Les talibans qui recrutent des esclaves sexuelles violent même des cadavres

Les femmes et les filles seraient parmi les personnes les plus à risque sous le nouveau régime des talibans

Les chefs de guerre taliban considèrent les femmes et les filles célibataires ou veuves âgées de 12 à 45 ans comme des « ghanimat », un butin de guerre à répartir entre leurs combattants.

Ils prennent des filles aussi jeunes que 12 ans pour en faire des esclaves sexuelles après avoir conquis l'Afghanistan.

Des rapports effrayants sont apparus depuis que les combattants ont pris d'assaut le pays et se sont emparés de Kaboul à une vitesse qui a stupéfié l'Occident.

Des Afghans affluant à Kaboul  ont raconté comment les commandants ont exigé qu'ils livrent des femmes et des filles pour qu'elles deviennent leurs « épouses » et soient violées.

Ils ont également raconté comment des civils et des soldats capturés ont été assassinés par les talibans, a rapporté le  Wall Street Journal .

Les responsables talibans ont nié que le groupe applique l'esclavage sexuel, et affirment que de tels actes sont contraires aux règles de l'Islam.

Cependant, de telles pratiques étaient endémiques la dernière fois que les talibans ont gouverné l'Afghanistan (entre 1996 et 2001).

Et le mois dernier, il a été révélé que des responsables talibans avaient publié un décret ordonnant aux responsables locaux de dresser des listes de jeunes filles et de veuves de moins de 45 ans.

Source : https://www.the-sun.com/news/3526312/woman-taliban-rape-sex-dead-bodies/

Traduction libre Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

Italie, interviews d’immigrés musulmans: Les femmes musulmanes occidentalisées « doivent mourir – par lapidation, ou avec un couteau » (vidéos)

Vidéo 3:16 en italien, sous-titres en anglais

Un journaliste a interrogé des musulmans vivant en Italie. Les réponses sont inquiétantes.

Pourquoi l’Italie accueille-t-elle des migrants musulmans, qui approuvent l’assassinat de jeunes filles, les relations sexuelles avec des enfants et les mariages forcés même pour des fillettes de six ans?

Une musulmane pakistanaise de 18 ans, Saman Abbas, vivant en Italie, a été assassinée par ses parents, son oncle et deux cousins parce qu’elle refusait un mariage forcé avec son cousin au Pakistan. (Article en français ici.) La famille de Saman l’a tuée non seulement parce qu’elle avait contesté l’autorité masculine qui est de règle dans l’islam, mais aussi parce qu’elle s’était trop occidentalisée.

La chaîne d’information italienne LA7 a interrogé des membres de la communauté musulmane à Rome pour savoir ce qu’ils pensaient de la jeune Pakistanaise tuée par sa famille. Le reporter a demandé à de nombreux hommes musulmans comment ils agiraient si une membre de leur famille n’obéissait pas à leurs ordres ou était «occidentalisée». Un musulman a répondu qu’il fallait les tuer, par lapidation ou égorgement. Les hommes justifiaient ces condamnations à mort en invoquant le Coran.

Que se passerait-il si une femme refusait de porter le voile et décidait de s’habiller comme une personne normale? demande le journaliste Daniele Bonistalli. «Je prends un couteau et je le mets ici (en montrant son cou) parce qu’elle doit mourir. Je la tuerais; tu dois prendre un couteau et faire comme ça. Elle doit mourir.» La loi islamique (charia) exige que les femmes se couvrent.

Un autre musulman interrogé dans la vidéo dit que les familles musulmanes choisissent le mariage pour leurs enfants dans 80% des cas, seuls 20% des jeunes choisissent eux-mêmes. «C’est la tradition de notre culture. C’est l’homme qui décide! La femme ne peut pas dire qu’elle ne veut pas épouser quelqu’un.» Les hommes sont responsables des femmes, selon les paroles de Mahomet et du Coran.

Mariages avec des enfants

Dans de nombreux mariages forcés arrangés par les familles, les jeunes filles sont obligées d’épouser des hommes musulmans beaucoup plus âgés. Deux des musulmans interrogés ont dit qu’ils étaient dans la vingtaine quand ils ont épousé leurs fiancées de 13 et 15 ans.

Mahomet lui-mêmea donné l’exemple en épousant Aïcha quand elle avait six ans et consommant le mariage quand elle en avait neuf. Comme l’écrit The Religion of Peace, la légitimité de «marier» des filles prépubères qui n’ont pas encore eu leurs règles s ‘appuie à la fois sur le Coran et sur «l’exemple parfait» donné par Mahomet à ses disciples. Mahomet a également encouragé ses disciples à épouser des «jeunes filles» pour le plaisir sexuel. […]

Un musulman a expliqué au journaliste que souvent, dans les villages italiens où vivent des familles de migrants musulmans, les femmes ne peuvent pas refuser les mariages forcés: «Si la fille dit ‘non’, on la menace. Ensuite, il arrive que beaucoup meurent, parce qu’elles disent qu’elles aiment une autre personne, puis elles se pendent.».

Un autre musulman a expliqué à l’intervieweur que les maris musulmans doivent avoir la domination et le contrôle sur leurs femmes:

C’est notre manière. Très différente de la vôtre. La femme doit le respect à son mari. Je fais mon travail. Elle doit faire le ménage. La femme ne peut pas dire non. Si je demande un massage, elle doit dire oui. Si je veux manger, elle doit cuisiner pour moi tout de suite. Elle ne doit pas dire non.

L’islam enseigne qu’une femme vaut moins qu’un homme. Les hommes sont responsables des femmes, selon les paroles de Mahomet et du Coran.

