Couple kosovar à Zurich : Il la viole et la trompe, elle tente de l’empoisonner. Ils auraient aussi volé 33’000 francs à l’aide sociale.

Le Kosovar est accusé d’avoir violé sa femme de 53 ans à trois reprises entre décembre 2017 et avril 2018. Les faits se seraient déroulés dans leur appartement commun situé à Zurich. Il l’aurait forcée à reproduire des scènes qu’il avait vues dans des films pornos.

Le deuxième acte d’accusation concerne son épouse. Également active dans le domaine des soins, elle est accusée de tentative de meurtre.

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Pour couronner le tout, la justice zurichoise reproche au couple d’avoir abusé de l’aide sociale. Il aurait ainsi perçu indûment près de 33’000 francs.

20min.ch

 

 

Tribune. En pleine crise sanitaire, l’Europe offre 3 milliards à des pays non-membres de l’UE : Kosovo, Albanie, Macédoine du Nord…

Un sommet virtuel est organisé aujourd’hui : les dirigeants de l’Union européenne vont s’entretenir avec les représentants des six pays des Balkans occidentaux non-membres de l’Union. En dépit des conséquences de la crise du Coronavirus et l’expression d’un retour des Nations, dogmatiques, ils poursuivent, leur folle volonté d’élargissement et persistent dans cette politique scandaleuse et injuste d’aide préférentielle à des pays non-européens. Ces pays des Balkans, Albanie, Macédoine du Nord, Bosnie-Herzegovine, Monténégro, Kosovo et Serbie non-membres de l’Union européenne se voient attribuer, en pleine crise économique au sein de l’UE, 3,3 milliards d’euros pour soutenir leurs économies.

Après avoir abandonné les Italiens, Bruxelles vole au secours des Balkans

La Présidente Ursula Von der Leyen parle de « solidarité » avec ces pays et le Commissaire européen à l’élargissement, Olivier Varhélyi ajoute : « Nous aiderons nos partenaires à couvrir leurs besoins immédiats pour leurs systèmes de santé. » Ces prises de position zone sont totalement décalées dans cette période tragique où la solidarité entre les Nations membres de l’UE n’a pas fonctionnée.

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Valeursactuelles.com

Nos remerciements à Dany Riviera

 

Balkans : de nouvelles caravanes de migrants s’organisent

Les services secrets hongrois connaissent les noms de certains activistes des ONG européennes de Soros qui organisent l’invasion migratoire. Ils connaissent également les noms de réfugiés statutaires établis en Europe occidentale, venant essentiellement de Syrie et du Liban, qui travaillent avec ces ONG sur la route migratoire, pour faciliter le contact avec les migrants.

Les ONG livrent une vraie bataille de communication, en mettant les enfants en avant lorsque la presse internationale filme les groupes de migrants à la frontière. On place les enfants devant les clôtures, avec des pancartes en anglais exigeant qu’on les laisse traverser la Hongrie pour se rendre en Occident (voir ici, à 5:20). Puis les médias de gauche diffusent le message : voici de vrais réfugiés, des femmes et des enfants que la Hongrie empêche de passer, elle dresse des barrières pour les empêcher de se rendre dans les pays d’accueil. La majorité des migrants illégaux sont des hommes en âge de combattre, et les femmes et enfants sont les moyens de pression.

Aidés par des personnes en apparence dévouées, les migrants font confiance et sont persuadés que les infos reçues, selon lesquelles les frontières seront ouvertes à telle date et à telle heure, sont de source sûre.

Les ONG utilisent des méthodes des services de secrets (telles ces fausses informations), dont les buts échappent aux migrants, comme par exemple les pousser à l’explosion de colère lorsqu’ils verront les frontières fermées et sérieusement défendues.

Bien entendu, les services secrets hongrois sont également très actifs sur la route migratoire, et différentes stratégies sont prévues pour différents scénarios, mais chacune a ses limites si le nombre des immigrants illégaux est trop élevé.

