SNCF : des titres de transport gratuits pour les migrants, rien pour les français

Depuis des années, Laurent Wauquiez, président LR de la région Auvergne Rhône-Alpes et la SNCF ont signé un accord pour que les citoyens et les demandeurs d'emplois, indemnisés en dessous du Smic, bénéficient de cartes de réduction SNCF pour leurs recherches d'emploi. Ainsi, en théorie, la carte illico solidaire SNCF est gratuite et valable un an pour cette catégorie de personnes. Elle offre une réduction immédiate de 75 % sur les billets de seconde classe des trains TER, et une gratuité pour les demandeurs d'emploi qui se rendent à tes entretiens d’embauche, ou à des entretiens préalables à une formation (uniquement pour les moins de 26 ans).

Les jeunes en contrat d'apprentissage ou de professionnalisation, les jeunes inscrits en Missions locales, etc, peuvent aussi en bénéficier si leur dossier est accepté par la SNCF. Il semblerait néanmoins que le nombre de cartes illico solidaire soit limité. Dans le fief de Laurent Wauquiez, ancien ministre de l'emploi sous Nicolas Sarkozy, on constate que de nombreuses demandes, présentées par des patronymes français, sont régulièrement rejetées par les "nantis de la SNCF" (qui bénéficient de la gratuité illimitée des transports ferrés pour toute leur famille, et même leurs parents) au motif qu'il manquerait une pièce.

Contacté par téléphone ce 11 avril 2022, un agent SNCF gérant les cartes illico solidaires ne dément pas nos informations, mais tempère : "les migrants comprennent moins bien les subtilités de la langue française pour le montage des dossiers. Dès lors, nous faisons preuve d'une relative indulgence...". C'est énorme dans la France de Voltaire, et cela explique peut être le grand nombre de migrants rencontrés dans les trains. Pour eux le trajet est gratuit, via la carte illico solidaire.

Bien sûr, les migrants ont le droit de se déplacer, dans la mesure où ils ne commettent pas d'agressions dans les trains. Mais, les français survivant avec en moyenne 500 euros, dans le cadre de l'ASS (Allocation spécifique de solidarité) ou le RSA, ont eux aussi le droit de se déplacer avec une égalité de traitement tarifaire identique aux migrants accueillis en masse par la République française.

Nous reproduisons, ci-dessous, le courrier adressé par un Ardéchois au directeur du service de gestion des cartes illico solidaire SNCF, dénonçant les anomalies de ce service et les traitements de dossiers bâclés, ou menés à la tête du client. L'homme écrit :

"Monsieur le Directeur,

Vous êtes beaucoup plus souple avec les musulmans ou les immigrés que vous ne l'êtes avec les français qui doivent survivre avec l'ASS. C'est ce type de comportement de “nanti de la SNCF” qui va contribuer à un 3 ème tour de la présidentielle dans la rue.

Pour la demande de renouvellement de ma carte, dont les références sont mentionnée plus haut :

- Je ne vous ai pas adressé une attestation de paiement pôle emploi contrairement à ce que vous écrivez (j'imagine que vous n'avez même pas lu le document), mais l'attestation de renouvellement de l' ASS au 15 mars 2022.

- Je vous adresse en pièce jointe une photocopie de la carte d'identité, document qui ne m'avait pas été demandé lors des précédents renouvellements, puisque vous l'avez dans le dossier, probablement informatisé.

- A défaut de carte illico solidaire, je ne me rendrais pas à un entretien d'embauche à Clermont Ferrand le 14 avril, et j'utilise votre courrier pour en justifier auprès de Pôle-Emploi.

Avec vous, les “nantis de la SNCF”, on a la France qui gagne, la France en marche, et vous contribuez au redressement du Pays.

Salutations."

En cette semaine sainte, marquée par le chemin de croix et les élections, on assiste aux difficultés d'un français moyen, lâché par son pays, victime de nantis obtenant la retraite à 50 ans ou 55 ans, dans une République En Marche. Merci Monsieur le Président.

La SNCF doit accorder les mêmes avantages tarifaires à tous les voyageurs vivant sous le seuil de pauvreté, qu'ils soient caucasiens, musulmans, africains, asiatiques, etc

Francis GRUZELLE

 

Prisons : 7 détenus sur 10 seraient musulmans

Réalité ou intox ? Selon un rapport de l'administration pénitentiaire que nous avons pu consulter grâce à l'ouverture d'esprit d'un directeur d'un établissement, 50 % des détenus ont sollicité un plateau repas spécial lors du dernier ramadan contre 27,5 % de détenus, en 2016, qui avaient demandé un repas spécial ramadan . Cette estimation doit aussi comporter une pondération chiffrées, puisque tous les musulmans ne pratiquent pas nécessairement le ramadan, et une partie des détenus musulmans purgent leur peine sous bracelet électronique à leur domicile.

Ces chiffres sont alarmants, car le gouvernement Castex affirme que les étrangers en France (ils ne sont pas tous musulmans) ne représentent que "7 % de la population totale". Sur cette base, je vous laisse calculer les taux de criminalité entre les communautés.

De manière plus globale, l'évaluation pénitentiaire de 60 % ou 70% de prisonniers musulmans, souvent citée par le candidat patriote Eric Zemmour, correspond à une estimation obtenue après une enquête sociologique  du sociologue Farhad Khosrokhavar. Ces chiffres ont une base réelle et officielle.

Le 19 mars 2021, lors d'un débat avec l'humoriste Yassine Belattar sur CNews, Eric Zemmour avait déclaré que "70 % de la population en prison est musulmane". Interrogé par l'animateur Pascal Praud sur la source de ces statistiques, le journaliste du Figaro déclarait les tenir d'un "rapport parlementaire".

Déjà en 2014, "Cette estimation de 60 %" avait été confirmée par le rapport du député UMP de l'Yonne Guillaume Larrivé.

L'ouvrage du sociologue Farhad Khosrokhavar paru en 2004 confirme, dès cette époque, le taux très élevé de détenus musulmans. Farhad Khosrokhavar avance que dans les prisons françaises, le taux de prisonniers musulmans dépasse "souvent les 50 %, avoisinant parfois les 70 %, voire les 80 % dans les prisons proches des banlieues, soit huit prisonniers sur dix".

A la lumière de cet éclairage chiffré, l'élection présidentielle, qui se joue dans deux mois, est un véritable choix de société. Soit la France poursuit sa politique d'accueil de millions de migrants supplémentaires et se doit de construire des prisons pour les années à venir. Soit l'électorat français fait confiance à Eric Zemmour, homme de conviction et de parole pour stopper la criminalité et la délinquance d'origine étrangères dans notre pays. Chaque français a les clés de l'avenir entre ses mains via son bulletin de vote.

 

Macron a accueilli 1,8 à 2 millions de migrants supplémentaires

A deux mois de l'élection présidentielle, le député européen Brice Hortefeux, invité de la matinale de Sud Radio, voici quelques jours, a affirmé : "la France n’a jamais accueilli autant de migrants sur son territoire et j'estime qu’il y en a 1,8 million de plus qu’au début du quinquennat d’Emmanuel Macron". Eric Zemmour, pour sa part, avance le chiffre de 2 millions.

L'ancien ministre de l'intérieur Brice Hortefeux a détaillé l'invasion migratoire : "la réalité du bilan de la politique migratoire d’Emmanuel Macron. c’est que, un, il n’y a jamais eu autant d’étrangers sur notre territoire, dans notre histoire. Ça ne s’est jamais produit. Au total, sur le quinquennat, cela fera globalement 1,8 million de migrants supplémentaires sur notre territoire, autour de cela. Il y a les titres de séjour, de l’ordre de 270.000, les demandeurs d’asile autour de 100.000, vous avez les clandestins à peu près 40.000 par an, et ainsi de suite. Donc vous arrivez à ce que je vous dis. Il n’y aurait pas eu la crise du Covid, on serait à 2 millions."

Nous avons vérifié. Et ça tombe bien puisque le bilan annuel des chiffres clés de l’immigration du ministère de l’Intérieur est tombé la semaine dernière.

Inter titre : Il y a les titres de séjour, de l’ordre de 270.000 par an.

C’est vrai. Brice Hortefeux connait ses chiffres. En 2021, 271.675 titres de séjour ont été délivrés, soit une hausse de 21,9 % par rapport à 2020 (année Covid).

Inter tire : Les demandeurs d’asile sont autour de 100.000 par an.

C’est vrai. 104.577 premières demandes en guichets uniques ont été déposées, contre 81.531 en 2020, soit une hausse de 28 %. Y a bon la France, ses allocations familiales, ses logements gratuits, ses APL, ses aides diverses. Il faut bien utiliser les impôts des contribuables !

Vous ajoutez à tout ça les clandestins, à peu près 40.000 par an, et ainsi de suite…

C’est là que ça se complique. Qui dit clandestin, dit personne en situation irrégulière, qui souvent se cache, et qui par définition est difficile à compter. Donc les chiffres fournis par le ministère de l'intérieur sont très inférieurs à la réalité et ne reflètent pas la réalité de l'invasion migratoire.

Ce que l’on sait, c’est que près de 200.000 migrants clandestins sont arrivés dans l’Union européenne l’an dernier, le chiffre le plus élevé depuis 2017, selon Frontex, l’agence européenne des frontières.

Inter titre : 600 000 à 700 000 clandos selon le ministre Darmanin

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin a indiqué dans le journal Le Parisien qu’il estimait à 600.000 à 700.000 le nombre de clandestins. Durant la période du gouvernement Hollande, le nombre de clandestins en France était estimé à 300.000 personnes.

Les chiffres du ministre de l'intérieur confortent l'estimation d'Eric Zemmour qui défend, bec et ongle, le chiffre de 2 millions de migrants supplémentaires depuis le début du quinquennat de Macron. Eric Zemmour connait ses dossiers dans le cadre de sa campagne de reconquête.

En 2020, environ 320.000 personnes bénéficient de l’AME (Aide médicale de l’État), selon le gouvernement Castex. Ce chiffre parle de lui-même.

Inter titre : 2021 : 52 000 migrants "pagaient" pour traverser la manche

En 2021, 52.000 migrants ont tenté la traversée clandestine de la Manche vers la Grande-Bretagne, dont 28.000 ont réussi à rallier les côtes anglaises, selon le ministère de l’Intérieur. 1 002 migrants naufragés au large de Calais et mis à l’abri en 2021 contre 341 en 2020, soit une augmentation de 194 %, selon l’Ofii (Office français immigration intégration).

 

Nos sources

– Caisse Nationale d'Assurance Maladie

_ Ministère de la Santé

Ined

– Insee

– Nations Unies

– Organisation internationale pour les migrations

– Ministère de l’Intérieur

– Pew Research center

– Global migration data analysis centre

La Montagne

ALERTE : un officier parachutiste appelle à la guerre civile maintenant

Dans la foulée des tribunes de militaires de ces dernières semaines, un officier parachutiste (présenté comme un commandant) a pris la parole sur le fil Telegram de Gallia Daily pour appeler à la conduite de la guerre civile dès maintenant. Après mûre réflexion, nous avons choisi de rediffuser ce texte intégralement, compte tenu des réactions qu'il suscite dans l'état-major. Prise très au sérieux par le commandement de l'armée, cette interview aux accents hégéliens mérite d'être lue à tête reposée pour mesurer l'écart qui sépare la perception parisienne (dominante dans les médias subventionnés) de la réalité, et la perception opérationnelle. Ce texte méritera de plus amples authentifications, mais il témoigne d'un état d'esprit à connaître et à ne pas négliger dans certains "segments" de l'armée aujourd'hui.

Le texte qui suit est tiré d’un fil Telegram relativement confidentiel, appelé Gallia Daily. Il produit une interview présentée comme celle d’un officier parachutiste d’active qui inquiète beaucoup les généraux en activité. L’interview est disponible en anglais et en français. L’officier qui prend la parole anonymement affirme appartenir à un groupe amical d’officiers d’active qui préparent une riposte à une guerre civile. Nous laissons chaque lecteur se forger une opinion sur ce texte, qui nous semble répondre utilement aux tribunes que nous avons intégralement publiées ces dernières semaines

Sur la lettre des généraux

Gallia Daily : Mon Commandant, merci de nous recevoir. Pour commencer, pouvez-vous nous dire pourquoi vous pensez que les généraux ont ressenti le besoin d’écrire cette lettre, et pourquoi maintenant en particulier ?

Je crois qu’à certains égards, l’armée a porté le poids du silence pendant trop longtemps. Nous sommes liés par un devoir de réserve, de neutralité. Nous ne sommes pas autorisés à exprimer notre opinion sur la situation, mais cela ne signifie pas que nous n’avons pas d’opinion.