Le Coran enseigne que les hommes sont supérieurs aux femmes et doivent battre celles dont ils «craignent la désobéissance»: «Les hommes ont autorité sur les femmes car Allah a fait les uns supérieurs aux autres, et parce qu’ils dépensent leur richesse pour les entretenir. Les femmes bonnes sont obéissantes. Elles gardent leurs parties invisibles parce qu’Allah les a gardées. Quant à celles dont vous craignez la désobéissance, avertissez-les et envoyez-les dans des lits séparés et battez-les. — Coran 4:34

Le Coran compare une femme à un champ cultivé, pour être utilisé par un homme comme il veut: «Vos femmes sont un champ pour vous, alors allez à votre champ quand vous voulez» - Coran 2:223

Dans une déclaration attribuée à Mahomet (hadith), il dit: «Si un mari appelle sa femme dans son lit [pour avoir des relations sexuelles] et qu’elle refuse et le fait dormir en colère, alors les anges la maudiront jusqu’au matin. — Sahih Boukhari 4.54.460″

Tuer celles qui sont occidentalisées

Enfin, le musulman a répété que les musulmanes ne pouvaient pas refuser d’épouser un homme choisi par leur famille:
«Elle ne peut pas faire ça car c’est une honte. C’est la loi, c’est interdit». De même qu’elle n’a pas la liberté de s’échapper et de revendiquer le droit de vivre comme une européenne:

Ce n’est pas possible. — Que fait la loi? — Je t’explique. Selon la loi du Coran, c’est comme ça. Vous devez la prendre, et elle doit mourir. Elle doit mourir, et pas de quelque chose… mais avec du sang! Dans le sol. Pierres, pierres. —-Lapidée? — Lapidée. Oui, parce qu’elle a fait [ce qui est] interdit(haram).

Le Grand remplacement

Au lieu de condamner la vision que l’islam a des femmes, le gouvernement italien et les médias de gauche s’entêtent à dire que le meurtre de Saman Abbas, et l’approbation de ce meurtre par les hommes musulmans, est un fait isolé. L’Italie ne ménage pas ses efforts pour protéger l’image socialiste et aseptisée de l’islam qu’elle a construite pour le public occidental.

Le prix de cette mascarade, c’est qu’elle continue de mettre les femmes musulmanes et toutes les femmes en grand danger.

Les hommes interrogés dans la vidéo ont appris leur façon de traiter les femmes à partir de leur religion musulmane et de l’exemple de leur Prophète. Il n’y a rien d’inhabituel ni de déviant dans la façon dont ils décrivent et traitent les femmes, du point de vue musulman. Alors, pourquoi l’Italie accueille-t-elle des migrants musulmans, qui approuvent l’assassinat de jeunes filles, les relations sexuelles avec des enfants et les mariages forcés même pour des fillettes de six ans?

Les élites de l’Union européenne utilisent la migration de masse pour remplacer les populations européennes, c’est ce qu’on appelle le Grand Remplacement. 
Jean Renaud Camus, co-fondateur et président du Conseil national de la résistance européenne, est un écrivain français connu pour avoir créé l’expression «Grand remplacement» — en parlant de la colonisation de l’Europe occidentale par des immigrants d’Afrique du Nord et du Moyen Orient.

En 2050, un tiers de la population italienne sera composé d’étrangers, selon un rapport de l’ONU intitulé «Les migrations de remplacement: s’agit-il d’une solution au déclin et au vieillissement des populations?» Le groupe de réflexion italien Fondazione Fare Futuro prévoit qu’en raison des migrations massives et des taux de natalité différents des chrétiens et des musulmans, la moitié de la population italienne pourrait être musulmane d’ici la fin du siècle. En seulement dix ans, le nombre de migrants en Italie a bondi de 419%.

Les migrations ont des impacts démographiques choquants sur les identités nationales et culturelles des pays européens. Comme indiqué précédemment par RAIR, les migrants sont utilisés par la gauche pour diluer les cultures d’accueil, s’assurer plus de voix et s’emparer du pouvoir.

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Traduction de la vidéo

Journaliste: Si ta femme te dit un jour: «Je sors sans voile, et je vais m’habiller comme une fille normale», qu’est-ce que tu fais?

Musulman 1: Je prends un couteau… un couteau - je le mets ici parce qu’elle doit mourir.

Journaliste: Tu la tuerais?

Musulman 1: Bien sûr, tu dois prendre le couteau et faire comme ça. Elle doit mourir!

Journaliste: Il y a une fille qui s’appelle Saman, une Pakistanaise… Il paraît qu’elle a été tuée par sa famille parce qu’elle ne voulait pas épouser un homme qu’ils avaient choisi pour elle.

Musulmanes: Je ne comprends pas… Je n’ai pas entendu.

Journaliste: Vous ne savez pas de quoi je parle?

Musulmane: Non. Ça ne m’intéresse pas!

Journaliste: Mais ce ne sont que des questions, je n’ai pas à…

Musulmane: Rien! Je n’aime pas ça, zéro! Dehors!

Journaliste: Tu es marié?

Musulman 2: Non.

Journaliste: Ta famille a déjà une femme pour toi?

Musulman 2: Ma famille cherche pour moi. Ensuite, je choisis. Je respecte ma famille, compris? C’est comme ça pour nous, pas comme ici.

Journaliste: Ce n’est pas comme ici… il y a 20 ans, oui. Maintenant tout a changé.

Musulman 3:  D’habitude, 80% des familles choisissent. Mais 20% choisissent par eux-mêmes.

Musulman 4: C’est la tradition de notre culture. L’homme décide!

Journaliste: Et si la femme dit: «Je ne veux pas l’épouser?

