rien voir et disent que ça n’existe pas.

 

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En 2020 plus que jamais, aucun homme politique ne peut remporter une élection sans avoir recours aux réseaux sociaux. S’il est censuré, il perd, c’est aussi simple que ça.

Le président Trump, qui utilise frénétiquement son compte Twitter – bien trop à mon goût et quelques fois à tort et à travers – a déclaré qu’il se passerait volontiers de Twitter – et de ses 80 millions d’abonnés – s’il le pouvait.

Il a déclaré jeudi qu’il se débarrasserait de son compte Twitter s’il n’avait pas à affronter les Fake News des médias.

« Si nous avions une presse honnête dans ce pays, je me débarrasserais de mon compte en un clin d’œil », a déclaré M. Trump aux journalistes dans le Bureau ovale lorsqu’on lui a demandé s’il avait envisagé de supprimer son compte Twitter compte tenu de ses récentes critiques à l’encontre du géant des médias sociaux.

Un pouvoir immense, total, hors contrôle

On ne peut pas ignorer l’influence des réseaux sociaux. Ils sont tout-puissants, et d’une ascendance immense sur la vie réelle.

  • Ils sont indispensables à la vie politique et aux échanges d’idées qui ont de l’influence sur l’évolution de la société.
  • Ils construisent des carrières et détruisent des vies, déclenchent des émeutes et des révolutions, envoient des gens en prison et d’autres à la mort.
  • Ils aident à élire des présidents et à exposer des politiciens corrompus.
  • Ils servent à recruter des terroristes, à organiser des attentats, et permettent aussi de les éviter.
  • Ils servent à créer – et démasquer – des réseaux pédophiles.
  • Ils peuvent totalement confisquer la liberté d’expression d’une personne ou d’un groupe.

Une poignée de quatre ou cinq multimilliardaires gauchistes, sans personne au-dessus d’eux, sans contrôle, décide ce qu’on a le droit de dire, qui a le droit de parler, et qui sera censuré.

Ce pouvoir immense leur est naturellement monté à la tête, il est monté à la tête de Jack Dorsey, le patron de Twitter, de Mark Zuckerberg le patron de Facebook, et de ceux de Google, donc YouTube. Et il est difficile de le leur reprocher : c’est toute l’histoire de l’homme, le pouvoir enivre, et fait désirer plus de pouvoir encore.

Le pouvoir de censurer l’homme le plus puissant au monde par exemple : le président des Etats-Unis.

Twitter franchit la ligne rouge en censurant le compte du président américain

Il y a deux jours, le « directeur de l’intégrité » chez Twitter, un jeune militant d’extrême gauche nommé Yoel Roth, s’est cru plus puissant que l’homme le plus puissant du monde. Et d’une certaine façon, il l’est : sa position lui a permis de fact-checker les tweets du président, et décider de les autoriser ou les interdire.

Ce qu’il a fait.

Pour la première fois de l’histoire du réseau social, Twitter a fact-checké un tweet et fait une mise en garde sur le tweet du président.

Faute majeure. Rendue possible parce que les dirigeants et les cadres de la Silicon Valley sont très à gauche, très riches, très puissants, et qu’ils censurent depuis des années les voix conservatrices sans avoir aucun compte à rendre, sans que personne ne puisse rien faire (Dreuz en est aussi victime).

Roth, aveuglé par sa haine et son dégoût pour Trump, Roth qui a plusieurs fois écrit qu’il y a un nazi à la Maison-Blanche, n’a pas vu à qui il avait affaire.

Le petit Roth s’est cru plus puissant que le président des Etats-Unis, plus puissant que Donald Trump. Et il l’était. Grâce à « l’article 230 » de la loi américaine.

« Article 230 »

Les acteurs des réseaux sociaux et de l’internet bénéficient d’une protection juridique totale par les vertus d’une loi « l’article 230 ». En bref : on ne peut pas les attaquer en justice. Vous imaginez ! Aucun risque de procès quoi qu’ils fassent.

Cette loi d’exception les établit non pas comme éditeurs, comme publications responsables du contenu qu’elles diffusent, mais comme simples transporteurs d’informations, un peu comme une compagnie téléphonique n’est pas responsable de ce que les gens se disent lorsqu’ils communiquent entre-eux, parce qu’elles n’ont aucun contrôle sur le contenu : elles se contentent de transporter les informations de leurs clients.

C’est le statut d’exception dont jouissent les réseaux sociaux.

Ainsi, on ne peut pas les poursuivre en diffamation, ou pour calomnie, ou pour insultes et menaces de mort, et ils ne peuvent pas être poursuivis pour violation de la liberté d’expression protégée par le 1er amendement de la Constitution : ils échappent à tout contrôle.

Jusqu’au moment où ils se conduisent non plus en distributeur mais en publication, en fact-checkant les messages, qui est le travail d’un éditeur.

Ce qui a été censuré

  • Il y a deux jours, le président a tweeté son opposition au vote par correspondance que réclament les Démocrates à cause du coronavirus, disant qu’il ouvre la voie à une fraude massive.
  • Roth a décidé que Trump n’avait pas le droit de dire ça.
  • Alors il a « fact-checké » le tweet du président en disant qu’il était trompeur.

« Il n’y a AUCUNE FAÇON (ZÉRO !) que les bulletins de vote par correspondance ne soient pas substantiellement frauduleux.

Des boîtes aux lettres seront cambriolées, des bulletins seront falsifiés et même imprimés illégalement et signés frauduleusement.

Le gouverneur de Californie envoie des bulletins de vote à des millions de personnes, toute personne vivant dans l’État, peu importe qui elle est ou comment elle y est arrivée, elle recevra un bulletin de vote », a tweeté Trump.

« Cela sera suivi par des professionnels qui diront à toutes ces personnes, dont beaucoup n’ont jamais pensé à voter avant, comment et pour qui voter. Ce sera une élection truquée. Pas question ! »

Censurer or not censurer, that is the question

Si Twitter censure, il est éditeur et non plus distributeur. S’il est éditeur, il doit rendre des comptes. S’il rend des comptes, il ne peut plus censurer de manière arbitraire

Evidemment, le président disait vrai, le vote par correspondance permet la fraude, mais là n’est pas la question.

