Humiliée par Erdogan, Ursula von der Leyen «ne permettra pas» que cela se reproduise

Ursula von der Leyen a rencontré le président du Conseil européen, Charles Michel, depuis l’incident du « sofagate », survenu à Ankara.

 

 

Tous les deux sont d'accord pour dire que l'incident de mardi dernier doit être le dernier du genre. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a reçu lundi le président du Conseil européen, Charles Michel, pour la première fois depuis l'incident protocolaire du « sofagate » à Ankara et l'a averti qu'elle « ne permettra pas qu'une telle situation se reproduise ». « Les présidents von der Leyen et Michel ont tenu leur réunion hebdomadaire habituelle et ont discuté d'une série de questions d'actualité », a expliqué le porte-parole de la Commission européenne à l'issue de la rencontre.

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Le Point


Rappels :

Le jour où Erdogan a humilié von der Leyen

La Turquie peut forcer Twitter à la censure

Après avoir soutenu le massacre des chrétiens arméniens, Erdogan veut «remettre sur les rails» les relations avec l’Europe avec « ses amis européens »

Allemagne : La vente à la Turquie de six sous-marins de Type 214T fait des vagues

Le Royaume-Uni aurait proposé à la Turquie une aide technique pour construire un porte-avions

Otan : Les États-Unis parlent d’établir des « relations constructives » avec la Turquie

Le jour où Erdogan a humilié von der Leyen

Lors d’une visite officielle des dirigeants européens Charles Michel et Ursula von der Leyen, le président turc a mis en scène son sexisme.

 

 

Toute visite d'un officiel européen dans un pays hostile est un prétexte à humilier l'Union européenne, ses valeurs et ses représentants. Après l'épisode infamant du boy-scout Josep Borrell chez Vladimir Poutine, le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui recevait mardi Charles Michel et Ursula von der Leyen, avait lui aussi soigné sa mise en scène. Comment signifier à l'Europe que la Turquie n'a que faire de ses valeurs, et en particulier de l'égalité entre les sexes, surtout quand on vient de dénoncer la Convention d'Istanbul, qui vise à lutter contre la violence à l'égard des femmes ?

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Le Point

Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne : l’Europe a de nouveau «un ami à la Maison Blanche après quatre longues années».

Pour ceux qui doutaient encore que l'Union Européenne mène une politique de gauche.


L'Europe a « de nouveau un ami » à la Maison-Blanche et invite le président américain Joe Biden à une réunion avec les dirigeants de l'UE afin de « construire ensemble un pacte fondateur nouveau » pour les relations transatlantiques, ont déclaré mercredi 20 janvier 2021 les présidents des institutions européennes.

L'Europe « a de nouveau un ami à la Maison-Blanche après quatre longues années » de présidence Trump, a lancé la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, devant le Parlement européen, quelques heures avant l'investiture de Joe Biden. « Ce jour apporte de bonnes nouvelles : les États-Unis sont de retour et l'Europe est prête à renouer avec un ancien partenaire de confiance pour donner une nouvelle vie à notre précieuse alliance », a-t-elle ajouté.

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Lepoint.fr

Covid-19 : la vaccination débutera le 27 décembre dans l’UE, annonce Ursula Von der Leyen

Ursula von der Leyen avait exhorté, mercredi 16 décembre, les pays membres de l’Union européenne à faire preuve d’unité en matière de vaccination contre la Covid-19. Au lendemain de son intervention à Bruxelles, la présidente de la Commission européenne a définitivement acté cette cohésion en annonçant que les premières campagnes de vaccination débuteront « les 27, 28 et 29 décembre à travers l’Union européenne ».

 

 

« C’est l’heure de l’Europe. Nous protégeons nos citoyens. Nous sommes plus forts ensemble », a écrit la cheffe de l’exécutif européen sur Twitter.

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Lopinion.fr

Racisme, objectifs C02, LGBT… les priorités d’Ursula von der Leyen pour l’UE

La présidente de la Commission européenne, l’Allemande Ursula von der Leyen, a prononcé mercredi 16 septembre son premier discours sur l’état de l’Union, annonçant notamment qu’elle priorisait un renforcement des objectifs écologiques de l’UE. Voici les principaux points de son discours devant le Parlement européen, à Bruxelles.

  • Passer de -40 % à -55 % de réduction de CO2 en 2030

Ursula von der Leyen propose de viser une réduction d’au moins 55 % des émissions de gaz à effet de serre de l’UE en 2030 par rapport au niveau de 1990, contre un objectif actuellement fixé à -40 %, afin de parvenir à l’objectif de la neutralité carbone en 2050.

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  • Un plan d’action contre le racisme

Ursula von der Leyen annonce qu’elle va présenter « un plan d’action » contre le racisme et les « crimes et les discours de haine, qu’ils se fondent sur la race, la religion, le genre ou la sexualité » :

« Il est temps à présent de construire une Union véritablement antiraciste – en condamnant le racisme, mais aussi en agissant. »

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  • Discriminations anti-LGBT : un avertissement à la Pologne

Les « zones sans LGBTQ » décrétées dans un certain nombre de villes polonaises sont des « zones sans humanité » qui « n’ont pas leur place » dans l’UE, déclare Ursula von der Leyen, qui propose également de renforcer les droits des couples homoparentaux dans l’Union.

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NouvelObs.com

Ursula von der Leyen veut “construire une Union véritablement antiraciste” et s’attaquer “aux préjugés inconscients”

La présidente de la Commission européenne, l’Allemande Ursula von der Leyen, a prononcé son premier discours sur l’état de l’Union

[…] Ursula von der Leyen a annoncé son intention de présenter « un plan d’action » contre le racisme et les « crimes de haine, qu’ils se fondent sur la race, la religion, le genre ou la sexualité ».

