SNCF : des titres de transport gratuits pour les migrants, rien pour les français

Depuis des années, Laurent Wauquiez, président LR de la région Auvergne Rhône-Alpes et la SNCF ont signé un accord pour que les citoyens et les demandeurs d'emplois, indemnisés en dessous du Smic, bénéficient de cartes de réduction SNCF pour leurs recherches d'emploi. Ainsi, en théorie, la carte illico solidaire SNCF est gratuite et valable un an pour cette catégorie de personnes. Elle offre une réduction immédiate de 75 % sur les billets de seconde classe des trains TER, et une gratuité pour les demandeurs d'emploi qui se rendent à tes entretiens d’embauche, ou à des entretiens préalables à une formation (uniquement pour les moins de 26 ans).

Les jeunes en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation, les jeunes inscrits en Missions locales, etc, peuvent aussi en bénéficier si leur dossier est accepté par la SNCF. Il semblerait néanmoins que le nombre de cartes illico solidaire soit limité. Dans le fief de Laurent Wauquiez, ancien ministre de l'emploi sous Nicolas Sarkozy, on constate que de nombreuses demandes, présentées par des patronymes français, sont régulièrement rejetées par les "nantis de la SNCF" (qui bénéficient de la gratuité illimitée des transports ferrés pour toute leur famille, et même leurs parents) au motif qu'il manquerait une pièce.

Contacté par téléphone ce 11 avril 2022, un agent SNCF gérant les cartes illico solidaires ne dément pas nos informations, mais tempère : "les migrants comprennent moins bien les subtilités de la langue française pour le montage des dossiers. Dès lors, nous faisons preuve d'une relative indulgence...". C'est énorme dans la France de Voltaire, et cela explique peut être le grand nombre de migrants rencontrés dans les trains. Pour eux le trajet est gratuit, via la carte illico solidaire.

Bien sûr, les migrants ont le droit de se déplacer, dans la mesure où ils ne commettent pas d'agressions dans les trains. Mais, les français survivant avec en moyenne 500 euros, dans le cadre de l'ASS (Allocation spécifique de solidarité) ou le RSA, ont eux aussi le droit de se déplacer avec une égalité de traitement tarifaire identique aux migrants accueillis en masse par la République française.

Nous reproduisons, ci-dessous, le courrier adressé par un Ardéchois au directeur du service de gestion des cartes illico solidaire SNCF, dénonçant les anomalies de ce service et les traitements de dossiers bâclés, ou menés à la tête du client. L'homme écrit :

"Monsieur le Directeur,

Vous êtes beaucoup plus souple avec les musulmans ou les immigrés que vous ne l'êtes avec les français qui doivent survivre avec l'ASS. C'est ce type de comportement de “nanti de la SNCF” qui va contribuer à un 3 ème tour de la présidentielle dans la rue.

Pour la demande de renouvellement de ma carte, dont les références sont mentionnée plus haut :

- Je ne vous ai pas adressé une attestation de paiement pôle emploi contrairement à ce que vous écrivez (j'imagine que vous n'avez même pas lu le document), mais l'attestation de renouvellement de l' ASS au 15 mars 2022.

- Je vous adresse en pièce jointe une photocopie de la carte d'identité, document qui ne m'avait pas été demandé lors des précédents renouvellements, puisque vous l'avez dans le dossier, probablement informatisé.

- A défaut de carte illico solidaire, je ne me rendrais pas à un entretien d'embauche à Clermont Ferrand le 14 avril, et j'utilise votre courrier pour en justifier auprès de Pôle-Emploi.

Avec vous, les “nantis de la SNCF”, on a la France qui gagne, la France en marche, et vous contribuez au redressement du Pays.

Salutations."

En cette semaine sainte, marquée par le chemin de croix et les élections, on assiste aux difficultés d'un français moyen, lâché par son pays, victime de nantis obtenant la retraite à 50 ans ou 55 ans, dans une République En Marche. Merci Monsieur le Président.

La SNCF doit accorder les mêmes avantages tarifaires à tous les voyageurs vivant sous le seuil de pauvreté, qu'ils soient caucasiens, musulmans, africains, asiatiques, etc

Francis GRUZELLE

 

Suisse : Malgré sa grande dépendance de l’aide sociale, une mère turque voit son permis de séjour renouvelé. Elle a déjà encaissé 685’000 francs.

