Le Sri Lanka interdit burqa et niqab, les musulmans dénoncent une discrimination | AFP (1:06)

AFP: Des musulmans du Sri Lanka dénoncent l'interdiction du port de la burqa et du niqab annoncée par le gouvernement, qui fait valoir qu'il s'agit d'une mesure de sécurité nationale contre l'islam radical. La communauté musulmane, qui représente 10% des 21 millions d'habitants de ce pays à majorité bouddhiste, s'est émue de cette mesure perçue comme un nouvel acte de discrimination à son encontre.

Le gouvernement a adopté une ligne sécuritaire dure depuis les attentats suicides de 2019 qui ont fait 279 morts.

Le Sri Lanka a également sa dose avec l'islam et les adeptes du #padamalgame.

L’ONU juge l’initiative « anti-burqa » discriminatoire envers les musulmanes. Le Conseil fédéral se tait.

L'ONU "regrette profondément" l'approbation de l'initiative sur l'interdiction du voile intégral ("Oui à l'interdiction de se dissimuler le visage"). Elle a affirmé mardi à Genève que ce vote allait "davantage marginaliser et exclure de la vie publique" les musulmanes.

"La Suisse rejoint le petit nombre de pays où la discrimination active contre les musulmanes est désormais sanctionnée par le droit", a dit à la presse une porte-parole du Haut-Commissariat aux droits de l'homme. Alors même que ces femmes dénoncent une augmentation de celle-ci en Europe.

Le Haut-Commissariat salue toutefois l'opposition du Conseil fédéral et la proposition d'un contre-projet. Mais il cible une campagne "aux tonalités xénophobes".

(...)

RTS


Aucun commentaire de la part de Berne sur les remarques faites par le Haut Commissariat des Nations Unies.

Le Conseil fédéral a décidé de ne pas répondre aux accusations concernant l'approbation de l'interdiction de la burqa.

Réponse du gouvernement à l'interpellation de Lorenzo Quadri : "On ne nous a pas demandé d'expliquer le résultat du vote et nous n'avons pas l'intention de le commenter".

BERNE - Le Conseil fédéral n'a pas été sollicité par le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme à fournir des explications concernant le résultat de la votation qui a eu lieu le 7 mars sur l'interdiction de la burqa et du niqab et il n'a pas l'intention de le commenter.

C'est la courte réponse donnée par le Conseil fédéral à une question de Lorenzo Quadri, dans laquelle le conseiller national déplorait l'intrusion "arrogante" de la Haute Commission dans la démocratie suisse à propos de la votation populaire sur l'interdiction de la dissimulation du visage.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Tio.ch

 


Rappels :

Pour culpabiliser les Suisses, Amnesty utilise un fonctionnaire de l’ONU musulman, issu d’un pays où règne l’islam radical

Syrie : une djihadiste française atteinte d’un cancer. Le Haut-commissariat de l’ONU demande à la France de faire le nécessaire pour la soigner.

Pacte des Migrations de l’ONU dit aussi Pacte de Marrakech. Un danger mortel pour nos sociétés et notre civilisation. Le gouvernement suisse veut approuver.

Imran Khan, Premier ministre pakistanais, critique l’islamophobie et Charlie Hebdo devant l’Assemblée générale de l’ONU

L’ONU défend “la liberté d’expression” des… casseurs antifas

L’ONU profite de ses stagiaires sans les rémunérer mais exige des milliards pour « l’aide humanitaire »

Pour culpabiliser les Suisses, Amnesty utilise un fonctionnaire de l’ONU musulman, issu d’un pays où règne l’islam radical

Amnesty Suisse vise spécifiquement notre pays et notre vote contre la dissimulation des visages dans son tweet, en utilisant pour cela Ahmed Shaheed, le Rapporteur spécial des Nations Unies sur la liberté de religion. Il est musulman.

 

 

Comme à l'accoutumée, Amnesty Suisse cache le fait que le pays d'origine de ce "Rapporteur spécial de l'ONU" est non seulement musulman mais encore qu'il provient des Maldives, pays très intolérant à l'égard des religions autres que l'islam.

 

 

On lit notamment sur Wikipedia que "La constitution elle-même définit la république des Maldives comme une république, où la religion musulmane joue un rôle fondamental puisqu'elle est religion d'État, la seule qui soit autorisée dans l'archipel. Tout autre culte est formellement interdit aux maldiviens, tandis qu'il est tout de même permis aux résidents étrangers de pratiquer leur religion s'ils le font à titre privé et n'encouragent pas les autochtones à y participer. Tout prosélytisme est sévèrement réprimé."

