Initiatives populaires: Avenir Suisse veut affaiblir notre démocratie

Avenir Suisse propose d'abord d'instaurer un examen de la validité des initiatives par la Chancellerie fédérale avant la récolte de signatures. Il s'agirait ensuite d'augmenter le nombre de signatures à 4% du corps électoral, soit 210'000 signatures contre 100'000 actuellement.

Lukas Ruehli, Gerhard Schwarz et Tibère Adler, soit la tête d'Avenir Suisse, devant la presse à Zurich ce 7 avril.

Lukas Ruehli, Gerhard Schwarz et Tibère Adler, soit la tête d'Avenir Suisse, devant la presse à Zurich ce 7 avril.

Il faudrait aussi introduire un référendum obligatoire sur la législation de mise en oeuvre des initiatives. Elle permettrait d'éviter les manoeuvres tactiques lors de la concrétisation d'une initiative, estime Avenir Suisse.

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18 commentaires

  1. Posté par Christian Hofer le

    Commentaire sur Le Matin, je crois qu’il résume tout: « Avenir Suisse: c’est ironique ou sarcastique? Détruire la démocratie directe, le dernier pas avant l’entrée dans l’UE. »

  2. Posté par François le

    @coocool
    100% d’accord, le groupuscule autoproclamé « Avenir Suisse » attaque nos droits démocratiques, son rôle est insidieux, malsain, merci de travailler à les démasquer et les neutraliser si possible !

  3. Posté par François le

    Oskar Freysinger : un citoyen et un politicien suisse exceptionnel aux très grandes qualités absolument indispensable à la Suisse, il faudrait pouvoir en cloner au moins par canton !

  4. Posté par Eddie Mabillard le

    @ groudonvert : Soyez au moins aussi Suisse qu’Oskar. Son père est Autrichien c’est tout à fait correct, mais il s’est intégré chez nous de façon admirable et il remercie notre PAYS pour l’accueil qu’il a reçu; il a épousé une bonne et vraie Suissesse une Geiger de Sion la sœur d’un certain Hermann Geiger qui a fait la fierté de notre merveilleux canton du Valais, et Davel vous a déjà répondu qu’Oskar a été élu par les citoyens valaisans. Je suis d’ailleurs un des 56913. Alors groudonvert laissez mon Oskar tranquille, lui je vous signale au passage n’a aucun conseil d’administration donc aucune pression ne peut l’atteindre ainsi que les inepties de votre genre.

  5. Posté par Pierre H. le

    @Martin, je fais de votre commentaire mon évangile. Et comme vous, je ne comprends pas le Suisse bisounours. Est-ce parce que le Suisse, c’est 4 cultures qui cohabitent sans toutefois faire une vraie unité ? Je n’en sais rien et je ne me l’explique pas. Vivait-on trop bien et les gens s’ennuyaient ? Je n’en sais toujours foutre rien. Une chose pourtant est sûre. Quand ça deviendra la loi de la jungle, les gens regretteront le temps où ils s’ennuyaient.

  6. Posté par Ueli Davel le

    Groudonvert, non vous avez raison, c’est un fait. Qui parle là de Freysinger? Un petit rappel Freysinger lui a été élu par les citoyens! Etes vous contre la démocratie?

  7. Posté par Martin le

    Alors pour les museler, allons tres vite. Berne va discuter de leur proposition demain selon le jt de 19 h 30. A Geneve, il y a pres de 50% d etrangers, plus quelques 60 000 frontaliers qui debarquent chaque jour. Pourquoi ? Car la Suisse veut garder une situation economique que les autres pays envient …..A quel prix ? Les suisses et residents, une fois payé leur loyer, leurs charges ne peuvent rien s offrir. La classe moyenne n existe plus, a part l UDC, tout le monde s en fiche, la Suisse doit garder son statut s tout prix ! Il faut agir tres vite et par petits bouts : réduction massive des loyers, un pourcentage etabli d etrangers par 10 000 habitants, abolit la libre circulation qui ne fait que mettre les suisses et residents en grande difficulté financiere, que nous devrons soutenir tot ou tard, preserver un avenir a nos enfants chez eux, tout le monde ne veut pas partir, avec un salaire non tronqué a cause des frontaliers afin de payer un loyer normal et non 4000.-/ pour un 4 pieces réservés aux expats.
    Il faut agir vraiment tres vite, les jobs se donnent par téléphone et ne passent plus par annonce, les regies louent aux grosses boites car garantie assurée, en 2000, catetpillar avaient plus de 40 logements en location a l année. Quant a nos droits democratiques, bien sur qu ils vont sauter si on ne fait rien. Ce que je ne comprends pas : pourquoi tant de suisses se laissent embobiner ? Si une ville en France avait 50% d etrangers, jamais les francais n accepteraient au vu des problemes de logement. Si en Espagne, 60 000 personnes debarquaient pour prendre leurs boulots, les espagnols les refouleraient a la douane. Ici Utopie, tout le monde y croit : naiveté, ouverture sur l etranger ? Occupons nous d abord de nos vieux, de nos enfants, de nos logements, de nos boulots garantis et, apres, n etant ni xenophobe, ni raciste, on accueillera les autres. Quant aux bilaterales, pourquoi pour les personnes et pas les marchandises, ceci est contraire aux bilaterales par definition.

