La direction d’un CO a appelé ses collaborateurs à être vigilants après que plusieurs débuts d’incendie se sont déclarés dans des établissements similaires. Un tutoriel sur internet serait à l’origine de ces actes.
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La direction d’un CO a appelé ses collaborateurs à être vigilants après que plusieurs débuts d’incendie se sont déclarés dans des établissements similaires. Un tutoriel sur internet serait à l’origine de ces actes.
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«Ici c’est chez nous». Ce tag inscrit sur le mur de l’allée 62 de l’immeuble de l’Étoile Palettes résume à lui seul la situation.
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Dans l’allée 62, toutes les vitres sont cassées. Les boîtes aux lettres sont brûlées et éventrées. Ici, pas question de se faire livrer des paquets. Ils disparaîtront dans les heures qui suivent.
Zurich, Vaud, Valais et Genève: ces quatre cantons sont ceux qui naturalisent le plus, en pourcentage de leur population étrangère.
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Débat RTS/Forum entre Bastienne Joerchel, directrice du Centre social protestant vaudois,
Christina Kitsos, conseillère administrative en ville de Genève,
Stéphane Rossini, directeur de l'Office fédéral des assurances sociales,
et Giuliano Bonoli, professeur de politiques sociales à l’Université de Lausanne.
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Débat entre quatre gauchistes au pouvoir pour savoir si notre filet social est à la hauteur de leurs idéaux.
Bien entendu, les quatre arrivent à la conclusion que la crise du Covid a montré d’énormes trous dans ce filet, qui est trop complexe et ne tient pas compte des « travailleuses et des travailleurs » qui se trouvent depuis longtemps sur notre territoire sans avoir accès aux prestations sociales, comme l’aide sociale et le logement subventionné, alors que ces gens cotisent aux assurances sociales. Ces défaillances et lacunes de notre filet social seraient une bombe à retardement.
En effet, dans bien des cantons de Suisse romande, un clandestin peut se procurer un numéro AVS et y verser des cotisations (partielles), ce que l’usine du social leur recommande afin de pouvoir faire du forcing pour l’obtention du permis d’établissement.
Les quatre intervenants déplorent que la Confédération transfère ces charges sur les cantons, les communes et des ONG. C’est le fonctionnement du système qui serait à repenser pour que plus personne ne passe entre les mailles du filet.
Les lacunes à corriger seraient d’offrir un meilleur accès à l’information, de rendre le système de l’assistance moins complexe, moins spécialisé, de diminuer les critères qui définissent les ayants droit. Il faut mettre en place un système qui s'adresse à tout le monde.
Christina Kitsos : Il faut rappeler que l’aide sociale est un droit. C’est un droit constitutionnel et ce n’est pas une assurance sociale.
Il faut distribuer plus d’argent et poser moins de critères. Durant le premier confinement, 70% des personnes qui faisaient la queue pour les aides alimentaires n’avaient pas d’aide sociale. Il faut travailler sur le non-recours aux prestations sociales. La loi sur les étrangers, avec permis « B » et « C », rend les gens réticents à demander de l’aide par peur de ne pas pouvoir renouveler leur permis.
Et les personnes en situation de demande d’asile disparaissent quand elles savent que leur demande d’asile sera refusée, néanmoins ces personnes restent dans nos villes. Il n’y a pas de filet social qui recouvre les besoins de ces personnes.
Les cantons reçoivent bien des aides fédérales, pour le logement et les primes d'assurance maladie, mais pas d’aides pour le reste.
Le système social est en tension, on ne pourra pas continuer ainsi s’il y a une troisième vague. Ce système est un système à étiquettes, il faut être malade ou chômeur, etc. Être dans le besoin devrait suffire pour obtenir de l’aide.
Il y a un autre problème. Selon une étude, les travailleurs au noir ne bénéficient pas d’une grande bienveillance dans la population. Les gens veulent une solidarité conditionnelle, ils ont le réflexe de se protéger contre les profiteurs. Cela doit changer. On parle souvent des profiteurs, mais on ne parle pas de ceux qui ne connaissent pas leurs droits à demander de l’aide.
