Tessin : Un imam expulsé de Suisse revient à Chiasso en tant que demandeur d’asile

Son permis de séjour en Suisse avait été révoqué en 2015, une décision finalement confirmée par les tribunaux en 2017. Cependant, de retour en Égypte, l'imam se serait fait mal voir aux yeux du gouvernement.

Il aurait notamment dirigé une page Facebook qui "incitait la population à l'insurrection" contre le gouvernement d'al-Sisi, ainsi que travaillé comme imam dans une mosquée dirigée par les Frères musulmans, se faisant également représenter en compagnie de plusieurs membres de l'organisation précitée.

C'est sur ces prétendus motifs de persécution que l'imam égyptien est rentré en Suisse l'été dernier. Le 5 juillet, il a frappé à la porte du centre d'enregistrement de Chiasso et a demandé l'asile, affirmant qu'il était en danger dans son pays.

En novembre, cependant, le SEM a rejeté la demande de l'imam égyptien. Il lui a été indiqué que, puisqu'il était déjà titulaire d'une autorisation de séjour en Suisse, la décision de délivrer ou non une nouvelle autorisation de séjour revenait aux autorités cantonales qui avaient décidé de l'expulser en 2015.

L'imam a demandé un nouveau permis de séjour aux autorités cantonales. En même temps, il a fait appel contre la décision du SEM, demandant la reconnaissance de son statut de réfugié.

Dans leur décision, les juges ont souligné que l'homme n'était pas recherché par les autorités égyptiennes. Ils se sont également étonnés qu'il ait attendu 2020 pour demander l'asile en Suisse, alors que les persécutions présumées remontent à 2017. Un signe que la persécution n'était peut-être pas aussi réelle qu'il l'avait décrite.

"Au vu de ce que le requérant a admis", écrivent les juges dans l'arrêt récemment publié, "il semble avoir introduit une demande d'asile dans l'intention de contourner la législation sur le droit des étrangers".

Son recours a donc été rejeté. Dans la même ligne, les autorités cantonales ont rejeté sa demande d'un nouveau permis de séjour. Après avoir payé les frais de justice, l'imam égyptien devra quitter la Suisse une seconde fois.

(Traduction libre Christian Hofer pour LesObservateurs.ch)

Mattinonline.ch

Suisse : Un ex-Imam donne des instructions de meurtre depuis la prison

Azad M. est détenu à la prison cantonale de Frauenfeld depuis mars 2021. Le Tribunal pénal fédéral l'a condamné à 70 mois de prison et l'a reconnu coupable d'implication dans une organisation criminelle.

Mais même en détention, l'ancien responsable de prière de la mosquée An'Nur de Winterthour semble rester actif. Notamment, il a utilisé les appels téléphoniques qu'il était autorisé à passer pour appeler au meurtre, comme le rapporte le "Tages-Anzeiger" (article payant).

Ainsi, en février, il aurait ordonné à son frère en Allemagne de «ne pas laisser une personne s’en sortir». Les conversations étant surveillées par une interprète, il a ensuite été mis en garde. Les choses ont dégénéré lors d'un appel téléphonique en mars dernier, au cours duquel il a tenté de donner des instructions à sa mère en Irak sur la manière de gérer la mort de son neveu : "Maman, dis-leur de le laisser..." le téléphone lui a été arraché des mains, mais il a tout de même réussi à crier que quelqu'un "devait aller chez cet homme et le laisser crever", écrit le "Tages-Anzeiger".

Après 15 ans d'emprisonnement, l'expulsion

Cet Irakien de 53 ans vit en Suisse depuis 1998. De là, il aurait fourni un soutien logistique et financier à la milice terroriste de l'Etat islamique. Après avoir purgé sa peine, il sera expulsé du pays pendant 15 ans. En outre, selon divers médias, il a menacé de faire tuer sa femme si elle divorçait. Le couple a depuis divorcé.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

20Minuten.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini


Rappels :

Suisse. Winterthour: Un Imam éthiopien inculpé pour appel au meurtre

Le djihadiste de Winterthour était un ancien employé de la poste, connu comme un salafiste radical

Suisse : Les rapatriés de l’Etat Islamique n’ont même pas été condamnés à de la prison ferme

Suisse. Winterthour: L’imam, au bénéfice du statut de réfugié, aurait poussé sa femme à devenir terroriste

Winterthur: Soupçons de pédophilie à la mosquée

Exclusif. Mosquée de Winterthur: L’imam appelle à la mort des… chrétiens et des non musulmans.