Le Tribunal fédéral revient sur la décision du Service des migrations du canton de Zurich qui avait refusé de renouveler le permis de séjour d’une Turque vivant depuis 24 ans en Suisse.

 

 

Dans un arrêt publié mardi, la 2e Cour de droit public a estimé que l’intérêt privé de cette Kurde à rester en Suisse primait sur l’intérêt public à son renvoi. Depuis 2010, elle a certes reçu 685’000 francs de l’aide sociale.

Un montant qui doit être relativisé du fait qu’elle s’occupe seule de ses deux fils âgés de 10 et 11 ans et qu’elle reçoit à peine 200 francs de son mari dont elle est séparée.

[...]

TdG.ch


Rappels :

Genève : A l’abri des regards, Erdogan tient un discours anti-intégration et fait le signe des Frères musulmans. « Infiltrez la société suisse! »

Turquie. Basilique Sainte-Sophie : Le premier prêche musulman a été fait épée à la main et traitait de la conquête islamique

Musulmans à Francfort : « Nous devons faire de l’Allemagne un califat islamique »

Union Européenne : La Turquie va recevoir 500 millions d’euros supplémentaires pour financer les « réfugiés »

La Jeunesse Socialiste Genevoise diffuse sa haine de la Suisse lors du 1er Août : « La JSG ne vous souhaite pas une bonne fête nationale. »

Erdogan bloque la livraison de 200.000 masques de protection à destination de l’Italie

Erdogan menace de faire déferler 3,7 millions de migrants sur l’Europe

Suisse : la Police Fédérale finance des aumôniers musulmans sous prétexte de combattre l’extrémisme

Suisse : les réfugiés ainsi que leurs enfants bénéficieront de la même sécurité sociale que les Suisses, peu importe le domicile ou la nationalité de ces enfants

En termes de sécurité sociale, les réfugiés reconnus ont désormais les mêmes droits que les citoyens suisses. La Cour fédérale en a décidé ainsi.

Si un réfugié reconnu reçoit une rente AI en Suisse, il a également droit à des rentes pour ses enfants. Peu importe que les enfants vivent en Suisse ou non. Cette décision a été prise par la Cour fédérale en référence à la Convention sur les réfugiés.

La Convention de Genève sur les réfugiés accorde aux réfugiés reconnus les mêmes droits en matière de sécurité sociale qu'aux citoyens suisses. C'est ce qu'a déclaré la Cour fédérale dans un arrêt publié vendredi.

Un arrêté fédéral sur le statut juridique des réfugiés et des apatrides dans l'AVS exigeait que les enfants de réfugiés soient domiciliés en Suisse pour pouvoir bénéficier d'une rente pour enfant. Cette exigence n'existe pas pour les enfants de ressortissants suisses. Selon la Cour suprême fédérale, cela n'est pas compatible avec la Convention sur les réfugiés.

Le législateur n'a pas voulu s'écarter de la Convention avec l'arrêté fédéral. Ainsi le droit international prime sur le droit suisse. Par conséquent, ni la résidence ni la nationalité des enfants ne sont pertinentes pour le versement d'une pension aux enfants des réfugiés reconnus.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

20min.ch


Rappels :

Suisse : Sandra (15 ans) et son père harcelés et menacés par trois demandeurs d’asile « Ils m’ont mis un pistolet sur le menton »

Suisse : l’asile sous la menace djihadiste

Suisse : Un terroriste de l’Etat islamique a pu séjourner dans nos centres d’asile selon les médias turcs « Il y faisait ce qu’il voulait »

Suisse : les cantons et les communes devront faire des économies pour couvrir les dépenses de l’asile « Les Érythréens n’ont pas l’habitude de travailler huit heures par jour »

Suisse. Aide sociale : plus de la moitié des bénéficiaires sont des étrangers, principalement des réfugiés ou des requérants d’asile

Suisse : Un Marocain, demandeur d’asile débouté et délinquant récidiviste, fracasse plus de 50 véhicules pour voler.

Vaud : Étranglé par la facture sociale, Pully augmente ses impôts. Les socialistes voulaient une augmentation encore plus forte.

«L’explosion de la facture sociale cantonale est très pénalisante pour quelques Communes comme la nôtre. Elle ne cesse d’augmenter et se cumule avec les changements des règles de répartition. [...]