Je dirais même qu’au contraire, un militaire français (et encore plus un officier) a une vision infiniment plus claire et plus réaliste de la situation du pays que beaucoup de civils. Les militaires voient très bien la pente sur laquelle notre pays s’engage. Et la lettre le résume très bien : nous nous dirigeons tout droit vers un éclatement violent du pays. Tout militaire honnête peut le voir, mais aucun militaire n’est autorisé à le dire.

Quand on est le gardien d’un pays et que l’on est chargé de protéger sa tranquillité et son avenir, c’est une véritable torture de ne pas avoir le droit de tirer la sonnette d’alarme. En nous demandant de nous taire, la République nous demande de nous taire comme un père qui verrait ses enfants avaler un poison mortel… Cela faisait quelques années (quelques décennies) que les militaires se taisaient, mais maintenant je pense que c’était trop, « il fallait que ça sorte ».

Pourquoi maintenant précisément ? Est-ce à cause d’un changement profond de la société qui nécessiterait de s’exprimer ? Bonne question. Je ne le pense pas. Je crois que c’est précisément parce que tout devrait changer mais que rien ne change qu’il était nécessaire de s’exprimer. Nous sommes au bord de l’abîme et rien ne change.

GD : Le contenu de cette lettre vous semble-t-il trop alarmiste ? Extrémiste ? Exagéré ? Que pensez-vous de la substance de leurs propos ?

En un mot ? Prophétique. Cette lettre est froide et prophétique. Et c’est pourquoi elle est dérangeante. C’est mon analyse personnelle, mais je crois que la partie de la lettre où nos Anciens parlent de la guerre qui vient et des « milliers de victimes » qui vont s’accumuler, est la plus frappante. Et la plus inquiétante.

Car d’une certaine manière, cette lettre nous invite à faire un saut dans le futur, à former cette vision : imaginez la rue de votre village ou de votre ville, avec des voitures brûlées et renversées, une odeur de cadavres, un voisin accroché au lampadaire ou mort sur le trottoir, le visage écrasé. Imaginez la place de votre ville transformée en champ de tentes de l’ONU pour accueillir les réfugiés de guerre. Imaginez la chapelle de votre hameau transformée en cache d’armes, en tour pour un TP [sniper] ou en hôpital de fortune… Imaginez le parc où jouent vos enfants transformé en cantonnement pour une section de combat en transit… Imaginez les larmes dans votre famille, chez vos amis, lorsque chacun devra choisir son camp…

Cette lettre n’est pas seulement une lettre. C’est une image mentale de notre futur proche, une image de notre patrie détruite par la guerre. Et personne ne veut avoir cette vision. Alors certaines personnes jurent de détruire ceux qui, en écrivant cette lettre, ont apporté cette vision dans leur vie.

Cette lettre est-elle extrême ? Je ne le pense pas. Au contraire, je pense qu’elle est très tiède. Avec tout le respect que je dois à nos aînés, il me semble que l’âge les a rendus doux et sages, peut-être trop. La situation est, je crois, infiniment plus grave que ne le laissent entendre nos aînés.

GD : On sait que cette lettre a été écrite et signée pour moitié par des militaires retraités, et pour moitié par des officiers de deuxième section et des réservistes. On peut donc se demander si le contenu de cette lettre représente une vision isolée de quelques vieux soldats, ou si cette vision est partagée au sein de l’armée active ?

Dans l’armée, il y a ceux qui n’ont aucune opinion sur rien, et qui n’ont pas non plus d’opinion sur cette lettre. Et il y a ceux qui ont une opinion sur tout. Parmi ces derniers, je dirais que la grande majorité de l’Institution est d’accord avec la déclaration contenue dans cette lettre. Des soldats, aux sous-officiers, aux officiers, je pense que tout le monde est d’accord.

Il y a forcément des débats sur le fond, certains sont plus radicaux, d’autres moins, d’autres trouvent qu’il était maladroit d’écrire une lettre publique. Mais dans l’ensemble, tous les militaires partagent le constat d’une France qui s’effondre.

Il n’y a pas de sondage, vous devrez donc me croire sur parole. Mais pour vous donner un exemple : nous avons beaucoup discuté de cette lettre avec certains de mes anciens camarades de promo à l’EMIA, et la totalité de mes camarades sont d’accord avec cette lettre. Pas 51%, ou 60%. 100 %. 100%… Même chose à Cyr [ESM de Saint Cyr]. Il en est de même pour la dernière promotion de Saint Maix [école de sous-officiers].

Ce que j’essaie de vous faire comprendre, c’est que presque tous les jeunes cadres de notre armée, les futurs sergents, lieutenants, colonels et généraux, sont conscients que la France est certes en train de s’effondrer. Mais surtout, ils sont conscients qu’elle va vers la guerre. C’est un sujet dont nous parlons très librement entre nous, dont nous parlons très souvent.

Quelques jours avant cet entretien, j’étais dans mon régiment et je suis allé à la popote de ma compagnie. La télévision était allumée et ils parlaient de la lettre. Un jeune caporal de ma compagnie rigolait et disait à son sergent :  » Putain, nos familles pensent qu’on va se battre contre Daesh dans le désert, mais en fait on va finir dans un VBCI [blindé] dans les Yvelines, la bataille de nos vies va être la bataille de France… « . C’est anecdotique, mais je pense que cela représente bien le sentiment d’une grande partie des soldats français : la bataille de notre vie, ce sera la bataille de la France….

Vous trouverez forcément des gens, soldats et officiers, qui ne sont pas d’accord avec cette lettre. Dans une armée de 300.000 hommes, c’est statistiquement évident. Mais je répète mon propos : pour l’immense majorité des soldats de nos armées, la question du déclin de la France ne se pose même pas. Le déclin de notre pays est une évidence pour la quasi-totalité d’entre nous.

GD : Les généraux qui ont signé cette lettre sont-ils influents et écoutés ? Ont-ils une emprise ou une influence sur les soldats français ?

Non, absolument pas. La plupart des militaires sont déjà incapables de nommer leur chef de corps ou leur chef BOI… Les militaires ne connaissent pas la plupart des généraux et des officiers qui ont signé cette lettre. C’est logique et c’est très bien comme ça.

Comme je l’ai dit, l’objet de cette lettre n’est certainement pas un appel à l’action dirigé contre les soldats. À l’exception de quelques députés malhonnêtes, je pense que personne ne le croit. Cette lettre est un appel à l’action dirigé vers les politiciens. C’est aussi un appel à la prise de conscience adressé au peuple français.

A partir de là, le statut de ces généraux n’a pas d’importance. Peu importe qu’ils soient respectables, respectés, influents, médiatiques…. De toute façon leur vocation n’est pas d’agir, et je crois qu’elle ne l’a jamais été.

Leur rôle était d’écrire, et ils l’ont fait. Ils étaient les messagers d’un message important et urgent. Aujourd’hui, tout le monde s’en prend au messager. Ils cherchent à les punir, à les faire renvoyer, ils cherchent leurs antécédents… Ou au contraire, certains se mettent à espérer que ces généraux vont agir, qu’ils vont faire quelque chose, ils attendent béatement que l’armée agisse…

Les deux positions sont idiotes. Elles se focalisent sur le messager, dans un cas avec haine et dans l’autre avec espoir. Mais dans les deux cas, ces positions occultent l’essentiel : ce qui compte ici, c’est le message qui nous est adressé. Le reste n’a pas d’importance.

Comme je l’ai dit, personne dans l’armée ne croit une seconde que ces généraux vont faire quelque chose. Personne. Et je ne pense pas que les généraux eux-mêmes aient jamais prévu de faire quoi que ce soit.

Je le dis donc à la fois aux « républicains antimilitaristes inquiets » et aux « césaristes providentialistes enthousiastes » : n’attendez rien de ces généraux, et n’attendez rien de l’armée en général. Il ne se passera rien de ce côté-là. Cette lettre était une alerte, rien de plus, il n’y a pas de complot de militaires patriotes qui, dans l’ombre, préparent un coup d’état pour sauver la France.

J’ai vu dans la liste de questions que vous m’avez envoyée de la part de vos lecteurs américains que beaucoup font référence au mouvement Qanon. Je ne suis pas un expert en politique intérieure américaine, mais d’après ce que je comprends, le mouvement Qanon est un mouvement d’Américains complotistes qui croient que, face à une élite internationale malveillante, il y aurait à la tête de nos pays une élite cachée et positive qui agirait dans l’ombre au nom du peuple, pour ainsi dire.

Que cette théorie soit vraie ou fausse, je considère que toutes les théories qui encouragent la passivité sont néfastes. Si demain une rumeur essaie de vous faire croire qu’il y a des gens de votre côté et qu’ils vont libérer le pays pour vous et changer les choses alors que vous êtes assis sur votre canapé, alors c’est un mensonge.

Je le dis pour les Français et pour la plupart des autres peuples : il n’y a pas de groupe dans l’ombre qui travaille pour défendre vos intérêts ; il n’y a pas de conspiration de généraux, de milliardaires ou de politiciens pour changer les choses au nom du peuple. Il n’y a rien de tel.

Si demain des généraux vous disent : « Restez chez vous, nous avons le contrôle, nous nous occupons de tout, le pays sera bientôt libre », ils vous mentent. Faites exactement le contraire de ce qu’ils vous disent, agissez, ne soyez pas passifs. La liberté est nécessairement active, la passivité est un esclavage. L’homme passif est toujours soumis à la volonté des hommes qui agissent.

GD : Donc selon vous, les généraux ou l’armée n’ont aucun rôle à jouer ?

Ce n’est pas exactement ce que je dis. A mon avis, l’armée, les figures charismatiques, se contentent toujours d’accompagner et de structurer les grandes dynamiques anthropologiques.

Il est très probable qu’un jour, pour une raison ou une autre, la population française se mettra à bouger sur des bases plus ou moins claires. Et il est très probable qu’à ce moment-là, une fois la fenêtre d’opportunité ouverte, l’armée en profitera et pèsera de tout son poids d’un côté ou de l’autre.

Mais je doute sincèrement que l’armée puisse avoir un quelconque rôle de leader. Pas plus il y a 100 ans qu’aujourd’hui. L’armée aura un rôle à jouer, peut-être même un rôle décisif. Mais vous ne devez rien attendre de l’armée, vous ne devez rien attendre de ces généraux pour le moment.

Je sais que c’est dur d’attendre, on aimerait penser que quelque part des vieillards sages et paternels veilleraient sur nous. Mais pour l’instant, ces soldats qui ont signé la lettre ont joué leur rôle : ils ont parlé au nom des soldats d’active, ils ont alerté les Français. Leur rôle s’arrête là. La balle est maintenant dans le camp des Français. L’acteur principal du prochain acte ne sera pas l’armée, ce sera le peuple français. Ce sera vous. L’armée la plus puissante de France, c’est vous, une coalition de 67 millions de civils.

Sur le « Grand Remplacement »

GD : Dans leur lettre, les généraux évoquent à demi-mot le problème de l’immigration, de l’anarchie, et de l’antiracisme agressif d’une partie de la gauche. Que pensez-vous de cette analyse ?

Leur analyse est à la fois très juste et très fausse, car elle est partielle. Elle est correcte dans le sens où les problèmes cités [islam, immigration, antiracisme] représentent une menace. Mais elle est fausse dans le sens où les généraux n’ont pas identifié ce qui est menacé en fin de compte.

Ce qui est menacé, ce ne sont pas  » les valeurs de la République « , ni nos lois, ni notre système parlementaire, ni notre  » vivre-ensemble « . Ce qui est menacé, c’est la France. C’est le droit des Français à disposer d’un territoire pour y vivre. Ou pour reformuler en des termes certes polémiques mais plus précis : ce qui est menacé à moyen et long terme, ce sont les Français de souche.

Les menaces dont parlent les généraux sont l’expression très concrète d’une évolution absolument inédite dans l’histoire de notre pays : une nation forte et dominatrice, invaincue et invincible, se lasse de sa surpuissance et décide de s’inventer des problèmes pour s’occuper. Ainsi, elle se retrouve rapidement affaiblie et culpabilisée au point de se suicider démographiquement. La France n’est pas attaquée, elle ne meurt pas tuée par un ennemi plus fort. Elle se suicide.

Mais le caractère suicidaire de notre situation actuelle n’enlève pas la responsabilité des élites ou des populations nouvellement arrivées. Celui qui frappe un homme dans le dos mérite la corde. Celui qui frappe un homme déjà à terre mérite la corde. Les élites et les lobbies sont coupables de trahir et de frapper la France dans le dos ; les populations colonisatrices sont coupables de frapper un pays déjà à terre.