La Chaîne du Bonheur a récolté des millions de francs, ce qui montre que l’esprit de solidarité est là. Mais la population doit comprendre que dans la durée, l’aide sociale, c’est un droit. L’article de la Constitution devrait être mieux connu pour que la population comprenne l’obtention de l’aide publique. Si on conditionne cette aide, si elle reste au bon vouloir de la population, cela va poser un problème éthique.
Non, il n’y a aucun risque que la solidarité s’émousse en Suisse.
Plus de 50% des personnes qui ont fait la queue aux Vernets pour l’aide alimentaire étaient des sans-papiers et malgré cela, la population genevoise a témoigné d’un vrai élan de solidarité. Il est également vrai que les gens ont été sensibilisés par l’opération Papyrus, cela a habitué les Genevois à la solidarité.
Il y a aussi les employés qui n'ont pas de contrat de travail écrit. Leurs employeurs ne respectent pas les lois, il y a des abus. Il y a aussi les gens qui sous-louent des logements pour se faire de l’argent sur le dos des plus précaires.
Le Covid nous permet une évaluation directe de notre système social. L’accompagnement du processus politique va être extrêmement intense ces prochaines années. Les lacunes donnent de bons arguments sur tous les thèmes évoqués et offriront un levier pour les faire aboutir. – fin du résumé
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Cenator : En somme, c’est de grand reset que les quatre camarades nous parlent.
Bien entendu, à les croire, il y aurait seulement des abuseurs qui se feraient de l’argent sur le dos des clandestins, tandis que personne ne se fait de l’argent sur le dos des contribuables.
Selon ces quatre intellectuels, le monde entier pourrait venir s’installer en Suisse pour s’y faire entretenir car la Suisse est riche.
Et pour ces gens, si le système s’effondre, c’est qu’il était mauvais. C’est tant mieux : la gauche ne rêve que de cela depuis la révolution de 1917, même si chaque essai a donné des résultats horrifiants. Notre establishment marxiste est certain qu’il saura construire un système plus juste, sans nations, sans identité, sans capitalisme, plus égalitaire, un système où, par exemple, les quatre intervenants auront une place de choix pour bâtir ce monde nouveau.
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La carrière politique de Stéphane Rossini résume totalement ce qu'est la prise du pouvoir du marxisme culturel sur notre pays.
Rossini est la figure emblématique du PS en Suisse romande, avec sa contribution à la diffusion de la pensée unique dans le monde académique, dans la recherche. Il est également emblématique du putsch marxiste actuel, mené au pouvoir par les manipulations et méthodes de persuasion de nos médias.
Son portrait, c’est du copié-collé avec les autres politiciens pastèques que nous avons en Suisse. Ce sont ce genre de personnes qui ont mis en place la tyrannie idéologique qui domine notre vie de A à Z.
Rossini était également « Consultant indépendant dans le secteur des politiques publiques », c’est-à-dire qu’il livrait à l’État des rapports et donnait son avis contre rémunération. Ces éléments étaient financés par nos impôts, établis à travers une vision orientée au possible, mais néanmoins considérés comme INDÉPENDANTS.
Les universités de Suisse romande recrachent chaque année depuis cinquante ans ce genre d’intellectuels.
Ci-après, un résumé de la carrière de Stéphane Rossini.
Né en 1963 à Sion, membre du Parti socialiste, Rossini était directeur de l'Office fédéral des assurances sociales jusqu'à fin novembre 2020.
Rossini préside actuellement le conseil de Swissmedic, ainsi que la Commission fédérale de l'assurance-vieillesse, survivants et invalidité. [...]
Consultant indépendant dans le secteur des politiques publiques, en particulier des politiques sociales et de la santé, Stéphane Rossini est également chargé d'enseignement aux universités de Genève, Neuchâtel et Lausanne dans les domaines de l'administration publique, des sciences sociales et de la gestion de la santé.
Âgé de 55 ans, le Valaisan est licencié en sciences politiques et docteur en sciences sociales de l'Université de Lausanne.
Conseiller national de 1999 à 2015, Stéphane Rossini a notamment siégé à la Commission de gestion et à la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique. Il a également présidé le Conseil national en 2015.
[...]
