Comme à l'accoutumée, le média cache le fait que ces deux femmes sont d'origine bosniaque [Samra Kesinovic et Sabina Selimovic]. Il ne faudrait pas que l'Européen se pose des questions sur les conséquences d'une telle immigration musulmane.
Le journaliste confond par ailleurs les deux prénoms : c'est bien Samra qui a été battue à mort et non Sabina. Il s'agit donc de la deuxième nommée.
Enfin, le gouvernement autrichien va risquer la vie d'hommes non musulmans pour aller sauver des enfants musulmans dont les parents pratiquaient le jihad, tout cela parce qu'une "grand-mère" musulmane le demande, sans aucune honte. Cela démontre à quel point l'Europe est malade.
**********
On ne sait toujours pas ce qui les a poussées à partir [NDLR : Elles ont elles-mêmes indiqué qu'elles combattaient pour l'islam dans une lettre. Mais visiblement c'est trop compliqué à comprendre pour le journaliste.]. Mais, il y a plus de cinq ans, Sabina et sa meilleure amie, Samra, âgées respectivement de 15 et 16 ans, ont décidé de partir en Syrie dans le but de rejoindre l'Etat islamique. La première nommée, apparemment battue à mort en février parce qu'elle avait tenté de s'enfuir, a eu deux enfants en zone de guerre. Ceux-ci se trouvent actuellement au camp de réfugiés d'Al-Hol, dans le nord-est de la Syrie. Leur père est, quant à lui, porté disparu.
Mardi, Vienne a confirmé qu'un test ADN réalisé par l'UNICEF avait montré que les deux garçons étaient bel et bien de Sabina. Ils sont donc officiellement des citoyens autrichiens [NDLR : C'est magique la naturalisation : deux musulmanes naturalisées parties tuer des non musulmans enfantent des... Autrichiens.].A la suite de plusieurs requêtes de la grand-mère de la jeune fille [...]
C'est l'unité spéciale de la police Cobra qui effectuera cette tâche pour le compte du ministère autrichien de l'Intérieur, comme le rapporte «Heute». Au vu de la dangerosité de la mission, il est également envisagé de faire recours aux soldats d'élite du Jagdkommando. [...]
Les enfants de Maria, une Salzbourgeoise qui était elle aussi partie combattre en Syrie au côté de l'EI, devraient également être ramenés en Autriche [...]
Au moins 35 meurtres ont déjà été commis en Autriche cette année. Particulièrement choquant : dans 22 cas, les auteurs ont un passé migratoire avéré.
Si l'on inclut le nombre de cas non signalés pour lesquels il n'existe pas d'informations plus précises sur l'auteur de l'infraction, on peut constater : Les deux tiers des meurtres en Autriche sont commis par des personnes d'origine étrangère.
Le Ministère fédéral de l'Intérieur (BMI) n'a pas voulu commenter l'exhaustivité de cette liste. Ainsi, il pourrait y avoir un nombre de meurtres plus élevé, qui n'ont jamais été publiés pour des "raisons d'enquête". Nous avons appris que les statistiques officielles ne seront publiées que l'année prochaine.
[...]
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
En mai, Mohammed Y. aurait poussé un travailleur devant le métro. Comme le site d'information "Heute" l'a appris, il n'est pas jugé pour meurtre. Il doit être envoyé dans un établissement pour malades mentaux.
Des scènes d'horreur sur les voies ferrées ont massivement réduit le sentiment de sécurité des conducteurs de transport public. A la gare de l'Ouest de Vienne, un Irakien âgé de 20 ans aurait poussé un magasinier (35 ans) devant l'U3 le 8 mai. Par la suite, l'attaque de Francfort, où un enfant de 8 ans est mort, est survenue. On remarque également à Vienne que les personnes en attente d'un train restent le plus loin possible des voies ferrées.
Après chacun de ces deux crimes, les suspects ont déclaré lors des interrogatoires qu'ils avaient entendu des voix. Pour cette raison, Mohammed Y. devrait échapper à la prison à vie. Un psychiatre en est arrivé à la conclusion que l'Irakien souffre d'une "anomalie mentale et psychique d'un degré supérieur".
En raison de sa schizophrénie, le parquet de Vienne ne le poursuit pas pour meurtre. Comme il n'était pas sain d'esprit au moment du crime, il devrait être envoyé dans une institution.