  8. Posté par groudonvert le

    Ueli Davel : c’est pas un argument ça. Oskar Freysinger est à moitié autrichien lui aussi.

  9. Posté par Le pragmatique le

    La raison sociale Avenir Suisse est pour le moins trompeuse, j’aurais préféré « une autre suisse » plzs proche de la réalité. Enfumage quand tu nous tiens.

  10. Posté par Ueli Davel le

    Ces technocrates de la Demokratie font peur. Ils se prennent au sérieux et le mieux ils nous donnent des leçons sans que l’on leur demande quoi que soit! Ils pensent pour nous pauvre crétins. Je suis sûr que Bruxelles nous les envient.

  11. Posté par Ueli Davel le

    Il faut noter que le chef d’avenir Suisse est autrichien et de par la Européen, pour l’autre moitié Suisse depuis quelques années. Comment avec un tel profil vouloir sérieusement définir notre avenir! Bon c’est vrai que l’origine des Habsburgs est Suisse, mais c’est bien lointain.

  12. Posté par Ueli Davel le

    Adler n’est pas un inconnu, il a été au conseil d’administration de tamedia, le groupe de milliardaire zurichois Coninx et premier printmedia Suisse. Tamedia et Ringier luttent depuis des années contre l’UDC et Blocher. Il veullent gouverner à gauche en deinformant les lecteurs. La maffia des medias est bien réelle, les deux groupe zurichois veullent nous diriger vers le socialisme et l’UE. La seule resistance sérieuse vient de l’UDC! Le PLR et le PDC sont insignifiants. La NZZ traditionellement journal des radicaux est sous perfusion est à bout de souffle. Les deux groupes milliardaires socialistes veullent nous mettre sous tutel, nous enfumer afin de nous faire entrer dans l’UE.

  13. Posté par conrad hausmann le

    Ils veulent moins de démocratie pour nous imposer l’européisation puis par l’immigration de masse la mondialisation.Cela resemble « presque « à un complot.

  14. Posté par Gabriel Kolly le

    J’ai aussi entendu l’émission sur la radio romande Forum à 1805 h. Les arguments de Avenir Suisse sont totalement inconsistants. J’ai peine à croire qu’une organisation nationale soit à ce point faible.
    On a réellement quelques foutriquets qui veulent se mêler à dire maux gens ce qu’ils doivent penser !
    Les propos d’Avenir Suisse sont confus, diffus, touffus et abstrus !!!

  15. Posté par G. Vuilliomenet le

    Il ne restera que les partis, voir les gros partis friqués qui pourront déposer des initiatives. Il paraît que le contrôle d’une signature coûte 5.- CHF et est à la charge de l’initiant.

    Ce ne sont que des sinistres crapules!

  16. Posté par coocool le

    Le groupuscule autoproclamé « Avenir Suisse », qui veut toucher à nos droits démocratiques, ou la soi-disant « société suisse d’utilité publique » qui veut nous enlever notre Cantique, sont des petites associations qui ne représentent qu’elles-mêmes, sans aucune légitimité… Ne les laissons pas faire, et lançons un référendum pour bloquer leurs tristes initiatives, s’il le faut.

  17. Posté par groudonvert le

    En plus, ils veulent qu’il y ait une initiative par votation. Si on rajoute le référendum obligatoire, ça va être un bordel monstre.

  18. Posté par Pierre H. le

    Ces gens se servent de la démocratie pour détruire la démocratie. Montrons que nous comprenons bien leur démarche en utilisant leurs propres préceptes. Muselons-les !

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