Evreux : rixe interethnique entre Africains et Tchétchènes, un mort, le quartier “en état d’alerte”

Coup de feu à Évreux. Un homme d’origine tchétchène abattu à la terrasse d’un café

Vendredi, vers 18 h 30, un individu a ouvert le feu sur un homme à la suite d’une altercation entre plusieurs personnes dans le quartier de La Madeleine à Évreux. Il est décédé.

[…]

De source judiciaire, c’est là, le vendredi 25 septembre 2020, vers 18 h, à la terrasse du Xpress, un bar dépôt de presse, qu’une bagarre a éclaté entre plusieurs individus issus des communautés tchétchène et africaine de la ville d’Évreux.

[…]

Le quartier en état d’alerte.

[…]

L’article dan son intégralité sur La Dépêche Evreux via actu.fr

Merci à Duchemin Via Fdesouche

Les Africains ont participé au trafic d’esclaves pendant des siècles

14 juin 2020 - par

Je me suis permis, dans un récent article, de proposer un cours de l’histoire de l’esclavage à une partie de ce peuple noir qui semble, ou préfère, l’ignorer totalement afin de pouvoir accuser les Blancs de tous les maux et d’exiger d’eux une perpétuelle repentance ou, pour le moins, ce qui est la mode actuellement : des génuflexions de soumission.

Les Noirs n’apprécieront peut-être pas que ce soit un Blanc qui leur balance certaines vérités, alors, comme selon le dicton « on n’est jamais si bien servi que par soi-même », et qu’ils ont la chance, dans leur ignorance supposée, de posséder quelques lumières, je leur propose aujourd’hui de poursuivre leur apprentissage grâce à l’anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye et à son remarquable ouvrage « Le génocide voilé » (Éditions Gallimard – 2008).

En voici un extrait significatif : « Les trafics d’esclaves n’auraient pas été possibles sans la collaboration active des Africains et la collaboration des Arabo-musulmans.

Par lâcheté intellectuelle, ou opportunisme politique, souvent le voile a été jeté sur cette réalité incontestable : les États nègres d’Afrique ont participé et se sont enrichis grâce à ce commerce, à l’exemple de royaumes comme le Ghana ou le Bénin, au cours de plusieurs siècles de traite d’esclaves, tout d’abord avec la complicité des Arabo-musulmans puis, plus tard, celle des Occidentaux.

Ce sont là des faits historiques négligés, ou occultés par les principaux intéressés : les Noirs descendants de l’esclavage.

Les Africains ont participé à la traite transatlantique et au trafic d’esclaves durant des siècles.

Tout d’abord des razzias étaient organisées par des sultans arabes afin d’approvisionner les marchands qui vendaient les captifs africains. Par exemple celui du sultan de Bornou (actuel Nigeria).

Tous profitaient de ce trafic d’esclaves et notamment les monarques du Dahomey. Ils ont vécu du sang, de la sueur et de l’agonie de leurs peuples, qu’ils livraient aux Arabo-musulmans, puis ce fut l’arrivée providentielle, pour les débouchés de leur commerce, des « négriers blancs », qui leur ont permis une ouverture internationale, qui leur a permis d’écouler leur surplus de captifs.

La responsabilité de ces « roitelets » cupides ne fait aucun doute. Ils se souciaient peu de la destinée de leurs frères. Ils sont surtout, et même davantage, coupables que les premiers négriers arabes ou égyptiens puis, plus tard, européens.

Dès le début, afin de se procurer de la main-d’œuvre, les guerres tribales se font de plus en plus nombreuses et violentes. Les tribus victorieuses obligaient les vaincus à subir leur domination et à accepter une position de subordination : ils devenaient captifs des vainqueurs.

D’autre part, les famines étaient si fréquentes que même des hommes libres se vendaient directement comme captifs, ou vendaient leurs propres enfants.

