Québec : Un proxénète qui refuse de changer doit rester derrière les barreaux

Un proxénète qui a forcé deux mineures à se prostituer essuie échec après échec pour sortir de prison parce qu’il refuse de changer.

Dans l’espoir de vivre dans un penthouse et de se procurer une BMW X6, Chris José Bick Domond a amené quatre jeunes femmes à se prostituer, dont deux de 17 ans, à Québec.

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Tvanouvelles.ca

Amir Attaran, d’origine iranienne et professeur à l’Université d’Ottawa, traite le Québec de raciste et de suprémaciste blanc

M. Saint-Pierre Plamondon demande à l’Université d’Ottawa de condamner publiquement les propos du professeur et de présenter des excuses aux Québécois pour ses propos dénigrants. Il demande également d’intervenir auprès de M. Attaran pour qu’il cesse ces comportements et d’appliquer des sanctions proportionnelles aux propos tenus.

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(...) Il est surprenant que votre université ferme les yeux sur de tels propos stigmatisants et dénigrants envers les Québécois alors qu’elle a fait de la lutte à l’intolérance et au racisme une priorité qui frôle parfois le zèle au cours de la dernière année, écrit-il.

 

 

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Le professeur Attaran maintient ses propos

M. Attaran s’en est pris à plusieurs reprises au Québec, ces derniers mois, sur son compte Twitter personnel, accusant la province de racisme, notamment son système de santé.

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Ici.radio-canada.ca


Note : Il est d'origine iranienne et bien entendu musulman.

Canada : Justin Trudeau est dangereux (Article du journal de Montréal)

On passe notre temps à se moquer de Trump. Mais si on lâchait Washington et qu’on s’intéressait un peu plus à ce qui se passe depuis quelques années à Ottawa, on verrait que nous ne sommes pas tellement mieux équipés que nos voisins du Sud, rayon leadership.

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Un PM qui se déguise en Indien quand il va en Inde.

Qui affirme avec fierté que le Canada est le premier pays postnational.

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Qui affirme que le Canada est dépourvu de traditions culturelles qui lui soient propres.

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J’AI HONTE D’ÊTRE CANADIEN

Et voici que Justin Trudeau descend encore plus bas en se mettant à genoux devant les islamistes qui ont décapité un prof et une dame de 70 ans.

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Lire la suite sur l'excellent Journaldemontreal.com

Nos remerciements à Victoria Valentini

Sherbrooke (Québec) : l’agent de sécurité applique les règles de confinement, Nacime Kouddar lui fonce dessus avec sa voiture

L’inexplicable agression s’est produite samedi à 17 h dans le stationnement du Walmart des Galeries Quatre-Saisons à Sherbrooke. L’accusé voulait faire ses courses avec sa conjointe, alors que le règlement ne permet qu’un client par véhicule. L’agent de sécurité Philippe Jean s’est donc interposé pour faire respecter la mesure et a demandé aux clients de partir.

 

« Le client frustré a directement foncé avec son véhicule sur l’employé le traînant même sur le capot sur plusieurs mètres. Le conducteur a effectué une manœuvre pour faire tomber l’homme qui a subi de très graves blessures à la tête », a indiqué le Service de police de Sherbrooke dans un communiqué.

Père de cinq jeunes enfants, Philippe Jean repose toujours dans un état critique. Plongé dans un coma, son était se serait toutefois stabilisé dimanche soir, selon son frère. Ce dernier a raconté avec stupeur les événements sur Facebook.

LaPresse.ca

Via Fdesouche

Québec : Noémie étranglée et égorgée par Ali Mahadi Mahamat, son conjoint du Tchad dont elle couvrait les agressions sexuelles

Noémie Lavoie n’a jamais pu prendre le train pour son Saguenay natal. Alors qu’il était menacé d’expulsion pour de nombreux crimes violents l’hiver dernier, son conjoint l’a étranglée, puis égorgée.Ses deux sœurs se trouvaient pourtant à l’étage de leur résidence de Montréal.

