États-Unis, discours de remise de diplômes de Lycée: les élèves vont entrer dans un monde de «capitalisme» et de «suprématie blanche», ils sont encouragés à se souvenir du «djihad» et à rejeter l’objectivité

Par  Luc Rosiak - 11 juin 2021 / DailyWire.com

Une membre du conseil scolaire a prononcé un discours de remise des diplômes dans lequel elle a expliqué à une classe de lycéens en majorité immigrés qu’ils entraient dans un monde rempli de «racisme, de versions extrêmes de l’individualisme et du capitalisme, [et] de la suprématie blanche», et les a encouragés à se souvenir de leur « jihad » et à rejeter les concepts d’objectivité et de neutralité.

Abrar Omeish, membre du conseil scolaire du comté de Fairfax, a prononcé le discours d’ouverture de la cérémonie de remise des diplômes du Lycée Justice à Falls Church, en Virginie, le 7 juin. (Ndt: voir le site de l’école et sa page Wikipedia.)

Le programme a commencé par une cérémonie au cours de laquelle les cadets militaires du JROTC étaient les seules personnes présentes à porter des masques.

La présidente de classe a ensuite dirigé ce qu’elle a appelé «l’hymne de la nation», en parlant du serment d’allégeance, dans lequel elle a déclaré que les États-Unis étaient «une nation sous Allah». Omeish était hors du champ de la caméra, mais sur une photo prise lors d’une autre remise de diplômes récente on voit qu’elle est la seule personne qui ne mettait pas la main sur le cœur pendant la promesse.

La présidente du conseil des élèves a ensuite présenté Omeish en notant qu’elle était «coprésidente pour la Virginie dans la campagne Bernie Sanders» et que son père, Esam Omeish, était un «dirigeant et membre du conseil d’administration du Centre islamique Dar al-Hijrah». qui «a élevé sa fille pour qu’elle soit une femme de franc-parler».

La mosquée Dar al-Hijrah a été  fréquentée par deux des pirates de l’air du 11 septembre ainsi que par le tireur de l’attaque de 2009 contre Fort Hood. Son imam était Anwar al-Awlaki, que le président Barack Obama a ordonné d’assassiner par une frappe de drone pour avoir comploté en vue d’actes terroristes pour Al-Qaida. Omeish a noté que son père était présent à la remise des diplômes.

Son discours a semblé annoncer que les écoles allaient devenir des centres d’endoctrinement politique. «Vous avez tous lancé la toute première assemblée du ‘Mois de l’histoire des Noirs’ pour vous assurer que nous affrontons notre histoire et répondons honnêtement aux maux de notre passé», a-t-elle dit.

Elle a fait l’éloge d’une enseignante qui avait profité de son accès aux enfants pour les encourager à devenir des militants politiques, et a déclaré que les demandes des élèves étaient un moyen efficace de changer la politique de l’école.

«Un énorme hourra pour [la présidente de classe qui l’avait qualifiée de «modèle»] et pour Mme Corey Haynes, une enseignante, pour son leadership dans le soutien et l’autonomisation (empowerment) des élèves malgré les réticences. Écoutons-le pour elles. Elles ont renforcé votre voix. Votre modèle, la classe de Justice de 2021, a poussé le surintendant de la dixième plus grande division scolaire du pays à suivre votre exemple pour enseigner avec courage. Et vous avez poussé à incorporer cela dans le programme scolaire parce que vous comprenez que la justice sociale n’est «politique» que pour ceux qui peuvent se permettre de l’ignorer.

«Vous comprenez que ‘neutre’ est un autre mot pour ‘complice’», a-t-elle déclaré.

Une grande partie du discours semblait conçue pour faire comprendre qu’elle ne se repent pas d’un récent tweet dans lequel elle a qualifié Israël d’État colonisateur qui «profane la Terre Sainte» et «tue des Palestiniens».

Elle a laissé entendre qu’elle en pensait de même de l’Amérique, en disant «Reconnaissons la terre volée au peuple Manahoac», allusion à une tribu amérindienne de Virginie.

Elle s’est lamentée sur «l’enfant forcée de remettre en question et de détester la foi qu’elle aime à cause de l’intimidation», plaçant fréquemment des pjrases en arabe dans son discours.

Certains de ses collègues du conseil scolaire, entièrement Démocrate, ont fait une critique tiède de ses propos sur Israël, mais dans son discours, elle a encouragé les diplômés à ne pas se laisser déranger par ce genre de chose.

«Le monde peut essayer de vous faire taire en décidant à votre place ce qui est cool, ce qui est bizarre, ce qui est ou n’est pas objectif. Il peut essayer de vous convaincre que ce qui vous est cher est trop différent pour être accepté. Mais qui décide? Vous entrez dans un monde qui sera mal à l’aise quand vous chercherez à causer de bons problèmes. Et il cherchera peut-être à vous intimider ou à vous faire penser que la vérité est controversée», a-t-elle déclaré.

«Même si chaque partie de votre être crie de rage face à la façon dont les autres vous ont fait du tort», «faites que ce soit la compassion pour vos semblables qui vous anime, et non la colère ou la rage - et croyez-moi, c’est difficile», a-t-elle dit.

«Peu importe le nombre de personnes haineuses qui émergent, et je suis sûre que vous en avez rencontré vous-mêmes: croyez-moi, elles sont un signe que vous perturbez le statu quo en direction de la justice. Considérez simplement ces personnes comme vos ‘meneuses de claque’ d’un autre genre», a-t-elle dit.

Dans sa présentation, la dirigeante étudiante avait déclaré qu’Omeish était confrontée à «la haine pour avoir dit au pouvoir la vérité sur ce que vivent les Palestiniens», mais qu’elle «continue à gagner et à être un exemple pour que les jeunes leaders comme nous fassent de même».

Un(e) autre étudiant(e) a dit dans sa présentation qu’«il y a deux ans, les droits civils [d’Omeish] ont été violés par un policier à cause de son apparence, elle a été agressée et discriminée. Tout cet incident se trouve sur une vidéo, où l’on voit qu’un policier a arrêté sa voiture après l’avoir vue passer un feu rouge à distance, d’où il ne pouvait pas voir son apparence. Elle a refusé à plusieurs reprises de montrer son permis, puis a refusé de sortir de la voiture, ce qui a conduit à son arrestation.

Le discours d’Omeish s’est également concentré sur « l’équité », un concept de l’éducation primaire et secondaire consistant en des résultats égaux forcés. Le comté de Fairfax a récemment édulcoré les critères d’admission de son lycée scientifique spécialisé (STEM magnet school) le mieux classé, Thomas Jefferson High School for Science and Technology, car trop d’Asiatiques obtenaient de bonnes résultats aux examens d’entrée portant sur les branches scientifiques.

«Nos succès ne valent pas la peine d’être célébrés tant que nous ne réussissons pas tous», a dit Omeish dans son discours.

Le Lycée Justice n’a reçu l’accréditation de l’État que sous conditions, à cause de son taux de décrochage de 11%. Près de 20% de ses élèves étaient chroniquement absents en 2019.