Le système de caste a toujours existé, et existe toujours de par le monde, mais il est une constante dans les sociétés négro-africaines, et c’est ce système qui procure de nombreux asservis dans bien des civilisations. Il est appliqué depuis des millénaires en Afrique. Il a engendré une classe de seigneurs qui ont soumis au servage l’Afrique subsaharienne.

Ce sont eux qui devraient reconnaître officiellement leurs responsabilités dans le trafic des millions d’esclaves et auraient dû le faire bien avant les pays occidentaux qui l’ont fait.

Ils auraient dû reconnaître le rôle honteux qu’ils ont joué durant des siècles et qui se poursuit de nos jours dans certains États.

Les évêques africains, en octobre 2003, avaient réclamé « Le pardon de l’Afrique à l’Afrique ».

Ils s’exprimaient : « Commençons donc par avouer notre part de responsabilité dans la vente et l’achat de l’homme noir, hier et aujourd’hui. Nos pères ont pris part à l’histoire d’ignominie qui a été celle de la traite et de l’esclavage noir. Ils ont été vendeurs dans l’ignoble traite atlantique et transsaharienne. Les Noirs n’ont pas le droit d’ignorer leur immense responsabilité dans le trafic de l’esclavage ni d’écarter les siècles de complicité intéressée des Arabo-musulmans, dans l’organisation et l’exploitation des Noirs africains.

Ce sont eux les premiers et principaux responsables de ce commerce juteux car quand il n’y a rien à acheter, on n’achète pas. »

** Que tous les Noirs issus de l’esclavagisme accusent les vrais responsables et non pas ceux qui ont aboli l’esclavage : les Blancs.

Manuel Gomez

source: https://ripostelaique.com/les-africains-ont-participe-au-trafic-desclaves-pendant-des-siecles.html

 

Suède : 4 Érythréens accusés d’avoir frappé et violé une fille de 13 ans dans des toilettes

Photo d'illustration issue de Youtube

Selon l'acte d'accusation, le 6 juin, les quatre Africains ont attaqué la jeune fille de Hallsberg et l'ont violée.

"Les rapports ont été précédés de violences. Au moins deux des accusés ont agrippé la nuque et l'épaule de la plaignante, lui ont cogné la tête contre un mur et l'ont poussée dans des toilettes. La victime a été poussée vers le bas et maintenue contre le sol pendant que les accusés avaient des rapports vaginaux avec elle", indique l'acte d'accusation.

Selon le procureur, la fille de 13 ans était en état d'ébriété, les Africains auraient exploité la situation. Elle a souffert de douleurs abdominales à cause du viol, de «contusions à l'épaule, aux bras, aux mains et aux genoux [...] ».

L'un des hommes est également accusé d'avoir filmé pendant qu'il violait la jeune fille et d'avoir commis des infractions de pornographie enfantine.

Le procureur demande à ce que les quatre personnes soient expulsées en Afrique si elles sont reconnues coupables du crime, avec interdiction de retourner en Suède pour une période 15 ans.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Twnews.seSvt.se / Nyatider.nu

Paris : La ligue de Défense noire africaine appelle à s’en prendre aux Blancs, aux Chinois et aux Indiens

Par Pierre Sautarel : Ecoutez ce discours hallucinant lors de la manif parisienne de la LDNA d'hier. Ils incitent les Sud-Africains à s'en prendre aux Blancs, aux Chinois et Indiens mais à ne pas s'attaquer entre Noirs

 

 

Rappels :

Pour l’UDC Guy Parmelin, les manifestations de Shaqiri et Xhaka sont simplement de l’émotion. « La diversité culturelle de la Suisse la rend plus forte »

Nos médias titrent « qu’un Suisse est suspecté de terrorisme » alors qu’il s’agit d’un naturalisé Bosniaque! Merci Sommaruga pour le multiculti!

Simonetta Sommaruga flashe sur un drapeau suisse confectionné avec des tissus du monde entier, symbole du multiculturalisme.