Suisse: Pas de surveillance préventive des mosquées car il n’y a pas de base légale

Francfort-Bonames (All.) : Après des troubles dans un centre pour réfugiés, un imam est appelé pour apaiser les tensions

Vendredi, la police et un imam ont dû servir de médiateurs dans les émeutes qui ont éclaté dans le logement pour réfugiés à Francfort-Bonames. La relation entre les exploitants et les résidents de l'hébergement est toujours tendue.

La ville fait pression pour que la réglementation en matière de protection contre les incendies soit respectée. De leur côté, les résidents ont le sentiment que leur autonomie a été restreinte. Il y a quelques semaines, le conflit a éclaté car on a demandé aux habitants d'abandonner leurs cuisinières qu'ils s'étaient procurées à leurs frais. Les mesures prises vendredi dernier ont montré que même les plaques chauffantes, qui font partie de l'équipement de base des modules d'habitation, surchargent le système d'alimentation électrique. Une porte-parole du département des affaires sociales, Daniela Birkenfeld (CDU), a déclaré que tous les résidents n'ont pas répondu à la demande urgente de remise des plaques. Il a donc fallu couper l'électricité pour une courte période. Le danger d'incendie était trop grand, a-t-elle déclaré. Les résidents ont protesté.

Dimanche, selon le département des affaires sociales, un compromis a été trouvé avec un imam. Pour l'instant, les résidents seraient approvisionnés par une entreprise externe qui leur offrirait une "nourriture culturellement appropriée". En outre, ils ont la possibilité d'utiliser les plaques de cuisson dans trois des modules résidentiels vacants, selon des modalités fixées.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Faz.net

 

Berlin : un imam haineux au bénéfice de l’aide sociale détourne des fonds d’aide d’urgence pour le Coronavirus

Berlin - Cette affaire est vraiment incroyable : le prêcheur de haine berlinois Ahmad Armih (46 ans), surveillé depuis des années par l'Office de protection de la Constitution de Berlin et classé comme un danger, a récolté 18 000 euros d'aide d'urgence contre le Coronavirus !

Et ce malgré le fait que le salafiste soit bénéficiaire de prestations sociales, selon le ministère public de Berlin.

Pour lui et sa femme, il s'était adressé à la Banque d'investissement de Berlin sous de faux prétextes. L'argent s'est retrouvé sur son compte rapidement et sans bureaucratie, comme des milliers d'autres Berlinois indépendants.

Mais évidemment à tort !

"Le prévenu de 46 ans Ahmad A. est soupçonné, avec sa compagne, d'avoir profité de la situation de crise du Coronavirus afin d'obtenir 18.000 euros de subventions de la Banque d'investissement en faisant de fausses déclarations concernant une activité commerciale, alors que tous deux ont reçu des prestations sociales", a déclaré Martin Steltner, porte-parole du bureau du procureur général de Berlin.

Armih prêche la haine contre les "mécréants" depuis des années

Jusqu'à mi-2018, Ahmad Armih a prêché dans une mosquée de la Torfstrasse sous le pseudonyme d'Ahmad Abul Baraa. Il est considéré comme l'un des rares prêcheurs salafistes qui ont une grande influence non seulement au niveau local mais aussi national.

Dans ses discours, il divise le monde entre les bons musulmans et les méchants infidèles. Armih a condamné à plusieurs reprises les atrocités de l'Etat islamique. En revanche, il a qualifié le combat des groupes proches de l'organisation terroriste Al-Qaïda de "djihad béni". Il a également "prié" que "Dieu tue les ennemis d’Allah un par un".

Il a sans cesse incité ses auditeurs, pour la plupart jeunes, à se tenir à l'écart des "infidèles" et à affronter avec "hostilité et haine" les gens qui combattent l'Islam.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

L’imam de Hamas TV : « Ce virus est un soldat d’Allah […] Allah soit loué ! 450 morts en Italie »

« Allah a envoyé un soldat, le coronavirus. Que se passerait-il s’il en avait envoyé 50 comme le coronavirus ? Il n’a envoyé qu’un seul soldat et a frappé 50 États américains. Il y a une heure, ils ont déclaré à la télévision qu’en Californie, ils s’attendaient à ce que 58% de la Californie soit infectée dans les deux mois. Ils parlent de 25 millions de personnes infectées dans un seul des 50 États. Allah soit loué !

 

Voyez comment quiconque s’oppose à la mosquée Al-Aqsa est brisé en miettes par les soldats d’Allah. Regardez à quel point les villes israéliennes sont vides.  Regardez à quel point les rues sont vides et regardez à quel point cette mosquée est bondée. Qui nous a protégé et leur a fait du mal ?  C’est allllllaaaaaaahhhhhhh !!!!

