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L’excellente chronique de Radiolac : “Le véritable appel à la résistance est celui de l’UDC !”
Vous nous parlez aujourd’hui de l’initiative de l’UDC qui sera soumise au peuple le 25 novembre prochain : tout le monde s’y oppose ?
On peut en effet parler, une fois encore, d’une mobilisation universelle contre l’initiative pour l’autodétermination lancée par l’UDC.
Tout le monde appelle à son rejet : le Conseil fédéral, le Parlement, les partis politiques, des centaines de personnalités et ONG, à en croire les médias, et, évidemment, les médias eux-mêmes.
Les mises en garde pleuvent de toutes parts : selon les partis bourgeois, l’acceptation de cette initiative serait catastrophique pour la crédibilité de la Suisse ; pire encore, elle serait « l’attaque la plus dangereuse contre les droits humains » selon la gauche.
Mais de quoi parle-t-on ? Quel est le texte qui a provoqué une telle frénésie au sein de l’établissement politico-médiatique ?
Eh bien, c’est un texte qui déroute par sa simplicité et, il faut bien le dire, par son évidence : « La Constitution fédérale est la source suprême du droit de la Confédération suisse ».
On ne voit vraiment pas ce que les opposants, en particulier nos autorités, pourraient trouver à redire à une proclamation aussi fondamentale.
Il est vrai que cela semble couler de source.
L’initiative ajoute : « La Confédération et les cantons ne contractent aucune obligation de droit international qui soit en conflit avec la Constitution fédérale. En cas de conflit, ils veillent à ce que les obligations de droit international soient adaptées aux dispositions constitutionnelles, au besoin en dénonçant les traités internationaux concernés. »
Et c’est ici que se font entendre les cris d’orfraies.
Les opposants dépeignent un tableau apocalyptique où la Suisse devrait renégocier voire dénoncer des centaines de traités si l’initiative passait.
Mais enfin, faut-il comprendre que notre Conseil fédéral et notre Parlement auraient signé et ratifié des centaines de traités qui seraient contraire à notre Constitution ?
Nos autorités passeraient-elles leur temps à conclure des traités anticonstitutionnels ?
Il semble que poser la question c’est y répondre…
Mais il y a mieux, Philippe : à en croire les partis de gauche, « la Suisse pourrait ne plus satisfaire aux normes de la Convention européenne des droits de l’homme » – c’est ce qu’a soutenu notre Conseillère fédérale Mme Sommaruga, voire même, c’est l’opinion d’Amnesty International, il pourrait y avoir des conflits avec la Convention de l’ONU sur la torture !
On croit vraiment rêver !
Les droits de l’homme ne sont-ils pas tous garantis par notre Constitution fédérale ? Celle-ci autoriserait-elle la torture ?
On a vraiment affaire à de vaines imprécations des partis et ONG de gauche qui sont d’autant moins sérieuses qu’en matière de garanties fondamentales, notre Constitution va bien plus loin que la CEDH.
Par exemple, le droit de grève est explicitement reconnu par notre Constitution alors qu’il ne l’est pas dans la CEDH. Il en va de même de la liberté de l’art ou de celle de la science. D’autres droits fondamentaux comme la liberté économique ne sont garantis que par notre Constitution.
Avec son appel délirant à résister contre ce qu’il surnomme l’initiative « anti-droits humains », le parti socialiste a perdu toute crédibilité.
Et l’affiche qu’il nous annonce relève d’une propagande d’un autre âge : sous le titre « la Suisse résiste » sont représentés côte à côte Trump, Poutine et Erdogan comme les communistes représentaient Marx, Lénine et Staline…
Sauf qu’il est vraiment difficile de comparer Trump ou Poutine au sultan Erdogan et qu’on ne voit en tout cas pas le lien avec nos droits populaires !
N’en déplaise aux bien-pensants, le véritable appel à la résistance, c’est celui de l’initiative lancée par l’UDC car, dans cette affaire, c’est bien notre démocratie directe qui est en jeu.
Mais ça, ce sera pour une prochaine chronique non conforme !
Nos remerciements à Info
Eclairage UW – Interdiction de la burqa : votation à Saint Gall : l’inversion, grâce à la démocratie directe, du harcèlement et de la stratégie du saucissonnage musulman, 25.09.2018
L’UDC exige une votation populaire sur le milliard pour la cohésion UE
Le Conseil fédéral a décidé aujourd'hui de verser à l'UE sans aucune contrepartie un milliard de plus – en réalité 1,3 milliard de francs – pour la cohésion de Etats d'Europe de l'Est. Et cela sans aucune contrepartie de Bruxelles. L'UDC exige qu'un projet de loi soumis au référendum afin que le peuple suisse puisse décider de cette nouvelle et inutile contribution à l'UE.