  • Le vote par correspondance est vulnérable à la fraude et les cas sont nombreux et connus, même si les Démocrates et les médias le nient, parce qu’ils comptent sur le vote par correspondance pour remporter l’élection en novembre en organisant une fraude massive.
  • Mais la vraie question est de savoir si Twitter a le droit de décider ce qu’on peut dire et ce qu’on n’a pas le droit de dire, simplement parce que ça ne lui plaît pas ; s’il a le droit de censurer les uns et pas les autres.
  • Si oui, alors Twitter n’est plus un simple distributeur d’information mais un éditeur, et il ne peut pas bénéficier de la protection juridique de l’article 230.

Et là, l’édifice s’écroule : si Twitter censure, il est éditeur. S’il est éditeur, il doit rendre des comptes. S’il rend des comptes, il ne peut plus censurer de manière arbitraire.

Dans un tweet, Trump a déclaré :

« .@Twitter s’immisce maintenant dans l’élection présidentielle de 2020.

Ils disent que ma déclaration sur les bulletins de vote par correspondance, qui entraînera une corruption et une fraude massives, est incorrecte, sur la base d’une vérification des faits par le Fake News CNN et le Washington Post d’Amazon », a-t-il écrit dans un tweet.

« Twitter étouffe complètement la liberté d’expression et, en tant que président, je ne le permettrai pas », a-t-il déclaré dans un autre tweet.

C’est le levier que le président Trump vient d’actionner dans un ordre exécutif.

Twitter tire sur la corde et censure encore le président

Yoel Roth se sent plus fort que Donald Trump, et malgré les menaces du président, il a censuré un autre de ses tweets.

En réponse aux émeutes de Minneapolis et aux destructions par les Antifas et les émeutiers professionnels – y compris le bâtiment du 3e commissariat de police de Minneapolis – le président Trump a publié deux tweets ce vendredi matin en évoquant George Floyd, qui est mort lundi, apparemment après avoir été plaqué au sol par la police de Minneapolis.

  • Le premier tweet disait :

« Je ne peux pas rester là à rien faire et regarder ce qui arrive à une grande ville américaine, Minneapolis », a écrit Trump dans le premier des tweets censurés.

« [C’est] un manque total de leadership. Soit le très faible maire de la gauche radicale, Jacob Frey, se ressaisit et met la ville sous contrôle, soit j’envoie la Garde nationale [et] je fais le travail moi-même. »

  • Le second était pour dénoncer les « voyous qui déshonorent la mémoire de George Floyd et je ne laisserai pas ça arriver… Quand les pillages commencent, les coups de feu suivent » ajoutait le président.

Twitter a censuré les deux tweets de Trump, en les remplaçant par l’explication suivante :

« Ce Tweet a violé les règles de Twitter concernant la glorification de la violence. Cependant, Twitter a déterminé qu’il pourrait être dans l’intérêt du public que le Tweet reste accessible ».

Selon Roth, Trump « violait les règles de Twitter concernant la glorification de la violence » parce qu’il dénonçait la violence et disait qu’il allait envoyer l’armée pour rétablir l’ordre… mais Twitter n’a pas censuré les tweets des Antifas qui appelaient directement à commettre des violences à Minneapolis.

En réponse, le président a dénoncé le double standard de Twitter, et a promis d’agir.

« Twitter ne fait rien contre tous les mensonges et la propagande de la Chine ou du Parti de gauche radicale Démocrate. Ils ont ciblé les Républicains, les conservateurs et le président des États-Unis.

L’article 230 devrait être révoqué par le Congrès.

D’ici là, ce sera réglementé ! »

A force de tirer sur la corde, elle s’est cassée, Trump va réglementer les réseaux sociaux

Jeudi, le président Trump a signé un décret (1) destiné à empêcher la censure sur les réseaux sociaux.

Il a demandé à la Commission fédérale des communications (FCC) qu’elle réexaminer l’article 230 qui protège les entreprises de médias sociaux de toute responsabilité.

Le président a déclaré :

Les grandes entreprises qui traitent injustement des millions de citoyens américains ne devraient pas s’attendre à des privilèges et des protections spéciales en vertu de la loi.

Avec ce décret, notre pays fait un pas de plus vers un débat public honnête et équitable.

Dans le détail, le décret explique :

  • La politique américaine veut que les plateformes qui éditent, censurent ou n’agissent pas de « bonne foi » en ce qui concerne le contenu, ne bénéficient pas de la protection en matière de responsabilité prévue à l’article 230 de la loi sur la décence en matière de communications (Communications Decency Act).
  • Je charge le ministère du Commerce de demander à la FCC de clarifier les règles de la section 230 en accord avec la politique américaine.
  • J’interdis que des millions de dollars du contribuable ne soient gaspillés par les agences fédérales pour faire de la publicité sur des plateformes de médias sociaux biaisées.
  • Le ministère de la Justice examinera plus de 16 000 plaintes relatives à la censure pour motifs politiques, recueillies par la Maison Blanche avant le sommet sur les médias sociaux qui s’est tenu l’année dernière.
  • Je mobilise les procureurs généraux des États qui disposent d’un nombre considérable d’assignations à comparaître et d’autorités de protection des consommateurs, pour s’assurer que les plateformes de médias sociaux ne se livrent pas à des actes ou des pratiques déloyales ou trompeuses.
  • Ce décret agit comme une loi fédérale, et énumère les nombreuses façons dont les plateformes technologiques agissent avec des préjugés contre les points de vue qu’elles désapprouvent.

Finalement, la fraude au vote par correspondance, mythe ou réalité ?

Si vous lisez les journaux, vous serez enclin à croire que non seulement il n’existe pas de fraude électorale, mais que le sujet est clos et que nous ne sommes même pas autorisés à en parler.

Alors parlons-en.

Voici 16 exemples récents de fraude électorale (qui n’existe pas).