Neuchâtel: un plan pour plus de diversité dans les administrations. « La diversité est une richesse. »

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Le chef du parti musulman néerlandais déclare aux Néerlandais de quitter leur pays s’ils n’aiment pas la diversité culturelle.

Italie. Turin : 30 trafiquants de drogues africains agressent deux policiers

En quelques minutes, les policiers ont été encerclés par des dizaines de trafiquants. Depuis les fenêtres d'un immeuble, un citoyen excitait les Africains contre les policiers en traitant les agents de "nazis" et de "fascistes".

"Tout ce qui est arrivé à Turin aux jardins Alimonda est le miroir d'une société dans laquelle le criminel est convaincu de toujours s'en tirer"

C'est ainsi que Stefano Paoloni, secrétaire général du Syndicat de la police autonome (SAP), a dénoncé l'agression brutale qui a malheureusement vu deux policiers du commissariat de Barriera à Milan, attaqués par une trentaine de trafiquants de drogue non-européens.

Les deux agents s'étaient rendus dans un appartement mis aux enchères pour le livrer à l'huissier. Ils ont trouvé deux trafiquants de drogues africains. A la vue de la police, les deux hommes se sont enfuis vers les jardins d'Alimonda. Là, les deux individus ont demandé aux autres trafiquants présents du soutien: en peu de temps, les policiers ont été encerclés par 30 Africains et ont été attaqués violemment.

Depuis les balcons, un citoyen italien excitait les trafiquants en insultant les policiers : "Fascistes, foutez le camp. Nazis ". Scène de révolte.

Malgré le chaos total, grâce à l’intervention de quelques patrouilles de renfort, l’un des deux trafiquants a pu être arrêté alors que le second a réussi à s'enfuir. Le citoyen italien qui a insulté les policiers a également été arrêté.

(...)

Ofcs.report /  Forzearmatenews.it / Sap-nazionale.orgTorino.diariodelweb.it

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Milan : Les trafiquants africains transforment les espaces de jeux pour enfants en zone de drogues.

Ce sont des situations qui se sont multipliées par l'arrivée des gentils migrants (comme ici ou ici, ou encore ici). Les mêmes migrants que Genève aime tant.

Les gens ont peur, les Africains imposent leur loi mais pour Genève ne pas se prosterner devant une telle racaille est du "populisme".

 

**********

La colère des habitants de Quarto Oggiaro, otage de gang de trafiquants qui envahissent les zones autrefois utilisées par les enfants. Des drogues sous les toboggans et les balançoires, les perquisitions et les arrestations: "Nous n'avons pas la paix", commente un passant.

Les lieux, qui devraient être fréquentés par les enfants accompagnés de leurs familles sont transformés à partir de l'après-midi en un réceptacle de trafiquants africain d'origines diverses.

Les Gambiens, les Nigérians et les Nord-Africains ont pris la place des enfants. Les jeux qui leur étaient dédiés sont devenus des dépôts de biens illicites. Des sacs de drogues, des couteaux et des balances de précision ont été trouvés sous les toboggans de jardin ou près des balançoires.

Les habitants de la région sont furieux et disent ne plus avoir la paix, malgré les nombreuses arrestations qui affectent périodiquement les membres des gangs africains

(...)

Le Gambien Amadou gras, un demandeur d'asile, a été arrêté 5 fois en un an pour le trafic de drogues, recevant entre autres, l'interdiction de séjour à Milan.

(...)

Ilgiornale.it

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Italie : une quarantaine de Nord-Africains attaquent la police suite à l’arrestation d’un Gabonais, un policier dénonce le « racisme » de ces « groupes d’étrangers »

Dans le quartier de Barriera di Milano à Turin, mardi matin, une quarantaine d’individus ont attaqué la police qui interpellait un migrant gabonais après avoir trouvé de la drogue chez lui. Deux policiers ont été blessés.

Quelqu’un a lancé une bicyclette sur les forces de l’ordre, des résidents ont agressé les policiers, d’autres les ont insultés depuis leur balcon, provoquant le soulèvement du quartier.