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-75704.html
De mai 1989 à mai 1990, il est assistant à l'université de Lausanne et à l'Institut de hautes études en administration publique (IDHEAP) de la même ville, situé à Chavannes-près-Renens, auprès du professeur Pierre Gilliand. Entre mai 1990 et juin 1994, il est chargé de recherche dans le cadre du Programme national de recherche 29, puis, entre juin 1994 et juin 1995, chef de projet de recherche à l'IDHEAP. Il est également directeur du diplôme de formation continue en travail social à l'université de Neuchâtel; il devient directeur-professeur du diplôme de formation continue en juin 1995.
Consultant indépendant au Conseil et recherche en politique sociale (CONSOC) à Haute-Nendaz entre 1995 et 2005, il devient chargé de cours en 2001 à l'université de Genève puis, dès octobre 2006, enseigne à la Haute école spécialisée de Suisse occidentale de Lausanne et de Neuchâtel en tant que professeur-directeur du Master of Advanced Studies en action et politiques.
Carrière politique
En 1993, il est élu au Grand Conseil du canton du Valais, où il siège jusqu'en 1999, date à laquelle il est élu au Conseil national.
Réélu au Conseil National lors du scrutin du 23 octobre 2011, il est nommé président du Conseil national le 24 novembre 2014 […]
Le 3 octobre 2011, il annonce sa CANDIDATURE AU CONSEIL FÉDÉRAL pour succéder à Micheline Calmy-Rey […]
Source et extraits de : https://fr.wikipedia.org/wiki/St%C3%A9phane_Rossini
Cenator: Deux bandes rivales, l’une armée de pizzas, l’autre de barres de fer et de béquilles… vingt contre dix, on devine qui sont les petits babtous dans cette histoire.
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«Mon fils de 16 ans mangeait une pizza avec un ami quand ils ont été interpellés par une bande de jeunes qui leur ont demandé de quel quartier ils venaient, raconte une maman. Ils ont répondu ‘Avanchets’ et là, il y a eu un déchaînement de violence. Les deux ont fini à l’hôpital, mon fils avec une plaie de 20 cm sur le crâne et son camarade avec une main brisée.»
Samedi soir, sur le coup des 21h45, les forces de l’ordre confirment être intervenues non loin du carrefour du Bouchet et du centre commercial de Balexert. «Une dizaine de jeunes qui mangeaient dans un parc ont été approchés par une vingtaine d’adolescents venant d’un autre quartier et roués de coups à l'aide de barres de fer et de béquilles»
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article complet: https://www.20min.ch/fr/story/jeunes-agresses-a-coups-de-barres-de-fer-par-une-bande-rivale-917572010145
Les locataires d’un immeuble de la cité d’Onex n’en peuvent plus de la violence et des petits trafics. Les propriétaires, autorités et police sont à leur chevet.
«Depuis que je me suis fait tabasser à l’arrêt de bus, je n’ose plus rentrer chez moi après la nuit tombée», raconte Luca*, un quadragénaire sportif. Laure*, une de ses voisines sexagénaire, explique que sa fille ne vient plus la voir chez elle depuis qu’elle a été lourdement draguée par un autre habitant. «Ici, ce ne sont que hurlements et bruits étranges, je n’ai jamais vu autant de dingues au mètre carré», témoigne-t-elle. Les deux personnes habitent à Onex, dans un immeuble de la Fondation pour le logement social Emile-Dupont. Avec d’autres, ils dénoncent de la violence et du trafic de stupéfiants dans certains appartements et disent leur sentiment d’insécurité. Car au-delà des quatre murs de l’immeuble, les alentours sont également connus pour abriter de la vente de drogue. «Le matin, quand je regarde par la fenêtre, je vois des gens farfouiller dans les buissons», explique Laure. Les problèmes concentrés dans cette barre de logement ne sont pas nouveaux. Ils sont connus, tant de la fondation que de la commune et des polices municipales et cantonales.
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Les politiciennes de cette commune :
Maryam Yunus Ebener, Maire
Parti Les Verts
Anne Kleiner, Conseillère administrative
Parti Démocrate-Chrétien
Carole-Anne Kast, Conseillère administrative
Parti socialiste
Rappel :
Le canton a fait cavalier seul en fermant ses commerces non essentiels, une décision contestée par la droite. Il réclame aussi davantage d’argent de Berne. Un comportement qui lasse ses voisins et la Confédération
Décidément, Genève n’a pas son pareil pour agacer le reste du monde. En tout cas les cantons romands jusqu’à la Berne fédérale, pour être plus modeste. La précipitation du Conseil d’Etat genevois à fermer les restaurants et les commerces non essentiels puis à se tourner vers la Confédération pour quémander davantage passe mal. Sans aller jusqu’à ignorer la courtoisie intercantonale, les autres cantons latins ont à peine maugréé, mais ils n’en pensent pas moins.