Les services secrets hongrois diffusent également des témoignages de migrants expulsés décrivant ce qu’était une année de prison en Hongrie (la peine écopée pour violation de frontière), ce qui devrait être hautement dissuasif.

Dans la nuit du jeudi 6 au vendredi 7, la police serbe a pu désamorcer la foule en séparant les femmes et les enfants des hommes et en les faisant monter dans des bus en premier, afin d’acheminer les migrants vers les centres d’enregistrement. 750 personnes ont été acheminées vers ces centres en une seule nuit, avec 10 bus dont 7 remplis exclusivement d’hommes.

Les migrants sont persuadés que l’Europe de l’Ouest les attend à bras ouverts, et que c’est seulement ce pays horrible qu’est la Hongrie qui leur barre le chemin.

Il y a 100'000 clandestins en route dans les Balkans. Le problème pourrait venir s’ils arrivaient tous ensemble aux frontières. Selon les informations, les ONG projettent d’organiser de plus grands groupes.

Actuellement, 10% des migrants se trouvent dans les camps, le reste est dispersé dans la clandestinité, terrorisant les populations locales, dont ils squattent les habitations. Six mille sont accumulés dans la région frontalière et de nouveaux groupes arrivent sans cesse.

Sources en hongrois :

M1 - Híradó 2020.02.07. 19:30

M1 - Híradó 2020.01.08. 12:00

Rappel : Les ONG organisent des caravanes pour leur faire passer en force la frontière hongroise

Allemagne. Mafia des Balkans : “Ils apportent la guerre à Berlin.”

Dans la nuit de samedi à samedi, une dispute au sujet d'une partie de poker perdue a dégénéré dans un café de la Prinzenallee. Une personne est morte.

La femme de Bosnie-Herzégovine est décédée des suites d'une blessure par balle. En outre, une voiture avec une plaque d'immatriculation serbe aurait joué un rôle. L'affaire montre à quel point les criminels des Balkans sont brutaux.

Selon des informations, plusieurs participants à une partie de poker illégale en provenance de l'ex-Yougoslavie ont été tellement contrariés qu'ils se seraient affrontés avec des haches, des marteaux et des battes de baseball. Ensuite, plusieurs coups de feu ont été tirés, dont l'un au moins a touché la jeune femme de 23 ans, qui appartenait à l'un des deux groupes.

"Les personnes originaires des Balkans ont toujours une très bonne connexion avec leur pays d'origine, où elles peuvent immédiatement entrer dans la clandestinité, si nécessaire", a déclaré un haut responsable de la LKA (police d'État allemande). Qu'ils viennent de Serbie, du Kosovo, de Croatie ou d'Albanie, les liens familiaux sont "presque plus étroits qu'avec les clans arabes locaux". Et ce n'est pas la seule différence entre les gangs des Balkans et les clans arabes.

Dans un dossier publié par l'Institut allemand pour la politique et la sécurité internationales, les "groupes durs" du Kosovo, de Macédoine et du Monténégro ont fait état d'une "tendance marquée à la violence et à la brutalité", que les "méthodes policières habituelles" n'ont pas réussi à dissuader.

"Ces personnes ont souvent combattu dans l'une des guerres des Balkans", a déclaré l'enquêteur de Berlin. "Ils ont vu ou fait des choses que nous ne pouvons pas imaginer ici."

Peu importe qu’il s’agisse de trafic de drogue ou d’êtres humains, de racket de protection ou de jeux de hasard: les enquêtes criminelles menées par les gangs des Balkans se combinent dans presque tous les «domaines d’activité» du crime organisé.

Dans l'histoire récente de l'ex-Yougoslavie et de ses voisins, un autre danger existe: le nombre considérable d'armes. Selon Interpol, plus de quatre millions d'armes à feu ont été entreposées dans les États de l'ex-Yougoslavie depuis les années 1990.