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L’affaire avait fait grand bruit l’hiver dernier. La jeune femme de 24 ans avait été assassinée brutalement dans un logement du quartier Ahuntsic. Son conjoint, un récidiviste violent, était visé depuis trois semaines par une mesure d’expulsion vers le Tchad, son pays natal.

Même s’il avait déjà été impliqué dans une sordide agression sexuelle, il avait été libéré pendant les procédures d’immigration.

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Noémie Lavoie n’a eu aucune chance. Son conjoint l’a étranglée avant de lui trancher la gorge et de la poignarder à quatre reprises au thorax. Selon le rapport d’autopsie, la jeune femme est morte des coups de couteau à la gorge et au thorax, et non de l’étranglement. L’arme du crime a été retrouvée sur une pile de vêtements. Le motif du meurtre n’est toutefois pas mentionné dans les documents de cour.

Malgré son jeune âge, l’homme de 24 ans avait de lourds antécédents criminels de violence. À seulement 20 ans, la liste de ses antécédents judiciaires comptait déjà 27 infractions.

En 2017, il a été condamné à 24 mois de prison pour agression armée, voies de fait graves et complicité après le fait.

Ali Mahadi Mahamat avait participé à une horrible affaire d’agression sexuelle à l’endroit d’un autostoppeur pris à l’Étape par le couple quelques jours plus tôt. La victime, un jeune homme, avait vécu l’enfer. Ses bourreaux l’avaient forcé à faire une fellation. On l’avait aussi battu à répétition à coups de tringles à rideaux et tailladé de coups de couteau.

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Notons que dans cette affaire, Noémie Lavoie avait été condamnée à 105 jours de prison pour complicité après le fait.

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La Presse

Nos remerciements à Victoria Valentini

Un vote avant tout identitaire au Québec ?

Vraiment, l’élection qui se déroule au Québec en ce moment a de quoi étonner. Après avoir largué deux de ses candidats pour cause d’islamophobie, le Parti québécois de Jean-François Lisée, qui prenait une tangente vers l’extrême gauche, semble avoir finalement compris que l’aplatventrisme n’était pas un programme vendeur en politique. Lorsque la candidate transgenre Michelle Blanc fut visée par des allégations d’islamophobie, Lisée la défendit et, plus tôt cette semaine, lorsque le B’nait Brith lui demanda de larguer cette candidate qui aurait également fait des commentaires antisémites par le passé, Lisée haussa le ton et dénonça cette « tentative d’intimidation ». Pour le chef péquiste, « ça fait 50 ans qu’on critique la religion catholique » au Québec, l’Islam et le Judaïsme ne sont pas immunisés aux critiques et il n’y a rien de raciste à le faire.

Il pourrait bien s’agir d’un point tournant dans la campagne du Parti québécois qui jusqu’alors a suivi la ligne de la rectitude politique, ce qui lui a aliéné le vote « de souche ». Lisée a d’ailleurs déclaré vouloir réduire davantage l’immigration que son rival François Legault qui avait parlé d’une baisse de 20% dès la première année au pouvoir. Assistera-t-on à une élection d’abord et avant tout identitaire ? La semaine qui vient de s’écouler laisse penser que oui !

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Québec: Déterminée à être policière et à conserver son voile

Convaincue qu'elle veut devenir policière, mais tout aussi persuadée de vouloir garder son hijab. Malgré le débat en cours, la première étudiante voilée en techniques policières du Québec est prête à tout pour exercer son futur métier.

« Je veux devenir policière. Si je dois aller sur la lune pour y arriver, je le ferai », affirme avec aplomb Sondos Lamrhari. L'étudiante de 17 ans est entrée cet automne en techniques policières au Collège Ahuntsic, à Montréal.

Le débat sur le port de signes religieux dans la police a refait surface la semaine dernière. La mairesse de Montréal, Valérie Plante, a répété hier être ouverte à l’idée.

Pour plusieurs figures publiques, cet enjeu n’est toutefois pas urgent, car il ne touche aucun policier en poste.