En clair, Amnesty Suisse utilise un musulman, issu d'un pays très radical qui n'accepterait jamais la présence du christianisme, pour culpabiliser les Suisses tout en passant sous silence la christianophobie présente aux Maldives.

Enfin, Amnesty Suisse "oublie" de mentionner que l'apostasie est interdite dans l'islam et qu'elle s'accompagne de punitions extrêmes, voire de la mort. C'est donc cela le "combat pour les droits humains selon Amnesty Suisse. Cela n'empêche d'ailleurs pas l'ONU de placer un musulman comme responsable pour "la liberté de religion", musulman qui protégera en premier lieu sa religion. Et c'est cela le véritable scandale.

Source : Twitter Amnesty Suisse


Rappels :

Imran Khan, Premier ministre pakistanais, critique l’islamophobie et Charlie Hebdo devant l’Assemblée générale de l’ONU

Syrie : une djihadiste française atteinte d’un cancer. Le Haut-commissariat de l’ONU demande à la France de faire le nécessaire pour la soigner.

L’ islam, sa puissance à visage découvert. CENSURE ISLAMIQUE :CHARIA & ONU L’ultra-puissance du lobby islamiste mondial

Lorsqu’Amnesty International soutenait les islamistes Kamel Daoudi et Oussama Attar

Amnesty International s’oppose à l’interdiction de la burqa : « Cela alimente l’islamophobie »

Amnesty international : « La Suisse doit accueillir des réfugiés de Grèce »

Suisse : Une Alliance composée de 120 ONG, dont Amnesty International, veut s’opposer à notre autodétermination.

Pacte des Migrations de l’ONU dit aussi Pacte de Marrakech. Un danger mortel pour nos sociétés et notre civilisation. Le gouvernement suisse veut approuver.

Une rapporteuse de l’ONU appelle la Belgique à obtenir le rapatriement d’un djihadiste condamné à mort

L’ONU défend “la liberté d’expression” des… casseurs antifas

L’ONU profite de ses stagiaires sans les rémunérer mais exige des milliards pour « l’aide humanitaire »

 

Voile intégral – Les Jeunes Verts prêts à aller jusqu’à Strasbourg

Les Jeunes Verts suisses sont prêts à se battre devant les tribunaux contre l'interdiction du port du voile intégral. Ils pourraient aller jusqu'à la Cour européenne des droits de l'homme à Strasbourg.

L'adoption de cette initiative signifierait que deux articles de la Constitution fédérale visent explicitement une communauté religieuse. "Qu’une majorité attaque par votation les droits fondamentaux d’une minorité est inquiétant et dangereux", commente le coprésident des Jeunes Verts, Oleg Gafner, dans un communiqué.

(...)

LFM

Nos remerciements à Victoria Valentini

Amnesty International s’oppose à l’interdiction de la burqa : « Cela alimente l’islamophobie »

"Amnesty International rejette clairement l'initiative pour l'interdiction de se dissimuler le visage. Cette initiative est une politique symbolique inutile aux conséquences bien réelles : elle alimente l'islamophobie et stigmatise la minorité musulmane en Suisse.

Au lieu de soutenir les femmes qui portent une burqa ou un nikab dans leurs aspirations à l'émancipation, le texte de l'initiative les discrimine et les marginalise."

Amnesty.ch / Amnesty.ch2


Note : Amnesty International se montre beaucoup plus discret lorsqu'il s'agit des interdictions et des persécutions visant les chrétiens, comme l'interdiction pour un non musulman de se rendre à la Mecque ou de construire une église en Arabie Saoudite, sans parler des deux génocides subis par les chrétiens à cause de l'islam.

De plus, ce n'est pas à l'initiative de soutenir ces femmes en burqa alors que celles-ci piétinent justement nos us et coutumes. Le respect d'Amnesty International pour notre pays est inexistant.

 

La féministe Anaïs Timofte (POP, communiste, Lausanne) se bat pour la burqa… pour combattre l’UDC

Cenator: Vous trouverez ci-dessous les réflexions de la présidente du POP Vaud, Anaïs Timofte, sur les prochaines votations fédérales.

L’article illustre parfaitement la Gauche suisse de tout bord, qui regorge de haine envers la Suisse, sa population et ses traditions.
Parallèlement, le seul parti qui défend encore les intérêts des autochtones, l’UDC, est son ennemi à abattre.

Anaïs Timofte, présidente du POP Vaud, accumule les clichés dans son article:
«Le parti prétendument agrarien ... parti nationaliste bourgeois»  –
le terme «bourgeois», dans la bouche d’une telle gauchiste, c’est comme «capitaliste», le pire des mots et des maux.


