Deuxième ville “la plus cosmopolite du monde”, Bruxelles dégringole au classement annuel des villes les plus sûres de la planète

Pour la cinquième année consécutive, c’est Abou Dabi, la capitale des Émirats arabes unis, qui prône en première position sur les 431 villes présentes dans le classement, avec un indice de sécurité de 88.46 sur 100. Le pays du Moyen-Orient peut même se targuer de placer deux autres villes dans le top 10, Sharjah (6e) et Dubai (7e). Les villes de Doha (Qatar) et de Taipei (Taiwan) complètent le podium avec un indice de 87,96 et 86,55 sur 100. La ville la moins sûre du monde qui apparaît dans le classement n’est autre que la capitale du Venezuela, Caracas, avec un indice de sécurité de 15.32 sur 100.

En Europe, la première ville à figurer dans le classement n’est autre que la ville suisse de Zurich, qui se classe en 7e position.

(...)

Enfin, Bruxelles dégringole au classement puisque la capitale se retrouve seulement à la 293e place avec un indice de 49,20 sur 100.

Dhnet.be

Via Fdesouche


Note : Le Venezuela est un pays dirigé par Nicolás Maduro, membre du Mouvement Cinquième République, un parti de gauche.

Jihad. Préparatifs d’attentats en Suisse: le Croate naturalisé suisse et converti à l’islam face aux juges

Le président intervient et rappelle les multiples condamnations pour vols, drogue, lésions corporelles graves que MJ avait accumulées… «C’étaient des petites bagarres normales, tempère Rocky (son frère). On se prenait un peu pour des caïds, des petits chefs de la ville.» 

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Pendant des mois, selon l’acte d’accusation, le groupe s’est gavé de propagande djihadiste et a envisagé les formes d’attentats les plus divers: tuer des imams modérés, attaquer une boîte gay, poser une bombe au MAD Club à Lausanne ou faire dérailler un train entre Lausanne et Neuchâtel… Avec sa femme, MJ se posait gravement la question de savoir s’il est licite de tuer un enfant: «Oui, s’il n’est pas musulman.» 

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24heures.ch

La Ville de Genève engage une “équipe de prévention” afin de prévenir les incivilités, les attroupements de jeunes et le harcèlement

Pour la première fois dans la Cité de Calvin, une équipe de prévention nocturne arpentera le terrain, de 18h à 2h du matin.

Avec le dialogue pour arme principale, ces femmes et ces hommes vont aller à la rencontre des jeunes dont les attroupements ou les incivilités posent problème dans les quartiers.

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20Min.ch

 

 

Pendant la période de Noël, le gouvernement allemand rapatrie des femmes de l’Etat islamique depuis la Syrie. “Elles seront probablement libres jusqu’au procès”

Le gouvernement allemand rapatrie des femmes allemandes de l'Etat islamique depuis le nord de la Syrie

Passage frontalier de Semalka (frontière irako-syrienne) - opération secrète explosive peu avant Noël !

Pour la première fois, le gouvernement allemand lui-même est intervenu et ramène en Allemagne les membres allemands de l'Etat islamique capturés dans le nord de la Syrie. Le ministère des Affaires étrangères a affrété un avion pour le rapatriement, prévu de longue date, de trois femmes et de leurs enfants ainsi que de plusieurs orphelins des camps kurdes. Des agents de la police fédérale accompagnent le vol.

Selon le BILD, les trois adultes sont Leonora M. (21 ans) de Sangerhausen, Merve A. (24 ans) de Hambourg et Yasmin A. de Bonn.

Jusqu'à présent, le gouvernement allemand a refusé de rapatrier les membres allemands de l'EI capturés en Syrie. La raison officielle donnée par le ministère fédéral des Affaires étrangères (AA) est qu'il ne peut pas intervenir en Syrie parce qu'il n'y a pas d'ambassade.

Cependant, ce n'est pas le régime du dictateur Bachar al-Assad (55 ans) qui est au pouvoir dans le nord de la Syrie, mais le PYD kurde avec sa milice YPG. Berlin n'entretient pas officiellement de relations avec le PYD - probablement par considération pour la Turquie, qui considère la milice YPG comme la ramification syrienne du groupe terroriste interdit PKK.

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Or, pour la première fois, le ministère des Affaires étrangères (AA) rapatrie activement les femmes allemandes de l'Etat islamique. La décision a été prise uniquement pour des raisons humanitaires, selon le ministère fédéral des Affaires étrangères. En effet, plusieurs membres des familles de prisonniers allemands avaient auparavant poursuivi avec succès le gouvernement fédéral en vue de leur rapatriement, mais aucune des décisions de justice n'a encore été appliquée.

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Qui sont ces trois femmes ?

► Leonora M. a disparu de sa ville natale de Sangerhausen (Saxe-Anhalt) en 2015 - l'écolière n'avait que 15 ans à l'époque. Comme le journal BILD l'a mentionné en 2017, Leonora est devenue la troisième épouse de l'homme de main allemand de l'Etat islamique, Martin Lemke de Zeitz. Martin Lemke a été actif dans l'appareil de sécurité de la milice de terreur, a vécu longtemps à Raqqa, et y a contrôlé et interrogé d'autres Allemands.

Selon les informations du BILD, Leonora l'aurait soutenu. Début 2019, Lemke a été capturé par la milice YPG, Leonora est arrivée avec ses deux filles au Camp al-Hol. Elle y a été soumise à une hostilité massive de la part d'autres femmes allemandes, cette situation menaçante aurait joué un rôle dans la décision du rapatriement.

► Merve A. est passée au djihad en 2014. Là-bas, elle a épousé Bilal Z., qu'elle avait déjà connu à Hambourg. En 2017, son mari est mort au combat, Merve s'est enfuie avec leurs deux enfants. Elle a été arrêtée par la milice YPG et vit depuis au Camp Roj.

