Allemagne : La NZZ dévoile les coûts de l’immigration et balaie le mensonge « des migrants bien formés ».

Christian Hofer : A noter que la NZZ révèle depuis 2016 ces mensonges:

"Avoir au moins 10 années de scolarité est considéré comme un standard en Europe occidentale et 88% de la population allemande franchit cet obstacle. En revanche, cela ne concerne que 58% des réfugiés. Cela montre une forte dichotomie de l'expérience éducative. 70% des migrants ne possèdent pas de diplômes professionnels ou d'études (...)"

Ces chiffres n'ont jamais été publiés par la presse romande. Evidemment.

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L'un des plus grands secrets en Europe est le coût réel de la migration et en particulier le coût d'un migrant. Notre attention s'est portée sur un article en allemand (émanant du journal suisse Neue Zürcher Zeitung), dans lequel les coûts sont calculés. Les résultats sont choquants.

Environ 1,7 million de personnes ont demandé l'asile en Allemagne depuis 2014, mais quiconque demande au gouvernement les coûts de cette immigration sera envoyé dans un labyrinthe de statistiques et de chiffres, écrit l'auteur.

Sur la base d'une projection du gouvernement, il estime les coûts annuels entre 30 et 40 milliards, mais on ne sait pas si les dépenses complémentaires pour les jardins d'enfants, les écoles, les 2000 juges supplémentaires et les soins de santé sont incluses.

Aucun économiste ou gestionnaire ne prétend que l'immigration de masse est une bénédiction pour l'État allemand. Au contraire: en raison du faible niveau d'éducation, le spécialiste des finances Bernd Raffelhüschen prévoit "que chaque réfugié coûtera au total 450 000 euros durant sa vie". Avec deux millions d'immigrés jusqu'en 2018, cela représente un coût total de 900 milliards d'euros.

Citant le ministre du Développement Gerd Müller, un million de réfugiés coûte au gouvernement allemand, aux États et aux municipalités environ 30 milliards d'euros par an.

En d'autres termes: si le calcul du ministre est exact, chaque personne cherchant une protection en Allemagne coûte 30 000 euros par an ou 2 500 euros par mois.

Cela correspond à la charge fiscale de douze salariés moyens (3 000 euros par mois, classe d'imposition III). Pour un migrant mineur non accompagné, les coûts peuvent aller jusqu'à 5 000 euros par mois, précise l'auteur.

Mais les chiffres pour le «réfugié ou migrant moyen» pourraient être encore plus élevés en raison du grand nombre de nouveaux chômeurs de longue durée.

Dans les faits, seuls 13% des réfugiés travaillent actuellement. Et parmi ceux qui travaillent, la plupart sont des stagiaires ou des assistants. Un grand nombre d'entre eux (59%) n'ont pas de diplôme et nombreux sont ceux qui sont analphabètes, conclut l'auteur.

Cela explique pourquoi actuellement, 58% des réfugiés demandeurs d'emplois sont considérés par les centres comme étant uniquement destinés à des emplois auxiliaires.

Source Source2 Source3 Source4

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

La Croix-Rouge forme des « réfugiés » au métier d’auxiliaire de santé.

C'est un projet lancé en 2016 par la Croix-Rouge suisse (CRS) en partenariat avec le Secrétariat d'Etat aux migrations. Son nom? «SESAME». Son but? préparer les réfugiés reconnus et les personnes admises à titre provisoire à la formation d'auxiliaire de santé afin de faciliter leur insertion sur le marché du travail.

Suède: Seuls 3% à 4% des migrants peu qualifiés sont intéressés à se former professionnellement

Le gouvernement suédois a constaté que seuls entre trois et quatre pour cent des migrants nouvellement arrivés avec une mauvaise qualité d'éducation sont intéressés à participer à poursuivre des études ou des formations.

Le nouveau rapport, qui provient du Service suédois de l'emploi, montre que seulement trois à quatre pour cent des migrants qui sont venus en Suède au cours des deux dernières années ont manifesté leur intérêt à participer aux cours pour développer leur éducation.

Selon Sveriges Radio, Annie Rubensson, directrice de l'intégration et de l'établissement au service de l'emploi, a déclaré que les chiffres pourraient avoir un impact considérable sur les chances des migrants en matière d'emploi.

"Cela signifie que leurs chances d'obtenir un emploi diminuent considérablement", a ajouté Rubensson, "nous travaillons beaucoup pour motiver et nous redoublerons nos efforts dans les conseils pour informer de ce qui est nécessaire sur le marché du travail suédois".

 "Il n'est pas certain qu'ils soient conscients qu'en principe, ils ont besoin d'une éducation secondaire pour obtenir un emploi permanent en Suède", a-t-elle déclaré.

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Source1 Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

France: La formation de l’écrasante majorité des imams échappe à tout contrôle, sinon à celui des fédérations musulmanes

Le septième rapport officiel en trois décennies sur ce sujet démontre l'impuissance de l'État à prévenir la radicalisation de certains imams venus de l'étranger.