En 2017, le conseil scolaire a voté pour renommer le Lycée J. E. B. Stuart en Lycée Justice, écartant les résultats de son propre sondage, d’où il ressortait que les habitants voulaient le renommer simplement Lycée Stuart.

Un nouveau sondage réalisé ce mois-ci auprès des électeurs du comté de Fairfax a révélé que la plupart ne soutenaient pas le fait que les écoles soient utilisées pour promouvoir l’activisme racial, par exemple la théorie critique de la race. L’enquête a également montré que la majorité des parents de tous les partis politiques s’opposent à l’élimination des formations académiques avancées au nom de l’équité.

https://www.dailywire.com/news/dem-tells-high-school-grads-theyre-entering-capitalism-white-supremacy-remember-jihad-reject-objectivity

Traduction Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

 

Syrie : une djihadiste française atteinte d’un cancer. Le Haut-commissariat de l’ONU demande à la France de faire le nécessaire pour la soigner.

La Française de 32 ans nécessite «une opération urgente» mais «elle a refusé de se faire opérer» sur place, a indiqué Perwin Ibrahim, une responsable du Croissant-Rouge kurde au camp de Roj, où se trouve la Française dans le nord-est syrien.

Sa mère Pascale Descamps avait annoncé à Lille avoir entamé une grève de la faim pour obtenir son rapatriement. Le Haut-commissariat aux droits de l'Homme de l'ONU avait demandé en janvier à la France de «prendre les mesures nécessaires» pour soigner la Française, qui a quatre enfants.

(...)

Lefigaro.fr

Suisse. Terrorisme: les personnes de retour du djihad ne seront pas mises en détention

Le Conseil des Etats a rejeté par 37 voix contre 5 et une abstention une motion qui visait à placer en détention préventive toutes les personnes revenant du djihad. Le respect de l'Etat de droit a été invoqué.

(...)

Respect de l’Etat de droit

La Confédération a besoin d’instruments préventifs à côté de son arsenal répressif, a reconnu Daniel Jositsch (PS/ZH) au nom de la commission. Mais il faut respecter l’Etat de droit. La détention préventive ne doit être utilisée qu’en dernier recours, a-t-il plaidé.

(...)

Le Nouvelliste.ch


Rappels :

Au nom du terrorisme islamique, les Suisses se sont vus restreindre leurs droits pour l'acquisition d'armes et sont soumis à un contrôle strict. Lorsqu'il s'agit du peuple suisse, innocent, ces élus font subitement beaucoup moins de manières. Ici, pas de Guy Parmelin pour traiter ces socialistes de "complicité de terrorisme". Ce genre de provocation, il le réserve au peuple laborieux qui n'a guère le temps pour se défendre.

Ici on parle d'individus qui ont massacré Chrétiens et Yezdidies, violé des fillettes de 8-9 ans, vendu des femmes esclaves, imposé la charia, tué les chrétiens par tous les moyens possibles et imaginables, le tout filmé avec une euphorie démoniaque. C'est dire à quel point notre pays et notre population non musulmane sont des cibles privilégiées pour ces islamistes. Les politiciens suisses sont-ils devenus fous? S'ils le voulaient réellement, ils modifieraient ces lois qui n'ont plus rien à avoir avec la réalité, comme ils l'ont fait de manière scandaleuse pour les armes.

Parmelin : « Refuser la nouvelle loi sur le renseignement c’est se rendre complice du terrorisme »

Attentat d’Orlando: L’UDC Parmelin critique la loi laxiste sur les armes aux USA mais pas l’islam

Le djihadiste suisse rentré de Syrie n’ira pas en prison

Suisse : Karin Keller-Sutter s’oppose au retrait systématique de la nationalité pour les djihadistes

Suisse : Les rapatriés de l’Etat Islamique n’ont même pas été condamnés à de la prison ferme

« Jusqu’à ce que le drapeau de l’Etat islamique flotte sur Zurich » : Des djihadistes de retour en Suisse continuaient d’opérer

Suisse : La jeune Albanaise de retour du jihad s’oppose à son jugement

Massacre des touristes suisses à Louxor en 1997 : le Ministère public suisse n’engage aucune procédure contre le cerveau des jihadistes. (Vidéo)

Attaque au Tessin : «Elle lui a pratiquement tranché la gorge»

Terrorisme islamique à Morges : Le Kurde dit avoir agi pour « venger le Prophète » et « contre l’Etat suisse ». Il a été retrouvé avec un exemplaire du Coran et un couteau.

 

 

Suisse : Karin Keller-Sutter s’oppose au retrait systématique de la nationalité pour les djihadistes

Cette motion enfonce des portes ouvertes, a rétorqué la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter. [...]

Le Conseil national a nettement rejeté deux autres motions de l’élu Jean-Luc Addor (UDC/VS). L’une demandait le retrait systématique de la nationalité pour les voyageurs du djihad de nationalité suisse. La Suisse s’efforce d’empêcher le cas d’apatridie, a soutenu la cheffe du Département fédéral de justice et police (DFJP).

L’autre voulait empêcher le retour au pays pour les voyageurs du djihad. La Suisse dispose de mesures précises pour ces retours, selon Karin Keller-Sutter.

[...]

20Min.ch


Note : A notre connaissance, les djihadistes de retour en Suisse sont libres. C'est sans doute ce que cette femme appelle des "mesures précises".

Rappels :

Suisse : Les rapatriés de l’Etat Islamique n’ont même pas été condamnés à de la prison ferme

« Jusqu’à ce que le drapeau de l’Etat islamique flotte sur Zurich » : Des djihadistes de retour en Suisse continuaient d’opérer

La Suisse romande est plus concernée par le djihadisme

Droits humains: l’ONU demande à la Suisse d’aider ses djihadistes détenus à l’étranger

Suisse : La jeune Albanaise de retour du jihad s’oppose à son jugement

Massacre des touristes suisses à Louxor en 1997 : le Ministère public suisse n’engage aucune procédure contre le cerveau des jihadistes. (Vidéo)

Attaque au Tessin : «Elle lui a pratiquement tranché la gorge»

Lorsqu’Amnesty International soutenait les islamistes Kamel Daoudi et Oussama Attar

Article du Monde au sujet d'Oussama Attar :

Oussama Atar, l’un des cerveaux présumés des attentats de Bruxelles, recherché par les autorités belges

Ce Belgo-Marocain de 32 ans, en fuite, a de nombreuses connexions avec les milieux terroristes qui ont agi en Belgique ces derniers mois.

[...]

Sa famille ayant choisi de médiatiser son cas dans l’espoir de le faire libérer, il avait à l’époque bénéficié d’une campagne de soutien de la part de personnalités politiques ou d’ONG, comme Amnesty International, qui le disaient atteint d’une tumeur au rein.

Le Monde

 


L'excellent article du journal belge La Libre au sujet d'Oussama Atar :

Arrêté en février 2005 à Ramadi, le ressortissant belgo-marocain a été condamné à vingt ans de prison pour usurpation d’identité et appartenance à Al-Qaïda, selon les autorités irakiennes.

