Prisons : 7 détenus sur 10 seraient musulmans

Réalité ou intox ? Selon un rapport de l'administration pénitentiaire que nous avons pu consulter grâce à l'ouverture d'esprit d'un directeur d'un établissement, 50 % des détenus ont sollicité un plateau repas spécial lors du dernier ramadan contre 27,5 % de détenus, en 2016, qui avaient demandé un repas spécial ramadan . Cette estimation doit aussi comporter une pondération chiffrées, puisque tous les musulmans ne pratiquent pas nécessairement le ramadan, et une partie des détenus musulmans purgent leur peine sous bracelet électronique à leur domicile.

Ces chiffres sont alarmants, car le gouvernement Castex affirme que les étrangers en France (ils ne sont pas tous musulmans) ne représentent que "7 % de la population totale". Sur cette base, je vous laisse calculer les taux de criminalité entre les communautés.

De manière plus globale, l'évaluation pénitentiaire de 60 % ou 70% de prisonniers musulmans, souvent citée par le candidat patriote Eric Zemmour, correspond à une estimation obtenue après une enquête sociologique  du sociologue Farhad Khosrokhavar. Ces chiffres ont une base réelle et officielle.

Le 19 mars 2021, lors d'un débat avec l'humoriste Yassine Belattar sur CNews, Eric Zemmour avait déclaré que "70 % de la population en prison est musulmane". Interrogé par l'animateur Pascal Praud sur la source de ces statistiques, le journaliste du Figaro déclarait les tenir d'un "rapport parlementaire".

Déjà en 2014, "Cette estimation de 60 %" avait été confirmée par le rapport du député UMP de l'Yonne Guillaume Larrivé.

L'ouvrage du sociologue Farhad Khosrokhavar paru en 2004 confirme, dès cette époque, le taux très élevé de détenus musulmans. Farhad Khosrokhavar avance que dans les prisons françaises, le taux de prisonniers musulmans dépasse "souvent les 50 %, avoisinant parfois les 70 %, voire les 80 % dans les prisons proches des banlieues, soit huit prisonniers sur dix".

A la lumière de cet éclairage chiffré, l'élection présidentielle, qui se joue dans deux mois, est un véritable choix de société. Soit la France poursuit sa politique d'accueil de millions de migrants supplémentaires et se doit de construire des prisons pour les années à venir. Soit l'électorat français fait confiance à Eric Zemmour, homme de conviction et de parole pour stopper la criminalité et la délinquance d'origine étrangères dans notre pays. Chaque français a les clés de l'avenir entre ses mains via son bulletin de vote.

 

Italie: depuis que les populistes ne sont plus au gouvernement, les arrivées de migrants illégaux par la mer ont augmenté de 673%

Les débarquements de migrants illégaux ont été presque multipliés par huit depuis que la ministre italienne de l'Intérieur Luciana Lamorgese a succédé à Matteo Salvini en 2019.

En début de semaine, Mme Lamorgese, membre du Parti démocratique (PD) de gauche, a admis qu'elle ne pouvait pas arrêter la vague de nouveaux débarquements d'immigrants illégaux qui continuent d'arriver sur les côtes de la Sicile.

"Beaucoup de débarquements sur les côtes siciliennes sont autonomes, et nous ne pouvons pas les arrêter. La lutte contre l'immigration par mer est très différente de celle par la terre", a-t-elle affirmé dans des propos rapportés par le quotidien italien Il Giornale.

Cependant, il y a tout juste deux ans, quand le leader de la Lega Matteo Salvini était ministre de l'Intérieur dans un gouvernement de coalition populiste avec le Mouvement 5 étoiles, il a réussi à réduire considérablement les débarquements à seulement 4120 du 1er janvier au 10 août 2019.

Le nombre de débarquements a augmenté au cours de la même période de cette année pour atteindre 31 853, soit une hausse de 673 %.

En 2020, seuls 3 351 migrants illégaux sur les 34 133 arrivés en Italie cette année-là ont été expulsés, mais cela a tout de même coûté des millions d'euros au contribuable italien.

Les cas de noyades de migrants en Méditerranée ont également été moins nombreux sous l'ère Salvini, et sa politiques anti-migration a été créditée de cette baisse en 2018, une tendance qui s'est poursuivie en 2019.

Depuis qu'elle est ministre de l'Intérieur, Mme Lamorgese a également augmenté la somme d'argent accordée aux migrants et augmenté les fonds globaux consacrés à leur accueil, ce qui a créé un nouvel "appel d'air" selon ses critiques.

Salvini avait également adopté une ligne beaucoup plus dure à l'égard des ONG servant de "taxis" aux migrants, obligeant nombre d'entre elles à abandonner leurs opérations en Méditerranée.

Au cours des derniers mois, toutefois, ces ONG ont repris leurs activités, déposant des centaines de migrants en Italie.

Les experts ont également exprimé leur inquiétude quant à la possibilité que des extrémistes islamiques radicaux se cachent parmi les migrants arrivant en Italie.

Le procureur national chargé de la lutte contre la mafia et le terrorisme, Federico Cafiero de Raho, s'est dit particulièrement préoccupé par la récente instabilité en Tunisie, un des principaux points de départ des migrants arrivant en Italie.

Il a relevé que le terroriste tunisien à l'origine de l'attentat de l'année dernière dans une cathédrale de Nice, qui a fait trois morts, était entré illégalement en Europe depuis la Tunisie via l'Italie.

Source : Breitbart
Traduction Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

Un Somalien poignarde un sans-abri en Allemagne, puis lui coupe la tête

Le 20 juillet, un homme de 21 ans a poignardé un homme de 52 ans dans un refuge pour sans-abri de la ville allemande de Regen, puis il lui a coupé la tête avec un couteau.

Le suspect, qui est arrivé en Allemagne en provenance de Somalie, a été arrêté plusieurs heures après le crime et transféré plus tard dans un hôpital. Comme il refuse de témoigner, les enquêteurs n'ont pas encore trouvé le mobile du crime.

"Nous supposons qu'il y avait un différend entre l'agresseur et la victime, et que les deux hommes se connaissaient. Jusqu'à présent, il n'y a aucune indication d'un motif politique ou religieux", a déclaré le porte-parole de la police.

Il a ajouté qu'au cours des derniers mois, l'auteur des faits s'est rendu coupable de plusieurs vols et a blessé une autre personne. Il avait déjà été traité une fois à l'hôpital de district.

Le maire de Regen, Andreas Kroner, a critiqué les autorités responsables pour ne pas avoir informé la ville du danger que représentait le suspect:

"Après avoir été soigné une première fois à l'hôpital de district, il a simplement été renvoyé chez nous sans que personne ne nous dise quoi que ce soit. Je trouve cela inacceptable pour moi."

Ce nouveau meurtre rappelle l'agression survenue en juin de cette année, lors de laquelle un homme de 24 ans, également d'origine somalienne, a tué trois personnes et grièvement blessé cinq autres. Lui aussi vivait dans un foyer pour sans-abri. La police l'a abattu lors de son arrestation.

21-Jähriger soll Mann in Obdachlosenunterkunft den Kopf abgetrennt haben – Die Welt

Somali man stabs a homeless man in Germany, then cuts off his head – ReMix

Résumé Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

Arrestation à Crans-Montana d’un Marocain sans papiers, multirécidiviste, avec 24 identités

Gilles Berreau 14.07.2021

Vingt-cinq identités différentes pour un seul homme! Un Marocain condamné cette année en Valais pour différents vols avait multiplié au cours des années les fausses déclarations sur sa réelle identité. Afin d’éviter ainsi des peines de plus en plus lourdes au fil de sa longue carrière délictueuse. Un stratagème qui n’a pas fonctionné comme espéré [...]

article réservé aux abonnés: https://www.lenouvelliste.ch/articles/valais/valais-central/valais-le-voleur-se-cachait-derriere-24-noms-differents-un-record-1091071

En résumé: A chacune de ses interpellation, le Marocain se présentait sous un prénom inventé pour l'occasion: Amar, Faras, Mebarki, Mebaki, Lamar, Michel, et comme patronymes: Smaïn, Farid, Faris, Fand, Seman, avec des dates de naissances tout aussi variées.

Ce cirque a duré des années, sans que l'homme soit expulsé.

Le Marocain a écopé de 150 jours-amende avec sursis et de 500 francs d’amende, amende qu'il ne payera jamais, à moins que le lobby asile lui vienne en aide.
En effet, le Marocain et son avocat espèrent annuler la décision d'expulsion, voire obtenir un permis de séjour, en invoquant le lourd dossier médical attestant de ses pathologies. Une aubaine pour l'asile business, pour s'emparer de l'affaire.
Nous voudrions voir l’addition de ce que ce Marocain a coûté aux contribuables et durant combien d'années, en matière de soins médicaux, hospitalisations et de frais judiciaires, et aussi le préjudice causé aux commerçants par ses vols durant ces années.

 

Cenator

 

Encore une agression au couteau par un immigré afghan en Allemagne: un mort

Un résident  d’un centre pour réfugiés et sans-abri à Greven, en Allemagne, a été tué dans une agression au couteau. Une autre personne a été gravement blessée. L’auteur présumé est un Afghan de 25 ans.

Cet incident choquant a eu lieu dans un centre d’hébergement pour réfugiés à Greven (Rhénanie-du-Nord-Westphalie).
Un résident âgé de 35 ans a été tué par arme blanche.
En outre, un homme de 43 ans a été grièvement blessé dans l’attaque survenue lundi matin.