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Source et article complet: Journaldemontreal.com

Québec: Mariée 9 mois à un imam en Tanzanie, sa vie tourne au cauchemar « Il m’a fouettée. »

S’il y a plusieurs histoires d’amour qui naissent sur Internet, celle de la québécoise Danielle Tremblay en est une plutôt particulière.

Trois ans et demi après s’être convertie à l’islam, ici au Québec, cette femme a rencontré un imam qui vivait en Tanzanie via Facebook.

Après plusieurs mois de correspondance, Danielle Tremblay a décidé de sauter dans un avion pour aller rejoindre son prince en Tanzanie.

«On s’est rencontré sur Facebook et on a commencé à se parler de plus en plus. On a même parlé d’enfants, de sexe, de tout pour voir si tout allait marcher entre nous», raconte Danielle Tremblay.

«J’aime les pays musulmans. Je suis capable de m’adapter partout. Pourvu que je sois entourée d'amour, pas de problème. Moi, j'ai laissé ma famille pour lui. J'ai laissé mes enfants, mes petits-enfants!», ajoute-t-elle.

Si leur histoire s’est bien déroulée au début, les choses ont rapidement dérapé; elle a subi de la violence verbale, physique et s’est fait manipuler.

Dès le lendemain de son arrivée en Tanzanie, ils s’étaient mariés.

«Quand je l’ai rencontré en personne pour moi c’était comme si je le connaissais depuis toujours», maintient-elle encore aujourd’hui.

Ce qu’elle ne savait pas c’est qu’il s’attendait à ce qu’elle fasse tout; jusqu’à prendre son linge et le mettre dans le panier de lavage. Danielle Tremblay ne sait pas cuisiner, son mari a donc été «obligé» de lui faire à manger, chose qu’il n’a pas du tout apprécié.

«Un moment donné, il m’a parlé de la soumission. Je pensais qu’il parlait des cinq piliers de l’islam, alors qu’il parlait de tout dans la vie. Que la femme devait tout faire pour son mari», explique-t-elle.

Escalade de la violence

Il lui a aussi souvent fait des remarques désagréables par rapport à son apparence physique, pour ensuite se montrer jaloux par rapport aux conversations qu’elle entretenait avec d’autres personnes sur Facebook. Une escalade de la violence qui s’est rendue jusqu’à la violence physique: un soir, il l'a fouettée.

«Il a pris un fil de chargeur, et il m'a vraiment amené de force dans la chambre. J'ai presque volé, il m'a tiré sur le lit et il m'a administré sept coups de chargeurs de pleine force. J'étais habillée, mais la peau a fendu. Dans mon cou, c’était ouvert, le sang coulait!», se souvient Danielle Tremblay.

C’était la première fois de sa vie qu’elle était confrontée à la violence.

Grâce à des amis dans des agences de voyages, elle a réussi à revenir au Québec. Elle y est restée 15 jours, avant de retourner encore en Tanzanie.

«J'ai réussi à lui pardonner. Nous étions très contents de nous retrouver. Je lui avais dit par contre: ne me retouche pas par exemple, ça ne peut pas marcher comme ça», raconte Danielle Tremblay.

Le bonheur n’a pas duré longtemps. Alors que cette dernière payait pour tout là-bas depuis son arrivée en janvier, une autre dispute a éclaté alors qu’ils devaient payer le loyer; il l’a rebattue.

«Il m’a dit qu’il ne me rembourserait jamais. Pour moi, c'était la panique quand il me dit ça. Plus d'argent au Québec, ce n'est pas comme plus d'argent en Tanzanie», raconte Mme Tremblay.

C’est environ 18 000 $ que Danielle Tremblay a investi dans cette relation.

Environ trois semaines après cette dispute, elle est partie en cachette encore une fois grâce à une amie dans une agence de voyages et maintenant depuis le 22 septembre, elle est de retour au Québec.

Même si elle a voulu y retourner, cela n’arrivera pas puisque c’est lui qui a mis un terme à leur relation. Il lui aurait dit qu’il ne voulait pas qu’elle revienne et habiterait maintenant avec une nouvelle femme.