C’est donc cet homme, présenté comme une victime de la dureté des prisons irakiennes et notamment celle d’Abou Ghraïb, qui a fait l’objet d’une campagne de libération intitulée « Sauvons-le ». Plusieurs parlementaires (Ecolo, CDH et PS) ont demandé sa libération. Le député MR Denis Ducarme, plus prudent, s’est contenté d’une question parlementaire.

Amnesty a lancé une action urgente "pour que des soins soient apportés en Irak à Atar". Ce type de campagne n’impose pas les vérifications auxquelles se livre systématiquement l’organisation de défense des droits de l’Homme dans les campagnes plus importantes. Elle serait bien inspirée de revoir ses règles de fonctionnement.

De même, il serait intéressant de connaître les raisons qui ont inspiré les Affaires étrangères de donner suite à la campagne de libération menée en Belgique.

[...]

Lalibre.be


Article du Figaro concernant Kamel Daoudi :

«La France doit refuser d’héberger des djihadistes»

Des manifestants ont protesté contre l’assignation à résidence de Kamel Daoudi, condamné pour ses liens avec des groupes terroristes, dans leur village. La spécialiste des questions de laïcité Laurence Marchand-Taillade déplore la faiblesse de la République dans son traitement des complices du terrorisme.

[...]

Condamné en 2005 pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste, il avait été précédemment déchu de sa nationalité en 2002. Algérien, la Cour Européenne des Droits de l’Homme s’était opposée à son extradition qui aurait pu lui faire courir le risque de torture.
[...]

Lefigaro.fr

 


La campagne d'Amnesty International en faveur de Kamel Daoudi :


 

Vu ce jour sur Fdesouche :

 

 

 


Rappels :

La Suisse pointée du doigt par Amnesty International, notamment en raison de ses lois anti-terroristes

Amnesty international : « La Suisse doit accueillir des réfugiés de Grèce »

Alors que les Suisses de souche deviennent minoritaires, Amnesty et Lisa Mazzone épinglent la Suisse pour le délit de solidarité

Malte : Amnesty International s’inquiète du risque de « prison à vie » pour trois migrants accusés d’avoir détourné un pétrolier

Suisse: Amnesty s’oppose à l’initiative de l’UDC et veut nous imposer les juges étrangers

Amnesty International s’attelle à la propagande auprès de nos filles: « Amir et Marlène, coup de foudre en 6ème »

Amnesty international diffuse une vidéo de séances d’hypnoses qui rendent pro-migrants

Multiculturalisme: deux djihadistes devant le Tribunal pénal fédéral

10 août 2020 - (ATS)

Le procès de deux islamistes présumés a débuté lundi devant le Tribunal pénal fédéral. L'un est le cofondateur de l'école d'arts martiaux "MMA Sunna" à Wintertour. L'autre est notamment accusé d'avoir eu une relation avec une mineure.

Âgé de 34 ans, l'accusé principal a séjourné en Syrie en novembre et décembre 2013, selon l'acte d'accusation. Durant cette période, il aurait fait partie d'un groupe de combat de l'organisation terroriste Etat islamique. Il aurait assuré des gardes armées et participé à des actions guerrières.

A son retour en Suisse, il a fondé avec le champion du monde de boxe thaïlandaise Valdet Gashi l'école d'arts martiaux "MMA Sunna" à Winterthour. En outre, il a dirigé l'action de distribution du Coran "Lies!" (lis!).

Plus grande erreur de sa vie

Devant le Tribunal, l'accusé s'est repenti. Il a admis qu'il a partagé entre 2012 et 2014 les idées de l'Etat islamique. Ce fut la plus grande erreur de sa vie, a-t-il plaidé, en soulignant qu'il n'avait plus rien à voir avec ces gens qu'il fréquentait à l'époque.

L'accusé n'a pas voulu préciser sa situation personnelle, estimant que lui et sa famille avaient eu de gros problèmes à cause de l'écho médiatique de cette affaire.

Toutefois, les questions posées par le président du Tribunal ont montré que l'accusé et sa famille vivaient de l'aide sociale et qu'il avait des dettes. Il a été condamné à une amende pour fraude en 2016.

Devant le Tribunal, trois témoins sont par ailleurs revenu sur leurs propos lundi. L'un, père de deux enfants qui s'étaient rendus en Syrie en 2014, a indiqué que les deux accusés n'avaient rien à voir avec le voyage de ses enfants. Avant cela, il avait établi à plusieurs reprises un lien entre l'accusé principal et le départ de ses enfants.

Agent recruteur

L'accusé aurait exploité ces structures et ses contacts afin de recruter des partisans de l'EI. L'acte d'accusation cite cinq personnes qui se sont rendues en Syrie à son instigation afin de rejoindre l'organisation terroriste.

Parmi celles-ci figure Valdet Gashi, qui serait mort au combat en juillet 2015. Mais l'accusé aurait aussi exercé une influence sur une jeune mineure et son frère qui ont également fait le voyage de Winterthour au Levant.

Le Ministère public de la Confédération soupçonne encore cet homme d'avoir entretenu des contacts avec des représentants influents de l'islam salafiste dans différents pays. Il cite notamment Hussein Bosnic, condamné en 2015 à sept ans de prison en Bosnie-Herzégovine pour crimes terroristes, ainsi que d'autres relations avec des salafistes à Nuremberg (D) et en Autriche.

L'accusé répond ainsi de participation à une organisation criminelle et de représentation d'images violentes: des vidéos d'exécution ont été retrouvées sur son téléphone portable.

Relation avec une mineure

Le second homme est inculpé pour actes d'ordre sexuel avec des enfants et pornographie. Il aurait entretenu une relation intime avec la mineure qui s'est rendue en Syrie avec son frère.

Comme son père, entendu précédemment, la jeune fille a nié toute proximité avec les accusés, revenant sur de précédentes déclarations. La résidente de Winthertour, dont la condamnation à dix mois de détention est désormais définitive, comparaissait en tant que témoin dans le procès des deux hommes.

L'accusé, double national suisse et macédonien âgé de 37 ans aurait contracté un mariage islamique en octobre 2014 avec la jeune fille et l'aurait incitée à partir en Syrie en décembre. [...]

Le Ministère public attend les débats pour annoncer ses réquisitions. Les coûts de l'enquête s'élèvent à 560'000 francs, dont 450'000 devraient être mis à la charge des prévenus s'ils sont condamnés. (cause SK.2019.71).

article complet: https://www.swissinfo.ch/fre/

Le CICR affirme que les pays d’Europe ont une responsabilité vis-à-vis de leurs djihadistes. Aucune remise en question de l’islam!

Le retour des jihadistes est une question de responsabilité des pays d'origine, affirme le président du CICR (Comité international de la Croix-Rouge), Peter Maurer. Et «si on veut juger les jihadistes dans d'autres pays, il faut mettre en place des systèmes qui permettent de le faire».

[...]