Selon le parquet et la police, la victime était originaire d’Azerbaïdjan et l’homme de 43 ans grièvement blessé est un ressortissant allemand.

L’auteur présumé, un Afghan de 25 ans, avait pris la fuite après avoir commis le crime, mais il a finalement été découvert dans un champ adjacent et arrêté sans opposer de résistance. Un hélicoptère a été utilisé pour les recherches.

Selon des témoins, il a crié “Allahu Akbar” au moment de l’agression.

Le contexte du crime n’a pas encore été clarifié. Le procureur chargé de l’affaire a expliqué que

l’auteur présumé, entré en Allemagne en 2015, réside dans cet établissement depuis janvier 2018. Il est possible qu’il ait été sous l’influence de l’alcool et de drogues au moment du crime.”.

Fin juin, un Somalien de 24 ans avait tué trois femmes dans le centre de Würzburg (Bavière) et attaqué de nombreuses autres personnes avec un couteau. La police a mis plusieurs jours avant d’admettre le caractère islamiste de l’agression.

Sources:
Une autre agression au couteau par un immigré afghan en Allemagne: une victime mortelle
Germany: Afghan asylum seeker shouting “Allahu Akbar” stabs man to death
Afghane soll Mitbewohner in Flüchtlingsunterkunft getötet haben

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Voir aussi : Vetlanda (Suède) : un migrant afghan attaque à l’arme blanche 7 personnes au hasard, car il avait entendu « Allah n’existe pas »

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Dans l’affaire du viol collectif et de l’assassinat d’une adolescente autrichienne de 13 ans par de jeunes « demandeurs d’asile » afghans (dont nous avons parlé ici), un troisième suspect a été arrêté et un quatrième est internationalement recherché.

Allemagne: une bande d’enfants migrants de 12 à 14 ans agresse deux ados, les vole, les tabasse et les poignarde

Vendredi soir 18 juin, vers 21h45, deux jeunes de 15 et 16 ans ont été violemment battus, volés et poignardés par un bande de mineurs migrants à Essen.

Le gang a poursuivi deux garçons, leur a donné des coups de pied et les a volés, puis a retardé l'un d'eux et s'est enfui. Depuis, la police a encerclé les assaillants sans succès.

À à la gare d'Essen-Borbeck, en Allemagne, une bande d'enfants migrants de type africain se sont mis à harceler et pourchasser deux garçon de 15 et 16 ans. Le groupe de six à sept enfants a encerclé les jeunes en exigeant de l'argent, écrit V4NA.

Un porte-parole de la police a déclaré à propos de "l'incident" que bien que le gang ait reçu de l'argent des jeunes, ils ont continué à les suivre.

Craignant pour leur intégrité, le garçon de 16 ans a remis l'argent qui lui restait, espérant se débarrasser du groupe. Cependant, à l'entrée d'un immeuble, ils ont été rattrapés, encerclés de nouveau, le garçon de 15 ans a été poussé à terre puis roué de coups de pied par la bande, puis l'un des agresseurs a sorti un couteau et poignardé sa victime étendue au sol. Et lorsque le jeune de 16 ans s'est précipité au secours de son ami, il a été menacé d’un couteau, qui lui a été pointé au cou.

Avant de s'enfuir, le groupe a menacé les garçons de conséquences s’ils avisaient la police. Après cela, des passants ont aidé les jeunes et ont prévenu la police, qui n'a pas pu rattraper les agresseurs.

Les suspects sont décrit par la police d'une manière très "poétique":
"un groupe d' enfants,  âgés de 12 à 14 ans",  mesurant de 150 à 170 cm, ayant la peau foncée, des cheveux noirs bouclés (bouclés-bouclés? ou crépus?) et étaient tous vêtus de vêtements noirs.

Source https://vasarnap.hu/2021/06/27/migrans-gyermekekbol-allo-banda-rabolt-ki-fiatalokat

Source 2 (sous abonnement): https://v4na.com/hu/migrans-gyermekekb-l-allo-banda-rabolt-ki-fiatalokat-essneben

Traduction libre Albert Coroz

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Le Gauche allemande: Nous avons besoin de plus de réfugiés!

26 juin 2021 par Baron Bodissey

Le parti de gauche (Die Linke) en Allemagne est mécontent du rythme du « regroupement familial ». Il veut plus de migrants, et plus vite !

Merci à Hellequin GB pour la traduction anglaise de cet articlede Die Welt:

Environ 11 000 migrants attendent un rendez-vous pour un visa

Des milliers de personnes attendent des rendez-vous dans les missions diplomatiques allemandes. Actuellement, le nombre de visas approuvés pour le regroupement familial est bien au-dessous de la limite légale – la Gauche au Bundestag a vivement critiqué le gouvernement fédéral pour cela.

Selon un article de presse, près de 11 000 proches de migrants attendent un rendez-vous dans les missions diplomatiques allemandes à l'étranger pour un visa de regroupement familial.
Cela ressort de la réponse du gouvernement fédéral à une demande du groupe parlementaire de gauche au Bundestag, que les journaux du groupe de médias Funke ont reçue.
Selon cette source, fin mars, il y avait 10 974 demandes de rendez-vous pour un regroupement familial avec un réfugié admis dans ce pays avec une protection dite provisoire (en Suisse, c'est l'admission provisoire, le permis F) - par exemple dans les ambassades et les consulats au Liban, en Irak edu Nord et en Turquie.
Une admission provisoire ou limitée est accordée à toute personne qui risque de subir un préjudice grave dans son pays d'origine, par exemple la torture ou la guerre.
Par exemple, de nombreux réfugiés syriens de la guerre civile entrent dans cette catégorie.

Selon l'article de Funke, le nombre de visas mensuels pour le regroupement avec l'admission provisoire est encore bien en deçà de la limite de 1 000 personnes par mois fixée par la loi.
En janvier 2021, les missions diplomatiques allemandes ont délivré 264 visas pour le regroupement familial, en février 473, en mars 442 et en avril 363.
Dans le processus de demande, qui est complexe, l'Office fédéral de l'administration sert d'interface entre les autorités de l'immigration et les missions diplomatiques à l'étranger.
Avec la pandémie de covid et les restrictions qui concernent également le travail des consulats allemands, les chiffres avaient récemment considérablement diminué, mais ils étaient déjà inférieurs à la limite supérieure.
L'experte de l'Intérieur du groupe parlementaire de gauche au Bundestag, Ulla Jelpke, a vivement critiqué le gouvernement fédéral.

"Il est dommage qu'actuellement, seules quelques centaines de personnes ayant droit à la protection provisoire soient autorisées à rejoindre leur famille chaque mois - ce n'est même pas la moitié du quota déjà inconstitutionnel", a déclaré Jelpke aux journaux Funke.

Le traducteur de Gatesofvienna ajoute cette postface:

Ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi les personnes bénéficiant de la protection reovisoire se voient accorder le droit au regroupement familial, et j'ai du mal à comprendre pourquoi la plus petite partie de la famille vivant en Allemagne ne rejoint pas la plus grande partie de sa famille dans son pays d'origine, puisqu'ils y vont déjà régulièrement lors de vacances payées par les contribuables.

Mais tout cela fait partie du « plus grand plan de génocide », je suppose. En effet, le gouvernement Merkelstani fournit une sorte d'aide à l'immigration avec ce visa, et cela au détriment de la population locale et des contribuables, et il accepte qu’encore plus de mèches soient allumées pour la poudrière sociale et que les déficits dans la construction de logements et la sécurité intérieure continuent à croître.

Je me demande pourquoi il n'y a pas eu de discussion sur l'impact CO₂ lors de l'adoption de ce scénario de "changement climatique politique"?
Au lieu d'expulser enfin les centaines de milliers de personnes obligées de quitter le pays, ils en reçoivent encore plus, gratuitement, et les bachibouzouks se multiplient de plus en plus.

Je suppose que le public ne saura jamais combien de membres de famille HOMMES en âge de combattre déménagent en réalité avec ce « visa », car ils ne semblent apparaître dans aucune des statistiques.
Je me demande pourquoi?

source: https://gatesofvienna.net/2021/06/we-need-more-refugees/#more-52220

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Et le problème avec les "inconnus" continue...

fk - 28.06.2021, 11:31

Un inconnu a apparemment attaqué au couteau et blessé deux personnes à Erfurt lundi matin. La police appelle à la prudence.

Lundi vers 6 heures du matin, un auteur inconnu a attaqué deux passants avec un couteau dans le quartier Muldenweg et Färberwaidweg à Erfurt puis s'est enfui à pied.

Les deux victimes, âgées de 45 et 68 ans, ont reçu des soins médicaux pour des coupures.
"Nous ne sommes actuellement pas en mesure de fournir des informations sur la gravité des blessures", a déclaré la porte-parole de la police Julia Neumann.