Oh Allah, éloigne le coronavirus de nous, éloigne-le de nous et déchaîne-le contre les gens derrière la perversité du siècle. Frère, le coronavirus est-il réel ? Oui. Le coronavirus est-il dangereux ? Oui. Le coronavirus peut-il tuer ? Oui. Y a-t-il des personnes infectées par le coronavirus ?

Allah soit loué ! Le nombre en Italie : 450 victimes hier!  il y a une victime toutes les 8 minutes. En Iran il y a une victime toutes les 8 minutes. La Chine est deuxième derrière l’Italie avec 3300 victimes. Que se passe-t-il ? Allah soit loué ! Telle est la grandeur d’Allah.

Les musulmans sont les personnes les moins infectées. Le seul pays où personne n’est mort… Quand je suis entré dans cette mosquée, j’ai reçu un SMS disant que les 650 personnes qui avaient été mises en quarantaine à Bethléem ont été complètement guéries par la grâce d’Allah. Frères, Avant d’entrer dans la mosquée, j’ai contacté des médecins expérimentés, et ils m’ont dit qu’à ce moment, il n’y a pas un seul cas à Gaza.»

Via Fdesouche


Rappel :

Les prières dans les Lieux saints de La Mecque et Médine suspendues à cause du Coronavirus. C'est dire le niveau de ce cinglé.

Suisse : La Turquie a endoctriné de jeunes élèves durant les vacances de Noël

Cela ressemblait à un camp de vacances normal. Mais derrière le plaisir récréatif des enfants à Melchtal (canton d'Obwald), se trouvait l'autorité religieuse turque. Des imams envoyés par Erdogan dirigeaient le tout.

Recep Tayyip Erdogan (55 ans) n'a jamais caché le véritable caractère de sa mission. En 1997, peu de temps avant qu’il ne soit condamné pour incitation à la haine religieuse, le maire d’Istanbul citait déjà un poème : "La démocratie n'est que le train que nous prenons jusqu'à notre but. Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes et les fidèles nos soldats."

Selon la volonté d'Erdogan, les plus jeunes doivent déjà devenir des soldats de la foi - en Suisse également.

À Noël [NDLR : Notez la provocation et le mépris à l'égard de notre pays aux racines chrétiennes], l’État turc a endoctriné des écoliers de l’école primaire suisse dans un camp de vacances à Melchtal durant six jours.

Enseignement coranique intensif

A première vue, le campement d'hiver semblait inoffensif. Les photos montrent des garçons et des filles en train de rire. Ils pratiquent le tir à l'arc, jouent au billard, font de la luge dans le paysage montagneux idyllique d'Obwald. Mais le camp est plus qu'une simple activité de loisir, comme le prouvent d'autres images de la vie du camp : Des filles - qui n'ont pas encore dix ans - avec des foulards serrés. Des élèves priants, strictement séparés par sexe. Et encore et toujours : des leçons intensives de Coran, des invocations collectives d'Allah, de la formation continue de la culture turque.

Derrière l’organisation du camp de vacances se trouve la Fondation turco-islamique pour la Suisse (TISS), une branche directe du ministère de la religion Diyanet situé à Ankara, la capitale turque. L’autorité de l'État dispose d’un budget d’un milliard d’euros et emploie plus de 100 000 personnes.

Au camp d’hiver d’Obwald, les prédicateurs envoyés par Ankara ont également agi en qualité de responsables et d’enseignants. Parmi ces imams envoyés par Erdogan se trouve I. G.*. Il vient d’Hatay, la province qui se situe au sud-est de la Turquie, à la frontière avec la Syrie. Actuellement, G., payé par l’État turc, prêche à la mosquée Diyanet de Neuchâtel.

 

Cette photo a été prise lors d'un camp Diyanet en décembre 2016 à Appenzell.

 

Hostilité à l'encontre des homosexuels et d'Israël

On ne sait exactement pas ce que G. a fait avec les élèves lors du camps, mais on sait ce qu’il pense. Sur Facebook, G. attise l'hostilité contre les homosexuels, appelle à la lutte contre Israël, glorifie les Frères musulmans islamistes. Au camp de vacances, il portait toujours un fez rouge, symbole de l'Empire ottoman. Erdogan rêve également de ce califat islamique disparu.

Avec son attitude nationaliste, radicale-islamique, l’imam G. est tout à fait sur la même longueur d’onde que Diyanet. Dans une fatwa, un avis juridique islamique, l'autorité religieuse a récemment demandé aux fiancées en Turquie de ne pas flirter ni de se tenir la main en public. L'Islam n'approuve pas cela.