La régulation de la formation des imams en France ressemble à un labyrinthe sans issue. Et ce n'est pas le septième rapport sur le sujet - en trois décennies - qui devait être remis, jeudi 16 mars, aux ministres de l'Intérieur et de l'Éducation nationale, respectivement Bruno Le Roux et Najat Vallaud-Belkacem - qui ouvre des perspectives innovantes.

L'islamologue Rachid Benzine et les professeurs d'université Catherine Mayeur-Jaouen et Mathilde Philip-Gay, les trois auteurs très autorisés sur le sujet, n'ont pourtant pas démérité dans l'analyse de la situation.

Leur diagnostic d'une situation complexe tient en deux idées-forces: la formation de l'écrasante majorité des quelques 1800 imams actifs en France échappe à tout contrôle sinon à celui des fédérations musulmanes ; la tentative de renforcer la formation universitaire en islamologie pour travailler à la déradicalisation voit plutôt les quelques apprentis imams qui s'y rendent contester cette lecture universitaire du coran. Ils la récusent même en bloc. «Les enseignants du supérieur, écrivent-ils, se heurtent à des contestations croissantes».

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Rappel: Genève ambitionne de lancer une formation continue pour les imams

Le niveau des médecins généralistes étrangers est insuffisant

Les médecins vaudois critiquent le niveau de formation de généralistes étrangers

Le système actuel de reconnaissance des diplômes permet à certains généralistes étrangers insuffisamment qualifiés de s’installer dans notre pays, dénonce la société vaudoise de médecine.

"Ce qui coûte le plus cher, en médecine comme ailleurs, c’est l’incompétence". Cette phrase tirée d’un article du Courrier du médecin vaudois de décembre 2016 illustre l’inquiétude des praticiens établis face à l’arrivée de généralistes étrangers à la formation discutable.

La formation des généralistes commence en Suisse par une formation de base sur six ans. Avant d'obtenir le titre de spécialiste en médecine générale, les apprentis médecins doivent encore suivre cinq ans de formation postgrade.

Exigences minimales insuffisantes

Parallèlement, pour un praticien étranger qui souhaite s’établir en Suisse, les accords bilatéraux exigent un diplôme valide et trois ans de pratique en milieu hospitalier. Or, en Suisse, un médecin sur deux a effectué une partie de sa formation à l'étranger.

Ces exigences sont insuffisantes car trop vagues, dénoncent les médecins vaudois. Il y a une brèche dans laquelle s’engouffrent certains praticiens.

Interrogé par la RTS, le Dr Philippe Randin de Genève cite le cas d’une femme médecin qui a effectué ses études à l’étranger, mais qui n’avait plus pratiqué la médecine depuis une vingtaine d’année. Cette personne a pu obtenir un titre de médecin praticien en Suisse, qui lui permet d’exercer comme généraliste.

Une dizaine de cas suspects

S'ils veulent pratiquer en Suisse, les médecins étrangers doivent au préalable faire reconnaître leur titre par la Confédération et les cantons. Mais les autorités sont désarmées pour intervenir lorsque les critères minimaux sont respectés. Une fois l’autorisation de pratiquer octroyée, il faut une plainte d’un patient pour qu’un canton puisse intervenir .

Le président des médecins vaudois, Philippe Eggiman, voit passer par exemple plusieurs centaines de demandes d'autorisation de pratique par année. Une dizaine de cas seraient suspects.

Une réponse politique

L’installation - légale - de médecins au niveau de formation problématique jette le discrédit sur la très grande majorité de médecins étrangers parfaitement qualifiés. A l'instar de Béatrice Allain Pons, généraliste française installée depuis 2013 à Lutry, qui se dit "profondément attristée, même choquée" par le comportement "non déontologique" de ses confrères qui mettent "tout le monde dans le même panier".

Pour les médecins vaudois, la réponse doit venir du politique. "Les procédures devraient permettre de lever les doutes, et le cas échéant de refuser la reconnaissance, même lorsque les conditions purement formelles sont réalisées", écrit le Courrier du médecin vaudois.

Le sujet a été porté devant les Chambres fédérales, jusqu'ici sans succès. Tenu de respecter les accords bilatéraux en la matière, le Conseil fédéral estime n'avoir qu'une marge de manoeuvre limitée.

Serge Mérillat/rens

Source RTS

Suisse: «Il faut favoriser l’accès des réfugiés aux études»… aux frais des contribuables.

Christian Hofer: Combien de Suisses n'ont pas pu accéder à des études universitaires ou HES par manque de moyens? Combien de Suisses ont dû se résoudre à s'endetter durant des années pour arriver à un quelconque diplôme, voire même à endetter la famille?