C’est ce débat qui devrait être au centre de la scène publique, et c’est ce débat tabou qui n’est pas évoqué par les généraux : celui de la tension raciale qui commence et qui va atteindre un pic paroxystique.

La question qui se pose au XXIe siècle est celle de savoir si les Français de souche auront encore un pays à la fin du siècle. C’est tout. Tous les autres débats sont des circonvolutions pour parler de ce sujet sans en donner l’impression.

GD : Au Gallia Daily, nous avons essayé de créer une définition simple de la théorie du « Grand Remplacement » revendiquée par l’extrême droite.

« Grand remplacement : l’idée que, depuis la fondation de la France, les habitants de la fin d’un siècle ont toujours été les descendants des habitants du début de ce siècle ; un équilibre démographique qui va se modifier au cours du XXIe siècle, les habitants de l’année 2099 n’étant pas, pour beaucoup, les descendants de ceux qui vivaient en France en 2000, 1900, 1800… »

Que pensez-vous de cette théorie selon cette définition ?

Cette définition a le mérite d’être simple et exhaustive. Mais elle est absolument inutile, pardonnez-moi. Ce que vous décrivez est une évidence évidemment évidente. Pas besoin d’une définition de 100 mots pour s’en rendre compte… Qualifier simplement cette observation de « théorie » est un non-sens. Ce n’est pas une théorie, le remplacement démographique est une observation empirique de base.

On peut s’en réjouir, le déplorer, vouloir l’accélérer, le ralentir, l’aménager, le stopper, l’inverser…. Cela n’a finalement aucune importance. Ce fait existe, toutes les statistiques le montrent : je n’ai plus en tête les chiffres de la drépanocytose [note : 40% de naissances non européennes en 2016], mais ils sont, me semble-t-il, une preuve indéniable que la structure ethnique de notre pays est en train de changer. Les bébés qui peuplent nos maternités ne sont pas les arrière-petits-enfants des Français du XVIe siècle. Celui qui ose dire le contraire est un négationniste.

Mais en réalité, tout le monde est conscient que le remplacement démographique est une réalité. Ceux qui nient l’existence de ce phénomène en sont également conscients ; s’ils le nient, c’est uniquement dans le but de le prolonger. Celui qui dit « le grand remplacement n’existe pas » dit en fait « je sais qu’il existe, je veux qu’il se prolonge, donc pour cela il faut que je nie qu’il existe pour ne pas choquer et réveiller la population ».

Vous imaginez bien que si demain les députés de LFI disaient « Nous sommes les candidats du Grand Remplacement, le fait que les Français de souche disparaissent est une chance pour notre pays ! », ça ferait mauvais genre. C’est pourtant exactement leur ligne politique. Un député LFI sait très bien que les Français de souche existent, et qu’ils sont en train de disparaître.

Le déni de la réalité est donc toujours un moyen pour eux de protéger le statu quo, c’est-à-dire de prolonger l’extinction de notre peuple.

GD : Donc pour vous le « Grand Remplacement » est une réalité ?

C’est une évidence, quel que soit le nom qu’on lui donne. Le fait est qu’un couple français qui donne naissance à un enfant en 2021 doit être conscient que cet enfant grandira dans un pays où il sera minoritaire, où les tensions raciales seront exacerbées. Je ne dis pas « l’enfant sera minoritaire demain », je dis « nos enfants sont déjà condamnés à être minoritaires chez eux, déjà aujourd’hui ». Je le sais d’autant mieux que j’ai 4 enfants.

Un militaire a la chance de pouvoir rentrer chez lui le soir et d’enlever ses Haix et son Felin [uniforme]. Nous pouvons enlever notre uniforme et vivre une vie normale après tout. Nos enfants n’auront pas cette chance, ils porteront leur uniforme toute leur vie : leur peau blanche est leur uniforme dans cette guerre atroce qui leur est déjà faite, une guerre qui va s’intensifier. J’espère que les parents qui lisent ceci en sont conscients : le monde que vous connaissez n’existe plus pour vos enfants. Il n’existe plus. Leur monde, c’est le Brésil mélangé au Liban, ce n’est pas les Trente Glorieuses ou les dessins animés de Gullie.

Alors oui, non seulement le phénomène du changement démographique est une réalité. Mais c’est même le principal clivage politique du pays. Au final, consciemment ou non, tout le monde se structure autour de ce sujet ou de ses satellites. La gauche trouve que 400 000 immigrés par an, ce n’est pas assez, que [40 %] des naissances africaines, ce n’est pas assez. La droite trouve que c’est un peu trop, mais que si Mokhtar s’appelait François, se convertissait à l’athéisme LGBT et obtenait sa carte d’identité française, tout irait mieux pour notre pays.

Pour l’instant, ces débats sont puérils et hypocrites. Mais la discussion deviendra plus tendue et plus radicale lorsque les Français comprendront qu’il ne s’agit pas seulement d’un débat théorique, lorsqu’ils comprendront que c’est leur vie, en tant qu’individus et en tant que peuple, qui est en jeu.

GD : Pensez-vous que les Français comprennent la gravité de la situation de leur pays ? Pouvez-vous donner votre vision de la France dans 5 ans ? 10 ans ? 20 ans ? Pensez-vous que les choses vont empirer, ou êtes-vous optimiste ?

Les Français comprennent-ils la gravité de la situation ? Absolument pas. Je le pense vraiment. J’ai beaucoup de respect pour les civils et je sais que certains d’entre eux comprennent très bien ce qui se passe, car ils en souffrent tous les jours. Mais sincèrement, la plupart des Français ne comprennent pas du tout ce qui se joue.

Les Français vivent tranquillement leur vie, ils ne comprennent pas qu’au quotidien, leurs élites négocient leur avenir. Le bloc de gauche tente d’obtenir l’effacement total des Blancs pour satisfaire leur besoin maladif de pardon et leur sentiment d’injustice blessée. Et le bloc de droite essaie de négocier les termes de la capitulation, sur la base de « oui, les Blancs sont une minorité juste parmi d’autres qui doit être protégée dans une certaine mesure, s’il vous plaît, merci, au revoir ».

Pour les deux blocs, comme je l’ai dit, les preuves sont déjà là : la France a disparu, les Français de souche sont des vestiges. La seule différence est que d’un côté, on veut raser définitivement les vestiges, et de l’autre, on veut mettre les vestiges dans un musée.

Les différentes forces de l’élite de notre pays ont signé le Pacte Molotov-Ribbentrop 2.0. Si vous vous souvenez, ce pacte était un accord secret entre les Russes et les Allemands pour diviser la Pologne. Malgré le pacte, les Polonais ont continué à mener une vie normale, sans se douter que leur destin était déjà scellé.

C’est exactement la situation actuelle des Français : ils ont encore l’illusion de vivre dans un pays à peu près normal, d’avoir une vie normale. Parce que l’inertie du système précédent et de l’époque précédente permet de maintenir les formes. Pour encore quelques temps. Mais en réalité, le sort des Français de souche est déjà liquidé. Que vous soyez de gauche ou de droite, si vous me lisez, sachez que dans tous les cas le scénario du film est déjà écrit, et vous n’êtes pas au casting.

Et pour filer la métaphore historique, croyez-moi, même si je compatis à la souffrance des Polonais et à leur histoire blessée, j’envie infiniment leur sort par rapport à ce qui attend les Français : les troupes allemandes avaient beaucoup plus de respect pour les Polonais qu’elles occupaient, que les élites françaises n’en ont pour leur pays, celui qu’elles trahissent.

Pour l’instant, la situation en France se maintient de manière assez artificielle. Tout semble très solide. Le système républicain est encore en train de mettre les formes. Mais c’est une République Potemkine, avec des institutions en plâtre, comme un vieux décor de western. C’est un château de cartes. Il suffira d’un rien (et ce rien se produira), pour achever définitivement le basculement vers une France post-française. Une France où les Français de souche seront une majorité-minoritaire, puis une majorité à abattre, puis une minorité à combattre, puis une minorité à abattre, puis une minorité abattue. Puis une minorité disparue.

Je ne parle pas d’un scénario de science-fiction. Je parle de la France de 2050, le pays dans lequel vos enfants vivront lorsqu’ils auront 25 ans. En 2050, c’est l’année où votre fils ou votre fille aura son premier enfant. Cet enfant naîtra dans une France où plus de 65% des autres enfants seront d’origine africaine. C’est une dynamique inéluctable, car la démographie est inéluctable et les instincts tribaux ou raciaux que la démographie réveille sont violents.

Suis-je donc optimiste ? Sur le long terme, oui. A court et moyen terme, non. Les militaires disent « la sueur épargne le sang ». C’est-à-dire qu’il faut affronter toutes les situations à l’avance, à l’entraînement, pour pouvoir avancer ensuite sans pertes dans l’avenir.

« La sueur épargne le sang », les Français refusent depuis plusieurs années d’affronter réellement et définitivement le problème, ils auront donc le sang.

GD : Donc, à votre avis, les généraux ont raison de souligner que la situation actuelle va empirer jusqu’à, peut-être, conduire à une guerre ?

La « guerre » dont nous parlons peut prendre des millions de formes différentes. Elle peut durer 4 jours, 4 semaines, 4 décennies ou 4 siècles… Mais elle aura lieu, c’est certain. Et c’est logique. Nous pouvons être émus par cela, mais nous n’avons pas le droit de feindre la surprise.

Comme je l’ai souligné précédemment, la situation de la France peut être résumée facilement : il y a un peuple premier (les Français de souche) qui, sous l’impulsion d’une élite de traîtres, se trouve placée dans un rapport de force démographique avec des populations étrangères pour obtenir le contrôle du territoire et l’initiative politique dans les institutions du pays.

La nature a horreur du vide, mais elle a aussi horreur du trop-plein. Deux rois ne peuvent pas s’asseoir sur un seul trône. Au début, ce rapport de force entre Français et étrangers est resté purement démographique (c’est-à-dire mathématique, passif). Mais au fil du temps, il est devenu culturel, chaque population tentant d’affirmer sa (sous-)culture et/ou sa religion.

Aujourd’hui, cet équilibre des forces se déplace vers l’arène politique, c’est la phase cruciale, l’avant-dernière phase. Lorsque la politique ne parviendra pas à résoudre le problème, nous entrerons dans la phase militaire.

Je dis « Quand la politique échouera à résoudre le problème » au futur, car croyez-moi, la politique échouera. Regardez la Yougoslavie, le Liban, l’Afrique du Sud, la Palestine… La phase politique échouera nécessairement à pacifier la situation, car à la fin de la phase politique, quel que soit l’accord conclu, il y aura inévitablement un camp qui se sentira lésée : soit les minorités-majoritaires, déçues de ne pas avoir obtenu plus de pouvoir, soit la majorité-minoritaire, furieuse d’avoir été dépossédée.

Si un camp gagne, l’autre perd, et vice versa. La guerre s’imposera donc naturellement comme la seule possibilité pour le perdant d’obtenir ce qu’il veut. Car la guerre n’est que le prolongement de la politique par d’autres moyens, Clausewitz l’a dit mieux que moi.

GD : Dans la lettre, les généraux appellent à l’action pour éviter cette guerre. Combien de temps pensez-vous que nous ayons avant qu’il ne soit trop tard pour réagir ? Quelle est la fenêtre d’opportunité pour agir ?

La fenêtre temporelle était 1990-2000. Elle est déjà passée. Il est maintenant trop tard. Certains parlent de « remigration », d’autres rêvent d' »inverser les flux migratoires »… La vérité que personne n’ose affirmer est que nous ne pouvons plus traiter le problème de manière pacifique ou politique.

La masse étrangère sur notre sol est trop profondément implantée ; les idées folles de culpabilité sont trop profondément enracinées dans le cerveau de notre peuple abusé. Il est trop tard. Beaucoup trop tard. J’avais 5 ans qu’il était déjà trop tard pour agir en amont. Notre situation actuelle n’est que la suite logique de ces choix (ou non choix). Aujourd’hui, il est trop tard pour faire les choix que nous aurions dû faire il y a 30 ans.

La question n’est donc plus « comment agir pour éviter l’éclatement du pays, la division, la partition, la guerre civile ? ». La seule question qui se pose est : « Quand cette rupture arrivera-t-elle et comment en triompherons-nous ? »

Je dois préciser que c’est là mon plus grand désaccord avec les généraux : ils pensent qu’il faut éviter la guerre civile. Ce n’est pas mon cas, pas plus que celui de la grande majorité de mes camarades militaires.