La santé des deux enfants s'est récemment gravement détériorée, raison pour laquelle le ministère fédéral des Affaires étrangères a décidé de les rapatrier.

► Yasmin A. a émigré en Syrie en 2015. Son frère Yamin était déjà connu à l'époque. En effet, peu de temps auparavant, le service des médias de l'Etat islamique avait publié la seule vidéo de propagande officielle en langue allemande : plusieurs djihadistes allemands étaient réunis dans l'ancienne ville en ruines de Palmyre, l'Autrichien Mohamed Mahmoud appelait au djihad et insultait la chancelière allemande Angela Merkel. Enfin, Mahmoud et Yamin A ont tué deux prisonniers sans défense.

 

Mahmoud et Yamin A.

 

Deux ans plus tard, Yamin A. a été tué au combat, Yasmin s'est enfuie avec ses enfants. Elle a été arrêtée par la milice YPG et amenée au camp Roj. Sa santé s'est considérablement détériorée, c'est pourquoi elle a également été inscrite sur la liste des personnes à rapatrier.

Qu'adviendra-t-il des femmes islamistes rapatriées ?

Le procureur général fédéral enquête sur ces trois cas pour, entre autres, appartenance à une organisation terroriste (article 129b du code pénal). Toutefois, comme il n'y a pas de risque de fuite et qu'il n'y a pas d'autres motifs d'arrestation (par exemple, destruction de preuves), aucun mandat d'arrêt ne sera probablement exécuté, de sorte que les trois personnes resteront en liberté pour le moment. Toutefois, après la conclusion de la procédure préliminaire, elles devront répondre de leurs actes devant les tribunaux.

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

Nos remerciements à Para bellum

A Genève, les femmes se sentent en insécurité dans l’espace public

Rappel : A Genève, 61% des habitants sont issus de la migration

Dans l'article du Temps, Marylène Lieber, "professeure en études genre de l’UNIGE", en profite pour parler de "racisme" et "d'islamophobie" (et cela après des attentats islamistes visant les non musulmans, excusez du peu!) alors que le sujet de l'article vise l'insécurité des femmes. En clair, elle se sert de l'insécurité subie par les femmes pour imposer son mantra de gauche au lieu de remettre en question l'immigration issue de cultures patriarcales. C'est la raison pour laquelle Le Temps n'est souvent plus crédible : l'idéologie a remplacé l'information et l'analyse objective.

Plus encore, ce sont justement ces migrants qui sont les plus violents et les plus intolérants lorsqu'une femme désire profiter de sa liberté. Pendant ce temps, les Iraniennes sont durement réprimées lorsqu'elles tentent simplement de se débarrasser de leur voile.

 


Les femmes ne se sentent pas libres partout dans l’espace public. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par l’Université de Genève (UNIGE) sur mandat de la Ville de Genève, qui mène depuis 2019 un plan d’action pour lutter contre le sexisme.

«Les femmes se sentent en insécurité dans l’espace public en raison du sexisme. Or les lieux de loisirs où elles se sentent en sécurité ne sont financièrement pas accessibles à toutes les catégories sociales. La conjonction de ces deux phénomènes est frappante», a déclaré mardi devant les médias le conseiller administratif Alfonso Gomez, magistrat de tutelle du service Agenda 21 – Ville durable.

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«Si le sexisme est un obstacle majeur, le racisme, l’islamophobie, l’homophobie ou l’absence de statut légal constituent d’autres formes de discriminations», relève Marylène Lieber, professeure en études genre à l’UNIGE

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Le Temps

Allemagne : des islamistes travaillent dans la sécurité ferroviaire

Le "chasseur d'islamistes" Irfan Peci publie aujourd'hui ses nouvelles recherches sur les extrémistes étrangers dans le secteur de la sécurité.

Il y a quelques années, Irfan Peci a procédé à des recherches pour un documentaire sur les islamistes dans le secteur de la sécurité pour le compte de la ZDF. Il est maintenant reparti à la recherche d'indices pour savoir si la conscience du secteur de la sécurité s'est accrue entre-temps.

Dans ce cadre, il a pu retrouver un islamiste ainsi qu'un membre des Loups gris [NDLR : organisation ultra-nationaliste turque et anti-chrétienne]. Tous deux sont agents de sécurité à la Deutsche Bahn.

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Irfan Peci connaît mieux que quiconque les dangers qui émanent de l'islamisme, d'autant plus qu'il a lui-même été islamiste dans une organisation d'Al-Qaïda.

C'est ainsi qu'il explique au Wochenblick : "Les gares sont une zone très sensible et peuvent être une cible pour des attaques."

Irfan Peci a collecté de nombreuses preuves qui montrent que les deux agents de sécurité sont profondément impliqués dans des structures extrémistes. Par exemple, on peut voir l'un des employés de la Deutsche Bahn en train de faire le salut interdit des loups gris sur des dizaines de photos.

Le second, qui se fait appeler "Khalid Islamson" sur Internet, fait la promotion active de l'organisation islamiste "Realität Islam", contre laquelle l'Office pour la protection de la Constitution met en garde. Peci explique que le groupe est principalement composé de membres de l'organisation islamiste Hizbu Tahrir, qui travaille à la restauration du califat. Selon les recherches, Khalid réconise également la violence contre les critiques de l'Islam et s'efforce d'établir un califat.

Khalid Islamson fait la promotion de l'Islam en uniforme de la Deutsche Bahn :

Peci affirme que la prise de conscience du problème n'est pas particulièrement élevée "lorsque des islamistes, ou des membres d'une organisation étrangère d'extrême droite comme les Loups gris, travaillent dans une zone aussi sensible". Seul un des quatre islamistes documentés avait perdu son emploi à l'époque.

"D'autre part, les gens perdent leur emploi et parfois toute leur existence simplement à cause de leur proximité avec certains partis. Les restaurateurs sont mis sous pression pour savoir qui ils peuvent servir et qui ils ne peuvent pas", s'indigne Peci.