Les autorités recherchent actuellement l'auteur présumé avec un important contingent et un hélicoptère de la police est utilisé au-dessus de la ville.

source: https://www.thueringer-allgemeine.de/regionen/erfurt/messerangriff-erfurt-passanten-mit-messer-verletzt-hubschrauber-grossfahndung-id232646439.html

Chronique du délitement

Et de l’immigration :

  • Saône-et-Loire : un “petit délinquant” marocain jugé pour avoir poignardé à mort Valentin
  • Bordeaux : un migrant camerounais frappe à la porte d’une résidence étudiante, une jeune femme ouvre la porte, elle est dépouillée et violée
  • Des policiers attaqués par des tirs de mortiers d’artifice à Garges-lès-Gonesse (95) : « Tuez-les ! tuez-les ! »
  • Double tentative d’assassinat sur un parking de Mérignac : 2 hommes en garde à vue
  • Créteil (94) : tentative d’homicide sur des policiers devant le commissariat après une course poursuite, le suspect s’appelle Amine B.
  • Seine-Saint-Denis : dix-sept individus, dont quatorze mineurs, interpellés pour une série de vols violents et une séquestration filmée
  • Règlements de comptes à Marseille : « une dérive à la mexicaine »
  • Marseille : violence intercommunautaire entre Maghrébins et migrants nigériens à la cité Kallisté
  • Angoulême (16) : le collégien guinéen qui avait agressé sexuellement une jeune fille avait en réalité 25 ans

Et pendant ce temps, le ministre de la justice Eric Dupond-Moretti et avocat des voyous est en campagne aux élections régionales dans les Hauts-de-France

« parce que je ne veux pas que cette terre file entre les mains du RN ».

« Je ne viens pas ici pour faire de la figuration. Je viens avec des valeurs que je porte depuis toujours. A la différence de M. Bertrand, je ne veux pas chasser sur les terres du Rassemblement national. Je veux chasser le Rassemblement national de cette terre »

source: https://www.lesalonbeige.fr/chronique-du-delitement-3/

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voir aussi: La mosquée de la chapelle…

Suisse : Le phénomène de gangs se développe. « La culture de la violence des banlieues françaises, des ghettos des villes allemandes et américaines fait son chemin ici »

Pour ces jeunes, l'agitation du Vendredi saint a été un coup de pouce qui les a motivés. Pour le reste de la Suisse, cela ressemble à un mauvais rêve. Vous vous frottez les yeux et vous vous demandez : qu'est-ce qui ne va pas avec ces jeunes ?

Nous avons cherché des réponses, nous avons parlé à des spécialistes de la délinquance, des avocats, des pédopsychiatres et des porte-parole de la police. Et nous l'avons découvert : Saint-Gall n'est pas une exception. Saint-Gall est le point culminant temporaire d'un développement qui se prépare depuis un certain temps. Une évolution vers une culture de la violence chez les jeunes. Et le Covid est l'accélérateur de ce feu.

La violence en hausse

Dirk Baier est criminologue à l'Université des sciences appliquées de Zurich. Son rapport avec une évaluation des statistiques policières actuelles sur la criminalité est disponible exclusivement pour le SonntagsBlick : depuis 2015, la criminalité des jeunes a augmenté d'un tiers. Dans toute la Suisse. Dans presque tous les délits. Principalement en ce qui concerne les vols - de 146 %, avec 497 prévenus en 2020. Et en ce qui concerne les agressions physiques - de 122 %, avec 353 prévenus en 2020. En ce qui concerne les agressions simples (avec 599 prévenus en 2020), les menaces et les violences à l'encontre des fonctionnaires de la moitié au moins (avec 210 accusés en 2020).

[...]

Les régions éloignées des grands centres sont également touchées. Dans son dernier rapport annuel, le Service de la jeunesse de Soleure met en garde contre une "tendance croissante" dans le domaine des "menaces, de la coercition et du port d'armes telles que des poings américains, des couteaux pliants à ressort ou des armes factices".

[...]

Rien que pour l'année de la pandémie, les chiffres se manifestent par des incidents brutaux. En voici quelques exemples :

En juillet, deux jeunes de 15 ans et un jeune de 19 ans ont poignardé un jeune de 19 ans lors d'une dispute au Seebecken de Zurich.

En août, dix jeunes hommes se battent si violemment dans le quartier de Steinenvorstadt à Bâle que l'un d'entre eux doit se rendre à l'hôpital gravement blessé.

En septembre et octobre, une bande de 14 jeunes se livrent à neuf vols à main armée dans la ville de Berne. Parmi eux, même des jeunes de 14 ans.

Il y a deux mois, un groupe de jeunes a tabassé deux autres personnes à l'Opéra de Zurich en raison de leur homosexualité et de leur transpersonnalité.

Et à présent les émeutes à Saint-Gall. La police a arrêté 21 jeunes. Les dommages matériels s'élèvent à 50 000 francs.

Un jour après les émeutes de Saint-Gall, le samedi soir de Pâques, notre reporter s'est immergé dans la foule à la gare de Stadelhofen à Zurich et au bord du lac. "Ich gange Stadi", est devenu un mot de code dans l'ère du Covid. "Stadi" est une scène. Le "Stadi" est le monde des "bro's" en pantalons de sport avec des coupes de cheveux parfaitement rasées, ajoutant un "vallah" à une phrase sur deux - "je jure" en arabe [NDLR : Les mêmes références islamiques comme en France]. "Stadi" est le monde des "kids" de Zurich et de la Rostgürtel : Schwamendingen, Altstetten, Dietikon, Schlieren - ils sont fiers de leurs origines de banlieues. Si fiers, en fait, qu'ils se regroupent en bandes.

[...]

Jusqu'à présent, les conflits de gangs étaient un phénomène marginal en Suisse.

A présent, ce qui est nouveau, c'est que les jeunes hommes "agissent souvent en groupe", se battent avec d'autres jeunes, comme l'a déclaré la responsable de la police judiciaire de Zurich, Christiane Lentjes Meili, lors d'une récente conférence de presse.

Ce qui est également nouveau, c'est que les conflits sont "devenus plus durs". Souvent, il ne s'agit plus d'une simple menace. Ils portent souvent des armes, qu'ils utilisent par la suite également.

La culture de la violence des banlieues françaises, des ghettos des villes allemandes et américaines fait également son chemin ici. Et s'impose comme une culture populaire. Cela est lié aux "modèles de la scène hip-hop", selon le criminologue Dirk Baier.

Avec les sous-fifres qui ont gravi les échelons pour devenir des rappeurs gangsters avec des voitures de luxe et des armes à feu en poche. Ils se vendent via Youtube, Tiktok, Snapchat et Instagram - les "lignes de vie" des jeunes.

Les rappeurs suisses se mettent aussi en scène comme des gangsters. Dukat, un jeune homme de 20 ans originaire d'Adliswil, dans le canton de Zurich [NDLR : il s'agit vraisemblablement d'un Albanais comme le montrent les images de son clip plus bas et de son Instagram ou encore l'utilisation du terme albanais "Jeta" dans l'une de ses chansons], lance depuis un jukebox du "Stadi" : "Cours plus vite, sinon tu recevras des blessures par balles. Nous avons du matériel et des poils aux couilles. (...) La dernière chose que tu verras, c'est mon sourire  moqueur et dieu, je criblerai ta maison de trous."

 

 

Note : "Dukat" est également le nom d'un lieu en Albanie.

 

 

 

 

Les garçons l'imitent, ils affinent leur image de gangster via les médias sociaux. Comme le gang de Schlieren. Sur leur compte Instagram HNCD - l'acronyme français de leur code postal - ils diffusent des photos et des vidéos de locaux préfabriqués, des couteaux qu'ils ouvrent, des armes de poing qu'ils chargent, des billets de 1000 francs.

 

 

 

 

St. Gallen n'était probablement que le début

Après la nuit d'émeutes, une vidéo Tiktok montrant une scène est devenue virale : des policiers bloquant la rue devant eux, une dizaine de gars faisant collectivement des pompes - une démonstration de puissance machiste [NDLR : Vidéo visible dans le tweet ci-dessus.]. La vidéo diffuse la chanson de la star du rap allemand Haftbefehl : "Je fais mon chemin à la machette. Sur la route avec un neuf millimètres."

Les émeutes annoncées ne se sont pas concrétisées. Le problème ne disparaît pas pour autant. Les mesures [NDLR : concernant le Covid] restent rigides, l'ennui et la frustration augmentent, et à présent, les soirées deviennent plus chaudes. Les jeunes retrouveront sans doute leur place dans la société. Avec violence, si nécessaire.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch


Rappels :

Suisse : La violence des jeunes a augmenté. Le Blick interviewe un jeune Albanais.

Renens, Meyrin, Onex… Vidéos de la diversité voulue par la gauche en Suisse

Bienne : L’Albanais avait presque égorgé Markus. La victime n’obtient aucun dédommagement.

Vidéo : Un Albanais s’exhibe en tenue militaire suisse avec drapeau de l’Albanie et insigne de l’UCK

Zurich : Une mosquée albanaise vendait un livre appelant au meurtre de ceux qui critiquent l’islam

Des soldats suisses d’origine albanaise chantent l’hymne de la Grande Albanie. L’armée s’en fiche.

Le Dailymail : « Comment la Suède est devenue un paradis pour les gangsters. Le pays le plus libéral d’Europe a accueilli des réfugiés du Moyen-Orient il y a cinq ans… »

Suède : Nos banlieues sont également séparées par groupes ethniques.

 

 

 

 

 

Un policier blanc assassin: tous les hommes et tous les policiers sont coupables. Un demandeur d’asile irakien assassin: #padamalgam et pas de manifs

Une femme de 32 ans est portée disparue. Après des recherches intensives, son corps est retrouvé, en 7 morceaux – certains dans les ruelles de sa ville, les autres dans une forêt du voisinage.

