Mali : Les jihadistes ont organisé un festin en l’honneur des terroristes islamistes échangés contre les otages

Des photos d’un banquet réunissant des prisonniers libérés la semaine dernière en échange des otages, dont Sophie Pétronin, ont été relayées sur les réseaux sociaux. Elles sont authentiques.

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Checknews

 

 

 

Via Fdesouche

Dupond-Moretti, ministre de la Justice, veut “militer” pour rapatrier les djihadistes français : « C’est l’honneur de notre pays »

Éric Dupond-Moretti persiste et signe. En 2019, celui qui n’était alors qu’un simple avocat confiait déjà sur LCI son souhait de voir rapatrier les djihadistes français pour qu’ils soient jugés dans l’Hexagone. Au cours d’une interview au Journal du dimanche, le ministre de la Justice a tenu peu ou proue les mêmes propos, quand bien même il appartient désormais, de son propre aveu, « à un gouvernement qui défend l’idée que [les] prisonniers doivent être jugés là où ils ont commis leurs actes et qui examine au cas par cas la situation des mineurs pour le rapatriement ».

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« C’est l’honneur de notre pays »

Malgré ses nouvelles fonctions, Éric Dupond-Moretti veut même se voir en militant du retour des djihadistes. « En tout état de cause, je serai un militant infatigable pour défendre des Français – car ils sont français qu’on le veuille ou non – qui encourent la peine de mort », a-t-il certifié au JDD. Pour l’ex-avocat, « c’est l’honneur de notre pays »« Nous avons pris des engagements internationaux et célébrerons l’an prochain le quarantième anniversaire de l’abolition de la peine de mort en France », a-t-il fait valoir.

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Valeursactuelles.com

Belgique : trois femmes djihadistes de retour avec leurs 6 enfants

Trois Anversoises, qui se sont rendues en Syrie avec des combattants étrangers pour le groupe terroriste État Islamique, seront rapatriées mercredi avec six de leurs enfants depuis la Turquie.

Il s'agit de deux femmes de 27 et 26 ans, Tatiana Wielandt et ­Bouchra Abouallal (26) ainsi qu'une troisième femme de 28 ans, Nadia Baghouri.

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7sur7.be


Rappels : Deux d'entre elles étaient revenues en Europe pour... accoucher dans les hôpitaux belges avant de repartir faire le jihad.

Elles étaient rentrées en Belgique, puis reparties, après leur accouchement

Elles s'étaient rendues une première fois en Syrie en 2013, leurs époux ayant rejoint les rangs de la milice Majlis Shura Al-Mujahedin. Après le décès des deux hommes, leurs veuves sont revenues en Belgique début 2014 avec leurs enfants. Elles étaient toutes deux à nouveau enceintes. Elles n'avaient pas renoncé au salafisme djihadiste et continuaient à entretenir des contacts avec des personnes de la même mouvance. Après avoir accouché, elles sont retournées avec leurs enfants en Syrie à l'été 2015. Elles sont détenues depuis 2017 dans un camp kurde dans le nord de la Syrie. Via leur avocat, elles ont introduit trois pourvois en référé pour exiger que la Belgique les rapatrie ainsi que leurs enfants ou qu'elle en fasse au moins la tentative. Les deux premiers ont été rejetés, le troisième devait être examiné ce mercredi.

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Rtl.be

Nos remerciements à pierrebxl

Maldives: des étrangers attaqués par des djihadistes

Trois suspects, djihadistes présumés, ont été arrêtés dans l'archipel touristique. Ils auraient poignardé trois étrangers mardi.

La police des Maldives a arrêté jeudi trois djihadistes présumés suite à l'attaque à l'arme blanche de trois étrangers dans l'archipel touristique de l'océan Indien. Deux Chinois et un Australien sont dans un état stable après avoir été poignardés mardi, deux mois après que les services de sécurité ont averti de la présence aux Maldives d'éléments radicaux inspirés par le groupe djihadiste État islamique (EI).

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20min.ch


Rappel :

Un baiser homosexuel aux Maldives fait parler

De leurs prisons, les ex-djihadistes romands montrent peu de remords

Deux Vaudois et un Genevois, anciens militants de l’État islamique, ont été interviewés dans des geôles kurdes en Syrie. Un seul semble vraiment regretter ses actes.

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Parmi les membres du trio suisse, celui qui ment le plus est sans conteste le converti d’Orbe Damien G. Cet ancien apprenti de 29 ans avait rallié la branche syrienne d’Al-Qaida en 2013 avant de rejoindre l’État islamique en 2014. Il affirme qu’il ne portait pas d’armes et travaillait comme physiothérapeute dans des hôpitaux. À peu près à la même époque, il écrivait sur Facebook, y compris à l’adresse de ses compatriotes suisses: «Nous ne reconnaissons pas vos fausses lois [...], vos Constitutions et vos valeurs [...]. L’hostilité et la haine sont déclarées entre vous et nous pour toujours, jusqu’à ce que vous croyiez en Allah seul.» Il avait aussi posté la photo d’une ceinture explosive dans laquelle était collé un passeport suisse.

