Suisse : Un ex-Imam donne des instructions de meurtre depuis la prison

Azad M. est détenu à la prison cantonale de Frauenfeld depuis mars 2021. Le Tribunal pénal fédéral l'a condamné à 70 mois de prison et l'a reconnu coupable d'implication dans une organisation criminelle.

Mais même en détention, l'ancien responsable de prière de la mosquée An'Nur de Winterthour semble rester actif. Notamment, il a utilisé les appels téléphoniques qu'il était autorisé à passer pour appeler au meurtre, comme le rapporte le "Tages-Anzeiger" (article payant).

Ainsi, en février, il aurait ordonné à son frère en Allemagne de «ne pas laisser une personne s’en sortir». Les conversations étant surveillées par une interprète, il a ensuite été mis en garde. Les choses ont dégénéré lors d'un appel téléphonique en mars dernier, au cours duquel il a tenté de donner des instructions à sa mère en Irak sur la manière de gérer la mort de son neveu : "Maman, dis-leur de le laisser..." le téléphone lui a été arraché des mains, mais il a tout de même réussi à crier que quelqu'un "devait aller chez cet homme et le laisser crever", écrit le "Tages-Anzeiger".

Après 15 ans d'emprisonnement, l'expulsion

Cet Irakien de 53 ans vit en Suisse depuis 1998. De là, il aurait fourni un soutien logistique et financier à la milice terroriste de l'Etat islamique. Après avoir purgé sa peine, il sera expulsé du pays pendant 15 ans. En outre, selon divers médias, il a menacé de faire tuer sa femme si elle divorçait. Le couple a depuis divorcé.

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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

20Minuten.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini


Rappels :

Suisse. Winterthour: Un Imam éthiopien inculpé pour appel au meurtre

Le djihadiste de Winterthour était un ancien employé de la poste, connu comme un salafiste radical

Suisse : Les rapatriés de l’Etat Islamique n’ont même pas été condamnés à de la prison ferme

Suisse. Winterthour: L’imam, au bénéfice du statut de réfugié, aurait poussé sa femme à devenir terroriste

Winterthur: Soupçons de pédophilie à la mosquée

Exclusif. Mosquée de Winterthur: L’imam appelle à la mort des… chrétiens et des non musulmans.

Suisse: Pas de surveillance préventive des mosquées car il n’y a pas de base légale

Attentat de Vienne : Les deux Suisses arrêtés avaient rencontré d’autres djihadistes

Les deux hommes de Winterthour qui avaient rencontré l’auteur de l’attentat de Vienne étaient également en contact avec des présumés djihadistes d’Allemagne et du Kosovo, selon la «NZZ am Sonntag».

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La scène islamiste suisse va bien au-delà de Winterthour. Elle est principalement active à Bienne et en Suisse orientale.

20Min.ch

Winterthur : Des pyromanes mettent le feu à plusieurs véhicules de la Poste

Selon la police, le sinistre survenu à Winterthour (ZH) dans la nuit de vendredi est d'origine criminelle. Une enquête a été ouverte.

 

 

Des inconnus ont mis le feu à une camionnette de livraison et à plusieurs voitures de la Poste dans la nuit de jeudi à vendredi à Winterthour. Selon la police cantonale zurichoise, les dommages matériels s'élèvent à plusieurs centaines de milliers de francs.

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20min.ch

Nos remerciements à Daniel Brand

 

 

Suisse : les deux islamistes kosovars de retour de Syrie continuent tranquillement leurs formations

Par le biais de cet article (qui date d'octobre 2018), on découvre que les deux islamistes de retour de Syrie peuvent à nouveau vaquer à leurs formations, comme si rien ne s'était jamais produit alors que nous sommes face à des assassins.

A la lecture de cet article alémanique, on comprend mieux pour quelle raison les principaux journaux romands évitent ce sujet.

Pire, Faute de preuves, les tribunaux suisses s'avèrent non seulement incapables de juger mais également incompétents face au danger que représente l'islam.

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Visar (17 ans) et sa sœur Edita (16 ans) sont de retour de Syrie. Depuis le 29 décembre, ils sont de retour à Winterthur (canton de Zurich). Avant leur départ, les deux adolescents ont fréquenté la mosquée An'Nur à Winterthur-Hegi. Aujourd'hui, le cercle familial se fait de plus en plus entendre et soulève de graves accusations. Un ami de la famille déclare : "Les responsables n'ont pas fait grand-chose pour arrêter les deux jeunes dans leur folie religieuse."