Mais pas de grandes manifestations, pas de défilés aux chandelles, pas de protestations contre la police, pas d’exigences que les hommes changent leur comportement. Les médias en ont à peine parlé, son nom est Lorraine Cox.

Cela s’est passé à Exeter en septembre dernier.

Une femme d’un âge semblable, Sarah Everard, disparaît à Clapham Common, son corps est retrouvé, l’assassin est également identifié.

Ne préjugeons pas des conclusions du tribunal.

Mais comment se fait-il que l’un des cas fait la une des journaux et conduira sans doute à des changements législatifs, tandis que les médias ont à peine parlé de l’autre ?

Peut-être parce que Sarah a été assassinée à Londres et Lorraine à Exeter, et que les médias britanniques sont tellement centrés sur Londres qu’ils attribuent moins d’importance à ce qui se passe en province.

Mais il y a sûrement une cause plus profonde. Dans le cas de Lorraine, bien que l’assassin présumé ait dit à la police s’appeler Christopher Mayer, son vrai nom est Azam Mangori et c’est un demandeur d’asile venu d’Irak.

Pour ceux qui ont organisé beaucoup de ces manifestations qui se poursuivent au sujet du meurtre de Sarah, le fait que l’assassin présumé, Wayne Kusens, soit un homme, un Blanc, un policier, au crâne rasé, fait de lui la personne idéale pour organiser des manifestations contre lui et surtout pour ceux qui veulent tirer un capital politique de la mort de Sarah Everard.

Au contraire, pour beaucoup de marxistes, il aurait été trop difficile et trop gênant de manifester contre Azam Mangori.

Je suis d’accord avec Helena Edwards, camarade d’université de Sarah Everard : elle voulait se rendre à la veillée organisée pour Sarah à Clapham Common, mais elle y a renoncé,  car elle avait l’impression que cette veillée avait été détournée, piratée.

Ce meurtre est l’acte abominable d’un individu. Mais il n’est pas la faute de tous les hommes, ni de tous les policiers. Or ces manifestations qui se poursuivent se transforment en manifestations contre la police. Tous les journaux sans exception critiquent le comportement de la police à Clapham Common. Les politiciens aussi. Cela devient une campagne anti-police.

Ceux qui sont là-derrière sont les mêmes qui étaient derrière les manifestations ayant suivi la mort de George Floyd. Ils disaient manifester pour la justice raciale, mais nous savons que Black Lives Matter est une organisation profondément marxiste, dont le but est de “définancer” la police et de faire tomber la société occidentale et toute la structure du monde actuel.

Et c’est la même chose qui se passe à présent ici en Grande-Bretagne avec la veillée pour Sara Everard.

La nuit même, et vous ne le verrez pas dans les médias, la statue de Churchill a de nouveau été dégradée, et le mot Raciste écrit dessus. Et la même nuit, un mémorial de la Royal Air Force à Londres a été dégradé avec des slogans anti-police.

Moi aussi, je peux être critique envers la police, comme tout le monde. […] Mais je critique des actes individuels, ou des personnes, et non la police en général, car je sais que l’immense majorité des policiers et des policières font leur maximum pour maintenir la loi et l’ordre, et leur moral est tombé au plus bas.

Nous ne devons pas permettre que le meurtre horrible commis à Londres débouche sur un mouvement anti-police et même anti-hommes. L’assassinat de Sarah Everard est exactement équivalent à celui de Lorraine Cox. Nous devons nous réveiller et comprendre que nous nous faisons avoir par les marxistes encore et encore, et l’effet de tout cela est très corrosif pour la société. Donc s’il vous plaît, les journaux, s’il vous plaît, les politiciens, critiquez la police s’il y a lieu, mais n’entrez pas dans le jeu de “Defund the police”.

Traduction libre : Cenator

 

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Kate Middleton participe à la veillée pour la victime du meurtre Sarah Everard

Global News

La duchesse de Cambridge Kate Middleton a participé samedi à une veillée à Londres pour la victime du meurtre Sarah Everard. La police a prévenu que les veillées d'hommage et de protestation contre la violence à l'égard des femmes enfreindraient les restrictions du COVID-19.

Des manifestants ont affronté des policiers qui tentaient de disperser un rassemblement, en criant "honte à vous" aux officiers.

 

Un agent de la police métropolitaine de Londres a été inculpé pour l'enlèvement et le meurtre de la femme de 33 ans qui a disparu alors qu'elle rentrait chez elle le 3 mars.

 

Image: http://indiafacts.org/the-origins-of-cultural-marxism-a-concise-account/

Rapport officiel : « il n’y a aucune preuve que la haine en ligne conduit aux crimes de haine »

Jean-Patrick Grumberg le 16 mars 2021

C’est un rapport* explosif qui paraît, ironie totale, sous une administration Biden qui profite du verrouillage de l’information et du renforcement de la censure sur internet.

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Aucun média en français n’a encore publié ce rapport, parce qu’il conclut qu’il n’existe aucune preuve que les incitations à la haine et les propos haineux en ligne – qui servent de prétexte à la censure des idées de droite – « entraînent des crimes de haine ».

Le rapport (1) démontre ce que l’on savait : lorsque les réseaux sociaux ne censurent pas et qu’ils ne suppriment pas ce qu’ils appellent « les propos d’incitation à la haine » des utilisateurs qui enfreignent leurs « règles de communauté », cela n’entraîne pas les conséquences qu’ils disent vouloir combattre par leur censure, à savoir l’augmentation des « crimes de haine ».

Ainsi part en fumée leur seul argument pour censurer les opinions qui contredisent le narratif de la gauche, et cela explique le silence média. D’autant que le rapport remet en cause ce que l’on entend partout à la télévision, à savoir qu’il y a une augmentation des crimes haineux inspirés par Internet – sous-entendu par l’extrême droite, bien entendu.

Le rapport, publié par le département américain du Commerce, a été remis au Congrès en janvier – il n’a été publié sur aucun site internet du gouvernement américain et aucun membre du Congrès n’en a parlé.

C’est à Breitbart News, un média de droite, que l’on doit d’avoir obtenu une copie du rapport. Il n’est pas clair à ce stade si d’autres grands médias en ont eu connaissance. Si c’est le cas, ils se sont soigneusement abstenus d’en parler, et c’est logique. Les grands médias sont de gauche. Ils sont dans le même camp progressiste voire d’extrême gauche, que la Silicon Valley, et la censure des conservateurs par Twitter, Facebook, YouTube et Google est un privilège auquel ils ne renonceront jamais. Cela permet aux Démocrates et leurs alliés les médias, de faire dériver la démocratie vers un Etat sous contrôle de l’information par un petit groupe de gauche.

Un dossier à l’initiative des Démocrates, caché par les Démocrates

Le rapport a été préparé par l’Administration nationale des télécommunications et de l’information (NTIA) du ministère du Commerce, qui est chargée de conseiller le président sur toutes les questions liées aux télécommunications et à l’internet.

Il a été rédigé pour réviser les conclusions d’un précédent rapport de la NTIA en 1993 intitulé The Role of Telecommunications in Hate Crimes. Il était temps, car beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis 1993, où les réseaux sociaux n’existaient pas, où quelques rares forums de discussions et BBS (bulletin board system) permettaient à quelques initiés d’échanger leurs points de vue.

Le fait que le rapport ait été enclenché sous l’administration Trump ne veut pas dire que c’est un rapport Trump, au contraire. Il émane non pas de l’exécutif mais du 116e Congrès, qui était contrôlé par une majorité Démocrate de 35 sièges à la Chambre et par une faible majorité républicaine au Sénat.

Le rapport de 1993 est toujours accessible sur internet (2). Le nouveau rapport ne l’est pas.

« Les rapports de ce type sont généralement rendus publics », a déclaré une source qui a travaillé en étroite collaboration avec la NTIA sur le rapport.

« Je ne sais pas pourquoi ce rapport n’a pas encore été publié sur un site gouvernemental. Il a déjà été soumis au Congrès, ce n’est plus une affaire privée. Je soupçonne la Division des droits civils d’y être pour quelque chose. »

Selon la source, qui a précédemment travaillé dans l’administration Trump, le rapport mis à jour a été âprement combattu par la division des droits civils, qui est la partie du Département de la Justice chargée de poursuivre les crimes de haine.

Malgré cette vive opposition, le rapport a été approuvé par l’Office of Management and Budget (OMB) et envoyé au Congrès. Mais il n’apparaît publiquement nulle part, un bon moyen de le faire disparaître, le moyen ultime étant qu’il sera passé sous silence par les grands médias.

Conclusions principales du rapport

  • Le rapport affirme sans ambages qu’il n’existe aucune preuve d’une relation de cause à effet entre la croissance de l’utilisation d’Internet et les crimes haineux.
  • Il souligne qu’il n’y a même pas de corrélation, puisque les allégations des médias concernant une recrudescence des crimes haineux au cours des cinq dernières années sont contredites par les statistiques criminelles du ministère de la Justice.

Extraits

Pour citer le président Barack Obama, « l’arme la plus puissante contre les discours haineux n’est pas la répression, c’est davantage de discours »

  • Pas d’augmentation des crimes de haine depuis l’explosion des réseaux sociaux :

Les données ne montrent pas qu’au cours de la dernière décennie, pendant la période de croissance exponentielle des communications électroniques, en particulier sur Internet, les appareils mobiles et les réseaux sociaux, il y ait eu une augmentation des incidents de crimes de haine.