Les autorités estiment qu’il faudrait augmenter les impôts d’environ 8 points pour rétablir les finances. Une option pas supportable politiquement, jugent-elles. Leur compromis politique – une hausse modérée de 2 points – est un pari. «À 65 points, le référendum est une quasi-certitude, ce qui à coup sûr nous ramènerait au statu quo», plaide le syndic.

Ce n’est pas l’avis des socialistes, qui demandaient de monter le point d’impôt à 65.

[...]

24heures.ch

Energie, économie, social, immigration : L’Allemagne de Merkel est en feu et vit dans le mensonge.

Si l'Allemagne était une entreprise, il y aurait un panneau accroché à l'entrée déclarant : "On ferme." Infrastructures endommagées, Internet plus lent qu'en Roumanie, écoles sales, système énergétique en panne, avenir gâché : Le pays de Merkel est en feu.

Autrefois, l'Allemagne était un pays de précision, de fiabilité et de fabrication de la plus haute qualité, dont les produits sont demandés et appréciés dans le monde entier. Après quatorze ans de gouvernement Merkel, l'Allemagne n'est pas seulement un champ de ruines sur le plan économique. Et la prochaine crise frappe déjà à la porte.

La récession bat déjà son plein. Et cette fois, les choses ne se passeront pas aussi bien qu'il y a dix ans, pendant la crise financière mondiale. Car à présent, le noyau industriel souffre. Audi, BASF et Bayer, Thyssen-Krupp, Siemens et SAP annoncent des licenciements et des suppressions d'emplois.

Les constructeurs automobiles sous pression

Et il ne s'agit que des grands noms. D'autres grands constructeurs automobiles sont également en difficulté, aux prises avec des pertes, des problèmes massifs de ventes et des restructurations. Les entreprises de taille moyenne et les leaders du marché sont également sous pression depuis longtemps - des noms brillants comme Krone, WMF ou Vorwerk.

Dans le sillage des grands acteurs, les petits et moyens sous-traitants tombent également dans le piège. Si une petite entreprise de Basse-Bavière ou de Lusace doit fermer ses portes, ce n'est peut-être pas une grande nouvelle nationale. Mais pour la région touchée, quelques centaines d'emplois perdus sont aussi une catastrophe.

La classe moyenne se vide de son sang

Ce ne sont pas des cas isolés. Avec les nombreuses petites et grandes faillites et autres pertes d'emplois, la structure industrielle nationale, qui était jusqu'à présent l'épine dorsale de la prospérité allemande, est en train de s'effriter. Par le biais de cette hémorragie, la crise s'installe dans les salons de la classe moyenne et de la classe ouvrière.

Rien de tout cela ne tombe du ciel

Des politiciens, qui veulent continuer à collecter et à redistribuer l'argent des contribuables comme s'il n'y avait pas de lendemain, insistent encore à l'envi sur Donald Trump et sa guerre commerciale avec la Chine, ou sur le "démoniaque" Boris Johnson et son adhésion au "Brexit" : Or cette crise économique est essentiellement interne.

La "protection du climat" ruine le noyau industriel

[...] Les raisons des difficultés rencontrées par le principal équipementier automobile Continental sont déterminées par l'abaissement des limites d'émissions de gaz d'échappement et de CO2 pour les voitures à moteur à combustion interne et le passage forcé aux voitures électriques, ce que les politiciens veulent, mais pas les acheteurs de voitures. [...]

En période de récession, les politiciens forcent l'économie et l'industrie allemandes à s'attaquer à plusieurs projets de changement structurel important à la fois. Après la sortie du nucléaire, la sortie du charbon est également prévue. Pour les régions minières de lignite d'Allemagne de l'Ouest et de l'Est, cela signifie que même le dernier employeur industriel va migrer.

[...]

Le réseau routier et ferroviaire est depuis longtemps devenu obsolète et inefficace. Pendant des années, les investissements nécessaires à la préservation et au développement des infrastructures de transport n’ont pas été effectués. Malgré les recettes fiscales records - durant les années Merkel, les recettes fiscales des administrations publiques ont presque doublé - il n’y a jamais eu assez d’argent. [...]