A partir de 2015, Peci a lui-même constaté le peu de liberté d'opinion dont disposent les gens qui critiquent l'immigration en Allemagne et à quel point les violations du politiquement correct peuvent mettre en danger sa propre existence. Auparavant, il était invité dans des talk-shows et des émissions de télévisions telles que l'ARD, le Bayrischer Rundfunk et la ZDF. Puis les invitations sont devenues rares. Sa critique de l'immigration massive au cours de la crise des réfugiés en 2015 n'a pas été acceptée par les radiodiffuseurs, lui a-t-on déclaré à huis clos. "Je n'étais pas dans leur agenda", explique Irfan Peci aujourd'hui.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Wochenblick.at

 

Ne pas mettre en jeu la protection et la prospérité des habitants de la Suisse

Les adversaires de ce projet, le Groupement pour une Suisse sans armée (GSSA), le PS et les Verts, ont déposé aujourd’hui le nombre de signatures requis pour un referendum. Une fois de plus, la gauche écologiste menace la sécurité des habitants de la Suisse.

Image : place de la Riponne à Lausanne, stand du Groupement pour une Suisse sans armée, récoltant des signatures lors des manifestations « pour le climat ». (Réd.)

 

Pour l’UDC, la sécurité du pays et de ses habitants est la première des priorités. Elle soutient donc le renouvellement des forces aériennes et n’a strictement aucune compréhension pour l’opposition manifestée par le GSSA et ses complices écolo-socialistes. L’UDC est convaincue que la modernisation de l’armée de l’air est aussi une préoccupation importante des citoyennes et citoyens suisses.

Elément essentiel de l’armée, les forces aériennes préservent les habitants de Suisse contre des menaces provenant de l’espace aérien. Chaque pays neutre et souverain est tenu de protéger sa population. Pour pouvoir assumer ce mandat à l’avenir également, les avions en service aujourd’hui doivent être remplacés par du matériel moderne. Les nouveaux avions seront engagés comme de coutume pendant plus de 30 ans.

Financement par le budget régulier de l’armée

L’acquisition des avions est financée par le biais du budget régulier de l’armée. Les moyens disponibles sont répartis en conséquence. Affirmer que cet argent pourrait être mieux employé, c’est oublier que l’Etat a plusieurs tâches. L’une des plus importantes d’entre elles est précisément de garantir la sécurité et la protection des habitants de la Suisse. Dépenser ces fonds à d’autres fins, c’est renoncer à une partie importante de cette protection. Pour l’UDC, cette idée est inacceptable.

Le service quotidien de police aérienne (aussi en temps de paix), la protection des conférences et, en cas de crise, la défense nationale ne peuvent être assurés que par des avions de combat modernes. Aucun drone, aucun hélicoptère et aucun avion d’entraînement ne peut couvrir toute la palette des engagements. Il n’existe pas d’alternative par rapport à une armée de l’air moderne. L’unique but de ce renouvellement est de pouvoir maintenir la protection des habitants de ce pays et, partant, de garantir à l’avenir également la liberté, l’indépendance et la prospérité de la Suisse. Voilà pourquoi l’UDC soutiendra le 27 septembre 2020 le renouvellement des forces aériennes.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/ne-pas-mettre-en-jeu-la-protection-et-la-prosperite-des-habitants-de-la-suisse/

 

 

Allemagne : Des milices de protection civile voient le jour dans presque tous les Länder. Le gouvernement craint un “terrorisme de droite”

A présent, dans presque tous les États fédéraux allemands, des milices protection civile autoproclamées patrouillent. Le gouvernement fédéral s'en inquiète et considère ces groupes comme des "approches du potentiel terroriste de droite".

Après l'attaque d'une synagogue à Halle le mois dernier, le thème du terrorisme d'extrême droite se trouve à nouveau au centre des débats en Allemagne.

[...]

Les extrémistes de droite prétendent que l'État n'est pas en mesure de garantir la sécurité et l'ordre. C'est la raison pour laquelle ils veulent assumer cette tâche. Selon le gouvernement fédéral, les extrémistes poursuivent également un autre objectif : "Il s’agit d’intimider les étrangers ou les opposants politiques par la présence sur le terrain de milices d’extrême droite."

Selon les informations dont dispose le gouvernement fédéral, il existe désormais des groupements dans presque tous les Länder. Le Ministère ne fournit aucune information sur le nombre de membres de ces groupements citoyens ou le nombre d'individus qui participent à ces patrouilles. Ulla Jelpke, experte de la faction de gauche, a appelé les autorités de sécurité à prendre des mesures cohérentes contre ces milices autoproclamées.

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Spiegel.de / Zeit.de

Allemagne : Un politicien met en garde contre la violence des migrants “Les statistiques criminelles montrent clairement que nous courons un risque accru”

Un ministre de la CSU accuse les migrants d'être issus de cultures dans lesquelles "les conflits sont réglés plus rapidement par la violence". Il veut lutter contre ce phénomène par des sanctions cohérentes et des amendements à la Convention de Dublin.

Après l'attaque meurtrière d'un Erythréen sur un garçon de huit ans à la gare centrale de Francfort, le ministre bavarois, Joachim Herrmann, a signalé un risque accru de violence parmi les migrants. "Aujourd'hui, des gens d'autres origines culturelles viennent chez nous, et dans leurs pays d'origine la non-violence, telle que nous la cultivons, n'est pas encore considérée comme acquise", a déclaré le politicien de la CSU à la Passauer Neue Presse.

"On doit être très clair à ce sujet : Des gens viennent chez nous et ils règlent les conflits par la violence beaucoup plus rapidement. Ils ont eux-mêmes connu un niveau de violence beaucoup plus élevé que le nôtre", conclut Joachim Herrmann. "Les statistiques criminelles montrent clairement que nous courons un risque accru ici", a déclaré le ministre. [...]