Finalement, malgré de rares positions divergentes internes, l’ensemble des partis de la gauche combattent l’initiative «Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage dans l’espace public».

Pour cette gauche unie dans la haine du peuple, le nouveau prolétariat de substitution importé est devenu le prétexte de leurs revendications de justice sociale, car elle mise sur cette diversité pour acquérir plus de pouvoir.
Nous avons vu, en France, les frères de lutte de cette gauche radicale détruire de l’intérieur le mouvement des Gilets jaunes. Cette même gauche, qui est devenue une usine à victimes, refuse de reconnaître les droits de ceux qui sont les victimes de leur politique multiculturaliste, et étouffe tous les cris de désespoir.

Lorsqu’une initiative représente des idées proches de l’UDC, comme «No Billag» ou l’interdiction de se dissimuler le visage, la Gauche argumente toujours de la même manière, en inversant la réalité, voire en brandissant la menace que tout va devenir pire si les gens ne votent pas dans leur sens.
Tout le monde sait que la burqa est le porte-drapeau de la charia, qui est en totale opposition avec nos lois; mais pour cette gauche «padamalgam», le raciste, le fasciste devient celui qui veut interdire cette enseigne même de l’islamisme.

Timofte:

«l’instrumentalisation de l’initiative populaire dans le but de susciter une polémique au sujet d’un bout de tissu s’apparente à une véritable confiscation des outils démocratiques par un parti qui en a les moyens financiers

Le mythe récurrent de l’UDC parti des multimilliardaires, suivi du cliché Blocher riche comme Crésus, n’est jamais loin dans ces attaques. Or dans un article publié le même jour dans 24 heures, nous apprenons que le PS lausannois dépense vingt fois plus (253’000.-) que l’UDC, ce qui montre clairement quels sont les partis qui ont les moyens.

En réalité, les pauvrissimes POP et Ensemble à Gauche, c’est-à-dire l’extrême gauche et l’ultra-gauche, dépensent 107'000 fr.
Et la présidente du POP reproche à l’UDC de dépenser 13'000 fr.!

De leur côté, les dépenses électorales de l’ensemble des Pastèques lausannois réunis se montent à 577'000 fr. en 2021.

D’autres arguments gratuits, voire mensongers, comme «l’initiative est mal rédigée», sont également systématiques dans les médias lorsque l’initiative représente un sujet proche de l’UDC.

Rien ne semble suffire à cette Gauche haineuse, qui a déjà accaparé et bétonné pratiquement tout le pouvoir. À Lausanne, par exemple, La Gauche occupe le trône depuis trente ans, elle a distribué entre petits copains et leurs proches pratiquement tous les postes clefs, faisant la pluie et le beau temps, sans aucune force d’opposition.

En Suisse romande, aucun contre-pouvoir à l’horizon, la Gauche domine déjà la totalité de nos médias, tous subventionnés, qui font en plus sa promotion et combattent l’UDC de toutes leurs forces.

Cette Gauche a asservi totalement l’instruction publique, et en plus elle a acquis la prérogative de censurer les réseaux sociaux.

Madame Timofte accuse l’UDC de mettre en danger la démocratie suisse en détournant le débat public, qui devrait porter selon elle »sur notre modèle économique, plutôt que sur des choix vestimentaires.»

Elle accuse l’UDC de «faire les fonds de tiroir avec l’initiative «antiburqa» en n’hésitant pas à encombrer nos institutions démocratiques de sujets à l’opposé du primordial ...»

Pour Timofte, la priorité de l’UDC devrait être de débattre notre modèle capitaliste!  Cette politicienne a un toupet sans limite, c’est probablement même sa plus belle qualité!

Dans son délire de toute-puissance, Timofte veut donner des leçons de démocratie à l’UDC, et pleure de misère financière, tout en s’octroyant le droit de définir les sujets à débattre pour le peuple suisse.
Avec le visage sans scrupules de cette Gauche dans son combat pour la burqa, et l’inversion de la réalité dans ses positions féministes, on aura vraiment tout vu!
Encore une fois, la Gauche ose tout, c’est même à ça qu’on la reconnaît!

Nous constatons chaque jour que les néo-marxistes, en gagnant la guerre culturelle, ont également accaparé le droit de définir ce qui est vrai et réel.

«Le savoir, c’est le pouvoir», dit-on.

Mais le pouvoir que détiennent ceux qui définissent désormais ce que sont le savoir et le vrai est simplement effrayant!