  1. Caroline du Nord, 2018. L’une des affaires de fraude les plus médiatisées par les mêmes médias qui disent qu’il n’y a pas d’affaire de fraude.Le comité électoral de Caroline du Nord a annulé le résultat de l’élection dans le 9e district du Congrès et a ordonné la tenue d’une nouvelle élection.Des preuves de fraude sur les bulletins de vote par correspondance sont apparues sur environ 61% de tous les votes par correspondance.
  2. Texas 2018. Dennis Jones a battu Tracy Gray d’une voix lors des primaires républicaines au Texas pour un siège au tribunal des commissaires du comté de Kaufman.Gray a contesté le résultat, alléguant qu’un voteur avait soumis des bulletins de vote par correspondance illégaux.Après une audience, un juge de l’État a invalidé les résultats et a ordonné une nouvelle élection, que Gray a remportée par 404 voix.
  3. Texas, 2018. Autre affaire de fraude au Texas. Armando O’Cana a apparemment remporté la mairie de Mission, au Texas, en battant le maire sortant Norberto « Beto » Salinas.Mais après l’apparition de preuves solides que la campagne de M. O’Cana avait soudoyé les électeurs, falsifié les bulletins de vote par correspondance et « aidé » indûment les électeurs lors du scrutin, le juge d’État J. Bonner Dorsey a invalidé le résultat.
  4. Floride, 2017. Le maire d’Eatonville, en Floride, Anthony Grant, a été reconnu coupable d’un délit de fraude électorale et de délit de violation du droit de vote par correspondance.
  5. Floride, 1998. Une enquête sur l’élection du maire de Miami révéla une vaste affaire de fraude qui concernait plus de 5 000 bulletins de vote par correspondance.
  6. Alabama 2017. Un juge de l’État d’Alabama a annulé le résultat d’une course pour le conseil municipal de Wetumpka dans laquelle le président sortant Percy Gill semblait avoir gagné par trois voix.Un procès a montré que huit bulletins de vote par correspondance déposés pour Gill avaient soit une fausse signature, soit n’étaient pas notariés ou signés devant le nombre requis de témoins.
  7. Alabama 2016. Course à la mairie de Gordon. Elbert Melton l’a emporté par 16 voix. Melton a ensuite été condamné pour deux chefs d’accusation de fraude au vote par correspondance et a été démis de ses fonctions.
  8. Missouri 2016. La représentante de l’État du Missouri, Penny Hubbard, a remporté les primaires démocrates de 2016 dans le 78e district de la Chambre de l’État par seulement 90 voix.Son adversaire, Bruce Franks Jr, a contesté le résultat. Le juge Rex Burlison a estimé qu’il y avait eu tellement de votes par correspondance irréguliers, qu’il a ordonné une nouvelle élection. Franks a gagné par 1 533 voix.
  9. Texas 2016. L’ancien commissaire de la ville de Weslaco, Guadalupe Rivera, a plaidé coupable d’avoir falsifié 30 bulletins de vote par correspondance pour remporter l’élection.
  10. New Jersey 2015. Fernando Gonzalez a remporté une victoire avec 10 voix sur Sergio Dias pour un siège au conseil municipal de Perth Amboy, dans le New Jersey.Après avoir déterminé qu’au moins 13 bulletins de vote par correspondance avaient été déposés illégalement, une cour supérieure de l’État a annulé les résultats et ordonné une nouvelle élection.
  11. New York 2014. Le candidat à l’Assemblée de l’État de New York, Hector Ramirez, a plaidé coupable d’un chef d’accusation pour possession d’un faux instrument pendant sa campagne de 2014.Les procureurs ont accusé Ramirez d’avoir trompé les électeurs pour qu’ils donnent leurs bulletins de vote par correspondance à sa campagne en partant du principe erroné qu’il les soumettrait. Au lieu de cela, il a inséré son nom sur au moins 35 bulletins.
  12. Pennsylvanie, 2009. Richard Allen Toney, l’ancien chef de la police du canton de Harmar, a plaidé coupable d’avoir illégalement sollicité des bulletins de vote par correspondance au profit de sa femme et de son colistier lors des primaires démocrates. Le décompte des votes par correspondance a fait basculer les résultats des primaires, assurant ainsi la victoire du colistier de sa femme.Au cours d’une enquête du FBI, les procureurs ont déclaré que Toney avait tenté d’empêcher deux témoins du grand jury et d’autres personnes de témoigner. Il a été condamné à trois ans de mise à l’épreuve.
  13. Virginie 2012. Après une enquête fédérale sur une fraude électorale en Virginie occidentale, le shérif du comté de Lincoln, Jerry Bowman, et le greffier du comté, Donald Whitten, ont plaidé coupable d’avoir rempli des urnes et falsifié des bulletins de vote par correspondance pour tenter de voler une élection primaire démocrate en 2010. Un juge a annulé l’élection, en rejetant 300 bulletins frauduleux.
  14. Mississipi 2007. L’une des affaires les plus complexes est survenue dans une juridiction rurale pour une opération de fraude massive d’électeurs absents, gérée par la machine locale du Parti démocrate. Les procureurs ont déclaré que les notaires payés par la machine prenaient les bulletins de vote dans les boîtes aux lettres et les votaient à la place des électeurs visés.
  15. Alabama 2004. La Cour suprême de l’Alabama a annulé les résultats d’une course à la mairie de Guntersville après avoir constaté que des bulletins de vote par correspondance avaient été déposés sans identification appropriée et auraient dû être rejetés.
  16. Indiana 2003. Lors de la course à la mairie de East Chicago, dans l’Indiana, le challenger George Pabey a battu le jour du scrutin le candidat sortant, Robert Patrick, qui avait été réélu pour huit mandats, mais il a perdu par 278 voix après avoir reçu environ 2 000 bulletins de vote par correspondance contrefaits.

Les journalistes ont donc raison : si l’on exclut ces cas, la fraude électorale par correspondance n’existe pas.

Par ailleurs, les informations sur environ 24 millions d’électeurs, soit 1 électeur sur 8, ne sont plus valides ou sont inexactes, et 1,8 million sont décédés, mais toujours sur les listes (2).

Enfin, dans mon comté de Los Angeles, 112 % des habitants du comté sont inscrits sur les listes électorales.

Conclusion

Sommes-nous vraiment à l’aise qu’une poignée de petits jeunes milliardaires de la technologie contrôlent le flux d’informations ?

Existe-t-il d’autres exemples dans l’histoire de l’humanité, où les propos de l’ensemble des conservateurs de la planète entière sont sous contrôle d’une poignée de quatre ou cinq personnes, obligeant les auteurs à des gymnastiques intellectuelles constantes et une auto-censure des propos qu’ils savent être interdits, pour éviter la fermeture de leurs moyens d’expression ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

source: https://www.dreuz.info/2020/05/30/trump-attaque-de-front-la-censure-des-reseau-sociaux/

La censure sur YouTube se déchaîne pendant le ramadan (vidéo en anglais, sous-titrée)

En l'honneur du Ramadan, YouTube retire les vidéos qui critiquent Mahomet et le Coran. Comment répondre à la censure de YouTube sur des discussions pacifiques ? David Wood aborde la question.

https://www.youtube.com/watch?v=8HoRFEB84bI

Résumé Cenator :

La censure des vidéos qui critiquent l’islam monte toujours en flèche pendant le ramadan.