Une fois encore, ces gens totalement déconnectés de la réalité se fichent éperdument lorsqu'il s'agit de leurs compatriotes dans le besoin. Mais ils viennent exiger que la Suisse passe à la caisse pour le premier venu! Imaginez donc une seule seconde toutes les personnes qui pourraient ainsi venir chez nous et étudier à notre charge.

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L'accès aux études est actuellement très compliqué pour les réfugiés. L'Union des étudiants de Suisse souhaite des modifications.

L'Union des étudiants de Suisse(UNES) réclame que l'accès aux études universitaires pour les réfugiés soit amélioré en Suisse. Exigences linguistiques, examens d'entrée à l'université, orientation lacunaire: nombreux sont les obstacles à lever.

«L'accès à l'éducation est un droit», a déclaré lundi devant la presse à Zurich Gabriela Lüthi, membre de la direction de l'UNES. Les études doivent être accessibles à toute personne en ayant les capacités, a formulé la faîtière des étudiants suisses dans son papier de position.

Source et article complet

Syrie : Des enfants de l’État islamique reçoivent une formation militaire

- ATTENTION : IMAGES TRÈS CHOQUANTES -

Le 29 décembre 2016, le bureau des médias de l’État islamique (EI) à Raqqa, en Syrie, a posté une vidéo dans laquelle des dizaines d’enfants de différents milieux reçoivent une formation militaire avec des fusils et des grenades, exécutent des hommes accusés d’être des espions et des soldats de l’armée syrienne et jurent d’attaquer les infidèles dans leurs patries.

Dans la vidéo, intitulée « Mon père m’a dit » et postée sur le principal forum djihadiste affilié à l’EI, Shumoukh Al-Islam, les enfants, principalement des fils de combattants étrangers de plusieurs pays, parmi lesquels la Turquie, la Tchétchénie, le Turkestan, l’Arabie saoudite et le Kirghizistan, évoquent la mémoire de leurs pères et leurs conseils de devenir des combattants, d’être candidats au martyre et d’étudier la charia. La plupart des enfants parlent en arabe avec divers accents marqués.

[...] S’adressant aux « nations de la mécréance », ils ajoutent : « Nous ne sommes pas un groupe, nous ne sommes pas des slogans, nous sommes les petits-enfants des compagnons du Prophète et nous resterons jusqu’au Jour du Jugement et nous vous envahirons dans vos patries, avec l’aide d’Allah. Alors, attendez et palpez vos cous, car la défaite sera vôtre au nom du Dieu de Mohammed. »

Memri via Fdesouche.com

Pendant que la Confédération donne des milliards pour l’asile, Lucerne ferme ses écoles pour économiser

Lucerne: Le canton ferme ses écoles pour économiser 4 millions

Cette semaine supplémentaire de vacances permet au canton d'économiser 4 millions de francs. Pendant cette période, les enseignants ne sont pas payés.

«Vacances forcées»

Les opposants parlent de «vacances forcées». L'association des élèves du secondaire vlm et le syndicat des services publics SSP/VPOD protestent contre cette mesure pendant toute la semaine sur la Place du théâtre à Lucerne.

Le canton économise le salaire des enseignants sur le dos des élèves, peut-on lire sur un tract distribué lundi par vlm et le SSP. Cette mesure est considérée comme la plus indigne d'une longue liste d'économies imposées aux écoles lucernoises.

Source via le Facebook du PNS

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Rappels:

Les coûts de l’asile doubleront d’ici 2018

Lucerne dénonce une politique d'asile "trop généreuse" pour les Erythréens. Sommaruga prend leur défense

 

 

Le PS veut révolutionner le processus d’intégration

Maintien de l'ouverture des frontières et renforcement de l'intégration sur le marché du travail: tels sont les principaux axes de la politique migratoire prônée par le PS suisse.

[...]

Le PS appelle à changer fondamentalement la façon d'envisager l'intégration, que ce soit par le biais de la formation ou de l'emploi. Il s'agit de lever les obstacles à l'intégration en permettant aux requérants de travailler, mais aussi d'accéder à des cours de langue dès le premier jour, a notamment plaidé la conseillère nationale Cesla Amarelle (VD).

[...]

Article complet ICI

État islamique : Des enfants entraînés pour tuer à Racca

Le groupe État islamique entraîne des jeunes garçons militairement et idéologiquement pour former sa prochaine génération de combattants. Sur cette vidéo de propagande, on découvre le camp d’entraînement de Racca en Syrie.

Il s’agit de « l’Institut Farouq pour les enfants du califat« . Ces jeunes sont formés au maniement des armes. On leur inculque aussi les croyances extrémistes du groupe, un véritable lavage de cerveau.

Via Fdesouche.com

Les têtes bien faites et les têtes bien pleines

Les promoteurs des pédagogies farfelues actives aiment à user abusivement de citations pour étayer leur propos. Sans doute est-ce là une manière de démontrer le vide abyssal l’étendue de leur culture. Montaigne fait partie de leurs références favorites. De tonitruants « Mieux vaut une tête bien faite qu’une tête bien pleine » sont assénés régulièrement un peu partout où enseignants et formateurs sont formatés formés en guise d’argument imparable coupant court à toute discussion sérieuse opposition formulée par ceux qui ne savent pas.