En 2016 dans une bande dessinée pour enfants, l'autorité a glorifié la mort comme un martyr de la foi. Ces derniers mois, dans les mosquées de Diyanet en Europe, des prières ont été récitées pour les "martyrs" de la campagne syrienne.

Réunion avec Erdogan à Genève

Les rencontres avec le chef de l'Etat turc montrent à quel point les contacts entre plusieurs responsables de ces camps et l'appareil de pouvoir turc sont étroits. La dernière rencontre a eu lieu cinq jours seulement avant le camp d'hiver, lors de la visite de l'autocrate turc à Genève. L'imam I. G. et une autre responsable de camp - une fonctionnaire de Diyanet Suisse - y ont rencontré personnellement Erdogan.

Les camps de vacances pour enfants helvético-turcs sont une longue tradition. En particulier, les associations des mosquées organisent de tels camps en Suisse depuis des décennies. Cependant, les camps de Diyanet suscitent de plus en plus d'inquiétudes parmi les membres de la communauté turque.

Les événements ont considérablement changé ces dernières années. Alors que les dirigeants étaient autrefois des jeunes Turcs bien intégrés, résidant en Suisse, ce sont aujourd’hui des imams envoyés par leur pays d’origine. Ils parlent à peine l’allemand et ils s'engagent sans réserve dans la trajectoire d'Erdogan.

Crainte de représailles de la part de l'État turc

"Les camps de vacances de Diyanet favorisent les sociétés parallèles et sont un poison pour l'intégration des élèves en Suisse", déclare un Turc vivant ici qui refuse que son nom soit publié dans le journal - la peur des représailles de l'Etat turc est trop grande. L'homme a lui-même participé à des camps d'hiver similaires lorsqu'il était jeune. Diyanet n'a pas répondu aux demandes d'informations du SonntagsBlick.

Recep Tayyip Erdogan n'a jamais caché qu'il fonde également son pouvoir sur le soutien des Turcs de l'étranger, qui se sentent davantage engagés envers lui et leur ancienne patrie qu'envers le pays dans lequel ils vivent

Déjà en 2010, lors d'un discours à l'occasion de l'ouverture d'une mosquée à Cologne (Allemagne), Erdogan a appelé ses compatriotes à ne pas se laisser intégrer par leur pays d'accueil : "Personne ne peut s'attendre à ce que vous vous soumettiez à l'assimilation. L'assimilation est un crime contre l'humanité !"

* Nom connu

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Nos remerciements à notre lectrice

 

Rappels :

Genève : A l’abri des regards, Erdogan tient un discours anti-intégration et fait le signe des Frères musulmans. « Infiltrez la société suisse! »

Situation tendue à Genève : Erdogan prévoit une soirée de propagande avec les Turcs de Suisse. Les Kurdes et l’extrême gauche sont prêts à en découdre

Erdogan menace la Suisse: «Vous récolterez ce que vous avez semé»

Suisse: des jeunes musulmans sont encouragés par leurs imams à haïr.

Bâle: Un policier pro Erdogan arrêté. Il aurait consulté les fichiers d’opposants au président turc.

Lorsque le Parti socialiste suisse milite en arabe et en turc pour la naturalisation facilitée

Employé dans une entreprise de sécurité, le Turc recrutait des jihadistes au Tessin

La Turquie tente d'influencer l'islam en Suisse

Berne inquiet: « La Turquie organise dans 15 pays un programme pour ses ressortissants sous le prisme de l’islam et de l’empire ottoman. »

Erdogan: l’Europe sera musulmane, si c’est la volonté d’Allah

Bâle : l’imam quitte la Suisse après ses propos visant les homosexuels

Ces derniers mois, l'imam bâlois Ardian Elezi a fait sensation avec ses déclarations. A présent, il quitte la Suisse. Son lieu de destination n'est pas connu.

Selon le "Tages-Anzeiger", dans un sermon vidéo, il avait décrit les homosexuels comme "un cancer contre la morale". De plus, il aurait conseillé aux musulmans de rester à la maison durant l'été afin de ne pas être tentés par les "nombreuses femmes à moitié nues".

Il aurait également dénigré les Juifs en les qualifiant "de sans coeur" et aurait exploité la mort du jeune Iliade tué par une Suissesse à Bâle [NDLR : Il prétendait que la Suissesse était une terroriste et pouvait donc inciter à la haine contre les non musulmans par amalgame].

[...]