L'argent dilapidé aujourd'hui fera cruellement défaut lorsque, dans une ou deux décennies, les baby-boomers d'aujourd'hui prendront leur retraite et que la demande de paiements augmentera fortement. Le conte de fées du "pays riche", avec lequel chaque gouvernement fédéral a justifié la poursuite du pillage des contribuables, a depuis longtemps cessé d'être vrai : en ce qui concerne le patrimoine moyen des ménages privés, l'Allemagne est presque au bas de la liste de l'UE, et se situe même loin derrière les pays du sud, qui demandent des transferts toujours plus urgents de l'Allemagne.

[...]

Le système éducatif allemand produit un grand nombre de diplômés de l'enseignement secondaire qui non seulement ne sont souvent pas apte aux études universitaires, mais ont également des difficultés avec l'allemand et les mathématiques, ainsi que des diplômés universitaires qui maîtrisent les études de genre et la pédagogie sociale, mais qui ne sont pas adaptés aux tâches complexes d'une société industrielle moderne. Parallèlement au déclin des Hautes Ecoles et des Ecoles secondaires, le nombre de spécialistes et de travailleurs qualifiés dont l'économie a un besoin urgent diminue également.

Les politiciens prétendent que les travailleurs qualifiés qui font défaut seront importés. La réalité est différente : Sur les deux millions de "travailleurs qualifiés" qui sont entrés dans le pays depuis l'ouverture des frontières par Merkel, une grande partie ne trouvera jamais sa place dans le monde du travail allemand ; une proportion considérable d'entre eux est analphabète et incapable de se former.

En revanche, les professionnels ont tendance à négliger les tentatives de recrutement allemandes. Qui voudrait travailler dans un pays qui offre des salaires plus bas et des impôts plus élevés que les pays d'immigration ? Face à l'escroquerie fiscale, les autochtones hautement qualifiés fuient également à l'étranger, tandis que le gouvernement importe constamment de nouveaux prolétariats migratoires.

Outre les projets idéologiques, les charges fiscales exorbitantes surtout liées à l'expansion incontrôlée de l'industrie du social, pèse sur la population active. Dans les partis et les médias dominants, des mécènes et des partisans maintiennent fermement le lobby social sous contrôle.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour les Observateurs.ch)

Deutschland-kurier.org/

Vaud : La Kosovare, voleuse récidiviste du social, ne sera pas expulsée car la magistrate considère la sanction comme «disproportionnée».

Nous en parlions déjà ici.

Evidemment, le mari de cette femme ne travaille pas non plus. Par cette décision, la magistrate banalise le vol de la Suisse, foule au pied la décision de nos compatriotes et humilie des générations d'Helvètes qui ont cotisé pour cette assurance sociale.

Ces gens viennent en Suisse car le Kosovo est corrompu à tous les niveaux et ne leur offre aucun avenir. En remerciement, ils volent notre pays sans aucune honte. Grâce à cette magistrate, ils resteront ici et continueront à piller le social! Voilà ce qu'est en vérité cet "état de droits" dont on nous rabâche sans cesse les oreilles : de la foutaise! On rappellera que Sommaruga a mis toute son énergie pour s'opposer à l'initiative de mise en oeuvre concernant les expulsions des criminels étrangers et promettait une expulsion pour ces abus!

 

**********

 

Habituée à arnaquer l’aide sociale, une maman kosovare de cinq enfants évite l’expulsion, qui est jugée «disproportionnée».

Son mari, revenu en Suisse après cinq ans d’expulsion, ne travaille pas. Et S., jugée jeudi dernier, a déjà été condamnée pour des arnaques au social, en 2015. Alors enceinte, elle n’avait pas pu être expulsée.

La présidente Viviane Durussel l’a condamnée, mais a refusé l’expulsion, jugée «disproportionnée».

(...)

20Minutes.ch

 

Rappels :

Elections en Valais. Darbellay Christophe (PDC) : calotte sur la tête, en train de faire des promesses à la communauté albanaise devant un drapeau albanais

Savary : «Le PS a des liens très forts avec les Albanophones»

Le Kosovo honore la socialiste Micheline Calmy-Rey.

Menaces de mort contre les inspecteurs de l'Ai au Kosovo

La Suisse aide le Kosovo et l'Albanie à coups de dizaines de millions

Suisse/Italie : démantèlement d’un trafic d’êtres humains organisé par un gang albanais lié au groupe paramilitaire Nuovo UCK. Certains de ces criminels habitent en Suisse.