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Levons le voile sur les enjeux des votations fédérales

Anaïs Timofte commente deux des objets soumis au vote le 7 mars.

Alors que l’UDC a subi ces dernières années de nombreux revers dans les urnes qui indiquent que le terrain exploité par le parti nationaliste bourgeois n’est plus le même que celui qui avait fait son succès au tournant des années 2000, ce parti fait tout de même les fonds de tiroir avec l’initiative «antiburqa» en n’hésitant pas à encombrer nos institutions démocratiques de sujets à l’opposé du primordial.

«Le parti prétendument agrarien se montre finalement peu enclin à protéger les agriculteurs suisses.»

Ce voile de fumée tombe à point pour cacher la position de l’UDC Suisse sur l’accord de libre-échange avec l’Indonésie.
Le parti prétendument agrarien se montre finalement peu enclin à protéger les agriculteurs suisses face aux importations et se réjouit même de la mise en compétition des travailleurs suisses avec leurs homologues indonésiens dans tous les secteurs.

Parallèlement, le lancement de l’initiative «antiburqa» montre clairement comment des problématiques sociétales qui ne concernent qu’à peine trente personnes sont agitées afin d’invisibiliser les positions antipopulaires du camp bourgeois en matière sociale et économique.

De nombreux commentateurs rappellent après chaque scrutin le faible taux de participation. C’est dire combien il est crucial de conserver les outils démocratiques de l’initiative et du référendum pour des causes d’intérêt public. À l’inverse, l’instrumentalisation de l’initiative populaire dans le but de susciter une polémique au sujet d’un bout de tissu s’apparente à une véritable confiscation des outils démocratiques par un parti qui en a les moyens financiers.

Resituer le débat public

Pour la gauche populaire que nous représentons, la discorde ne doit pas se structurer autour de questions sociétales (ou de mœurs), mais bien autour des questions sociales. Cela afin de resituer le débat public sur notre modèle économique, plutôt que sur des choix vestimentaires.

Face à cette initiative antiburqa, il existe donc un «non» de gauche qui ne s’apparente pas à une défense du voile intégral, mais à une volonté de réelle défense des outils de la démocratie directe afin que ceux-ci servent l’intérêt public. Qu’il s’agisse des conditions de travail et de revenu, de l’accès à la santé, des protections sociales, de l’avenir de nos retraites ou de l’urgence climatique: les véritables enjeux qui méritent que notre constitution soit dérangée ne manquent pas. Le référendum contre l’accord de libre-échange avec l’Indonésie en est un, pas l’initiative «antiburqa».

Source: https://www.24heures.ch/levons-le-voile-sur-les-enjeux-des-votations-federales-885015291338

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Toujours à propos des positions de l’extrême gauche: l’affichette du Courrier de ce week-end est une manipulation éhontée, elle prête à confusion en donnant malhonnêtement l’impression que pour dire non à la burqa il faut dire non à l’initiative. C’est faux. 

Ne nous laissons pas induire en erreur;

il faut voter OUI si l’on veut dire
«OUI à l’interdiction de se dissimuler le visage».

 

Suisse : Le soutien à l’initiative anti-burqa faiblit, surtout en Romandie et chez les femmes

A quelques jours des votations du 7 mars, le soutien à l'initiative dite "anti-burqa" s'effrite, selon le dernier sondage SSR, publié mercredi. La loi sur l'identification électronique bascule, elle, vers le non, alors que l'accord de libre échange avec l'Indonésie serait accepté.

Le texte "Oui à l'interdiction de se dissimuler le visage" convainc de moins en moins. Alors qu'il bénéficiait d'une avance confortable il y a un mois, il ne récolte plus que 49% d'intentions de votes positives, soit une baisse de 7 points de pourcentage. Le non, lui, atteint désormais 47%. C'est ce qui ressort du second sondage de l'institut gfs.bern pour le compte de la SSR.

Quant à la Loi fédérale sur les services d'identification électronique, elle serait désormais rejetée par 54% des sondés. Seul l'accord de libre-échange avec l'Indonésie conforte sa longueur d'avance, avec 52% de oui.

Perte de soutien marquée en Suisse romande

C'est surtout en Suisse romande que l'initiative anti-burqa perd du terrain, avec une baisse de 17 points de pourcentage, pour atteindre 46%. Dans le même temps, le camp des opposants a bondi de 30 à 49%. "Souvent, en Suisse romande, la formation de l'opinion tarde un peu en comparaison avec la Suisse alémanique. Cela s'explique par le mécanisme des campagnes qui sont souvent d'abord lancées côté alémanique", indique Martina Mousson, politologue à l'institut gfs.bern.