Le secrétaire d’un syndicat de police, Eugenio Bravo, a déclaré : « L’ONU veut envoyer une commission en Italie pour vérifier l’existence d’un vent de racisme : ce qu’ont vécu les policiers de Turin entourés, agressés et malmenés par une quarantaine de Nord-Africains alors qu’ils arrêtaient légitimement l’un de leurs concitoyens est la énième preuve qu’il existe un ‘racisme’ dans ce pays, mais envers les forces de l’ordre. Une sorte d’intolérance de la part de groupes d’étrangers envers la légalité et les forces de police ».

La Stampa

via Fdesouche.com

Belgique : 10 Africains arrêtés pour trafic d’êtres humains

Dix membres d'une bande de trafiquants d'êtres humains ont été interpellés dans la nuit de mardi à mercredi au cours d'une vaste opération de police sur l'autoroute E40, à Wetteren. Vingt-sept migrants en transit ont également été interceptés, indique la police fédérale.

"Les victimes étaient tant des hommes que des femmes, mais aussi des enfants voire des bébés"

Cette opération est le résultat d'une vaste enquête sur une bande de passeurs, précise la police fédérale. "Les membres de cette bande sont d'origine africaine et résident à Malines et Anvers. Ils ont utilisé exclusivement le parking de l'autoroute E40 Bruxelles-Ostende à Wetteren pour s'adonner au trafic de migrants en transit. Ceux-ci provenaient pour la plupart de Bruxelles. Les victimes étaient tant des hommes que des femmes, mais aussi des enfants voire des bébés. La majorité d'entre elles étaient originaires d'Erythrée, du Soudan et d'Ethiopie."

(...)

RTL.be

 

Fribourg : Bagarre de masse entre Balkaniques et Africains en pleine ville. Près de 40 personnes jugées. Aucune expulsion.

Trente-six jeunes, dont trois mineurs, viennent d’être condamnés cet été. Les sanctions font suite à trois bagarres à Fribourg, entre bandes du quartier du Schoenberg et de la commune banlieusarde de Marly. Une majorité des condamnés sont d’origine étrangère, des Balkans d’un côté, d’Afrique de l’autre. Six d’entre eux se sont opposés aux travaux d’intérêt général, aux jours-amende avec sursis et aux amendes fermes infligées.

La première rixe s’est déroulée le 10 juin 2017 entre minuit et 2 h du matin en pleine ville, à la place de la Gare, pendant les fêtes de Pérolles. La rue est devenue un ring de boxe avec bouteilles en verre et divers instruments. Agés d’une vingtaine d’années, certains protagonistes étaient déjà connus de la justice.

(...)

Italie. Ancône : Le chauffeur de bus demande les billets à un groupe d’Africains. Il se fait agresser et menacer. (Vidéo)

Les faits remontent à lundi soir. Selon Picchio News  le bus avait quitté Senigallia pour rejoindre Sassoferrato. C'est un service extra-urbain qui relie les petites villes de la région. Un petit groupe d'Africains grimpe à Serra de 'Conti. Le chauffeur aurait demandé les billets à un petit groupe d’Africains. S’en sont suivies une dispute puis une altercation.

 

 

 

 

Le chauffeur se fait agresser verbalement par un migrant en particulier. Des coups de poing sont donnés, l’un d’eux finissant presque sur le visage d’une fillette assise à côté.

La nouvelle, qui est devenue publique ces derniers jours, est maintenant confirmée par les images choquantes de la vidéo enregistrée par un passager. On voit un jeune étranger se disputer avec le chauffeur de bus qui tente de le convaincre de descendre.

Ensuite, une bagarre éclate, uniquement calmée par l'intervention de deux carabiniers.

(…)

Il Giornale

Italie. Ferrare : Affrontements entre africains à coups de machette et de hache. 4 blessés graves

À Ferrare, c’est une guerre ouverte entre bandes de migrants nigérians à coups de hache ou de machette. 4 blessés graves pour l’instant.