Vaud : Toute la famille kosovare participait au trafic de stupéfiants

Fribourg : un Kosovar expulsé après… 13 condamnations dont un viol !

Bâle : 3 Kosovars tabassent un homme de 59 ans car il photographiait leur véhicule mal parqué. Les médias romands refusent de publier l’origine des agresseurs.

 

 

Genève: L’hospice général n’arrive plus à faire face à l’afflux de requérants

Plus 62% de demandes d’aide sociale en cinq ans, plus 1300 requérants d’asile à Genève en 2015 mais pas d’augmentation de budget pour l’Hospice général.

L’Hospice général se finance par son parc immobilier «qui a permis de compenser le manque de recettes mais qui est aujourd’hui compressé au maximum» et une subvention cantonale de 79 millions de francs par an, «inchangée depuis dix ans», constatent les délégués du personnel qui préfèrent rester anonymes. La Confédération verse également des fonds pour l’accueil des personnes issues de l’asile. «Mais celle-ci est absorbée par le logement en abris PC.» Ce qui a eu comme conséquence des suppressions de prestations pour les «cas Dublin»

Les craintes de suppression de postes émanent de l’annonce d’un budget déficitaire de 10 millions de francs pour 2016.

Source

Le tourisme social ne sera pas restreint

Avant les élections une majorité de la Commission de la sécurité sociale et de la santé du Conseil national avait encore voté pour les restrictions proposées par l'UDC concernant le tourisme social au détriment de l'AI, des prestations complémentaires et de l'AVS. Les élections passées, les choses se présentent différemment.

La Commission de la sécurité sociale et de la santé du Conseil des Etats a enterré hier trois propositions de l'UDC pour l'application de l'initiative populaire "contre l'immigration de masse" dans le domaine des assurances sociales. Le fait est pourtant qu'aucune autre idée n'a été avancée pour résoudre les problèmes posés par une immigration excessive et l'entrée directe des immigrants dans le système social suisse. Il appartient maintenant au Conseil fédéral d'appliquer enfin la disposition constitutionnelle exigeant une gestion autonome de l'immigration en prenant aussi des mesures contre les touristes sociaux. Le gouvernement a le devoir de proposer des solutions adéquates, faute de quoi la politique aussi démesurée qu'irresponsable menée actuellement finira par coûter très cher à la Suisse.

> Communiqué de presse CSSS-E

 

UDC suisse, le 4 novembre 2015

Stopper les abus sociaux et la coûteuse expansion de l’industrie du social pour garantir l’aide à ceux qui en ont réellement besoin

L'UDC a tenu une conférence de presse aujourd'hui pour présenter son nouveau document de fond sur l'aide sociale à l'intention des cantons.

L'UDC a tenu une conférence de presse aujourd'hui pour présenter son nouveau document de fond sur l'aide sociale à l'intention des cantons. En raison de la forte influence de l'industrie du social, l'aide sociale a évolué d'une aide transitoire donnée par l'Etat à des personnes en situation de détresse vers un "revenu de base garanti par l'Etat". Conséquence: les coûts de l'aide sociale ont plus que doublé durant les dix ans écoulés. Le généreux accueil de requérants d'asile et l'immigration de masse incontrôlée provoqueront ces prochaines années une explosion des coûts de l'aide sociale à la charge de la population laborieuse. L'industrie du social, les exécutifs et les autres partis politiques acceptent sans prendre de mesures efficaces la montée de ressentiments et la croissance des tensions sociales dans la population. L'UDC veut que l'aide sociale redevienne ce qu'elle était à l'origine: une aide transitoire en faveur de ceux qui en ont réellement besoin.

Les dépenses des cantons et des communes pour l'aide sociale ont doublé entre 2003 et 2012 pour atteindre 2,4 milliards de francs en 2012. Plusieurs exemples concrets confirment que  les communes ne peuvent plus payer les débordements de cette politique sociale, à moins d'augmenter massivement leurs impôts. En ville de Bienne, par exemple, quelque 80% des recettes fiscales de 137 millions de francs sont absorbés par l'aide sociale. En raison de la forte péréquation financière mise en place dans le canton de Berne, la facture sociale est réglée principalement par les communes payeuses. A Freienstein-Teufen (ZH), un seul cas social coûte 270 000 francs par an, soit 4% des recettes fiscales de la commune. La solidarité prend fin là où les abus et les excès conduisent manifestement à des injustices. Il ne faut pas croire que l'explosion des coûts résulte d'une augmentation imprévisible du nombre de cas de pauvreté; elle est bien plus la conséquence de prestations de base trop élevées, d'abus et du romantisme social de l'industrie du social. Ladite professionnalisation, c'est-à-dire le recours de plus en plus fréquent et le plus souvent disproportionné à des spécialistes comme des juristes, fiduciaires, psychiatres, assistants et travailleurs sociaux, a considérablement renchéri le système et provoqué un suivi excessif et une pathologisation des personnes assistées.