  • Une atteinte contre-productive au premier amendement :

Le rapport souligne que les efforts visant à restreindre les communications en ligne en raison de craintes – non fondées – concernant les « crimes de haine » portent atteinte au premier amendement.

Nous mettons en garde contre les efforts visant à contrôler ou à surveiller les discours en ligne, même dans le but louable de réduire la criminalité, car ils posent de graves problèmes liés au premier amendement et vont à l’encontre de l’attachement de notre nation à la liberté d’expression.

Pour citer le président Barack Obama, « l’arme la plus puissante contre les discours haineux n’est pas la répression, c’est davantage de discours ».

  • Les chercheurs universitaires ignorent la réalité statistique :

Le rapport critique également les chercheurs universitaires spécialisés dans l' »extrémisme », parce qu’ils n’ont pas étayé leurs affirmations, leurs analyses et leurs conclusions sur le monde réel, mais sur l’idéologie. Ils ont ignoré qu’il n’existe aucun lien de causalité entre les discours de haine en ligne et les crimes de haine dans le monde réel (4).

…les recherches, et bien d’autres semblables, ne parviennent pas à démontrer une quelconque relation de cause à effet entre l’utilisation accrue des médias sociaux et l’augmentation de la violence.

Ces recherches ne présentent même pas de données descriptives complètes établissant une corrélation entre l’augmentation des discours haineux sur les médias sociaux et l’augmentation des crimes haineux.

  • La Silicon Valley utilise le « discours haineux » comme prétexte à la censure de la même manière que le parti communiste chinois :

Les plateformes ne peuvent raisonnablement s’attendre à ce que leur censure mette fin aux crimes de haine ou même les diminue, puisqu’il n’existe aucune preuve établissant un lien entre l’augmentation des discours haineux et les crimes de haine

Enfin, le rapport condamne de manière cinglante les entreprises de la Silicon Valley qui jouent la panique des « discours haineux » pour brider la liberté d’expression sur leurs plateformes.

… les dirigeants des entreprises de technologie ont reconnu que le fait de s’appuyer uniquement sur des équipes humaines pour examiner le contenu ne sera pas suffisant, et que l’intelligence artificielle devra jouer un rôle important.

Il est intéressant de noter qu’une grande partie de cette technologie est développée à partir d’approches mises au point par le Parti communiste chinois pour étouffer les discussions politiques et la dissidence (3).

Étant donné que toutes les grandes plateformes de médias sociaux ont des règles contre les discours de haine et qu’elles utilisent en fait des approches algorithmiques sophistiquées d’intelligence artificielle (IA) pour faire appliquer ces règles souvent vagues et contradictoires, d’une manière également utilisée par des régimes tyranniques, il convient de se demander ce qu’elles y gagnent.

Il est certain, comme le montre le présent rapport, que les plateformes ne peuvent raisonnablement s’attendre à ce que leur censure mette fin aux crimes de haine ou même les diminue, puisqu’il n’existe aucune preuve (5) empirique établissant un lien entre l’augmentation des discours haineux et les crimes de haine.

  • Le danger pour la démocratie d’occultation du débat non accrédité par la gauche :

Il s’agit là probablement de l’élément le plus important du rapport, car il résume de quelle manière la censure des réseaux sociaux et de l’internet affaiblit la démocratie par son bâillonnement.

En outre, cette censure présente de réels dangers pour notre système politique. En vertu des interdictions de discours de haine et d’autres règles de censure, les plateformes ont supprimé des contenus que beaucoup considèrent comme profondément inscrits dans des questions politiques et urgents sujets de société.

Conclusion

Ne sautez pas de joie en vous imaginant que nous allons retrouver la liberté de l’internet, cela ne se produira pas. La gauche est totalitaire, et privée de son arme de destruction majeure de la liberté, elle ne lâchera pas pour autant la pression.

Ce rapport ne verra pas le jour. Pas avec un président Biden qui déclarait récemment que le plus grand danger pour la nation est le terrorisme intérieur venant des groupes de blancs suprématistes et autres groupes nazis – ce qui ne repose sur aucune donnée officielle – je parle des données de sa propre administration (Il y a eu 5 opérations du FBI contre des groupes suprématistes blancs en 2020, contre 14 000 interpellations de militants Antifa et BLM).

Si nous vivions dans un environnement respectueux de la constitution, respectueux des libertés individuelles, et où les journalistes faisaient leur travail, le rapport serait évoqué aux heures des journaux télévisés du soir, les dirigeants des réseaux sociaux feraient amende honorable, annonceraient fièrement qu’ils modifient leurs règles de communauté, leurs algorithmes de censure des propos de haine, et applaudiraient cette avancée vers une plus grande liberté d’expression.

Mais nous ne vivons pas dans un tel monde. Cela viendra, parce que la phase crépusculaire que nous traversons sous la dominance d’une gauche totalitaire qui s’est organisée depuis les années 60 ne sera pas éternelle : l’homme rompt toujours ses chaînes et le Bien l’emporte toujours sur le Mal.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Armureries suisses attaquées: gros coup de filet en France

Vingt-quatre personnes ont été interpellées en début de semaine dans la région lyonnaise. Ce coup de filet a été opéré dans le cadre d’une vaste enquête portant sur plusieurs attaques d’armureries commises en Suisse et dans le Jura français à la fin de l’année 2020.

(...)

20min.ch


Rappels :

Calmy-Rey : Schengen-Dublin nous apportera plus de sécurité

Genève : Rixe entre jeunes, des habitants s’inquiètent. « Une justice de rue pourrait se mettre en place »

Genève : deux braqueurs français condamnés à 6 ans de prison

Genève-Plage : La police intervient à la piscine contre des jeunes Français «agressifs»

Couteau et tournevis à la main, des braqueurs français traumatisent un couple en pleine nuit à Genève

 

Votation à Zurich pour obliger la police à donner la nationalité des suspects et mentionner les naturalisés

24heures: Depuis trois ans, la police municipale de Zurich ne mentionne plus la nationalité de suspects dans ses communiqués, sauf sur demande des médias. La pratique est généralisée en Suisse. En plus de l'âge et du sexe, la police communique en général la nationalité des suspects ou des auteurs d'un délit.

L’origine de délinquants naturalisés devrait aussi être dévoilée.

article de Gabiel Sassoon, Zurich, réservé aux abonnés

[...] L’UDC se défend de vouloir diviser la société. Mais elle ne cache pas sa volonté de se servir des communications de police pour remettre en question la politique de naturalisation suisse. «Nous voulons en démontrer les failles» [...]

article complet: https://www.24heures.ch/la-police-doit-elle-donner-la-nationalite-des-suspects-33725984722

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Naturalisations : 62 % des nouveaux Français sont d’origine africaine.

– Nos confrères du Parisien publient quelques informations intéressantes pour qui veut comprendre les flux migratoires qui alimentent les naturalisations en France.

Selon les données 2018 d’Eurostat, les Maghrébins sont de loin les ressortissants les plus accueillis, à commencer par les Marocains, puis les Algériens et les Tunisiens. Suivent les Turcs et des personnes originaires de plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, comme le Mali, le Sénégal, le Cameroun ou les Comores, proches de Mayotte. Les Européens les plus nombreux à obtenir la nationalité française sont originaires du Royaume-Uni, sur fond de Brexit.

source: https://lalettrepatriote.com

La Gambie torpille les expulsions de ses ressortissants venant d’Allemagne

Pourtant, il y en aurait des choses à dire, car le pays torpille les efforts de rapatriement de la République fédérale d’Allemagne à différents niveaux. Le 27 janvier dernier, les autorités de Banjul ont fait échouer une manœuvre d’expulsion collective organisée depuis la ville de Francfort. «Le jour de l’opération, 22 délinquants placés en détention en attendant leur expulsion ont été conduits à l’aéroport. La Gambie n’ayant pas donné la permission d’atterrir sur son territoire, l’opération a dû être annulée quelques heures avant le départ», confie un porte-parole du ministère de l’Intérieur du Bade-Wurtemberg à Die Welt — la majorité des Gambiens contraints de quitter le territoire vivent en Allemagne. On a tenté «de contacter les autorités gambiennes à plusieurs reprises afin d’obtenir la permission d’atterrir, sans succès», explique un fonctionnaire dans la confidence.

Déjà en octobre 2020, un vol charter avait dû être annulé, la Gambie n’ayant pas délivré d’autorisation d’atterrissage dans les temps, selon le ministère fédéral de l’Intérieur. Même les rapatriements individuels, effectués sur des vols de ligne et donc particulièrement coûteux, réussissent rarement. Selon une liste confidentielle de la police fédérale, 6569 Gambiens contraints de quitter le pays vivaient encore en Allemagne fin 2020. 42 ont été renvoyés dans leur pays d’origine au cours de l’année 2020 , et 53 autres ont été expulsés vers des pays de l’UE où ils avaient déjà introduit une demande d’asile.

(…)

Le président Adama Barrow s’attire également des ennuis, déclenchant des protestations et des vagues de colère sur Internet, à chaque fois qu’un avion rempli de rapatriés atterrit sur son territoire.