Le non a aussi fortement progressé chez les femmes, à tel point qu'il est actuellement majoritaire dans ce groupe de population. Le texte obtient par contre toujours la faveur des hommes, malgré une tendance vers le non. "Le vote des femmes peut s'avérer décisif. Elles se sont bien mobilisées durant la campagne", précise Martina Mousson. La politologue n'observe toutefois pas de différence marquée dans les arguments entre les deux sexes.

(...)

RTS

Leçon pour bien accepter le voile intégral

La déléguée aux médias du Centre islam et société se surpasse: pas de critique du sinistre déguisement, défense de la piété textile et révélation d’une coiffe pire que le niqab.

Pour Mallory Schneuwly Purdie, formatrice en chef du Centre suisse islam et société (CSIS, censé participer à l’intégration des musulmans), les partisans de l’interdiction n’ont rien compris. Si la lucidité leur venait, ils feraient comme elle: ils s’abstiendraient de LA MOINDRE CRITIQUE de ce sépulcral équipage. Son discours est même plus fort que celui des musulmans prosélytes. Eux se font un devoir de préciser qu’ils « ne sont pas pour »… avant de dire tout le mal qu’ils pensent de l’interdiction. Elle ne s’en donne même pas la peine!

Elle a droit à une longue interview du Temps, et pas à une banale tribune. Et je me demande une fois de plus comment les journalistes n’ont pas encore compris que les membres du CSIS sont des propagandistes des  «signes visibles» de l’islam et pas des experts fins et francs du sujet. Voyons…Même les pays les plus féroces envers les femmes ne méritent pas l’opprobre de la sociologue. «En Afghanistan, dans certaines régions pakistanaises ou au Moyen-Orient, le voile intégral est UNE COUTUME vestimentaire.» 

En Occident, en France ou en Belgique, c’est différent: «Il ne faut pas voir UNIQUEMENT le port du voile intégral comme un refus de la société occidentale. Dans certains milieux salafistes, l’Occident est perçu comme déviant, corrompu, trop axé sur le sexe ou la chair, c’est alors un choix conscient de se couvrir pour PRIVILÉGIER L’ÊTRE SUR LE PARAÎTRE. L’enveloppe physique disparaît au profit de la piété.»  Comme c’est beau!

Mais pourquoi les hommes musulmans ne privilégient-ils pas leur être en dissimulant leur corps et leur tête sous des vêtements ?

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Ces femmes montrent aux autres musulmanes «que leur piété est plus pure; qu’elles, elles respectent vraiment les commandements de Dieu; qu’elles préparent leur vie future au paradis en se couvrant, en se brimant ici dans cette vie terrestre pour atteindre le paradis où elles auront les fleurs de miel».  Quand Mallory se fait poète pour défendre l’indéfendable.

Et ce n’est pas tout, ces femmes sont presque des modèles. Elles veulent un homme aussi pieux qu’elles. «Le port du voile intégral est donc un signal très fort à la communauté musulmane elle-même. Et on l’oublie complètement lorsque l’on parle du voile intégral en Europe.» Disons qu’on n’a pas très envie de s’en souvenir. Ça nous rappelle trop que ce genre de vêtement est un signe immanquable de radicalisme. Ce qu’elle reconnaît par l’allusion à un utile repoussoir: «Les femmes que j’ai rencontrées ici qui portaient le niqab ou le sitar gravitaient toutes autour du Conseil central islamique suisse.» (Celui de Blancho donc).

Le sitar? Où l’on découvre (moi en tout cas) une nouvelle inspiration des grands designers musulmans née de la terreur du corps féminin : «Le niqab laisse paraître les yeux, tandis que, pour le sitar, s’ajoute un voile plus fin qui recouvre l’entier du visage, y compris les yeuxLes mots me manquent… A elle aussi.

Donc, pas de radicalisme en vue, juste une respectable piété: Elles «sont résolument occidentales et inscrivent leur piété dans des formes fondamentalistes.» Des formes qu’elle juge inutile de blâmer, même un tout petit peu.

L’étroitesse de son champ de vision lui épargne ce constat: le fondamentalisme, le radicalisme, le sexisme, l’obscurantisme et hélas le terrorisme liés à l’islam hantent nos sociétés et s’étendent sur le monde musulman.

En revanche, question christianisme, la sociologue ne nous épargne pas cette billevesée: «Le christianisme dictait toutes les normes, yc. vestimentaires.» Un exemple de vêtement chrétien?