Ainsi, la vidéo de David Wood « Les dix versets du Coran les plus importants pour comprendre l’Etat islamique » a été signalée à YouTube et supprimée, parce qu’elle « violait les directives ».

Il s’agissait de dix versets par lesquels les djihadistes de l’ÉI justifiaient leurs exactions. La vidéo était restée en ligne pendant des années, mais tout à coup elle était « trop » pour YouTube. On n’a plus le droit d’expliquer la logique des terroristes.

La vidéo « Le prophète Mahomet résout le coronavirus » a subi le même sort. Elle se moquait de l’affirmation de Mahomet selon laquelle la ville sainte de Médine était protégée en permanence des épidémies par des anges qui montent la garde sur les routes environnantes.

On peut se moquer de Dieu, de Jésus, de l’athéisme, de l’hindouisme, mais pas de Mahomet. YouTube a de plus en plus un traitement de faveur pour notre pilleur de caravanes du VIIe siècle préféré.

Suppression également pour la vidéo « Mahomet a-t-il existé ? Robert Spencer et David Wood contre Anjem Choudary et Omar Bakri ».

Les directives de YouTube disent « Des contenus qui glorifient des organisations criminelles violentes ou qui incitent à la violence contre des individus ou des groupes ne sont pas autorisées sur YouTube. »

Mais en quoi les trois vidéos ci-dessus sont-elles des apologies de la violence ou des incitations à la violence ?

On a parfois la possibilité de recourir contre les cas de censure qu’on estime injustifiés, mais le résultat est très aléatoire.

Dans mon cas, dit David Wood, ce n’est pas grave qu’ils me suppriment quelques vidéos, car celles qui restent suffisent pour démolir l’islam.

Mais le problème est plus général. YouTube agit de même contre tous ceux qui sont du mauvais bord sur certaines questions politiques ou religieuses.

On en est au point où il faudrait garder soigneusement toutes ces notifications de censure et faire un procès à YouTube pour le ramener à la neutralité.

Car ils ne sont pas libres de bloquer qui ils veulent. YouTube n’est pas un éditeur, comme l’est par exemple le New York Times. YouTube est censé être une plateforme, où d’autres personnes déposent des contenus. Il devrait donc être assez neutre en matière religieuse et politique, ce qu’il n’est pas. Le problème, c’est d’arriver à prouver que YouTube est massivement biaisé. Ce serait formidable de voir les censeurs de YouTube ou d’autres plateformes tenter d’expliquer devant un tribunal en quoi les vidéos qu’ils censurent violent leurs directives.

“Liker” des insultes sur Facebook peut bel et bien mener au tribunal en Suisse

Partager un avis diffamatoire sur Facebook ou presser la touche "j'aime" revient à propager cet avis et peut donc entraîner des suites judiciaires. Le Tribunal fédéral a confirmé en partie un jugement en ce sens.

En 2018, la Cour suprême du canton de Zurich avait condamné à des jours-amendes avec sursis un quadragénaire pour diffamation répétée à l'égard du défenseur de la cause animale Erwin Kessler.

[...]

vidéo article complet:

Limburg (All.) : La police préfère menacer les internautes plutôt que de dévoiler l’origine du meurtrier

Analyse du journal autrichien Wochenblick à l'encontre du politiquement correct qui fait loi dans l'affaire du massacre qui s'est déroulé à Limburg, en Allemagne

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Au lieu d'informer la population de manière exhaustive, les autorités allemandes ont des préoccupations totalement différentes après le meurtre à coups de hache.

Le public a été menacé de plainte - personne ne doit connaître les antécédents de l'auteur de Limburg. Même dans l'influent journal Bild, la mention de "l'origine migratoire" a été supprimée. Sous la pression du gouvernement ?

Sur Twitter, la police s'est montrée extrêmement réticente à admettre que l'agresseur de Limburg, qui a d'abord renversé sa femme avec une voiture en plein jour et qui l'a ensuite démembrée à coups de hache, "ne portait pas un nom allemand".

 

 

Ceux qui ont vu la vidéo sur Internet, dévoilant une brutalité qui n'a plus sa place en Europe occidentale depuis très longtemps - une séquence qui émeut toute personne occidentale éduquée - se doute très vite de l'origine : Encore une fois, ce n'était pas un Allemand.

Au cours de nos recherches, nous n'avons trouvé qu'un seul journal allemand qui a osé poser la question de l'origine migratoire. Lorsque cet élément a été clarifié, le Bild, a mentionné cette information - mais il l'a retirée après un très court laps de temps.

 

 

Dans l'Allemagne de Merkel de 2019, le fil barbelé de la RDA est toujours présent dans la tête. Une enquête récente a confirmé que 75% des Allemands pensent que la liberté d'expression est massivement menacée. Apparemment, certains faits ne peuvent ni être exposés ni être publiés.

L'étrange réticence à mentionner le nom, le contexte et l'origine d'un criminel ne s'étend toutefois jamais aux rares cas où l'auteur est un véritable autochtone. En très peu de temps, vous savez tout ce qu'il faut savoir sur ses amis de jeunesse, la pointure de ses chaussures et le fait qu'un jour il est passé devant un stand de l'AfD avec un sandwich au jambon dans la main.

La liberté de la presse existe-t-elle toujours en Allemagne ?

Dans une société démocratique et libre, la liberté de la presse est reconnue. Chaque journaliste et professionnel des médias décide par lui-même ce qu'il publie et comment il le fait. Bien entendu, des lois telles que le droit à la personnalité doivent être respectées, mais il existe des exceptions. Dans plusieurs cas, l'intérêt public peut être plus important que la protection de l'anonymat du délinquant. Il n'existe pas encore de loi interdisant la mention de l'origine ou des antécédents migratoires des délinquants, en particulier des criminels violents.

Mais à présent en Allemagne, les autorités menacent ouvertement tous les citoyens qui veulent publier des enregistrements de la scène du crime. Dans le cas du meurtrier à la hache de Limbourg, on menace de porter plainte pour représentation de la violence. C’est un peu exagéré pour des gens qui veulent informer leurs semblables sur une situation qui n’existe que depuis quelques années en Europe occidentale. Tout citoyen qui tient un blog ou possède une chaîne YouTube a tous les droits et devoirs d'un journaliste. Dans une société libre, il n'y a pas d'organismes d'État qui délivrent des licences aux journalistes qui leur conviennent.