"Je me sentais persécuté et humilié par les gens qui portaient des lunettes de soleil et des écouteurs ", a déclaré Mohammed Y.
Et c'était exactement le cas avec Zdravko I. [NDLR : la victime] : "Il avait ses écouteurs et portait des lunettes de soleil. Je pensais que ces gens m'entendraient lorsque je pleurerais à la maison. Je me sentais provoqué par son reniflement de nez. Quand le métro est entré dans la gare, j'ai soudainement explosé. Je devais le faire..."
La victime a dû être amputée du pied
Zdravko I. a dû se faire amputer d'un pied. Il est actuellement en réadaptation. "Je suis heureux d'avoir survécu. L'auteur devrait recevoir une sanction adéquate, à la hauteur de ce que j'ai eu." Pendant ce temps, l'Irakien déclare : "Je me sens mieux maintenant. Je ne vois plus de gens avec des lunettes de soleil." Il est présumé innocent.
(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)
A Graz, cinq demandeurs d'asile ont violé une jeune fille de 13 ans. Le crime aurait même été enregistré avec un téléphone portable. Les accusés (âgés de 17 à 22 ans) ont été condamnés à plusieurs années de prison.
Les détails sont profondément choquants : à la fin du mois d'octobre de l'année dernière, une fille de 13 ans se trouvait à la gare de Graz, déjà un peu en état d'ébriété. Elle y a rencontré cinq demandeurs d'asile âgés de 17 à 22 ans. Deux d'entre eux, dont le premier accusé âgé de 17 ans, avaient déjà été reconnus coupables de diverses infractions en matière de drogue.
Enfermé dans l'appartement
Les cinq hommes ont persuadé la jeune adolescente de 13 ans de venir dans un appartement à Graz. Puis ils ont fermé la porte d'entrée et lui ont donné des narcotiques et davantage d'alcool pour la rendre soumise. Par la suite, ils l'auraient forcée à se déshabiller. Lorsqu'elle s'est aperçue dans quelle situation dangereuse elle se trouvait, il était trop tard: Les accusés ont ligoté leur victime parce qu'elle se défendait. Il ont l'abusée brutalement chacun à leur tour.
L'acte a été filmé avec un téléphone portable.
Pire encore : le crime a même été enregistré sur un téléphone portable (...). Les accusés nient les accusations, mais le tribunal a davantage cru la victime.
Condamnations à de lourdes peines d'emprisonnement
Le premier accusé a été condamné à sept ans d'emprisonnement et les autres hommes ont également été placés en détention pour plusieurs années. Les sentences ne sont toutefois pas encore définitives, car des appels ont été interjetés.
(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)
Le ministre autrichien de l'Intérieur, Herbert Kickl (FPÖ), a récemment envoyé une lettre à la Commission européenne, mettant en garde contre une nouvelle crise migratoire et demandant que des mesures préventives soient prises immédiatement.
Il a indiqué qu'un très grand nombre de migrants en provenance de Turquie se rendront en Europe dès que le temps s'améliorera.
M.Kickl affirme dans sa lettre qu'une crise est imminente car il pense que des plans sont en cours pour une migration à grande échelle de la Turquie vers l'Europe.
Selon les données publiées par l'agence européenne de police criminelle Europol, des dizaines de milliers de migrants se trouvent déjà dans la région, dont 60 000 en Grèce, 5 000 en Bosnie-Herzégovine et 5 000 en Serbie.
En outre, il y aurait 5,6 millions d'autres réfugiés syriens au Moyen-Orient, ce qui confirme la menace imminente d'un nouveau mouvement migratoire massif.
M. Kickl a exhorté la Commission à agir rapidement et à envoyer un message clair aux migrants pour qu'ils cessent les migrations massives :
"Il est particulièrement important maintenant de savoir quelles initiatives et mesures sont prévues par la Commission européenne afin de pouvoir coordonner les plans d'urgence respectifs pour un nouvel afflux massif."
M. Kicks a suggéré que la commission travaille immédiatement sur des "systèmes de retour efficaces", des "campagnes d'information et le renforcement des capacités locales", pour lesquels l'UE doit apporter un soutien financier "beaucoup plus important" :
"Les réfugiés ont le droit de vivre dans la sécurité et la dignité, mais pas le droit de choisir librement leur pays de destination. Seule une Europe qui protège ses frontières peut aider ceux qui en ont vraiment besoin."