Malgré sa mauvaise expérience, Danielle Tremblay croit toujours en sa religion. Elle fait une différence entre l’individu qu’il est et sa religion.

«Ce qui me fait peur c’est que cet homme forme d’autres imams, c’est un extrémiste qui salit ma religion et là-bas il n’est pas vu comme tel, il a beaucoup de prestige», conclut-elle.

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Québec : un manifestant patriote lynché par des « antifas » (Vidéo)

Voilà ce que font les « antifas » et gauchistes, face à une manifestation pacifique et autorisée. Mais bon, ils sont dans le « camp du bien » (entendre le camp de l’oligarchie politico-médiatique), donc il n’y aura aucun émoi des médias sur ce genre d’activité. (attention, images pénibles)

 

 

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Le Québec s’apprête à bannir le voile islamique

Le gouvernement libéral québécois a annoncé le 15 août vouloir inscrire dans la loi le principe de neutralité de l'Etat. Une mesure qui, en pratique, interdirait le port du voile islamique dans l'espace public.

Après la fusillade fin janvier dans une mosquée de Québec où un suprémaciste blanc avait abattu six musulmans pendant la prière, le gouvernement de la province de l'est canadien avait suspendu l'examen d'un projet de loi controversé sur les rapports entre l'Etat et la religion. Sans être clairement mentionné, c'est bien le port du voile islamique qui focalise les passions autour du projet de loi qui reviendra à l'automne devant les parlementaires.

Un texte législatif sur le principe d'un Etat laïc, assez proche dans sa philosophie du nouveau projet de loi, avait en partie valu la défaite du parti québécois (indépendantiste) aux législatives de 2014.

 «L'objectif [de la loi] est que les services [publics] soient reçus et donnés à visage découvert», a expliqué le 15 août le ministre québécois de la Justice, Stéphanie Vallée.

En clair, toute personne venant dans une administration, montant à bord d'un autobus ou allant dans une école ou un hôpital devrait être facilement identifiable et avoir le visage libre de tout accessoire vestimentaire. A l'inverse, les employés des services publics auront également obligation de ne pas porter de signes religieux ostentatoires et recevoir les populations avec le visage découvert, selon la ministre.

Pour Stéphanie Vallée, le projet de loi vise à «établir la neutralité de l'Etat québécois et de ses institutions». «Le texte parle bien de neutralité et il ne fait pas référence à la laïcité», a-t-elle insisté lors d'une conférence de presse à Québec.

Une position ambigüe dénoncée par l'opposition. Thérèse Maltais, du parti québécois, a demandé au gouvernement que le projet de loi fasse avancer et non reculer le Québec au niveau de la laïcité.

Le sujet est sensible au Canada et plus particulièrement dans cette province où des mouvements d'extrême droite s'élèvent contre l'arrivée d'immigrants avec des flux plus abondants depuis quelques semaines en provenance des Etats-Unis.

Ce texte doit aussi respecter la Charte canadienne des droits et liberté, un document constitutionnel qui garantit la liberté de religion.

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Québec : le crucifix de nouveau arraché à l’Hôpital du Saint-Sacrement.

l n’a pas fallu beaucoup de temps pour que l’administration arrache de crucifix que des membres du Mouvement Tradition Québec avaient apposé pour remplacer l’original que l’administration de l’hôpital avait fait déposer (voir ici et ).

La große presse canadienne commence à parler de l’affaire. En témoigne ce long article du Journal de Montréal que me signale un lecteur (merci A. N.). C’est très intéressant à lire pour les détails fournis. On y apprend en effet que c’est « après la plainte d’un patient » – pas cent, pas dix mais un seul ! – que le crucifix présent depuis 1927 (90 ans !) a été enlevé… Que 5 000 personnes ont protesté et exigé le retour du crucifix original (5 000 contre 1 !)