Christoph Becker, qui travaille à l’Office fédéral de la police criminelle de l’Unité de lutte contre la criminalité liée aux armes et aux explosifs, confirme: "Le stock d’armes, y compris d’anciennes armes de guerre, est très important dans les Balkans occidentaux".

Rien qu'en Albanie, des entrepôts comptant jusqu'à 700 000 armes ont été pillés lors d'un soulèvement. Des instruments d'assassinat qui trouvent leur chemin jusqu'à Berlin entre les mains des gangs balkaniques - et qui sont utilisés ici sans scrupules.

En mai 2017, par exemple, une fusillade avec des fusils d'assaut automatiques entre un Tchétchène-Macédonien et un gang albanais a eu lieu dans la Groninger Strasse à Wedding. On dit qu'il s'agissait de différends liés au trafic de drogue.

Et il y a dix jours, lors du vol d'un transporteur de fonds dans la Schillingstraße au milieu de la rue, les auteurs ont également utilisé des fusils d'assaut de type Kalachnikov AK 47, vraisemblablement originaires de l'ancienne Yougoslavie.

Berliner-kurier.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

Rappels :

 

Le parti socialiste  a milité pour l'accueil massif des Albanais en Suisse.

Le Kosovo tant apprécié par Calmy-Rey est devenu un bastion islamiste

Un gang albanais lié à l’UCK acheminait des clandestins kosovars en Suisse. « Les autorités suisses n’ont pas enquêté. »

Vaud : La Kosovare, voleuse récidiviste du social, ne sera pas expulsée car la magistrate considère la sanction comme «disproportionnée».

Suisse. Cédric Wermuth, socialiste: « L’albanais et le serbo-croate devraient devenir des langues nationales. »

Suisse: Lorsque notre administration accueillait les criminels de l’UCK en tant que réfugiés.

Les crimes de l'UCK éclaboussent la Suisse

 

 

 

 

 

 

Suisse : Plus de 1000 criminels étrangers renvoyés l’an dernier. 1/3 provenait des Balkans.

Les tribunaux suisses ont ordonné 1039 expulsions de délinquants étrangers l’an dernier, a indiqué hier la «NZZ am Sonntag,» qui cite des chiffres de l’Office fédéral de la statistique. Quelque 348 d’entre eux venaient d’un pays des Balkans (soit l'Albanie et les pays d'ex-Yougoslavie sans la Croatie et la Slovénie), 157 d’Afrique du Nord et 93 d’Afrique de l’Ouest.

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20 Minutes.ch

Bâle : Tabassé à mort pour un smartphone. La police recherche un individu parlant avec un accent des Balkans.

Un quadragénaire a été battu à mort, en juillet dernier, au bord du Rhin à Bâle. Le Ministère public offre un pactole à celui qui permettra l'arrestation du coupable.

Le suspect a entre 18 et 23 ans. Il est de corpulence forte et mesure entre 1m75 et 1m85. L'individu parlerait le suisse allemand avec un accent des Balkans. Au moment des faits, il avait les cheveux courts et foncés. Il portait par ailleurs un t-shirt clair ou bleu.

20Minutes.ch

Suisse: les jeunes qui subissent le plus de violence de leurs parents viennent du Kosovo, de Serbie et Macédoine

Violences qu'ils répercutent évidemment par la suite sur la population suisse sans que cela ne gêne les chantres du multiculturalisme. On fait donc cohabiter notre population avec des gens violents en toute connaissance de cause.

Silence absolu de la gauche.

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Deux jeunes sur cinq sont exposés à des actes de violence légère, par exemple une gifle. Le journal alémanique Nordwestschweiz a fait écho dans ses pages vendredi de cette étude, que l'ats a pu se procurer.

Parallèlement, 80% des personnes interrogées, âgées de 17 ans, estiment que leurs parents leur accordent une "grande" attention. "Les enfants reçoivent souvent de l'attention quand tout va bien, alors que les parents recourent à la violence quand ils sont stressés", affirme à l'ats Dirk Baier, qui a dirigé l'étude.