M. Kickl a rappelé à l'UE de ne pas oublier son histoire avec l'immigration massive : "Nous nous souvenons tous encore des images de l'immigration massive de 2015/2016. Il serait irresponsable de se tourner les pouces et d'attendre que des dizaines de milliers de migrants soient à la frontière."
"Une mentalité politique de réparation et de rapiéçage ne mène nulle part - l'UE a besoin d'une approche stratégique claire et proactive. Il s'agit d'éviter une nouvelle crise et non d'attendre qu'elle éclate."
La nouvelle loi autrichienne sur les religions prévoit que, dans les livrets scolaires, la religion des enfants de mahométans ne soit plus définie pour tous comme « Islam », mais comme celle de la communauté à laquelle leurs parents appartiennent. C’est déjà le cas des enfants de chrétiens, qui sont annoncés par exemple comme « catholiques romains » ou « protestants » selon la religion de leurs parents. Mais la principale communauté religieuse musulmane d'Autriche, qui est sunnite et turque, proteste. L’ancien rédacteur en chef de Die Presse rappelle un meurtre particulièrement horrible - peu relayé par la presse de complaisance - perpétré par un Sunnite en Arabie saoudite à l’égard d’un enfant chiite, pour illustrer les profondes différences entre les divers courants de l’Islam.
Traduction (Claude Haenggli) : Lorsque un chauffeur de taxi de Medina, en Arabie saoudite, se rendit compte que sa cliente et son enfant de six ans étaient des Chiites, il s’empara de l’enfant, le sortit de force de l’auto, le traîna dans un café, cassa une bouteille et tua l’enfant avec les tessons. Cet acte montre le fossé profond qui existe entre les divers groupes religieux, que dans notre langage approximatif nous appelons tous « musulmans ». Cela nous ramène en Autriche, avec la dramatisation, par la communauté islamique IGGÖ, du fait que dans les livrets scolaires l’appartenance religieuse ne sera plus « Islam », mais « IGGÖ ». Cette IGGÖ ne représente qu’une partie très spécifique du monde musulman. Et, récemment, même plus l’ensemble des sunnites, car la nouvelle direction de l’IGGÖ est très, très proche du dictateur turc Erdogan.
Une révolte a eu lieu mercredi soir dans une maison de réfugiés à Bergheim, où plusieurs demandeurs d'asile se sont comportés de manière agressive : la police a arrêté deux Libyens (26 et 30 ans) qui avaient déclenché une alarme incendie et proféré des menaces.
Motif : Le superviseur avait désactivé l'accès Internet conformément aux règles de la maison.
Devant les autorités, les deux demandeurs d'asile ont menacé de détruire le centre pour réfugiés et également de tout casser dans le centre-ville de Salzbourg a déclaré la police. Auparavant, ils avaient délibérément déclenché une alarme incendie et menacé le superviseur à plusieurs reprises.
Lorsqu'ils ont été emmenés par les agents, d'autres demandeurs d'asile ont défoncé plusieurs portes du foyer. Toutefois, le montant des dommages n'est pas encore connu.
Les faits. En Autriche, lors d'une conférence organisée au sein du FPÖ et intitulée «connaissance élémentaire de l'islam», la conférencière et responsable du FPÖ a été condamnée pour avoir dit, à propos du mariage de Mahomet avec une fillette de 6 ans et de sa consommation sexuelle à l'âge de 9 ans: «Comment appelons-nous cela, si ce n'est de la pédophilie?».Elle voulait notamment alerter sur la pratique du mariage des mineurs dans l'islam, suivant l'exemple de Mahomet. Alors qu'elle a contesté en 2012 cette condamnation devant la Cour européenne des droits de l'homme, cette dernière a confirmé la décision des juges autrichiens dans un arrêt rendu public jeudi 25 octobre. L'ECLJ est intervenu dans cette affaire pour défendre la plaignante.
FIGAROVOX.- La Cour européenne des droits de l'homme vient de confirmer la condamnation d'une Autrichienne qui avait évoqué lors d'un meeting la «pédophilie» de Mahomet. Sur quel motif s'appuie cette condamnation?
Grégor PUPPINCK.- Le seul véritable motif de cette décision est la peur des musulmans. La Cour le dit expressément: les autorités autrichiennes ont eu raison de condamner ces propos pour préserver la «paix religieuse» et la «tolérance mutuelle» dans la société autrichienne. Selon la Cour, les États auraient à présent, et c'est nouveau, «l'obligation d'assurer la coexistence pacifique de toutes les religions et de ceux n'appartenant à aucune religion, en garantissant la tolérance mutuelle».