Le conseiller fédéral et ministre des Finances UDC Ueli Maurer, par contre, n’est pas homme à ménager les susceptibilités. Sauf celles de sa base évidemment, qui compte beaucoup de coronasceptiques, et qui a dû goûter son discours intransigeant de père la rigueur, mercredi, en conférence de presse.
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Suite réservée aux abonnés.
source: https://www.letemps.ch/suisse/gestion-crise-geneve-fache-suisse-entiere
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La Suisse a-t-elle aggravé la situation sanitaire de la France voisine? L’hypothèse est avancée par des observateurs de la région Auvergne-Rhône-Alpes. «La circulation entre les cantons suisses et les régions frontalières a très probablement une incidence directe sur l’accentuation de l’épidémie en France», estime le docteur Pierre-Jean Ternamian, président de l’Union régionale des professionnels de santé (URPS). Connu pour son franc-parler, le radiologue lyonnais avait tiré la sonnette d’alarme sur le manque de rigueur des Français, bien avant la décision du retour au confinement. Pour lui, «les Suisses ont pris du retard», et les trajets des frontaliers font aussi partie des facteurs qui ont accéléré la circulation du Covid dans les départements de l’Ain et des Savoies. «Les données sont plus élevées dans ces départements par rapport à d’autres de la région. Alors qu’on connaît un ralentissement des contaminations dans la Loire et le Rhône, l’Ain ou la Haute-Savoie restent dans le rouge», affirme le docteur. Début novembre, les départements de Haute-Savoie et Savoie figurent aux 3e et 4e rangs des départements français les plus atteints. Avec des taux d’incidence de plus de 900 cas de Covid pour 100’000 habitants, plus du double de la moyenne française. À l’appui de sa thèse, le porte-parole des professionnels de santé ajoute que «la part des jeunes atteints du Covid est plus forte dans ces départements». Ce qui tendrait à confirmer que les populations actives sont plus touchées.
«Les taux de contamination sont équivalents des deux côtés de la frontière, [...]
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Plus globalement, les tarifs mensuels des 7700 places qu’il possède vont s’envoler, sauf ceux destinés aux habitants, qui seront adoucis.
«L’objectif est d’éviter l’utilisation exagérée du réseau routier, dont la congestion paralyse l’économie», [...]
source: Genève décide de virer les pendulaires des parkings
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Rappel:
- Genève, canton surendetté, a dépensé pour le réseau du Léman Express près de 2 milliards de francs et la construction a nécessité huit ans de travaux.
- Au 30 juin 2019, le nombre total de travailleurs frontaliers dans le canton de Genève s’élevait à près de 85'900 selon l’Office fédéral de la statistique et ce nombre est en constante augmentation, en dépit du confinement et la crise. Ou plus exactement, la crise économique est encore plus grave en France, ce qui fait que fatalement, le nombre des frontaliers ne peut que croître.
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Rappels:
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De son côté, Mauro Poggia a martelé qu'à situation identique en France et à Genève, un Suisse ne serait pas prioritaire dans les hôpitaux genevois vis-à-vis d'un Français. Dès lors, pour quelle raison les Alémaniques devraient-ils accueillir ces patients genevois puisque cette solidarité entre Suisses n'existe pas à Genève? [...]
article complet: https://lesobservateurs.ch/2020/11/07/coronavirus-geneve-region-la-plus-touchee-en-europe/
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Dans ce cadre, les Romands sont secourus par les Alémaniques au nom de la solidarité fédérale.
De son côté, Mauro Poggia a martelé qu'à situation identique en France et à Genève, un Suisse ne serait pas prioritaire dans les hôpitaux genevois vis-à-vis d'un Français. Dès lors, pour quelle raison les Alémaniques devraient-ils accueillir ces patients genevois puisque cette solidarité entre Suisses n'existent pas à Genève?