"Ouvrir complètement les frontières" ne marche pas.

Dans le même temps, M. Herrmann a appelé à une révision de l'accord de Dublin, qui stipule que l'État européen responsable des migrants est celui qu'ils atteignent en premier. Le système ne fonctionne pas, tout le monde ne respecte pas les règles. Tous les problèmes ne peuvent pas incomber aux États qui constituent la frontière extérieure de l'UE.

M. Herrmann a souligné qu'il ne voulait pas abolir le système Schengen, qui est exempt de contrôles. "Mais il est évident que nous ne pouvons pas nous permettre d'ouvrir complètement les frontières de l'Europe. Surtout tant que les frontières extérieures de l'UE ne sont pas sécurisées. Nous avons besoin de savoir qui séjourne chez nous. Nous avons donc besoin de contrôles intelligents aux frontières en Europe, qui n'entraînent pas d'éternels embouteillages", a déclaré le ministre.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Welt.de

 

La sécurité des habitants de la Suisse et de leurs bases vitales doit être garantie

Communiqué de presse UDC suisse / 8 novembre 2017

L'UDC considère la décision prise aujourd'hui par le Conseil fédéral pour la sauvegarde de la défense aérienne suisse comme un premier pas dans la bonne direction. La sécurité de la population suisse doit dans tous les cas être garantie. A cet effet, l'armée a besoin de forces aériennes performantes avec un nombre suffisant d'avions de combat dont l'action doit être complétée par un dispositif de défense sol-air efficace. 

Le Conseil fédéral a confirmé aujourd'hui cette analyse de la situation en décidant d'acheter de nouveaux avions de combat et de renouveler la défense contre avions. Il paraît cependant douteux aux yeux de l'UDC que le cadre financier prévu soit suffisant. A une époque où la Confédération dépense chaque année plus d'argent pour une aide au développement quasi inefficace et pour un secteur de l'asile échappant à tout contrôle, la moindre des choses est que suffisamment de moyens soient mis à disposition pour la protection de la propre population face à une menace croissante provenant notamment par la voie des airs.

Le mythe sécuritaire du PLR genevois.

Par Michel Piccand

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LE PLR GENEVOIS S’ATTRIBUE DES MÉRITES QUI NE LUI REVIENNENT PAS.

Résumé : Le PLR et son candidat genevois au Conseil fédéral prétendent avoir un excellent bilan sécuritaire à Genève, une baisse de la criminalité. C’est de la pure forfanterie. La délinquance dure est en progression à Genève et la baisse de la petite ou moyenne délinquance en Suisse est d’abord à mettre au compte de l’UDC et du peuple suisse lui-même.

Chacun aura vu dans la course du PLR au Conseil fédéral qu’une phrase revenait souvent dans la bouche du candidat genevois, Mr Pierre Maudet.

Il a un bilan à présenter, a-t-il dit, un bilan qui parle pour lui.

Alors sans doute faut-il rappeler quelques statistiques en matière de criminalité genevoise, puisque Mr Maudet patron de la sécurité à Genève se prévaut avec satisfaction de son bilan et d’une baisse de la criminalité. Voici donc quelques petites précisions…

1. S’il est vrai que le nombre d’infractions a baissé ces dernières années à Genève on n’a pas encore tout dit.

Le nombre d’infractions au code pénal est dans une tendance à la baisse partout en Suisse.

Mais les infractions qui baissent sont celles contre lesquelles les citoyens peuvent facilement se protéger. Il y a quelques années des criminologues certifiés nous avaient annoncé une baisse extraordinaire du nombre de voitures volées en Suisse. Sauf que cette baisse ne résultait pas d’une baisse du nombre de délinquants ni d’une baisse de la pression délictuelle mais parce qu’il était devenu plus difficile de voler une voiture, dont les clés sont désormais toutes pourvues de puces électroniques qui empêchent le démarrage sans la bonne clé…  les dispositifs de contournement n’étant pas à la portée de tous.

La même chose à Genève pour la baisse des cambriolages, il n’y a désormais plus une seule porte d’immeuble sans code pour entrer, voire de caméras de surveillance, et dans les villages de la ceinture genevoise où l’on ne fermait souvent même pas la porte à clé, vous trouvez des doubles barres de sécurité verrouillées sur bientôt toutes les portes…

Ici ce sont les solutions de défense technique payées et organisées par les citoyens eux-mêmes qui ont fait baisser le nombre d’infractions, pas les actions des stratèges du PLR…

infractions pénales-suisse

2. Les vols à l’arraché ont chuté à Genève, c’est une réalité, passant de 738 en 2013 à 328 en 2016, il est vrai que la présence policière dans la rue s’est faite plus visible dans les endroits de grandes fréquentations et à peut-être eu son effet. Mais les vols à l’arraché ne sont malheureusement du point de vue pénal que des bagatelles. Et sans doute faut-il compter que nombre de Genevois dans certain cas ne se déplacent même plus au poste de police lorsqu’ils se font voler leur porte-monnaie… perdre deux heures pour remplir une plainte n’est gratifiant ni pour les victimes ni pour les policiers.