La Cour développe plusieurs arguments à l'appui de sa conclusion.
D'abord, elle juge l'intention même de la conférencière, et la condamne en estimant qu'elle n'a pas tant cherché à informer le public qu'à «dénigrer» Mahomet et à démontrer «qu'il n'est pas digne d'être vénéré», et par suite à inciter à la violence. Ainsi, dénigrer Mahomet n'est pas protégé par la liberté d'expression: il ne faudrait en parler qu'avec respect et des bonnes intentions!
La Cour a jugé ensuite - de façon incroyable - que ces propos n'étaient pas l'expression d'un fait mais d'un jugement de valeur personnel et hostile, car la conférencière n'aurait pas resitué les faits dans leur contexte historique, ni précisé que la première épouse de Mahomet était bien plus âgée que lui. Dès lors, elle aurait «généralisé» la pédophilie de Mahomet de façon malveillante. Pour la Cour, alors, la conférencière était de mauvaise foi, et c'est «légitimement» que les musulmans auraient pu se sentir «offensés» par ces propos et que les juridictions autrichiennes les ont condamnés.
Cette décision est grave à mes yeux. D'abord parce qu'elle se résigne à l'intolérance et même à la violence des musulmans face à la critique, et qu'elle renonce à défendre fermement la liberté d'expression sur l'islam. En fait, c'est la violence même des musulmans qui justifierait et exigerait que leurs croyances soient davantage protégées contre les critiques.
Plus profondément, cette décision est aussi très grave car elle fait primer les objectifs de «tolérance mutuelle» et de «coexistence pacifique» sur la liberté de pensée et d'expression en matière religieuse. Elle permet de museler la critique de l'islam au nom du vivre-ensemble. Cela va à rebours de la modernité occidentale qui exige au contraire de soumettre l'islam à la critique historique, sans peur de bousculer les croyances de ses adeptes et même de provoquer des tensions.
Mais pour estimer et protéger le débat critique et la controverse, il faut encore croire en la vérité et en la vertu. Ce n'est malheureusement pas le cas de cette décision qui est purement relativiste. Faire de la tolérance et de la coexistence des valeurs et des objectifs en soi est une abdication de l'esprit. La société européenne ne doit pas renoncer à être fondée sur la justice et la vertu qui sont, par définition, intransigeantes.
Ultimement, la logique de la coexistence et du vivre-ensemble repose sur le dogme absurde de l'égalité des religions. Pour ma part, je suis convaincu qu'il est urgent de détruire ce dogme, de critiquer et de comparer les religions par rapport à leur contribution au bien de l'humanité. Quant à la liberté d'expression, je pense que seule la diffusion d'obscénités gratuitement offensantes et inutiles au débat ainsi que les propos incitant à la violence immédiate peuvent être restreints. Tout autre propos - surtout lorsqu'il s'appuie sur des faits réels - devrait être protégé au titre de la liberté d'expression.
La décision rendue par la CEDH aurait justifié la condamnation des caricatures de Charlie Hebdo, mais aussi de Voltaire, Ernest Renan ou encore Auguste Comte. La Cour européenne des droits de l'homme n'est pas vraiment Charlie...
Oui, il est vrai que depuis 2009, les instances internationales et européennes se sont toutes déclarées en faveur de l'abolition du délit de blasphème. C'est pourquoi il a été retiré du droit local alsacien en 2016, et que les Irlandais s'apprêtent à faire de même prochainement. Cette décision de Strasbourg va donc à contre-courant.
En fait, cette tendance est une réaction de défense face à l'offensive menée à l'ONU par l'Organisation de la Conférence Islamique pour créer en droit international un délit de blasphème sous l'appellation de «diffamation de l'islam». Il y a donc eu un conflit en droit international entre les conceptions musulmane et occidentale de la liberté d'expression en matière religieuse. La Cour, dans cette affaire, a opté pour la conception musulmane… conforme à la charia.
En somme, la CEDH défend ceux qui blasphèment contre le christianisme, mais condamne ceux qui blasphèment contre l'islam...
Force est de constater que dans deux jugements récents, la Cour a adopté une position inverse en accordant sa protection à des blasphèmes contre la religion chrétienne. Il ne s'agissait pas, dans ces affaires, de débat historique, mais de simples publicités commerciales et d'activisme politique.