La conseillère fédérale Doris Leuthard, alors présidente de la Confédération, avait eu des paroles fortes en commentant le 21 décembre la décision purement politique de l'UE de ne reconnaître que provisoirement l'équivalence de la bourse suisse. Elle a même exprimé des doutes quant à la légalité de la limitation de cette reconnaissance à un an. Le Conseil fédéral prendra des mesures pour répondre à cette "mesure discriminatoire" de l'UE, avait-elle affirmé haut et fort. Il était question d'une suppression du droit de timbre et d'une réévaluation de la contribution suisse à l'élargissement de l'UE à l'est, mieux connu sous le nom de "milliard pour la cohésion". Aujourd'hui, le Conseil fédéral semble avoir pris peur devant sa propre détermination qu'il avait manifestée il y a quelques mois. Comment expliquer autrement qu'il mette en consultation le projet d'offrir une fois de plus à l'UE ce milliard pour la cohésion sans obtenir la moindre contrepartie de Bruxelles?
Il faut rappeler d'une manière générale que des primes d'accès au marché de ce genre sont une monstruosité du point de vue de la théorie et du droit du commerce. Il n'est d'usage ni dans des accords commerciaux bilatéraux, ni dans les accords mondiaux (OMC) que le pays ayant le plus petit potentiel commercial verse à celui qui a le plus grand potentiel un dit paiement de compensation. C'est une raison supplémentaire pour l'UDC de s'opposer à ce versement.
Il faut aussi que le contribuable suisse puisse, dans la perspective de la votation demandée par l'UDC, se faire une idée précise des projets que le dernier milliard pour la cohésion a servi à financer. Voici quelques exemples:
- savoir-faire suisse pour encourager le tourisme dans les Carpates polonaises : CHF 4.8 Mio.
- renaturation de la rivière Raba : CHF 1.2 Mio.
- un centre pour l'encouragement des échanges culturels à Chypre : CHF 153'000
- la surveillance d'espèces protégées à Vas, Zala et Somogy : CHF 1 Mio.
- la découverte de l'histoire de la sidérurgie à Zemplinske Hamre : CHF 1.2 Mio.
En plus du milliard pour la cohésion, soit 1,1 milliard de francs, qui se base sur la loi sur l'aide aux pays de l'est, le Conseil fédéral projette de verser à l'UE 200 millions de francs dans le domaine de la migration en se fondant sur la loi sur l'asile. Il s'agit là d'un mélange d'objectifs qui n'ont pas de rapport direct entre eux, donc d'une violation du principe de l'unité de la matière. Le droit en vigueur exige la présentation de deux projets législatifs séparés.
L'UDC invite le Conseil fédéral et tous les autres partis à présenter au peuple un arrêté soumis au référendum afin que les Suissesses et les Suisses puissent décider de ce versement insensé de 1,3 milliard de francs pour la cohésion de l'UE. C'est ce qu'exige également le conseiller national Albert Rösti, président de l'UDC Suisse dans sa motion du 15 mars 2018 (en allemand) .
La Une du journal de gauche Libération qui salit les Italiens
Du samedi 3 et dimanche 4 mars 2018.
Source
Traduction de la propagande de ces journaliste d'extrême gauche: "Si vous ne votez pas comme nous le voulons, vous êtes des fascistes."
Oui c'est cela la liberté de penser différemment avec la gauche...
Aucune circonstance atténuante, aucune compassion face à la situation que les Italiens subissent, aucune volonté de comprendre, tout cela étant exclusivement réservé aux migrants violeurs et assassins.
On comprend mieux pourquoi les extrémistes de gauche sont excusés de facto de tous leurs crimes, sans aucune condamnation de cette gauche innommable.
Rappels:
Italie. Livorno: un militant de CasaPound et son amie enceinte agressés par l’extrême gauche. Il risque de perdre un oeil
Italie. Castel Volturno, la petite ville tombée aux mains des gangs nigérians (Vidéos)
Italie. Pioltello: Seul 1 habitant sur 5 est italien. « Ici il n’y a pas de problème de natalité. L’Italie de demain a déjà un visage. » (Vidéo)
Une Italienne de 56 ans survit dans sa voiture depuis octobre: « Les services sociaux n’ont rien fait. » (Vidéo)
Italie. Cassino: un demandeur d’asile agresse un travailleur social parce qu’il n’y a pas de wifi.
« Les Italiens ont besoin d’être accompagnés dans le changement de composition de leur population » déclare Cécile Kyenge, ancienne ministre de l’Intégration
L’UDC caracole en tête des intentions de vote
On prend les mêmes et on recommence. Selon notre sondage électoral, l’UDC reste le premier parti du pays. Avec 30,8% d’intentions de vote, il affiche même une hausse de 1,4 point par rapport aux dernières élections fédérales.
Les Nyonnais disent non à l’octroi d’une parcelle à l’EVAM pour un foyer pour migrants
VOTATION - Les Nyonnais refusent l’octroi d’un droit de superficie au profit de l’Etablissement vaudois d’accueil des migrants (EVAM). Un foyer pouvant héberger 180 migrants au maximum était prévu sur cette parcelle située dans le quartier de Perdtemps-Usteri, à Nyon.
Suite
Alain Berset veut favoriser le vote des Suisses de l’étranger. “Ils sont davantage ouverts et moins préoccupés par la crise des réfugiés.”