Musulman 4: Ce n’est pas possible. Maintenant je dois partir. — Je t’en prie, je t’en prie. — Au revoir.

Musulman 5: Dans les petites localités, disons… Ces gens ne sont pas encore éduqués… Elles ne peuvent pas refuser, car on les force à épouser ce garçon. La fille dit non, ils la menacent. Ensuite, il arrive que beaucoup meurent, parce qu’elles disent qu’elles aiment une autre personne, puis elles se pendent.

Journaliste: Quel âge avais-tu quand tu t’es marié?

Musulman 6: 26. — Et ta femme, quel âge avait-elle? — 15.

Journaliste: Et toi?

Musulman 7: Moi… 31. Il y a 10 ans, je…

Journaliste: Ah, tu avais 21 ans, alors, et ta femme?

Musulman 7: 13. C’est notre manière. Très différente la vôtre. La femme doit le respect à son mari. Je fais mon travail. Elle doit faire le ménage. La femme ne peut pas dire non. Fais-moi un massage? Oui. Je dois manger? Elle doit cuisiner pour moi tout de suite. Elle ne doit pas dire non.

Journaliste: Si une femme dit: «Non, je ne veux pas épouser celui-là»?

Musulman 7: Elle ne peut pas. Parce que c’est une honte. C’est la loi. C’est une honte. Parce que c’est haram (interdit).

Journaliste: Si une femme veut s’échapper et dit: «Non, je veux vivre comme une Européenne», est-ce qu’il arrive que la famille…

Musulman 7: — Ce n’est pas possible. — Que fait la loi? — Je t’explique. Selon la loi du Coran, c’est comme ça. Vous devez la prendre et elle doit mourir. Elle doit mourir, et pas de quelque chose… Avec du sang! Dans le sol. Pierres, pierres. — Lapidée? — Lapidée. Oui, parce qu’elle a fait [ce qui est] haram (interdit).

Source: https://rairfoundation.com/islamic-migrants-westernized-muslim-women-must-die-stone-them-use-a-knife-video/

Traduction Albert Coroz pour LesObservateurs.ch

Qatar : Des examens gynécologiques forcés après l’abandon d’un bébé

Ces femmes, dont le nombre n’a pas été précisé, ont été débarquées de plusieurs avions et conduites dans des ambulances où elles ont subi des examens pour savoir si elles avaient accouché récemment.

Le Qatar pratique la loi islamique qui punit sévèrement les femmes qui tombent enceintes hors mariage.

«(Les fonctionnaires) forçaient les femmes à subir des examens corporels, essentiellement des tests forcés de Papanicolaou (des frottis, ndlr)», a déclaré dimanche à l’AFP une source à Doha qui a été informée d’une enquête interne sur l’incident.

Des Australiennes et semble-t-il une Française ont été l’objet de ces examens forcés.

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20min.ch

Nigéria : un musicien condamné à mort pour blasphème envers Mahomet

Un tribunal appliquant la charia – la loi islamique en vigueur dans de nombreux États à majorité musulmane du nord du Nigeria – a condamné Yahaya Aminu Sharif à la pendaison pour avoir insulté le Prophète dans l’une de ses chansons, a déclaré à l’AFP Baba-Jibo Ibrahim, le porte-parole des autorités judiciaires locales.

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Ville agitée

La ville de Kano avait été agitée par des manifestations après la diffusion sur les réseaux sociaux de la chanson à l’origine de cette condamnation. Les manifestants avaient mis le feu à la maison familiale d’Ibrahim Said Sharif et ils avaient défilé dans les rues de la ville pour réclamer son arrestation.

[...]

20min.ch / Magazine24.news

Charia, apartheid, esclavagisme, gestion raciste et ethniciste de l’Etat. La situation ne cesse d’empirer en République Islamique de Mauritanie.

Biram Dah Abeid milite pour l’abolition de l’esclavage en Mauritanie. D’après lui, dans ce pays africain, « des hommes, des femmes peuvent être vendus, gagés, cédés, loués, ils travaillent sans repos, sans salaire, sont violés ».

Lorsque Biram Dah Abeid a débarqué, en février dernier, dans la petite salle dédiée aux interviews lors du Sommet de Genève pour les droits de l’homme, le militant abolitionniste mauritanien nous apparaît fébrile et fatigué. Après quelques minutes d’entretien, son engagement et sa détermination vont, pourtant, prendre le pas sur sa forme physique. Le président du mouvement IRA (Initiative de Résurgence du Mouvement Abolitionniste) n’est pas du genre à lâcher le morceau. Pour son père, affranchi, le parlementaire se bat depuis des années afin que cesse l’esclavage dans la république islamique du Nord-Ouest de l’Afrique. (…)

La situation a-t-elle changé en Mauritanie depuis l’élection du président Mohamed Ould el-Ghazouani en juin 2019 ?

Non, elle a empiré, notamment concernant la question de l’esclavage. Depuis l’avènement du président, les juges éconduisent systématiquement les victimes. Ils les remettent à leurs maîtres, dans l’enfer qu’elles ont fui. Je prends l’exemple de Ghaya Maiga, une fille âgée de 14 ans. Le juge d’instruction a purement et simplement remis la fillette à ses bourreaux. Ils ont utilisé son exemple pour menacer les autres esclaves avec un mot d’ordre : si vous fuyez vers l’IRA ou la justice, vous subirez le même sort. La discrimination raciale a également empiré. Avant, l’Etat prenait le soin de « colorer » les différents corps de l’Etat en recrutant 1%, 2% ou 3% de ses membres parmi les communautés noires. Sous Ould el-Ghazouani, les recrutements dans les différents corps de l’Etat sont systématiquement monocolores. (…)

Lalibre.be

Via Fdesouche

Duisbourg (All.) : De grandes familles arabes menacent la police de mort « Allahu Akbar, tue tous les infidèles. »

Une fois de plus, la police de Duisburg-Marxloh intensifie ses actions contre les clans.