 Dans la même veine, une citation tronquée exhumée du Moyen-Âge leur permet d’affirmer de manière imparable que les enseignants faisant oeuvre de transmission passéistes considèrent que l’élève est un vase à remplir de force. Peu importe si la citation en question portait à l’origine sur l’extrême délicatesse avec laquelle il faut agir au contact de l’esprit humain et de ses limites, l’important est de mettre l’accent sur le côté je-te-fourre-tout-ça-dans-la-tête-et-tant-pis-pour-toi.

 L’idée sous-jacente à cet ersatz d’ argument consiste à dire que la transmission de connaissances contribue à former des abrutis cultivés mais incapables d’utiliser cette culture au lieu de former les gens à ne pas réfléchir. Ce d’autant plus que ces fameuses connaissances sont en deux coups de clic à la portée de tous. Néanmoins, ces démagogues penseurs ne savent même pas oublient que la réflexion est largement dépendante du nombre de connaissances bien acquises stockées dans la mémoire à long terme des individus. Les approches cognitivistes sur le développement de l’expertise chez les individus, et ce dans une multitude de domaines, démontrent clairement que la profondeur de réflexion d’un individu dépend totalement de la quantité de connaissances qu’il maitrise réellement. Celles-ci permettent d’élaborer des schémas de pensée plus complexes dont nos fameux experts sont incapables puisque la maitrise des données nécessaire au traitement d’un problème libère de la place dans la mémoire de travail des individus et que celle-ci a des capacités extrêmement limitées. On peut faire ce qu’on veut, on ne peut pas raisonner à partir de rien. Une personnes qui, comme moi, n’a aucune idée en matière de physique quantique, ne comprendra pas grand chose à un texte écrit par un éminent spécialiste de la question et ce même en ayant à sa disposition un accès à internet ou toute autre ressource documentaire à portée de main. La compréhension du texte va débuter dès lors que va commencer l’apprentissage des différentes notions de la discipline en question. Et ce ne sont pas des gesticulations techniques palliatives ou autre dispositif de travail sur document qui combleront ce manque. Attention, je ne dis pas que ces méthodes n’apportent rien, je dis qu’elles apportent beaucoup moins que des connaissances. La nuance est de taille.

 Toujours dans le même ordre d’illusion idée, la traditionnelle sempiternelle répétition des notions est présentée, elle aussi, comme tuant l’esprit (drill and kill). Pourtant, dans la pratique, c’est exactement l’inverse qui se produit. En effet, biologiquement, ce sont les connexions inter-neuronales qui déterminent le fonctionnement mental. Plus celles-ci sont nombreuses et plus un apprentissage est effectif et assuré. Or, il n’existe qu’une seule manière efficace d’augmenter le nombre de ces connexions : s’entrainer et répéter.[1] Encore et encore. Répéter permet d’ancrer les nouvelles notions dans la mémoire lexicale[2]. Le nouvel apprentissage est alors enregistré mais pas encore compris. C’est ce qu’on appelle « apprendre par cœur ». Incontournable puisque sans cela, il n’y a pas de nouveau mot, de nouvelle définition, formule ou je ne sais quoi d’autre. A cet apprentissage doit toutefois s’ajouter un second volet pour faire passer la nouvelle connaissance dans la mémoire sémantique, autrement dit là où se situe la compréhension. Et là aussi, c’est par le biais de la répétition qu’elle s’y installe définitivement. Toutefois, une nuance de taille doit être ajoutée : pour comprendre, il s’agit de répéter dans différents contextes[3]. Il n’est pas très rentable de faire inlassablement la même chose, il faut en varier les applications. Ce n’est que comme cela que l’apprentissage prend vraiment du sens. Mais on reste envers et contre tout dans le domaine de la répétition.

 Puisque méthodes inefficaces actives axée sur l’évitement la construction du savoir par l’apprenant sont horriblement chronophages, elles sont confrontées à deux choix : soit elles font une croix sur un bon nombre de répétitions et donc l’élève doit se rabattre sur un apprentissage par cœur à domicile qu’il aura à peu près oublié le lendemain même du test, soit la quantité de connaissances dispensée dans ces cours est réduite comme peau de chagrin et on en arrive à se féliciter qu’un élève sache dire son prénom correctement et compter jusqu’à 6 ne fasse que des progrès ridiculement fort modestes.

 En revanche, les modèles axés sur la transmission permettent, eux, d’augmenter massivement le nombre de répétitions. Surtout si l’enseignant, dans la phase où il montre, varie déjà considérablement les contextes, qu’il fait travailler ses élèves eux aussi dans cette constante variation et qu’il fait le nécessaire pour s’assurer continuellement de l’avancement de l’apprentissage.