Selon les résultats intermédiaires de l'étude, les jeunes qui subissent le plus de violence de leurs parents viennent du Kosovo, de Serbie et Macédoine (40%). En deuxième place se trouvent les enfants de parents d'origine portugaise (37%). Les enfants de parents suisses ferment la marche, avec un jeune sur dix exposé à des violences.

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Source

Nos remerciements à Tommy

Rappel: l'immigration d'Ex-Yougoslavie a fait augmenter la violence en Suisse

 

Les Balkans sont la base européenne du djihad

Balkans-4

   
Michel Garroté  --  Depuis août 2016, des camps d’entraînement ont été ouverts notamment par l’EI dans le Kosovo. Les plus importants sont situés à la frontière avec la Macédoine, dans le district de Decani ; d’autres, plus modestes, sont dans les environs de Prizren et Pec. De nombreux Kosovars ont rejoint ces camps, où d’anciens soldats de l’Armée de Libération du Kosovo enseignent à leurs membres le maniement des armes et le Coran. Dans la Bosnie voisine, les mêmes causes ont engendré les mêmes problèmes : le pays compte près de 100'000 disciples du wahhabisme, dont plus de 4'000 sont des militants radicaux, qui prennent les armes pour le djihad partout et à n’importe quel moment.
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A ce propos, dans Causeur, la politologue Ana Pouvreau écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Dans ce dernier quart de siècle, les six ex-républiques yougoslaves -- Bosnie-Herzégovine, Croatie, Macédoine, Monténégro, Serbie et Slovénie) -- sont devenues des Etats indépendants, de même que l’ancienne province serbe du Kosovo, qui a proclamé son indépendance en 2008 (cf. l'ouvrage sur lequel se base Ana Pouvreau : "Balkans, la fracture. La base européenne du djihad", par Alexis et Gilles Troude ; plus de détails en bas de page). Ce processus s’est déroulé au prix de centaines de milliers de victimes. Les estimations, quant au nombre de morts, oscillent entre 100'000 et 200'000. L’intégration euratlantique de ces nouveaux Etats se poursuit tant bien que mal.
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La Slovénie (2004) et la Croatie (2013) ont déjà intégré l’Union européenne (UE), tandis que le Monténégro, sans faire partie de l’UE, est devenu le 29ème Etat-membre de l’OTAN en 2017. La demande d’adhésion à l’UE de la Bosnie-Herzégovine a été acceptée en 2016. La Serbie, quant à elle, désormais séparée du Monténégro depuis 2006 et amputée de sa province kosovare, peine à intégrer l’UE. Il en est de même pour la Macédoine en raison du blocage de la Grèce. Au-delà de ces évolutions, les auteurs décrivent à quel point - aux antipodes des promesses de prospérité, de stabilité et de sécurité, chères aux partisans de ces multiples indépendances - la plupart de ces nouveaux Etats sont fragiles. Certains seraient même en passe de devenir des 'Etats faillis'.
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La corruption endémique des nouvelles élites politiques de la région, l’expansion exponentielle de groupes criminels et l’instabilité chronique due à l’échec de l’éradication de la pauvreté de même que la persistance des revendications territoriales ethniques voire claniques, font le lit de courants délétères de plus en plus susceptibles de plonger les Balkans dans le chaos et de se propager au reste de l’Europe. Vulnérabilisée par l’explosion de trafics en tous genres -- acheminement vers l’Europe de l’Ouest de l’héroïne en provenance d’Afghanistan, trafics d’êtres humains, trafics d’armes, détournement de l’aide internationale, malversations diverses, etc. -- mais aussi par la persistance des revendications irrédentistes (albanaises, hongroises, etc.), la région serait devenue, en quelques années, un réel 'trou noir' en Europe. Le déversement de milliards d’euros d’aide internationale ne semble pas résoudre le problème.
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Au contraire, la région prête le flanc, depuis plusieurs années déjà, à l’entrisme des islamistes radicaux. La présence de camps d’entraînement terroristes en Bosnie-Herzégovine et la radicalisation de centaines d’individus, au sein des populations locales kosovares et bosniennes, par le biais de prédicateurs wahhabites et d’organisations caritatives, ont d’abord fait le lit d’Al Qaeda, dès les années 1990, puis celui de l’Etat islamique depuis 2014.
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En conclusion, l'ouvrage "Balkans, la fracture. La base européenne du djihad", certes très critique vis-à-vis de l’action de la communauté internationale dans les Balkans, permet d’apporter, en contrepoint aux scenarii généralement optimistes concernant l’avenir de la région, qui prévalent en Occident, une grille de lecture très différente. La confrontation de ces points de vue divergents devrait être bénéfique à l’effort d’analyse prospective qui s’impose en ce qui concerne cette région d’une grande importance géostratégique et dont l’évolution aura prochainement un impact considérable sur le reste de l’Europe, conclut Ana Pouvreau, citant "Balkans, la fracture. La base européenne du djihad" (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour Les Observateurs
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https://www.causeur.fr/yougoslavie-balkans-troude-terrorisme-djihad-146475
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"Balkans, la fracture. La base européenne du djihad", par Alexis et Gilles Troude, Editions Xenia, 2017, 242 pages, 19€.
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Suisse: Les cambrioleurs balkaniques avaient tabassé le couple: “Les murs et le sol étaient plein de sang.”