Il y a d'abord eu l'affaire des publicités représentant le Christ et la Vierge Marie comme des junkys tatoués et lascifs. La Cour de Strasbourg n'a pas admis la condamnation de ces publicités, alors même qu'elles choquaient gratuitement, dans un seul objectif commercial. Elle a condamné la Lituanie.
Il y a ensuite eu l'affaire des «Pussy Riot», ce fameux groupe d'agitatrices punk qui avait été lourdement condamné en Russie pour avoir organisé un concert sauvage dans le chœur de la Cathédrale orthodoxe de Moscou. Ici encore, la CEDH a protégé leur liberté d'expression, reconnaissant tout au plus qu'une réaction au manquement à des règles ordinaires de conduite dans un lieu de culte aurait pu être justifiée.
On peine à s'expliquer la divergence d'approches de la Cour entre ces différentes affaires.
Ailleurs dans le monde, une jeune femme, Asia Bibi, a été condamnée à mort pour blasphème. Que font les défenseurs des droits de l'homme?
L'ECLJ dispose d'un bureau au Pakistan qui y défend courageusement les nombreux chrétiens persécutés, tels qu'Asia Bibi. Face à l'islam, nous avons aussi besoin en Europe de défenseurs courageux des droits de l'homme. Ce n'est pas le signal que donne la Cour européenne avec cette décision... J'espère que cette affaire sera rejugée, en appel, devant la Grande Chambre de la Cour européenne, et que celle-ci saura alors faire preuve du courage qu'exigent les circonstances actuelles.
Autriche – Des scènes brutales se sont déroulées vendredi soir dans le quartier de Alsergrund, à Vienne : un Syrien de 41 ans a tabassé trois femmes âgées de 65, 67 et 75 ans à un arrêt de bus.
L’individu avait apparemment commencé à harceler des passants dans une rue adjacente. À un arrêt de bus, le migrant a soudainement commencé à agresser trois femmes. Les victimes sont toutes tombées, ont subi des coups de pied alors qu’elles étaient à terre. Elles souffrent de commotions cérébrales ainsi que d’ecchymoses et d’hématomes. L’assaillant a ensuite cassé plusieurs vitrines de magasins.
Quand il a de nouveau menacé plusieurs passants, la police a finalement réussi à maîtriser le suspect et à l’interpeller
Dans son livre Kulturkampf im Klassenzimmer. Wie der Islam die Schulen verändert ("La guerre culturelle dans les salles de classe. Comment l’islam transforme les écoles"), Susanne Wiesinger témoigne en tant qu'enseignante dans le dixième arrondissement de Vienne, Favoriten. "Le plan d’études pour les écoles primaires et secondaires a été de facto supprimé par les obligations et interdictions islamiques s’ajoutant à des connaissances en allemand très insuffisantes." Susanne Wiesinger est professeur depuis 25 ans dans ce quartier où il n’y a plus selon elle que des écoles à problèmes. Là-bas, la majorité des élèves sont musulmans, de tendance conservatrice voire fondamentaliste.
Susanne Wiesinger a choisi de témoigner malgré l’interdiction de l’autorité scolaire viennoise. Elle est férocement critiquée par la gauche dont elle est pourtant issue. "Mes élèves musulmans n’acceptent pas que je lise des contenus qu’ils considèrent comme ‘haram’, par exemple lorsque, dans le livre, une jeune fille de 17 ans a un petit ami". "Les jeunes institutrices disent toutes qu’elle sont mariées, pour éviter les insultes."
Un jour, une jeune fille tchétchène habillée en jupe et T-shirt a été menacée devant l’école par des jeunes gens. Les autorités ont été alertées, les jeunes ne sont plus revenus devant l’école, mais la jeune fille n’a plus jamais osé se montrer en jupe et t-shirt.
Susanne Wiesinger est pour l’interdiction du voile à l’école. Elle a remarqué que dès qu’une fillette le porte, elle devient introvertie et timide. Certains professeurs utilisent le foulard pour assurer la discipline : pour calmer un garçon musulman agressif, ils le font asseoir à côté d’une élève portant le voile.
Des élèves turques et albanaises lui ont dit trouver normal que la jeune Bakhti* ait été tuée "pour l'honneur" : "Si je me marie avec un chrétien, ma famille doit me tuer, évidemment."
