Les services secrets hongrois connaissent les noms de certains activistes des ONG européennes de Soros qui organisent l’invasion migratoire. Ils connaissent également les noms de réfugiés statutaires établis en Europe occidentale, venant essentiellement de Syrie et du Liban, qui travaillent avec ces ONG sur la route migratoire, pour faciliter le contact avec les migrants.
Les ONG livrent une vraie bataille de communication, en mettant les enfants en avant lorsque la presse internationale filme les groupes de migrants à la frontière. On place les enfants devant les clôtures, avec des pancartes en anglais exigeant qu’on les laisse traverser la Hongrie pour se rendre en Occident (voir ici, à 5:20). Puis les médias de gauche diffusent le message : voici de vrais réfugiés, des femmes et des enfants que la Hongrie empêche de passer, elle dresse des barrières pour les empêcher de se rendre dans les pays d’accueil. La majorité des migrants illégaux sont des hommes en âge de combattre, et les femmes et enfants sont les moyens de pression.
Aidés par des personnes en apparence dévouées, les migrants font confiance et sont persuadés que les infos reçues, selon lesquelles les frontières seront ouvertes à telle date et à telle heure, sont de source sûre.
Les ONG utilisent des méthodes des services de secrets (telles ces fausses informations), dont les buts échappent aux migrants, comme par exemple les pousser à l’explosion de colère lorsqu’ils verront les frontières fermées et sérieusement défendues.
Bien entendu, les services secrets hongrois sont également très actifs sur la route migratoire, et différentes stratégies sont prévues pour différents scénarios, mais chacune a ses limites si le nombre des immigrants illégaux est trop élevé.
Les services secrets hongrois diffusent également des témoignages de migrants expulsés décrivant ce qu’était une année de prison en Hongrie (la peine écopée pour violation de frontière), ce qui devrait être hautement dissuasif.
Dans la nuit du jeudi 6 au vendredi 7, la police serbe a pu désamorcer la foule en séparant les femmes et les enfants des hommes et en les faisant monter dans des bus en premier, afin d’acheminer les migrants vers les centres d’enregistrement. 750 personnes ont été acheminées vers ces centres en une seule nuit, avec 10 bus dont 7 remplis exclusivement d’hommes.
Les migrants sont persuadés que l’Europe de l’Ouest les attend à bras ouverts, et que c’est seulement ce pays horrible qu’est la Hongrie qui leur barre le chemin.
Il y a 100'000 clandestins en route dans les Balkans. Le problème pourrait venir s’ils arrivaient tous ensemble aux frontières. Selon les informations, les ONG projettent d’organiser de plus grands groupes.
Actuellement, 10% des migrants se trouvent dans les camps, le reste est dispersé dans la clandestinité, terrorisant les populations locales, dont ils squattent les habitations. Six mille sont accumulés dans la région frontalière et de nouveaux groupes arrivent sans cesse.
Sources en hongrois :
M1 - Híradó 2020.02.07. 19:30
M1 - Híradó 2020.01.08. 12:00
Rappel : Les ONG organisent des caravanes pour leur faire passer en force la frontière hongroise