Aujourd’hui, Damien G. demande à être ramené en Suisse. Il invoque la Convention de Genève et les droits de l’homme.

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Ajdin B. est le seul du trio à vraiment sembler regretter ses actes. L’ancien bénéficiaire de l’aide sociale de 26 ans fait savoir à sa famille qu’il est sincèrement désolé d’avoir rejoint l’État islamique. [...]

Tribune de Genève

 

 

 

 

La Turquie transfère illégalement des chars allemands à des djihadistes en Syrie

Le gouvernement turc a transféré des chars Leopard 2 de fabrication allemande à un « groupe rebelle » soutenu par la Turquie qui combat dans le nord-est de la Syrie, en violation des conditions d’utilisation finale de l’accord de vente et de la loi allemande sur les exportations d’armes.

L’armée turque a transféré un nombre inconnu de chars Leopard 2 à l’Armée nationale syrienne (SNA), un groupe rebelle composé d’islamistes radicaux qui ont été accusés de crimes de guerre multiples, rapporte Bild.

Les djihadistes soutenus par la Turquie auraient déjà déployé des chars de fabrication allemande contre les Forces démocratiques syriennes (SDF) dominées par les Kurdes et soutenues par les Etats-Unis dans le nord-est du pays.

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Source : Voice of Europe
Traduction Cenator

Djihadistes renvoyés en France par Erdogan : La ministre de la justice ne sait pas quand ils arriveront ni qui ils sont.

Une trentaine de djihadistes sortis de prison

La ministre a évoqué la question des djihadistes étrangers renvoyés par la Turquie vers leurs pays d’origine. Nicole Belloubet n'a pas communiqué la "confirmation officielle" que onze Français doivent rentrer, parmi lesquels quatre femmes et sept enfants. "Actuellement, nous n’avons pas d’information précise sur l’identité de ces personnes et sur le moment où elles arriveraient en France. […] Nous sommes alertés dès lors que ces personnes vont être renvoyées en France et nous serons dans la capacité de les accueillir".

 

La ministre a détaillé les modalités de la prise en charge des enfants. "Les mères sont judiciarisées,  présentées à un juge et placées en détention. Les enfants sont pris ne charge par un juge des enfants qui les place dans une famille d’accueil ou foyer. Ça ne peut pas être la famille ou les grands-parents, nous avons besoin d’un sas pour vérifier leur état de santé notamment. Ils font ensuite l’objet d’un suivi médical et d’un suivi par le juge. S’il y a des fratries on fait attention à ce qu’il n’y ait pas de séparation".Une question qui a amené à s'interroger sur le nombre de djihadiste sortis de prison depuis le début de l'année, en France. "Ils sont une trentaine", a indiqué Nicole Belloubet. "Ce sont des personnes qui ont subi une condamnation il y a plusieurs années. Quand ces personnes sont libérées, elles font l’objet d’un suivi. Soit elles sont sous contrôle judiciaire, soit sous bracelet, soit les services les suivent".

Lci.fr

Syrie : deux djihadistes belges se sont échappés de leur prison

Deux djihadistes belges qui étaient emprisonnés dans le nord-est de la Syrie, se sont échappés de leur centre de détention, a annoncé devant une commission du Parlement belge Paul Van Tigchelt, patron de l'Ocam, l'agence antiterroriste belge.

Ces deux évadés font partie d'un contingent de 58 Belges – hommes et femmes – issus des rangs djihadistes (des FTF ou Foreign terrorist fighters), actuellement recensés en Syrie et en Irak. Dans ce groupe, «se sont échappés d'une prison: 2 FTF hommes (dont 1 condamné par défaut en Belgique pour terrorisme)», selon un document de l'Ocam, l'agence antiterroriste belge, dont l'AFP a obtenu copie.

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«La situation est devenue complètement incontrôlable»

Dans ces camps sous contrôle kurde, proches de la zone ciblée par l'invasion turque lancée la semaine dernière, «la situation est devenue complètement incontrôlable», a commenté le député (Ecolo) Samuel Cogolati. «On perd un à un nos contacts sur place», a-t-il ajouté, en réitérant l'appel des écologistes à rapatrier les enfants et à faire juger les adultes en Belgique.

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Francais.rt.com

 

 

La France s’apprêterait à rapatrier des dizaines d’enfants de djihadistes depuis la Syrie

Paris prépare le retour sur le sol français, avec l'accord des mères, des dizaines d'enfants dont les parents avaient rejoint l'EI.

Environ 150 enfants de djihadistes français ont été signalés en Syrie et vont commencer pour certains à être rapatriés en France.

Les enfants, pour la plupart âgés de moins de six ans, ne pourront partir qu'avec l'accord de leur mère, qui elle restera sur place, souligne la source citée.