S’il y avait un moyen d’éviter la guerre ET de résoudre le problème pacifiquement sans concessions, je le soutiendrais bien sûr. Mais j’ai expliqué pourquoi, à mes yeux, la solution ne peut plus avoir de solution pacifique [trop nombreux, depuis trop longtemps, avec l’aide de trop de ‘traîtres’].

A partir de là, vouloir à tout prix éviter la guerre civile, même s’il n’y a pas de solution pacifique, c’est de facto une capitulation a priori, cela impliquera des concessions insupportables. C’est-à-dire qu’on va demander au peuple français de se soumettre aux exigences de l’autre camp pour essayer de satisfaire nos antagonistes et éviter la guerre….

Les généraux qui ont écrit cette lettre sont utopistes et pensent que les débats au Palais Bourbon [Assemblée Nationale] peuvent nous sortir de l’impasse comme par magie. Ce n’est pas vrai. Et je sais qu’ils le savent, ou qu’ils le comprendront bientôt.

Donc, non seulement nous ne devrions pas essayer d’éviter la guerre civile. Mais ironiquement, il est plutôt vertueux qu’elle se produise. Si elle ne se produisait pas, cela signifierait que les Français ont définitivement abandonné tout idéal et qu’ils ont accepté de capituler pour préserver la paix, quitte à profiter de cette paix en tant qu’esclaves.

Mais il est fou celui qui est prêt à sacrifier sa liberté comme une offrande dans l’espoir d’une paix douce et tranquille. La seule chose qu’il obtiendra est le mépris des yeux qui le regardent, le coup de la main qui le nourrit et le crachat de la bouche qui l’a enjôlé.

La liberté ne se négocie pas, notre génocide ne mérite pas d’être « arrangé » ou « adapté ». Les Français ont un droit inaliénable et exclusif sur la terre de leurs ancêtres et tant qu’ils porteront cette certitude comme une flamme dans leur cœur, ils seront invincibles.

« Jusqu’où la population française est-elle prête à aller pour garantir sa survie et l’avenir de ses enfants ? »

Sur la guerre civile en France

GD : Vous êtes donc convaincu qu’il y aura un conflit violent en France. Certains parlent de « guerre civile », d’autres de « guerre raciale ». Quelle est votre position ?

Je pense que le terme « guerre civile » est très problématique. Il couvre certes une partie du problème, puisque les Français de souche seront nécessairement opposés à d’autres Français de souche, par exemple la gauche à la droite. Mais ce terme brouille les pistes, car ce conflit, lorsqu’il aura lieu, ne verra pas seulement des Français de souche s’opposer entre eux. Comme je l’ai longuement expliqué, ils combattront aussi et surtout des forces étrangères à notre pays, qu’elles aient ou non la nationalité française. Je pense bien sûr en premier lieu aux communautés originaires d’Afrique et établies sur notre territoire. A ce titre, il est inapproprié de parler de  » guerre civile  » lorsqu’un peuple se soulève et combat l’envahisseur.

L’expression « guerre raciale » est inappropriée pour les mêmes raisons. D’abord, parce qu’elle se concentre sur l’aspect racial (ou ethnique) du conflit. Ce terme implique que les Blancs seront tous unis contre les Noirs qui seront eux-mêmes tous unis contre les Blancs. Ce terme ignore les dimensions tribales, religieuses et culturelles. Du côté des forces étrangères, les Maliens et les Congolais ne s’entendront probablement pas bien… Pas plus que les Marocains et les Algériens… Et inversement, ce terme implique que tous les « Blancs » seront unis dans la lutte, ce qui est une autre imbécillité. Les populations turques, kabyles ou juives sont parfois considérées comme « blanches », mais ces personnes restent des étrangers en France et en Europe… De même, au sein des Français de souche, on verra des luttes internes, des luttes entre factions, entre Français de souche de gauche et de droite, d’extrême droite et de droite, entre Français religieux et laïcs, etc etc.

Aucun de ces deux termes ne me convient. La guerre que nous connaîtrons sera à mi-chemin entre ces deux choses. Mais ceci dit, si je pousse la réflexion encore plus loin, je pense que nous ne devrions pas du tout parler de « guerre ». J’utilise ce mot par facilité. Mais en soi, nous ne serons pas confrontés à une guerre au sens où nous l’entendons. Nous ne trouverons pas 100.000 soldats avec des tanks et des hélicoptères de chaque côté. Nous serons dans quelque chose d’extrêmement asymétrique, para-étatique, informationnel. Cela ne veut pas dire que le combat physique est exclu. Mais les nouvelles guerres, de 4ème ou 5ème génération comme on dit, laissent beaucoup moins d’importance au contrôle physique du territoire, c’est-à-dire à la guerre au sens traditionnel.

Aujourd’hui, le contrôle physique semble être une condition sine qua non pour sécuriser votre position, mais ce n’est pas ce qui permet de gagner la guerre. La guerre se gagnera ailleurs que sur la ligne de front, même si la supériorité militaire est une nécessité. Pour le dire plus clairement : il me semble évident que les Français de souche contrôleront de facto la grande majorité du territoire, avec une facilité déconcertante. Mais cela ne signifie pas que la guerre sera gagnée… Dans ce genre de guerre, contrôler son territoire est nécessaire, mais la victoire s’obtient d’une autre manière : en mobilisant sa population et l’opinion internationale afin de trouver la légitimité pour enlever définitivement le caillou dans sa chaussure, purger ses institutions et normaliser son nouveau régime en tissant des liens avec l’étranger.

Le grand défi sera celui-ci, et ce n’est pas un défi militaire. Le défi militaire sera gagné en quelques jours. Si l’armée avait les mains libres, le pays entier serait « libéré » en dix jours. Si l’armée avait les mains libres, le pays entier et ses institutions seraient purgés en un mois. Littéralement. Il faut une compagnie d’infanterie pour tenir une ‘cité sensible’ ; il faut 15 marins pour manœuvrer un porte-conteneurs ; il faut seulement 3 juges pour juger un millier de traîtres. Ce grand nettoyage historique serait très facile à mettre en place, même si l’on est attaché aux formes de la légalité. La difficulté est ailleurs.

La question qui va se poser est en effet la suivante : jusqu’où la population française est-elle prête à aller pour garantir sa survie et l’avenir de ses enfants ? C’est là que le pays sera divisé, entre ceux qui sont prêts à tout, et ceux qui veulent fixer des limites plus ou moins strictes. C’est ce débat qui fera durer le conflit.

GD : Concrètement, si ce conflit devait se dérouler sur le sol français, peut-on essayer d’imaginer ce que cela donnerait, précisément ?

C’est un exercice difficile mais auquel nous nous livrons régulièrement avec certains de mes camarades et subordonnés. Depuis les attentats de 2016, nous avons forgé un petit groupe de prospective amical et informel sur ce sujet. Notre objectif est d’essayer d’utiliser notre bagage militaire et d’adapter nos outils d’analyse à la situation française pour voir quels scénarios seraient réalistes. Je sais que d’autres officiers dans d’autres régiments font la même chose et dès que possible, nous partageons des RETEX [débriefing], nous essayons d’échanger nos conclusions et nos réflexions.

Très honnêtement, il est difficile d’imaginer à quoi ressemblerait ce conflit. Il y a une infinité de possibilités. Il s’agit d’un ensemble de paramètres assez ahurissants à maîtriser, et dans tous les cas il s’agit d’hypothèses.

Mais après plus de 5 ans de réflexion sur ce sujet, nous sommes arrivés au scénario qui nous semble le plus réaliste, du moins de notre point de vue. Nous l’avons expérimenté sous la forme d’un wargame accéléré [simulation théorique] sur une douzaine d’heures, avec une équipe bleue, une équipe rouge et des observateurs. La partie « militaire » de ce scénario (la guerre elle-même) ne présente aucun intérêt puisqu’il s’agit d’une pure spéculation. Mais en revanche, la partie antérieure, le « déclenchement », me semble importante à partager. Je vais essayer de résumer simplement nos pensées. Alors, comment tout cela commence-t-il ?

PHASE 1 : DÉCLENCHEMENT – Émeutes à l’échelle nationale

Dans notre scénario, la France est en pleine période électorale, le débat fait rage et à l’image des récentes élections américaines, les tensions raciales sont à leur comble, le sentiment anti-police également. Un contrôle de police dégénère, les images sont diffusées sur les réseaux sociaux comme SnapChat, plusieurs villes font face à des émeutes, les politiciens de gauche encouragent indirectement les tensions à travers leurs relais médiatiques, en organisant des manifestations, en appelant les lycéens et les étudiants à bloquer leurs écoles.

La situation dégénère en une émeute nationale, les centres-villes sont le théâtre d’émeutes et d’exactions, les infrastructures (bus, métro, tramway, périphériques) sont régulièrement bloquées, réduisant les flux économiques.

Des groupes de civils s’organisent pour se défendre contre les émeutiers.

Note : Vous reconnaîtrez ici un scénario très similaire à ce que les USA ont vécu en 2020-2021…. Pourtant, c’est un scénario qui a été écrit et joué en novembre 2018…. Les lecteurs français pourront aussi reconnaître ici des éléments assez similaires avec ce qui a été imaginé par de nombreux auteurs de fiction.

PHASE 2 : TRANSITION – instabilité politique

Finalement, dans notre scénario, après plusieurs semaines et de nombreux morts, face à la pression internationale, le calme revient. Mais la situation n’est plus jamais la même. La violence a laissé des traces dans le pays, comme un traumatisme à l’échelle de la société, la ligne rouge est définitivement tracée sur le terrain entre les deux camps. Les groupes d’autodéfense formés par les citoyens pendant les troubles continuent d’exister de manière informelle et de se renforcer et de s’organiser, car chacun a le sentiment que ces événements pourraient se reproduire…

À la suite de ces émeutes, la situation politique est extrêmement compliquée, avec au moins trois camps distincts :

  • le « Bloc de gauche » : représentant les minorités raciales, ceux qui veulent que les émeutes ne soient qu’un début pour abattre l’ancien système et aller encore plus loin ; ils utilisent cet argument pour demander des réformes avec un discours qui consiste à dire « vous avez vu ce dont nous sommes capables, si vous ne nous donnez pas ce que nous voulons, ça recommencera ».
  • le « Bloc du Centre« , représentant le statu quo, dont la ligne politique consiste essentiellement à dire « plus jamais ça », à promouvoir encore plus la doctrine de la diversité du « vivre-ensemble », à parler du renouvellement du « contrat social », à calmer le jeu… L’objectif avoué étant d’éviter un nouveau conflit. C’est le camp de la soumission.
  • le « Bloc de droite » : qui regroupe les Français les plus radicaux, qui appellent à ne pas céder aux émeutiers ou à la gauche, qui tente de récupérer et structurer les groupes d’autodéfense pour peser sur la situation.

Dans le scénario que nous avons étudié, c’est dans cette phase que se jouera l’essentiel de notre avenir. C’est là que les patriotes auront le rôle le plus crucial à jouer, d’abord pour gagner le plus d’influence au sein du bloc de droite lui-même, pour s’assurer que le récit principal est guerrier, militariste et sans concessions. Ensuite, pour s’assurer que dans le jeu politique plus large, le bloc de droite soit le plus fort, le plus entreprenant, le mieux préparé.

PHASE 3 : GUERRE OU PAS ? – Trois voies possibles

A ce moment, dans cette phase de transition politique, tout est suspendu, la balle peut tomber des deux côtés. A ce moment du scénario, les avis au sein de notre groupe de travail ont divergé en 3 groupes :

  • PAS DE GUERRE : Ceux qui pensent que le bloc de droite perd son influence au profit du bloc du centre et que la situation se normalise, sans conflit majeur. La France devient un pays communautaire de fait, où les Français de souche se soumettent et acceptent d’être une communauté parmi d’autres.
  • SÉPARATION DE FACTO : Ceux qui pensent que le bloc de droite finira par avoir suffisamment de poids pour décider unilatéralement de son propre sort et se séparer des deux autres, au sens politique du terme. C’est-à-dire créer une organisation étatique parallèle de facto, avec ses fonds de solidarité, sa police basée sur des groupes d’autodéfense, ses institutions…. La France existerait toujours en tant qu’état unitaire, mais de facto une partie de la population serait à la fois française ET membre de cette création sui generis.
  • GUERRE TOTALE : Ceux qui pensent que la situation est insoluble entre les trois camps et qu’elle finira par dégénérer en guerre ouverte, au sens propre du terme, impliquant des combats militaires. L’armée est alors divisée en 3 parties : (a) une partie déserte avec son matériel vers le bloc de gauche ou vers des bandes armées des banlieues. (b) Une partie reste fidèle au bloc du centre, qui représente l’État légal et bénéficie du soutien international. (c) Une partie importante rejoint le bloc de droite et se joint aux groupes d’autodéfense civils. L’issue de cette guerre est impossible à anticiper. Mais l’aspect clé réside dans le choix que fera le bloc du centre : soit il finira par rejoindre le bloc de gauche, soit il finira par rejoindre le bloc de droite. Puisque le Bloc du Centre est celui des légalistes, le ralliement du Bloc du Centre à l’un des deux autres blocs légitimera et « légalisera » la lutte de ce bloc.