Mis à jour le 7.11.2020. Avec près de 2800 cas pour 100'000 habitants, Genève est le canton suisse où le coronavirus a été le plus détecté ces 14 derniers jours. C'est même désormais la région la plus touchée en Europe, juste devant la Wallonie en Belgique.
Selon les données compilées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), trois autres cantons romands complètent le tableau, avec Valais (3e), Fribourg (4e) et Jura (5e). Vaud (7e) et Neuchâtel (11e) sont à peine plus loin.
#Genève devient la région la plus touchées par le #Covid19 en Europe. Six cantons romands figurent parmi les 12 régions les plus concernées https://t.co/dv3zYYTZXE pic.twitter.com/jfOsLmkFIP
— RTSinfo (@RTSinfo) November 7, 2020
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Tout a commencé le 23 octobre. Dans un bus, la prévenue a soudainement asséné plusieurs coups de coude dans les côtes et insulté une dame, sans raison apparente, selon cette dernière. Elle a aussi essayé de la faire tomber de son siège, avant de la saisir par le cou et de lui tirer les cheveux. Un passager est alors intervenu. L’assaillante, une Congolaise née en 1992 et domiciliée à Genève, est parvenue à quitter les lieux, mais «les faits ont pu être confirmés par les images de vidéosurveillance», précise la police.
Une semaine plus tard, soit le 31 octobre, la jeune femme a remis ça. Elle s’est cette fois attaquée à une passante, dans la gare de Cornavin. Là encore sans raison, elle lui a mis un coup de pied.
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Rappel : A Genève, 61% des habitants sont issus de la migration
Dans l'article du Temps, Marylène Lieber, "professeure en études genre de l’UNIGE", en profite pour parler de "racisme" et "d'islamophobie" (et cela après des attentats islamistes visant les non musulmans, excusez du peu!) alors que le sujet de l'article vise l'insécurité des femmes. En clair, elle se sert de l'insécurité subie par les femmes pour imposer son mantra de gauche au lieu de remettre en question l'immigration issue de cultures patriarcales. C'est la raison pour laquelle Le Temps n'est souvent plus crédible : l'idéologie a remplacé l'information et l'analyse objective.
Plus encore, ce sont justement ces migrants qui sont les plus violents et les plus intolérants lorsqu'une femme désire profiter de sa liberté. Pendant ce temps, les Iraniennes sont durement réprimées lorsqu'elles tentent simplement de se débarrasser de leur voile.
Les femmes ne se sentent pas libres partout dans l’espace public. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par l’Université de Genève (UNIGE) sur mandat de la Ville de Genève, qui mène depuis 2019 un plan d’action pour lutter contre le sexisme.
«Les femmes se sentent en insécurité dans l’espace public en raison du sexisme. Or les lieux de loisirs où elles se sentent en sécurité ne sont financièrement pas accessibles à toutes les catégories sociales. La conjonction de ces deux phénomènes est frappante», a déclaré mardi devant les médias le conseiller administratif Alfonso Gomez, magistrat de tutelle du service Agenda 21 – Ville durable.
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«Si le sexisme est un obstacle majeur, le racisme, l’islamophobie, l’homophobie ou l’absence de statut légal constituent d’autres formes de discriminations», relève Marylène Lieber, professeure en études genre à l’UNIGE
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Cette motion du PDC et de la gauche a été déposée après le refus par les députés, au début du mois d’octobre, du projet de nouvelle prison des Dardelles.
En matière de détention préventive, la motion veut donner aux autorités judiciaires des mesures alternatives à la détention à Champ-Dollon, notamment avec le bracelet électronique. Elle demande aussi de créer des places en milieu ouvert, inexistantes dans le canton de Genève, de favoriser les travaux d’intérêt général et de créer une prison pour femmes.
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Pour le MCG François Baertschi, rapporteur de minorité: «Cette motion propose le laxisme dans le domaine pénitentiaire. On ne protège pas les Genevois des dealers et criminels internationaux», précisant que 70% des détenus n’ont pas d’attaches à Genève. Selon lui, des structures ouvertes affaibliraient la sécurité du canton.