Au sujet d’une jeune fille envoyée faire le trottoir par un proxénète tchétchène, un collègue lui a dit que ça ne les regardait pas puisque ça ne se passait pas à l’école.
Lorsque Susanne Wiesinger raconte un peu sa vie à ses élèves, elle est frappée par leur intérêt mais aussi par leur tristesse. Ils mesurent le contraste avec leur propre vie. L’un des points forts de sa carrière est une discussion avec sa classe, lorsqu’elle a parlé de ses peurs de petite fille en entendant des histoires de l’Ancien Testament. Beaucoup lui ont alors confié être effrayés par Dieu et par l’enfer.
Malgré quelques étincelles comme celle-ci, le tableau est terriblement sombre. "Nous sommes impuissants, et souvent je me dis qu’ils ont gagné et que nous avons perdu. Mais en réalité, ce sont les enfants qui ont perdu."
* Le 18 septembre 2017, Bakhti, Afghane de 14 ans, pourtant placée dans un foyer pour échapper à son père violent, a été assassinée par son propre frère dans le quartier viennois de Favoriten. Elle entretenait une relation - probablement platonique - avec un jeune Afghan. (journal Krone du 7.4.18).
Selon la police autrichienne, six demandeurs d'asile déboutés ont mis le feu à leur cellule dans un centre de détention de Vienne au cours de la nuit du 14 au 15 septembre, pour «manifester leur mécontentement». Ils ont été hospitalisés.
Cinq Afghans et un Iranien, qui avaient vu leur demande d'asile déboutée et étaient dans l'attente de leur expulsion, ont mis le feu à la cellule de leur centre de détention à Vienne, dans la nuit du 14 au 15 septembre.
La police a dans un premier temps évoqué un suicide collectif avant de mettre en doute cette hypothèse. «Nous pensons que ces hommes voulaient manifester leur mécontentement», a déclaré à l'AFP le porte-parole de la police Harald Soros.
Les demandeurs d'asile ont rédigé une lettre dans laquelle ils regrettent de ne plus avoir de perspectives d'avenir. Ils y mentionnent les dates qui avaient été communiquées à deux d'entre eux pour leur expulsion. L'un des demandeurs d'asile avait auparavant observé une grève de la faim.
Harald Soros pense que ces hommes pourraient avoir mis le feu à leur cellule en vue d'empêcher leur expulsion.
Selon la police, ils se sont réfugiés dans les sanitaires de la cellule après avoir mis le feu et en ont calfeutré la porte avec un chiffon afin d'empêcher la fumée d'y pénétrer, ce qui infirme la thèse de la tentative de suicide.
Cependant, ces précautions n'ont pas suffi à isoler la salle de bains et l'un des hommes a été à la porte de la cellule pour actionner l'alarme.
Ils ont tous été hospitalisés après avoir inhalé de la fumée, l'un d'eux présentant des brûlures. Selon la police, leur vie n'est pas en danger.
Dimanche soir, un contrôleur de train du City-Airport-Train (CAT) à Vienne a surpris un Syrien de 33 ans en train de resquiller. Comme le Syrien n'a pu fournir de carte d’identité, le contrôleur a immédiatement informé sa responsable et la police.
Peu de temps avant la station Airport de Schwechat (Bruck), juste au moment où le contrôleur du train appelait la police, le passager syrien a frappé de manière glaciale.
Sous les yeux des policiers, le jeune homme de 33 ans a continué de frapper le contrôleur. Les agents arrivés entretemps ont eu du mal à calmer l'individu.
Après l'attaque, l'employé de train a dû être transporté à l'hôpital avec des blessures au visage. Le Syrien de 33 ans a été conduit à la prison de Korneuburg.
Le gouvernement autrichien de coalition entre la droite et l'extrême droite faisait face aujourd'hui aux critiques des organisations d'aide aux étrangers et de l'opposition, après sa décision d'exclure les demandeurs d'asile du dispositif de l'apprentissage professionnel auquel ils ont accès depuis 2012.
Le vice-chancelier Heinz-Christian Strache, chef du parti d'extrême droite FPÖ, avait attaqué cette mesure ce week-end, estimant "qui ne dispose pas d'un droit au séjour, ne doit pas être autorisé à entamer un apprentissage".
Un Afghan âgé d’environ 22 ans a été condamné mercredi en Autriche à la réclusion à perpétuité pour avoir tué sa sœur cadette de 28 coups de couteau en pleine rue, l’été dernier. Un acte qu’il a décrit comme un « crime d’honneur ».