Christian Hofer: En clair, un socialiste milite pour faciliter le vote de personnes de gauche qui ne subiront jamais les conséquences de leurs décisions.
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Les Suisses de l'étranger sont une richesse pour la Suisse et pour le monde, a souligné samedi à Bâle Alain Berset. Intervenant au Congrès des Suisses de l'étranger, il a insisté sur l'importance de développer le vote électronique pour les expatriés.
(...)
Les Suisses de l'étranger sont notamment réputés plus ouverts. Une étude du Centre de recherche sotomo réalisée en 2016 avait mis en évidence certaines différences en matière politique: les Suisses de l'étranger apparaissaient moins préoccupés par la crise des réfugiés mais plus soucieux des relations de la Suisse avec l'Europe.
Suisse: Vers 58% de oui à la loi sur l’énergie
Le courant vert et les économies d'énergie devraient remplacer le nucléaire à moyen terme. La stratégie énergétique serait adoptée dimanche par le peuple, selon l'institut gfs.bern.
La révision de la loi sur l'énergie (LEne), unique objet fédéral soumis à votation ce 21 mai, vise à réduire la consommation d'énergie, améliorer l'efficacité énergétique et promouvoir les énergies renouvelables. Le texte prévoit également d'interdire la construction de nouvelles centrales nucléaires dans notre pays.
France: Ce maire qui identifie et intimide ses administrés votant FN
Scandale. Dans une lettre ouverte publiée sur Facebook, le maire de Saint-Priest-Bramefant explique aux 155 habitants de la ville qui ont voté FN pourquoi ils ont eu tort. Il les identifie, et menace ceux qui sont passés entre les gouttes de subir le même sort…
Dans une démocratie, le vote des citoyens est censé être secret. Le ministère de l’Intérieur le rappelle à juste titre, avant les élections : “Le passage par l'isoloir est obligatoire dans tous les cas afin de garantir le caractère secret et personnel du vote”. Mais certains élus estiment qu’ils peuvent sans conséquence révéler au grand jour le vote de leurs administrés.
Aux “155 St-priestois qui ont aidé à peindre la tache au nord du département en brun foncé”
C’est le cas du maire de Saint-Priest-Bramefant, une commune du Puy-de-Dôme, qui a écrit une lettre ouverte sur Facebook adressée aux “155 St-priestois qui ont déposé dimanche dernier leur bulletin dans l’urne et ainsi aidé à peindre la tache au nord du département en brun foncé”. Sans même évoquer l’aspect injurieux de cette référence historique, qui vaut à d’autres des poursuites judiciaires, la démarche du maire est choquante car elle avait pour objectif, dans l’entre-deux tours de l'élection présidentielle, de dissuader ceux qui seraient tentés par le vote Marine Le Pen face à Emmanuel Macron.
Turquie: C’est ainsi que les fans d’Erdogan tabassent leurs opposants (Vidéo)
Gülsah n'oubliera jamais le 16 avril - un jour qui a non seulement changé la Turquie, mais aussi de manière décisive sa jeune vie.
L'étudiante de 21 ans était une observatrice officielle des élections à Istanbul.
Lors du référendum constitutionnel controversé du président Recep Tayyip Erdogan, elle a montré un vote "Oui" avec le numéro 2073 noté comme étant non valable.
Peu de temps après, le bureau de vote a été pris d'assaut par les partisans de l'AKP d'Erdogan.
A 19 heures, 50 adhérents de l'AKP ont soudain attaqué la salle et ont menacé les opposants et les dissidents de les tuer en les brûlant. La jeune femme a été blessée gravement par les attaquants.
Devant le bureau de vote, 150 adhérents de l'AKP se rassemblaient également et scandaient en choeur "Erdogan". Ils menaçaient de faire un massacre.
Une bagarre sauvage s'en est suivie. Gülsah a subi des blessures au niveau du visage et à la tête et a dû se faire recoudre.
Elle a également été blessée au niveau de la colonne cervicale. La femme de 21 ans souffre d'une douleur énorme et aura probablement des lésions permanentes juste parce qu'elle a accompli son travail le jour du scrutin.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Les Turcs de Belgique, d’Autriche, des Pays-Bas et de France ont massivement dit «oui» à Erdogan
Les Turcs de Belgique ont massivement voté «oui» au référendum constitutionnel turc de ce dimanche. Les résultats sont même particulièrement nets.
Liban mis à part, c’est en Belgique que le taux de «oui» au référendum turc a été le plus élevé. C’est ce qui ressort de chiffres de l’agence de presse turque Anadolu, alors que 99,45% des voix avaient été comptées. Alors que le camp du «oui» semble l’emporter à 51,2% en Turquie même, il obtient en Belgique 77,1%. Seul le Liban, avec 93,9% de «oui», enregistre un score plus élevé.
En Belgique, quelque 44 500 bulletins avaient été dépouillés vers 22 h 00. Plus de trois quarts des voix se sont exprimées pour les modifications constitutionnelles que le président turc Recep Tayyip Erdogan veut mener.
Le «oui» a enregistré des scores élevés dans d’autres pays d’Europe: en Autriche (73,2%) et aux Pays-Bas (70,3%), puis en France (65,2%), en Allemagne (63%) et au Danemark (60,6%).