Quant aux déclarations de la porte-parole du CHU de Québec, elles sont tout simplement grotesques : « On ne peut pas apposer sur les murs d’un hôpital ce que l’on veut »mais peut-on y arracher ce qui s’y trouve depuis toujours ? Mauvaise foi, laïcisme échevelé, exécration du passé et de la tradition, voilà donc où nous en sommes au Québec. Félicitons une fois de plus le Mouvement Tradition Québec dont l’action pacifique aura eu pour mérite d’être un sacré révélateur de la décomposition d’une société.

Le retrait la semaine dernière du crucifix dans le hall d’entrée de l’hôpital, après la plainte d’un patient, a créé un tollé et amené la création d’une pétition pour son retour qui a atteint plus de 5 000 signatures. Des militants ont choisi de prendre les choses en main en installant un crucifix de plus petite stature au même endroit où le premier a été retiré, selon Kenny Piché, responsable de l’information de Mouvement Tradition Québec. L’organisme prône le retour des traditions religieuses et culturelles. Ce second symbole religieux avait été installé sans l’accord de la direction. « Ce sont simplement des militants qui se sont présentés sur place et qui ont installé le crucifix », poursuit M. Piché. La porte-parole du CHU de Québec, Pascale St-Pierre, a confirmé au Journal que ce second crucifix a été retiré. « On ne peut pas apposer sur les murs d’un hôpital ce que l’on veut, donc il a été retiré », précise-t-elle. Le crucifix était installé entre les portes d’ascenseur au rez-de-chaussée de l’hôpital depuis sa fondation en 1927 par les Sœurs de la Charité. La direction du CHU de Québec, qui dirige les cinq hôpitaux de Québec, a expliqué avoir pris cette décision en se basant sur le principe de neutralité religieuse de l’État dicté par la Charte québécoise des droits et libertés de la personne. Elle avait précisé avoir basé sa réflexion sur la décision de la Cour suprême du Canada, qui a mis fin aux prières du maire Jean Tremblay durant les séances du Conseil municipal de Saguenay. Malgré la mobilisation en faveur du crucifix, la direction n’a pas l’intention de revenir sur sa décision. Pour le Mouvement Tradition Québec, ce symbole religieux représente un pan de notre histoire. « C’est pour sauver l’honneur de notre très grand Jésus-Christ et, ensuite, pour donner l’exemple à nos compatriotes », fait valoir M. Piché. De son côté, le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, s’est montré peu bavar[d] sur le sujet. « C’est une décision locale », s’est-il limité à commenter, à l’Assemblée nationale. Il a refusé de s’arrêter pour répondre à d’autres questions sur le sujet.

Source : Le Journal de Montréal, 27 février Via Christianophobie.fr

Attentat de la mosquée au Québec: Un Québecois et un Arabe suspectés. (Vidéo)

Nous en parlions déjà ici.

Un des deux hommes arrêtés dans le cadre de l’attentat terroriste survenu dans une mosquée de Québec serait d’origine québécoise et l’autre serait d’origine arabe, selon les informations obtenues par Félix Séguin de notre Bureau d’enquête.

Un des deux suspects serait âgé de 27 ans, selon les informations de TVA Nouvelles.

Les deux hommes, détenus par les policiers, doivent être interrogés sous peu.

Les suspects sont entrés dans la mosquée située à Sainte-Foy peu après 19h30, heure à laquelle la prière commençait.

Un des deux hommes a été arrêté au Centre culturel islamique de Québec.

L’autre individu a été interpellé par les policiers près du pont de l’Ile d’Orléans.

Six personnes ont été tuées dimanche soir dans la mosquée et huit autres ont été blessées.

Source

Une source policière a confié à Radio-Canada que les deux suspects sont des étudiants inscrits à l’Université Laval. L'un d'eux serait d'origine marocaine.

Canada: Fusillade mortelle à la mosquée de Québec. Au moins 4 morts. Les agresseurs ont crié «Allah Akbar» [MàJ]

Christian Hofer: D'autres sources parlent d'au moins 5 morts, d'où le titre.

Image d'illustration: Google.

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Une fusillade a éclaté dimanche soir à la Mosquée de Ste-Foy. Les autorités ont confirmé que l'incident avait fait plusieurs morts, sans préciser le nombre. Deux personnes ont été arrêtées jusqu'ici. 