La France exclut tout retour des adultes, combattants ou épouses, considérées comme des militantes de l'EI, au grand dam des avocats représentant les familles en France. «Ceux qui ont commis des délits ou des crimes en Irak et Syrie doivent être jugés en Irak et Syrie», martèle-t-on au ministère des Affaires étrangères.

«L'exception c'est les mineurs, dont la situation sera examinée au cas par cas. On a un devoir particulier de sauvegarder l'intérêt supérieur de l'enfant», ajoute-t-on.

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Sur les 680 djihadistes français estimés sur le théâtre irako-syrien, plus de 300 sont morts et un petit nombre a rejoint d'autres pays (Afghanistan, Maghreb, Libye), estime Paris. Une partie d'entre eux sont donc toujours sur place.

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20minutes.ch

Où en sommes-nous avec l’islam ?

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Par Michel Garroté  -  Ci-dessous, une liste certes incomplète et cependant éclairante sur l'islam aujourd'hui. Il manque la Syrie, l'Irak, l'Arabie saoudite et d'autres pays encore. En revanche, il y a dans cette liste des informations peu ou prou mentionnées par les médias.
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1- Le Liban sous la coupe de l’Iran
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A Beyrouth, au siège du parti Kataëb, Samy Gemayel, son président, disait (voir lien vers source en bas de page) : « L’Iran n’a plus besoin d’ambassade au Liban ; avec le général Aoun, plus que soutenu, complètement tenu par le Hezbollah, il est à la présidence de la République ; il est à la présidence de l’Assemblée nationale avec le chiite Nabi Berry ; il y dispose de la majorité avec ses alliés aounistes.
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Enfin, avec le Hezbollah, qui n’est pas seulement un parti mais est devenu plus qu’une milice, une armée qu’il a puissamment équipée, qu’il encadre et commande, l’Iran domine de fait, insupportablement, notre pays. Face à cela, nous maintenons et défendons coûte que coûte ce qui reste de liberté au Liban dont nous voulons réaffirmer le droit à la souveraineté ».
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Car, après le départ des occupants syriens en avril 2005, leur allié du Hezbollah libanais ne s’était pas volatilisé, au contraire, maintenant fortement ses positions dans la Bekaa et surtout au sud, le long de la frontière avec Israël.
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Le Hezbollah s’est fortement renforcé, recevant notamment des Pasdarans iraniens (« gardiens de la révolution ») une dotation de plusieurs milliers de missiles balistiques constituant un danger pour Israël malgré, jusqu’ici, le très efficace système de défense antimissiles de ce pays, ajoute Samy Gemayel (voir lien vers source en bas de page).
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/05/le-liban-toujours-plus-sous-la-coupe-de-liran.html
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2- Le mois du ramadan est le mois du djihad
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La publicité pour le ramadan est omniprésente, tant commerciale que politique. Faut-il s’en inquiéter ? Pour Joachim Véliocas, spécialiste de l'islam, ce marché en pleine croissance (10 à 15% par an) est un marqueur de l’avancée de l’islamisation en France.
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A ce propos, le spécialiste de l'islam Joachim Véliocas déclare notamment : Un des plus gros sites musulmans arabes nommés « islam web » basé au Qatar écrit beaucoup d’articles en anglais et en arabe. Il a publié une série d’articles sur l’axe du ramadan de cette année, l’année 1439 du calendrier occidental, dont certains m’ont été traduits par une amie islamologue. Le titre d’un des articles est "le mois du ramadan, c’est le mois du djihad".
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Ce qui est très inquiétant dans cet article, c’est qu’ils disent clairement que le djihad dans la voie d’Hallah est le devoir de l’islam le plus important, que lorsqu’on fait ce djihad, on gagne une force dans ce monde et dans l’au-delà, que le djihad est un des actes les plus méritoires et enfin que les musulmans ont été humiliés lorsqu’ils ont abandonné le djihad". Ils expliquent la déliquescence de la civilisation islamique au 19e siècle et au début du 20e siècle avec l’effondrement du califat par l’abandon du djihad. Le mois du ramadan est le mois du djihad, insiste Joachim Véliocas.
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http://bvoltaire.com/mois-ramadan-mois-djihad/
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3- Turquie - Derrière le soutien au Hamas, l’offensive d’Erdogan sur le monde musulman
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Alexandre Del Valle : Les raisons qui entrainent l'aversion d'Erdogan pour l'état d'Israël sont multiples :
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Raisons électoralistes, lié à sa politique interne. Car en condamnant Israël, Erdogan souhaite rallier et galvaniser son électorat radical islamiste, qui est anti-juif et anti kurdes, en les fidélisant autour de cet ennemi commun.
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Raison d'ambition personnelle. Erdogan, qui est allié aux frères musulmans (il en est un) souhaite établir comme finalité politique un nouveau califat dont il serait le chef. Il se rêve en "patron de l'islam". Sa politique contre Israël, c'est une politique de promulgation de l'idée ottomane, appelée politique néo-ottomane qu'il mène sur tous les fronts.
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Raison d'intérêts régionaux. Erdogan souhaite séduire les pays arabes voisins afin de redorer l'image des Turcs auprès de ces derniers. En effet, historiquement, les peuples turques ont successivement opprimés les populations arabes. Il cherche donc à redonner du prestige à l'identité turque auprès de ses alliés arabes : c'est une manière de renforcer son leadership régional.
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Erdogan utilise les affrontements réguliers entre les militants du Hamas et Israël (guerre des 33 jours en 2010 ou la flottille de gaza en 2008) qui font beaucoup de morts, étant donné l'asymétrie des moyens des deux forces (lance pierre contre missile) pour sensibiliser de manière virulente la communauté internationale. Celle-ci se rangeant généralement (excepté USA et quelques pays) du côté de la cause palestinienne, cela renforce de fait la voix d'Erdogan sur la scène internationale.
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https://fr.news.yahoo.com/turquie-derri%C3%A8re-boycott-d-isra%C3%ABl-l-offensive-n%C3%A9e-053259225.html
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4- Ne pas tomber dans le piège du Hamas
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Sous couvert de gens pacifiques qui désirent rentrer chez eux, il y a le Hamas, l’organisation islamiste qui règne à Gaza et dont la stratégie vise à détruire Israël. Que l’action du Hamas soit perverse dans ses intentions et tortueuse dans sa mise en œuvre ne fait guère de doute, puisqu’elle consiste à exposer sciemment des martyrs à la blessure ou à la mort, celles-ci étant, paraît-il, tarifées par de généreux donateurs. Si l’idéalisme juridique proclame toujours le souhait de deux États contenus dans les limites d’avant 1967 (ndmg : l'Etat d'Israël et l'Etat de "Palestine"), le réalisme sait que cette solution est aujourd’hui compromise. Il faut faire un peu d’histoire pour s’en rendre compte. D’abord, le cas de la Palestine n’a rien d’exceptionnel. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, de nombreuses populations ont été déplacées.
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Les habitants de Königsberg ne manifestent pas pour rentrer chez eux. La ville de Kant, en Prusse orientale, est maintenant Kaliningrad, capitale d’une enclave russe entre Pologne et Lituanie. Les déplacements de populations en Europe de l’Est ont été gigantesques aux alentours de 1945. De même, lors de la séparation entre l’Inde et le Pakistan, ce sont des millions de personnes qui sont passés d’un pays à l’autre au milieu des massacres. Les victimes de la décolonisation ne sont pas moins à plaindre. Les pieds-noirs avaient toute leur place en Algérie, de même que les harkis. Ils ont été obligés de choisir entre la valise et le cercueil. Si l’on remonte dans le passé, les nombreux Arméniens rescapés du génocide turc de 1915 n’exigent pas, non plus, de regagner la région de l’Empire ottoman où ils étaient majoritaires.
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http://www.bvoltaire.fr/israel-dhistoire-ne-tomber-piege-hamas/
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
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Le président tchèque veut que les Européens puissent s’armer pour se défendre contre les terroristes