 On est donc à des années lumières de l’opposition entre têtes bien faites et têtes bien pleines dénoncées par certains esprits chagrins et, à vrai dire, il n’est tout simplement pas possible d’avoir les premières sans passer par les secondes !

 Pour Les Observateurs, Stevan Miljevic, le 2 octobre 2015

 [1] Alain Lieury « Mémoire et réussite scolaire », Dunod, Paris, 2012, p.126-127

[2] Ibid p.25

[3] Ibid p.43

Salve d’oppositions au centre sur l’islam à Fribourg

Un projet de formation sur l’islam en Suisse, destinée notamment à des imams, suscite une vague d’oppositions au sein de la droite. Le contexte international électrise les débats.

Le chemin vers la création d’un Centre islam et société (CIS) est semé d’embûches. En mars, l’Université de Fribourg espérait encore ouvrir dès la rentrée d’automne des premiers modules de cette formation, destinée entre autres à donner aux imams une meilleure compréhension de la société suisse. Ce ne sera pas avant 2017.

Suite

Pourquoi les formations à l’enseignement sont des « usines à médiocrité »

Il y a quelques temps de cela, les chercheurs Clermont Gauthier et Anthony Cerqa de l'université de Laval ont publié un papier fort intéressant sur la formation des enseignants. (1)

Comment les enseignants perçoivent leur formation

La réflexion débute avec un petit résumé de The New Teacher Project (TNTP), enquête menée auprès d'enseignants américains expérimentés travaillant dans des milieux fort défavorisés. Cette recherche visait, entre autre, à identifier les principaux facteurs ayant contribué à améliorer la qualité de leur enseignement. Comme vous pouvez le constater sur le diagramme suivant, la formation initiale d'enseignant est arrivée à la dernière place de l'ensemble des facteurs proposés:

Capture d’écran 2014-03-07 à 16.50.27 (2)(cliquer sur l'image pour agrandir)

Près d'un enseignant sur deux affirme donc que sa formation initiale ne l'a en rien aidé à devenir un meilleur enseignant. C'est beaucoup, ce d'autant plus que, comme toujours lorsqu'il s'agit de répondre à une demande critiquant l'institution, un certain nombre d'enseignants n'osent pas dire ce qu'ils pensent réellement. On pourra toujours rétorquer que la majorité des enseignants affirme que cette formation  a été utile mais la manière de poser les questions ne pouvait pas amener à une autre réponse. Prenons un exemple simple pour illustrer le cas: si un cursus de formation est à 95% inutile et qu'on retrouve quand même 5% de choses utiles, toute personne honnête ne peut pas dire que cela ne l'a pas aidé à bonifier sa pratique. En revanche, si on pose la question différemment, par exemple en demandant aux gens si le retour d'investissement personnel engagé dans cette formation dans son ensemble vaut la peine, le taux de réponses négatives sera revu largement à la hausse. On réalise ainsi à quel point le score obtenu par les formations initiales dans cette enquête est faible.

Alors certes il s'agit de formations ayant eu lieu aux Etats-Unis qui n'ont peut-être rien à voir avec ce que l'on fait dans nos contrées. On va y venir. Ce qui n'empêche pas de penser qu'une telle enquête devrait, elle aussi, être menée chez nous. Le but étant de récolter des informations précises, les questions posées devraient être plus précises et ne pas servir d'alibi pour bomber le torse et déclarer fièrement que nos formations sont formidables. De telles données pourraient déjà nous éclairer sur la perception qu'ont les enseignants du parcours formatif qu'ils ont du suivre.

Des usines à médiocrité

Mais revenons-en au papier de messieurs Gauthier et Cerqua. La deuxième partie du document porte sur une enquête menée par le National Council on Teacher Quality (NCTQ), think tank US militant en faveur d'une amélioration de la qualité des enseignants, au sujet de la qualité de la formation des enseignants US (3). La recherche a porté sur 1130 établissements et  2420 programmes de formation différents, soit la quasi unanimité des formations possibles aux Etats-Unis.

Les résultats sont assez stupéfiants puisque le NCTQ arrive à la conclusion que les cursus de formation d'enseignants sont des usines à médiocrité. La raison en est que:

Tout se passe comme si le choix avait été fait, depuis les années 1970, d'écarter les dimensions techniques directes au profit d'une préparation au métier plus lointaine et de nature conscientisante. La technique est mal vue dans les facultés d'éducation et on ne l'enseigne tout simplement pas parce qu'on craint une sursimplification de ce qui est considéré autrement plus complexe. L'accent dans les programmes est plutôt mis sur la conscientisation, la mise au jour des croyances personnelles, la sensibilisation aux stéréotypes, la formation de l'identité professionnelle. On ne transmet ni n'entraîne aux habiletés pédagogiques, on met plutôt les étudiants en situation de développer leur jugement professionnel par l'analyse réflexive. Ainsi, on croit que chacun devrait construire les bonnes stratégies par lui-même (4).