Ce qui est inquiétant à Genève sous l’ère Maudet c’est que la criminalité dure est en train de reprendre l’ascenseur.
infractions-dures-ge
Pierre Maudet a été coopté en juin 2012 pour remplacer le PLR Mark Muller forcé de démissionner à cause de ses nombreuses affaires, Maudet a alors repris le département de la sécurité d’Isabelle Rochat, puis réélu a continué dans ce département en 2013.
Sous le mandat d’Isabelle Rochat (2009-2012) la criminalité dure a suivi une tendance à la baisse mais qui est repartie à la hausse dès l’élection de Pierre Maudet en 2013 avec une hausse aujourd’hui de près de 21 % des infractions dures sous son mandat !!!
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criminalité-dure

Si l’on affine la lecture et enlève par exemple les brigandages (ex. attaque à main armée de station-service) qui ont baissé dans toute la Suisse et à Genève et dont une partie de l’explication pourrait être simplement les bouchons croissants sur les routes… qui altèrent désormais les chances des brigands de pouvoir s’échapper rapidement par les réseaux routiers totalement saturés… on constate que l’évolution de la criminalité dure à Genève est tout simplement dramatique…
Le nombre de 61 meurtres et tentatives de meurtres en 2016 à Genève est tout simplement effrayant… il n’a probablement jamais été aussi haut de toute l’histoire de Genève. 1 meurtre tous les deux mois, près de 5 tentatives de meurtre chaque mois.
homicides
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Le nombre d’escroqueries a presque été multiplié par 2, les extorsions, chantages, menaces et contraintes, sont en train de prendre l’ascenseur…

escroqueries

extorsions

Ces infractions posées comme ça sur le papier paraissent très abstraites, pour ceux qui en sont victimes c’est une autre histoire. Et il s’agit là de la progression d’infractions qui en général sont typiques de la grande criminalité ou du crime organisé : tentatives de meurtre, chantages et extorsions, escroqueries.
Le PLR genevois présente le bilan de son candidat comme admirable. Ce n’est pas mon avis, ce bilan est déplorable.
Le taux d’infractions violentes pour mille habitants plaçait en 2016 Genève en 3e position derrière Bâle-Ville et Neuchâtel, 13.1, 8.5, 7.9 suivait Vaud avec 6.5 infractions violentes pour mille habitants, les 4 cantons les plus pro-européens de Suisse ont les 4 plus gros taux d’infractions violentes par habitant… ! Des taux 2 à 3 fois plus élevés que celui du canton (primitif…) de Schwyz avec 2.8 infractions violentes pour mille habitants… [Source OFS, Code pénal: choix d'infractions en comparaison cantonale, 2009-2016].
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LE PLR S’ATTRIBUE DES MÉRITES QUI NE LUI APPARTIENNENT PAS
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Si l’on observe la progression du nombre de personnes poursuivies pour infractions pénales en Suisse sur les quinze dernières années, il y a certes un léger tassement et diminution depuis 2010, mais sur la durée rien ne montre un vrai recul, la courbe bleue (TOTAL) ci-dessous reste à long terme ascendante.
courbes
Ce qui est intéressant dans ce graphique, c’est que le total de toutes les personnes poursuivies pour infractions pénales en Suisse (ligne bleue du haut) le total de tous les Suisses poursuivis (ligne rouge) et le total de tous les étrangers poursuivis (ligne violette) suivent la même tendance avec une certaine cohérence, (creux et pics de 2002 et 2008 plus ou moins semblables) mais que vers 2010 la ligne jaune du bas s’écarte pour devenir quasiment plate et ne plus suivre la progression des 3 autres courbes. Il est clair que la courbe jaune montre un écart… qu’elle est clairement atypique, il y a un décrochement.
Or la ligne jaune du bas qui devient plate, représente le nombre des étrangers domiciliés en Suisse qui ont eu affaire à la justice pénale. Et ils sont parmi les 4 catégories examinées celle qui a le plus ralenti son activité délictuelle…
Si l’on examine cela maintenant avec des chiffres, on s’aperçoit qu’à teneur des chiffres de 2000 à 2016, le nombre total de personnes en Suisse qui ont eu affaire à la justice pénale a progressé de 26 % (1ère ligne)
pour-cent
Les Suisses (y compris les naturalisés) qui ont eu une affaire pénale a progressé de 31 %. Le nombre de tous les étrangers tous domiciles confondus en Suisse ou à l’étranger qui ont eu affaire à un juge pénal a progressé de 22 %. Mais – comme c’est étrange ! le nombre d’étrangers ayant un domicile en Suisse qui ont eu affaire à la justice pénale a lui baissé de 10 % !!!!
Il semble donc bien qu’autour des années 2010 quelque chose a dû se passer pour cette catégorie des délinquants étrangers domiciliés en Suisse, que quelque chose à dû se passer pour qu’on les voies de moins en moins dans les affaires pénales et pour que s’inverse la progression de leur courbe de criminalité.
Le temps passe vite et nous oublions tant de choses. Le 28 novembre 2010 le peuple suisse, sur proposition de l’UDC a tiré un gros coup de canon en l’air, un coup de semonce qui a visiblement résonné, et qui s’appelle le vote sur le renvoi des criminels étrangers. Voilà ce qui a changé. Un avertissement clair a été donné aux délinquants étrangers domiciliés en Suisse, qui visiblement ont compris le message…
S’il y a une baisse des affaires pénales et de la criminalité en Suisse on la doit à l’UDC et au peuple suisse qui l’a suivi et écouté. On ne le doit certainement pas au PLR.
UN PARTI À L’ARROGANCE SANS LIMITE
Le PLR a donc non seulement violé notre Constitution en décembre 2016, confisqué notre droit de vote comme à celui de près de 2 millions de Suisses mais maintenant il vient nous expliquer que son bilan en matière de sécurité à Genève est admirable… Que ce sont eux qui ont trouvé des solutions pour faire baisser la délinquance.
Comme on l’a vu, la baisse de la délinquance bagatelle ou moyenne trouve en partie son origine dans les mesures techniques de protection que le peuple a dû mettre en place contre la pression délictuelle, doubles barres de sécurité aux portes, etc. et qu’il a dû payer de sa propre poche (sur ces coûts voir le lien ci-dessous).
Mais plus généralement la baisse de la délinquance est redevable à l’UDC et au vote sur le renvoi des criminels étrangers. Beaucoup se sont sans doute mis à réfléchir deux fois avant de commettre des infractions. C’est ce que montrent les chiffres présentés ci-dessus.
On relèvera que le PLR qui se vante tout le temps d’être le parti des solutions, de même ses homologues du PDC et du PS et des Verts, qui se vantent d’être des partis gouvernementaux responsables, sont précisément ceux qui en même temps qu’ils ont voté l’ouverture des frontières ont voté un allégement de notre code pénal, qui la rendu beaucoup moins sévère que ceux de tous les pays environnants, et qui a créé un véritable appel d’air à la délinquance transfrontalière en offrant une première infraction gratuite et libre de toute peine aux délinquants étrangers de passage, une affaire à pleurer de bêtise. [Sur ces questions voir ici p.150 LE DÉNI DE LA DÉLINQUANCE TRANSFRONTALIÈRE ET SON COÛT. ]
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TOUT CELA DOIT S’ARRÊTER
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Nous n’avons aucune obligation d’accepter que dans le canton de Genève ou ailleurs le taux d’infractions dures soit désormais plus du double de la normale en Suisse.
Il faut maintenant arrêter de prendre les citoyens de ce pays pour des idiots.
Il y en a assez de ces partis politiques qui se présentent comme ceux qui amènent des solutions, alors que c’est par leur politique et par leurs erreurs qu’ils amènent les problèmes.
Le PLR va présenter un nouveau candidat au Conseil fédéral, je ne comprends pas que ce parti ait encore sa place au gouvernement.
Qui confisque la voix du peuple en violant les institutions, et qui à peine le forfait commis, vient parader devant le peuple en prétendant qu’il règle des problèmes alors que c’est d’autres qui l’ont fait à sa place, n’a pas sa place dans un gouvernement.
Le PLR au gouvernement c’est devenu pire qu’une hérésie.
Ces gens sont désormais une injure contre notre démocratie et les valeurs fondamentales de respect dans notre pays.
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Michel Piccand, le 22 septembre 2017
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Oui au renforcement de l’indépendance grâce à la sécurité alimentaire