En décembre 2014, Visar, alors apprenti employé de commerce à l'administration municipale de Winterthur [NDLR : Nos administrations offrent des postes en or à des musulmans, mais cela n'a pas suffi pour que ce Kosovar respecte les chrétiens et notre pays.], et Edita, lycéenne, se sont rendus en Syrie pour rejoindre la milice terroriste de l'Etat islamique. Quelques jours avant leur disparition, ils ont déclaré à leurs parents qu'ils voulaient passer la nuit chez des amis pour fêter Noël. En réalité, ils se sont rendus en Syrie - un voyage organisé par des bailleurs de fonds de l'Etat islamique qui sont actifs en Suisse.

Des valises pleines d'argent circulent à Winterthour

"Les individus qui ont organisé ce voyage se sont rendus à la mosquée An'Nur", déclare l'ami de la famille. Les bailleurs de fonds sont très bien organisés et agissent de manière très professionnelle. Ils sont payés par la milice terroriste de l'Etat islamique. "Des valises entières pleines d'argent sont distribuées à Winterthur pour financer le jihadisme". Il ne comprend pas pourquoi les responsables de la mosquée An'Nur ne sont pas intervenus. Il est également déçu par les autorités suisses : "Elles doivent enfin agir" [NDLR : Les problèmes de l'islam deviennent magiquement les nôtres dans la tête d'un musulman.].

 

Pendant que le gouvernement suisse accueille des terroristes de retour du jihad, les Chrétiens d'Irak doivent rebâtir leurs Eglises et leurs maisons détruites par l'Etat islamique. Bien entendu, les musulmans ne se sentent aucunement coupables de ces persécutions christianophobes.

 

Ce n'est pas seulement la mosquée qui a joué un rôle central dans la radicalisation des jeunes. Entre autres choses, Visar est entré en contact avec l'islam radical dans le centre d'arts martiaux de l'islamiste Valdet Gashi (29 ans) [NDLR : Valdet Gashi, également d'origine kosovare, était champion de boxe thaïe et enseignait à Winterthour]. Valdet Gashi a rejoint l'Etat islamique et serait mort en Syrie entre-temps.

Rêve détruit d'une vie meilleure en Syrie

Selon l'ami de la famille, une femme a également joué un rôle majeur dans la radicalisation d'Edita. "Elle était au chômage et possédait beaucoup de temps libre. Elle dénigrait la Suisse et disait qu'on ne pouvait être libre que dans un pays musulman [NDLR : En clair, elle insulte notre pays tout en profitant de notre système social]. "Elle a aussi déclaré à Edita qu'elle aurait sa propre maison en Syrie.

Le rêve d'une vie meilleure en Syrie a pris fin pour les deux adolescents.

A partir de lundi, ils pourront recommencer leur vie quotidienne en Suisse. Visar doit continuer son apprentissage, Edita doit retourner à l'école.

Les deux sont à placer ailleurs [NDLR : Sans doute dans un foyer ou dans une famille d'accueil].

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Suisse: 9 musulmans poursuivis pour séquestration et menaces de mort. « Ils ont demandé aux victimes s’il fallait leur défoncer la tête ou les décapiter. » Les accusés se trouvent aujourd’hui en liberté.

Ces neuf adultes accompagnés d'un mineur s'en étaient pris à la fin novembre 2016 à deux autres musulmans et les avaient menacés de mort, rapporte le Tages-Anzeiger.

Les neuf suspects sont l'ex-imam principal de la mosquée, le président de l'association éponyme ainsi qu'un groupe de jeunes. Emprisonnés à la fin février 2017, ils ont été libérés entretemps. Ils sont notamment accusés de séquestration, de menaces, de coercition, d'agression, d'insultes ainsi que de soustractions de biens.

Les suspects, qui ne reconnaissent pas les faits, encourent des peines de prison allant de 30 à 36 mois. Comme le précise l'acte d'accusation, les prévenus ont demandé à leurs deux victimes comment elles voulaient mourir, s'il fallait leur défoncer la tête ou les décapiter.

 

(...)

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Suisse: L’imam haineux était venu en tant que requérant d’asile. Son expulsions sera difficile.

Un Ethiopien est jugé par le Tribunal de district de Winterthour pour un prêche qui incitait à tuer les musulmans qui ne prient pas en communauté.

Si une expulsion est prononcée, le renvoi pourrait s'avérer difficile. En effet, la Suisse n'a pas d'accord de réadmission avec l'Ethiopie.

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Suisse : L’imam de Winterthour aurait appelé au meurtre

Une procédure pénale a été ouverte contre quatre personnes après la perquisition de la mosquée An' Nur mercredi matin. L'imam aurait appelé à la criminalité et la violence.