(...)
Dans les rues, difficile de rater les supporters du « oui », qui se rangent derrière la campagne du président Erdogan.
Pourquoi la Suisse tombe-t-elle à genoux devant l’UE?
Je désire revenir à l’article «Ne sacrifions pas l’Etat de droit suisse et la démocratie à la folie de l’intégration à l’UE»(*) de Marianne Wüthrich paru dans Zeit Fragen du 9 janvier.
Une telle trahison de la volonté du peuple et des fondements de la démocratie directe, comme la dite «préférence des travailleurs en Suisse, version allégée», n’a sans doute encore jamais eu lieu en Suisse. C’est une violation flagrante de la Constitution.
Alors que non seulement l’Angleterre mais aussi de plus en plus d’Etats membres de l’UE, tels la Finlande, le Danemark, la Suède, l’Autriche, la Pologne, la Hongrie et d’autres encore, ont repris leur politique d’immigration en leurs propres mains, la Suisse tombe à genoux devant Bruxelles. La question doit donc être posée: pourquoi cette soumission? S’agit-il simplement de la faiblesse des parlementaires et de nos membres du gouvernement ou y a-t-il des intérêts cachés derrière un tel comportement? Et si cela est la bonne explication, quels sont ces intérêts?
Source: http://www.zeit-fragen.ch/fr/editions/2017/no-2-23-janvier-2017/pourquoi-la-suisse-tombe-t-elle-a-genoux.html
*Ne sacrifions pas l’Etat de droit suisse et la démocratie à la folie de l’intégration à l’UE
La majorité du Parlement à Berne a fabriqué une «préférence indigène light», au lieu de réaliser le mandat constitutionnel d’une régulation souveraine de l’immigration (Constitution fédérale art. 121a). Il en a résulté une loi si édulcorée que la Commission européenne n’en prend pas seulement connaissance avec bienveillance, mais de surcroît elle se permet de préciser dans une déclaration de presse qu’elle «a non seulement accompagné mais aussi un peu dirigé» le processus législatif (cf. encadré).
Et du point de vue suisse: il n’est pas tout à fait clair quels intérêts les conseillers fédéraux et leur entourage ont défendus lors de leurs visites fréquentes à Bruxelles depuis la votation populaire du 9 février 2014. En tout cas, après deux ans et demi de navettes entre Berne et Bruxelles, le Conseil fédéral a communiqué au Parlement suisse les exigences de la Commission européenne: étant donné que Bruxelles ne veut pas renégocier la libre circulation des personnes, le Parlement doit mettre en œuvre l’article 121a Cst. pour la gestion de l’immigration de manière à ce que la libre circulation ne soit pas remise en question.
Par Marianne Wüthrich, docteur en droit
Le communiqué de presse de la Commission européenne du 22 décembre 2016 est clair comme de l’eau de roche. A Bruxelles, il n’y a pas eu d’échanges d’égal à égal; les Suisses ont été «dirigés», pour ne pas dire qu’on leur a «dicté» ce qu’ils avaient à faire: «Les autorités suisses et les institutions européennes n’ont pas ménagé leurs efforts afin d’aboutir à une solution concertée qui soit en mesure de garantir la pleine intégrité de l’un de nos principes fondateurs: la libre circulation des personnes. La Commission suivra étroitement la mise en œuvre de cette solution.» M. Junker communique même, comment et où le Conseil fédéral doit rédiger les dispositions d’exécution de la modification législative: «[…] la Commission exprime le souhait que le travail de transposition et de clarification se fasse dans un esprit d’étroite coopération, notamment dans le cadre du comité conjoint de l’accord de libre circulation des personnes.»1 Commentaire superflu!
Peu de volonté de résistance au Parlement contre la violation de la Constitution
Selon la conception suisse de l’Etat – ou bien selon le principe de la séparation des pouvoirs, faisant partie de l’essence de la démocratie – le Conseil fédéral n’est pas compétent pour les processus législatifs et n’est de ce fait pas autorisé à se laisser «diriger» par la Commission européenne dans une procédure législative nationale. (Outre le fait que les conseillers fédéraux n’ont pas prêté serment sur le droit européen mais sur la Constitution fédérale suisse.)
Les actes législatifs sont l’affaire du Conseil national et du Conseil des Etats ainsi que du peuple (et des cantons). De la part du Parlement (hormis de l’UDC), il n’y a guère eu de résistance contre le démantèlement de la démocratie et de l’Etat de droit: en automne 2016, quelques conseillers nationaux ont tenté en vain de sauver une partie de la gestion souveraine de l’immigration, ainsi Hans-Peter Portmann (PLR ZH) et le président du PDC Gerhard Pfister (Zoug). Le 16 décembre 2016, le Conseil national et le Conseil des Etats ont majoritairement approuvé un amendement de la Loi sur les étrangers ne correspondant pas du tout au mandat constitutionnel défini par le peuple – fait que de nombreux parlementaires admettent ouvertement.