Le journaliste du Temps suggère que «le vrai débat» aurait peut-être dû porter sur le voile, par exemple celui des élèves. Il rêve! MSP lui fait croire qu’elle craint l’exclusion de ces filles (car il est évident pour elle que ces aimables familles refuseraient de respecter la loi). Sauf qu’elle défend ailleurs le droit des écolières de manifester leurs convictions religieuses, «y compris dans les institutions étatiques». Et y compris par le port du burkini.

En 2021, des femmes musulmanes en nombre croissant dissimulent leur corps, leurs cheveux, leurs oreilles et leur cou, mais tout a quand même changé: «… aujourd’hui, ce n’est pas un retour au voile auquel on assiste. C’est un nouveau voile. Un voile urbain, un voile jeune qui est youtubé. C’est aussi un accessoire de leur féminité et de leur islamité.» Surtout de leur islamité, comme le montrent les significations «plurielles» données par MSP: «un signe de spiritualité » ou d’obéissance au «commandement de Dieu».

Plus fort encore: «Pour quelques-unes, c’est carrément un signe féministe: «Je décide de me réapproprier mon corps, je laisse entrevoir ce que je veux.»

Celles qui s’opposent au naufrage de l’humanité que représentent ces déguisements sont des «féministes occidentales». Autant dire des femmes qui par essence n’ont rien compris à la merveilleuse créativité textile du pieux monde musulman.

source: https://boulevarddelislamisme.blog.tdg.ch/archive/2021/01/27/lecon-pour-bien-accepter-le-voile-integral-312426.html

Suisse allemande : Des affiches UDC antiburqa sont systématiquement vandalisées

Dans plusieurs régions, les affiches sont systématiquement vandalisées.

 

 

Le conseiller national Andreas Glarner (UDC/AG) a ainsi offert une prime de 2000 francs pour quiconque permettra de confondre les coupables.

(...)

Msn.com / Blick.ch

Nos remerciements à Info

La Suisse se dirige vers une interdiction de la burqa et du niqab

56% des citoyennes et des citoyens ont l’intention de voter en faveur de l’initiative pour interdire la dissimulation du visage dans l’espace public, révèle un sondage SSR SRG. Un chiffre qui s’élève même à 74% chez les Suisses de l’étranger.

La Suisse pourrait bientôt rejoindre les cinq autres pays européens ayant interdit le port de la burqa et du niqab, à savoir la France, la Belgique, l’Autriche, la Bulgarie et le Danemark. Le peuple est appelé à voter le 7 mars sur une initiative populaire visant à prohiber la dissimulation du visage dans l’espace public.

(...)

Swissinfo.ch

Suisse : La députée écologiste Greta Gysin prétend qu’interdire la burqa n’a rien à voir avec le féminisme

L’interdiction de la burqa et du niqab en Suisse aurait un effet contre-productif, estime la députée écologiste Greta Gysin. L’initiative «Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage de la droite conservatrice», soumise en votation fédérale le 7 mars, n’a rien de féministe à ses yeux.

(...)

Le texte est principalement porté par l’Union démocratique du centre (UDC / droite conservatrice). Si un comité formé de quelques élus de centre-gauche s’est également formé pour le soutenir, les autres partis s'y opposent.

(...)

Swissinfo.ch


Rappels :

Iran : une jeune femme arrêtée parce qu’elle ne portait pas le voile sur la voie publique

La burqa,  l‘hypocrisie des féministes de gauche et les droits des femmes (I)

Burqa. Le Président égyptien Gamal Abdel Nasser se moquant de la burqa dans les années 1950. La célèbre vidéo 2′

L’initiative sur l’interdiction de la burqa de l’UDC rejetée au Conseil national. « L’initiative est islamophobe et populiste », déclare Ada Marra

Suisse : Le conseil fédéral ne s’oppose pas au niqab. « Ce n’est pas une priorité pour le féminisme »selon Karin Keller Sutter

 

24Heures, Réflexions -La burqa interroge notre rapport à l’islam

Pierre Aepli, ancien commandant de la police cantonale vaudoise.

L’interdiction de la burqa provoque d’intenses discussions. Ses adversaires lui reprochent de stigmatiser une population spécifique et de conduire à son exclusion. Elle interpelle nos conceptions de la tolérance, de l’égalité, de l’intégration.