Difficulté «d'obtenir les preuves»

Il y a un an, la ministre de la justice Karin Keller-Sutter s'était justement opposée au retour des jihadistes suisses pour des raisons de sécurité. La France a évoqué l'idée d'un rapatriement, un sujet abordé lors de la récente visite de la ministre de la défense Viola Amherd à Paris. «Probablement que la Suisse s'alignera sur certains pays de l'Union européenne», a indiqué la semaine dernière le patron du Service de renseignement de la Confédération (SRC) Jean-Philippe Gaudin.

Et, expliquait-il, les juger en Suisse pose aussi problème, car «c'est très compliqué d'obtenir des preuves de leurs véritables activités au sein du mouvement terroriste. Même une fois en prison ou après avoir purgé leur peine, ces personnes doivent être surveillées. Selon Jean-Philippe Gaudin la déradicalisation est quasi impossible.

[...]

20min.ch

Nos remerciements à notre lectrice


Burkina Faso : Un car de collégiens rentrant des vacances de Noël saute sur une bombe, 14 morts

Quatorze civils, essentiellement des collégiens, ont été tués samedi dans une attaque dans le nord du Burkina Faso, onze jours après la tuerie d'Arbinda, qui avait plongé le pays dans le deuil à Noël.

Selon des sources sécuritaires, un car transportant principalement des collégiens rentrant de leurs vacances de Noël a sauté sur un engin explosif sur une route du nord-ouest du Burkina, près de la frontière malienne.

[...]

20Min.ch

Selon le politologue Hasni Abidi, la mosquée de Genève est «la plus problématique d’Europe»

Dans cet article, la Tribune de Genève affirme que "92 Suisses sont partis se battre en Irak ou en Syrie sous l'égide de Daech" alors qu'il s'agit en grande majorité de naturalisés ou d'étrangers. L'administration suisse explique clairement que sur ces 92 individus, seules 31 personnes détiennent effectivement le passeport suisse, dont 18 binationaux.

Nous nous trouvons face à une fake news colportée par le principal journal de Genève en toute impunité.

Ainsi, aucune remise en question de la naturalisation n'est possible et par extension, la gauche n'a aucun compte à rendre grâce à la protection des médias.

**********

La mosquée genevoise est selon le politologue Hasni Abidi «la plus problématique d'Europe».

[...]

Parmi les 92 Suisses partis se battre en Irak ou en Syrie sous l'égide de Daech, neuf sont genevois. «Sur ces neuf, deux sont rentrés», indiquait Monica Bonfanti. Placés sous mandat de dépôt puis emprisonnés, «ils sont désormais sur le territoire genevois au bénéfice de mesures de substitution» [NDLR : En clair, ils ne se trouvent plus en détention].

Enfin, la cheffe de la police rappelait que la menace terroriste en Suisse restait élevée, comme dans le reste de l'Occident. Et que la Suisse, par sa centralité, pouvait servir de base logistique à l'organisation d'attentat ou de pays de transit.

[...]

Tribune de Genève / RTS

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

Rappels :

Genève ville non discriminante

La Ville de Genève s’engage pour la diversité!

Elections à Genève : pour le socialiste Thierry Apothéloz la priorité c'est le vote des étrangers

Suisse : Opération antiterroriste monstre dans 3 cantons. 11 individus suspectés de djihadisme, dont 5 adolescents

Une vaste opération de police a été menée mardi concernant onze individus soupçonnés d'appartenir à la mouvance djihadiste.

Une grande opération antiterroriste a été menée mardi dans les cantons de Zurich, Berne et Schaffhouse. Onze perquisitions ont été menées simultanément contre onze personnes, dont cinq adolescents. [...]

Ils sont poursuivis par les ministères publics des mineurs de Winterthour et de Berne tandis que le MPC mène des procédures pénales contre les six prévenus adultes.

[...]

20Min.ch

Nos remerciements à Wilhou

Paris : « Allah akbar ! » Un homme barbu en djellaba menace et hurle au djihad

Le quartier a été bouclé plus de deux heures, pour permettre l’intervention de policiers casqués et portant de gilets pare-balles.

La police a mené un spectaculaire déploiement pour interpeller lundi matin à Paris un homme barbu en djellaba vociférant et menaçant depuis sa fenêtre, selon une source policière, des témoins rapportant qu’il avait notamment parlé de djihad.

« Il a dit allah akbar », a raconté Yann Chantrelle, boulanger dans un établissement situé à proximité de l’immeuble dans le XIe arrondissement. « Ça a commencé vers 9h30. Il a gueulé pendant une heure quand la police est arrivée ça s’est vite calmé. Il est sorti une première fois puis il est rentré. Il a jeté ses clés par la fenêtre. Ils lui ont redonné ses clés. Il a fini par ressortir. Ils l’ont plaqué par terre. Ils l’ont emmené », a-t-il raconté.

(...)

Un autre voisin, qui n’a pas souhaité que son nom soit divulgué, a expliqué avoir d’abord entendu un homme hurler vers 9h30 au niveau de la rue Oberkampf. « Dans le quartier on n’appelle pas la police pour ça donc ça a duré », a expliqué ce riverain, qui vers 10h l’a « entendu dire djihad et Allah akbar à plusieurs reprises », avant que la police n’intervienne.