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Olivier May, ex-enseignant d’histoire-géo et ex-doyen au Collège de la Florence, aujourd’hui à la retraite, relève que les problèmes avec certains élèves musulmans datent du milieu des années 90 avec l’arrivée du concept d’islamophobie: «Avant, on pouvait rire de tout en classe et on se moquait même sans souci du Pape.»
Selon lui, «tout a changé avec les attentats du 11 septembre 2001 à New York, puis de Charlie Hebdo, le 7 janvier 2015. À l’époque, j’avais pris connaissance d’une dizaine de versets lus par les terroristes avant de prendre le contrôle des avions qui ont notamment réduit en poussière les Twin Towers. Ces textes d’une violence inouïe appelaient à tuer les infidèles. Or, certains de mes élèves niaient leur validité, ripostant qu’ils ne figuraient pas dans le Coran. Un père m’avait même dit qu’il ne fallait pas se fier aux traductions françaises du Coran. C’était la première fois que je constatais une tentative de reprise en main de la religion!»
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Rappels :
Simonetta Sommaruga: « La Suisse sera toujours plus multiculturelle »
Pour l’UDC Guy Parmelin, « La diversité culturelle de la Suisse la rend plus forte »
Les auteurs présumés d’un brigandage, qui avait fait deux blessés début 2019 à Anières (GE), viennent d’être arrêtés.
Déjà connus des services de police française, ils ont été mis en examen et écroués pour «association de malfaiteurs», jeudi et vendredi, au Palais de justice de la capitale des Gaules. Des armes, munitions et voitures volées ont été trouvées lors des perquisitions.
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Le 10 juin 2018, une bagarre générale avait éclaté lors du match opposant le FC Versoix II au FC Kosova II. [...]
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Tentative de meurtre retenue
Deux autres prévenus ont par ailleurs été renvoyés en jugement devant le Tribunal correctionnel. Ils devront répondre de: tentative de meurtre, rixe, injures, voies de fait, entrée illégale, séjour illégal et activité lucrative sans autorisation pour l’un, rixe, tentative de lésions corporelles simples sur personne hors d'état de se défendre et lésions corporelles simples à réitérées reprises.
Suite des événements de Dimanche: vidéo à l’appui et témoignage de Paul Rocha un des blessés, propos recueillis pas @lemanbleutv. Notez que le Président de l’ACGF M. Chobaz sera lui aussi sur Léman Bleu aujou à 18h30. Bon rétablissement aux blessés! pic.twitter.com/k0vZUqmFaz
— Football Club Versoix (@FCVersoix) June 12, 2018
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La rixe avait éclaté quelques minutes avant la fin du match de barrage pour le titre de champion genevois de 4e ligue. Une altercation entre deux joueurs avait dégénéré, et des supporters du FC Kosova II avaient envahi le terrain. Cette violente bagarre avait fait deux blessés graves dans les rangs du FC Versoix II.
Rappels :
Le Tribunal correctionnel a condamné deux braqueurs peu efficaces ayant sévi à Perly et à Fahy (JU).
Le Tribunal correctionnel a condamné à 6 ans de prison deux braqueurs français (dont un jeune Parisien ayant déjà été condamné à vingt-trois reprises dans son pays).
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Les faits jugés cette semaine par le Tribunal correctionnel sont sordides. La plaignante, une femme transgenre qui n’avait alors pas procédé à une vaginoplastie, avait été agressée par un individu dans une cour d’immeuble à Plainpalais, en octobre 2019 au petit matin. Sous la menace d’un couteau, l’agresseur s’était fait masturber avant de tenter de la contraindre à avoir un rapport sexuel. Un voisin l’avait mis en fuite sans qu’il puisse arriver à ses fins.
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Pour le tribunal, le prévenu, un Marocain de 29 ans qui niait les faits, s’est bien rendu coupable de contrainte sexuelle (pour la masturbation) et de tentative de viol (pour la suite de l’agression) aggravées.
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Nos remerciements à Dany Riviera
Un heureux hasard a permis à un homme de retrouver son sac dérobé autour du cou d’un malfrat présumé, au poste de police des Pâquis, pile au moment où il allait porter plainte.
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Le voleur présumé a été immédiatement interpellé. Il s’agit d’un Libyen, sans domicile fixe, âgé de 26 ans.