Un homme qui était à l'intérieur de la mosquée au moment des événements a raconté sur les ondes de Radio-Canada que les tireurs auraient surgi durant la dernière prière. Deux hommes cagoulés seraient entrés. L'un des tireurs aurait crié «Allahu Akhbar, Dieu est grand». Toujours selon ce témoin, le tireur qui a parlé avait un accent québécois. Le témoin a indiqué ne pas avoir vu les armes utilisées par les tireurs. L'homme a ajouté avoir vu six morts et d'autres blessés.

L'un des deux suspects aurait pris la fuite. Il aurait plus tard été arrêté dans le secteur du pont de l'Île d'Orléans.

« On m’a dit qu’il y avait eu une fusillade et puis que la personne a réussi à recharger son arme trois fois […] », a-t-il déclaré, en citant les informations que lui ont rapportées ses amis. « On m’a dit qu’il était au rez-de-chaussée et qu’il a réussi à monter au premier étage. »

Les événements ont eu lieu pendant la prière du soir, qui rassemble entre 60 et 100 personnes, à 19 h 30, tous les soirs. « C’est un geste barbare. […] Ce sont des gestes isolés, ça ne reflète pas la société québécoise », s’est désolé Mohamed Yangui.

Sur place, une quinzaine de curieux ou de proches des personnes qui se trouvaient dans la mosquée se sont rassemblés dans la rue adjacente à la mosquée. Ils se sont tour à tour dits surpris d’être témoins d’un événement aussi violent dans leur ville.

« C’est grave, on est des gens tolérants ici, pacifiques. On aime la paix. On aime notre Québec. On ne veut pas que des choses qui arrivent à l’extérieur arrivent ici », a affirmé Zaire Benallege.

« Pendant tout mon séjour ici à Québec, je n’ai jamais eu un rapport raciste d’un Québécois. On ne s’attendait jamais à ce que ça arrive, on croyait être dans un pays de paix, avec des gens de paix. Mais ça s’avère qu’il y a des gens racistes, qui ont ça à l’intérieur d’eux », s’est aussi désolé Sami Ulali, un étudiant.

Source Source2

Québec: Une société interdit à des employés de dire «Monsieur» ou «Madame» afin de ne pas vexer les transgenres

La Société de l’assurance automobile du Québec a interdit à ses employés de Saint-Hyacinthe de dire «Monsieur» ou «Madame» aux clients à la suite d’une plainte déposée par une personne transgenre.

À la fin du mois de juin dernier, un homme en processus de devenir une femme s’est présenté à la SAAQ de Saint-Hyacinthe pour un renouvellement de permis de conduire. Lors de la prise de photo, l’individu dont le nom masculin figurait toujours dans les dossiers de la SAAQ a été choqué de se faire dire «Monsieur» par le préposé.

Il a porté plainte à la SAAQ, qui s’est par la suite excusée. Il s’agissait de la seule plainte du genre sur les 22 millions de transactions effectuées à la SAAQ chaque année.

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Des Québécoises libres de porter le burkini à l’école

Radio-Canada a appris qu'au moins deux écoles secondaires du Grand Montréal offrant des cours de natation entre leurs murs considèrent le burkini comme un accommodement raisonnable, inscrit dans le code vestimentaire de l'élève. S'il est difficile de savoir combien de jeunes femmes bénéficient de cet accommodement, on constate que le port du burkini est couramment accepté dans trois commissions scolaires.

Pour certains, le burkini est un symbole d'inégalité, mais pour d'autres il n'est que le simple prolongement du hijab. Samira Laouni, une militante pour les droits des femmes musulmanes, applaudit la mesure adoptée par les trois commissions scolaires.

« Je trouve ça extraordinaire [...] je pense que nous sommes dans un pays de droits, de liberté de choix et chaque liberté doit être respectée dans son intégralité », soutient-elle.

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Orlando: Fini le déni et la naïveté. Nous sommes en guerre!