A l'occasion d'une intervention devant le Conseil de l'Europe, le président tchèque Milos Zeman a prôné le droit au port d'armes sur le continent. Prague reproche justement à la législation de l'UE d'être trop restrictive à ce sujet.

Dans le cadre d'une intervention devant le Conseil de l'Europe le 10 octobre, le président tchèque Milos Zeman a fait part de son souhait de faire avancer le droit au port d'armes dans son propre pays, mais aussi en Europe.

«Que pouvons-nous faire contre la criminalité internationale ? Investir dans la police, investir dans l'armée, et avoir le courage d'investir dans nos propres armes», a ainsi déclaré le chef d'Etat. «Ma femme a un pistolet. Evidemment, elle a passé tous les tests nécessaires, mais maintenant ma femme me protège, plus seulement mes gardes du corps», a-t-il fait valoir.

Le président tchèque a défendu un système similaire à celui des Etats-Unis, où une vérification des antécédents ainsi que des tests sont nécessaires avant de pouvoir se procurer une arme à feu. «Le deuxième amendement de la Constitution américaine stipule que tout le monde à le droit de porter une arme – bien sûr, ils doivent remplir les conditions nécessaires et passer des tests», a soutenu Milos Zeman.

Du côté de l'Union européenne, le Parlement européen a voté une directive en décembre 2016, en réponse aux attaques terroristes frappant le continent, visant à renforcer le contrôle sur les armes à feu, en interdisant notamment aux civils de détenir certaines armes semi-automatiques. Or, quelques mois plus tard, en juin 2017, les députés tchèques ont approuvé un amendement constitutionnel autorisant les détenteurs légaux d'armes à feu à en faire usage pour défendre la sécurité du pays, par exemple en cas d'attaque terroriste – une loi contrevenant à la législation européenne.

En août dernier, le ministre de l'Intérieur tchèque Milan Chovanec a fait savoir que la directive de l'UE était trop sévère, et a annoncé que son pays avait engagé une action en justice contre l'institution supranationale devant la Cour de justice de l’UE.