Cela est un signal d’alarme! Cette violation consciente de la Constitution est-elle déjà un rapprochement à la pratique de l’UE de ne respecter ses propres accords à caractère constitutionnel (comme par exemple la limite supérieure de la dette des pays membres) qu’au cas par cas et d’abandonner ainsi le fondement suprême de l’Etat de droit?
Séparation démocratique des pouvoirs face au pouvoir des exécutifs
L’UE est une structure autoritaire et centraliste, ne connaissant pas la séparation des pouvoirs et reposant sur le pouvoir des exécutifs. La bureaucratie de l’UE ne se soucie pas des décisions des Parlements nationaux ou même des votations populaires dans les Etats membres. Le Conseil européen est composé des chefs d’Etats ou de gouvernements de ses membres et prend les décisions politiques. La Commission européenne, dont les membres ne sont pas élus mais désignés par les gouvernements respectifs, est l’exécutif de l’UE dictant aux Etats de l’UE ce qu’ils ont à faire. Ainsi la Commission s’imagine-t-elle avoir le même droit envers la Suisse. Si les pays individuels n’obtempèrent pas, la Commission porte plainte au près de la Cour de justice de Luxembourg, laquelle «veille à ce que les pays et institutions de l’UE respectent le droit de l’UE». Le Parlement européen n’est pas un pouvoir législatif indépendant: Il n’a qu’un droit de participation à côté du Conseil européen et n’a pas le droit d’initiative législative – que seule possède la Commission européenne. (cf. http://ec.europa.eu/)
Suite à ce système de l’UE, la Commission européenne rencontre avant tout les chefs d’Etats ou de gouvernements des Etats membres ou d’Etats tiers. Mais en Suisse, il n’y a pas de chef d’Etat. L’exécutif se compose de sept conseillers fédéraux égaux; le président de la Confédération, au changement annuel, a, mis à part la conduite de son propre département, des obligations strictement représentatives. Etant donné que le président de la Commission M. Juncker veut absolument un «chef d’Etat», il rencontre les divers présidents de la Confédération en fonction (2015 Simonetta Sommaruga, 2016 Johann Schneider-Ammann, 2017 Doris Leuthard.)
Mme Sommaruga et M. Schneider-Ammann n’auraient pas dû manquer d’expliquer clairement à M. Juncker que la loi sur la gestion de l’immigration n’est pas décidée par le Conseil fédéral mais par le Parlement et que les spécifications fixées par le souverain se trouvent dans l’article 121a de la Constitution fédérale. Le Parlement aurait pu – comme cela fut discuté à un certain moment – en tant que Loi d’exécution introduire par exemple une «clause de sauvegarde unilatérale», c’est-à-dire l’introduction temporaire de contingents en cas de dépassement d’un certain seuil de tolérance, ainsi qu’une réelle priorité aux travailleurs du pays. De même il aurait pu favoriser le modèle «Bottom up», basé sur le fédéralisme, que l’ancien secrétaire d’Etat Michael Ambühl a développé sur demande du canton du Tessin et de la CdC (Conférence des gouvernements cantonaux) et qui s’orienterait à la situation concrète au sein des branches professionnelles et des régions.
On pourrait sur telle ou telle base envisager par la suite un accord avec l’UE. Cependant, c’est un fait que la majorité des Chambres parlementaires n’était pas prête à mettre en œuvre l’obligation constitutionnelle, bien que même le président du Parlement européen Martin Schulz avait conseillé cet été lors d’un entretien avec quelques conseillers aux Etats une «solution intermédiaire»: «Comment résoudre ce problème? C’est pour nous du domaine de l’art! Si l’on peut arriver, finalement, avec une solution intermédiaire, à rendre compatible la Constitution et les accords de l’UE, il vaut la peine d’investir beaucoup de matière grise. C’est pourquoi nous devons y réfléchir.» (SRF du 29/6/16) Le fait de devoir se laisser donner une leçon par un démocrate, n’étant certainement pas le meilleur des exemples, et de ne toujours pas faire preuve du moindre courage – c’est assez gênant, n’est-ce pas?
Guère d’intérêt de l’UE envers l’application de la clause «guillotine»
La raison pour laquelle des nombreux politiciens suisses ont le regard fixé en direction de Bruxelles n’est pas explicable rationnellement. S’il s’agissait vraiment de se mettre d’accord avec l’UE sur la base de la votation du peuple suisse, le Parlement aurait pu mettre en œuvre son obligation constitutionnelle et se reposer. Suite aux expériences faites, nous savons que d’éventuelles mesures punitives de la part de Bruxelles sont généralement illégales, mais la plupart du temps moins coûteuses pour la Suisse.2
Il est en tout cas clair que l’UE n’a aucun intérêt à utiliser la clause «guillotine», à savoir la résiliation simultanée des sept accords des Bilatérales I. Car, la Suisse est un important partenaire commercial de l’UE – et surtout solvable! C’est ce que la Commission européenne écrit dans un fiche d’information: «La Suisse est un voisin très proche de l’UE, que ce soit sur le plan géographique, politique, économique ou culturel. Elle est le troisième partenaire économique de l’UE (en considérant conjointement les biens et les services), derrière les Etats-Unis et la Chine et devant la Russie et le Japon. Pour sa part, l’UE est de loin le premier partenaire commercial de la Suisse et représentait 65% de ses importations et 44% de ses exportations de biens en 2015. Elle détient également une part dominante des services commerciaux et des investissements directs étrangers.»3
Du point de vue économique, les Bilatérales I ne sont pas de très grande importance ni pour la Suisse ni pour l’UE, car l’important accord de libre-échange de 1972 entre les pays de l’AELE et de la C.E. avec de nombreux ajouts ultérieurs est toujours en vigueur. En outre, dans le cadre de l’OMC, les tarifs douaniers et les barrières commerciales pour le transport des biens et des prestations des services (sauf l’agriculture) ont été presque entièrement abandonnés.