Communiqué de presse de l'UDC

Le Comité du parti a examiné aujourd'hui à Steffisburg (BE) le contreprojet à l'initiative populaire retirée pour la sécurité alimentaire. Les citoyens en décideront le 24 septembre prochain. C'est sans grande conviction que le Comité recommande aux délégués par 36 voix contre 19 et 5 abstentions de soutenir ce contreprojet. Des critiques ont été formulées à l'égard de l'Union suisse des paysans qui a retiré trop vite son initiative au profit d'un contreprojet vague et trop étendu. Si ce dernier a tout de même obtenu le soutien du Comité, c'est parce qu'il inscrit enfin dans la Constitution fédérale l'important principe de la sécurité alimentaire.

La Suisse est aujourd'hui déjà un des plus importants importateurs de produits alimentaires par habitant. En 2016, notre degré d'autoapprovisionnement est tombé pour la première fois en dessous de 50%. L'ancrage de la sécurité alimentaire dans la Constitution contribuera à stopper cette tendance. Le combat pour de meilleures conditions-cadres en faveur de l'agriculture productrice, notamment des producteurs de lait qui sont dans une situation désastreuse, ne fait cependant que commencer. Le Comité a critiqué le conseiller fédéral Schneider-Ammann qui a osé présenter ce contreprojet comme une possibilité d'ouvrir encore plus les frontières – en totale opposition avec ses déclarations au Parlement. C'est un affront à l'égard de toutes les familles paysannes suisses qui travaillent durement. Après une discussion intense, le Comité a décidé par 36 voix contre 19 et 5 abstentions d'approuver le contreprojet pour la sécurité alimentaire.

En cas de question:
Silvia Bär, secrétaire générale adjointe: 079 216 48 31

La sécurité comme priorité

Le groupe parlementaire UDC rejette à l'unanimité le remplacement du statut de personne admise provisoirement dans le domaine de l'asile. Face à l'afflux constant et massif de réfugiés économiques en Suisse, ce projet est proprement inacceptable. Concernant l'acquisition de nouveaux avions de combat, le groupe UDC donne la priorité absolue à la sécurité de la Suisse.

La Commission des institutions politiques du Conseil national (CIP-CN) exige la préparation d'un projet de loi créant un nouveau statut pour les requérants d'asile admis provisoirement. Il s'agirait d'offrir à ces personnes une protection de plus longue durée et d'améliorer leurs conditions d'accès au marché du travail. En prenant cette décision, la majorité de la CIP-CN se fait complice des bandes criminelles de passeurs et encourage tous les migrants économiques à prendre la route de la Suisse et à s'y introduire illégalement. Le groupe UDC relève à l'unanimité que les personnes admises provisoirement ne sont pas des réfugiés et qu'elles doivent donc retourner le plus rapidement possible dans leur pays.

Le groupe a en outre été informé par le conseiller fédéral Guy Parmelin sur les "Recommandations du groupe d'accompagnement pour l'évaluation et l'acquisition d'un nouvel avion de combat". Pour les parlementaires UDC, la priorité absolue sera toujours de garantir la sécurité de notre pays. Cet objectif exige de garantir la capacité de défense de l'armée suisse sur terre et dans les airs. Les moyens financiers nécessaires à l'application de ce mandat constitutionnel doivent être mis à disposition. Dans ce même contexte, le groupe UDC a approuvé à l'unanimité le message 2017 sur l'armée sans tailler dans le crédit demandé. Enfin, il a refusé de prolonger l'engagement de la Swisscoy dans le cadre de la KFOR jusqu'au 31 décembre 2020.