20Minuten.ch

 

Un imam kosovar doit quitter la Suisse : Il ne respectait pas l’égalité entre hommes et femmes

Un imam kosovar a perdu son permis de séjour en raison des violences physiques et sexuelles qu'il exerçait contre son épouse.

[...]

Devant le Tribunal fédéral, l'homme a invoqué la protection de la vie privée, garantie par la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH). [...]

Arrivé à l'âge de 26 ans, le recourant a passé nettement moins de dix ans en Suisse. Sa vision des droits fondamentaux et des devoirs de la femme est clairement contraire au droit et aux conceptions en vigueur dans notre pays.

[...]

20Min.ch

 

Lucerne : Un imam accusé de légitimer la violence contre les femmes et de vouloir appliquer la charia aux non musulmans

L'Irakien Abdulrahman O. est arrivé en Suisse en 2007 en tant que réfugié. [...]

L'homme est bien connu des autorités. En 2015, il avait été inculpé par le Parquet fédéral avec trois autres Irakiens. Ces derniers ont été condamnés à plusieurs années de prison pour activités terroristes. O., a quant à lui été acquitté. [...]

Tout en citant des versets du Coran, le religieux aurait recommandé de discipliner les femmes à l'aide de coups légers, en cas d'échec d'autres mesures comme la discussion ou l'éloignement du lit conjugal. L'homme aurait aussi appelé au respect de la charia, la loi canonique islamique. Il souhaiterait qu'elle s'applique aux fidèles de la mosquée et aux Suisses non-musulmans.

20Min.ch

Italie : un imam, incarcéré pour trafic de drogue, rendait hommage au terroriste de Berlin et voulait l’imiter.

Un imam tunisien glorifiait l'Etat islamique et le terrorisme depuis la prison romaine de Rebibbia, où il était emprisonné pour vol et trafic de drogue.

Au cours de la prière qu'il conduisait, cet imam se consacrait à la diffusion de l'idéologie radicale. En particulier, il louait les auteurs de certaines attaques menées dans les pays occidentaux. Il a souvent déploré le meurtre d'Anis Amri, l'auteur terroriste de l'attentat du 19 décembre 2016 à Berlin, qui a fait 12 morts et 56 blessés.

De plus, comme si cela ne suffisait pas, il se disait prêt à imiter les actes de son compatriote terroriste.

Aujourd'hui, le Nord-Africain de 32 ans a été expulsé d'Italie après avoir été libéré de prison le 22 août et transféré - comme le rapporte Roma Today - dans un centre de rapatriement permanent. L’imam a donc été rapatrié avec trois citoyens égyptiens pour des raisons de sécurité publique: les quatre individus ont quitté l’aéroport de Fiumicino, ils ont été pris en vol direct pour le Caire.

Il Giornale.it / Romatoday.it

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Vienne : Sermons radicaux à la mosquée. “Féliciter les mécréants lors de leurs fêtes religieuses est pire que tuer.” (Vidéo)

Encore une fois, des soupçons de radicalisme dans une mosquée de Vienne.

Une vidéo contenant le discours explosif d'un Imam a été divulguée au journal "die Krone". Entre autres choses, on appelle à un Etat islamique et on prêche à l'encontre des "mécréants".

Le parti libéral a porté plainte pour apologie de crimes terroristes et pour haute trahison.

La vidéo prise à l'aide d'un téléphone mobile à l'intérieur d'une mosquée viennoise montre deux imams et un frère musulman présumé. Alors qu'un prêcheur appelle les jeunes à fonder un État islamique ("Ils ont les rôles les plus importants dans le jihad et dans le prosélytisme"), un autre prêche contre les soi-disant mécréants.

 

 

 

Il est strictement interdit de féliciter les mécréants (les chrétiens) lors de leurs fêtes religieuses : "C'est comme se prosterner devant la Croix. Et pour Allah, c'est pire que boire de l'alcool ou tuer."

L'islamologue Amer Albayati critique vivement: « L'islam politique est une menace pour la paix sociale et notre sécurité. Il doit être stoppé immédiatement. » Le Parti de la liberté a déposé une plainte auprès du ministère public.

 

Kurier.at / Krone.atReligion.orf.at

 

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

L’imam danois appelle à la solution finale: «Le djihad nécessite l’invasion et la conquête musulmanes de l’Europe» (Vidéo)

L'imam Mundhir Abdallah, de la mosquée Masjid Al-Faruq à Copenhague, appelle à une nouvelle conquête islamique de l'Andalousie, des Balkans et de Rome, pour accomplir la promesse du prophète Mahomet.