La solidarité avec les «backway boys», comme on appelle en Gambie les émigrants qui passent par la «porte arrière» du système d’asile européen, est forte. Aucun chef de gouvernement africain ne gagne des électeurs en autorisant des rapatriements.

La Gambie est particulièrement dépendante de l’argent envoyé par les émigrants ; ces transactions représentent environ 15 % de la production économique annuelle. Pour le spécialiste de la Gambie Yorck Wurms, ces versements sont une des principales raisons pour laquelle le pays est si peu disposé à reprendre ses ressortissants. «Aucun État ne prend plaisir à réduire sa principale source de revenus», explique le directeur d’Irara, une organisation de réinsertion qui aide les demandeurs d’asile déboutés à redémarrer une vie dans leur pays.

(…)

En réalité, les Africains de l’Ouest se distinguent tout particulièrement dans ce secteur de la criminalité. Selon le ministère de l’Intérieur du Baden-Württemberg, parmi les immigrants demandeurs d’asile, ceux qui viennent de «Gambie sont les premiers à enfreindre la loi sur les stupéfiants et à s’adonner au trafic de drogue».

Le Figaro

Via Fdesouche


Note : 

La Gambie est officiellement un pays musulman depuis décembre 2015.

Selon le Pew Research Center, en 2010, 95,1 % des habitants de la Gambie sont musulmans.

Rappels :

La Suisse condamnée pour le renvoi d’un homosexuel en Gambie

Lausanne. Un Gambien poignardé : sa mort est «liée à une transaction de stupéfiants». Un clandestin sénégalais soupçonné.

Un ministre gambien, accusé de torture, se plaint d’être traité de manière inhumaine par la Suisse

Bâle : Un Gambien tente de voler deux femmes et les frappe à coups de pieds

Covid-19. Le FMI octroie une aide d’urgence à 25 pays pauvres : Afghanistan, Bénin, Burkina Faso, Comores, Gambie, Guinée…

Hennef (All.) : « Mon voisin Mohammed m’a violée et se trouve toujours en liberté »

Le coupable vit dans le quartier

Katrin Schneider ne quitte presque jamais la maison. Depuis des mois, elle vit un cauchemar dont elle ne semble pas se réveiller. Après un viol, elle rencontre son bourreau presque tous les jours car il habite la maison d'en face. L'auteur a déjà été condamné, mais il met tout en œuvre pour éviter d'aller en prison.

Katrin Schneider : "Il me donne le sentiment que je l'ai mérité".

"Il sort délibérément de la voiture, me donne toujours le sentiment que je mérite ce qu'il a fait à moi et à ma famille et il n'y a aucune trace de remords", déclare Mme Schneider dans l'interview accordée à RTL.

Un samedi de septembre 2019, sa vie a brusquement changé. Elle rentre chez elle après une fête d'entreprise. Son collègue de travail Mohammed B. l'accompagne. Schneider semble davantage en sécurité de rentrer avec quelqu'un. Mais l'homme dont elle espère la protection tombe soudain sur elle. Derrière un supermarché, il la viole. Par crainte de lui, elle n'appelle au secours, dit-elle.

La peine : trois ans et dix mois de prison

Katrin Schneider appelle la police. Son voisin est arrêté dans son appartement la même nuit. Plus d'un an après le crime, le tribunal régional de Bonn le condamne en octobre 2020 à trois ans et dix mois de prison pour viol particulièrement grave. Mais Mohammed B. est toujours libre aujourd'hui - son avocat a fait appel. Il s'agit d'examiner si le procès était formellement en règle. Cela ne devrait guère changer le verdict, mais en raison de l'appel, il pourrait s'écouler plus d'un an avant que le jugement ne devienne juridiquement contraignant.

(...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Rtl.de

 

Zurich : Une initiative UDC exige que la police rende publique la nationalité des délinquants. Les jeunes socialistes et les jeunes Verts s’y opposent.

A Zurich, une initiative de l'UDC soumise au peuple le 7 mars exige que la police rende public la nationalité des délinquants dans ses communiqués de presse. Concrètement, elle veut obliger une publication systématique de la nationalité et de l'origine des criminels, des suspects et des victimes.

(...)

La police de la Ville de Zurich a tranché en 2017, décidant de ne plus publier ces informations [NDLR : En vérité il s'agit d'un politicien de gauche, Richard Wolff, qui est derrière cette décision, ce que la RTS ne mentionne évidemment pas.]. Et c'est une des seules à y renoncer en Suisse. En effet, si chaque corps de police peut décider de sa pratique, la tendance est plutôt d'inclure la nationalité.

En réaction à la décision de la police de Zurich, l'UDC a lancé une initiative cantonale. Le gouvernement la rejette, mais propose un contre-projet. S'il est accepté, la nationalité devra être communiquée, mais pas les origines des personnes naturalisées.

(...)

Les jeunes Verts et les Jeunes socialistes ne partagent pas cet avis et s'opposent à l'initiative UDC et au contre-projet gouvernemental.

(...)

RTS

Nos remerciements à Info

Zurich: l’UDC veut la mention de la nationalité dans les communiqués de police

L’UDC veut obliger les polices à mentionner la nationalité et le statut migratoire dans les communiqués. Les Zurichois votent le 7 mars.

«Deux hommes, de 25 et 36 ans, ont été arrêtés...» au lieu de – par exemple – «un Kosovar de 25 ans et un Suisse de 36 ans...»: depuis fin 2017, la police municipale zurichoise ne mentionne plus de nationalité dans ses communiqués de presse. Pour l’UDC, cette «désinformation» est une manœuvre de la gauche destinée à «cacher la criminalité étrangère.» Elle veut corriger la pratique de la première ville du pays, demandant même la mention d’une éventuelle origine (...)

Le Nouvelliste

Nos remerciements à Info

Suède : Lorsqu’un criminel étranger vise les personnes âgées pour leur voler leur rente

Le 21 décembre, une femme de 83 ans s'est rendue au guichet automatique d'Amiralsgatan à Malmö pour retirer une partie de son argent de pension. Ce qu'elle ignorait, c'est qu'un jeune voleur étranger s'était positionné à proximité pour frapper une victime appropriée. Son choix s'est porté sur la femme âgée, obligée de marcher à l'aide d'un déambulateur. Quand elle a retiré l'argent, il a rapidement frappé.

Avant que la femme ne mette les billets dans le sac, l'homme était devant et les a arrachés des mains de la femme pendant qu'il la poussait pour qu'elle tombe au sol, impuissante. Elle s'est frappé violemment l'arrière de la tête, a commencé à saigner abondamment. Elle a dû être transportée à l'hôpital en ambulance.

Le voleur ne savait pas que son agression avait été enregistrée sur un film de surveillance, ni que d'autres personnes présentes sur les lieux l'avaient reconnu et pouvaient le signaler. L'un d'eux a couru après l'homme et l'a stoppé jusqu'à ce qu'une patrouille de police arrive et puisse arrêter l'agresseur.

Déjà reconnu coupable pour un autre crime

L'homme, âgé de 45 ans et déjà puni pour des crimes similaires, est actuellement jugé pour vol aggravé et voies de fait. Le procureur a également exigé que l'homme soit expulsé vers son pays d'origine.

La femme de 83 ans a déclaré lors de l'interrogatoire que c'est en refusant de lâcher les billets que l'homme l'a poussée.

- Je n'ai pas lâché l'argent. C'était mon argent.

Des crimes quotidiens visant les personnes âgée à Malmö

En moyenne, une personne âgée est victime d'un crime chaque jour à Malmö. Dès les années 90, la police a signalé des problèmes liés aux crimes visant les personnes âgées, indiquant qu’une majorité d’entre eux avaient été commis par des personnes d’origine rom.

La plupart de ces crimes ne sont pas éclaircis. Les auteurs choisissent délibérément des victimes âgées et malades parce qu’elles sont faciles à voler.

(...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Sydsvenskan.se / Samnytt.se

 

Allemagne : Les clans turcs pillent les retraités allemands : « Je gagne 250 000 euros par mois, je baise l’état allemand chaque jour » clame un escroc turc.

C'est ainsi que le chef de clan s'est vanté de son escroquerie d'un million de dollars sur les médias sociaux. Début décembre, le racketteur Halit D. est entré dans les filets des autorités turques. En coopération avec des collègues de Düsseldorf et de Munich, les enquêteurs ont débusqué deux grands centres d'appels frauduleux à Izmir (Turquie) lors d'une importante descente.

(...)

Halit D., un membre du célèbre clan turco-libanais Saado, aimait se montrer sur les réseaux sociaux avec de grosses voitures, des montres Rolex et un tas d'argent.

Une fois expulsé vers sa patrie turque, le patron présumé d'un vaste gang de fraudeurs s'est fait passer pour un super gangster dans ses vidéos. "Je baise l'État allemand tous les jours", se vantait le patron barbu dans une vidéo. Parfois, D. aimait aussi poser sur une chaise dorée en forme de trône au milieu de ses proches.

Le chef de clan a arnaqué des milliers de retraités en se faisant passer pour un policier

Avec ses deux frères, l'escroc, qui se faisait appeler Papa Kralle, a escroqué des milliers de retraités dans ce pays via un centre d'appel situé dans la station balnéaire turque d'Izmir. Et il l'a fait en utilisant l'arnaque des faux policiers.

(...)