Le Parisien

Via Suavelos.eu

L’impossible réforme de l’islam de France & d’ailleurs

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Michel Garroté -- Où en sommes-nous avec l’islam ? Le mois du ramadan est le mois du djihad. La publicité pour le ramadan est omniprésente, tant commerciale que politique. Faut-il s’en inquiéter ? Ce marché hallal en pleine croissance (10% à 15% par an) est un marqueur de l’avancée de l’islamisation en France. ET pour voir plus loin, rappelons que dans la plupart des Nations où les musulmans dominent, la liberté religieuse est complètement écrasée ou n’existe qu’à peine.
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Où nous en sommes avec l’islam :
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A ce propos, le spécialiste de l'islam Joachim Véliocas déclare notamment (source en bas de page) : Un des plus gros sites musulmans arabes nommés « islam web » basé au Qatar écrit beaucoup d’articles en anglais et en arabe. Il a publié une série d’articles sur l’axe du ramadan de cette année, l’année 1439 du calendrier occidental, dont certains m’ont été traduits par une amie islamologue. Le titre d’un des articles est "le mois du ramadan, c’est le mois du djihad".
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Ce qui est très inquiétant dans cet article, c’est qu’ils disent clairement que le djihad dans la voie d’Hallah est le devoir de l’islam le plus important, que lorsqu’on fait ce djihad, on gagne une force dans ce monde et dans l’au-delà, que le djihad est un des actes les plus méritoires et enfin que les musulmans ont été humiliés lorsqu’ils ont abandonné le djihad". Ils expliquent la déliquescence de la civilisation islamique au 19e siècle et au début du 20e siècle avec l’effondrement du califat par l’abandon du djihad. Le mois du ramadan est le mois du djihad, insiste Joachim Véliocas.
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L’impossible réforme de l’islam de France :
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De son côté, The Atlantic écrit notamment (source en bas de page) : D’un côté, la France prône une laïcité stricte. De l’autre, le chef de l’État annonce vouloir réformer l’islam de France, comme ses prédécesseurs. Une position intenable, qui expliquerait le malentendu persistant autour de cette religion dans le pays.
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Quand Emmanuel Macron a déclaré lors d’une interview qu’il voulait “poser les jalons de toute l’organisation de l’islam en France”, il ne faisait pas une annonce sans précédent. Il s’engageait plutôt à réussir là où ses prédécesseurs avaient échoué.
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Tous les gouvernements qui se sont succédé depuis les années 1980 ont tenté de créer un islam propre à la France, dans le double objectif d’intégrer la minorité musulmane du pays et de lutter contre l’extrémisme islamiste. Leur but était de créer un islam à la fois en conformité avec les valeurs nationales, en particulier la laïcité, et à l’abri des interprétations radicales qui ont gagné du terrain dans une partie du monde musulman.
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Les tentatives passées de codification d’un islam français – la transformation d’un islam en France en un islam de France – ont été effectuées en lien étroit avec les pays d’origine des musulmans français, notamment le Maroc, l’Algérie et la Turquie.
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Il en a résulté une crise de la représentation et de la légitimité. Les organisations musulmanes existantes, affiliées à l’État ou à des entités assimilées, ne représentent pas les diverses communautés présentes en France, ce qui nuit à l’intégration des musulmans dans la société et, selon le gouvernement de Macron, ouvre la voie à des idéologies dangereuses.
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En même temps, avec un héritage colonial qui n’est toujours pas réglé pour le monde arabo-musulman (ndmg - chez les musulmans, le coup de "l'héritage colonial" n'est qu'un prétexte pour nous accabler ; l'islam était déjà christianophobe et judéophobe avec l'ère coloniale), nombre de musulmans jugent condescendante une gestion de l’islam dictée par les autorités – une manière d’intégrer l’islam pour le rendre invisible, The Atlantic.
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
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https://lesobservateurs.ch/2018/05/24/ou-en-sommes-nous-avec-lislam/
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https://www.courrierinternational.com/article/limpossible-reforme-de-lislam-de-france
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Où en sommes-nous avec l’islam ?

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Par Michel Garroté  -  Ci-dessous, une liste certes incomplète et cependant éclairante sur l'islam aujourd'hui. Il manque la Syrie, l'Irak, l'Arabie saoudite et d'autres pays encore. En revanche, il y a dans cette liste des informations peu ou prou mentionnées par les médias.
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1- Le Liban sous la coupe de l’Iran
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A Beyrouth, au siège du parti Kataëb, Samy Gemayel, son président, disait (voir lien vers source en bas de page) : « L’Iran n’a plus besoin d’ambassade au Liban ; avec le général Aoun, plus que soutenu, complètement tenu par le Hezbollah, il est à la présidence de la République ; il est à la présidence de l’Assemblée nationale avec le chiite Nabi Berry ; il y dispose de la majorité avec ses alliés aounistes.
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Enfin, avec le Hezbollah, qui n’est pas seulement un parti mais est devenu plus qu’une milice, une armée qu’il a puissamment équipée, qu’il encadre et commande, l’Iran domine de fait, insupportablement, notre pays. Face à cela, nous maintenons et défendons coûte que coûte ce qui reste de liberté au Liban dont nous voulons réaffirmer le droit à la souveraineté ».
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Car, après le départ des occupants syriens en avril 2005, leur allié du Hezbollah libanais ne s’était pas volatilisé, au contraire, maintenant fortement ses positions dans la Bekaa et surtout au sud, le long de la frontière avec Israël.
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Le Hezbollah s’est fortement renforcé, recevant notamment des Pasdarans iraniens (« gardiens de la révolution ») une dotation de plusieurs milliers de missiles balistiques constituant un danger pour Israël malgré, jusqu’ici, le très efficace système de défense antimissiles de ce pays, ajoute Samy Gemayel (voir lien vers source en bas de page).
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/05/le-liban-toujours-plus-sous-la-coupe-de-liran.html
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2- Le mois du ramadan est le mois du djihad
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La publicité pour le ramadan est omniprésente, tant commerciale que politique. Faut-il s’en inquiéter ? Pour Joachim Véliocas, spécialiste de l'islam, ce marché en pleine croissance (10 à 15% par an) est un marqueur de l’avancée de l’islamisation en France.
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A ce propos, le spécialiste de l'islam Joachim Véliocas déclare notamment : Un des plus gros sites musulmans arabes nommés « islam web » basé au Qatar écrit beaucoup d’articles en anglais et en arabe. Il a publié une série d’articles sur l’axe du ramadan de cette année, l’année 1439 du calendrier occidental, dont certains m’ont été traduits par une amie islamologue. Le titre d’un des articles est "le mois du ramadan, c’est le mois du djihad".
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Ce qui est très inquiétant dans cet article, c’est qu’ils disent clairement que le djihad dans la voie d’Hallah est le devoir de l’islam le plus important, que lorsqu’on fait ce djihad, on gagne une force dans ce monde et dans l’au-delà, que le djihad est un des actes les plus méritoires et enfin que les musulmans ont été humiliés lorsqu’ils ont abandonné le djihad". Ils expliquent la déliquescence de la civilisation islamique au 19e siècle et au début du 20e siècle avec l’effondrement du califat par l’abandon du djihad. Le mois du ramadan est le mois du djihad, insiste Joachim Véliocas.
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http://bvoltaire.com/mois-ramadan-mois-djihad/
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3- Turquie - Derrière le soutien au Hamas, l’offensive d’Erdogan sur le monde musulman
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Alexandre Del Valle : Les raisons qui entrainent l'aversion d'Erdogan pour l'état d'Israël sont multiples :
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Raisons électoralistes, lié à sa politique interne. Car en condamnant Israël, Erdogan souhaite rallier et galvaniser son électorat radical islamiste, qui est anti-juif et anti kurdes, en les fidélisant autour de cet ennemi commun.
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Raison d'ambition personnelle. Erdogan, qui est allié aux frères musulmans (il en est un) souhaite établir comme finalité politique un nouveau califat dont il serait le chef. Il se rêve en "patron de l'islam". Sa politique contre Israël, c'est une politique de promulgation de l'idée ottomane, appelée politique néo-ottomane qu'il mène sur tous les fronts.
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Raison d'intérêts régionaux. Erdogan souhaite séduire les pays arabes voisins afin de redorer l'image des Turcs auprès de ces derniers. En effet, historiquement, les peuples turques ont successivement opprimés les populations arabes. Il cherche donc à redonner du prestige à l'identité turque auprès de ses alliés arabes : c'est une manière de renforcer son leadership régional.
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Erdogan utilise les affrontements réguliers entre les militants du Hamas et Israël (guerre des 33 jours en 2010 ou la flottille de gaza en 2008) qui font beaucoup de morts, étant donné l'asymétrie des moyens des deux forces (lance pierre contre missile) pour sensibiliser de manière virulente la communauté internationale. Celle-ci se rangeant généralement (excepté USA et quelques pays) du côté de la cause palestinienne, cela renforce de fait la voix d'Erdogan sur la scène internationale.
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https://fr.news.yahoo.com/turquie-derri%C3%A8re-boycott-d-isra%C3%ABl-l-offensive-n%C3%A9e-053259225.html
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4- Ne pas tomber dans le piège du Hamas
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Sous couvert de gens pacifiques qui désirent rentrer chez eux, il y a le Hamas, l’organisation islamiste qui règne à Gaza et dont la stratégie vise à détruire Israël. Que l’action du Hamas soit perverse dans ses intentions et tortueuse dans sa mise en œuvre ne fait guère de doute, puisqu’elle consiste à exposer sciemment des martyrs à la blessure ou à la mort, celles-ci étant, paraît-il, tarifées par de généreux donateurs. Si l’idéalisme juridique proclame toujours le souhait de deux États contenus dans les limites d’avant 1967 (ndmg : l'Etat d'Israël et l'Etat de "Palestine"), le réalisme sait que cette solution est aujourd’hui compromise. Il faut faire un peu d’histoire pour s’en rendre compte. D’abord, le cas de la Palestine n’a rien d’exceptionnel. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, de nombreuses populations ont été déplacées.
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Les habitants de Königsberg ne manifestent pas pour rentrer chez eux. La ville de Kant, en Prusse orientale, est maintenant Kaliningrad, capitale d’une enclave russe entre Pologne et Lituanie. Les déplacements de populations en Europe de l’Est ont été gigantesques aux alentours de 1945. De même, lors de la séparation entre l’Inde et le Pakistan, ce sont des millions de personnes qui sont passés d’un pays à l’autre au milieu des massacres. Les victimes de la décolonisation ne sont pas moins à plaindre. Les pieds-noirs avaient toute leur place en Algérie, de même que les harkis. Ils ont été obligés de choisir entre la valise et le cercueil. Si l’on remonte dans le passé, les nombreux Arméniens rescapés du génocide turc de 1915 n’exigent pas, non plus, de regagner la région de l’Empire ottoman où ils étaient majoritaires.
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http://www.bvoltaire.fr/israel-dhistoire-ne-tomber-piege-hamas/
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
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Les Balkans sont la base européenne du djihad