Depuis trois jours, les chroniques de la ville racontent des bagarres continuelles et des raids punitifs, souvent avec de machettes. Des citoyens effrayés qui se sont trouvés à quelques mètres de ce qui a tout l’air d’être de brèves batailles d’un véritable conflit entre migrants.

Quatre agressions, l’une après l’autre, toutes dans une zone semi-centrale de la ville, suggèrent qu’il existe un lien entre les épisodes. Et maintenant, il y a ceux qui regardent aussi les épisodes passés pour comprendre depuis quand la guerre a commencé. En juin sur Facebook sont apparues des vidéos d’une bagarre violente entre Nigérians en plein jour. Mais c’est depuis dimanche que la confrontation s’est accentuée.

Source : Il Giornale

Via Suavelos.eu

Émeute après le match France-Belgique à Bruxelles : « Entre 100 et 150 Africains » ont attaqué la police

Le chef de corps de la zone de police Bruxelles-Ouest, Jacques Gorteman, a confirmé à La Capitale que des bagarres ont éclaté aux alentours de Simonis. « Entre 100 et 150 Africains sont venus à Simonis vers Jette pour chercher la bagarre et attaquer la police », a relaté le chef de corps à La Capitale.

Sur les réseaux sociaux ce dernier a précisé : « Les Français étaient meilleurs aujourd’hui. Les jeunes « Bruxellois » en profitent pour caillasser la police avec pierres et bouteilles ».

Lausanne : Elle pensait travailler pour une Ong du Bénin, elle se fait escroquer par des Africains

Soucieuse d’aider financièrement sa mère, la jeune femme de 20 ans avait cru avoir trouvé un job auprès d’une ONG basée au Bénin.

L’offre avait paru sur un site de petites annonces. Elle avait été en contact avec un certain Jan Doci, qu’elle n’avait jamais vu et à qui elle n’avait jamais parlé: tout s’était fait par écrit, sur internet. Doci lui avait proposé de servir de relais pour des fonds destinés à cette prétendue ONG. Sonia a donc fourni ses coordonnées bancaires et une copie de sa pièce d’identité. Ces informations ont fini par être transmises aux clients arnaqués, qui se sont retournés contre la jeune femme.

(...)

Source et article complet

Jean-Claude Juncker : « Nous veillerons à la sauvegarde des droits des Africains en Italie ». Une députée italienne lui répond qu’il doit arrêter de boire. (Vidéos)

Christian Hofer: pour voir cet alcoolique dans ses oeuvres, vous pouvez visionner cette vidéo.

**********

Sous l'impulsion de la Ligue, le programme commun promet aussi un tour de vis sécuritaire, anti-immigrés et anti-islam. Interrogé à ce sujet, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a déclaré juger «les gouvernements non pas sur ce qu'ils annoncent mais sur ce qu'ils feront. Mais nous restons attentifs pour sauvegarder entier les droits des Africains qui sont en Italie».

 

 

Cette sortie lui a valu une réplique mordante, (qui fait allusion au goût prononcé pour l’alcool de Juncker), de la part de Giorgia Meloni, présidente de Fratelli d’Italia :

 

 

« Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker dit que la Commission européenne veillera à ce que le prochain gouvernement italien respecte les droits des Africains en Italie. Juncker, bois un peu moins ! »

a ironisé Meloni avant d’ajouter :

« L’Italie doit respecter ses propres lois. Quels sont les droits que nous devrions respecter ? Ceux des personnes qui entrent en Italie sans respecter nos lois ? En Italie on n’entre pas illégalement. Si tu entres illégalement tu dois être rapatrié. »

Source Source2 Source3

Rappels:

Davos: Juncker n’a pas de temps pour le Conseil fédéral. «Pourtant même Donald Trump a du temps pour la Suisse.»