Munich, Stuttgart, Hanovre, Kiel, Cologne, Düsseldorf - dans chaque lieu, des escrocs trompent les personnes âgées allemandes via des centres d'appel turcs. (...) Il s'agit parfois de 20 000 euros, parfois de millions. Parfois, les appelants incitent leurs victimes à se rendre à la banque le lendemain, à fermer leur compte et à remettre le montant à des "collecteurs" ou à le déposer à un endroit convenu, certains vendent même leur maison ou remettent aux escrocs des lingots d'or accompagnés de bijoux.

"Au total, nous supposons qu'il y a huit centres d'appel en Turquie, qui escroquent les personnes âgées en Allemagne", explique Oliver Müller (nom modifié), chef d'une commission d'enquête (EK) au sein du département d'enquête criminelle de l'État de NRW. Début décembre, les forces de l'ordre de Düsseldorf, en coopération avec leurs collègues de Munich et les autorités turques, ont fait exploser les deux plus grands centres d'appel. Halit D. a été placé en détention avec ses deux frères et trois autres individus. Des montres Rolex, cinq kilos d'or, 1,5 million d'euros en espèces, ainsi que 41 voitures de luxe et 87 propriétés, dont trois hôtels, ont été confisqués. Selon les premières estimations, les actifs s'élèvent à 105 millions d'euros.

Un coup unique des enquêteurs allemands

Un coup unique des enquêteurs allemands. Parce que normalement les criminels pensent qu'ils sont en sécurité dans leur patrie turque. Souvent, les demandes allemandes d'assistance juridique à Ankara sont vaines ou prennent des années. Cette fois, cependant, les enquêteurs locaux ont été en mesure d'enthousiasmer leurs principaux collègues turcs lors d'une réunion de l'Office fédéral de la police criminelle (BKA).

L'enquête a débuté à l'automne 2017, et après des mois d'analyse de 16 000 cas, le département d'enquête stratégique sur la criminalité avait développé une expertise sur le modus operandi et les personnes qui le sous-tendent. "Il était clair que les actions frauduleuses ont été menées par l'intermédiaire de centres d'appels à Izmir et Antalya", explique Wolfgang Hermanns, enquêteur criminel en chef du département. "Les trois quarts des victimes étaient des femmes et la plupart avaient 80 ans ou plus."

(...)

Plusieurs des victimes âgées ont eu du mal à se remettre de ce traumatisme. Certains ont également été ridiculisés par la suite. "Par pure honte, beaucoup ne signalent pas la fraude", déclare l'inspecteur en chef Müller, "il y en a même qui nient l'incident pour que la famille ne le découvre pas".

(...)

Un million d'euros - c'est ce que le gang gagne en une semaine via ses centres d'appel

Les enquêteurs de Rhénanie du Nord-Westphalie ont obtenu un million d'euros d'un seul bijoutier. Une somme qu'Halit D. et son gang ont gagné via leur "centre d'appel en une semaine", rapporte l'enquêteur en chef Müller.

Le gang menait le grand train de vie. Des dépenses de 2000 euros par soirée et par voyou étaient courantes. Le frère du patron, Faris D., conduisait quotidiennement les gros bonnets de la finance à Istanbul, afin de collecter l'argent escroqué.

(...)

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Focus.de


Rappels :

Après avoir soutenu le massacre des chrétiens arméniens, Erdogan veut «remettre sur les rails» les relations avec l’Europe avec « ses amis européens »

Erdogan menace l’Allemagne: «Si je le veux, je viendrai en Allemagne. Si vous m’arrêtez à la porte et ne me laissez pas parler, je mettrai le monde sens dessus dessous»

L’Allemagne bloque les sanctions contre la Turquie

Allemagne : Les impôts et les fonds européens ont servi à construire une mosquée turque à 3 millions de francs

Allemagne. Wiesbaden : Une statue d’Erdogan érigée dans le centre-ville. Les habitants sont outrés par la provocation.

Allemagne: des joueurs d’origine turque se photographient fièrement en compagnie d’Erdogan.

Turquie : Erdogan condamne une perquisition « islamophobe » et « raciste » dans une mosquée allemande après des soupçons de fraude aux subventions Covid-19

 

 

Statistiques suisses sur la criminalité : les adultes étrangers représentent 57,8% de tous les adultes condamnés en 2019

Les nationalités les plus concernées sont celles des pays d’Afrique du sud-ouest, qui récoltent le taux de charges le plus élevé, avec 30 pour mille – c’est-à-dire que sur 1000 personnes originaires de ces pays, 30 ont commis une infraction. Les personnes originaires des pays de l’ouest de l’Afrique arrivent à la seconde place avec un taux de 21,7 pour mille.

Ils sont suivis par les Jamaïcains (20,5), les Haïtiens (19), les immigrants de la République dominicaine et du Yémen (17,7) et par les Sud-africains (17,6). Les Nord-africains se placent au 8e rang, alors qu’ils étaient à la 3e place lors du dernier relevé.

Les immigrants de l’ancienne Yougoslavie ont vu leur taux de charge diminuer à 7,6 pour mille, soit 0,3 pour mille de moins que l’année précédente.

[...]

Les Suisses ont, quant à eux, un taux de 2,6 pour mille [NDLR : Ce taux étant falsifié puisque les naturalisés sont classés en tant que "Suisses" alors que bien souvent, ils gardent leur logique ethnique concernant l'utilisation de la violence.].

[...]

24heures.ch

Le Dailymail : « Comment la Suède est devenue un paradis pour les gangsters. Le pays le plus libéral d’Europe a accueilli des réfugiés du Moyen-Orient il y a cinq ans… »

Comment la Suède est devenue un paradis pour les gangsters : Le pays le plus libéral d'Europe a accueilli des réfugiés du Moyen-Orient il y a cinq ans... mais il est maintenant terrorisé par des clans mafieux de migrants - avec une police et un gouvernement politiquement correct impuissants

  • Les chefs de la police suédoise ont prévenu qu'ils étaient incapables de contenir la marée montante de la criminalité mafieuse "clanique" dans le pays
  • Depuis des décennies, les hommes politiques refusent d'admettre le crime et la violence des communautés de migrants [NDLR : les "journalistes" romands en font de même, pour mieux humilier Donald Trump]
  • Le problème est maintenant si grave que les autorités policières s'expriment et accusent l'immigration de masse
  • Il y a eu 257 attentats à la bombe en Suède l'année dernière et des centaines de fusillades. Un mois seulement s'est écoulé au cours des trois dernières années sans un meurtre lié à un gang
  • Lors d'un incident en août, la famille la plus célèbre de Göteborg, le gang Ali Khan, a mis en place des barrages routiers dans le nord-est de la ville pour trouver des membres de gangs rivaux
  • Erik Nord, le chef de la police de Göteborg, a déclaré à MailOnline : "Nous avons besoin de plus de policiers pour faire face à cette situation de toute urgence. Sinon, nous allons nous transformer en un paradis pour les gangsters".

Les gangs de la mafia des migrants terrorisent les rues de Suède avec une vague d'attentats à la bombe et de meurtres, forçant les chefs de police de l'un des pays les plus libéraux d'Europe à admettre qu'ils perdent leur emprise sur l'ordre public.

Cinq ans seulement après que le pays a accueilli les réfugiés à bras ouverts, les clans criminels du Moyen-Orient, d'Afrique du Nord et des Balkans sont à l'origine de la montée en flèche du taux de criminalité dans leurs villes autrefois paisibles, selon la police, avec 257 attentats à la bombe et plus de 300 fusillades l'année dernière.

Lors d'un incident en août, la famille la plus célèbre de Göteborg, le gang Ali Khan, a installé des barrages routiers dans le nord-est de la ville.

La police a démantelé les postes de contrôle et a procédé à 20 arrestations. Mais dans un geste qui a été considéré comme symbolique de la "douceur" suédoise, les suspects ont été libérés parce que les procureurs ont décidé qu'ils n'avaient pas enfreint la loi.

Dans une interview exclusive, Erik Nord, le chef de la police de Göteborg, a déclaré au site d'information MailOnline : "Ces clans criminels ont une culture complètement différente qui les rend très difficiles à combattre avec les méthodes de police normales.

Nous avons besoin de plus de policiers et nos tribunaux et prisons doivent être renforcés pour faire face à cette situation de toute urgence. Sinon, nous allons devenir le paradis des gangsters".

Le Premier ministre du pays, Stefan Löfven, a toujours refusé d'admettre que les migrants sont à l'origine de la violence croissante. Mais alors que la situation devient incontrôlable, les policiers rompent leur silence.

Il y a deux ans, si les gens avaient lié l'immigration à la criminalité comme je le fais maintenant, ils auraient été accusés d'être racistes", a déclaré M. Nord. Mais le paradigme est en train de changer".

Le mois dernier, le chef adjoint de la police du pays, Mats Löftving, a identifié 40 clans mafieux qui étaient venus en Suède "uniquement dans le but d'organiser et de systématiser le crime".

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Les membres de la famille ont été signalés aux autorités plus de 200 fois au cours des deux dernières années, mais dans de nombreux cas, les informateurs retirent mystérieusement leur plainte.

Lors d'un témoignage sous serment au tribunal, le chef de la police locale, Ulf Merlander, a déclaré : "[Les Ali Khans] ont participé à de nombreuses activités criminelles au fil des ans. Ils ont affecté la communauté locale de manière assez négative pendant longtemps.