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Je répète qu’il s’agit d’un scénario parmi d’autres, mille choses différentes peuvent se produire, les résultats sont également incertains. Mais dans tous les scénarios que nous avons étudiés ces 5 dernières années, nous avons toujours retrouvé ces différentes phases et ce modèle particulier : des émeutes ultra-violentes, une phase de transition, une phase finale. C’est la phase de transition qui est la plus cruciale dans ce schéma, car c’est pendant cette phase que tout va se jouer.

GD : Vous semblez donc avoir réfléchi au problème. Vous affirmez également que d’autres militaires mènent une réflexion similaire. Une rumeur circule à l’extrême droite selon laquelle le gouvernement ou l’état-major prépare une « opération RONCES », un plan visant à prendre le contrôle des zones interdites en cas de guerre ou d’émeutes. Savez-vous si un tel plan existe ?

Elle existe. C’est une certitude. Je ne dis pas que le CEMA [l’état-major] a une boîte avec un dossier écrit « opération Ronces ». Mais il est évident que l’Etat-major a réfléchi à ces questions, que l’Elysée a réfléchi à ces questions. Nos dirigeants sont peut-être hypocrites mais ils ne sont pas ignorants. Le réseau de renseignement français est très efficace. Les Préfets, les ministres et les présidents successifs sont au courant d’absolument tout ce qui se passe. Ils savent très bien que la situation de guerre dont nous parlons est réaliste. Et ils l’ont nécessairement préparée, quel que soit le nom de ce plan ou la forme qu’il prendra.

Vous pouvez imaginer que si une trentaine d’officiers et de sous-officiers peuvent réfléchir à ces questions, comme mes camarades et moi l’avons fait, alors le commandement le fait aussi. Je pense qu’ils n’y pensent pas seulement de manière informelle, mais qu’ils y réfléchissent de manière formelle et hebdomadaire. C’est également l’avis de la plupart des officiers à qui je parle de ces choses. Il n’y a aucun doute dans leur esprit que nos dirigeants sont beaucoup moins naïfs et candides qu’on pourrait le croire.

GD : Si le conflit dont vous parlez éclate, l’armée sera-t-elle la seule à se battre ? Imaginez-vous que des civils puissent se joindre au combat ? Des bandes errantes, des volontaires civils, des survivalistes isolés ?

Je pense que dans l’imaginaire des gens, une guerre implique nécessairement des centaines de milliers de soldats. A mon avis, nous serons très loin de cela dans le cas français. Le nombre total de combattants réels (soldats professionnels) sera probablement bien inférieur à 100 000. Mais il faut y ajouter les civils armés.

  • D’une part, les bandes criminelles ou politiques, désorganisées, qui représenteront probablement le plus grand nombre de civils armés.
  • Et de l’autre côté, des civils armés isolés. Ou des civils organisés dans les groupes d’autodéfense dont je parlais. Ces groupes seront probablement soutenus directement par l’armée, ou organisés par d’anciens policiers et soldats, peut-être sur le modèle des SAS en Algérie française, c’est-à-dire, par exemple, un soldat professionnel encadrant 7 à 10 « auxiliaires » civils sur un territoire donné. Les civils auront alors la possibilité d’aider l’armée régulière, au moins à tenir le territoire.

Le survivalisme est aussi un sujet compliqué, il y a autant de survivalismes que de survivalistes…. C’est un milieu qui a ses codes, mais où les gens sont assez libres de leurs opinions. Il est difficile d’imaginer quel pourrait être leur rôle en tant que communauté. Mais je ne pense pas qu’il soit exagéré de dire que la plupart des survivalistes ont une forte tendance patriotique et qu’il est probable qu’un petit nombre d’entre eux puisse rejoindre ou créer les groupes dits d’autodéfense. Comme les chasseurs d’ailleurs.

Concernant les volontaires européens ou expatriés, je suis personnellement très favorable à la mise en place d’unités étrangères encadrées par des Français en cas de conflit. C’est un défi logistique, juridique et humain. Mais d’après ce que j’ai vu en étudiant d’autres conflits, l’effort en vaudrait la peine.

GD : En considérant que vous avez raison et qu’une guerre civile est effectivement à prévoir en France, dans quelle fenêtre de temps voyez-vous un tel conflit ? A votre avis, la récente crise autour de COVID-19 peut-elle aggraver la situation ou contribuer à provoquer la guerre ?

La fourchette de temps me semble très difficile à évaluer, je préfère ne pas m’y risquer. Mais disons que ce sera nécessairement de notre vivant. La tension ne me semble pas assez importante pour imaginer un conflit avant 2030. Et si rien ne s’est passé en 2050, il sera probablement trop tard et la situation sera définitivement perdue. Cela nous laisse donc 10 ans pour nous préparer à cette fenêtre de 20 ans.

Concernant la situation sanitaire, il s’agit évidemment d’un événement très significatif qui contribuera certainement à mettre de l’huile sur le feu. Il n’est pas impossible qu’un mouvement national-populiste similaire à celui des Gilets Jaunes apparaisse dès la fin de l’année 2021 ou au cours de l’année 2022. Cela me semble tout à fait réaliste et nos amis de la Police Nationale pourront confirmer que ces scénarios sont pris au sérieux en ce moment.

Néanmoins, je doute qu’un tel mouvement puisse conduire à un changement de la situation. Mais, ces événements restent historiquement importants car ils contribuent au divorce entre les Français et leur élite politique.

GD : Un mot pour conclure ?

Un conseil : ne perdez pas espoir.

Rien n’est encore perdu, tout ne fait que commencer. Soyez actifs, soyez lucides, soyez droits, soyez intransigeants, soyez fiers d’être français, soyez certains de votre légitimité sur cette terre. C’est votre devoir.

Gardez la tête froide, ne tombez pas dans les pièges électoraux ou dans les fausses polémiques des plateaux télé, dans la fausse opposition. Ne succombez pas aux tentations faciles, ne vous laissez pas convaincre que ce sera facile, qu’il suffit d’attendre, que d’autres feront le travail à votre place…

Le peuple français est confronté à un défi héroïque, celui de défier le sens de l’Histoire et de réimposer la souveraineté du peuple au centre de toutes choses. Le défi de rappeler ce qu’est le peuple : une lignée millénaire à protéger comme un trésor, et non une masse d’individus fongibles et corvéables.

C’est un défi absolument colossal, celui de répondre à la question posée depuis 1945, et à laquelle nous avons refusé de répondre jusqu’à présent : « Un peuple a-t-il le droit d’avoir une nation qui soit à son service exclusif ? ».

Les tristes événements de la Seconde Guerre mondiale ont voulu offrir une réponse négative à cette question. Aujourd’hui, tout nous pousse à lui offrir une réponse positive. Quoi qu’il en soit, c’est une question à laquelle il faut répondre. Et la réponse sera définitive, totalement définitive.

Et l’Histoire a décidé que ce serait le peuple français qui serait le premier à répondre à cette question… Parce que nous serons les premiers européens à être confrontés à ce questionnement existentiel, celui de choisir d’être ou de ne pas être en tant que peuple.

Je pense que toute nation tremblerait de peur devant un tel défi. Toute nation tremblerait avant même d’entrer dans l’arène. D’autres nations trembleraient de peur : la peur d’être seul contre tous, d’être mal jugé, mal aimé, mal considéré… Mais la France est différente, nous n’avons pas peur de la solitude, nous n’avons pas peur de nous battre à un contre dix. Toute notre histoire nous a préparés à remplir cette tâche, à accomplir ce rôle, à être ceux par qui les changements de paradigme arrivent.

Alors ne désespérez pas. Comme le disait ce caporal de mon unité : « le combat de notre vie est la bataille de France ». Ces mots sont durs et font froid dans le dos, je le sais. Vous avez le droit d’être triste, vous avez le droit d’être en colère, vous avez même le droit d’avoir peur. C’est normal, le temps vous a choisi pour une tâche difficile, vous auriez sans doute aimé une vie plus tranquille… Mais soyez heureux, car vous êtes la génération dans laquelle un cycle va se terminer et un autre va commencer. Ces choses n’arrivent qu’une fois dans l’Histoire. Et non seulement cela se produira de votre vivant, mais vous aurez un rôle à jouer.

Préparez-vous, éduquez-vous, entraînez-vous, endurcissez-vous, apprenez des compétences, mariez-vous, éduquez bien vos enfants, prenez soin de vos amis, agissez pour devenir un exemple pour les plus faibles et agissez en suivant l’exemple des plus forts.

Votre sang bouillonne de pouvoir, de génie, de gloire et d’honneur. Et il n’y a pas de plus grand honneur pour un homme ou une femme que de défendre son sang en défendant son territoire. Soyez forts, soyez fiers, soyez français.

source: https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/06/04/alerte-un-officier-parachutiste-appelle-a-la-guerre-civile-maintenant/

Caroline Marti, députée socialiste au Grand Conseil genevois : le terme jeunisme, ça fait grand remplacement !

Tania Zaspinar demande à Caroline Marti, députée socialiste au Grand Conseil genevois, s'il y a une vague de jeunisme politique actuellement, après une interview interminable en début et en fin d'émission Forum, autour de la tempête dans un verre d'eau causée par l’éviction de Claude Béglé et de Jacques Neirynck.

Caroline Marti, jeune socialiste (17:02):

"Je n'aime pas ce terme de jeunisme, je trouve qu'il a une connaissance (sic) très, très péjorative, ça fait un peu le grand remplacement et j'ai vraiment l'impression que ce n'est pas le cas."

 

Le rappeur Younès provoque avec son morceau « Le grand remplacement » puis prend peur

Le 4 décembre, le rappeur Younès mettait en ligne son morceau « Le grand remplacement ». Une réponse ironique à la théorie raciste du même nom qui excite la fachosphère jusqu’aux États-Unis et lui vaut des milliers d’insultes et de menaces de mort.

Younès rap ses couplets : 

« Le grand remplacement, c’est ta fille qui me kiffe. Qui va me faire des enfants et ils auront mon pif. »

 

 

 

[...]

Si Younès reconnaît qu’il avait en partie anticipé la réaction, il ne s’attendait pas à ce qu’elle prenne une telle ampleur.

« Deux jours après la sortie du clip, je marchais dans la rue et j’entends un bruit derrière moi. Je me suis surpris à avoir peur un quart de seconde, alors qu’en fait ce n’était qu’un mec qui courait. »

[...]

Streetpress.com

Grand remplacement : quand les décodeurs du Monde et France Culture inventent une citation qui n’existe pas

Cette année Le MondeLes Décodeurs du Monde et France Culture ont répété à leur public que le terme de grand remplacement avait une origine lointaine : l’écrivain Maurice Barrès. Cette affirmation ne se base sur aucune source sérieuse et est démentie par un simple ctrl+f.

 

 

 

 

Pour faire la recherche dans L’Appel au Soldat : PDF ou HTML

Via Fdesouche

Le Grand Remplacement des Européens passe par leur lavage de cerveau

Publié le 19 avril 2019 - par

Le Grand Remplacement, c’est un phénomène migratoire gigantesque jamais vu depuis les débuts de l’histoire de l’humanité : des dizaines de millions de personnes extra-européennes qui arrivent, s’installent et se reproduisent dans les pays occidentaux en l’espace de quelques dizaines d’années, avec une accélération dans les années 2000, puis dans les années 2010 et une dernière accélération en 2015. 

Ce mouvement migratoire visant à changer drastiquement la population occidentale (Europe, USA, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande) est mis en place, recommandé et financé par l’ONU et toutes ses officines (FMI, Banque mondiale, UNESCO, HCR) mais aussi par le Groupe Bilderberg, par l’UE et par le Deep State américain, ainsi que par les 57 pays de l’OCI (l’ONU islamique).

Mais le Grand Remplacement n’est pas seulement un phénomène physique, c’est aussi (et surtout) dans les têtes que les jeux se font. En effet, l’invasion migratoire est précédée, accompagnée et renforcée par des manipulations psychologiques de masse sur l’imaginaire européen à travers la propagande éducative, culturelle, publicitaire, médiatique, langagière et politique la plus largement diffusée.