L’adolescente, âgée de 17 ou 18 ans, avait quitté le foyer familial où elle était victime de violences, à Vienne. Elle avait trouvé refuge dans un centre d’accueil spécialisé. Elle avait toutefois été retrouvée par son frère, qui l’a assassinée alors qu’elle se rendait à son école, le 18 septembre 2017.
Immédiatement arrêté, le suspect, arrivé en Autriche en 2013, avait déclaré pendant l’instruction trouver « bien qu’elle soit morte, car elle a sali l’honneur de la famille ». La cour d’assises de Vienne l’a condamné mercredi à la peine maximale, à l’unanimité du jury.
Le seul tort de la victime, qui craignait notamment d’être renvoyée en Afghanistan pour y être mariée de force, avait été d’« avoir refusé de se plier aux contraintes de la société afghane », a relevé le procureur Mario Bandarra.
Christian Hofer : un sujet qui n'est en aucun cas tabou pour les sites de réinformation, insultés et trainés dans la boue par les bien-pensants.
On doit désormais payer des "numéros spéciaux" pour s'informer. Bel aveu de la censure qui fait loi, de manière banale, en Europe. C'est donc ceci l'avenir radieux de la gauche.
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Lorsque, en 2015, la ruée vers l'asile a éclaté en Autriche, les médias grand public l'ont célébré sans critique et la politique des frontières ouvertes a été fortement encouragée. (...) Rien n’a changé dans l’adoption unilatérale des médias pour l’immigration de masse et la propagation d’une société multiculturelle.
Le "Wochenblick" a réussi à s'introduire dans ces brèches: par exemple, notre mention constante de la nationalité des délinquants a conduit d'autres médias à le faire.
À maintes reprises, des affaires de criminalité de migrants ont été révélées et auraient été cachées sous le tapis sans le "Wochenblick". Le "Wochenblick" est parvenu à faire connaître les inconvénients, les dangers et les risques de la migration et du multiculturalisme à un public plus large.
Alors, quoi de plus évident que de publier un nouveau magazine spécial sur ce sujet particulier?
Le magazine spécial "Wochenblick", numéro 3: Migration et multiculturel - Les faits secrets
Le troisième "Wochenblick-spécial" se consacre au sujet tabou de nos jours: "Migration et multiculturalisme - Les faits secrets" Les auteurs posent des questions critiques qui sont supprimées dans les médias traditionnels:
L'utopie du multiculturalisme est-il vraiment souhaitable?
L'immigration doit-elle être considérée comme une simple opportunité et un enrichissement?
100 pages avec des contributions explosives, des commentaires critiques et des interlocuteurs importants.
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Encore une fois, des soupçons de radicalisme dans une mosquée de Vienne.
Une vidéo contenant le discours explosif d'un Imam a été divulguée au journal "die Krone". Entre autres choses, on appelle à un Etat islamique et on prêche à l'encontre des "mécréants".
Le parti libéral a porté plainte pour apologie de crimes terroristes et pour haute trahison.
La vidéo prise à l'aide d'un téléphone mobile à l'intérieur d'une mosquée viennoise montre deux imams et un frère musulman présumé. Alors qu'un prêcheur appelle les jeunes à fonder un État islamique ("Ils ont les rôles les plus importants dans le jihad et dans le prosélytisme"), un autre prêche contre les soi-disant mécréants.
Il est strictement interdit de féliciter les mécréants (les chrétiens) lors de leurs fêtes religieuses : "C'est comme se prosterner devant la Croix. Et pour Allah, c'est pire que boire de l'alcool ou tuer."
L'islamologue Amer Albayati critique vivement: « L'islam politique est une menace pour la paix sociale et notre sécurité. Il doit être stoppé immédiatement. » Le Parti de la liberté a déposé une plainte auprès du ministère public.
L’Autriche, qui assume pour six mois la présidence tournante de l’UE, souhaiterait qu’il ne soit plus possible, dans l’avenir, de déposer une demande d’asile sur le sol européen.
Le ministre de l’intérieur, Herbert Kickl (FPÖ, extrême droite), a expliqué mardi 10 juillet, lors d’une conférence de presse, que toute autre solution «inciterait les passeurs à dire : “Je prends votre argent pour vous emmener dans l’Union européenne, parce que vous avez la garantie de pouvoir y faire une demande d’asile avec la probabilité très, très faible d’être renvoyé” ».