Nos remerciements à Dany Riviera
Pour les manifestants, ce projet est imaginé comme un vaste complexe carcéral de renvoi. Les règles qui seront en vigueur dans le centre seront infantilisantes.
Il sera interdit d’y recevoir des visites et tout sera pensé pour que les requérants d’asile ne se mêlent pas à la population.
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Pour cacher un nombril, des épaules ou un dos nus, des filles scolarisées au cycle d’orientation de Pinchat doivent porter un t-shirt XXL portant l’inscription «J’ai une tenue adéquate». Réactions.
C’est la punition réservée à une dizaine de filles ce premier mardi de la rentrée scolaire au cycle d’orientation de Pinchat. Safia fait partie des élèves mises sur la touche par les membres de la direction présents à l’entrée de l’établissement ce jour-là. Son col roulé, qui laisse apparaître une partie de son ventre, est jugé trop court. «Ce n’est pas nouveau, constate-t-elle. Depuis mon entrée au cycle, on nous menace régulièrement de nous faire porter ‘le t-shirt de la honte’, comme l’appellent les enseignants eux-mêmes. Officiellement, c’est pour tout le monde. Mais je n’ai jamais vu un élève masculin le porter, même ceux dont le caleçon dépasse à moitié. L’une de mes professeurs disait que mes tenues n’allaient pas car elles déconcentraient les garçons.»
Des témoignages qui vont en ce sens, le compte Instagram Sexisme Genève en a récolté plus de 80 en deux jours. Cycles d’orientation, mais aussi écoles privées et établissements en France voisine, la pratique semble généralisée. Pour le Département de l’instruction publique (DIP), pas question pour autant d’y voir une marque de sexisme.
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A Genève désormais des musulmans radicaux prient dans la rue.
La scène s’est déroulée ce lundi 24 août aux alentours de 19 heures 30 dans le quartier des Tranchées, au Square Le-Fort, derrière le musée d’Art et d’Histoire, non loin de l’Eglise Russe.
On y voit une voiture française immatriculée dans le 83, Var, la porte ouverte, et à côté un type en djellabah et chaussettes qui s’agenouille parterre sur un tapis de prière et se prosterne, puis se relève et s’incline, et ainsi de suite.
Après avoir pesé le pour et le contre, le photographe de circonstance a appelé la police pour leur demander si les photos étaient susceptibles de les intéresser. Réponse du planton, c’est sans pertinence, s’ils ne font pas de bruit, il n’est pas interdit de prier dans la rue. Circulez, il n’y a rien à voir.
Ici, l’on se pose quand même quelques questions.
Trois ressortissants du Var qui à 19h prient par terre un lundi soir dans le Square Lefort, cela n’appelle pas à d’autres considérations ?
On ne peut que renvoyer ici à l’excellente série télévisée israélienne Fauda (Chaos en arabe) écrite et réalisée par d’anciens soldats d’élite israéliens et qui met en scène la violence entre juifs et musulmans en Israël et dans les territoires occupés, une série qui a été internationalement reconnue pour son approche cherchant à coller au plus près de la réalité.
Dans cette série on voit les terroristes islamistes prier et remettre systématiquement leur âme à Dieu avant chaque agressions et tueries. Mais à Genève trois musulmans radicaux et étrangers qui s’agenouillent sur le goudron le lundi soir dans le Square Lefort ce n’est pas un problème.
On imagine le jour où après un attentat le gouvernement genevois viendra nous expliquer, oui des musulmans radicaux et étrangers avaient été vus en train de prier de manière surprenante dans la rue, mais ça ce n’est pas interdit par la loi.
Vous cherchiez une bonne raison pour ne pas suivre ces gouvernement cantonaux qui en ce moment sont en pleine propagande pour saper l’initiative de limitation, vous cherchiez un argument de plus pour vous opposer à la libre-circulation. Et bien en voilà un tout trouvé.
A Genève le gouvernement cantonal ne maîtrise plus rien. Il ne sait même plus ce qui se passe dans ses rues.
Vous savez ce qu’il vous reste à faire le 27 septembre.
Un grand merci à ce citoyen pour ses photos et sa participation. Lorsque l’Etat ne fait plus son travail le peuple doit être vigilant.
[LesObs. InfoNews / 2020]