La descente de police est a été menée en collaboration avec la police municipale de Winterthour et le ministère public de Winterthour/Unterland, a précisé la police cantonale zurichoise dans un communiqué. «Un imam éthiopien a été remis à l'ordre après des propos appelant à la violence lors d'une prière le 21 octobre dernier», affirme Corinne Bouvard, porte-parole de la communication du Ministère public du canton de Zurich.

 

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Mes remerciements à 

Zurich. Un imam radical : «Les lois suisses ne m’intéressent pas. Les lois islamiques règnent sur tous les pays.»

«Une femme ne doit pas faire la guerre. Mais un homme doit y aller. C’est son jihad. La femme doit rester à la maison, c’est ça le jihad des femmes.» Ces mots sont de Shaikh Wail, ex-imam de la mosquée An’nour de Winterthour, connue pour ses liens présumés avec l’islam radical. Ils ont été rapportés par un journaliste allemand, Shams Ul-Haq (Christian Hofer: dont le travail a déjà été relevé dans cet article sur Les Observateurs.ch)

Entré en se présentant comme un entrepreneur, et moyennant une donation, il a assisté à des prêches dans lesquels l’imam égyptien déclarait aussi: «Les lois suisses ne m’intéressent pas. Les lois islamiques règnent sur tous les pays.» L’infiltré note encore que le prédicateur ne parlait qu’en arabe, «de façon très agressive».

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Nos remerciements à 

Un socialiste musulman critique la Suisse: «Winterthour est devenu un point chaud salafiste et c’est la faute des autorités»

Christian Hofer: Comme d'habitude pour les musulmans, la faute en incombe exclusivement à la société non musulmane! Pas un seul mot sur l'islam qui considère le non musulman comme étant inférieur, qui le discrimine dans de nombreux textes! On lui rappelle que le salafisme est un mouvement qui se base sur le coran et la sunna et ce n'est pas à la Suisse de combattre une telle idéologie mais aux musulmans eux-mêmes!

Bien entendu, ce musulman ne fait aucune critique à l'encontre de sa religion qui est à la racine du problème mais il blâme un pays qui leur a ouvert ses portes. Je rappelle que notre pays n'aurait pas à faire face à de tels problèmes si l'islam ne s'était pas implanté via une immigration "humanitaire" qu'on nous a imposée.

Nous n'avions pas "à prendre des dispositions" dans les années 80. Ce n'est qu'avec leur présence que notre sécurité s'est dégradée!

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La ville de Winterthour fait à nouveau les gros titres en lien avec le djihadisme international. Le mois dernier, la SRF révélait que le Ministère public de la Confédération avait mis en détention préventive S., soupçonné d’être une figure centrale du milieu islamiste de l’ancienne cité industrielle. Au moins cinq jeunes musulmans en sont partis pour faire le djihad.

Les autorités communales ont annoncé la création d’un service de prévention contre l’extrémisme et la violence. La Ville réfléchit à d’autres mesures. Pas de quoi satisfaire Blerim Bunjaku, membre du comité directeur du PS de Winterthour.

Comment expliquez-vous qu’autant de jeunes candidats au djihad viennent de Winterthour?

Les autorités n’en ont pas fait assez au cours des dernières années pour favoriser l’intégration des étrangers. Aujourd’hui, de jeunes musulmans grandissent dans des familles salafistes, coupés de la culture suisse. Ils voient l’Occident comme un ennemi. Le manque de réactivité, voire de courage, des autorités a laissé le problème s’empirer. Ce n’est pas encore grave, mais, si l’on ne prend pas des mesures adéquates, dans quelques années, on dénombrera beaucoup plus de cas de radicalisation dans notre ville.

Source et suite de l'article

Islamisme: Winterthour critiquée pour sa passivité

ISLAMISME RADICAL

Les organisations islamiques estiment que les autorités ne prennent pas assez au sérieux le risque représenté par les musulmans radicaux.

Le Forum pour un islam progressiste ainsi que des organisations islamistes s'inquiètent de la situation à la mosquée An’Nur à Winterthour. Ils y voient un signe de la radicalisation qui touche les jeunes, explique le Tages-Anzeiger dans son édition du 26 novembre.

Les organisations islamiques tirent la sonnette d'alarme car elles n'ont pas les moyens de s'occuper des jeunes aspirés par le djihadisme. La situation est ainsi critique aux yeux de Saïda Keller-Messahli, la présidente du Forum. «Nos ressources sont limitées. Nous faisons ce travail à nos frais et durant notre temps libre.» Les demandes de subventions ont toutes été rejetées.