Avec deux autres comparses, les deux accusés avaient dévalisé une villa de Lucens, non sans avoir tabassé les propriétaires des lieux.

Avertis après le départ des cambrioleurs, les policiers ont trouvé sur place de grandes quantités de sang sur le sol et sur les murs. Souffrant de nombreuses plaies et ecchymoses, les deux victimes ont dû être admises aux urgences de l'Hôpital intercantonal de la Broye.

L'aîné des deux accusés admet les faits. Ressortissant albanais, il a formulé à plusieurs reprises des regrets et présenté ses excuses aux victimes, auxquelles il a déjà versé 5000 francs. Son comparse kosovar, pourtant mis en cause par son coaccusé et formellement reconnu par le plaignant, nie quant à lui toute implication dans le cambriolage. Les deux autres malfrats n'ont pas été identifiés.

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Simonetta Sommaruga fustige l’Autriche et les Balkans qui veulent limiter l’afflux de migrants dans leur pays

«Les discussions d'aujourd'hui seront coriaces et difficiles», a déclaré Simonetta Sommaruga aux journalistes. Elle faisait référence aux annonces récentes de l'Autriche et des pays des Balkans de resserrer les contrôles aux frontières.

«Nous avons eu ces derniers mois des discussions constructives, mais certains Etats ont pris des mesures nationales. Cela crée bien sûr des tensions». Il s'agit maintenant de voir comment ces mesures peuvent être contournées.

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Zurich: Les Balkaniques se ruent sur le passeport suisse

Les villes du canton de Zurich croulent ces dernières semaines sous les demandes de naturalisation. Depuis le début de l'année, certaines, comme Uster, en ont enregistré 5 fois plus. Cet intérêt accru pour le passeport suisse a débuté à la fin de l'automne. Cause de ce phénomène: l'initiative UDC pour le renvoi effectif des criminels étrangers sur laquelle les Suisses doivent se prononcer le 28 février, révèle le «Tages-Anzeiger».

Selon la ville d'Uster, la crainte des secondos s'est fait ressentir dès l'acceptation, le 9 février 2014, de l'initiative UDC contre l'immigration de masse. La commune zurichoise indique en effet avoir reçu nombre de questions sur l'obtention du passeport à croix blanche. Chez elle, les demandes de naturalisation proviennent essentiellement des ressortissants des Balkans, des Italiens de 1re et 2e génération, ainsi que des Allemands qui se sont installés dans le canton dans les années 2000.