Les grandes familles arabes ripostent et envoient des courriels de menace. Un rapport interne de la police donne un aperçu de ce monde parallèle.

[...]

Selon les rapports de police, environ 2700 membres de familles nombreuses d'origine arabe vivent à Duisburg, dont environ 600 ont commis des crimes, certains à plusieurs reprises, au cours des dernières années. Les clans sont concentrés dans quelques districts, notamment à Marxloh.

Le 22 mai, le quartier général de la police de Duisburg reçoit un e-mail avec une menace d'attaque et un avertissement de se retirer de Marxloh.

"Sujet : Allahu Akbar. Duisburg-Marxloh nous appartient. (...) Nous interdisons à tous les non-croyants d'entrer dans notre district. Tous les policiers, journalistes et autres infidèles seront expulsés ou tués par la force des armes. Seule la charia radicale s'applique chez nous", déclare la lettre.

"Nous avons obtenu de la Turquie et de la Russie 2000 fusils d'assaut AK-47 avec suffisamment de munitions. Allahu Akbar, tue tous les infidèles." Les enquêteurs découvrent que l'adresse électronique de l'expéditeur appartient à une plateforme qui dissimule les adresses électroniques et les identités. Les autorités chargées de l'enquête prennent apparemment les menaces au sérieux. Le dossier de la police indique que le ministère public y voit un premier indice de trouble à l'ordre public par la menace de commettre des infractions pénales.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Rp-online.de

 

 

Pakistan : Les femmes qui défilaient pour la Journée de la femme ont été attaquées par des militants de la Charia

Les pakistanaises ont défilé à l'occasion de la Journée internationale de la femme, avant de se faire attaquer par des opposants qui prônent l'application de la charia.

Parallèlement, une autre marche rassemblait des femmes voilées proclamant leur «liberté de vivre selon la charia».

[...]

De l'autre côté de la barrière, Ismat Khan, 33 ans, les accuse d'être «naïves» et exploitées par «le lobby juif». «Nous sommes libres de mener nos vies selon la charia», ajoute-t-elle.

[...]

20min.ch

Bangladesh : les chefs religieux musulmans s’opposent violemment aux dons de lait maternel

Un hôpital du Bangladesh a suspendu son projet de dons de lait maternel destiné à des nourrissons. Cela à la suite d'une réaction violente de responsables religieux musulmans qui ont estimé que cette pratique constituait une violation de la loi islamique.

Ce programme devait permettre de nourrir jusqu'à 500 orphelins et nouveaux-nés dont les mères travaillent dans ce pays en grande majorité musulmane qui enregistre l'un des taux les plus élevés au monde de malnutrition infantile et de retard de croissance.

[...]

20Min.ch

Selon des études, entre 25 et 27% des musulmans en France « placent la charia au-dessus des lois »

D’après la dernière enquête IFOP, un quart de la population #musulmane en France adhère à la charia et pense que cela doit passer avant les lois de la République.

 

 

 


Des responsables politiques ont relayé ces derniers jours plusieurs affirmations sur les musulmans de France, et notamment que « plus de 50% » d’entre eux placeraient la charia « au-dessus des lois », en citant un sondage de la Fondation Jean Jaurès. Mais ce ne sont pas les chiffres avancés par cette étude.

(…) À l’affirmation : « En France, la loi islamique, la charia, devrait s’imposer par rapport aux lois de la République« , ce sont 27% des sondés qui répondent être « tout à fait d’accord » ou « plutôt d’accord« . Un proportion très éloignée des « plus de 50%«  mentionnés par Valérie Boyer.

 

 

Via Fdesouche

Grande-Bretagne : Pour la première fois, un tribunal britannique reconnaît la charia dans un cas de divorce

La charia a été reconnue par un tribunal britannique pour la première fois après qu’un juge ait rendu une décision de divorce historique qui pourrait changer la façon dont le mariage et le divorce islamiques fonctionnent au Royaume-Uni.

La Haute Cour a statué que le mariage de foi islamique d’un couple séparé, effectué lors d’une cérémonie appelée nikah, relève du droit matrimonial britannique bien qu’il ne soit pas légalement reconnu comme tel.

Cela signifie que Nasreen Akhtar sera libre de porter son cas devant la cour de divorce et de réclamer sa part des biens de son mariage là où elle n’aurait pas pu auparavant.

Dans ce cas très médiatisé, Mme Akhtar et son mari d’affaires, Mohammed Shabaz Khan, étaient réputés avoir un mariage valide.

Le juge a déclaré que le mariage devait être reconnu parce que le couple, qui avait prononcé ses vœux en 1998, vivait en tant qu’homme et femme, se présentait comme tel et avait des attentes similaires à celles d’un contrat de mariage britannique.

L’affaire aura des implications significatives pour les femmes qui se marient en vertu de la charia mais pas de la loi britannique et pourrait leur donner le droit de divorcer de leurs maris et de diviser les actifs liés au mariage, ainsi que d’obtenir un divorce plus facilement

 

Le Conseil National affirme que la Charia n’est pas incompatible avec l’ordre public suisse

Par 122 voix contre 66, le Conseil national n'a pas donné suite lundi à une initiative parlementaire demandant que la charia soit incompatible avec l'ordre public suisse en cas de collision de normes.