 

L’Union européenne, un complot contre l’Europe

Le but de l’Union européenne est de détruire les nations européennes pour créer une union européenne prélude à un seul état mondial (Nouvel Ordre Mondial). Philippe de Villiers l’a définitivement montré dans son dernier livre J’ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu (2019).

Ce qui est paradoxal, c’est que la création de cet État postnational européen est le but mais aussi le moyen utilisé pour détruire les nations européennes.

Cette Union européenne brise les souverainetés nationales et réduit les États européens à être les valets de l’Allemagne, elle-même aux ordres de Washington, qui est noyauté par l’État profond (Deep State) américain.

Source de l’image : https://www.dreuz.info/2019/04/04/criminels-anti-trump-le-jour-du-jugement-approche/

Mais il est très dangereux aux yeux de cette oligarchie globaliste que cette Union européenne constitue une vraie puissance économique, politique ou militaire qui pourrait s’opposer aux USA et se dégager de l’emprise de ses créateurs mondialistes.

Il ne faut donc pas qu’elle soit démocratique, ce qu’elle n’est pas, et il ne faut pas que les peuples européens puisse retrouver au niveau européen la souveraineté et le pouvoir qu’ils ont perdu au niveau national.

Tout a été prévu dès le début en ce sens et effectivement, le contrôle de l’UE via le conseil de l’UE est toujours resté à des protégés de la CIA et des hommes de confiance du groupe Bilderberg.

 

L’UE organise le Grand Remplacement des Européens

Il faut aussi miner la communauté ou proximité civilisationnelle et ethnique des Européens en important massivement des hommes de races différentes et de cultures différentes. 

Plus la culture est éloignée et hostile à la civilisation européenne, mieux c’est.

D’où l’assiduité à accueillir en masse des musulmans analphabètes et à rejeter les chrétiens, Yazidis ou ex-musulmans persécutés, alors qu’on nous bassine avec le droit d’asile.

« Notre plan traite la protection des réfugiés comme l’objectif et les frontières nationales comme l’obstacle. » (G. Soros)

« L’Europe nourrit encore un sens de son homogénéité et de sa différence des autres. Et c’est précisément ce que l’Union européenne, selon moi, doit faire de son mieux pour détruire. » (Peter Sutherland)

Le droit d’asile, les droits de l’homme, le devoir d’accueil ne sont que des prétextes pour les mondialistes. Les vrais persécutés ne sont pas protégés, ne sont pas accueillis, y compris les plus célèbres et les plus importants : Edward Snowden, Julian Assange, Sherif Gaber, Asia Bibi, Raif Badawi, etc.

Et dans le même temps, la France, l’Allemagne et l’Espagne accueillent n’importe quels anciens jihadistes sans problème du moment qu’ils sont mineurs (moins de 47 ans) et non accompagnés (sauf d’une phalange de camarades mahométans).

Cette colonisation massive permet aussi de faire baisser au fur et à mesure le QI moyen des pays occidentaux et donc de fragiliser de plus en plus les ressources intellectuelles et civilisationnelles du continent européen.

Q.I map

Distribution de l’intelligence des peuples indigènes (https://www.intelligence-humaine.com/)

Mais pour que les barrières psychologiques à ce Grand Remplacement cèdent, il faut justement déstructurer, détruire, racornir, faire disparaître la culture et la mémoire civilisationnelle des Européens, les structures mentales et sociales qui organisent les sociétés européennes.

 

Le Grand Remplacement mental

Le Grand Remplacement physique des personnes se double d’un Grand Remplacement mental.

L’idéologie immigrationniste qui imprègne les élites est basé sur une philosophie raciste et eugéniste, un nazisme inversé où la race blanche est considérée comme impure et à détruire, remplacer, métisser par les races extra-européennes.

Cependant, elle ne se montre pas comme telle mais selon des apparences un peu acceptables.

La propagande publicitaire et médiatique digne du IIIe Reich en faveur de la race supérieure métisse va bon train pour mieux faire avaler cette invasion d’extra-européens.

La publicité, l’éducation et les médias vantent par l’image le métissage.

Parallèlement, la décrédibilisation de l’homme blanc raciste, vicieux, pervers, criminel est omniprésente dans les infos, dans les films, les reportages. C’est insidieux, mais il suffit de regarder les médias par ce prisme pour s’en rendre vraiment compte.

En France et dans tous les pays, sous les bannières du progressisme, de l’antiracisme, des droits de l’homme, de la modernité, la guerre est déclarée au christianisme, à la famille, au rapport européen homme-femme, à l’instruction publique, à l’histoire de France, aux monuments historiques, au service militaire, aux traditions locales, aux centres-villes, aux paysans, à la ruralité, en un mot à tout ce qui faisait la France d’avant, mais aussi à tout ce qui pourrait faire la France du présent et du futur.

Briser la grandeur française, les spécificités françaises, la fierté d’être français, les médias et le gouvernement aux ordres des mondialistes depuis 50 ans s’y emploient jour après jour.

Les Français qui restent doivent être les derniers. Les descendants doivent être des individus creux, serviles et malléables, indifférents à être français, européen ou autre, du moment qu’ils ont du pain et des jeux.

Avez-vous déjà vu un film historique ou une épopée où le héros serait Clovis, Charlemagne, Charles Martel, Napoléon, Louis XIII, etc. dans lesquels les jeunes Français pourraient s’identifier ? Non, surtout pas. Il ne faudrait quand même pas recréer un sentiment patriotique. Les grandes conquêtes, les grandes batailles, les grands moments de notre histoire oubliés ou caricaturés de manière infamante par le rouleau compresseur du politiquement correct anti-français.

Comparez également le contenu des manuels d’histoire d’élémentaire ou de collège qui ont pignon sur rue aujourd’hui à ceux des manuels anciens des années 30, 50 ou 60.

La promotion est faite d’un certain multiculturalisme, des LGBTIQ… d’un certain antiracisme, d’un certain féminisme. Ces mouvements de pensée visent à détruire la civilisation européenne. Ces mouvements intellectuels et sociétaux sont des armes de destruction des mondialistes et à ce titre ils sont distribués et financés en masse sur tout le territoire européen par les médias, les partis politiques, les associations, eux-mêmes financés et corrompus par des mondialistes.

Ce qui n’aide pas à la lisibilité, est que conjointement à ce premier grand mouvement se greffe le projet Eurabia conçu dans les années 70 après la crise pétrolière et dont le but est de transformer l’Europe en grande zone islamisée, en échange de la garantie d’avoir du pétrole bon marché.

L’islam, comme le mondialisme du Nouvel ordre mondial, le communisme ou le nazisme est un totalitarisme qui cherche à contrôler tous les aspects de la société, y compris l’esprit des gens, en reformatant toutes les valeurs, les idées. Le massacre d’une partie de la population n’est pas un problème, c’est même indissociable des totalitarismes. Les empêcheurs de tourner en rond sont des ennemis du peuple, de la race, de la foi.

L’alliance avec la Turquie, l’Arabie saoudite, le Qatar, le financement conjoint des terroristes par l’OTAN et les pétromonarchies arabes au Kosovo, en Libye et en Syrie sont le prélude à ce qui se passera en Europe dans quelques années.

Et les totalitarismes n’acceptant pas de vision différente de leur idéologie, l’histoire doit être réécrite pour que tout converge vers la venue de l’ordre totalitaire existant.

 

La réécriture de l’histoire pour bâtir un homme nouveau

Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever la mémoire. On détruit leurs livres, leur culture, leur histoire. Puis quelqu’un d’autre leur écrit d’autres livres, leur donne une autre culture, leur invente une autre histoire. Ensuite le peuple commence lentement à oublier ce qu’il est, et ce qu’il était. Et le monde autour de lui l’oublie encore plus vite. (Milan Hübl, historien et écrivain tchèque, 1927-1989)

Couper les racines, défricher, arracher les traces, les documents, les monuments sont les actions principales de cette entreprise totalitaire sur l’histoire du pays. « Du passé faisons table rase ». Mais la pure et simple destruction de mémoire est complétée par une altération de l’histoire qui décrit autrement les héros, altère la signification des événements, relativise et déforme l’histoire pour la faire coïncider avec l’idéologie progressiste.

Vous pourrez voir quelques exemples de réécriture de l’histoire analysés récemment sur ce site :

Le mythe du vivre-ensemble de Al-Andalus où sous la domination musulmane les chrétiens et les juifs étaient respectés et tolérés, c’est une vaste fumisterie qui a pour objectif de vanter le multiculturalisme et la supériorité civilisationnelle de l’islam. La vérité est que Al-Andalus et Daech, c’est kif-kif.

Rajoutons que les drapeaux de la Corse, ainsi que celui de la Sardaigne ont pour référence la Reconquista et le Royaume d’Aragon, avec des têtes de Maures… décapités pour symboliser les victoires contre les Arabo-musulmans.

Blason d’Aragon représentant quatre têtes de Maures décapités autour d’une croix de saint Georges.

Il faut donc, en plus de critiquer cette propagande mensongère aux manifestations innombrables, enseigner à nouveaux frais et urgemment l’histoire de France et de l’Europe aux Français et aux Européens :

Il faut aussi défendre les universitaires qui se font exclure pour avoir brisé l’idéologie révisionniste.

Ce n’est pas seulement l’histoire qui est attaquée et/ou instrumentalisée, mais la psychologie, la biologie, la sociologie, l’ethnologie.

  • Le généticien James Watson, pionnier de l’ADN et prix Nobel, déchu de ses titres pour ses propos controversés sur la race et l’intelligence

Mais il y a plus, non seulement l’histoire est réécrite, mais les personnages historiques eux-mêmes commencent à être remplacés par des minorités visibles pour satisfaire cet agenda globaliste : il s’agit de montrer des personnages de couleur dans les histoires européennes !!!

 

Grand Remplacement des personnages historiques

Les premiers Anglais sont des Africains aux yeux bleus.

https://www.demotivateur.fr/article/les-premiers-humains-modernes-a-avoir-peuple-l-ile-de-grande-bretagne-etaient-noirs-decouvrent-des-chercheurs-et-ca-ne-plait-pas-a-tout-le-monde-12575

Les médias gouvernementaux montrent des premiers Suédois comme des Africains aux yeux bleus.

https://www.svt.se/special/mot-de-forsta-svenskarna/

https://www.sott.net/article/407565-New-documentary-about-dark-skinned-first-Swedes-sparks-horror-on-Twitter

Vrai ou faux, cela tombe à pic pour justifier les nouvelles migrations de populations à la peau moins claire.

Pour les médias dominants, c’est le 1er avril tous les jours !

(Article est paru le 1er avril 2019 sur le site Defend Europa).

Cela crevait déjà les yeux que les médias dominants mentaient (beaucoup).

Regardez la campagne de lynchage médiatique contre Trump et sa supposée collusion avec la Russie lors de la campagne électorale.

Voyez encore la façon dont les journalistes prédisaient une victoire certaine d’Hillary Clinton en 2016. (lien victoire lapin taquin).

Aux USA, la désinformation, le mensonge et la propagande sont effectués par CNN, MSNBC, le Washington Post de Jeff Bezos ou le New York Times. Lisez ces articles passionnants de Guy Millière :

Criminels anti-Trump : le jour du jugement approche (04.04.2019)

Chasse aux sorcières contre Trump : l’immense débâcle des médias de désinformation (29.03.2019)

Mueller a remis son rapport sur la collusion de Trump avec la Russie : dépression nerveuse à gauche (23.03.2019)

De notre côté de l’Atlantique, nous avons en France Le Monde, Libération, BFM, France2, de France Inter ou CNews, etc. (quasiment toute la presse d’information, toutes les télévisions et toutes les radios sont aux mains des mondialistes).

Et en Angleterre, ils ont la BBC qui est aussi championne en propagande anti-anglaise, islamiste, mondialiste et grandremplaciste.

Série pédagogique BBC enseignement sur la Rome antique

La BBC fait de son mieux pour faire apparaître les Européens blancs comme les oppresseurs et les minorités comme leurs éternelles victimes. Blanc = mauvais et Marron = bon et quand le Marron ne fait une grosse bêtise, alors il est temps de dissimuler du mieux qu’on peut qu’un marron était dans le coup.

C’est exactement ce qui s’est passé récemment au sujet d’un événement en Italie, au cours duquel un immigré sénégalais avait essayé de mettre le feu à un bus avec 50 enfants italiens. La BBC avait essayé de faire passé tout cela comme l’action d’un italien typique, en gros Mario Spaghetti essayant d’incendier un bus plein d’enfants pour on ne sait quelle raison alors qu’en fait l’immigré sénégalais essayait de se venger parce que ses compatriotes africains n’étaient plus autorisés à entrer illégalement en Europe à cause de la politique de Salvini.