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Michel Garroté  --  Depuis août 2016, des camps d’entraînement ont été ouverts notamment par l’EI dans le Kosovo. Les plus importants sont situés à la frontière avec la Macédoine, dans le district de Decani ; d’autres, plus modestes, sont dans les environs de Prizren et Pec. De nombreux Kosovars ont rejoint ces camps, où d’anciens soldats de l’Armée de Libération du Kosovo enseignent à leurs membres le maniement des armes et le Coran. Dans la Bosnie voisine, les mêmes causes ont engendré les mêmes problèmes : le pays compte près de 100'000 disciples du wahhabisme, dont plus de 4'000 sont des militants radicaux, qui prennent les armes pour le djihad partout et à n’importe quel moment.
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A ce propos, dans Causeur, la politologue Ana Pouvreau écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Dans ce dernier quart de siècle, les six ex-républiques yougoslaves -- Bosnie-Herzégovine, Croatie, Macédoine, Monténégro, Serbie et Slovénie) -- sont devenues des Etats indépendants, de même que l’ancienne province serbe du Kosovo, qui a proclamé son indépendance en 2008 (cf. l'ouvrage sur lequel se base Ana Pouvreau : "Balkans, la fracture. La base européenne du djihad", par Alexis et Gilles Troude ; plus de détails en bas de page). Ce processus s’est déroulé au prix de centaines de milliers de victimes. Les estimations, quant au nombre de morts, oscillent entre 100'000 et 200'000. L’intégration euratlantique de ces nouveaux Etats se poursuit tant bien que mal.
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La Slovénie (2004) et la Croatie (2013) ont déjà intégré l’Union européenne (UE), tandis que le Monténégro, sans faire partie de l’UE, est devenu le 29ème Etat-membre de l’OTAN en 2017. La demande d’adhésion à l’UE de la Bosnie-Herzégovine a été acceptée en 2016. La Serbie, quant à elle, désormais séparée du Monténégro depuis 2006 et amputée de sa province kosovare, peine à intégrer l’UE. Il en est de même pour la Macédoine en raison du blocage de la Grèce. Au-delà de ces évolutions, les auteurs décrivent à quel point - aux antipodes des promesses de prospérité, de stabilité et de sécurité, chères aux partisans de ces multiples indépendances - la plupart de ces nouveaux Etats sont fragiles. Certains seraient même en passe de devenir des 'Etats faillis'.
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La corruption endémique des nouvelles élites politiques de la région, l’expansion exponentielle de groupes criminels et l’instabilité chronique due à l’échec de l’éradication de la pauvreté de même que la persistance des revendications territoriales ethniques voire claniques, font le lit de courants délétères de plus en plus susceptibles de plonger les Balkans dans le chaos et de se propager au reste de l’Europe. Vulnérabilisée par l’explosion de trafics en tous genres -- acheminement vers l’Europe de l’Ouest de l’héroïne en provenance d’Afghanistan, trafics d’êtres humains, trafics d’armes, détournement de l’aide internationale, malversations diverses, etc. -- mais aussi par la persistance des revendications irrédentistes (albanaises, hongroises, etc.), la région serait devenue, en quelques années, un réel 'trou noir' en Europe. Le déversement de milliards d’euros d’aide internationale ne semble pas résoudre le problème.
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Au contraire, la région prête le flanc, depuis plusieurs années déjà, à l’entrisme des islamistes radicaux. La présence de camps d’entraînement terroristes en Bosnie-Herzégovine et la radicalisation de centaines d’individus, au sein des populations locales kosovares et bosniennes, par le biais de prédicateurs wahhabites et d’organisations caritatives, ont d’abord fait le lit d’Al Qaeda, dès les années 1990, puis celui de l’Etat islamique depuis 2014.
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En conclusion, l'ouvrage "Balkans, la fracture. La base européenne du djihad", certes très critique vis-à-vis de l’action de la communauté internationale dans les Balkans, permet d’apporter, en contrepoint aux scenarii généralement optimistes concernant l’avenir de la région, qui prévalent en Occident, une grille de lecture très différente. La confrontation de ces points de vue divergents devrait être bénéfique à l’effort d’analyse prospective qui s’impose en ce qui concerne cette région d’une grande importance géostratégique et dont l’évolution aura prochainement un impact considérable sur le reste de l’Europe, conclut Ana Pouvreau, citant "Balkans, la fracture. La base européenne du djihad" (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour Les Observateurs
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https://www.causeur.fr/yougoslavie-balkans-troude-terrorisme-djihad-146475
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"Balkans, la fracture. La base européenne du djihad", par Alexis et Gilles Troude, Editions Xenia, 2017, 242 pages, 19€.
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Djihad: pensons l’ennemi pour mieux le combattre

Une tribune de Nicolas Dhuicq, ex-député LR et psychiatre

Les récentes déclarations du ministre de l’Intérieur français, convoquant la psychiatrie dans la lutte contre le terrorisme, montrent le désarroi intellectuel dans lequel se trouvent nos gouvernants face au terrorisme islamiste. En effet, nous devons avoir à l’esprit que les dits terroristes se vivent comme des combattants, au service d’une cause. Ils poursuivent un but politico-théologique clair : l’instauration d’un califat salafiste, c’est-à-dire wahhabite, sur les terres actuellement islamisées, ou qui le furent un temps, comme l’Espagne avant la Reconquista, ou la Narbonnaise en France.