Aucun droit ni ordre juridique étranger n'est, en soi, globalement contraire à l'ordre public suisse, a souligné Lisa Mazzone (Verts/GE), au nom de la commission. De plus, la charia n'est pas un ordre juridique.

(...)

Source et article complet

 

Indonésie: Amoureux et prostituées flagellés en public conformément à la Charia

Huit personnes ont été reconnues coupables d'avoir enfreint les règles de la charia. Ils ont reçu des coups de bâton.

Plus d'un millier de personnes, parmi lesquelles des dizaines de touristes de Malaisie, pays voisin, s'étaient regroupées à l'extérieur d'une mosquée de la capitale Banda Aceh, où les condamnés étaient hués au moment où ils recevaient des coups de bâton de rotin dans le dos.

(...)

France 2 fait l’apologie des commerces respectant la Charia

France 2 – 13h – 21/02/18

A noter le propos du journaliste: "En tout cas en 3 ans, pas de vols ni de vandalismes, le magasin Les Hälles des trois frères semble avoir trouvé sa place dans le paysage du quartier."

Peut-être aussi parce que le vandalisme est causé par la même communauté et qu'ils n'attaquent pas les leurs???

 

 

Nos remerciements à Victoria Valentini

« Au besoin, les réponses des demandeurs d’asile sont corrigées » dénonce un traducteur agrée auprès de l’office fédéral de migration autrichien

Arrivé comme étudiant, cet Iranien aujourd’hui âgé de 52 ans est installé et intégré en Autriche depuis 30 ans. Aujourd’hui, il est traducteur, notamment pour l’office fédéral de migration. Dans une interview accordée à la Kronen Zeitung (plus connue sous le nom de Krone qui est surtout le plus important quotidien d’information autrichien en nombre de tirage), il parle de façon très lucide mais aussi très critique des guerriers d’Allah qui sautent aux yeux dès leur arrivée, d’un professeur de charia et des attitudes envers les femmes. 95% des Afghans qui arrivent en Autriche ont transité plusieurs années par l’Iran.

Parmi ceux-là, des djihadistes qu’on reconnait immédiatement à leur apparence. Pendant que des hommes seuls obtiennent immédiatement leur visa d’entrée et de séjour, des femmes vulnérables et seules sont refoulées, comme récemment la mère de deux enfants. Il y a un certain temps en Styrie (land autrichien dont la capitale est Graz), un professeur de charia fut accueilli à bras grands ouverts. Financièrement, le travail de traducteur est attrayant : l’Iranien montre une note d’honoraire de 200 Euros par mandat : « beaucoup de collègues reçoivent 2 à 3 contrats par jour, bien qu’ils parlent à peine allemand et qu’au besoin, ils modifient les réponses du migrant ». Un couple a même reçu une réponse positive en indiquant un lieu de naissance qui très vraisemblablement n’existe même pas. Ce qui dérange encore notre traducteur austro-iranien : « les hommes qui arrivent considèrent les femmes autrichiennes comme inférieures et leurs propres femmes comme des poules pondeuses tiroir caisse qui rapportent de l’argent ». Le Ministère de l’intérieur autrichien a réagi à l’article avec des réponses très formelles et du coup, peu convaincantes.

(…) Krone.at via Fdesouche.com

L’ouragan « Charia planétaire »