Article tel qu’il a été publié la première fois. Aucune mention de l’origine de l’auteur ni de sa religion ni de sa couleur de peau ni de ses motivations.

« Un bus transportant 51 écoliers a été attaqué par son chauffeur et incendié près de Milan en Italie. « Personne ne survivra », a dit le chauffeur d’après la police. Pourtant les enfants, dont certains avaient été ligotés, ont pu être secourus à travers les fenêtres brisées à l’arrière du bus et aucun n’a été sévèrement blessé. Quatorze enfants ont souffert à cause des inhalations de fumée. »

La BBC a dû rajouter quelques précisions à son article suite aux protestations outragées de lecteurs dans les commentaires, mais aussi sur Twitter et Facebook. Voici la 2e copie d’écran.

La BBC rajoute seulement que l’auteur de l’attentat est un citoyen italien de 47 ans originaire du Sénégal.

« Un bus transportant 51 écoliers a été attaqué par son chauffeur et incendié près de Milan en Italie. Pourtant les enfants, dont certains avaient été ligotés, ont pu être secourus à travers les fenêtres brisées à l’arrière du bus et aucun n’a été sévèrement blessé. Quatorze enfants ont souffert à cause des inhalations de fumée. Le chauffeur, un citoyen italien de 47 ans originaire du Sénégal a été arrêté. « Personne ne survivra », a dit le chauffeur d’après la police. »

Tout est caché. Il ne faut surtout pas que les gens fassent le rapport entre l’immigration, le totalitarisme islamique, le racisme anti-européen de nombreux migrants et les crimes. Les mondialistes ont acheté les médias de masse pour pouvoir cacher la vérité et balancer leur propagande immigrationniste à n’importe quel prix.

Pour en savoir plus sur cette affaire, lisez :

La vision déformante de la réalité par la BBC ne s’arrête pas au traitement de l’actualité cependant, cette déformation de la réalité est tellement forte qu’il touche au traitement du passé et se mue en révisionnisme historique.

La BBC ne confine pas son révisionnisme historique aux « vidéos éducatives », mais l’étend à toutes les vidéos de divertissement possibles et imaginables, à toutes les périodes historiques avec un Achille noir, une Marguerite d’Anjou noire, un Frère Tuck noir dans son Robin des Bois, etc. jusqu’à ce que chaque personnage de mythe ou de fiction devienne noir ou ait été l’ami de Noirs.

La BBC ne respecte pas simplement les quotas de diversité ethnique et sexuelle dans ses productions récentes de fiction, dans ses divertissements ou dans le traitement de l’actualité. La BBC essaie également de réécrire l’histoire afin qu’elle corresponde à sa vision du monde multiculturaliste et diversitaire qui n’était même pas une réalité il y a 30 ou 40 ans.

Comme George Orwell le dit :

Celui qui contrôle le passé contrôle l’avenir.

Celui qui contrôle le présent contrôle le passé.

Julien Martel

source:

I-Média n°242 – Grand Remplacement : débat interdit (39:28)

Grand Remplacement : débat interdit
Après l’attentat de Christchurch, les répercussions ont été énormes dans le monde médiatique français. Le Grand Remplacement ne semble pouvoir être évoqué que pour le nier. Zapping Cette semaine, Pascal Praud a organisé un débat entre Zemmour et Belattar. Plus d’une heure et dix minutes d’échanges, parfois très vifs, et une conclusion : le débat entre deux parties de la France semble impossible.
Marche pour le climat : dérèglement médiatique
Les médias semblent en admiration devant le mouvement des jeunes lycéens qui ont séché les cours pour lutter contre le réchauffement climatique vendredi dernier.
Tweets
La révolte des Gilets Jaunes n’en finit plus et cela semble faire perdre la tête à Anne Hidalgo qui souffre d’hallucinations au point de voir dans les Black Blocks d’extrême gauche des groupes d’extrême droite !
Italie. Enfants attaqués, farniente médiatique
En Italie, un chauffeur de bus d’origine sénégalaise a voulu tuer une cinquantaine d’enfants italiens pour venger les migrants. Le drame a été évité de peu. Les médias français ont pris leur temps pour évoquer l’attaque.

Document de l’ONU préconisant une « migration de remplacement »

https://www.youtube.com/watch?v=lJH0K1TmytM

Vidéo : Paul Joseph Watson
BREAKING : UN Plans To Flood America With 600 Million Migrants

 

Migration de remplacement : une solution au déclin et au vieillissement démographiques ?

Les projections des Nations Unies indiquent pour les 50 prochaines années un déclin et un vieillissement des populations de pratiquement tous les pays d'Europe et du Japon. Ces nouveaux défis nécessiteront une réévaluation complète de nombreux programmes et politiques établis, y compris ceux qui ont trait aux migrations internationales.

Se concentrant sur ces deux tendances démographiques le rapport examine la migration de remplacement pour huit pays à faible fécondité (France, Allemagne, Italie, Japon, Corée du Sud, Russie, Royaume-Uni, États-Unis) et deux régions (Europe et Union européenne). Par migration de remplacement, on entend la migration internationale dont un pays aurait besoin pour compenser le déclin démographique et le vieillissement de la population résultant de faibles taux de fécondité et de mortalité.

Document de l’ONU disponible ici (en anglais, résumés en plusieurs langues) :

http://www.un.org/esa/population/publications/migration/migration.htm

L’Homme Blanc doit disparaître

La guerre a toujours fait partie de la nature humaine et ce n’est pas près de changer. N’en déplaise aux doux rêveurs adeptes du « Peace and Love », slogan qui peut séduire les plus crédules et les plus faibles, mais qui ne tient pas une seconde devant les dures réalités de la vie. Ainsi, mettez un agneau dans un champ et introduisez-y un loup affamé et vous constaterez d’emblée que, il y a maintenant quelques siècles, LA FONTAINE ne s’était pas trompé : « La raison du plus fort est toujours la meilleure. »

 

LA GUERRE, POINT FORT DE LA SÉDENTARISATION

Et il en va ainsi depuis que le monde est monde. Déjà, dans la Préhistoire, les conflits étaient fréquents entre tribus qui se disputaient des points de cueillette, des zones de chasse, des zones d’habitat ou d’alimentation en eau.

Avec l’introduction de l’agriculture, lors de la révolution du Néolithique, les choses n’allaient pas s’arranger : la sédentarisation consécutive à l’agriculture accentuait encore la notion d’espace vital, d’instinct de conservation et de protection des sols travaillés.

Et plus la population augmentait, plus celle-ci avait besoin d’un espace vital sans cesse plus grand qu’il fallait bien défendre contre les visées des communautés voisines qui n’étaient pas nécessairement amies. Cela ne fit encore que s’accentuer lorsque naquirent les domaines royaux et les rapports de féodalité pour ce qui touche l’Occident. Nous sommes ici bien loin « des imbécillités proférées par certaines bonnes âmes de gauche » qui voudraient faire croire que n’importe qui pouvait traverser n’importe quelle Terre et s’y installer selon son bon vouloir (Voir l’article du Gaulois : Identité Nationale – Nos Racines). C’est précisément le contraire qui se produisait. Et celui qui contrevenait à la règle du Territoire « inviolable » risquait fort d’y jouer jusqu’à sa propre vie.

LES CIVILISATIONS SE DÉVELOPPENT, VIVENT ET MEURENT

Puis, au fil des siècles, les différentes Races de la Terre produisirent de multiples civilisations avec leurs mœurs propres, leurs codes distincts, leurs religions respectives, leur génie particulier. Beaucoup d’entre elles périrent et disparurent… D’autres survécurent mais au prix de luttes acharnées. Toujours la raison du plus fort.

De nos jours, on peut estimer que les civilisations qui perdurent sont : la Blanche, la Noire, l’Asiatique, et une quatrième l’Orientale et Moyen-Orientale. Cette dernière étant plus basée sur une « religion » que sur une quelconque appartenance raciale ou ethnique : l’islam pour l’essentiel.

Jusqu’à il y a peu, chacune de ces civilisations disposait globalement de son propre continent. Ce qui n’évitait nullement les guerres de temps à autre mais générait principalement beaucoup d’échanges et de commerce. Les Peuples n’ont jamais attendu « Bruxelles » et la « mondialisation » pour se rencontrer et échanger. Il serait grand temps que « politiques » et médias cessent de raconter de pareilles stupidités.

De toutes ces civilisations, et que cela plaise ou non, c’est surtout l’Homme Blanc qui, par curiosité et esprit d’aventure vraisemblablement, se sera montré le plus entreprenant, le plus conquérant, le plus explorateur, le plus inventif… Ce qui ne veut pas dire que celui-ci se soit toujours tenu de manière irréprochable… et là, je pense notamment aux Conquistadors Espagnols en Amérique du Sud, aux colons blancs d’Amérique du Nord, aux Britanniques face aux Aborigènes d’Australie, aux esclavagistes de toutes Races et nationalités … la liste n’étant pas exhaustive. Dans tous ces domaines, bien peu de Peuples peuvent aujourd’hui prétendre avoir toujours été… « Blancs comme neige ». Ces propos n’ont donc rien à voir avec un quelconque racisme : ils ne sont que l’expression d’un simple constat. Et il faudrait avoir un « cerveau » bien malade pour y voir autre chose ! Quoi qu’il en soit, et tant pis pour les atrophiés du bulbe, les choses sont ainsi.

L’HISTOIRE REVUE ET CORRIGÉE AU DÉTRIMENT DU BLANC

Or, depuis un certain temps, la culpabilisation de l’Homme Blanc touche à des extrémités telles que celui-ci croule désormais sous une avalanche de reproches et de demandes de repentance. Quelques exemples parmi d’autres :

Les Blancs auraient empêché les Noirs d’Afrique de se développer à cause de la colonisation. Il faut être parfaitement ignare pour proférer ce genre d’insanités. Les premières colonies blanches remontent en effet aux années 1860- 1870. Avant, à certains endroits sur les côtes africaines, il n’existait que quelques comptoirs commerciaux tenus par des civils Blancs et datant principalement du XVIIème siècle. Ces comptoirs n’étaient nullement des colonies mais des points de commerce et d’échanges – des magasins – avec les tribus locales et des points de ravitaillement pour les navires cinglant vers les Indes (Bois, eaux nourriture…). Ici, nulle intervention des Blancs sur le développement des Tribus Noires qui vivaient parfaitement selon leurs coutumes, leurs Traditions et leur religion. Rien ne venait entraver un éventuel développement.

Et pendant que les Blancs s’étaient développés depuis des siècles en Occident de la manière que l’on connait, personne n’avait alors empêché les Peuples Noirs de faire de même chez eux, y compris dans des directions différentes. Mais aujourd’hui, les idéologues ont la prétention d’affirmer le contraire.

Même chose pour l’île de la Réunion que beaucoup considèrent comme étant une « Terre Noire » que les « méchants Blancs » se seraient sauvagement approprié sur le dos des « gentils Noirs ». Or, c’est en 1638 que le navire Saint-Alexis accoste l’île et que son capitaine en prend possession au nom du roi de France, Louis XIII. À cette époque, l’île est totalement inhabitée. On est loin des contes à dormir debout véhiculés par les « antiracistes-anti-Blancs ». De 1646 à 1649, l’île, concédée par Richelieu à la première Compagnie de Indes Orientales, accueille ses premiers habitants : une douzaine de mutins exilés de Madagascar. Et c’est en 1649, que le capitaine Lebourg est envoyé par le commandant de Fort-Dauphin, Etienne de Flacourt, pour prendre à nouveau possession de l’île (au lieu-dit la Possession) et la baptiser « Île Bourbon ».

Et nous pourrions multiplier ainsi les exemples tendant à présenter l’Homme Blanc comme un sempiternel prédateur… même si certaines « choses » ne jouent pas nécessairement en sa faveur, il ne faut tout de même pas exagérer.

Car quelles Races, quels Peuples actuels peuvent s’enorgueillir d’une Histoire sans taches !… D’autant que beaucoup de pseudo historiens actuels jugent les faits historiques au travers du prisme déformant des valeurs – ou fausses valeurs – d’aujourd’hui qui n’avaient pas cours aux époques considérées.

LA SITUATION ACTUELLE

Aujourd’hui, et là aussi que cela plaise ou non, la plupart des sciences et des technologies sont d’origine « Blanche ». Ça aussi, ce n’est pas non plus de l’idéologie mais un simple constat. Ces sciences et ces technologies sont désormais répandues sur l’ensemble de la Terre et tous les Peuples ont la possibilité d’en profiter ou de se les assimiler.