Source

Le mythe de la drogue du djihadiste exprime «la difficulté des sociétés occidentales à penser l’ennemi»

Cenator : L'establishment ne cesse de donner des explications psychologisantes aux actes des djihadistes et aux méfaits que le monde musulman commet contre la civilisation occidentale.

Du loup solitaire auto-radicalisé sur internet à la personne psychologiquement perturbée, nous avons eu droit, comme toujours, à une palette d'explications d'experts, mais jamais, au grand jamais, ces explications ne désignent les croyances, les idées, les haines véhiculées par l'islam comme étant la cause de ces horreurs. Et cela, depuis toujours et en tout lieu.

La nouvelle ci-dessous confirme notre propos.

La pathologisation de tout acte criminel ne fait que refléter nos dérives actuelles concernant l’appréhension de la réalité, elle ne nous apprend rien sur les actes criminels eux-mêmes.

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«La drogue des djihadistes est un mythe»

Le captagon, surnommé «drogue des djihadistes», n'a été consommé par «aucun des terroristes ayant commis des attentats revendiqués par le groupe Etat islamique en Europe depuis 2015», selon un rapport français.

«L'existence d'une drogue des djihadistes est un mythe», selon Laurent Laniel, auteur du rapport publié jeudi par l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies.

Pour lui, le mythe de la drogue du djihadiste exprime «la difficulté des sociétés occidentales à penser l'ennemi».

Sources :

https://www.rts.ch/info/monde/8803758--la-drogue-des-djihadistes-est-un-mythe-selon-un-rapport-francais.html

http://www.24heures.ch/monde/La-drogue-des-djihadistes-est-un-mythe/story/24665567

La diplomatie française aidera ses ressortissants djihadistes capturés en Irak: « les djihadistes français bénéficient de l’aide consulaire »

Le porte-parole du gouvernent Christophe Castaner, interrogé sur le cas d'une mère et ses enfants capturés à Mossoul, a confirmé que les djihadistes français présents en Irak bénéficient de l'aide consulaire, comme tout citoyen français à l'étranger.

Interrogé le 19 juillet, Christophe Castaner a évoqué, selon Reuters le cas de la jeune femme capturée avec ses enfants dans les ruines du vieux Mossoul. Le porte-parole du gouvernent a confirmé qu'une identification était en cours et que des parents de cette famille avaient été joints en France.

«Dès lors qu'ils sont Français, le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères met en place la protection consulaire que nous devons à tous les ressortissants français quels que soient les faits qui peuvent leur être reprochés, avec une attention particulière pour les enfants en bas âge», a-t-il déclaré à l'issue du conseil des ministre, avant de préciser : «cela n'enlève rien au fait que les autorités irakiennes sont fondées à juger les adultes in situ.»

Agnès Romatet-Espagne, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, a généralisé l'explication de Christophe Castaner à toute personne ayant commis des infractions en Irak. Elle a ainsi confirmé que les ressortissants français arrêtés pourront être poursuivis par la justice irakienne et bénéficieront du droit à la protection consulaire. Les juridictions françaises pourraient également exercer une compétence si elles considèrent que ces personnes ont commis une infraction à la loi française.

Le Quai d'Orsay a par ailleurs confirmé que des démarches officielles ont été effectuées auprès des autorités irakiennes afin de connaître précisément la situation de la jeune femme arrêtée avec ses enfants et leur lieu de détention.

D'après les autorités françaises, près de 750 ressortissants français étaient présents fin mars dernier sur la zone de combat en Syrie et en Irak, dont environ 450 mineurs.