En Suisse nous subissons exactement le même genre de traitement: dans les HEP, les futurs-enseignants ne sont quasi jamais entrainés à des techniques précises: la majeure partie du travail consiste à remplir des rapports ennuyeux au possible à l'aide d'une grille de critères, à pratiquer la pensée réflexive, à expliquer le cheminement suivi dans sa pratique etc.  Les stages pratiques se font aussi dans cet esprit puisque l'étudiant doit également remplir des rapports expliquant ce qui a changé dans sa pratique. Le résultat d'une telle approche est que des outils qui peuvent s'avérer fort efficaces en situation d'enseignement en arrivent à être très mal connus de la part des enseignants en formation. Si les HEP veulent atteindre un certain degré d'efficacité, elles doivent changer leur mode de fonctionnement.

Dogmatisme et stress

Les méthodes enseignées comportent également de nombreuses incongruités dont nous avons déjà parlé: certains didacticiens ne jurant que par l'approche constructiviste n'ont de cesse de promouvoir situation-problèmes, enquête ou autre pédagogie de la découverte bien que la démonstration de la quasi totale inefficacité de celles-ci soit aujourd'hui clairement établie (5). Suivant le didacticien, de nombreuses heures sont ainsi perdues à s'intéresser à ces élucubrations. Comme la manière de les enseigner est tout aussi inefficace, certains étudiants en arrivent à subir une forte charge de stress totalement inutile: ils ne comprennent pas où veulent en venir ces formateurs ayant usé de moyens sans aucune pertinence pour les amener à des savoir-faire qu'ils n'arrivent pas à appréhender tant ils défient le bon sens et l'intelligence. Et ce alors que leur avenir professionnel est en jeu. Ce qui amène certaines personnes à se demander si les Hautes Ecoles Pédagogiques n'ont pas pour objectif de tester la résistance des futurs enseignants plutôt que de leur enseigner le métier.

Fort heureusement pour le candidat ainsi malmené, cette méthode de travail a un fort taux de tolérance à la médiocrité et même des savoir-faire très partiellement acquis peuvent être synonyme de réussite. Il ne peut d'ailleurs pas en être autrement avec de telles pratiques. Mais cela n'empêche pas des situations d'échec intermédiaires qui peuvent être fort angoissantes puisqu'il n'est pas possible de savoir à priori la manière dont un formateur va réagir au travail rendu. Certes, l'étudiant dispose d'une grille des critères à atteindre avant la rédaction de son rapport, mais ceux-ci sont généralement formulés de manière si vague qu'il n'est pas possible d'être certain de les avoir rempli.

Un tremplin du constructivisme social

Outre ces aspects didactiques, la lutte contre les stéréotypes peut prendre au moins deux différentes formes dans les cursus de formation à l'enseignement: la lutte contre les stéréotypes de genre et l'interculturalité (6). Dans les deux cas, il sera assené aux enseignants en formation que les identités, qu'elles soient de genre ou culturelle ne sont en fait nullement déterminées par la biologie, le milieu naturel ou tout autre facteur tendant à différencier durablement, mais qu'il ne s'agit en fait que de phénomènes socialement construits.

Selon le philosophe Ian Hacking, spécialiste de la question, dire d'un phénomène qu'il est "socialement construit" revient à soutenir que son existence n'est pas inévitable, que sa genèse est tributaire d'événements qui auraient pu ne pas survenir. Ce constat le conduit à formuler quatre clauses se situant au principe de toute les théories constructivistes:

- Dans l'état actuel, X - l'objet "socialement construit" - est tenu pour acquis, X apparaît comme inévitable

- X n'a pas besoin d'exister, ou n'a pas besoin d'être comme il est en quoi que ce soit. X, ou X tel qu'il est aujourd'hui, n'est pas déterminé par la nature des choses; il n'est pas inévitable

- Tel qu'il est, X est assez médiocre

- Nous nous sentirions beaucoup mieux si l'on pouvait se débarrasser de X, ou tout au moins le transformer radicalement. (7)

Ce constat permet d'affirmer que le constructivisme social, loin d'être une vision scientifique cherchant à comprendre le fonctionnement du réel est en fait une vision militante du monde. Une vision militante qui n'a pas son pareil pour promouvoir les intérêts des minorités au détriment de ceux de la majorité et/ou du bien commun.

Derrière cette prétention de lutte contre les stéréotypes et préjugés que l'on retrouve dans les différents instituts de formation à l'enseignement se cache donc une vicieuse vision fortement politisée, terreau fertile pour les revendications LGBT et le lobby  immigrationniste notamment.