Perversion n’est pas synonyme de maladie

Suite

De l’islam au terrorisme islamique

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Michel Garroté  --  Comment est-on passé de l'islam (violent depuis sa naissance il y a quatorze siècles) au terrorisme islamique ? Avec Émile Durkheim (1912), T.W Adorno (1966), Achille Mbembe (2006), Revault d’Allonnes (1995), Thierry Garcia (2016), Judith Butler (2016) et d'autres encore, les Sociologues & Consorts ont légitimé la violence, le stalinisme génocidaire, le terrorisme gauchiste et enfin le terrorisme islamique au fil des décennies. On a voulu et on voudrait encore nous vendre l'idée nihiliste que la guerre terroriste djihadique, que le terrorisme islamique seraient une "expérience sensible".
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On voudrait nous vendre l'idée qu'il y aurait des "motifs existentialistes" du djihad, du terrorisme islamique. On voudrait nous vendre l'idée qu'il faudrait, à propos des terroristes islamiques et djihadiques, "comprendre leurs trajectoires biographiques, leurs rapports ordinaires au monde, à autrui et à eux-mêmes". On voudrait nous vendre l'idée qu'il faudrait "cerner les médiations sociales, historiques et contextuelles" qui "organisent l'expérience" de la guerre terroriste et djihadique.
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On voudrait nous vendre une "théorie de la réflexivité et de la subjectivité" en temps de guerre terroriste et djihadique. On voudrait nous vendre l'idée qu'il faudrait "appréhender les rationalités générales des actions, des objectifs, des conduites et des formes de vie des terroristes islamiques et djihadiques. On voudrait nous vendre une "nouvelle hypothèse relative à la dimension sensible" de la guerre dhihadique et islamique.
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On voudrait nous vendre l'idée qu'il faudrait "dégager les facteurs du contexte social qui expliquent le basculement de certains dans des parcours de radicalisation djihadistes, tels les inégalités sociales, les exclusions, les discriminations, les expériences de l'injustice". On voudrait nous vendre l'idée qu'il faudrait "analyser les processus et la dynamique des violences, en s'appuyant sur un profilage sociologique des parcours des candidats au djihad".
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On voudrait nous vendre l'idée que "la plupart des études s'accordent sur un diagnostic qui favorise l'expérience guerrière, avec la frustration sociale et la crise sociale". On voudrait nous vendre l'idée qu'il existerait "des configurations sociales spécifiques qui créent des conditions favorables à la violence".
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On voudrait nous vendre l'idée que l’islam aiderait, soi-disant, l’Occident, à redéfinir son identité ; à pratiquer le dialogue des cultures ; et à pratiquer le multiculturalisme. A cet égard, l’idéologie islamophile reproche, à l’Occident, d’avoir une identité judéo-chrétienne monolithique. Et dans ce cadre, l’islam apporterait, paraît-il, quelque chose de nouveau. L’islam aiderait, soi-disant, les Occidentaux, à redéfinir leur relation avec les autres.
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On voudrait nous vendre l'idée que l’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à lutter contre le racisme ; contre la discrimination ; contre le regard porté sur les musulmans. Un regard colonial, nous  dit l’idéologie islamophile, un regard colonial influencé par l’histoire de l’Occident face à l’islam. L’islam aiderait, soi-disant, les Occidentaux, à transcender l’ère coloniale et les croisades. L’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à devenir multiculturels. Et l’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à faire de la lutte contre la discrimination, une priorité. Voilà résumée, en quelques lignes, l’idéologie islamophile.
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Je n’invente rien. C’est bel et bien ainsi, qu’est formulée, l’idéologie islamoPHILE, par des journalistes, des historiens, des sociologues, des enseignants, des chercheurs, des faiseurs d’opinion et des politiciens. Et quiconque n’adhère pas à cette idéologie islamoPHILE, est, automatiquement, accusé d’être islamoPHOBE. "Islamophobie", un délit pénal ?
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Michel Garroté pour Les Observateurs, 5.7.2017
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Djihad – L’Arabie saoudite, l’Afrique et le Qatar