Comment peut-on aborder cette question rationnellement en la plaçant dans le cadre de notre rapport à l’islam? Pour cela, il s’agit de distinguer les motifs qui amènent une musulmane à se voiler, intégralement ou non, volontairement ou non. Il y en a quatre principaux: la religion, bien que le Coran ne l’oblige pas; l’emprise d’une culture éloignée de la nôtre; la contrainte; l’affirmation identitaire. Les défis soulevés ne sont pas les mêmes; ils exigent de notre part des réponses adaptées. Les outrances islamophobes de quelques milieux d’extrême droite ne fournissent aucune solution, ni les contorsions d’une certaine gauche et de groupes féministes intégristes qui ne traduisent que la soumission à un politiquement correct idéologique, moralisateur et borné.

Entre la condamnation en bloc et la complaisance lâche, la solution réside dans l’ajustement de notre tolérance en fonction des trois natures de l’islam. Ce dernier se veut une totalité qui englobe des préceptes religieux, des normes culturelles (établies dans un environnement historique et géographique précis) et une volonté messianique dont l’intensité varie selon les époques et qui se trouve aujourd’hui en phase offensive. Si notre tolérance peut être grande en matière de spiritualité, elle doit être restreinte lorsque des coutumes ou des revendications sont incompatibles avec nos lois et nos mœurs, inexistante quand un projet politique brave notre ordre démocratique.

Comment traiter la burqa dans ce contexte? Elle ne ressortit pas au domaine religieux, preuve en est qu’elle n’est pas généralisée en terre musulmane; elle relève en revanche d’une culture qui s’oppose frontalement à la nôtre et, surtout, elle est instrumentalisée, comme le voile d’ailleurs, par les islamistes pour isoler et contrôler une population qu’ils veulent soumettre à une interprétation obscurantiste de leur religion: communauté qui, pour eux, ne doit obéir qu’aux préceptes de l’islam et refuser les codes, les valeurs et les institutions du pays d’accueil.

«Ce qui doit nous inquiéter, c’est la manipulation orchestrée par les extrémistes»

Le grand défi de la burqa n’est pas dû aux quelques porteuses de cet accoutrement ni même aux éventuels terroristes qui pourraient se dissimuler sous cet habit; ce qui doit réellement nous inquiéter, c’est la manipulation orchestrée par les extrémistes pour avancer masqués – c’est le cas de le dire – et tester notre capacité de résistance. Ne nous trompons donc pas, les provocations auxquelles nous sommes confrontés n’appartiennent pas au domaine religieux, elles sont culturelles et surtout politiques.

Le refus de la burqa et du voile politique n’est pas un non à une religion, c’est un non à un type de société rétrograde et à un régime totalitaire.

Créé: 09.01.2020

source:

L’ONU va épingler la France sur l’interdiction de la burqa. Cela enfreindrait la liberté religieuse.

Le Comité des droits de l’homme de l’ONU s’apprête à prendre position à l’encontre de la loi française de 2010 qui pénalise la dissimulation du visage dans l’espace public.

La burqa devrait faire un retour tonitruant dans l’actualité. Au moment où des voix s’élèvent en France pour demander un durcissement de la loi de 2010 interdisant la dissimulation du visage dans la rue, le Comité des droits de l’homme de l’ONU va se prononcer sur deux requêtes de femmes qui ont été verbalisées pour avoir contrevenu à la loi.

Une loi qui porterait atteinte à la liberté religieuse et créerait une discrimination

Selon plusieurs sources que La Croix a pu consulter, cette instance d’experts, juristes internationalement reconnus, devrait rendre en ce mois d’octobre 2018 des « constatations » dont il ressort que la loi de 2010 porte atteinte à la liberté religieuse et crée une discrimination. Une prise de position qui va apparaître comme une nouvelle charge contre notre conception des valeurs républicaines.

Pendant l’été 2018, le Comité a en effet déjà rendu des « constatations » au sujet de l’affaire Baby Loup. Les experts y ont désavoué la Cour de cassation qui avait validé, en 2014, le licenciement d’une puéricultrice voilée par une crèche associative dont le règlement intérieur imposait un devoir de neutralité.

Mais le Comité a alors jugé un cas d’espèce. En substance, il a estimé que la France n’avait pas démontré en quoi le port du voile par une éducatrice portait atteinte « aux libertés et droits fondamentaux des enfants ». Et s’il a enjoint aux autorités d’indemniser la victime, il n’a pas remis en cause le Code du travail, qui prévoit qu’un règlement intérieur peut, à certaines conditions, restreindre l’expression religieuse.

Mais dans le cas de la burqa, c’est la loi même de 2010 qui est visée. La polémique promet donc d’être vive. Alors qu’on vient d’apprendre que l’ex-ennemi public n°1 ­Redoine Faïd avait pu circuler dissimulé sous un voile intégral, des politiques appellent à durcir la loi.