 

 

 

"Le Jihad nécessite l'invasion musulmane et la conquête de l'Europe", Abdallah a déclaré à ses disciples que "la solution finale au problème du Levant - après la création du califat et l'élimination de l'entité juive - passera par la conquête de l'Europe".

Les Juifs «hâtent leur propre anéantissement par leur violence, leur crasse et leur bassesse, qui reflètent la nature immuable des Juifs.» L'Imam a ajouté qu'il n'est «pas raciste» mais que cela « a à voir avec le caractère juif et la psyché, avec cette mentalité juive malade. »

Le message vidéo a été publié en 2017 mais a été rendu public et traduit par l'Institut de recherche des médias du Moyen-Orient (MEMRI) une semaine après que l'imam ait été accusé de discours de haine pour avoir appelé à tuer des Juifs.

Dans la vidéo, il expose un plan qui permettrait aux musulmans de conquérir l'Europe entièrement et de porter un coup final à la "bassesse" du peuple juif.

(...)

 

Voice of Europe

 

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Rappel:

Danemark : un imam inculpé pour avoir appelé au meurtre des juifs (Vidéo)

Danemark : un imam inculpé pour avoir appelé au meurtre des juifs (Vidéo)

Un imam danois a été inculpé pour avoir appelé au meurtre des juifs dans un prêche publié sur les réseaux sociaux, une première dans le pays nordique, a annoncé aujourd'hui le parquet à Copenhague. L'imam Mundhir Abdallah officie à la mosquée Masjid Al-Faruq dans le quartier de Nørrebro à Copenhague, déjà pointée du doigt par le passé dans la presse danoise pour sa proximité présumée avec des courants de l'islam radical.

Lors de la prière du vendredi 31 mars, l'imam a cité un hadith (parole du prophète Mahomet) édictant que "le jour du jugement ne viendra que lorsque les musulmans combattront et tueront les juifs". "Les juifs se cacheront derrière des rochers et des arbres mais les arbres et les rochers diront: 'Oh musulman, oh serviteur d'Allah, il y a un juif derrière moi, viens le tuer'", a poursuivi l'imam. Son prêche a été traduit de l'arabe en anglais par l'institut américain Middle East Media Research Institute (MEMRI), à partir d'une vidéo diffusée sur YouTube.

 

 

C'est la première fois qu'une procédure de cette nature est engagée au Danemark depuis l'entrée en vigueur en janvier 2017 d'une disposition pénale punissant l'appel à la haine et au meurtre dans l'exercice de la religion. "Il a toujours été illégal d'appeler au meurtre d'un groupe ethnique mais nous avons maintenant une loi ciblant spécifiquement les prêcheurs de haine", a commenté la magistrate du parquet Eva Rønne dans un communiqué. La date du procès de l'imam, qui sera également jugé pour racisme, n'a pas été arrêtée. Il encourt jusqu'à trois ans de prison.

(...)

Source Le Figaro / RTL

Maroc. Marrakech : Arrestation d’un imam qui a violé 7 filles dans la mosquée

Au début de l'année, un autre imam avait également été appréhendé mais cette fois dans la ville marocaine de Témara.

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L’imam de la mosquée « Bihalwane », dans la commune de Sti Fadma à Marrakech a été traduit en justice pour des viols sur plusieurs mineures âgées entre 9 et 16 ans.

Selon une source de Le Site Info, le mis en cause, 40 ans, profitait des séances coraniques qu’il donnait pour violer les mineures du Douar. L’affaire a éclaté il y a quelques jours lorsqu’une de ses victimes, âgée de 16 ans, s’est enfuie à quelques heures de ses fiançailles de peur que sa famille n’apprenne qu’elle a été violée par l’imam.

Après plusieurs recherches, la gendarmerie a réussi à l’intercepter à la gare routière d’Oulad Ziyane, à Casablanca.

La même source a ajouté que la jeune fille n’avait d’autres solutions que d’avouer le scandale à sa famille et à la gendarmerie royale qui a immédiatement inculpé l’imam. Ce dernier a été placé en garde à vue et une enquête a été ouverte, sous la supervision du parquet général, pour élucider les circonstances de ce viol.

L’arrestation de l’imam a vivement choqué les habitants du Douar lorsqu’ils ont appris qu’un frustré rôdait dans les parages et violait leurs filles depuis 20 ans.

Source

Suisse: l’imam Bekim Alimi soupçonné de double discours veut être naturalisé. Un UDC s’y oppose.

Bekim Alimi veut devenir Suisse. Mais sa demande suscite des résistances. Certains lui reprochent de tenir un double discours.

