A Genève, les femmes se sentent en insécurité dans l’espace public

Rappel : A Genève, 61% des habitants sont issus de la migration

Dans l'article du Temps, Marylène Lieber, "professeure en études genre de l’UNIGE", en profite pour parler de "racisme" et "d'islamophobie" (et cela après des attentats islamistes visant les non musulmans, excusez du peu!) alors que le sujet de l'article vise l'insécurité des femmes. En clair, elle se sert de l'insécurité subie par les femmes pour imposer son mantra de gauche au lieu de remettre en question l'immigration issue de cultures patriarcales. C'est la raison pour laquelle Le Temps n'est souvent plus crédible : l'idéologie a remplacé l'information et l'analyse objective.

Plus encore, ce sont justement ces migrants qui sont les plus violents et les plus intolérants lorsqu'une femme désire profiter de sa liberté. Pendant ce temps, les Iraniennes sont durement réprimées lorsqu'elles tentent simplement de se débarrasser de leur voile.

 


Les femmes ne se sentent pas libres partout dans l’espace public. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par l’Université de Genève (UNIGE) sur mandat de la Ville de Genève, qui mène depuis 2019 un plan d’action pour lutter contre le sexisme.

«Les femmes se sentent en insécurité dans l’espace public en raison du sexisme. Or les lieux de loisirs où elles se sentent en sécurité ne sont financièrement pas accessibles à toutes les catégories sociales. La conjonction de ces deux phénomènes est frappante», a déclaré mardi devant les médias le conseiller administratif Alfonso Gomez, magistrat de tutelle du service Agenda 21 – Ville durable.

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«Si le sexisme est un obstacle majeur, le racisme, l’islamophobie, l’homophobie ou l’absence de statut légal constituent d’autres formes de discriminations», relève Marylène Lieber, professeure en études genre à l’UNIGE

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Le Temps

6 commentaires

  1. Posté par aldo le

    Il est toujours agréable de suivre l’émission Cnews face à l’info où Zemmour expliquant historiquement que la montée en puissance des femmes a toujours finit par favoriser les guerres et les révolutions en désarmant et affaiblissant les hommes de leurs prérogatives. Puis par réaction facilitant leurs exécutions à défaut de pouvoir les renvoyer finalement à la maison et dans leurs foyers pour y exercer leurs talents originels que la nature, donc Dieu leur a imposé avec l’exclusivité et la complicité d’un système hormonal genré pour soutenir la procréation et donc la perpétuation de l’espèce. Or nous ne sommes plus après 14-18 ou 39-45 et l’immigration de masse ne remplace plus les morts des guerres. Ce n’est qu’une folie qui mène à la surpopulation par l’artifice scandaleux des subventions familiales devenues abusives dans le contexte actuel de surpopulation. Et ce sont naturellement les femmes qui œuvrent à ces surenchères comme pousse au crime, initialisant ainsi de futures guerres.

  2. Posté par bobo le

    Qu’elle aille demander aux 5 femmes de la vieille ville qui ont mangé grave avec des piliers de l’islam ah ah ah ,on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif. Dans son cas c’est autre chose que le totalitarisme ambiant m’interdit.

  3. Posté par Christian Hofer le

    “l’absence de statut légal constitue d’autres formes de discriminations”

    C’est quoi cette inversion ? Si je m’impose dans un pays en tant que clandestin, c’est moi qui porte atteinte aux droits de la population locale en toute connaissance de cause. Je n’ai pas à me plaindre des conséquences puisque je suis le seul fautif de cette situation. La Suisse n’a pas à accepter n’importe qui sur son territoire.

    Remarquez la tactique de cette femme qui mélange tout et n’importe quoi pour assimiler une cause respectable (la sécurité des femmes) à des concepts qui n’en sont pas. Bien entendu, elle ne mentionne pas la christianophobie qui est présente dans l’islam et qui fait tant de mal aux chrétiens à travers le monde. Cela ne l’intéresse pas.

  4. Posté par Bussy le

    Dans une république laïque et plus généralement en Occident, l’exercice d’une religion appartient au domaine privé et est exclu du domaine public, donc il ne peut pas y avoir d’islamophobie dans le domaine public.
    S’il y en a, c’est que certains exhibent leur religion dans le domaine public, et dans ce cas ça n’est pas aux musulmans de se plaindre d’islamophobie mais aux autres de se plaindre de provocations !

  5. Posté par antoine le

    ”C’est la raison pour laquelle Le Temps n’est souvent plus crédible : l’idéologie a remplacé l’information et l’analyse objective.”
    LeTemps a fait son temps … les informations neutres et objectives (à part celle concernant la RTS et Darius) ne sont pas légion dans cette presse écrite ”aux ordres” …

  6. Posté par SILS le

    Quel est l’auteur de l’article , qui commente l’ étude parue dans le temps . Je suis d’accord avec lui , cette inversion victimaire , stratégie des frères musulmans, est trés répandue hélas…

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