Explosion des coûts programmée d'avance par l'immigration incontrôlée et le chaos de l'asile

Les étrangers perçoivent deux fois plus souvent l'aide sociale. Dans le domaine de l’asile, 83 personnes sur 100 bénéficient également de l’aide sociale

On ne saurait par ailleurs ignorer la forte proportion d'étrangers vivant de l'aide sociale. En 2013, 46,7% des bénéficiaires de l'aide sociale étaient des étrangers. Cette proportion est deux fois plus élevée que la part des étrangers à la population totale (23,8%). En outre, de nombreux réfugiés reconnus ne travaillent pas, alors qu'ils seraient aptes à le faire et en auraient le droit. 91% des Erythréens en font partie, selon les derniers chiffres disponibles. D'une manière générale, 82,8% des personnes du domaine de l'asile ont touché l'aide sociale. Les communes qui accueillent des requérants d'asile doivent donc passer une deuxième fois à la caisse pour l'aide sociale. Dans ce domaine également, les charges totales sont dissimulées.  Notre généreux système social agit comme un aimant sur les migrants et coûte aujourd'hui déjà quelque 3 milliards de francs aux contribuables suisses, sans compter les 3 milliards pour l'aide au développement. Cette situation est d'autant plus choquante quand des étrangers et requérants d'asile ont plus d'argent en poche que des citoyens qui travaillent.

Exigence de l'UDC: le travail doit à nouveau valoir la peine

La Conférence suisse des institutions d'action sociale (CSIAS) est l'organisation professionnelle de l'aide sociale. En l'absence d'une loi fédérale cadre sur l'aide sociale, absence d'ailleurs justifiée, la CSIAS s'est autoproclamée coordinatrice de ce secteur. Par le biais de la centralisation et d'un égalitarisme forcené, cette organisation a réussi à imposer ledit "minimum social", donc une sorte de revenu de base garanti par l'Etat. Les normes CSIAS ne servent donc pas à lutter contre la pauvreté, mais elles ont pour but l'égalité matérielle de tous. Dans de nombreux cantons, ces normes sont ancrées dans les lois sous la forme de prestations normalisées. Cette politique a fortement encouragé la mentalité revendicatrice par rapport à la communauté. Diverses prestations absurdes de l'aide sociale comme des femmes de ménage pour les assistés, des courses en taxi pour les requérants d'asile ou des croisières en voilier pour des adolescents récalcitrants ont été récemment rendues publiques, déclenchant un vague de colère dans la population.

Voici un exemple réel, mais anonymisé d'un décompte complet tiré de la pratique

1 Ménage à 5 personnes. La femme n'a jamais travaillé et ne parle pas l'allemand. L'homme tombe prétendument toujours malade.12

2 Les besoins essentiels qui, selon la CSIAS, font partie du minimum social, sont définis de manière fort généreuse. Selon la CSIAS, ils comprennent, à côté de la nourriture, des vêtements, de l'énergie, de la tenue du ménage et des soins de santé, également des produits du tabac, les frais de transport, le téléphone et la poste, les cotisations aux sociétés, des petits cadeaux ainsi que des dépenses de divertissement et de formation, par ex. la radio/TV, le sport, les jouets, les journaux, le cinéma et la tenue d'animaux domestiques.


L'UDC ne veut ni supprimer l'aide sociale, ni réduire de manière générale toutes les prestations. Cependant, les dysfonctionnements qui se sont développés au fil des ans ont rendu l'aide sociale injuste – injuste en particulier pour celles et ceux qui, par leur travail et leurs impôts, doivent entretenir d'autres personnes. L'UDC exige donc qu'il vaille à nouveau la peine de travailler. L'aide sociale n'a pas à récompenser la paresse et les abus. Il faut donner une plus grande marge de manœuvre aux autorités locales et il faut bien faire comprendre qu'en principe personne n'a droit à des prestations dépassant un logement, de la nourriture et des soins médicaux de base et que, de surcroît, ces prestations sont temporaires.