L’UE n’a par exemple guère intérêt à annuler l’Accord sur les transports terrestres faisant partie des Bilatérales I (transit de plus d’un million de camions par an – au lieu d’un maximum de 650 000 déclaré avant le vote! – sur les routes suisses à travers les Alpes). L’UE n’a certainement pas non plus d’intérêt à résilier l’Accord sur la libre circulation des personnes. Car, le nouvel article constitutionnel suisse de 2014 n’exige nullement un arrêt de toute immigration ou même l’expulsion de citoyens de l’UE résidant dans notre pays. Selon la fiche d’information de la Commission européenne «plus d’un million de ressortissants de l’UE vivent déjà en Suisse [en plus d’un autre million d’étrangers provenant des pays tiers; d’un total d’environ 8,4 million d’habitants] et 300 000 autres font quotidiennement la navette pour travailler dans le pays voisin.» Ils continueront à vivre et à travailler ici et pourront faire venir leurs familles. Le législateur constitutionnel demande uniquement une réduction de l’immigration excessive (environ 80 000 personnes d’immigration nette par an, dix fois plus que prédit!).
Dans l’ensemble, il faudrait une fois examiner plus en détail la question de l’importance des Bilatérales I et II pour la Suisse. On ne peut toutefois pas nier la présomption qu’il s’agit en premier lieu de l’intégration de la Suisse sous le contrôle des institutions de l’UE et, en même temps de s’assurer des contributions financières pour les diverses bourses de Bruxelles. Quoi qu’il en soit, le 22 décembre 2016, la Commission européenne – après avoir émis ses éloges pour la loi d’application suisse élaborée sous sa direction – va tout droit au but: l’étape suivante est que le Conseil fédéral doit adopter son message pour un accord-cadre institutionnel, «pour apporter une sécurité juridique dans les relations bilatérales entre l’Union européenne et la Suisse» (c’est-à-dire la soumission de la Suisse à la Cour de justice de la CJUE) et «décider de la poursuite de la participation de la Suisse au programme de cohésion européen» (donc, compléter le montant de 1,3 milliards de francs suisses déjà versé pour des projets de l’EU en Europe de l’Est, par quelques autres milliards).4
Contre-projet à l’initiative populaire RASA: le Conseil fédéral passe à nouveau outre la volonté du peuple
Sachant que la loi d’application concernant l’article sur l’immigration que le Parlement a adopté le 16 décembre 2016 ne remplit pas l’obligation constitutionnelle, le Conseil fédéral envisage déjà la prochaine étape pour passer outre la volonté du peuple. Il prévoit d’adapter la Constitution à la loi insuffisante, afin d’effacer l’inconstitutionnalité de cette loi. Vous pigez?
L’initiative populaire «Sortons de l’impasse!» (RASA) a été lancée en réaction à l’acceptation de l’initiative «contre l’immigration de masse» et demande la suppression du nouvel article 121a et de l’article transitoire 197 ch. 11. La grande majorité des citoyens ne goûtera guère un tel «entêtement tenace», mais s’ils veulent le tenter qu’ils le fassent.
De loin plus difficile à digérer est le projet du Conseil fédéral de ne pas recommander tout simplement le rejet de l’initiative RASA, mais de lui opposer un contre-projet. Deux options sont actuellement en préparation par le DFJP (Département fédéral de Justice et police) pour une mise en consultation. Elles devraient par la suite être examinées par le Parlement et finalement soumis au peuple avec l’initiative RASA. Le Conseil fédéral désire ainsi «lancer un large débat.»5 Du point de vue de la démocratie directe c’est une démarche déconcertante: le large débat a déjà eu lieu avant le vote du 9 février 2014, y compris l’habituelle propagande étatique massive contre l’initiative, financée par les contribuables. Pourtant, elle a bien été acceptée tant par le peuple que par les cantons.
Jusqu’à présent, on ne connaît que les «points de repères» des deux options pour un contre-projet: l’une demande qu’on tienne compte dans la gestion de l’immigration des «accords internationaux qui sont d’une grande portée pour la position de la Suisse en Europe». En clair: les Accords bilatéraux entre la Suisse et l’UE obtiendraient une valeur constitutionnelle, le droit d’initiative serait limité et la gestion de l’immigration rendue impossible – c’est l’opposé de la volonté populaire.