Ce qui importe ici, c'est l'indépendance et la liberté de la couverture médiatique. Dès que l'un de ces principes est violé, compromis ou même bloqué, la question se pose de savoir dans quelle mesure cet État peut encore être considéré comme démocratique et libre.

La notion de peuple

Ces dernières années en particulier, pour la gauche politique il était très important de criminaliser le terme "peuple" lorsqu'il était utilisé pour désigner un groupe homogène de personnes d'un même groupe ethnique. D'un autre côté, on voudrait réinterpréter cette notion. Le peuple serait défini par n'importe quel individu qui vit à l'intérieur des frontières nationales, peu importe de quel pays et de quel groupe ethnique il provient. La résistance à cette réinterprétation, qui s'impose dans la société avec beaucoup de pression et de coercition, est, au mieux, matérialisée par la droite politique. Les partis du centre se taisent ou approuvent ouvertement.

Le fait de ne pas nommer l'origine réelle des délinquants violents fait partie de ce jeu.

À l’heure actuelle, toutes les statistiques de l’Europe occidentale indiquent clairement que les migrants originaires de régions spécifiques du monde ont une affinité beaucoup plus grande avec les crimes violents que les individus issus de la population de souche. Le fait d'occulter l'origine ou de qualifier les migrants délinquants d’Allemands fait partie de la stratégie visant à brouiller les frontières entre les autochtones et les populations immigrées.

Le Wochenblick ne se soumet pas à la censure ni au politiquement correct. C'est vous, en tant que lecteurs, à travers votre soutien, qui décidez combien de temps cela restera encore possible.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Wochenblick.at

Youtube bloque une vidéo de l’UDC dénonçant les crimes des Érythréens en Suisse

Youtube a bloqué l'accès à une vidéo de l'UDC zurichoise, car son message violait le règlement du site contre les appels à la haine. Le parti dénonce «une censure».

La vidéo incriminée va droit au but: musique dramatique, articles de journaux rapportant des délits attribués à des ressortissants érythréens, puis l'affirmation suivante: «Ils ne sont pas des vrais réfugiés.» Ces images ont été téléchargées sur Youtube la semaine dernière. Le portail vidéo en ligne les a désormais bloquées, révèle le «Tages-Anzeiger» jeudi.

 

https://youtu.be/RA0GPrGrcAc

 

[...]

20min.ch

 

 

 

 

Pour l’association des journalistes allemands, la divulgation de l’origine des délinquants doit rester une exception “Cela ferait le jeu des discours de haine”

En d'autres termes, les journalistes savent pertinemment que les migrants sont surreprésentés dans le secteur de la criminalité mais leur principale préoccupation est de "combattre la haine sur Internet" au lieu de protéger le peuple. Joli aveu.

Ce processus implique directement des conséquences sur le plan politique puisqu'un peuple ignare est bien plus réceptif aux niaiseries de la gauche. Ces journalistes pratiquent donc non seulement une manipulation vis-à-vis des leurs mais encore militent pour l'idéologie de gauche sous couvert de "combat contre la haine". Les victimes allemandes n'ont aucune importance pour eux.

Ce sont ces mêmes médias qui osent parler de "fake news" et dispenser leurs leçons de morale par la suite.

**********

L'Association des journalistes allemands rejette la proposition du ministre de l'Intégration de Joachim Stamp (FDP), qui consiste à toujours mentionner l'origine des suspects et des délinquants dans les rapports criminels.

La mention de l'origine ethnique des suspects et des délinquants dans les médias doit rester l'exception et ne doit pas devenir la règle. Sinon, le journalisme pliera face aux propagateurs de la haine et du racisme sur les réseaux sociaux, a déclaré Frank Überall, président de l'Association allemande des journalistes (DJV) [...]

Depuis les agressions sexuelles massives perpétrées par des Nords-Africains contre des femmes la veille du Nouvel An à Cologne en 2015/16, on a l'impression que les médias ne présentent pas correctement certaines choses. A l'époque, la police et la presse étaient restées silencieuses pendant plusieurs jours sur l'ampleur réelle de la violence pour des raisons de "politiquement correct".

[...]

Le ministre de l'Intégration de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Joachim Stamp (FDP), avait déjà suggéré la mention systématique de l'origine des auteurs présumés dans les rapports de presse. Lorsqu'aucune origine n'est mentionnée, les internautes spéculent rapidement dans les commentaires qu'il s'agit d'une personne issue de l'immigration.

[..]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Faz.netCompact-online.de

 

Genève : Professeur convoqué car ses messages Facebook sont trop à droite.

Un professeur officiant au cycle d'orientation et au collège a été convoqué par le Département de l'instruction publique (DIP) pour un entretien de service le 11 septembre, rapporte «Le Courrier».

L'homme, président de l'association refaire l'école (Arle) et membre de l'UDC, revendique lui-même son appartenance à la droite dure et souverainiste. Il lui est reproché une série de posts Facebook, jugés discriminatoires voire racistes par certains observateurs, dont l'ancienne conseillère d'Etat Martine Brunschwig Graf, présidente de la Commission fédérale contre le racisme.

(...)

20Minutes.ch

Nos remerciements à Wilhelm

 

Rappels :

L’Université de Lausanne reste un foyer pour les marxistes: « Certains enseignants se réclament du marxisme révolutionnaire. »

Affaire Ramadan: Martine Brunschwig Graf, présidente de la Commission fédérale contre le racisme, était au courant

Martine Brunschwig Graf: «J’ai lu le Coran avec des commentaires. Je n’ai pas vu le rejet des autres religions»

 

L’organisation féminine Alliance F et la société NetzCourage s’attaquent aux insultes et aux menaces sur le Net

Cenator : Voici de nouvelles associations féministes parasites, qui viennent se rajouter aux associations antiracistes (expression adorable puisque ces dernières nient l’existence même des races), associations qui ont fait leur fonds de commerce de museler les citoyens en colère.