Un excellent article de la Québecoise Denise Bombardier bien loin des âneries d'un Parmelin.

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L’horrible attentat perpétré dans une boîte de nuit gaie à Orlando par Omar Mateen et revendiqué par l’État islamique scelle la fin des béats qui croient que s’alarmer face aux islamistes qui sévissent dans nos pays est un réflexe islamophobe.

Nous sommes en guerre. Et les Omar Mateen qui circulent parmi nous avant de passer à l’acte continueront leurs actions odieuses qui consistent à détruire dans le sang et le meurtre les chiens de mécréants que nous sommes censés être.

Ils vomissent nos valeurs de liberté, notre tolérance, notre manière de vivre, d’exprimer nos idées, notre façon de rire, notre goût extrême pour tous les plaisirs même défendus et cette égalité dans les relations entre les sexes.

Omar Mateen a choisi de tuer des gais qui incarnent aux yeux de tous ces djihadistes le mal par le sexe. Car les islamistes sont des malades du sexe.

Musulmans et homosexualité

Dans les pays musulmans, l’homosexualité est un crime. On va même jusqu’à nier officiellement son existence. L’on a entendu le père d’Omar Mateen, originaire d’Afghanistan, tenter d’excuser son fils quelques heures après le carnage. Il a raconté une histoire délirante selon laquelle son fils aurait commis son forfait non pas au nom de la religion, mais bien parce qu’il avait été scandalisé de voir deux hommes s’embrasser sur la bouche et se caresser en public à Miami. La colère était le motif de son crime. «L’islam n’a rien à voir là-dedans», a-t-il ajouté.

Omar Mateen est né aux États-Unis, mais comme tant d’autres djihadistes français et belges, ainsi que nos deux Canadiens, Michael Zehaf-Bibeau, de père iranien et qui s’était radicalisé au fil des ans et Martin Rouleau, un Québécois de souche converti par internet à l’islam radicalisé, ces jeunes gens ont développé une haine absolue de la civilisation moderne.

Ce sont des soldats d’Allah dont l’efficacité est surmultipliée du fait que non seulement ils ne craignent pas la mort, mais ils la souhaitent.

Rectitude politique

Comment ceux qui nous gouvernent pourraient-ils désormais pratiquer une rectitude politique qui s’acharne à prétendre qu’il faut éviter tout amalgame entre musulmans et islamistes? Omar Mateen fréquentait des mosquées. Des mosquées dans lesquelles on diabolise les homosexuels, où on enseigne aux femmes à se soumettre à leurs maris, à leurs frères voire à leurs fils, où on lance des fatwas envers les mécréants et les femmes libérées.

Le massacre d’Orlando était prévisible. Comme celui du Bataclan à Paris. Comme le serait celui qui viserait un rassemblement de féministes ou d’adeptes d’un salon de l’érotisme.

Il est du devoir de chacun de défendre toutes les libertés que nous offre la démocratie. Mais la naïveté est désormais intolérable. Nous sommes tous des victimes potentielles de ces tireurs déguisés en gens «normaux».

Il faut cesser de se laisser culpabiliser par ceux qui n’ont que l’islamophobie à la bouche dès que l’on s’interroge sur les motivations de ceux qui testent nos institutions par des demandes au nom d’un islam radical, celui-là même qui a sévi hier à Orlando dans sa version apocalyptique.

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Québec: Une haine hallucinante contre le Front national

Poursuivie par des groupes militants hostiles, boycottée par la classe politique canadienne, Marine Le Pen n'a pas pu visiter d'entreprises. Même l'une de ses réservations hôtelières a été annulée devant la pression.

Ce devait être une escapade outre-Atlantique loin des médias. Soucieuse de se tenir loin des médias français, auxquels elle impute une partie de ses difficultés d'image auprès de la presse étrangère, Marine Le Pen ne s'est pas pour autant trouvée bien accueillie au Canada, où elle a prévu de passer six jours pour soigner sa stature internationale. Boudée par les responsables locaux qui n'ont pas souhaité la rencontrer, la présidente du FN s'est attiré les foudres de l'opinion canadienne en attaquant la politique du gouvernement d'Ottawa dans la crise des migrants. Pire: talonnée par des groupes militants hostiles à l'extrême droite, Marine Le Pen a vu ses réservations hôtelières annulées d'office à Québec.

