Genève la multiculturelle: Les trafiquants des Balkans attaquent la coke

Bouleversement sur le marché des stupéfiants. Les dealers albanophones se lancent à la conquête du marché, tenu par des réseaux africains.

Le milieu albanophone, roi de l’héroïne depuis vingt ans, se diversifie. Il investit le marché de la cocaïne, dévolu jusqu’alors aux trafiquants de l’Afrique de l’Ouest, en Suisse romande du moins. Le mouvement, amorcé en 2013 selon Jean-Philippe Brandt, porte-parole de la police genevoise, est devenu visible ce printemps. Le commissaire d’Annemasse (F) Philippe Guffon confirme la chose.

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6 commentaires

  1. Posté par conrad.hausmann le

    Je me pose toujours la mème question,comme beaucoup de gens:Comment des tenanciers de petits magasins de « dépannage » comme ils se nomment peuvent rouler en Porche Cayenne?Je suis certain que jamais ils oseraient vendre de la drogue.

  2. Posté par top gun le

    Il y a tellement de criminels en prisons et en liberté que, franchement, même en les éliminant à la « sulfateuse » on manquerait de munitions. Mais c’est vrai que si on « élimine » déjà ceux qui font de l’obstruction, la voie serait libre pour tenter un beau et bon « nettoyage ». Un coup de pied canon dans la fourmilière en somme et par la même occasion, voter pour ceux qui veulent faire face à cette situation qui devient vraiment périlleuse…

  3. Posté par andrea le

    Pour ce qui concerne certaines ethnies, même dans les activités en principe non criminelles, ils arrivent à pourrir le marché par des pratiques inacceptables: peronnel au noir, dumping sur les prix soutenu par des fraudes massives à la TVA et assurances sociales, usurpation d’identités commerciales, intimidation, et j’en passe.
    Mais là je m’insurge aussi sur la couardise des suisses qui se laissent faire ou, pire, en tirent les bénéfices à court terme sans réagir, laissant un monde pourri aux prochaines générations.
    Un balayage de fond devient nécessaire!

  4. Posté par Pierre H. le

    Qu’ils s’entretuent sans faire de victimes collatérales innocentes… C’est fou comme certaines populations ne peuvent pas être productives ailleurs que dans le crime. Encore que je pourrais, à l’extrême limite, comprendre ceux qui restés au pays n’ont pas d’autres moyens pour survivre car il n’y a aucune structure économique digne de ce nom, encore que ce soit aussi leur faute. Mais ceux qui sont dans nos pays n’ont aucune excuse !

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