Il n’est que de considérer les ONG qui sont quasiment toutes dirigées par des Blancs et qui viennent en aide aux Peuples moins « chanceux » pour se débrouiller seuls en cas de catastrophes. Ici, les exemples ne manquent pas et point n’est besoin de les citer. Et malgré cela, ce sont encore et toujours les Blancs qui sont taxés de racisme et de méchanceté !!! Cela commence à devenir lassant…

Aujourd’hui, les faux « migrants » débarquent en France et en Europe sans autorisation. D’emblée, ils sont pris en charge, logés et nourris… mais c’est encore et toujours l’Homme Blanc qui est mauvais.

En France comme en Europe, on constate une recrudescence des actes anti-Juifs, mais « ON » se garde bien de dire quels sont ceux qui les perpétuent conformément à ce que leur commande l’islam. Alors, on culpabilise l’ensemble de la population encore majoritairement blanche pour ne pas discriminer. Là, l’amalgame est autorisé !

« ON » nous livre en pâture des tas de gens accusés de pédophilie en oubliant de préciser que les mahométans ont le droit d’épouser et de coucher avec des mineures de moins de 10 ans. En cela, leur prophète en est un exemple typique.

« On » nous a parlé également de viols collectifs par des « migrants », notamment en Allemagne, au moment des Fêtes de Fin d’Année. Mais là aussi, les faits ont été minorés. Certains mouvements gauchistes et féministes – un comble ! – prenant fait et cause pour les violeurs, parlant de leur misère sexuelle et prétextant que cela faisait partie de leur culture ! Alors pourquoi tous ces clandestins se gêneraient-ils ?…

Si le viol fait partie de la culture de ces « migrants-envahisseurs », il serait plus que temps que l’Homme Blanc leur montre comment il sait régler le problème… toujours en fonction de sa propre culture, naturellement !

Il n’est jusqu’aux derniers évènements touchant au harcèlement sexuel qui viennent mettre en cause le comportement de l’Homme, dès l’instant qu’il est blanc. Et c’est vrai que nous assistons en ce moment à un déferlement de calomnies, de procès d’intention, principalement de la part de féministes abruties d’idéologie. Certaines d’entre elles allant jusqu’à prétendre que la galanterie masculine constitue une forme de harcèlement. Pauvres imbéciles ! Pour ce genre de harpies, l’Homme – Blanc surtout – devient ainsi l’ennemi, le prédateur présumé, le violeur en puissance…

UNE OFFENSIVE CONTRE L’HOMME BLANC

En fait, bien naïf serait celui qui ne voit pas en tout cela une large offensive contre les Hommes Blancs coupables simplement d’être Blancs et de se comporter encore comme des Hommes.

Ici, le propos peut-être illustré par les propos d’Anne LAUVERGEON, ex-présidente d’Areva et grande copine de Nicolas SARKOZY.


Il faut savoir que ces propos ont donné lieu à un procès intenté par l’Agrif (Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne) de Bernard ANTONY qui se trouva déboutée de ses « poursuites pour discrimination » contre Anne LAUVERGEON. Encore un comble : d’après le juge, l’Homme Blanc peut donc être discriminé et bafoué ! Pour ces gens-là, le mieux serait d’ailleurs qu’il disparaisse.

Aujourd’hui, faire preuve d’anti-racisme est un comportement médiatiquement formaté et un point de passage obligé dans toute discussion. Tout le monde connait le « Je ne suis pas raciste, mais… ». Mais le racisme ant-Blanc est désormais devenu le racisme le plus répandu.

►Et pourtant, a-t-on déjà vu « SOS-Racisme », le « MRAP » ou la « LICRA » prendre la défense d’un Blanc persécuté ?… JAMAIS !

ALORS, HOMME BLANC, RÉVEILLE-TOI !

Reproduction autorisée avec la mention suivante :

Marc NOÉ pour FPI-Le Gaulois

http://francepresseinfos.blogspot.fr/

Ancien Maire-Conseiller Général de Seine-et-Marne
International d’Athlétisme

Sur le même sujet voir aussi l’article du Gaulois :

http://francepresseinfos.blogspot.fr/2017/11/les-blancs-une-race-inferieure-par-marc.html

Article paru en premier sur RL

Métissage et Grand Remplacement

Il est toujours étonnant de revenir dans la région parisienne et en particulier dans Paris. Je passe beaucoup de temps en Province, dans le calme d’un village de campagne, et je reste stupéfait à mon retour, par la vitesse du « Grand Remplacement », et des marquages publicitaires racistes anti blancs, dit racisés.

C’est plus frappant lorsque l’on prend le RER et que l’on débarque à la station Châtelet. Les blancs y deviennent minoritaires. Cette station refaite à neuf de carrelages muraux en verre, ne devrait pas tarder à connaître les joies du « StreetArt », les plaisirs du tambour et de la fumette à haute dose. Je n’y ai pas rencontré Hidalgo.

Métro ligne 4, je dois aller à Simplon. Nous sommes quelques rares Français de souche à voyager sur ce bout de ligne. Cela provoque une sorte de solidarité lorsque nos regards franchouillards se croisent. Des regards qui disent tous la même chose ! Où sommes-nous ?

En remontant à la surface, j’ai pu y voir un marché venu d’ailleurs. Des fripes, et des voilées qui inondaient les trottoirs, entendu des langues inconnues, constater des étals où les légumes n’ont pas été cultivés dans nos campagnes. Senti des regards qui en disaient long sur ma présence. Il est vrai que j’ai toujours mon drapeau national accroché à mon manteau, et mon chapeau de « youpin » sur la tête, comme un jour, deux gentilles « chances pour la France » me l’avaient fait remarquer !

Non seulement la population n’est plus celle que j’ai connue il y a seulement 15 ans, mais les boutiques de ce quartier parisien non plus. Entre Château Rouge et Porte de Clignancourt, c’est des multi-souks divers. J’ai même pu y voir une boutique de godasses d’occasion. Un amoncellement de godasses usées. De vieilles chaussures avachies, venues tout droit de nos poubelles. De vieux croquenots, des sandales crades sur des étagères entières, ni restaurées, cirées, nettoyées. Elles sont dans leur jus. Je jette un œil, et j’y vois une faune bigarrée, quelques blancs aussi. L’exemple de la misère ambiante.

En rentrant de mon périple, je vois sur mon Facebook, un appel aux dons de Médecins sans Frontière pour soutenir les Rohingyas. Je leur ai demandé de s’adresser à l’Arabie Saoudite qui a fomenté la révolte de cette minorité musulmane contre la Birmanie. En réponse, je me fais traiter d’abruti ! Où était Médecins Sans Frontière lorsque les Chrétiens se sont fait massacrer ? La dernière réponse est de: Maite Anchustegui si le grand remplacement remplace des gens comme toi, je ne vois pas d’inconvénients. Une amoureuse des animaux ! Elle ne peut pas être tout à fait idiote.
Quels sont les signes les plus évidents du grand remplacement ? La publicité d’abord qui est un vecteur puissant. Elle incite, mais culpabilise également.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

La publicité n’est pas innocente. Sa mission est double. Elle excite l’envie, la jalousie, le désir et incite à la vente. Mais elle a aussi la fonction de changer le regard des citoyens.

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Prenons aussi l’exemple d’IKEA qui scénarise une pub pour mieux faire passer son message « antiraciste », mais antiblanc.

IKEA nous explique que les femmes blanches partagent, échangent avec la diversité, et peut recevoir un voisin noir habitant l’étage en dessous. Qu’importe d’où il vient.

Décortiquons le scénario ! La femme blanche est bruyante, fait souvent la fête avec ses copines blanches, et sa musique est trop forte. Son voisin du dessous, un travailleur noir, aimerait bien dormir et lui fait savoir en sonnant à sa porte. Un soir, pour se faire excuser, elle l’invite à dîner ! Normal ?  Bien sûr que non, sauf pour une abrutie inconsciente.

De même pour des pubs bancaires où le mari noir et sa femme blanche sont ravis d’avoir obtenu un crédit. Leroy Merlin et Général d’optique.

La femme blanche convoitée, le ventre fécond de la mixité. C’est sur elle que l’on peut compter pour réussir le métissage ? Certes, il y a des femmes noires qui vivent le parfait amour avec un blanc. Mais c’est effacé des radars des antiracistes. Racisme anti blanc, mais à géométrie variable. Il ne va pas faire bon d’être un blanc dans cette société qui s’annonce. Surtout si vous voulez revendiquer vos origines de souche !

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Dans chaque pub, la sélection est faite à travers la couleur de peau.

Prenez la RATP, le fraudeur est blanc. Pire, c’est un homme aisé. La femme blanche n’est pas épargnée ! Fraudeur par la race ? Mettez-vous à un guichet, et vérifiez vous-même !

Si l’on pousse plus loin, on retrouve le même schéma dans les téléfilms. Les voyous sont de jeunes blancs. Ils  vivent dans des banlieues pavillonnaires, rarement dans les cités dites « défavorisées ». Le top étant un jeune bourgeois du 8ème ou du 16ème, plein de fric, bien pervers, et blond de préférence. Souvent, le flic est une femme blanche moralisante, sous les ordres d’un commissaire ou d’un juge noir, etc.

Madame Taubira disait qu’il ne fallait pas ajouter de la culpabilité à cette jeunesse qui pourtant règne dans les cités hors république. Là, où on brûle, on pille, on attaque les pompiers, les médecins, les policiers. Là où on y vend de la drogue, y fomente des attentats. Avec les excuses d’une gauche imbécile, au nom d’une rancune post coloniale comme nous l’explique le faux docteur, mais vraie Députée Danielle Obono. Post coloniale? Cela en dit long sur les origines de ces délinquants multirécidivistes qui encombrent nos tribunaux.

Les Français sont donc coincés dans un étau. Les pinces ? L’idée qu’ils sont des racistes de fait, et la culpabilité d’une histoire dont ils ne sont en rien, responsables.

Le Français est cuisiné chaque jour à la sauce poivre et sel, et chaque jour le poivre devient l’élément principal, et comme dirait l’autre, « ça pique » le blanc.

Bientôt, la grenouille Française de souche sera cuite. Elle sera présentée et agrémentée d’une sauce poivre au banquet de l’Union Européenne, avec du thé à la menthe pour les convives d’Arabie et du Qatar. Bon appétit.

Gérard Brazon, le 7 novembre 2017

 

 

 

« Immigrazia », une chanson italienne pas politiquement correcte sur l’immigration africaine.

Le chanteur italien Giuseppe Povia, vainqueur du Festival de San Remo en 2006, toujours très attentif à l'actualité, a voulu donner son opinion sur l'immigration.

Voici sa dernière chanson, "Immigrazia" où il dénonce le remplacement du peuple italien par les immigrés venant d'Afrique.

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 Source

 

 

 

 

 

Mathieu Bock-Côté : « La peur de devenir étranger chez soi hante notre époque. Cette peur est fondée »

Dans un entretien fleuve, l’essayiste québécois dresse l’état des lieux de la droite française après la double défaite de la présidentielle et des législatives et trace des perspectives pour l’avenir. Ses mots sonnent comme une mise en garde pour l’opposition. Il est temps pour elle d’en finir avec «la tutelle idéologique» de ses adversaires, prévient le sociologue. Il n’y aura pas de refondation politique sans refondation idéologique.

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Pour l’archevêque de Strasbourg, la fécondité des musulmans mène au «grand remplacement»

 

Homme d'Eglise, l'archevêque de Strasbourg Luc Ravel se distingue par son refus obstiné de transiger sur sa liberté d'expression. Dans une interview accordée au quotidien Dernières nouvelles d'Alsace le 2 juillet, le prélat ne s'embarrasse donc pas du politiquement correct.

Il déplore ainsi que l'avortement ne soit pas «concédé mais promu», ce qui lui pose un problème au-delà même de sa foi, parce qu'il dit aimer son pays. L'archevêque, diplômé de l’Ecole polytechnique, estime en effet que «laisser couler la vie avec générosité» est l'indice le plus sûr de «la force d'une nation et d'une civilisation».

Et l'ancien évêque aux Armées et fils de général d'avancer que cette donnée est parfaitement intégrée par les pratiquants de l'islam : «Les croyants musulmans le savent très bien que leur fécondité est telle qu’aujourd’hui, comment ils appellent ça ?... le Grand Remplacement, ils vous le disent de façon très calme, très positive, "mais de toute façon, un jour tout ça, ça sera à nous".»

Celui qui dénonçait dès 2015 «les terroristes de la pensée» avait déjà créé la polémique en comparant les 200 000 victimes de l'IVG aux 17 victimes du  terrorisme, quelques semaines après l'attentat de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher.

Lire aussi : Un cardinal du Vatican veut «fermer le robinet» de l'immigration

 

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