Source

Le califat – But ultime des djihadistes

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Michel Garroté -  "Quand le 29 juin 2014, un califat est soudainement apparu sous le nom 'État islamique' et sous la direction du calife Ibrahim, l'événement a surpris", note l'analyste Daniel Pipes. D'autres analystes, tels Alexandre Del Valle et Bat Ye'or ont, eux aussi, mis en garde contre le syndrome du califat, but ultime des djihadistes. On aurait pu s'attendre à une prise de conscience des peuples d'Europe occidentale. Or, ceux-ci, malgré la migration musulmane de masse et les actes terroristes islamiques, ne sont pas descendus dans la rue, pour exiger des changements de la part de leurs dirigeants.
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Il y a eu, certes, le Brexit, la victoire de Trump, le réveil de certains Etats d'Europe Centrale et Orientale, mais, encore une fois, les peuples d'Europe occidentale, ne sont pas descendus dans la rue. Le problème, comme l'ont maintes fois écrit Daniels Pipes, Alexandre Del Valle et Bat Ye'or, c'est que le but ultime des djihadistes, n'est autre que l'instauration de califats, y compris en Europe. Cela a commencé avec des zones de non-droit et cela aboutira, si rien n'est fait, à des califats.
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A cet égard, le score que fera - ou ne fera pas - le Front national aux présidentielles françaises dans quelques semaines, sera un indicateur de l'état d'esprit des Français : la poursuite - ou la fin - de la soumission. Ci-dessous, je publie l'analyse de Daniel Pipes (voir liens vers sources en bas de page).
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Daniel Pipes : Que veulent les djihadistes (moudjahidines) ? Cette question maintes fois posée n'a étonnamment pas de réponse évidente étant donné que la plupart des attentats djihadistes ne sont pas accompagnés de revendications claires. Les attentats épouvantables de Bombay en novembre 2008 et de Paris en novembre 2015 ont été perpétrés par des commandos suicides dont les hommes armés ont commis des tueries de masse. Ailleurs, ils ont eu recours à des attaques à la mitrailleuse, à des décapitations, à des bombes, à des détournements, etc. Comme après chaque neutralisation des assaillants par les forces de l'ordre, on procède à l'évaluation des dégâts qu'ils ont provoqués et les enquêteurs tentent de déterminer l'identité et les motivations des auteurs alors que des sites Internet officieux émettent après coup des revendications non authentifiées. Mais au final, on ne parvient jamais à répondre à la question de départ : « Que veulent les djihadistes ? ».
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Motivations des attentats djihadistes :
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Pourquoi les motivations demeurent-elles inexpliquées ? Alors que depuis les attentats du 11-Septembre aux États-Unis, les analystes continuent à spéculer sur ce qui pourrait motiver ce genre d'attaque, on peut, d'une façon générale, pointer deux grands types de motivations. D'une part, il s'agit de changer spécifiquement la politique menée par l'État visé, par exemple, en cherchant à pousser au retrait de troupes étrangères de l'Irak et de l'Afghanistan ou en incitant Riyad à expulser les troupes étrangères de son territoire. Cela peut aussi consister à faire pression sur les gouvernements pour mettre fin au soutien à Israël ou faire pression sur New Delhi pour abandonner le contrôle sur le Cachemire.
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D'autre part, il s'agit, d'une façon plus générale, d'affaiblir les non-musulmans dans leur ensemble, de nuire à leur économie, de semer la peur au sein de leur population et de chercher à instaurer la supériorité des musulmans. Ceci dit, l'un et l'autre types renvoient à quelque chose d'encore plus grand. Les djihadistes cherchent à instaurer un monde dominé par les musulmans, l'islam, la charia et le califat.
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Nous voyons le djihad prendre deux formes qui dépendent de la force relative des populations musulmanes dans la zone. Là où les non-musulmans dirigent, on tente de gagner le contrôle sur les leviers du pouvoir et d'accéder aux affaires. Le but est de renverser l'ordre impie (le kufr). Il n'y a pas de tentative directe de conversion, la guerre étant une guerre de territoire. Là où les musulmans gouvernent, le but est d'appliquer la charia dans son intégralité. L'espoir ou le but ultime est de voir l'avènement d'un dirigeant pieux et juste qui puisse rendre les musulmans forts et riches et mettre fin à leurs divisions. Toutefois, l'aboutissement de l'un et l'autre est le califat mondial où le calife exercerait son empire sur l'ensemble des peuples de la planète et mettrait en œuvre la loi islamique dans son intégralité.
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Bref historique :
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La succession de Mahomet a produit dans l'Islam des divisions profondes qui subsistent jusqu'à nos jours. Au cœur de cette dispute se trouve la question de savoir qui doit occuper la place du prophète à la tête de la communauté musulmane, une question qui, aujourd'hui encore, nourrit les dissensions entre chiites et sunnites. Les successeurs de Mahomet ont toutefois pu conduire les grandes conquêtes islamiques pendant les trois siècles qui ont suivi. Le califat effectif a pris fin dans les années 940 et même si le titre s'est transmis par la suite, il n'était plus que nominal. Le califat abbasside de Bagdad s'est éteint en 1258 lors du sac de Bagdad par les Mongols. Néanmoins, au cours de la dernière moitié de l'époque abbasside, les dirigeants musulmans s'étaient mis à utiliser d'autres titres comme celui de sultan. Atatürk a mis fin au califat le 3 mars 1924 mais l'idée a perduré, comme on le voit dans le mouvement indien Khilafat à partir des années 1919-1926.
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Les avatars les plus récents du califat ont été l'œuvre de Ben Laden, qui voulait « un califat pieux qui partirait d'Afghanistan », et de son successeur, Ayman al-Zawahiri, qui envisageait un califat qui « marquerait un nouveau tournant dans l'histoire. » Selon Fazlur Rahman Khalil, un autre dirigeant d'al-Qaïda : « En raison des grâces procurées par le djihad, le compte à rebours s'est enclenché pour les États-Unis qui vont bientôt connaître la défaite » et être remplacés par un califat. En 2005, al-Qaïda a ouvert la station de radio Sawt al-Khalifa (la Voix du Califat).