Partant de ces considérations, l'UDC exige

  • que l'on mette fin à l'égalitarisme forcené et à la mentalité revendicatrice sans gêne à l'égard de la collectivité, mentalité encouragée par une industrie du social idéologique et irréaliste;
  • le maintien d'une différence financière par rapport à un revenu professionnel et l'introduction d'une aide sociale dégressive. L'aide sociale doit être mesurée de manière à ce qu'il vaille toujours la peine de travailler, donc que les assistés sociaux soient incités à chercher et à accepter un travail; en lieu et place d'un catalogue des prestations auxquelles ont droit les assistés, il faut une appréciation raisonnable de chaque cas particulier avec des prestations de base faibles et une obligation de travailler. Il faut faire des différences en fonction de l'âge, de l'état civil, du revenu précédent, de la durée du séjour en Suisse ainsi que de l'engagement et de la bonne volonté du sujet;
  • que le permis de séjour accordé aux immigrants soit strictement soumis à la condition que ceux-ci ne perçoivent pas régulièrement l'aide sociale, faute de quoi l'autorisation de séjour leur est retirée. Le droit à l'aide sociale doit être lié à une durée de séjour minimale en Suisse afin d'empêcher l'immigration et l'installation dans l'Etat social suisse. En cas d'escroquerie au détriment de l'aide sociale, les étrangers coupables doivent être immédiatement expulsés;
  • que les contribuables soient inclus dans ce processus par le biais d'initiatives populaires cantonales et communales afin de remettre politiquement à leur place la bureaucratie et industrie du social dont les pouvoirs sont devenus excessifs. En aucun cas la Conférence des directeurs cantonaux des affaires sociales ne doit continuer de soutenir les normes CSIAS;
  • la sortie des communes, villes, cantons et services publics de la CSIAS ainsi que la transparence des coûts au niveau communal;
  • que les normes CSIAS soient considérées pour ce qu'elles sont: des recommandations sans caractère obligatoire et excessivement généreuses lancées par des fonctionnaires de l'aide sociale et des romantiques du social;
  • une plus grande autonomie communale dans le domaine de l'assistance sociale et de la tutelle, car seul un ancrage local offre une protection réelle contre les abus et permet d'offrir une aide digne aux personnes qui cherchent à s'aider elles-mêmes. En application du principe "qui paie, commande", les responsabilités et le financement doivent être placés au niveau le plus bas possible;
  • une déprofessionnalisation raisonnable parce qu'une assistance bénévole et des organisations de milice comprenant des sociétés, fondations, églises et entreprises locales peuvent apporter une aide de transition plus efficace que des offices anonymes et d'onéreux fonctionnaires du social. En lieu et place de travailleurs sociaux universitaires, il faut, dans l'aide sociale et dans le service de la tutelle, recourir davantage à des personnes engagées dans la vie professionnelle, adoptant un raisonnement économique et ayant reçu une formation complémentaire pour exercer cette fonction à temps partiel;
  • que le principe du minimum vital défini dans le droit fédéral soit appliqué notamment aux jeunes, aux requérants d'asile et réfugiés ainsi qu'aux assistés sociaux non coopératifs;
  • un plafonnement des prestations selon le revenu précédent – par analogie à ce qui se fait dans les assurances sociales – pour protéger les fonctionnaires contre leur propre sentiment de pitié, voire contre des menaces.

 

UDC Suisse

Angleterre : Des jihadistes financés par l’argent des prestations sociales

L’argent des contribuables anglais est perçu frauduleusement et utilisé par des terroristes dans des pays comme l’Irak et la Syrie, d’après Terri Nicholson, membre de l’unité de lutte contre le terrorisme.[...]

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Le système de prestations sociales de la Grande-Bretagne est détourné pour financer le terrorisme met en garde un officier supérieur de la police. [...]

Elle a déclaré qu’il y eu récemment « un certain nombre de cas » de terroristes faisant de fausses déclarations de prêts aux étudiants pour financer leurs activités. [...] «Nous assistons à une fraude qui se diversifie, y compris la fraude en ligne, l’abus du système des prestations sociales, l’abus du système de prêts aux étudiants, afin de financer le terrorisme» [...]