Dans le modèle défendu par l’Autriche, les demandes d’asile seraient enregistrées dans les camps de réfugiés hors d’Europe «par une sorte de commission mobile», selon M. Kickl. Seuls les exilés originaires de pays voisins directs de l’UE pourraient déposer leur demande d’asile sur le territoire de l’Union.
Le ministre a assuré ne pas y voir de contradiction avec la Convention de Genève qui définit le statut de réfugié : «Je ne vois nulle part dans ce texte que l’Europe doit être responsable des demandes d’asile de personnes venant de régions éloignées de milliers de kilomètres.»
Heinz-Christian Strache, vice-chancelier autrichien et leader du Parti de la liberté (FPÖ), a donné des conseils clairs à tous les électeurs d'Erdogan dans son pays.
"Je conseille à tous les Turcs d'Autriche qui ont voté pour Erdogan de retourner en Turquie."
Le message de Strache pour les partisans d'Erdogan est devenu viral avec 20 000 mentions J'aime et près de 5 000 parages.
En Autriche, environ 72% des Turcs ont voté en faveur d'Erdogan lors des dernières élections en Turquie. Un chef adjoint du parti de Strache a déclaré après les élections:
"Ce résultat électoral prouve une fois de plus que l'intégration de milliers de Turcs a été un échec lamentable."
La victoire électorale d'Erdogan, lui donne l'occasion de gagner encore plus de pouvoir dans son pays.
Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Dans une école primaire de Linz-Auwiesen (école connue de la rédaction), les enfants doivent mémoriser et réciter des chants musulmans dans le cadre de la fête musulmane du Ramadan. Il n'y a pas de moyen d'y échapper: Si vous refusez, vous êtes envoyé chez la directrice !
Le site "Wochenblick" s'est entretenu avec une mère inquiète. Son fils Fabian (nom changé par la rédaction) est catholique et fréquente l'établissement.
Néanmoins, le garçon doit mémoriser les chansons musulmanes par coeur, bien qu'il ne le veuille pas - et cela depuis plus de deux mois! "Nous étions sur le chemin du retour quand il a soudain commencé à chanter" Allah, Allah ", déclare la mère choquée.
Comme le souligne la mère, elle n'a aucun problème avec les autres étudiants qui vivent leurs religions. «J'ai été choquée que tous les enfants aient dû participer», relève-t-elle avec émotion. Elle n'a aucun grief à l'encontre de la fête musulmane. Seulement chaque élève devrait avoir la possibilité de choisir.
Le président turc a vivement critiqué ce 9 juin la décision du chancelier autrichien de fermer des mosquées dans le cadre d'une offensive contre l'«islam politique», mettant en garde contre une «guerre entre les Croisés et le Croissant».
«Ces mesures prises par le Premier ministre autrichien sont, je le crains, en train de mener le monde vers une guerre entre les Croisés et le Croissant», a déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan dans un discours prononcé à Istanbul dans la soirée du 9 juin.
Le croissant de lune est l'un des symboles qui sont régulièrement associés à l'islam. Les déclarations de Recep Tayyip Erdogan surviennent au lendemain de l'annonce faite par le gouvernement conservateur du chancelier Sebastian Kurz de mesures visant, selon lui, à lutter contre l'«islam politique».
Ils disent qu'ils vont bouter hors d'Autriche nos hommes de religion. Croyez-vous que nous ne réagirons pas si vous faites une telle chose ?
Parmi ces mesures, figurent la fermeture prochaine de sept mosquées et la possible expulsion de dizaines d'imams financés par la Turquie. «Ils disent qu'ils vont bouter hors d'Autriche nos hommes de religion. Croyez-vous que nous ne réagirons pas si vous faites une telle chose ? Cela signifie que nous allons devoir faire quelque chose», a déclaré Recep Tayyip Erdogan, sans donner d'autres précisions.
Environ 360 000 personnes d'origine turque vivent en Autriche, dont 117 000 ont la nationalité turque.
Les relations entre Ankara et Vienne sont particulièrement tendues depuis la tentative de putsch contre Recep Tayyip Erdogan en juillet 2016.
Les propos du président turc surviennent par ailleurs avant les élections anticipées du 24 juin. Le gouvernement autrichien a explicitement interdit aux responsables turcs d'organiser des meetings en Autriche en vue de ce double scrutin présidentiel et législatif.
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