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Michel Garroté  --  Tempêtes (Texas), séismes (Mexique), ouragans (Irma aux Caraïbes et en Floride, etc.), tremblements de terre (Japon), la nature se déchaîne et fait la 'Une' des médias (cela dit le nombre de morts reste étonnement faible pour le moment). Les catastrophistes et les messies temporels annoncent la Fin des Temps, l'Apocalypse et appellent à faire un don ; les climatistes mettent tout sur le dos du changement (climatique évidemment) ; les bobos pleurent la mort de Pierre Bergé ; Vincent Placé a perdu sa breloque à 7'000 euros dans des circonstances obscures. Purée, c'est vrai ça en fait des désastres, petits et grands, en si peu de temps. Cela dit, tous ces événements, abondamment repris dans la presse, ne doivent pas occulter le plus grand des ouragans, celui de la "Charia planétaire".
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A ce propos, Ivan Rioufol, dans "A ceux qui ont empoisonné la France", écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Un venin coule, depuis plus de trente ans, dans les veines de la France maltraitée. Ses gestes s’alourdissent, sa vue se brouille, sa raison vacille. Mais des faux gentils persistent à lui injecter d’amères humeurs sur son passé, ses pensées, ses arrière-pensées. Ces belles âmes perverses veulent la Nation à genoux, afin qu’elles se voient grandes. Les effets dans l’Éducation nationale sont effrayants : ici et là, la république humiliée s’efface. Le livre d’un ancien principal de collèges marseillais " difficiles", Bernard Ravet, décrit l’emprise de la charia au cœur de l’école publique. Le témoin relate la mixité sociale absente, la contestation de la théorie de l’évolution, le sexisme, la généralisation du ramadan, l’antisémitisme, le prosélytisme, etc.
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Les médias s’offusquent. Mais le scandale est ailleurs, dans l’incapacité de l’État zombie à réagir à une radicalisation décrite depuis les années 2000. Le danger est moins l’islam que tous les salauds vertueux qui continuent à empoisonner la France. Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Éducation nationale, redonne espoir quand il tourne le dos aux Diafoirus du pédagogisme. Mais il demeure désespérant quand il divise les classes de CP en deux, sans rien tenter pour expulser d’abord la religion de l’École laïque. "J’ai demandé un bilan national sur le sujet", a-t-il expliqué, lundi au Figaro, en réponse aux "révélations" du proviseur.
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Cet aveu dit l’indolence de la république, abrutie de repentances. Qui a pris au sérieux les premières alertes, lancées dès les années 1990, notamment pas votre serviteur  ? Le rapport Obin et Les Territoires perdus de la République ont été, début 2000, deux ouvrages majeurs qui décrivaient le multiculturalisme et ses dérives racialistes. Constat de l’enseignante Barbara Lefebvre (« FigaroVox ») : "À l’école de la République depuis trois décennies au moins on a su très bien s’y prendre pour déraciner les savoirs et la culture, pas la haine". La France ne retrouvera sa fierté et le goût de la reconquête que si elle cesse de suivre la palanquée d’esprits chagrins, de traîtres sentencieux, de lâches soumis à la brutalité islamique, conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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De son côté, Lafautearousseau, dans "La question du régime se pose toujours en France", donne un éclairage royal qui décoiffe (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Nous savons bien que, selon le constat lucide de Jacques Bainville, si souvent cité, « tout a toujours très mal marché ». Ce réalisme pessimiste devrait d’ailleurs épargner aux maurrassiens le reproche rebattu d'avoir idéalisé notre passé monarchique, fût-il, au regard de l'Histoire, plus réussi et de très loin que ce qui a suivi jusqu'à nous. Plus profondément, les lecteurs de Gustave Thibon savent aussi que le Politique est ce « gros animal » dont a parlé Simone Weil, où le bon et le mauvais se mêlent inéluctablement, où une forme même approchée de perfection est inatteignable, où subsistera toujours un lot non éliminable de turpitudes, de violences, de médiocrités et d'injustices.
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On ne conforme pas une société à l'idéal comme ont pu être ciselés jusqu'à la quasi perfection une fable de La Fontaine, une tragédie de Racine, une sculpture de Puget, un poème de Verlaine, ou même une commode de Boulle. Telle est, en ce sens, la supériorité des arts sur le politique. Seul, peut-être, par leur conjonction heureuse, le siècle de Louis XIV a pu s'approcher d'une forme de perfection d'ensemble, encore que le Grand Roi se soit reproché sur son lit de mort d'avoir trop aimé la guerre et, pour la faire, d'avoir demandé des efforts excessifs à ses sujets. Ils en auront eu, pourtant, les bénéfices sous les règnes suivants d'où la guerre fut presque absente et où ils s'enrichirent. Encore ce XVIIIe heureux se termina-t-il par la Révolution et son cortège d'horreurs. Pas encore achevées, d'ailleurs.
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Ces réserves ayant été faites, il y a tout de même des degrés dans l'imperfection. Vu sous cet angle, à l'orée du quinquennat d'Emmanuel Macron, l'état présent de notre pays nous semble avoir atteint un degré d’échec, sinon maximum, du moins très élevé, avec ses 2'200 milliards de dette, ses 9 à 10 millions de pauvres, ses 6 millions de sans travail, ses 10 millions  d’habitants issus d'une immigration en majorité musulmane, difficilement intégrable et pour partie agressive.
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A quoi s’ajoutent la menace  terroriste pesant sur toutes les têtes, des engagements extérieurs où s'enlisent nos militaires, une économie en déclin, une industrie dont des pans entiers ont été sacrifiés au dogme libre-échangiste et qu’il ne sera pas aisé de reconstruire, une agriculture réduite à presque rien et, en tout cas, à la misère, une société plus que jamais fractionnée entre riches et pauvres et ce, parfois, dans des proportions honteuses ; sans compter notre déchéance culturelle et morale, la pire, sans doute, de ces plaies.
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C'est sans nul doute à raison d'un tel inventaire, même s'il devrait être approfondi et nuancé, que, curieusement, après cent cinquante ans à peu près ininterrompus de pratique républicaine, de la IIIe à la Ve république, la question du régime se pose toujours en France et qu'un recours à la solution monarchique y est périodiquement remis sur la table. Aujourd'hui, c’est un paradoxe que d'avoir pour président de la République un homme qui, lorsqu'il était ministre de l'Économie sous la présidence de François Hollande, expliqua à des journalistes l'incomplétude de la démocratie et qui leur précisa que le problème de la France est qu'il lui manque un roi.
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Nous voulons bien le croire, nous qui nous sommes parfois demandé s'il était encore légitime, soutenable, près de deux siècles et demi après la Révolution, de continuer à vouloir que notre royalisme aboutisse. Notre conclusion toujours renouvelée est que, dans la situation où elle se trouve et face aux crises qu’elle ne peut manquer de rencontrer, cette possibilité, ce recours, doivent être préservés pour la France. C’est ce que pensèrent en leur temps, en faisant omission de notre actuel président de la République, deux de ses prédécesseurs : Charles De Gaulle et François Mitterrand, conclut Lafautearousseau (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour Les Observateurs, 9.9 2017
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/09/bloc-notes-a-ceux-qui-ont-empo.html
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http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/09/06/pourquoi-y-a-t-il-toujours-des-royalistes.html
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Autriche. Sondage sur les musulmans: Un quart des sondés est favorable à la charia.

Quel est l'avis des musulmans vivant en Autriche sur la société, la politique, la famille et l'antisémitisme? Peter Filzmaier et Flooh Perlot de la Danube University Krems ont exploré cette question. 1129 réfugiés, immigrés et individus nés en Autriche de religion musulmane ont été interrogés.

L'étude de Krems montre, entre autres, que plus de la moitié des réfugiés et plus de 40%  des individus d'origine turque interrogés "ont beaucoup ou passablement de compréhension lorsque les hommes ne serrent pas la main aux femmes".

Des musulmans issus de l'immigration turque et bosniaque, des réfugiés musulmans de Syrie, d'Afghanistan, d'Irak, d'Iran, de Somalie et de Tchétchénie ont été interrogés. On note de grandes différences dans les différents groupes musulmans - ci-dessous les résultats en détail.