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Un policier zurichois : nous avons un important problème de violence en Suisse

Nous avons un important problème de violence en Suisse. Son ampleur est dissimulée et minimisée par les autorités et la politique. A cela s’ajoute les nombreux délits, mêmes graves, qui ne sont plus dénoncés par manque de confiance en l’État quant à l’identification des auteurs présumés et l’application de sanctions appropriées.

La question de l’identité des auteurs est constamment évitée par la politique. Toujours est-il que pour les infractions avec violences (vols, lésions corporelles, voies de fait etc.) et le marché de l’héroïne et de la cocaïne, la proportion des délinquants issus de l’immigration, y compris les personnes naturalisées, dépasse le 80 %. Une grande partie des délinquants est originaire de la région des Balkans. Mais les individus des pays maghrébins les rattrapent à un rythme accéléré. Ces équipes criminelles menacent, volent, frappent des personnes seules ou des petits groupes souvent sans aucune raison. Même si la police arrive rapidement sur les lieux, les agresseurs parviennent à fuir. Les victimes renoncent de plus en plus fréquemment à porter plainte. Ces agressions ne sont pas enregistrées.

Les groupes criminels des Balkans ne se sont pas intégrés. Ils placent leur religion et le clan familial au-dessus de notre législation. Pourtant beaucoup d’entre eux se font naturaliser. Les activités quotidiennes de la police montrent que la naturalisation est parfaitement possible et fréquente malgré l’existence de nombreux faits graves dans les dossiers.  Seules les condamnations pénales sont prises en considération lors de la naturalisation. En dépit de l’existence d’éléments substantiels, de nombreuses procédures n’aboutissent pas à la condamnation. La surcharge de la justice est en partie responsable. La délinquance juvénile n’est pas prise en compte lors de la naturalisation. Un des cas les plus connus est celui des meurtres d’Affoltern ZH (2015). Les dossiers de police ne mentionnent que les délits commis dans le canton de domicile et ne peuvent être transmis aux autorités, pour deux raisons : la protection des données et les statistiques faussées par les naturalisations.

Ces personnes se démarquent dans les relations qu’elles entretiennent avec les institutions, car en plus d’être des criminels, elles bénéficient souvent de l’aide sociale ou de l’AI. Si les exigences de ces personnes ne sont pas satisfaites, les administrations subissent menaces et intimidations. Ce sont des situations régulières et de plus en plus fréquentes. Nos institutions sont dépassées par la délinquance.

Ces individus se démarquent également lors de contrôles de police. Surtout lorsqu’ils sont en surnombre. Des renforts sont nécessaires lors de contrôles de groupes. Encore plus grave : ces contrôles sont de plus en plus fréquemment abandonnés pour la même raison. Ces individus et familles étaient souvent des criminels dans leur propre pays. Un grand nombre de criminels et de clans familiaux s’établissent chez nous depuis les années 90. Les passeports sont cachés et les données inventées forment de nouvelles identités. Nous ne pouvons pas vérifier les véritables identités, les moyens techniques étant limités dans les pays d’origine.

La politique doit de toute urgence cesser d’argumenter sur la base de données statistiques douteuses. Autre raison d’une statistique faussée : des individus disparaissent de la circulation pendant la procédure d’asile pour cause de délinquance ou autre et sont enregistrés dans le système d'information central sur la migration (SYMIC) comme ayant quitté le territoire.

Si nous continuons d’ignorer ces développements négatifs, la Suisse ne sera plus sous contrôle pour nous policiers, surtout dans les centres urbains. Nous sommes en voie directe vers une telle situation.

Traduction, Caroline, LesObservateurs.ch

L’auteur de cette contribution est un policier expérimenté du canton de Zurich. La rédaction du TA connaît son identité. Cet article fait partie d’un débat.

blog Tagesanzeiger

TV LIBERTÉS AU CŒUR DES BALKANS : L’INVASION MIGRATOIRE « TRANQUILLE » DE L’EUROPE !