Source via Fdesouche

France : La mère du terroriste Merah, « isolée » en couple, toucherait 2500 euros/mois de prestations sociales

Assiste-t-on, peu à peu, au retour des exilés du clan Merah ? Après l’arrivée, mardi, dans des conditions rocambolesques, à Marseille, du second mari de Souad Merah, Abdelouahed El Baghdadi, deux des enfants de la sœur aînée de Mohammed Merah, Souad, sont eux aussi de retour à Toulouse. Agés de 10 et 14 ans, ces deux garçons sont arrivés à l’aéroport de Toulouse-Blagnac, en provenance d’Algérie, mardi, accompagnés de leur père. Un retour qui devrait leur permettre de reprendre le fil de leur scolarité. La mère des enfants, Souad Merah, se trouverait toujours près d’Alger avec ses deux autres fils de 9 mois et 3 ans.

Le lieu de villégiature de cette femme de 36 ans, proche des milieux salafistes, a alimenté les plus folles rumeurs depuis son départ de Toulouse, au mois de mai, avec ses quatre enfants. Le parquet avait ouvert une enquête préliminaire pour «disparitions inquiétante de mineurs». Investigations confiées aux enquêteurs de la sûreté départementale….

Le 20 mai, une école toulousaine signale l’absence anormale et répétée d’un des enfants de Souad. Les enquêteurs se rendent au domicile de la mère, quartier du Mirail, à Toulouse. L’appartement est vide et les enfants ont disparu.

Les investigations menées permettent d’établir le parcours de Souad Merah. La mère de famille,sans emploi qui touchait mensuellement 2500€ de prestations sociales (mère isolée, quatre enfants), a embarqué depuis Barcelone le 9 mai à 12 h 25 sur un vol de la Turkish Airlines pour Istanbul….

La Dépêche

Un ado au social fait de la voile pour 110’000 fr.

Depuis 4 mois, un jeune à problèmes de 14 ans de Schmerikon (SG), navigue sur un voilier dans le cadre d'un programme social. Coût de l'opération: 110'000 fr. Sa mère est outrée.

topelement

Cette histoire ressemble étrangement à celle de Carlos, ce jeune délinquant multirécidiviste qui avait bénéficié d'un programme onéreux de réinsertion en milieu ouvert. Cette fois, ce ne sont pas des cours de boxe thaïe ou encore un appartement de 4 pièces et demie qui paraissent démesurés, mais une thérapie se déroulant sur un voilier. Cela fait maintenant quatre mois que Marco*, un ado à problèmes de 14 ans habitant Schmerikon (SG), navigue sur le bateau Salomon dans le cadre d'un programme social. Le navire - appartenant à une fondation suisse - accueille chaque année des jeunes difficiles entre 14 et 18 ans. Le but de l'opération est de les remettre dans le droit chemin.

Suite

Suède : l’immigration effrenée entraîne l’effondrement du modèle social

Suède: le premier ministre demande aux citoyens de disparaître pour financer l’immigration.

Image à la Une : Elin Krantz, 27 ans. Militante antiraciste, était une fervente partisane d’une Suède multiraciale, faisant notamment une large place aux immigrés afro-musulmans. En 2010, l’un d’eux la viola sauvagement au point de la laisser désarticulée dans un sous bois, la tête écrasée.

 

Depuis de nombreuses années, la Suède a favorisé une politique d’immigration de masse des plus folles, favorisant l’éclosion de l’un des germes les plus virulents, qui tue démographiquement la race blanche européenne dans une extase suicidaire sans précédent : l’accueil illimité sur le sol suédois d’immigrés du monde musulman en faillite.

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La vice-présidente socialiste de la région Ile-de-France bénéficie d’un logement social

La vice-présidente socialiste de la région Ile-de-France occupe, depuis dix ans, un logement social d'une surface de près de 70 m2 dans le XIIIe arrondissement de Paris contre un loyer mensuel de 1 218 euros.

Le comble : c’est elle qui, aujourd'hui, transmet les dossiers des demandeurs de logements sociaux aux bailleurs franciliens car la Région possède un droit réservataire sur quelque 9 700 HLM...

 

 

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