Quand Jean-Claude Juncker vient relever les compteurs

Jean-Claude Juncker, après l’attentat de Berlin: «l’ouverture est le meilleur moyen de lutter contre le terrorisme»

L’Union européenne a entériné la loi sur les armes à feu. Juncker exulte.

France: Scène de ménage entre Africains. L’Africain inflige plusieurs coups de tête à la femme africaine. (Vidéo)

Pour les femmes européennes qui sont encore intéressées par ce genre de spécimen...

Selon la version de l'internaute postant cette vidéo "Les 2 femmes( africaine) cocues se sont arrangées pour le coincer dans le RER D et lui régler son compte."

Mais en réalité, c'est l'Africain qui donne plusieurs coups au visage (dont des coups de tête), sans se soucier du fait qu'il se trouve face à des femmes et en public.

 

 

Yverdon: Des Nigérians découvrent l’inscription “Dealer of coke” dans leur passeport. Ils accusent la police suisse.

«Comment voulez-vous que je me déplace désormais? Je suis tout le temps contrôlé par la police, vous me voyez retourner en Italie avec un tel passeport?» Yusuf* est Nigérian. Il se dit touriste en Suisse. Ce qui cloche avec ses papiers d’identité? Une inscription faite à la main, au stylo à bille, dans la section normalement réservée aux visas. Le jeune homme de 22 ans ouvre son document à la page 9. On peut y lire: «Dealer of coke».

Plus surprenant, il affirme qu’il n’est pas le seul à s’être ainsi fait vandaliser son passeport. Et, toujours plus étonnant, il assure que c’est un agent de Police Nord vaudois qui en est l’auteur. L’affaire est délicate. Et c’est la Division affaires spéciales, rattachée au Ministère public central, qui a été chargée de l’instruire.

(...)

Source et article complet

Grisons. Coire: 14 Africains arrêtés pour trafic de drogues.

La police cantonale des Grisons a mené plusieurs actions contre le commerce de la cocaïne dans les rues de Coire l'année dernière. D'avril 2017 à avril 2018, elle a arrêté 14 Ouest-Africains et les a reconnus coupables de vente de cocaïne.

La majorité des ressortissants nigérians résidant dans les pays européens ont fait l'objet d'expulsions directes et d'interdictions d'entrée pour plusieurs années. Les mesures de renvoi et d'éloignement ont été prises par l'Office des migrations et le Secrétariat d'Etat aux migrations.

(...)

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Info

Italie : Castel Volturno, petite ville fantôme près de Naples, tombée aux mains des gangs nigérians et des clandestins africains

Au nord de Naples, une station balnéaire abandonnée a été réinvestie par les clandestins africains et les gangs nigérians qui règnent sur la prostitution et le trafic de cocaïne.

A Castel Volturno, il n’y a plus de noms de rue. Les panneaux ont été effacés. Dans cette station balnéaire fantôme, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Naples, les rues sont défoncées. Et il y a bien longtemps qu’on ne ramasse plus les ordures. La poste a fermé. L’école, l’église, le commissariat aussi.

A Castel Volturno, il n’y a plus de droit, il n’y a plus d’Etat. La moitié des habitants sont des clandestins africains qui occupent des pavillons décatis devenus des squats. Dans ces quartiers à l’abandon, la mafia nigériane est comme chez elle. Elle règne sur la prostitution et le trafic de drogue. A chaque coin de rue, un cerbère contrôle sa portion de territoire, un bâton dans une main et un téléphone dans l’autre. A Castel Volturno, une journaliste ne se promène pas sans escorte.

Mieux vaut être accompagnée, comme ce fut mon cas, par deux policiers en civil, revolver à la ceinture. Les seules femmes que l’on croise sont des prostituées nigérianes, le plus souvent mineures, que leurs souteneurs font travailler sur la via Domitiana, le long de la mer. Tarif : de 10 à 15 euros la passe. Certaines s’offrent même pour 5 euros.

Source