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Le califat :
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Les déclarations tenues par certains dirigeants et le sentiment général qui règne au sein des populations ont donné l'impression qu'un califat était en gestation. Lors d'un meeting du Hizb ut-Tahrir à Copenhague, son imam, Muziz Abdullah, a pris la parole devant une salle comble en déclarant : « Il y a dix ans, quand j'ai commencé, il était tout à fait irréel de penser qu'il pourrait y avoir un jour un califat mais à présent, les gens croient qu'il pourra advenir dans les prochaines années. » Fatih Alev, un imam de Copenhague, déclarait : « À l'heure actuelle, le califat n'est pas du tout à l'ordre du jour. Mais demain, il pourrait le devenir. Je ne l'exclus pas. »
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On avait également l'impression de l'imminence d'un califat parmi les gens ordinaires. Selon Kerem Acar, un tailleur du centre d'Istanbul : « Je ne vivrai pas assez longtemps pour le voir, ni mes enfants, mais un jour peut-être les enfants de mes enfants verront quelqu'un se proclamer calife, comme le pape, et avoir un impact. » Ertuğul Örel, cafetier d'Istanbul, a exprimé l'espoir du califat mais ne croyait pas que ça arriverait : « Un califat signifie qu'il n'y aura qu'une seule voix, a-t-il dit, mais je sais que jamais les Américains ni les Européens ne le permettront. » Ali Bulaç, une voix turque qui compte en Islam et en Turquie, était très explicite quand il a déclaré : « Le concept du califat est très vivace dans la mémoire collective de la société. »
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C'est la même opinion qu'exprimait Zeyno Baran, expert du Hizb ut-Tahrir : « Il y a quelques années, les gens s'en moquaient. Mais maintenant que Ben Laden, Zarqawi et d'autres disent qu'ils veulent recréer le califat, les gens les prennent au sérieux. » Des affiches aux grandes lettres rouges et brillantes appelant à l'instauration du Califat islamique au Liban peuvent désormais être vues dans toutes les rues de Sidon. Placardées par des membres du Hizb ut-Tahrir, les affiches appellent à « raviver un État islamique califal alors que les ennemis de l'Occident colonial et perfide sous-estimaient notre force spirituelle. Nous ne nous en sortirons qu'avec un État islamique. »
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Selon James Brandon dans le Christian Science Monitor : « Le Hizb ut-Tahrir promet que le retour du califat mettra fin à la corruption et apportera la prospérité. Cela permettra aux musulmans de défier et finalement de conquérir l'Occident. » Il cite Abdullah Shakr, un membre jordanien du groupe : « Le monde musulman possède des ressources comme le pétrole mais il manque d'un leadership qui nous gouverne par la loi islamique et fasse en sorte que le djihad effraie le monde entier. » Shakr indique que le succès du califat produira davantage de conversions à l'islam et conduira à l'islamisation du monde entier. Cependant le mode d'établissement du califat, comme le défend le Hizb ut-Tahrir, est progressif et essentiellement pacifique alors que pour al-Qaïda, il est violent et révolutionnaire.
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Opinions non-musulmanes :
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En dehors du monde musulman, la situation était perçue différemment. En 2004, Dick Cheney, parlant d'Oussama Ben Laden, déclarait explicitement : « Ils disent vouloir rétablir ce qu'on pourrait appeler le califat du VIIe siècle » dans le but de « gouverner au moyen de la charia, l'interprétation la plus rigide du Coran. » De nombreux autres membres de l'administration George W. Bush lui ont emboîté le pas et en 2005, The Daily Telegraph sonnait l'alarme en déclarant : « Les fanatiques à travers le monde rêvent du retour du calife ». L'idée semblait impossible à l'époque et la gauche anti-Bush, dont des spécialistes de l'islam (Kenneth M. Pollack, John L. Esposito, Shibley Telhami), rejetait, méprisante, le sujet en bloc.
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Le journaliste d'investigation Robert Dreyfuss considérait avec un certain dédain l'idée d'une aspiration au califat. Il décrivait comme « absurde » la notion selon laquelle les forces islamistes souhaitaient établir un califat allant de l'Afrique du Nord à l'Asie du Sud-Est. « C'était un non-sens absolu », déclarait-il. « Ce qui se passait, c'était que ceux de l'administration qui faisaient ces déclarations s'appuyaient sur ce qu'ils lisaient sur les sites Internet d'al-Qaïda et d'autres djihadistes. » « De telles menaces, a-t-il ajouté, relevaient du fantasme et devaient être traitées comme telles ».
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Un califat existe :
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Quand le 29 juin 2014, un califat est soudainement apparu sous le nom « État islamique » et sous la direction du calife Ibrahim, l'événement a surpris. L'annonce qui s'est accompagnée de victoires militaires spectaculaires, notamment à Mossoul, lui a donné un prestige planétaire inouï. Des groupes comme Boko Haram lui ont fait allégeance et son effet sur les musulmans sunnites a été celui d'un électrochoc. En tant que califat, l'État islamique a comme impact potentiel de nourrir le rêve d'un gouvernement unique sur l'ensemble du monde musulman et au-delà, d'inciter d'autres à le suivre tout en radicalisant les mouvements islamistes.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Sources :
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Version en anglais parue dans Global Terrorism :
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http://www.danielpipes.org/17374/the-caliphate-al-qaeda-and-global-jihad
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Traduction française de Johan Bourlard :
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http://fr.danielpipes.org/17427/califat-ultime-djihadistes
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A quel point l’Occident finance-t-il les djihadistes ?