Conclusion

La méthode d'enseignement ainsi que les contenus des instituts de formation sont donc largement contestés/contestables. Tout le monde y gagnerait à ce que toute cette démarche conscientisante soit remplacée par quelque chose de plus efficace et moins fastidieux à la fois et que les contenus cessent d'être orientés vers des divaguations dont l'inefficacité est maintenant maintes fois prouvée. De même, les essais d'implanter une vision de monde aussi politiquement orientée que les cursus se cachant derrière la lutte contre les stéréotypes et les préjugés n'ont pas leur place dans ces institutions. L'école doit enseigner le respect, pas la promotion de revendications communautaires.

Au final, si une remise en cause sérieuse était effectuée, que les multiples rapports cédaient leur place à des tests, que les méthodes d'enseignement se calquaient sur ce qui a été démontré comme efficace par des enquêtes empiriques (8) et que la politisation des enseignants cédait la place à quelque chose de plus neutre, la longueur du parcours de formation se verrait drastiquement réduite. Ce qui n'irait pas sans poser d'autres problèmes puisque le critère retenu par les institutions européennes dans les accords de Bologne comme élément clé de l'attribution des crédits de formation est le temps que l'étudiant passe à étudier.

Dans le même temps, puisque même les plus fumeux théoriciens du domaine de l'enseignement reconnaissent que certaines pratiques sont plus chronophages que d'autres, il n'y a aucune raison objective de penser que de telles modificiations ne peuvent pas être introduites. Le contraire serait même plutôt choquant.

Stevan Miljevic, le 11 mars 2014

http://stevanmiljevic.wordpress.com

(1) http://www.formapex.com/formation-professionnelle/1108-la-faiblesse-de-la-formation-des-enseignants-conscientiser-au-lieu-dentrainer?616d13afc6835dd26137b409becc9f87=4d34101224fa8bcc8a53050fda55c277 consulté le 5 mars 2014

(2) http://tntp.org/assets/documents/TNTP_Perspectives_2013.pdf consulté le 7 mars 2014

(3) http://www.nctq.org/dmsView/Teacher_Prep_Review_2013_Report consulté le 7 mars 2014

(4) http://www.formapex.com/formation-professionnelle/1108-la-faiblesse-de-la-formation-des-enseignants-conscientiser-au-lieu-dentrainer?616d13afc6835dd26137b409becc9f87=4d34101224fa8bcc8a53050fda55c277 consulté le 5 mars 2014, p.69

(5) http://visible-learning.org/fr/

(6) http://www.hepl.ch/files/live/sites/systemsite/files/filiere-sec1/programme-formation/liste-modules-secondaire1-2013-14-fs1-hep-vaud.pdf consulté le 8 mars 2014

(7) Razmig Keucheyan "Le constructivisme, des origines à nos jours", Hermann, Paris, 2007, p.67 à 69

(8)http://stevanmiljevic.wordpress.com/2014/01/29/de-nouvelles-lois-necessaires-pour-encadrer-lenseignement/

Freysinger, la HEP et les médias

 

Et si par hasard elle n’a rien de concret à se mettre sous la dent, elle tord les faits et donne ainsi la parole à des gens complètement déconnectés de toute réalité à l’image de Marcelle Monnet-Terrettaz, pourvu que le propos soit incendiaire à l’encontre du conseiller d’Etat UDC. Avant Freysinger, aucun conseiller d’Etat n’avait jamais ni souhaité une bonne année, ni consulté directement le corps enseignant sur ce qui ne va pas dans l’école valaisanne, mais qu’importe, cela n’empêche pas cette dame de parler de « mobbing », d’enseignants traumatisés et « craignant pour leur place », ni même d’ailleurs le journaliste de dire que les enseignants « ne témoignent le plus souvent qu’à visage caché maintenant ». Il fallait oser.

Il y a également eu l’épisode Slobodan Despot durant lequel on a reproché à ce monsieur d’avoir une opinion divergente de celle de la majorité sur la guerre en ex-Yougoslavie. Quel crime ! Bien entendu, les médias, si peu enclins à critiquer les conséquences financières des délires socialistes ont voulu demander des comptes à Oskar sur le sujet. Quand même, oser dépenser ainsi l’argent du contribuable ! Peu importe si l’embauche d’un chargé de communication était devenue indispensable à cause, justement, de l’acharnement de la presse…

Enfin, on en vient à ce qui va être le sujet principal de ce billet : la possibilité offerte par le conseiller d’Etat à ceux qui échouent leur cursus HEP de pouvoir quand même enseigner en Valais.

 

Triés sur le volet

Analysons le traitement de cette affaire par la télévision romande : dans son reportage, la RTS donne la parole à Georges Pasquier, président du syndicat des enseignants romands, histoire de pouvoir se prévaloir d’une soi-disant expertise. Comme Pasquier roule pour les pédagogos, il propose une comparaison afin d’illustrer le cas et de se mettre tous ceux qui n’y comprennent ou n’y connaissent rien dans la poche : le cas serait comparable à celui de médecins non-diplômés pouvant toute de même exercer. A ce tarif-là, les bons parents auraient du souci à se faire pour leurs enfants envoyés à la boucherie chez des incompétents notoires, décrétés aptes au travail par simple caprice du chef du département.