En Suisse romande, ce sont les gauchistes et autres parasites qui ont l’exclusivité des manifestations. La droite est inaudible, sinon sur les réseaux sociaux. Pas de médias de droite, pas de presse ni d’ondes dédiées à la pensée non politiquement correcte, nada, rien du tout. Pourtant les gauchistes ne sont jamais satisfaits du pouvoir qu’ils ont déjà. Boulonnés sur leurs trônes, gavés de leurs privilèges, gagnant leur salaire à ne rien faire, en nombre toujours croissant, ils poussent des hurlements de putois lorsqu’un journal-poubelle – Lausanne Cités, fait de pub et de non-nouvelles – risque de passer dans les mains de Christoph Blocher. Les gauchistes au pouvoir se dépêchent alors, avec l’argent des contribuables, de financer le manque à gagner afin de tordre le cou à la possibilité pour le peuple de s’exprimer. Leur pouvoir actuel ne leur suffit plus. Ils veulent la totale, la dictature soviétique, ils veulent faire taire toute opposition, en la saignant par des amendes au « moindre pet de travers » et… cerise sur le gâteau, se faire entretenir pour cela...

La pugnacité des femmes de gauche, des femmes vertes fera merveille pour ôter toute légèreté, toute désinvolture dans l’espace public (il va de soi que nous haïssons l’emploi d’insultes gratuites et nous approuvons les sanctions à ce sujet).

Il est interdit de haïr nos ennemis. Il est interdit de dire ce que la majorité du peuple pense.

Les votations sont, selon toute probabilité « biaisées » de milles manières par toute la mafia de gauche sans foi ni loi. Notre pays cesse d’exister chaque jour un peu plus.

Les Suisses sont totalement manipulés, abrutis par les médias, la droite est isolée, amorphe, elle n’arrive plus à se relever, tant elle a reçu de coups de ses ennemis.

Comme le dit Orban : nous devrions nous prendre en main et nous faire entendre, que la gauche l’autorise ou non.

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Michel Guillaume (@mfguillaume) Correspondant au Palais fédéral

L’organisation féminine Alliance F et la société NetzCourage s’attaquent aux insultes et aux menaces sur le Net. En Suisse romande, Amanda Gavilanes a été l’une des seules à porter plainte

[...] Alliance F, qui regroupe environ 70 associations féminines, s’apprête à lancer un projet pour combattre le phénomène du discours de haine, mais elle a encore besoin d’argent pour le financer. Elle cherche 240 000 francs, [...]

Une initiative pour un débat respectueux

[...] Quelque 60 bénévoles – des «anges numériques» (digital angels en anglais) – vadrouilleront sur les réseaux sociaux et répondront aux auteurs de commentaires insultants. [...]

[...] Sophie Achermann, la secrétaire générale d’Alliance F : [...]

[...] En Suisse romande, la conseillère municipale Amanda Gavilanes (PS/Genève) a été l’une des premières à actionner la justice. Lors d’un débat, elle défend la modification d’un règlement permettant de se baigner avec tout type de vêtements, y compris le burqini. Un internaute à la retraite l’invective immédiatement: «Pas de piscine pro-muzul. Salope.» «J’ai été très choquée. Ce commentaire était scandaleux, sexiste et raciste. Mais j’ai eu énormément de soutiens qui m’ont encouragée à porter plainte pour atteinte à l’honneur et discrimination raciale.»

Le 26 mars dernier, le tribunal ne retient que l’injure, mais condamne l’auteur de l’insulte à une amende de 540 francs, ainsi qu’à 30 jours-amendes avec un sursis de 3 ans. [...]

Des réactions démesurées

Pour sa part, la conseillère nationale Ada Marra (PS/VD) a jusqu’ici renoncé à toute démarche juridique. Elle en aurait pourtant eu l’occasion lorsqu’elle poste un texte détonant sur Facebook – «LA Suisse n’existe pas» –, dans lequel elle remet en question ses mythes fondateurs. Elle reçoit 2600 commentaires sur son mur. «Je ne m’attendais pas à un tel torrent de boue, qui visait à l’anéantissement de ma personne.

[...]

Une association pour contrer les harceleurs

En Suisse alémanique, Jolanda Spiess-Hegglin a créé l’association NetzCourage, qui dénonce systématiquement tous les harceleurs du Net au Ministère public cantonal.

[...] En deux ans, NetzCourage a sollicité la justice à près de 180 reprises. Bilan provisoire pour les affaires réglées: 60 condamnations et 80 accords à l’amiable. Jolanda Spiess-Hegglin ne cache pas qu’elle préfère nettement la seconde solution, qui permet d’«apprendre à se connaître et à se respecter».

Le portrait-robot du harceleur? «Le citoyen en colère enclin à voter pour un parti populiste, un homme âgé à la retraite, presque toujours Suisse», répond-elle. En cas d’accord, celui-ci s’en tire avec un don de quelques centaines de francs à NetzCourage. En cas de condamnation, la facture est plus lourde: entre 800 et 1500 francs, frais de justice inclus.

Un projet de loi

[...] le Tages-Anzeiger a révélé que la femme la plus touchée était la conseillère fédérale socialiste Simonetta Sommaruga.

Contactée par Le Temps, celle-ci a déclaré: «L’internet n’est pas une zone de non-droit. Notre législation s’y applique et nous devons la faire respecter, notamment en cas d’insultes, de menaces, d’appels à la haine et à la violence.» La cheffe du Département fédéral de justice et police ne reste pas passive: elle vient de soumettre au parlement un projet de loi renforçant la protection des femmes lorsqu’elles se défendent contre l’auteur de l’acte dont elles sont victimes.

Source: https://www.letemps.ch/suisse/trainee-salope-pute-mobilisation-generale-contre-insultes-sexistes

 

Voir aussi : https://lesobservateurs.ch/2018/08/17/apres-lagression-de-geneve-les-femmes-socialistes-vont-faire-une-campagne-de-prevention-mais-refusent-devoquer-la-nationalite-des-agresseurs/

Suisse: 2 mineurs inculpés pour soutien à l’Etat islamique. Pour éviter la “stigmatisation” aucune information ne sera donnée au public suisse.

Les kouffars resteront dans l'ignorance sur ce qui se passe dans leur propre pays, au mépris de leur propre sécurité. Circulez, 'y a rien à voir!

A noter que c'est également à Zurich que la police ne cite plus l’origine des délinquants pour des raisons de « discrimination ». Ainsi en avait décidé le politicien de gauche Richard Wolff.

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Zurich. Deux jeunes s'étaient rendus en Syrie pour adhérer à l'Etat Islamique avant de revenir en Suisse.