L’ Allemagne est en émoi après les agressions sexuelles de Cologne. De son côté, l’Autriche vient d’annoncer un rétablissement du contrôle aux frontières. Toutefois, cela ne signifie pas le blocage à la frontière autrichienne du flux de migrants qui continue d’arriver à raison de plusieurs milliers de personnes par jour.

En amont, malgré la fermeture de la frontière hongroise, malgré l’hiver et malgré le silence médiatique, le flux migratoire continue de transiter par les Balkans avant d’arriver en Autriche et en Allemagne.

Une équipe de TV Libertés, conduite par Nicolas de Lamberterie, s’est rendue sur place pour étudier la façon dont les pays des Balkans s’organisent pour gérer ce phénomène. Un document exclusif que nous vous invitons à découvrir et à faire connaitre.

https://youtu.be/tJbwLcwZEkQ

Une playmate suisse dénonce les agressions sexuelles en Allemagne: “A l’époque, les jeunes des Balkans agressaient comme ça en Suisse”

Andrea Vetsch raconte sur Facebook qu'elle a également été victime de harcèlement.

Elle y explique que ce genre d'agression n'a rien de nouveau et qu'elle en a fait les frais en Suisse. Si on ne réagissait pas aux pelotages, on était traitée comme une traînée voire pire, raconte-t-elle sur son compte.

«Mais à l'époque, c'était des jeunes des Balkans», souligne Andrea Vetsch. «Aujourd'hui encore, j'ai des frissons dans le dos quand je vois un groupe de jeunes de type balkanique», ajoute la jeune Zurichoise qui a eu un fils en 2013. Elle rappelle qu'il s'agissait déjà de réfugiés «avec la même toile de fond culturelle».

Elle condamne très clairement dans son message une «culture machiste», qui apparaît déjà à l'école et qui se répand chez les enfants d'autres cultures. «Je trouve préoccupant que des enfants européens acceptent ce genre de comportement», écrit-elle encore.

https://www.youtube.com/watch?v=mhanYbXgAcs

Source

Rappel: 

Micheline Calmy-Rey a reçu le premier Prix Diaspora décerné par la communauté kosovare de Suisse

Le Conseil fédéral a soupé kosovar pour sa soirée de Noël

Genève la multiculturelle: Les trafiquants des Balkans attaquent la coke

Bouleversement sur le marché des stupéfiants. Les dealers albanophones se lancent à la conquête du marché, tenu par des réseaux africains.

Le milieu albanophone, roi de l’héroïne depuis vingt ans, se diversifie. Il investit le marché de la cocaïne, dévolu jusqu’alors aux trafiquants de l’Afrique de l’Ouest, en Suisse romande du moins. Le mouvement, amorcé en 2013 selon Jean-Philippe Brandt, porte-parole de la police genevoise, est devenu visible ce printemps. Le commissaire d’Annemasse (F) Philippe Guffon confirme la chose.

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Les ressortissants des Balkans sont violents à l’égard des femmes

ND Ch. H. La gauche qui se prétend féministe a fait entrer dans notre pays une culture violente et machiste mettant en danger notre population. Naturellement, vous ne verrez aucun protagoniste de gauche s'en émouvoir, il prétendra que cela est "culturel". Les mêmes hypocrites prétendront par la suite s'opposer à la violence faite aux femmes. C'est une telle régression dont avait besoin la Suisse?

Certaines écoles alémaniques font appel à des professeurs de self-défense pour lutter contre la violence faite aux filles. En particulier celles originaires des pays balkaniques.

A en croire la «SonntagsZeitung», les cours prodigués depuis cinq ans par Barbara Giason dans ces établissements attirent essentiellement des jeunes filles issues de ces régions de l’est, où le machisme est encore prédominant. «Dans ces cultures, les enfants apprennent que la femme n’a aucune valeur. Du coup, les garçons se permettent tout.»

Insultes, menaces, gestes déplacés: la liste des brimades dont ces filles sont victimes est longue et choquante, selon Barbara Giason.

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