« Il y a des lieux en France où la loi sur le port du voile intégral est si peu appliquée ou si peu contraignante que l’homme le plus recherché de France se sent en sécurité quand il est couvert par un vêtement pourtant interdit », s’indigne Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains (LR) au Sénat. Son club de réflexion Force ­républicaine avait récemment proposé de transformer cette infraction, simple contravention, en délit.

Écart avec les positions de la Cour européenne des droits de l’homme

Depuis l’été 2018, de nombreuses personnalités françaises ont critiqué le Comité des droits de l’homme de l’ONU et remis en cause son autorité. Il n’est certes pas une juridiction mais la France, qui a ratifié le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, a reconnu sa compétence. Ses constatations ont bien une autorité de fait.

Plus pertinentes sont les critiques sur le grand écart entre les positions de l’instance onusienne et celles des juridictions européennes. La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a par deux fois validé l’interdiction de la burqa, qui « peut passer pour proportionnée au but poursuivi, à savoir la préservation du “vivre ensemble”».

La CEDH considère même la mesure comme « nécessaire » dans une « société démocratique ». La Cour reconnaît une « marge d’appréciation » aux États, prenant ainsi en compte des circonstances politiques, la menace que représentent certains courants de l’islam radical.

Le Comité des droits de l’homme de l’ONU, lui, n’entre pas dans cette démarche de contextualisation, en dépit de la vague d’attentats survenus depuis 2015, s’attachant davantage à défendre des standards juridiques internationaux. Dans cette perspective, notre tradition républicaine se retrouve bousculée par la culture anglo-saxonne, plus libérale sur le droit d’expression des individus.

Des législations anti-burqa dans plusieurs États européens

Mais la controverse promet d’être d’abord politique. En Europe, de plus en plus de pays adoptent des législations contre la burqa, à l’instar de la Belgique, de l’Autriche ou du Danemark. Pour de nombreux États musulmans, la France est le symbole de cette position jugée islamophobe et qu’ils tentent de contrecarrer.

En février 2018, le Comité laïcité République, une association en pointe sur la défense de la laïcité, a ainsi lancé une pétition contre le Conseil des droits de l’homme de l’ONU (composé, lui, de représentants d’États). « Le CDH est devenu une machine de guerre idéologique », accuse le texte, qui lui reproche de vouloir faire de toute critique contre la burqa une ­agression raciste.

La Croix

 

Nos remerciements à Alex

Suisse. : St-Gall interdit la burqa. Le PLR et la gauche combattaient l’interdiction.

L'UDC et le PDC ont soutenu la loi. Le PLR et la gauche la combattaient.

 

 

St-Gall devient le deuxième canton, après le Tessin, à interdire la burqa. Les votants ont clairement approuvé dimanche par 66,65% une loi rendant punissable toute personne se dissimulant le visage dans l'espace public, pour autant que cela menace la sécurité.

20 Minutes.ch

Des femmes musulmanes invitées au Parlement européen réclament la burqa et le burkini

Des islamistes invitées au Parlement européen réclament la burqa et le burkini pour les femmes européennes : résistons !

 

 

 

Nos remerciements à Wilhelm's Back

Suisse : Le Conseil fédéral veut punir « celui qui contraint une femme à porter le niqab »

Ce Conseil fédéral pense-t-il vraiment que de nombreuses femmes vont venir déposer plainte alors qu'elles ont déjà peur en temps normal et que notre justice est dépassée face aux pressions communautaires ?

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Contraindre une femme à porter le voile intégral pourrait être puni. La sanction pourrait aller jusqu'à trois ans de prison. Le Conseil fédéral a mis mercredi en consultation un projet de loi en ce sens.

 

 

Le gouvernement a préféré miser sur cette approche plutôt que de décréter une interdiction du port du niqab ou de la burqa. Il rejette l'initiative populaire de la droite allant dans ce sens.

Avec son contre-projet indirect, le Conseil fédéral entend montrer que le voile intégral pose problème.

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Les Suisses voteront sur la Burqa d’ici 2019. « L’interdiction est rejetée par le Conseil fédéral. »

D'ici 2019, les helvètes seront appelés à se prononcer sur une interdiction de la burqa.

Les Suisses seront appelés à voter sur une initiative contre le port de la burqa, un projet que rejette le Conseil fédéral. Seul le Tessin l'interdit aujourd'hui, alors que plusieurs cantons ont rejeté une telle interdiction.

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