En raison de la protection de la personnalité et afin d'éviter une stigmatisation, la procédure contre les deux inculpés n'est pas publique. La justice des mineurs ne donnera donc aucune information supplémentaire sur les accusations portées ou les sanctions réclamées.

Source et article complet

 

Rappels:

Zurich: le PS contourne la décision du peuple et continue à financer les « réfugiés admis provisoirement ».

Tarek Naguib, chercheur à l’Université de Zurich: « Les étrangers sont systématiquement défavorisés en Suisse. La supériorité de la culture occidentale est un mythe. »

Zurich: 100’000 francs de dégâts après une manif d’extrême gauche

«La Suisse accueille des nazis» : manifestation à Zurich contre la venue de Trump à Davos (IMAGES)

Zurich: Père musulman interdit à ses enfants de se rendre dans une église

Zurich: Des policiers attaqués à coup de barres de fer par des extrémistes de gauche

Zurich: Un musulman se prénommant «Jihad» souhaite être naturalisé.

Oui, Facebook censure des pages chrétiennes!

Le fondateur de Facebook a comparu devant une commission d’enquête du Sénat des États-Unis le 10 avril dernier et a reconnu une « erreur » de son entreprise sur l’affaire de la publicité de l’Université franciscaine de Steubenville, dont nous avons traité (n° 162 daté du 9 avril). Mais les sénateurs l’ont aussi interpellé sur le blocage de nombreuses pages chrétiennes, mésaventure qui est aussi advenu au blog de L’Observatoire de la Christianophobie…

Mark Zuckerberg, P.-D.G. et fondateur de Facebook, a comparu devant [une commission] du Sénat des États-Unis […] Lors de son audition de plus de cinq heures, Mark Zuckerberg a présenté ses excuses et déclaré que Facebook « avait commis une erreur » en bloquant une publicité d’une université franciscaine qui montrait la croix de San Damiano […]

En outre, le sénateur Ted Cruz a interrogé Zuckerberg sur un préjugé possible envers certains contenus religieux [ …] et a précisé que Facebook « avait bloqué plus d’une vingtaine de pages catholiques […] après avoir estimé que leurs contenus étaient “dangereux” pour la communauté” ». En juillet 2017, 25 pages d’inspiration catholique furent bloquées par Facebook : 21 brésiliennes et 4 en langue anglaise, administrées par des personnes aux États-Unis et en Afrique, et possédant des millions d’abonnés.

Religión en Libertad, 22 avril – © CH pour la traduction.

 

Source Christianophobie Hebdo Via Infocatho.fr

Source2 Source3 Source4

 

Loi anti Fake News: Une journaliste rappelle que l’infiltration par l’Etat islamique des vagues migratoires était qualifiée à tort de Fake News

Charlotte d’Ornellas (Valeurs Actuelles) : «En août 2015, il y a la grande vague migratoire. Christian Estrosi avait dit “DAESH a prévenu, ils vont infiltrer la vague migratoire”. Tous les médias ont titré à ce moment-là “L’infiltration de la vague migratoire par DAESH, fantasme, on vous explique pourquoi”, France Inter en premier, l’audiovisuel public. Et 3 mois après, on avait le Bataclan avec une cellule composée à Racca qui s’est servie de la vague migratoire pour arriver jusqu’en France et se reconstituer dans l’Espace Schengen. Alors, ça c’était pas une Fake News ? Macron dit qu’une Fake News menace la démocratie libérale, mais une Fake News, ça peut aussi menacer des vies très directement. Et là, c’était des médias tout-à-fait classique comme il les a appelés lui-même. Et ça c’est un vrai problème. Qui dit la vérité ?»

– CNEWS, 4 janvier 2018 Via Fdesouche.com

https://youtu.be/aUTS4H0f01o

La fin de l’Internet ouvert et le retour à l’âge des ténèbres

Par Jonathan Cook

Peut-on encore douter que l’accès à un internet relativement libre et ouvert s’achève rapidement en Occident ? En Chine et dans d’autres régimes autocratiques, les dirigeants ont tout simplement détourné l’Internet à leur guise, censurant les contenus qui menacent leur pouvoir. Mais dans l’Occident « démocratique », les chose se passent différemment. L’État n’a pas besoin d’intervenir directement – il sous-traite son sale boulot aux entreprises privées.

Suite

 

Censurer la nationalité des délinquants: les Verts veulent généraliser la pratique dans toute la Suisse

Criminalité

Le parti s’active pour que les polices du pays suivent l’exemple de la ville de Zurich. L'UDC songe à lancer une initiative cantonale.

Le parti national est en contact avec les sections cantonales pour encourager le dépôt d’interventions appelant à abandonner toute allusion à la nationalité. «C’est une information qui n’apporte rien si ce n’est de renforcer des préjugés dangereux et l’idée d’un lien causal entre l’origine et le délit. Or, ce sont d’autres facteurs qui jouent un rôle, comme le niveau socioéconomique ou de formation», plaide Lisa Mazzone, vice-présidente des Verts. La conseillère nationale genevoise veut empêcher que cette donnée soit instrumentalisée à des fins politiques.

À Genève, son parti pourra compter sur le soutien des socialistes. «Nous allons très certainement déposer une motion. Cette pratique encourage le racisme ordinaire. Elle est à bannir dans les communiqués de police, comme dans les médias», affirme Romain de Sainte Marie, député et vice-président du PS cantonal.

(...)

Source et article complet

Rappel: La censure à Zurich provient d'un extrémiste de gauche

Zurich. Censure de la nationalité des délinquants. Plus de 80% des sondés y sont opposés.

La démocratie à la sauce de la gauche:

 

La nationalité des auteurs ne peut être divulguée que sur demande

Trouvez-vous cette nouvelle réglementation de Zurich correcte ?

- 82% des votants pensent que la nationalité devrait toujours être connue.

 

sondage

 

Source

Rappels:

« Faut-il rendre publique la nationalité des criminels ? »

Zurich: La police ne cite plus l’origine des délinquants pour des raisons de « discrimination ». Ainsi en a décidé le politicien de gauche Richard Wolff.

Zurich: La police ne cite plus l’origine des délinquants pour des raisons de “discrimination”. Ainsi en a décidé le politicien de gauche Richard Wolff.