Un ancien élu UDC dépose une opposition fondée sur les liens douteux qu’entretiendrait Bekim Alimi avec les milieux radicaux.

À Wil, où près de 20% des 23'500 habitants sont musulmans, Bekim Alimi dirige la mosquée albanaise, qui compte près de 650 familles membres.

Bekim Alimi juge le questionnaire «tendancieux et simpliste». Oui, un musulman peut avoir des amis juifs ou chrétiens; oui, un musulman peut changer de religion; non, les femmes ne sont pas obligées de se voiler pour fréquenter sa mosquée, répond-il notamment.

(...)

Source et article complet

L’imam bosniaque naturalisé suisse voulait refaire l’attaque de Nice. Le couple planifiait également des attentats en Suisse.

A noter que nos médias évitent soigneusement de rappeler l'origine de cet individu violent et le fait qu'il a été naturalisé. Il ne faudrait surtout pas que la propagande de gauche soit touchée par ce scandale n'est-ce pas?

A contrario, accuser les Suisses d'un crime qu'ils n'ont pas commis, quoi de plus naturel?

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Le Vaudois de 27 ans prévoyait une attaque à Nice au moyen de grenades ou d'une voiture-bélier. Le 14 juillet 2016, un camion a foncé sur la foule massée sur la promenade des Anglais après le feu d'artifice de la fête nationale française, tuant 86 personnes et en blessant plus de 400 autres.

«10 vor 10» est parvenu à se procurer l'avis d'expulsion contre la Colombienne, émis par l'Office fédéral de la police. Selon ce document, le couple avait notamment prévu de faire dérailler un train en Suisse ou de perpétrer des attaques dans des clubs parce que les gens y consomment de l'alcool.

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

 

Rappels:

Suisse: L’islamiste bosniaque et son épouse ont bénéficié entre 150’000.– et 200’000.– d’aide sociale. A cela s’ajoutent les primes de caisse maladie également payées.

Le Bosniaque naturalisé arrêté pour terrorisme fait partie d’un réseau balkanique salafiste romand

 

Attentat islamiste de Berlin: Un imam radical invité à la commémoration!

Lors de la date anniversaire de l'attaque terroriste du marché de Noël, un imam a été invité.

Dans l'église du Souvenir de Berlin, un service commémoratif pour les victimes de l'attentat terroriste sur le marché de Noël a eu lieu le 19 décembre. Lors de la manifestation officielle, l'Imam Mohamed Matar de la mosquée berlinoise Dar-as-Salam, respectivement le lieu de rencontre de Neukölln (quartier de Berlin), a pris la parole devant le Sénat de Berlin et l'Église commémorative. Lors de la veillée interconfessionnelle dans l'église, il a lu le coran. L'imam a été invité sur la proposition du Conseil central des musulmans.

A présent, les recherches du journal "Bild" montrent que la mosquée Dar-as-Salam est connue des agences de sécurité allemandes depuis des années.

L'agence de renseignement de Berlin observe le lieu de rencontre de Neukölln et l'attribue au groupe islamiste des Frères musulmans. Celui-ci s'engage dans le monde entier pour l'établissement de la loi islamique, la Charia. L'organisation terroriste palestinienne Hamas est également issue des Frères musulmans. Selon des rapports, outre les partisans des Frères musulmans et du Hamas, des salafistes auraient aussi fréquenté ce lieu.

(...)

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

Suisse: L’imam haineux était venu en tant que requérant d’asile. Son expulsions sera difficile.

Un Ethiopien est jugé par le Tribunal de district de Winterthour pour un prêche qui incitait à tuer les musulmans qui ne prient pas en communauté.

Si une expulsion est prononcée, le renvoi pourrait s'avérer difficile. En effet, la Suisse n'a pas d'accord de réadmission avec l'Ethiopie.

Source et article complet

Québec: Mariée 9 mois à un imam en Tanzanie, sa vie tourne au cauchemar “Il m’a fouettée.”

S’il y a plusieurs histoires d’amour qui naissent sur Internet, celle de la québécoise Danielle Tremblay en est une plutôt particulière.

Trois ans et demi après s’être convertie à l’islam, ici au Québec, cette femme a rencontré un imam qui vivait en Tanzanie via Facebook.

Après plusieurs mois de correspondance, Danielle Tremblay a décidé de sauter dans un avion pour aller rejoindre son prince en Tanzanie.

«On s’est rencontré sur Facebook et on a commencé à se parler de plus en plus. On a même parlé d’enfants, de sexe, de tout pour voir si tout allait marcher entre nous», raconte Danielle Tremblay.