Grâce au référendum de l'UDC contre la loi sur l'énergie, le Conseil national a déjà refusé le système incitatif en matière climatique et énergétique (SICE). Ce nouvel article constitutionnel permettrait à la Confédération de prélever de lourdes taxes sur les combustibles et les carburants ainsi que sur l'électricité. Le groupe UDC mesurera les partisans de la loi sur l'énergie à leur promesse selon laquelle le Conseil des Etats refusera lui aussi en majorité d'entrer en matière sur ce projet inutile, donc qu'il l'enterre définitivement. Les parlementaires UDC se sont aussi opposés à la ratification de l'accord de Paris sur le climat. Avant même la conclusion de ce traité, la Suisse avait déjà annoncé ses objectifs exagérés en termes de réduction des émissions (baisse des émissions de gaz à effet de serre de 50% d'ici à 2030 par rapport à leur niveau de 1990). Avec la ratification de cet accord, ces objectifs seront définitivement inscrits dans la loi sur le CO2. La seule manière de les atteindre est d'augmenter massivement les taxes et redevances grevant les automobilistes et les camionneurs, les propriétaires de chauffage à huile, les arts et métiers, etc. Le groupe UDC a donc rejeté à l'unanimité ce projet.

Communiqué de presse de l'UDC suisse

Stockholm: Lorsque des Africains agressent les agents de sécurité (Vidéo)

A noter que deux jolies filles blondes prennent la défense des racailles africaines empêchant ainsi l'arrestation (dès 1:26). Elles semblent être les petites amies de ces délinquants violents: une grande victoire pour le féminisme contre le "mâle blanc et la société misogyne suédoise".

Pire que cela, on voit fuir l'une des deux filles à la fin de la vidéo en compagnie des Africains: Elles préfèrent que leurs propres compatriotes se fassent passer à tabac que de voir la racaille se faire arrêter: une vidéo qui témoigne plus qu'aucun mot de la trahison de l'extrême gauche et de sa nocivité pour l'Europe. Cette idéologie répugnante sera systématiquement contre nous, prête à soutenir tout ce qui peut détruire nos pays.

Enfin, on constate que dans ce genre de situation, la femme, qui s'est fait subtiliser sa matraque, ne remplace pas l'homme dans le secteur de la sécurité. Même si elle peut être une excellente intermédiaire pour calmer une situation, elle ne possède pas la même présence physique en cas de rapport de force. L'homme s'est pratiquement retrouvé seul à gérer l'agressivité des Africains. C'est encore ici la société suédoise égalitariste, jusqu'à nier les différences physiques, qui en est responsable. Résultat des courses: l'homme est à terre et la femme pleure à côté.

Et c'est un tel pays que l'on nous présente comme le phare du progressisme en Europe...

 

Berne double le budget de la sécurité pour les centres d’asile abritant des “requérants qui menacent la sécurité”

Christian Hofer: Et cela au lieu de les expulser... ils recevront donc toujours des soins, de la nourriture, des vêtements tout en représentant un danger pour notre population.

On se souvient des Kosovars qui ont été admis dans notre pays par le biais de la gauche alors que la Confédération sait qu'ils représentent un danger.

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Berne va doubler la contribution financière qu'elle verse aux cantons pour les frais de sécurité des centres d'asile spécifiques, dont celui des Verrières. Ces centres abritent des requérants considérés comme perturbateurs. L'indemnité annuelle passe à 220'000 francs pour 50 places d'hébergement.

Ces centres dits spécifiques abritent des requérants qui perturbent le fonctionnement des centres fédéraux, qui menacent la sécurité ou l'ordre public. La Confédération verse au canton qui les abrite une contribution forfaitaire pour les frais de sécurité, de la même manière qu'elle le fait pour les cantons qui abritent des centres fédéraux d'asile.

Source et article complet

Suisse. Asile: Risque de Sécurité. Jusqu’à 90 % des requérants disparaissent dans la clandestinité

En Suisse, de nombreux demandeurs d'asile quittent les centres d'asile, d'autres n'y arrivent jamais. Le politicien Rösti craint un risque de sécurité.

A peine arrivée en Suisse, une grande proportion des demandeurs d'asile présumés prend à nouveau ses jambes à son cou, comme le rapporte le "Sonntagszeitung". Dans certains centres d'accueil de la Confédération, cela plonge jusqu'à 90 pourcents, comme des documents internes du Secrétariat d' Etat pour les migrations (SEM) le montrent.

Jamais arrivés à Berne

Certains demandeurs d'asile retirent aussi leur demande. Alors qu'au centre d'asile de Altstätten à Saint-Gall 50 pourcents ont retiré leur demande ou sont tout simplement passés dans la clandestinité, au centre d'asile de Thurgovie cela atteint 80 à 90 pourcents selon les documents. La situation est encore un peu différente à Berne. Dans ces établissements, la moitié des demandeurs d'asile alloués n'arrive jamais à destination.

Le Secrétariat d'Etat aux migrations ne peut pas confirmer les chiffres pour chaque centre, écrit le journal. Toutefois, tout en reconnaissant qu'il y avait eu au cours des trois derniers mois une accumulation de tels cas. Le Secrétariat d'Etat parle de 20 à 40 pourcents des candidats.

"L'armée des clandestins»

Le responsable bernois de la Justice Christoph Neuhaus a considéré que l'augmentation du nombre en été est "hautement problématique". "Nous ne pouvons pas être certains qu'ils s'en vont et qu'ils s'inscrivent ailleurs en tant que demandeurs d'asile." On risque d'avoir une armée de clandestins "qui aura des conséquences sur le marché noir, la prostitution ou la criminalité". Neuhaus exige que les demandeurs d'asile soient enfin contrôlés de manière efficace et de ne pas les laisser passer dans la clandestinité.

Le président UDC Albert Rösti est aussi alarmé: "Il y a un risque de sécurité majeur lorsque les requérants passent dans la clandestinité." Il n'y a qu'une solution: "Les frontières doivent être fermées."

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Rappels:

Grèce : Selon Europol l’Etat islamique tente actuellement d’infiltrer des terroristes parmi les clandestins

Migrants. Les Verts et le PS posent leurs exigences: « La Suisse doit soutenir l’Italie, conseiller juridiquement les migrants et accepter ceux qui ont déjà de la famille chez nous »

Suisse: La Présidente des Jeunes Socialistes appelle à violer notre loi et à faire entrer des clandestins

« Sécurité : où sont les gardes-frontière ? »

Comme on a pu le lire abondamment, le risque d’attentat terroriste à Genève est jugé imminent, précis et sérieux.