La deuxième option veut éliminer le délai de trois ans de la Constitution pendant lequel la gestion de l’immigration doit être mis en œuvre par le Parlement ou par une ordonnance du Conseil fédéral. Autrement dit, le Conseil fédéral et le Parlement ne seraient soumis à plus aucun délai et pourraient prendre leur temps jusqu’aux calendes grecques. Une réelle alternative serait une prorogation de délai de trois ou cinq ans.
Une petite consolation pour le modèle suisse dans ces périodes agitées: aucun de ces projets ne sera accepté par le peuple et les cantons. Compte tenu de l’atteinte massive aux fondements démocratiques politiques de notre pays par les autorités fédérales, c’est tout de même une consolation, mais une consolation bien maigre. •
Par Marianne Wüthrich | 9 janvier 2017 | Zeit-fragen.ch
1] La Commission européenne salue le progrès dans les relations entre l’Union européenne et la Suisse. Communiqué de presse. Bruxelles, 22/12/16
2] cf. «Espace de recherche et de formation suisse et bureaucratie européenne». Horizons et débats no 27 du 28/11/16
3] Commission européenne – Fiche d’information. Relation UE-Suisse. Bruxelles, 25/9/16
4] La Commission européenne salue le progrès dans les relations entre l’Union européenne et la Suisse. Communiqué de presse. Bruxelles, 22/12/16
5] Le Conseil fédéral fixe les grandes lignes du contre-projet à l’initiative RASA «Sortons de l’impasse». Berne, 21/12/16
Porte-parole de la Commission européenne (extraits):
Permettez-moi d’expliquer brièvement «[…] le rôle de la Commission dans ce contexte.
Le président Juncker a rencontré 5 fois le président de la Confédération suisse M. Schneider-Ammann, et 3 fois son prédécesseur, Mme Sommaruga et, si je ne me trompe, il s’est entretenu au téléphone 8 fois avec M. Schneider-Ammann pour préparer les discussions sur la loi.
Je crois qu’on peut dire que la Commission n’a jusqu’ici pas seulement accompagné le processus mais l’a aussi un peu dirigé, pour que cela aille dans la bonne direction […]
On pourrait presque dire qu’en fait le président Junker n’a investi avec aucun autre leader d’un pays tiers autant de temps qu’avec la Suisse.»
Commission européenne, déclaration de presse en direct, (LIVE EC Midday press briefing of 20/12/2016) http://ec.europa.eu/avservices/video/player.cfm?ref=I131398
Naturalisation facilitée: Pour Le Matin, les gens ont “peur” de la langue arabe
Christian Hofer: On parlait de cet argumentaire ici.
Vous noterez le parti pris de ce journal qui se positionne de facto en faveur du parti socialiste en prétendant que *les Suisses ont peur*, allégation qui vise à biaiser le débat et à prétendre en filigrane qu'il y a du racisme. Une accusation qui met de facto le parti socialiste dans une position confortable d'attaque.
Or avant d'être naturalisé, le débat relève de l'intégration. Il n'y a pas d'intégration lorsque le parti socialiste s'adresse aux individus en arabe ou en turc. Le Matin fait semblant de ne pas le comprendre.
Mais cela signifie surtout que la parti socialiste a très bien cerné quel type d'immigration subit la Suisse et en faveur de qui s'adresse réellement cette naturalisation facilitée: aux musulmans issus des pays arabes dont la culture rétrograde et patriarcale ne pose aucun problème aux féministes socialistes.
Via le Facebook de Monsieur Jérôme Desmeules
Le OUI à la naturalisation facilitée rassemble tous les partis, sauf l’UDC
NATURALISATION FACILITÉE - A l’exception de l’UDC, tous les partis valaisans recommandent de voter OUI à la naturalisation facilitée pour les étrangers de la troisième génération. Il s’agit uniquement d’une simplification de la procédure. L’acquisition automatique de la nationalité restera exclue.
Pas moins de quatre conseillers nationaux étaient présents, ce mardi 17 janvier, dans les locaux de l’Union Syndicale Valaisanne à Sion afin de faire part de leur position commune en vue des votations sur la naturalisation facilitée. Au-delà des étiquettes de partis, le socialiste Mathias Reynard, les démocrates-chrétiens Viola Amherd et Géraldine Marchand-Balet ainsi que le libéral radical Philippe Nantermod sont rassemblés derrière l’idée que la naturalisation facilitée pour les petits-enfants d’immigrés s’impose. Concrètement, 25'000 personnes sont concernées par cette naturalisation facilitée. 60% d’entre eux sont italiens.
Le 26 septembre 2004, les votations sur la naturalisation automatique des ressortissants de la 3e génération s’étaient soldés par un échec avec 51,6% de NON, ainsi que 14 cantons et 5 demi-cantons. Les votations du 12 février prochain prendront une importance toute particulière en Valais, considéré comme un « swing state ».
Etienne Grisel, constitutionnaliste: “La non application du vote contre l’immigration de masse est une violation inouïe de la Constitution”
Si le Conseil des Etats se rallie au Conseil national cette semaine sur la question de la mise en œuvre de l’initiative votée le 9 février 2014, le scrutin populaire sera privé d’effet, en violation inouïe de la Constitution, estime le constitutionnaliste Etienne Grisel.