«J’aime les pays musulmans. Je suis capable de m’adapter partout. Pourvu que je sois entourée d'amour, pas de problème. Moi, j'ai laissé ma famille pour lui. J'ai laissé mes enfants, mes petits-enfants!», ajoute-t-elle.

Si leur histoire s’est bien déroulée au début, les choses ont rapidement dérapé; elle a subi de la violence verbale, physique et s’est fait manipuler.

Dès le lendemain de son arrivée en Tanzanie, ils s’étaient mariés.

«Quand je l’ai rencontré en personne pour moi c’était comme si je le connaissais depuis toujours», maintient-elle encore aujourd’hui.

Ce qu’elle ne savait pas c’est qu’il s’attendait à ce qu’elle fasse tout; jusqu’à prendre son linge et le mettre dans le panier de lavage. Danielle Tremblay ne sait pas cuisiner, son mari a donc été «obligé» de lui faire à manger, chose qu’il n’a pas du tout apprécié.

«Un moment donné, il m’a parlé de la soumission. Je pensais qu’il parlait des cinq piliers de l’islam, alors qu’il parlait de tout dans la vie. Que la femme devait tout faire pour son mari», explique-t-elle.

Escalade de la violence

Il lui a aussi souvent fait des remarques désagréables par rapport à son apparence physique, pour ensuite se montrer jaloux par rapport aux conversations qu’elle entretenait avec d’autres personnes sur Facebook. Une escalade de la violence qui s’est rendue jusqu’à la violence physique: un soir, il l'a fouettée.

«Il a pris un fil de chargeur, et il m'a vraiment amené de force dans la chambre. J'ai presque volé, il m'a tiré sur le lit et il m'a administré sept coups de chargeurs de pleine force. J'étais habillée, mais la peau a fendu. Dans mon cou, c’était ouvert, le sang coulait!», se souvient Danielle Tremblay.

C’était la première fois de sa vie qu’elle était confrontée à la violence.

Grâce à des amis dans des agences de voyages, elle a réussi à revenir au Québec. Elle y est restée 15 jours, avant de retourner encore en Tanzanie.

«J'ai réussi à lui pardonner. Nous étions très contents de nous retrouver. Je lui avais dit par contre: ne me retouche pas par exemple, ça ne peut pas marcher comme ça», raconte Danielle Tremblay.

Le bonheur n’a pas duré longtemps. Alors que cette dernière payait pour tout là-bas depuis son arrivée en janvier, une autre dispute a éclaté alors qu’ils devaient payer le loyer; il l’a rebattue.

«Il m’a dit qu’il ne me rembourserait jamais. Pour moi, c'était la panique quand il me dit ça. Plus d'argent au Québec, ce n'est pas comme plus d'argent en Tanzanie», raconte Mme Tremblay.

C’est environ 18 000 $ que Danielle Tremblay a investi dans cette relation.

Environ trois semaines après cette dispute, elle est partie en cachette encore une fois grâce à une amie dans une agence de voyages et maintenant depuis le 22 septembre, elle est de retour au Québec.

Même si elle a voulu y retourner, cela n’arrivera pas puisque c’est lui qui a mis un terme à leur relation. Il lui aurait dit qu’il ne voulait pas qu’elle revienne et habiterait maintenant avec une nouvelle femme.

Malgré sa mauvaise expérience, Danielle Tremblay croit toujours en sa religion. Elle fait une différence entre l’individu qu’il est et sa religion.

«Ce qui me fait peur c’est que cet homme forme d’autres imams, c’est un extrémiste qui salit ma religion et là-bas il n’est pas vu comme tel, il a beaucoup de prestige», conclut-elle.

Source

Genève: L’Université crée une formation pour les imams. Les contribuables suisses passent à la caisse.

En ce jour de rentrée académique, le recteur de l’Université de Genève (UNIGE) Yves Flückiger annonce à la Tribune de Genève deux projets phares: la création d’une «plateforme pour un islam éclairé», qui donnera des cours visant à faciliter l’intégration des imams dans la culture suisse, et la mise sur pied d’un centre en philanthropie.

Combien sont-ils à se lancer dans cette formation? Combien coûte-t-elle et qui paie?

La formation débute ces jours avec des cours de français mais les inscriptions restent ouvertes. On ne dépassera pas 10-12 participants, ce qui était notre objectif. Usuellement, les participants paient leur formation continue. Mais pour que le coût ne représente pas un frein, cette première édition pilote est cofinancée par l’Etat et l’UNIGE. On peut estimer ce coût à 10 000 francs par participant.

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