Rappelons qu’Il y a à peine un mois, Mme Simonetta Sommaruga assurait n’avoir aucune information concrète au sujet d’une menace terroriste visant la Suisse, ni même de quelconques indices. Son dispositif «l’alpha et l’oméga de la lutte contre le terrorisme» étant « suffisant » selon elle. C’est donc dans cette mentalité que la motion UDC demandant que l’armée contribue à sécuriser les 1'900 km de frontière suisse a été balayée la semaine dernière par le Conseil national. Il n’y aura donc pas de militaires aux frontières.

 

Malheureusement, force est de constater que les effectifs de gardes-frontière sont peu visibles, voire pas du tout, aux frontières genevoises. Malgré les annonces alarmistes qui circulent depuis jeudi, les seuls douaniers aperçus aux frontières étaient les douaniers français.

Cela explique peut-être pourquoi la tant recherchée camionnette blanche immatriculée en Belgique est entrée puis repartie du territoire suisse dans la nuit de mardi à mercredi. Il en va de même pour les deux Syriens interpellés vendredi – grâce à un pneu crevé – sur la route de Thonon dans une voiture immatriculée en France et ayant transporté du matériel explosif.

Face à ces constats, l’UDC Genève ne peut que déplorer le rejet par le Grand Conseil de sa motion de 2014 demandant l’affectation aux frontières extérieures du canton des gardes-frontière de l’aéroport affectés au simple contrôle des passeports hors zone Schengen, alors qu’ils ont de larges compétences de terrain.

Communiqué UDC Genève du 14.12.2015

Pour tous renseignements :

Patrick Lussi, député et chef de groupe, 076 / 364 17 27

Céline Amaudruz, présidente et conseillère nationale, 079 / 874 83 97

Quand la sécurité publique n’est qu’une option et non un devoir

Dans un éditorial du 30 novembre dernier, je m'indignais contre un arrêt du Tribunal fédéral qui estimait qu'un viol commis sur une victime hors d'état de résister après avoir été droguée par l'auteur n'était pas "particulièrement grave" et donc ne pouvait être invoqué pour justifier un internement à vie.

Je dois bien avouer m'être sentie particulièrement concernée par cette ahurissante décision à deux titres au moins.

Tout d'abord en tant que femme. Imaginer qu'un viol ne devienne pas "particulièrement grave" dès lors que la victime est droguée avant le passage à l'acte ne peut que me choquer profondément. Il s'agit d'une insulte majeure faite aux victimes qui doivent vivre avec ce qui leur est arrivé et supporter le doute qui s'installe dès lors qu'on ne se souvient pas exactement des faits. L'incertitude monte, un sentiment de culpabilité diffus apparaît mais il faut bien continuer à vivre après cette dramatique épreuve. Par son arrêt, le Tribunal fédéral fait savoir aux proies de l'ignoble personnage qui les a agressées que ce qu'elles éprouvent n'est pas "particulièrement grave".

Non seulement on minimise ainsi des actes abjects mais on ne reconnait pas les victimes en leur qualité. C'est une deuxième offense qui leur est faite, à savoir que notre société ne prend pas en compte à sa juste valeur le calvaire qu'elles traversent.

En tant que Conseillère nationale ensuite, représentante d'un parti qui place très haut la sécurité, la sollicitude envers les victimes et la sévérité envers les criminels. La population nous a suivis dans notre soutien à l'initiative pour l' "Internement à vie pour les délinquants sexuels ou violents jugés très dangereux et non amendables" acceptée par peuple et cantons le 8 février 2004. Nous avons cru naïvement que ce que notre société produit de pire serait enfin mis hors d'état de nuire définitivement.

Malheureusement, après les psychiatres qui se refusent à admettre leur impuissance face aux cas qui leur sont soumis et rejettent donc l'internement à vie, c'est le Tribunal fédéral qui foule aux pieds la volonté populaire. Combattre la démocratie directe à grands coups d'arguties juridiques est un procédé manifestement en vogue au sein de notre instance judiciaire suprême. Cette dernière se permet ainsi de remettre à l'ordre le pouvoir législatif et partant, l'avis majoritaire de notre population. L'inverse serait bien sûr inimaginable au vu de la séparation des pouvoirs désormais à sens unique.

Au vu de ce qui précède, j'ai soumis le cas au Conseil fédéral qui a répondu ce jour par la voix de Mme la Conseillère fédérale Simonetta Sommaruga. En résumé, il ressort qu'il n'y a pas lieu de s'énerver, l'internement normal pouvant également signifier internement à vie. Rien sur le message transmis aux victimes, à plus forte raison aux auteurs qui savent désormais quoi faire pour rester dans le pas "particulièrement grave". Rien non plus sur ce mot terrible "pouvant" signifiant que l'option existe mais n'est pas certaine. On se souvient à ce propos de Claude D. ou de Fabrice A. qui pouvaient aussi rester internés mais sont sortis quand même avec le résultat que l'on sait.

Dans le cas de la protection de nos concitoyennes et concitoyens, la possibilité, pour nous, ne suffit pas, nous voulons la certitude. On ne saurait relâcher des monstres dans la nature et ainsi jouer à la roulette russe avec le sort des futures victimes. Pour contraindre enfin le système judiciaire à faire son travail qui consiste aussi à penser aux femmes dont la vie a été saccagée, j'ai déposé aujourd'hui une initiative comblant la lacune dans laquelle le TF s'est engouffré. Le travail parlementaire va maintenant commencer. Puisse le rythme bernois accélérer un peu car en attendant, la funeste appréciation des juges de Mon-Repos fera jurisprudence, avec son lot d'insultes à ces femmes qui, contrairement aux crapules, ne sont en rien responsables de ce qui leur arrive.

Céline Amaudruz, Conseillère nationale UDC