Dès l'arrivée de la fille de Jean Marie Le Pen vendredi, un groupe de militants antifascistes et de gauche radicale avaient préparé un comité d'accueil. Une ambiance tendue qui, semble-t-il, donne le ton de l'ensemble de ce séjour mouvementé. Selon plusieurs médias canadiens, aucun représentant politique n'a accepté de s'entretenir avec la candidate à la présidentielle ce week-end, malgré le programme annoncé par le FN. «Elle aurait bien aimé discuter d'immigration avec les politiciens québécois. Or, la majorité d'entre eux refuse de la rencontrer»,écrivait samedi Radio Canada. Même fin de non-recevoir exprimée par le cabinet du premier ministre Couillard. Le parti de centre droit Coalition Avenir Québec a lui aussi été approché, mais a décliné l'invitation.

Même lorsque quelques militants souverainistes du Parti québécois ont souhaité tourner quelques images en compagnie de la présidente du FN, le président de leur parti s'est rapidement désolidarisé. Une mise à l'écart commentée par Marine Le Pen lundi sur Radio Canada: «Je suis en quelque sorte le symbole de tout ce à quoi ils se sont soumis, de tout ce qu'ils ont renié dans le combat pour l'identité, pour la souveraineté, alors ils n'aiment pas beaucoup être mis face à ce miroir, à cette réalité. C'est peut-être pour ça qu'ils cherchent à me fuir», a-t-elle ajouté. Tout au long de son voyage, Marine Le Pen à multiplié les critiques à l'encontre de la classe politique canadienne. Après avoir traité Justin Trudeau et son gouvernement de «faux humanistes» au regard de la politique du Canada vis-à-vis des réfugiés, Marine Le Pen a enfoncé le clou lundi soir lors d'une interview accordée à Midi Info: «Un certain nombre de gouvernements sont naïfs face aux problématiques de l'immigration. C'est ce que j'appelle le monde des Bisounours».

Mais les mésaventures ne s'arrêtent pas là pour Marine Le Pen. Selon l'agence de presse canadienne QMI, l'eurodéputée a eu la mauvaise surprise de découvrir lundi soir qu'une de ses réservations à l'hôtel Marriott, au centre-ville de Montréal, avait été annulée. Elle devait y tenir une conférence de presse ce mardi. Entre 30 et 50 manifestants se sont déplacés devant l'hôtel pour huer Marine Le Pen, qui ne s'est finalement pas présentée, contraignant la direction à annuler la réservation de la présidente du FN. Un peu plus tôt dans la soirée, Marine Le Pen avait été aperçue à la sortie d'une réunion militante, sifflée par quelques manifestants, dont trois ont été interpellés par la police.

Une annulation de réservation en entraînant une autre, un communiqué du Front national publié ce mardi midi vient ajouter une nouvelle mésaventure à cette série déjà bien étoffée: «Après l' Hôtel Marriott-Champlain, c'est au tour du Sheraton d'annuler le salon dûment réservé pour permettre à Marine Le Pen de rencontrer la presse. Les sujets abordés par Marine Le Pen depuis son arrivée au Québec doivent être particulièrement sensibles puisque certains multiplient les pressions afin de l'empêcher de rencontrer les médias. Une fois de plus, c'est non seulement la démocratie mais la liberté d'expression qui est en jeu. Pas plus au Québec qu'en France, Marine Le Pen ne cédera aux intimidations», proclame le communiqué.

Pour couronner le tout, Marine Le Pen n'a pas pu visiter d'entreprises, comme elle l'avait initialement prévu. Selon l'eurodéputée, le gouvernement Trudeau aurait fait annuler toutes ses visites d'entreprises, dont une chez Bombardier. Elle devait participer à ces rencontres en tant que membre de la délégation du commerce international du Parlement européen.

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