Foi personnelle

L'étude montre que les différents groupes musulmans se distinguent en partie par leur attitude et leur religiosité, a souligné Peter Filzmaier, l'auteur de l'étude: « Tout d'abord, parmi tous les sondés, ceux de Somalie se décrivent comme très religieux. C'est aussi le cas avec les gens de Tchétchénie. (...) ».

 

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L'islam dans la société

Sept réfugiés sur dix veulent que l'islam ait un rôle (très ou assez) important dans leur propre famille. Un quart des réfugiés sondés sont très favorables à ce que l'islam ait un rôle important à jouer dans la société. 20 autres pour cent sont assez favorables à cela.

Près des deux tiers des réfugiés et environ la moitié des personnes interrogées d'origine turque préconisent que les règles religieuses devraient être (très ou passablement) appliquées dans chaque cas de la vie de tous les jours.

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Un quart des personnes interrogées veulent que la charia soit prise en considération

Plus des trois-quarts des sondés d'origine bosniaque, et deux tiers des individus d'origine turque, et plus de la moitié des réfugiés pensent que les lois et les règlements autrichiens sont adéquats pour les musulmans pieux. Parallèlement, un quart des réfugiés estiment que la loi islamique devrait être prise en considération. En particulier, les sondés de Tchétchénie et d'Afghanistan sont plus susceptibles d'y être favorables.

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La religion et le choix du partenaire

Pour près des deux tiers des réfugiés, il est (très ou assez) important que leur compagnon ou leur compagne ait également la foi musulmane. Cela est particulièrement vrai pour les Somaliens et les Tchétchènes. En outre, plus de la moitié des sondés d'origine turque sont d'accord avec cela.

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(...)

 

Un Somalien sur trois est prêt à mourir pour la foi musulmane

Les Somaliens se montrent très radicaux lors du sondage: un Somalien sur trois croit qu'il faut être prêt à mourir pour la défense de sa foi. Dans l'ensemble, la déclaration que l'on doit être prêt à mourir pour la foi est en grande partie rejetée par tous les sondés (58 % « en aucun cas »).

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Trois-quarts des sondés veulent que les blagues sur l'Islam soient interdites 

Près de 60 pour cent des réfugiés et des personnes interrogées d'origine turque trouvent qu'il devrait être interdit de se moquer de l'islam en public. Environ 20 autres pour cent sont assez d'accord avec cette affirmation.

 

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Les Juifs perçus comme un ennemi par les réfugiés

Près de la moitié de ceux qui se considèrent comme très religieux est d'accord avec l'affirmation selon laquelle Israël est l'ennemi de tous les musulmans. Ceci est particulièrement élevé chez les Somaliens et les Syriens.

Dans l'ensemble, un bon tiers des réfugiés et des personnes d'origine turque sont d'accord avec cette affirmation. La majorité de ce groupe le refuse simultanément.

(...)

A ce sujet, le Ministre de l'Intégration Sebastian Kurz a déclaré jeudi à krone.at: « Je me vois confirmé dans mon attitude. Avant tout, nous devons nous baser sur trois points:

  • réduire massivement l'immigration, en particulier des personnes peu instruites d'autres cultures;
  • une réforme des systèmes sociaux afin que les gens ne restent pas au bénéfice du revenu minimum, de sorte qu'ils ne soient pas en marge de la société, encourageant ainsi les sociétés parallèles;
  • rigoureuse transmission des valeurs et de la langue dans le système d'éducation plutôt que des structures parallèles tels que des jardins d'enfants islamiques»