Quand je regarde cette famille, environ 60 individus sur 120 ont plus de 15 ans. Environ 40 d'entre eux sont des hommes, et plus de 30 possèdent un casier judiciaire".

Les membres de la famille ont été signalés aux autorités plus de 200 fois au cours des deux dernières années, mais dans de nombreux cas, les informateurs retirent mystérieusement leur plainte.

Il a ajouté : "Les types de crimes pour lesquels les Ali Khans sont connus sont le meurtre, l'extorsion, les violations graves de l'intégrité d'une femme, les abus physiques, les menaces, les crimes liés à la drogue et la possession illégale d'armes".

Selon des sources policières, le gang Backa ne savait pas qu'il tirait sur un membre du gang Ali Khan. Dans l'affrontement qui a suivi, un voyou du gang Backa a été abattu lors d'une fusillade en voiture.

Prévoyant une nouvelle escalade, les Ali Khans ont mis en place des points de contrôle pour se défendre, arrêtant toutes les voitures qui entraient dans leur territoire pour vérifier la présence de mafieux rivaux.

Le réseau Ali Khan, décrit par les policiers et les médias suédois comme l'un des gangs les plus craints et les plus violents du pays, est typique des réseaux mafieux de tout le pays. Il fait partie d'un clan plus large, composé de sept familles apparentées, et possède des ramifications au Danemark, en Allemagne et au Liban. Les Ali Khans sont considérés comme étant les exécuteurs du clan.

Hachem Ali Khan, 63 ans, serait le chef de famille. Il est arrivé en Suède avec une balle dans le dos en 1984 en tant que réfugié de la guerre civile au Liban, et s'est installé dans la banlieue de Angered, au nord-est de Göteborg, dans ce qui allait devenir le cœur du territoire de sa famille.

Dans cette maison moderne de classe moyenne, le frêle retraité à la grande barbe blanche reçoit régulièrement la visite de parents âgés. Il officie tous les vendredis à la mosquée Al Salam, située à proximité, qui propose des cours d'arts martiaux ainsi que des séances de prière et d'étude.

Bien que le retraité ait été arrêté deux fois en 2019 - une fois en rapport avec une mitrailleuse trouvée lors d'une perquisition - il n'a jamais été condamné pour un crime. Il a évité les accusations de port d'arme l'année dernière lorsque son petit-fils, adolescent mineur, est arrivé au poste de police en prétendant que l'arme illégale lui appartenait.

Mais cinq de ses sept enfants et trois de leurs épouses ont été condamnés pour des infractions pénales, notamment pour meurtre, délits liés à la drogue, menaces à l'encontre de la police, voies de fait graves et entrave à la justice.

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Neuf des 34 petits-enfants de l'imam ont également été reconnus coupables de crimes. Khalil, 28 ans, a par exemple commis des agressions, des tentatives de vol, des entraves à la justice, des vols et des délits liés à la drogue, tandis que son frère Hachem, 22 ans, a purgé deux peines de prison pour des délits liés à la drogue, des agressions graves et des entraves à la justice.

Les Ali Khans et les barrages routiers de Göteborg ne sont que la partie visible de l'iceberg. En plus des 40 clans, il existe des centaines de petits gangs, et les conflits entre rivaux font que lors des trois dernières années, seul un mois s'est écoulé sans qu'un meurtre lié à la mafia ne soit commis en Suède. Il y a maintenant dix fois plus de meurtres qu'en Allemagne.

Cet été, une jeune fille de 12 ans a été tuée par une balle perdue près de Stockholm, tandis qu'à Göteborg, un enseignant a été enlevé et frappé après avoir signalé la présence de deux hommes armés devant son école. Un garçon britannique de huit ans a été tué dans un attentat à la grenade dans la même ville alors qu'il rendait visite à sa famille en 2016.

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Il y a également eu une vague de "vols humiliants", au cours desquels les jeunes victimes sont agressées, humiliées et violées, principalement par des jeunes migrants.

Les réseaux criminels traditionnels, tels que les Hell's Angels, qui ont contrôlé le crime organisé dans le pays pendant des décennies, sont effrayés.

La Suède, longtemps considérée comme le pays le plus ouvert au monde, a commencé à ouvrir ses portes aux demandeurs d'asile dans les années 80 et a accueilli l'un des plus grands nombres de demandeurs d'asile en Europe lors de la vague d'immigration de 2015.

Les Ali Khans et d'autres clans établis sont arrivés en Suède lors de la première vague de migration massive, il y a 30 ans. La famille est originaire de Palestine et de Mardin, dans le sud-est de la Turquie, mais s'est étendue au Liban au siècle dernier et, de là, en Europe du Nord.

Les migrants plus récents s'adaptent à la culture des gangs. Ouday Alwaked, d'origine syrienne, a par exemple rejoint la famille Ali Khan en tant que fantassin. Selon une source policière, il a servi loyalement Fadi Ali Khan jusqu'à ce qu'il soit envoyé en prison pour deux ans après avoir poignardé un rival dans le cou lors d'une attaque ciblée.

Les chefs des services de renseignements de la police ont fait part à MailOnline de leurs inquiétudes quant au fait que les Syriens et d'autres nouveaux migrants commencent à former leurs propres réseaux criminels qui, un jour, mettront au défi les Ali Khans.

Selon M. Nord, ces réseaux criminels sont attirés par les subventions de l'État. Pourquoi se sont-ils installés en Suède ? C'est évident", a-t-il déclaré.

Notre système de protection sociale généreux et notre société de confiance peuvent être exploités par les réseaux criminels. La moitié des prestations d'invalidité que nous versons est prise frauduleusement par les gangs. Parfois, ils divorcent pour que le gouvernement leur donne un autre appartement, puis retournent vivre avec leur ex-femme et le louent.

Lorsque le système clanique du Moyen-Orient, de l'Afrique du Nord et des Balkans a été transféré en Suède, avec notre niveau élevé de confiance sociale, il a muté en crime organisé.

Nous voyons les migrants quitter le pays pendant quelques mois, puis revenir en fauteuil roulant pour demander des prestations d'invalidité. C'est le début de l'exploitation.

C'est terrible parce que les ressources de la police sont utilisées pour résoudre le problème que nous avons nous-mêmes créé.

L'inspecteur Ulf Böstrom, chef de l'unité d'intégration de Göteborg, qui est policier depuis 42 ans, a déclaré à MailOnline que le retrait des patrouilles de police de proximité dans les années 80 a créé un vide qui a été comblé par les gangs de migrants.

Quand le chat n'est plus là, les souris dansent", a-t-il déclaré. En Suède, le chat est parti depuis 30 ans. Sans police sur le terrain, il n'y avait aucun moyen de montrer nos frontières légales aux nouveaux arrivants.

Les clans ont un code du silence. Ils ne font pas confiance aux autorités suédoises et ils ne nous parlent pas. Rien qu'à Göteborg, nous avons 184 nationalités. Les clans considèrent les Suédois blancs comme un clan de plus qui contrôle les institutions du pays.

Nous avions un plan d'intégration qui a manifestement échoué. Il sera très difficile de le réparer. Une génération de jeunes hommes est née dans des familles de criminels sur le sol suédois, et ils se considèrent comme intouchables".

Le policier chevronné a ajouté : "C'est notre faute, mais les politiciens ne l'admettent pas. Nous ne pouvons pas résoudre ce problème par la surveillance ou par une police de type militaire. Si la police ne patrouille pas dans les rues, comment pouvons-nous intégrer ces sociétés parallèles ?

Johanna Bäckström Lerneby, auteur de The Family, un livre sur les Ali Khans, a déclaré : "Les Suédois normaux font confiance à l'État pour s'occuper d'eux et les garder en sécurité. Mais les clans ne font confiance qu'à leurs familles.

Pour eux, la famille est plus importante que la vie et la mort. L'État n'est pas important. Ils ne parlent pas à la police. Ils vivent dans un monde différent".

Les réseaux criminels sont devenus si puissants, a-t-elle ajouté, qu'ils ont même des avocats dans leurs poches.

Au début de l'année, l'avocat Edip Samuelsson a été sanctionné après avoir aidé deux membres d'un gang à coordonner leurs histoires alors qu'ils étaient en garde à vue pour trafic de drogue.

Contrairement aux autres gangs, les clans sont liés par le sang et fonctionnent selon une hiérarchie familiale stricte. La guerre avec le gang de Backa a pris fin lorsque des membres plus âgés du groupe Ali Khan ont organisé un sommet pour la paix dans l'hôtel cinq étoiles Clarion Post, au centre de Göteborg, à moins de 500 mètres du principal poste de police de la ville.

Le gang Backa a accepté de payer des réparations substantielles pour éviter de nouvelles violences, ont affirmé des sources policières.

La seule mesure significative prise par les autorités suédoises a été de prendre en charge l'un des petits-fils adolescents de Khan, qui était présent à ce sommet.

On pourrait penser qu'il était bon pour les deux parties de faire la paix, mais cela n'a fait que rendre la police plus inquiète", a déclaré l'inspecteur Böstrom. Cela signifie qu'ils travaillent maintenant ensembleet qu'il est impossible de savoir ce qu'ils font".

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Dailymail.co.uk


Note : La presse romande a tout fait pour cacher ce qui se passait là-bas, spécifiquement lorsque Donald Trump a osé un commentaire à cet égard.

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