Elle appelle les autorités intéressées à se saisir du problème. «Pour les défis dans le monde musulman, il manque soit du savoir-faire, soit une prise de conscience.» Et le cas de Winterthour est typique. «Les autorités ne veulent pas reconnaître qu'il y a un problème avec les musulmans radicaux.» Elle estime que mettre des policiers dans les gares ne résoudra rien.

La ville rétorque qu'elle a organisé récemment une rencontre sur le thème de la radicalisation dans les écoles et que sa police municipale collabore étroitement au niveau de la sécurité avec les instances cantonales et fédérales.

Atef Sahnoun, directeur de la mosquée An’Nur, partage les inquiétudes et les critiques de Saïda Keller-Messahli. Il souhaite une aide plus active de la ville. «Les autorités ne se sont pas adressées une seule fois à nous.» Une affirmation qui fait bondir l'adjoint du chef de l'information, Andreas Friolet. «La ville de Winterthour a pris contact par écrit avec les responsables de la mosquée mais elle n'a jamais obtenu ni réponse ni réaction.»

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Zurich: «Une cellule de l’EI est installée à Winterthour»

Quatre personnes domiciliées dans la localité zurichoise sont parties faire le jihad cette année. Une cinquième en aurait fait de même récemment, selon un expert.

«Un homme vivant à Winterthour s'est radicalisé au cours des derniers mois. Il est parti récemment en Syrie.» C'est ce qu'a raconté mardi Kurt Pelda, journaliste et connaisseur de la Syrie, au quotidien «Landbote». Il s'agirait de la sixième personne domiciliée dans la localité zurichoise qui est déjà partie faire le jihad (voir encadré). Quatre individus ont quitté la Suisse cette année. L'homme dont parle Kurt Pelda serait le cinquième.

Winterthour (ZH) : Jihadistes entraînés par un champion de boxe thaïe que la Suisse a accueilli

Trois Zurichois (ND Ch. H. sic!) sont partis dernièrement faire le jihad en Syrie. Tous ont suivi des entraînements de boxe thaïe auprès du double champion du monde Valdet Gashi.

Pas moins de quatre jeunes de Winterthour (ZH) ont rejoint récemment les rangs du groupe Etat islamique en Syrie. Sandro*, V. L.*, sa soeur E. L.* ainsi qu’Ibn Muhamad al-Kurdi. Des recherches menées par la télévision alémanique SRF montrent que les trois jeunes hommes ont une chose en commun. Tous ont suivi des entraînements de boxe thaïe auprès de Valdet Gashi.

Selon l'émission «Rundschau», l'Allemand aurait créé il y a quelques mois un groupe spécial, nommé MMA Sunna, à Winterthour. Seuls des hommes étaient admis aux entraînements qui se déroulaient selon les règles de l'islam.

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Suite

ND Ch. H. A noter que le 20 minutes ne veut pas donner les prénoms complets des 2 jihadistes, ceux-ci étant ressortissants des Balkans: Visar et Hajan. Il est vrai que cela ferait du mal à la propagande multiculturelle que nous subissons.

Suisse: Y a-t-il une filière djihadiste à Winterthour?

L'inquiétude grandit à Winterthur. Un jeune apprenti de 18 ans a tout abandonné au début février pour rejoindre le groupe Etat Islamique (EI) en Syrie. Et un autre jeune de la région, âgé de 21 ans, aurait trouvé la mort en janvier lors d'un raid de la coalition sur Kobané, a révélé 20 Minuten dans son édition du 27 mars.

En décembre, un frère de 16 ans et sa soeur de 15 ans étaient déjà partis en Syrie pour aller se battre au sein du groupe terroriste. Leur père était parti en Turquie pour tenter de les ramener, mais sans succès.

L'EI populaire auprès de certains jeunes

Il existe des personnes capables de faire passer en Syrie des volontaires avant de revenir en Suisse, explique-t-on dans la grande ville zurichoise. D'autant que la milice recueille de nombreuses sympathies parmi certains jeunes. Un homme d'une trentaine d'années, d'origine kosovare, est souvent cité.

Une mosquée tenue par l'Association islamique albanaise est également mise en cause comme étant un foyer de radicalisme.

Leur nombre pourrait toutefois être plus important que ce qui est communément admis. «Tout d'un coup, on ne voit plus certaines personnes», confirme un jeune de la communauté musulmane. Ou, comme le redoutent des observateurs de la mouvance radicale, ce n'est qu'une question de temps avant que d'autres ne partent.

Source

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