Christian Hofer: Cela a été commandité par un politicien de la Gauche Alternative (à la suite d'une proposition d'un PS et d'un Vert libéral). Ce politicien appartenait auparavant à... l'extrême gauche! Il est à présent directeur de la police de Zurich!

Ce dernier traine d'ailleurs d'autres casseroles, ses deux fils fréquentant des squats illégaux avec plantations visibles de cannabis et autres nuisances à la clé. Ce qui ne l'empêche nullement d'être toujours à son poste.

Aujourd'hui ce gauchiste s'attèle à l'un des thèmes favoris des immigrationnistes: cacher les délits des étrangers aux yeux des Helvètes "xénophobes", la naturalisation n'étant pas encore assez efficace pour tromper le citoyen.

La vérité et l'information libre sont visiblement un très gros problème pour ces individus.

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Le sexe et l'âge des criminels sont communiqués, la nationalité ne l'est plus car cela est discriminatoire. Cette nouvelle règle émanant du chef de la police Richard Wolff est à présent en vigueur 

Dans les rapports, la police municipale de Zurich communiquait jusqu'à présent la nationalité des auteurs ou des suspects en plus du sexe et de l'âge. C'est terminé. A partir de maintenant, la police de la ville ne citera plus la nationalité automatiquement, mais seulement sur demande.

Ce dispositif a été annoncé aujourd'hui aux médias par le conseiller municipal Richard Wolff, chef du département de la sécurité.

(...)

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Info

Lésions culturelles simples. La chronique d’Yvan Perrin

Nous avons été nombreux à assister à un échange culturel mettant en scène deux jeunes, l'un blanc, l'autre noir, le premier étant violemment agressé par le second dans une gare jurassienne. Un spectateur a en effet eu l'excellente idée de poster la vidéo célébrant l'exploit sur internet, ce qui a provoqué quelques réactions vigoureuses de la part de certaines personnes peu acquises à ce genre de manifestation d'amour.

Pareil comportement déplacé doit être combattu avec la plus extrême rigueur, ce que la police jurassienne se propose de faire dans un communiqué au ton très ferme. Les autorités puniront avec énergie les fautifs coupables de s'indigner de l'agression et, partant, du comportement de l'agresseur.

On aurait attendu quelques mots de soutien en faveur de la victime qui se serait sans doute bien passée du moment auquel il nous est donné d'assister, ceci manifestement au grand dam du commandant de la police jurassienne. Il n'en est rien.

Il eût été agréable d'apprendre que la police était sur les traces de l'agresseur africain afin de le trainer devant ses juges mais la justice jurassienne préfère s'attaquer à toute personne exprimant son indignation face à l'acte dont nous parlons. Pour bien se faire comprendre, dite justice menace expressément les adeptes de la liberté d'expression des pires maux judiciaires, ceci dans la grande tradition de quelque défunte république populaire. Cela ne l'honore pas mais le Procureur général a manifestement des priorités.

Concluons avec Juvénal qui ne pensait pas si bien dire :

"La censure pardonne aux corbeaux et poursuit les colombes".

 

Yvan Perrin, le 12 octobre 2017

Censure de Facebook et complicité des médias : la dictature est « en marche » !

Par Sébastien Jallamion

Facebook, qui revendiquait un total de 33 millions d’utilisateurs actifs en France en janvier 2017, vient d’avouer à l’agence Reuters avoir fermé 70.000 comptes français durant la dernière campagne présidentielle. Déjà épinglé par une enquête publiée sur le journal du net en 2015, le cas de la censure sur le réseau social Facebook en France franchit donc un nouveau cap alarmant.

Dévoilant l’information sur son blog, exemples à l’appui, Boris Le Lay a souligné le profil des comptes concernés, qui ont pour point commun de critiquer Emmanuel Macron, et/ou d’être hostiles à l’islam.

=> Lien vers l’article sourcé de Breizh Atao

Rappelons que Boris Le Lay est ce blogueur saoudien breton exilé au Japon et condamné à des peines cumulées de 6 ans de prison ferme pour ses seuls propos, sans que cela n’émeuve le moins du monde la presse traditionnelle, dont la liberté relative n’a d’égal que la propension à se soumettre au pouvoir oligarchique, en particulier lorsqu’il la détient.

Ainsi, le journal l’Express, qui pour mémoire appartient au très macroniste Patrick Drahi, a publié un article pour le moins incendiaire et caricatural relevant de la plus élémentaire propagande contre Boris Le Lay, présenté comme un « troll breton qui répand la haine » (sic). Staline et Goebbels réunis n’auraient pas fait mieux…

Rappelons au pseudo journaliste aux ordres de l’Express que l’anglicisme de « troll » est employé dans le jargon des internautes pour désigner une personne qui publie de manière intempestive des messages sans intérêts dans le seul but de perturber le déroulement d’un fil de discussion. Ce terme est donc parfaitement inapproprié s’agissant de désigner un blogueur, fusse-t-il dissident, identitaire, et donc politiquent « incorrect »…

Ensuite, il convient de ne pas confondre entre ceux qui relaient la colère légitime et grandissante des Français, que l’on soit d’accord ou non avec elle, avec le fait de « répandre la haine », ce que n’importe qui peut vérifier par lui-même en consultant le blog de Boris le Lay.

Cette presse servile, qui sert la soupe à l’oligarchie et trompe l’opinion, est parfaitement représentative et nécessairement complice de la dictature qui s’instaure progressivement dans notre pays, et dont l’un des symptômes les plus flagrants consiste à museler des courants d’opinion qui ne vont pas dans le sens de la doxa dominante.

Le fait est que notre liberté d’expression, valeur occidentale par excellence, et pilier de toute démocratie, est plus que jamais menacée. Au lieu de la défendre et de faire leur métier, les journalistes s’en accommodent, avec une lâcheté déconcertante. Ils feraient mieux de se demander à qui cela profite, et de se projeter dans l’avenir afin d’appréhender la gravité de ce qu’il se passe en France, à commencer par la censure des voix dissidentes sur les réseaux sociaux. Mais  après tout, être le premier pays au monde en terme de censure sur Facebook n’est peut-être pas une actualité…

N’allons pas jusqu’à espérer que ces mêmes journalistes couvrent le contentieux alarmant des procès à caractère politique, ni même de ces Français contraints à l’exil : on ne peut pas à la fois être soumis et résistant…

Sébastien Jallamion

Archive : interview de Boris Le Lay par Sébastien Jallamion

Article paru en premier sur RL