Pour que la comparaison de Pasquier soit valide, il faudrait que les instituts de médecine se mettent à promouvoir la saignée dans leur cursus. Les méthodes pédagogiques imposées (et non proposées) par les HEP s’y apparentent : on peut difficilement trouver pire que le socio-constructivisme.

Administration, maison de fous, AsterixQue monsieur Pasquier suive une fois l’intégralité du cursus HEP avant de venir dire n’importe quoi à la télévision, sans nul doute changerait-il d’avis sur la question. Car il faut être clair, les heures passées sur les bancs des HEP s’assimilent plus à de la torture qu’autre chose : un dogmatisme sectaire qui frappe systématiquement d’anathèmes ceux qui ne veulent pas rentrer dans le moule, des heures interminables à traîner dans des salles de classe avec une absence quasi-totale de matière justifiée par la méthode pédagogique (ça c’est dans le meilleur des cas, dans le pire, c’est la promotion du socio-constructivisme), des cours qui n’ont strictement aucun sens pour un futur enseignant, de l’incompétence en veux-tu en voilà (je tiens à disposition de ceux qui ne me croiraient pas une ou deux preuves inattaquables). Bref, la HEP c’est une torture épouvantable et bon nombre d’enseignants passés par là se demandent, le plus sérieusement du monde, si le but de cette école n’est pas de tester la résistance nerveuse des futurs enseignants plutôt que l’apprentissage des fondamentaux du métier.

Mais revenons-en à notre reportage. Bien entendu, suite à la pseudo expertise de Georges Pasquier, on n’a donné la parole à personne qui pouvait aller dans le sens d’Oskar Freysinger. La moindre des déontologies aurait voulu qu’on invite également un opposant aux HEP à s’exprimer. Mais ça, la RTS a préféré en faire l’économie. Elle a ensuite interrogé Patrice Clivaz, directeur de la HEP Valais, et une enseignante opposée à la méthode Freysinger. Autant dire que la RTS a travaillé selon ses habitudes, avec une juste représentativité des diverses sensibilités…

A propos de cette enseignante, j’aimerai lui dire que je comprends ses craintes de dévalorisation du métier d’enseignant. Néanmoins, il paraît peu probable que Freysinger ait fait l’erreur de mettre sur un pied d’égalité ceux qui obtiennent leur diplôme et ceux qui s’en sortent sans. D’ailleurs, le règlement adopté stipule qu’il s’agit d’un travail à temps partiel et de manière limitée dans le temps… Et il ne fait pas de doute que les conditions salariales seront différentes également. Si cette enseignante a une réelle crainte de la dévalorisation du métier d’enseignant, qu’elle se penche plutôt sur le cas des passerelles, mises sur pied sous l’ère Claude Roch, qui permettent à des jeunes ayant effectué comme seul cursus estudiantin l’école de culture générale (3 ans) de se retrouver sur un pied d’égalité avec des gens qui, eux, ont fait le collège (5 ans) et éventuellement l’université (minimum 3 ans supplémentaires) moyennant quelques cours de rattrapage…

Bref, tout ça pour dire qu’une nouvelle fois, les médias ont usé et abusé de malhonnêteté dans le traitement qu'ils réservent au conseiller d’Etat Freysinger. Rien de bien nouveau sous le soleil.

En guise de conclusion, j’aimerais quand même m’attarder un petit peu encore sur cette décision prise par le chef du DFS valaisan. Il est évident que les étudiants qui passent entre les mains des fanatiques (pas tous quand même…) sévissant dans les HEP méritent une deuxième chance au vue des raisons évoquées jusqu’ici. Ceci dit, il faut faire attention : Oskar Freysinger compte s’appuyer sur les maîtres formateurs, praticiens de terrain, pour définir qui mérite une deuxième chance. Dans la majorité des cas, c’est une excellente idée, les gens de terrain sont bien éloignés des élucubrations de l’aréopage des bureaux et savent ce qui marche concrètement dans une salle de classe. Ceci dit, il existe également, au sein de ces experts de terrain, des gens peu recommandables, totalement incompétents, qui n’ont accepté ce poste que pour des raisons pécuniaires et pour combler un besoin d’autoritarisme flagrant. Fort heureusement, ils sont une infime minorité, mais peut-être serait-il bon, pour plus d’équité, qu’Oskar Freysinger se penche sur ce problème également.

Mais ceci ne saurait être qu’une solution transitoire. Sur le moyen/long terme, une réforme en profondeur de ce qui est enseigné dans les HEP est impérative. Sans quoi l’école valaisanne va droit à la catastrophe.

Caïn Marchenoir

 

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Freysinger a de nouveau fauté

La taca taca tac tac tiqu’d'…Oskar Freysinger