Les appels répétés au respect de la volonté populaire sont entendus par une élue comme des «arguties constitutionnelles». Or il n’est pas question de forme, mais du fonctionnement des institutions et surtout du droit d’initiative, qui est notre liberté essentielle.
(...)
Les autorités trompent le peuple
Dès le dépôt de l’initiative «Contre l’immigration de masse», chacun savait qu’elle était incompatible avec l’ALC et qu’elle remettait en cause les relations avec l’UE. Mais ni le Conseil fédéral, ni les Chambres n’ont mis en doute la validité de la demande populaire. Le parlement n’a été saisi d’aucune proposition en vue de l’annuler. Quand les autorités valident une initiative et prétendent ensuite qu’elle est inapplicable, elles trompent le peuple.
(...)
La nature obligatoire d’une votation va tellement de soi qu’elle n’est même pas inscrite dans la Constitution. Mais son efficacité dépend de la bonne foi du législateur. Si celui-ci peut en fait se soustraire à son devoir, faute de juge pour l’y contraindre, la souveraineté populaire est confisquée, la démocratie n’est plus semi-directe et le système devient représentatif.
Lorsqu’un pouvoir abuse de sa position de force pour imposer ses vues, au mépris des institutions, cela s’appelle un coup d’Etat.
Source et article complet
Quand Christophe Barbier explique comment frauder à la Primaire de la Droite … (BFM TV)
Quand Christophe Barbier explique sur BFM TV comment frauder à la Primaire de la Droite…
- 20/11/2016, 13h42 via Fdesouche.com
Christophe Barbier est un journaliste français. Il est le directeur de rédaction de l'hebdomadaire L'Express entre et .
https://youtu.be/REt5xR_QV-Y
Manipulation des élections: les gens votent Trump et la machine électronique choisit Hillary! (MaJ: La vidéo sous-titrée en français)
A noter qu'il y a déjà des suspicions sur ces machines provenant d'une entreprise liée à Soros.
"Les informations selon lesquelles 16 États américains utiliseront des machines de vote fournies par une entreprise liée au milliardaire George Soros ont provoqué l’indignation de milliers d’Américains."
https://youtu.be/8kYSRIk77eI
https://youtu.be/Dq_KQBeV0ZM
"A chaque fois que j'ai voulu sélectionner le candidat du Parti républicain, cela venait sur la candidate Démocrate," a déclaré l'électeur David Dran à la CBS.
D'autres électeurs disent que lorsqu'ils ont tenté de voter spécifiquement pour Trump, le vote a changé en faveur de Clinton devant leurs yeux.
«Je suis retourné, j'ai appuyé à nouveau en faveur de Trump. Je l'ai fait trois fois, alors j'ai appelé l'une des femmes qui travaillaient au bureau de vote. Et elle a déclaré "vous avez dû procéder de manière incorrecte". Elle a essayé trois fois et cela est revenu sur Hillary à chaque fois » a déclaré l'électrice Bobbie Lee Hawranko.
Selon la CBS, les machines ont depuis été recalibrées, et ils sont convaincus que les problèmes ont été résolus.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Il y a désormais aussi des soupçons d'usurpation d'identité et des actes d'intimidations à l'encontre des électeurs favorables à Trump comme le montre cet article en anglais:
Avenir suisse veut donner le droit de vote aux enfants pour lutter contre la “gérontocratie”
Avec cette proposition du laboratoire d'idées de l'économie suisse, ce sont les parents qui auraient un droit de vote supplémentaire.
Dans le viseur d'Avenir Suisse: les électeurs de plus de 60 ans qui pourraient être majoritaires à partir de 2035 et pourraient ainsi imposer leurs vues à la population active, rapporte le média alémanique.
Choc des civilisations
La révision de la Loi sur l’Asile qui nous sera soumise le 5 juin prochain va bien au-delà d’une modification législative. C’est un choc des civilisations qui nous est proposé.
Simonetta Sommaruga veut ouvrir la porte en grand à ces hordes de jeunes gens nourris aux mamelles d’une religion qui voit dans la femme un être de seconde zone qu’on agresse dès lors qu’elle ne se dissimule pas dans ces prisons mobiles qu’ils appellent burqas. Nous sommes encore bien loin d’une réelle égalité homme-femme et pourtant c’est une Ministre socialiste qui déroule le tapis rouge à ces gens qui ont montré leur vrai visage à Cologne et ailleurs. Grâce à Simonetta Sommaruga, ils auront encore plus de force eu égard à leur nombre en constante augmentation.
Il y a quelques semaines, le chiffre de 120’000 demandes était qualifié de farfelu à Berne où l’on s’y prépare aujourd’hui, signe qu’il sera largement dépassé. Le 5 juin, nous serions bien inspirés de glisser dans l’urne un non ferme et décidé, histoire de ne pas aggraver encore une situation qui est depuis longtemps déjà hors de contrôle.
Céline Amaudruz / UDC Suisse