Abou-Al-Ezz-2

   
Michel Garroté - Dans un entretien avec Jürgen Todenhöfer du journal allemand Kölner Stadt-Anzeiger, Abou Al Ezz, commandant du Fatah al-Cham (également appelé Al-Nusra ou encore Armée Islamique), Abou Al Ezz donc, admet être armé par les Etats-Unis, la Turquie, l’Arabie saoudite et d'autres pays encore (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : il raconte que ses hommes disposent de missiles antichars TOW de fabrication américaine donnés directement (Jürgen Todenhöfer a également livré des reportages à Paris-Match et à The Guardian).
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C’est grâce à ces missiles que « la situation dans plusieurs régions [syriennes] est sous contrôle », se réjouit Abou Al Ezz. « Nos chars et de nombreux lance-roquettes sont venus via la Turquie », ajoute Abou Al Ezz. L’aide fournie par les Etats-Unis et d’autres pays n’est pas que matérielle. Le Fatah al-Cham a pu aussi compter sur « des officiers de Turquie, du Qatar, d’Arabie saoudite et des Etats-Unis, des experts en satellites, missiles, renseignement et caméras thermiques de sécurité ».
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Abou Al Ezz confie aussi que l’Arabie saoudite finance le Fatah al-Cham : « Nous avons reçu 500 millions de livres syriennes (plus de deux millions d’euros) de l’Arabie saoudite. Pour s’emparer de l’Ecole d’infanterie d’Al Muslimiya, il y a quelques années, nous avons reçu 1,5 million de dinars koweïtiens (soit environ 450 000 euros) et cinq millions de dollars de l’Arabie saoudite (presque 4,5 millions d’euros) ».
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« Nous avons pour but de renverser le régime syrien et d'établir un Etat islamique conformément à la charia », précise Abou Al Ezz. « Nous étions dans un groupe avec Daesh. Mais Daesh est utilisé par les intérêts et les buts politiques de grandes puissances telles que les Etats-Unis ; et Daesh s’est éloigné de nos principes. La plupart des leaders de Daesh travaillent avec des services de renseignement (occidentaux), c’est clair pour nous. Nous, Fatah al-Cham, avons notre propre voie », confie Abou Al Ezz (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.ksta.de/politik/interview-mit-al-nusra-kommandeur--die-amerikaner-stehen-auf-unserer-seite--24802176-seite2
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https://francais.rt.com/international/26882-usa-sont-cote-nous-arment
-Abou-Al-Ezz-1

Raid américain contre un camp de l’EI en Libye : 40 djihadistes tués

Tôt ce vendredi 19 février, les Etats-Unis ont mené un raid aérien en Libye. Selon un bilan provisoire, une quarantaine de personnes ont été tuées, dont une majorité de jihadistes tunisiens. C'est un camp de l'organisation Etat islamique, près de la ville de Sabratha, à 70 km de Tripoli, qui était ciblé. Selon Washington, ce camp abritait notamment le cerveau des attentats du Bardo et de Sousse, en Tunisie, dans lequels 60 touristes européens ont été tués l'an dernier.

Sources: rfi.fr, sputnik.newsnytimes.com

 

 

La bataille dans la ville d’Alep n’a pas encore commencé

La situation dans la province d’Alep évolue à grande vitesse. Les villages aux mains des djihadistes dans la province d’Alep sont la cible depuis deux semaines d’une intense offensive lancée par l’armée syrienne. Ses troupes ont repris samedi 13 février le contrôle du village de Tamura, situé sur les hauteurs de la cité d’Alep (photo). Elles ont également pris le contrôle des villages de Azaz et Tel Rifat, bloquant tout le secteur au Nord par où les armes et les mercenaires venus de Turquie arrivaient.

Un habitant d’Alep de confession sunnite a accordé à Arrêt sur Info ce bref entretien touchant les développements de la situation. Il nous révèle que, contrairement à ce qu’affirment nos médias, l’offensive en cour depuis plusieurs semaines n’a pas encore touché Alep, et que les « vagues de civils » ne fuyaient pas les « bombardements russes sur Alep »…

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Merci à Pierre H.

«Faites semblant d’être chrétiens» : Daech publie un manuel destiné aux djihadistes européens

Nos lecteurs nous communiquent (merci à Voxnev)

L’Etat islamique a édité un manuel de conseils aux djihadistes britanniques qui voudraient organiser des attentats. Un de conseils principaux est de se fondre le mieux possible dans la masse en se rasant la barbe et en portant une croix chrétienne.

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