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Michel Garroté  --  Avant d'entrer dans le vif du sujet (Djihad - L’Arabie saoudite, l’Afrique et le Qatar), signalons, à propos du Qatar et de Arabie saoudite, que derrière le duel en face-à-face, il y a le sponsoring du djihad (voir liens vers sources en bas de page). La mise au ban du Qatar par l’Arabie saoudite masque la rivalité entre deux pays, qui, chacun à sa manière, se cherchent une légitimité auprès des mouvements radicaux de l’islam : les Frères musulmans pour le Qatar ; et les salafistes pour l'Arabie saoudite.
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Le Conseil de Coopération du Golfe :
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Le Conseil de Coopération du Golfe, créé en 1980 pour assurer l'intégration - économique et sécuritaire - aux monarchies du Golfe, est menacé de dislocation. Et l'antagonisme s'aggrave entre le duo Arabie saoudite / Egypte, d'une part ; et Iran / Turquie, de l'autre, qui ont volé au secours du Qatar via un approvisionnement alimentaire d'urgence. A noter que les manuels scolaires et les télévisions du Golfe diffusent encore, malgré les "promesses" de l'Arabie saoudite, des appels à mépriser et à maudire (17 fois par jour !) les Chrétiens et les Juifs et à tuer les apostats.
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Barça & Qatar Airways :
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A noter aussi qu'en Arabie saoudite, porter le maillot du Barça est désormais passible de 15 ans de prison. Les Saoudiens n'ont désormais plus le droit de soutenir le Barça, qui est sponsorisé par la compagnie qatarienne Qatar Airways, sous peine d'emprisonnement.
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Quant Erdogan s'en mêle :
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De son côté, le président-dictateur islamiste Erdogan raconte que s'efforcer d'isoler le Qatar dans tous les domaines est inhumain, contraire aux valeurs de l'islam et que le Qatar est un pays contre lequel une peine de mort a, en quelque sorte, été prononcée. En clair, comme écrit plus haut, la Turquie ainsi que l'Iran soutiennent le Qatar contre l'Arabie saoudite qui elle est soutenue par l'Egypte (voir liens vers sources en bas de page).
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L’Arabie saoudite somme l’Afrique de lâcher le Qatar :
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Pour entrer dans le vif du sujet, signalons que l’Arabie saoudite somme l’Afrique de lâcher le Qatar (voir liens vers sources en bas de page). En effet, les Saoudiens tentent de convaincre les Etats africains de rompre leurs relations diplomatiques avec la monarchie qatarie. Sept pays ont déjà accepté. La violente crise diplomatique survenue le lundi 5 juin 2017 entre l’Arabie saoudite et le Qatar -- ce dernier étant accusé par les Saoudiens de soutenir le terrorisme alors qu'eux aussi soutiennent le terrorisme -- a des répercussions jusqu’en Afrique.
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Les Saoudiens se comportent en colons arrogants :
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De fait, l'Arabie saoudite se démène pour obtenir le soutien du plus grand nombre d’Etats africains, sommés de prendre position. Sept pays du continent (Niger, Mauritanie, Sénégal, Tchad, Egypte, Comores et Maurice) ont déjà fait le choix de rappeler leur ambassadeur en poste au Qatar. De son côté, Djibouti a préféré réduire le personnel de son ambassade pour ne pas envenimer l’avenir, le Qatar faisant office de médiateur sur le différend frontalier qui oppose Djibouti à l’Erythrée.
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Les présidents des Etats africains dans lesquels la population est à dominante musulmane -- et où de nombreux lieux de prière sont construits et contrôlés par les intérêts saoudiens via des "organismes de charité" -- subissent une forte pression depuis le déclenchement de la crise qui a conduit l’Arabie saoudite, mais aussi les Emirats Arabes Unis, le Bahreïn, le Yémen et l’Egypte, à couper les relations diplomatiques avec le Qatar et à organiser un blocus terrestre et aérien à son encontre.
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Pourtant, certains Etats africains où la population musulmane est très importante n’ont pas souhaité prendre position dans ce conflit. Les pays du Maghreb -- Maroc, Algérie, Tunisie -- mais aussi le Soudan et la Somalie, ont appelé au dialogue sans prendre parti, considérant qu’ils n’ont pas à choisir entre les deux principaux protagonistes, avec lesquels ils ont des liens diplomatiques et économiques forts.
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Le Nigeria dit non aux Saoudiens :
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Le cas le plus marquant reste le Nigeria (qui a refusé), où le nombre de citoyens musulmans (plus de 100 millions) est le plus élevé du continent africain. Le Nigeria a ouvert en 2013 une représentation diplomatique au Qatar et les deux pays se côtoient depuis longtemps dans le cadre de l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP) et de son pendant gazier, le Gas Exporting Countries Forum (GECF), dont le siège est au Qatar. Cette crise souligne cependant cruellement combien la puissance géopolitique du Qatar, en constante ascension depuis le milieu des années 1990, demeure sans comparaison avec son grand voisin saoudien (voir liens vers sources en bas de page).
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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Sources :
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https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/030376335805-qatar-arabie-derriere-le-facea-face-le-sponsoring-du-djihad-2093820.php
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http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/06/12/quand-l-arabie-saoudite-somme-l-afrique-de-lacher-le-qatar_5143209_3212.html
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L’islam est omniprésent et il ne s’intègre pas

   
Michel Garroté  --  Derrière la lutte contre la soi-disant "islamophobie" se cachent l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) et ses 57 pays membres. De plus, l'islam est omniprésent chez nous et il ne s'intègre pas à notre société libre et laïque de culture judéo-chrétienne. Enfin, la "radicalisation" a un fondement idéologique : la charia. Le terrorisme a une théorie : le djihad. Ce sont en réalité deux éléments d’un seul et même système politico-religieux nommé "islam".
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L’Organisation de la Coopération Islamique :
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A ce propos, sur causeur.fr, André Versaille écrit (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Si l’islamophobie n’est pas un racisme, quel est donc le sens de la lutte menée contre l’islamophobie ? Cette lutte n’est pas une opération défensive entreprise par une population minoritaire en danger, mais une stratégie offensive et internationale conduite par des États islamistes pour interdire mondialement toute critique à l’endroit de la religion musulmane et sacraliser celle-ci sur la terre entière. L’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), qui compte 57 pays membres, se mobilise en faveur de la pénalisation de toute forme de « diffamation religieuse » de par le monde.
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André Versaille : L’OCI juge que l’attaque des croyances sacrées et la diffamation des religions, des symboles religieux, des personnalités et des dogmes contrarie la jouissance des Droits de l’homme des fidèles de ces religions et elle réclame que l’on introduise, dans le « traité contre le racisme », l’interdiction de toute « insulte à ce qui est tenu pour sacré par la religion ». Il s’agit donc de sanctuariser l’islam et non de protéger les musulmans qui le sont déjà puisque le droit international condamne toute discrimination fondée sur la religion, conclut André Versaille (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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L'islam omniprésent ne s'intègre pas :
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De son côté, Dom Louis-Marie, père abbé du monastère du Barroux, a tout récemment déclaré dans 'La Nef' (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : L'islam est omniprésent, et, dans l'ensemble, pas du tout intégré, non intégrable pour des raisons de fond. Le Coran n'invite pas à la réflexion mais plutôt à la soumission. C'est un tissu d'affirmations catégoriques et non une histoire comme dans la Bible, qui exige une interprétation.
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Dom Louis-Marie : L'islam ne connaît ni la distinction entre le spirituel et le temporel, ni la juste liberté religieuse. L'islam progresse sur le fond d'une dialectique de fait entre d'un côté, les tenants du terrorisme, et, de l'autre, les tenants d'un islam irénique, tenants qui investissent le sport, la mode, l'alimentation et la finance.
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Dom Louis-Marie : Je vous avoue que j'ai été effrayé, lors d'un passage à Paris, de voir de nombreux jeunes arborant le tee-shirt d'un club de foot aux armes des émirats. Je me suis dit que ces jeunes étaient prêts pour la mosquée. Le véritable danger actuel est l'ignorance, le relativisme et la paresse intellectuelle d'un grand nombre de responsables politiques et religieux, a tout récemment ajouté Dom Louis-Marie, père abbé du monastère du Barroux (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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L'islam est un système politico-religieux :
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De son côté, Gérard Couvert a tout récemment écrit sur bvoltaire.fr (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : L’attentat de Manchester a apporté son lot habituel de compassions médiatiques et convenues. En France, les nouveaux cooptés du système y ont révélé leur bassesse d’âme et le peu d’envergure de leurs pensées, qu’elles soient politiques ou humaines. Rien de nouveau, ils font le dos rond, utilisent les mêmes psalmodies, lancent leurs demi-soldes en contre-feu.
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Gérard Couvert : Que pourrions-nous, d’ailleurs, attendre de la part des incendiaires ? La "radicalisation", pour utiliser le nouveau dérivatif à la mode, a un fondement idéologique : la charia. Le terrorisme a une théorie : le djihad. Ce sont deux éléments d’un système politico-religieux nommé "islam", conclut Gérard Couvert (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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http://www.causeur.fr/lutte-islamophobie-islamisme-droit-homme-44646.html
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http://www.lanef.net/t_article/rien-de-resiste-a-l-appel-de-dieu-dom-louis-marie-26352.asp?page=0
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http://www.bvoltaire.fr/lislam-reste-impropre-a-dialectique/
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