Source Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

L’islam est omniprésent et il ne s’intègre pas

   
Michel Garroté  --  Derrière la lutte contre la soi-disant "islamophobie" se cachent l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) et ses 57 pays membres. De plus, l'islam est omniprésent chez nous et il ne s'intègre pas à notre société libre et laïque de culture judéo-chrétienne. Enfin, la "radicalisation" a un fondement idéologique : la charia. Le terrorisme a une théorie : le djihad. Ce sont en réalité deux éléments d’un seul et même système politico-religieux nommé "islam".
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L’Organisation de la Coopération Islamique :
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A ce propos, sur causeur.fr, André Versaille écrit (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Si l’islamophobie n’est pas un racisme, quel est donc le sens de la lutte menée contre l’islamophobie ? Cette lutte n’est pas une opération défensive entreprise par une population minoritaire en danger, mais une stratégie offensive et internationale conduite par des États islamistes pour interdire mondialement toute critique à l’endroit de la religion musulmane et sacraliser celle-ci sur la terre entière. L’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), qui compte 57 pays membres, se mobilise en faveur de la pénalisation de toute forme de « diffamation religieuse » de par le monde.
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André Versaille : L’OCI juge que l’attaque des croyances sacrées et la diffamation des religions, des symboles religieux, des personnalités et des dogmes contrarie la jouissance des Droits de l’homme des fidèles de ces religions et elle réclame que l’on introduise, dans le « traité contre le racisme », l’interdiction de toute « insulte à ce qui est tenu pour sacré par la religion ». Il s’agit donc de sanctuariser l’islam et non de protéger les musulmans qui le sont déjà puisque le droit international condamne toute discrimination fondée sur la religion, conclut André Versaille (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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L'islam omniprésent ne s'intègre pas :
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De son côté, Dom Louis-Marie, père abbé du monastère du Barroux, a tout récemment déclaré dans 'La Nef' (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : L'islam est omniprésent, et, dans l'ensemble, pas du tout intégré, non intégrable pour des raisons de fond. Le Coran n'invite pas à la réflexion mais plutôt à la soumission. C'est un tissu d'affirmations catégoriques et non une histoire comme dans la Bible, qui exige une interprétation.
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Dom Louis-Marie : L'islam ne connaît ni la distinction entre le spirituel et le temporel, ni la juste liberté religieuse. L'islam progresse sur le fond d'une dialectique de fait entre d'un côté, les tenants du terrorisme, et, de l'autre, les tenants d'un islam irénique, tenants qui investissent le sport, la mode, l'alimentation et la finance.
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Dom Louis-Marie : Je vous avoue que j'ai été effrayé, lors d'un passage à Paris, de voir de nombreux jeunes arborant le tee-shirt d'un club de foot aux armes des émirats. Je me suis dit que ces jeunes étaient prêts pour la mosquée. Le véritable danger actuel est l'ignorance, le relativisme et la paresse intellectuelle d'un grand nombre de responsables politiques et religieux, a tout récemment ajouté Dom Louis-Marie, père abbé du monastère du Barroux (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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L'islam est un système politico-religieux :
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De son côté, Gérard Couvert a tout récemment écrit sur bvoltaire.fr (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : L’attentat de Manchester a apporté son lot habituel de compassions médiatiques et convenues. En France, les nouveaux cooptés du système y ont révélé leur bassesse d’âme et le peu d’envergure de leurs pensées, qu’elles soient politiques ou humaines. Rien de nouveau, ils font le dos rond, utilisent les mêmes psalmodies, lancent leurs demi-soldes en contre-feu.
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Gérard Couvert : Que pourrions-nous, d’ailleurs, attendre de la part des incendiaires ? La "radicalisation", pour utiliser le nouveau dérivatif à la mode, a un fondement idéologique : la charia. Le terrorisme a une théorie : le djihad. Ce sont deux éléments d’un système politico-religieux nommé "islam", conclut Gérard Couvert (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour Les Observateurs
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http://www.causeur.fr/lutte-islamophobie-islamisme-droit-homme-44646.html
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http://www.lanef.net/t_article/rien-de-resiste-a-l-appel-de-dieu-dom-louis-marie-26352.asp?page=0
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http://www.bvoltaire.fr/lislam-reste-impropre-a-dialectique/
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Un nouveau pas vers l’imposition de la charia au Canada

Cenator : La loi islamique interdit aux musulmans de changer de religion ou de devenir athées, et elle interdit même la critique de l’islam, du Coran et de Mahomet. Forcément : si les musulmans avaient le droit de critiquer et de quitter l’islam, ils ouvriraient les yeux et abandonneraient massivement cette religion. Le comble, c’est que l’on veuille imposer la loi islamique aux non-musulmans. Cela se fait d’ailleurs déjà dans certains pays à majorité musulmane, où les « infidèles » n’ont pas un poids démographique suffisant pour s’y opposer. Mais même dans le reste du monde, les islamistes visent à l’introduction de la charia, bien sûr pas directement, mais bribe par bribe pour déjouer les résistances. On pense bien sûr à la revendication de la « liberté » de porter le voile, qui ressemble fort à la liberté des fondamentalistes d’imposer le voile à leur femme, leurs filles, leur mère, leurs voisines etc. Une autre composante, essentielle, de cette chariatisation rampante, c’est l’interdiction de la critique de l’islam. Les leaders musulmans ne cessent de faire pression pour que toute critique de l’islam soit interdite, en l’assimilant sournoisement à de l’« islamophobie ». Un grand pas a été franchi dès 2009 avec une résolution des Nations Unies condamnant le « dénigrement des religions », tant il est facile d’assimiler toute critique à un dénigrement ou à une « représentation stéréotypée négative ». Dans le cas du Canada, c’est déjà en 2014 que la Commission des droits de la personne proposait de limiter en ce sens la liberté d’expression. Il y a trois mois, « le parlement canadien a unanimement voté une motion anti-islamophobie, à la suite d’une pétition présentée par Samer Majzoub, président du Forum Canadien Musulman », comme l’explique l’article ci-dessous. Bien entendu, tout ce qui est possible au Canada sera possible aussi ailleurs si nous n’y prenons pas garde.

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« Maintenant que l’islamophobie a été condamnée, ce n’est pas la fin mais plutôt le commencement. » — Samer Majzoub, président du Forum Canadien Musulman. Majzoub est affilié aux Frères musulmans.

Que condamnent-ils exactement ? La critique de l’islam ? La critique des musulmans ? Discuter de Mahomet ? Représenter Mahomet ? Débattre pour savoir si l’État Islamique est une véritable manifestation de l’islam ? Est-ce que tout Canadien qui écrit désormais de façon critique à propos de l’islam ou n’est pas d’accord avec ceux qui affirment que l’État Islamique « ne reflète en aucune manière les valeurs ou les enseignements de la religion de l’islam » doit être considéré comme « islamophobe » ?

Naturellement, la question est de savoir si cette motion canadienne sera reprise par d’autres parlements en Occident. L’Organisation de la coopération Islamique (OCI) est particulièrement active en Europe car elle a ouvert une Mission permanente d’observation auprès de l’Union européenne en 2013.

Dans quel univers parallèle les efforts faits par l’OCI pour étouffer la liberté d’expression peuvent-ils être considérés comme une avancée pour la liberté d’expression et de culte ?

Tandis que l’OCI intensifie sa campagne médiatique et ses efforts en Europe, les parlements européens vont sans doute être confrontés à des initiatives comme cette motion adoptée par le Canada. Il semble que l’Union européenne, pour commencer, serait trop contente de faciliter l’adoption d’une telle motion.

[…]

Suite : europe-israel.org