« Il est temps à présent de construire une Union véritablement antiraciste – en condamnant le racisme, mais aussi en agissant », a-t-elle déclaré lors de son discours-programme annuel sur l’État de l’Union devant le Parlement européen.

Parmi les évolutions attendues, elle a promis de renforcer les « lois en matière d’égalité raciale là où des lacunes subsistent », mais aussi d’utiliser le budget de l’UE « pour lutter contre la discrimination dans des domaines tels que l’emploi, le logement ou les soins de santé ».

« Nous deviendrons plus sévères en matière d’application de la législation en cas de retard de mise en oeuvre », a averti la dirigeante allemande.

Elle a également assuré que l’UE améliorerait « l’éducation et les connaissances sur les causes historiques et culturelles du racisme », et s’attaquerait « aux préjugés inconscients, qu’ils soient le fait des citoyens, des institutions, voire des algorithmes ». […]

lesoir.be

Via Fdesouche

Tribune. En pleine crise sanitaire, l’Europe offre 3 milliards à des pays non-membres de l’UE : Kosovo, Albanie, Macédoine du Nord…

Un sommet virtuel est organisé aujourd’hui : les dirigeants de l’Union européenne vont s’entretenir avec les représentants des six pays des Balkans occidentaux non-membres de l’Union. En dépit des conséquences de la crise du Coronavirus et l’expression d’un retour des Nations, dogmatiques, ils poursuivent, leur folle volonté d’élargissement et persistent dans cette politique scandaleuse et injuste d’aide préférentielle à des pays non-européens. Ces pays des Balkans, Albanie, Macédoine du Nord, Bosnie-Herzegovine, Monténégro, Kosovo et Serbie non-membres de l’Union européenne se voient attribuer, en pleine crise économique au sein de l’UE, 3,3 milliards d’euros pour soutenir leurs économies.

Après avoir abandonné les Italiens, Bruxelles vole au secours des Balkans

La Présidente Ursula Von der Leyen parle de « solidarité » avec ces pays et le Commissaire européen à l’élargissement, Olivier Varhélyi ajoute : « Nous aiderons nos partenaires à couvrir leurs besoins immédiats pour leurs systèmes de santé. » Ces prises de position zone sont totalement décalées dans cette période tragique où la solidarité entre les Nations membres de l’UE n’a pas fonctionnée.

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Valeursactuelles.com

Nos remerciements à Dany Riviera

 

Le coronavirus a été «sous-estimé» par les responsables politiques, admet l’UE

La présidente de la Commission européenne a admis que les responsables politiques avaient tous sous-estimé l’ampleur du danger représenté par l’épidémie du nouveau coronavirus, dans une interview publiée mercredi 18 mars par le quotidien allemand Bild.

Je pense que nous tous, qui ne sommes pas experts, avons sous-estimé au départ le coronavirus, a déclaré Ursula von der Leyen au journal.

Mais entre-temps il est devenu clair qu’il s’agit d’un virus qui va nous occuper encore longtemps, a ajouté la présidente de l’exécutif européen.

L’Europe, épicentre de l’épidémie

Nous avons compris que toutes ces mesures, qui il y a encore deux ou trois semaines paraissaient drastiques et draconiennes, devaient être prises à présent, a estimé Ursulavon der Leyen, en rappelant que l’Europe était en ce moment l’épicentre de la crise.

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Ouest-france.fr

Turquie : 500 millions d’euros d’aides et faciliter la délivrance de visas, les mesures de la commission européenne pour apaiser Ankara

La commission européenne prépare une nouvelle aide additionnelle de 500 millions d’euros pour les réfugiés syriens en Turquie et plusieurs autres mesures afin d’apaiser les tensions avec Ankara, a appris jeudi l’AFP de source européenne

Le financement de 500 millions d’euros viendra en complément des 6 milliards alloués dans le cadre de l’accord conclu en 2016 pour financer les programmes mis en oeuvre par les ONG en faveur des quelque 3,7 millions de réfugiés syriens en Turquie, a expliqué cette source. L’exécutif présidé par l’Allemande Ursula von der Leyen propose par ailleurs de faciliter la délivrance de visas en faveur des ressortissants turcs.

Apaiser Ankara

Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a pour sa part annoncé mercredi le déblocage d’une aide d’urgence de 170 millions d’euros « pour les plus vulnérables en Syrie » lors de son déplacement à Ankara.

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Rtbf.be

Via Fdesouche

Ursula von der Leyen, présidente de l’Union européenne : « La Turquie n’est pas un ennemi »

La présidente de l'Union européenne, Ursula von der Leyen, s'est dite mardi « aux côtés » de la Grèce et a promis à Athènes « toute l'aide nécessaire » pour faire face à l'afflux de milliers de migrants venant de la Turquie voisine.

« Ceux qui cherchent à tester l'unité de l'Europe seront déçus », a déclaré Ursula von der Leyen sur le poste-frontière de Kastanies, dans le nord-est du pays, aux côtés du Premier ministre grec, auquel elle a promis « 700 millions d'euros », dont la moitié immédiatement. « La Turquie n'est pas un ennemi et les personnes ne sont pas seulement un moyen d'atteindre un but », a-t-elle ajouté.

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Lepoint.fr


Rappels :

Crise turque. Un socialiste déclare que « la Suisse doit à présent accepter les réfugiés »

Genève : A l’abri des regards, Erdogan tient un discours anti-intégration et fait le signe des Frères musulmans. « Infiltrez la société suisse! »

Erdogan menace de faire déferler 3,7 millions de migrants sur l’Europe

Alors que les Suisses de souche deviennent minoritaires, Amnesty et Lisa Mazzone épinglent la Suisse pour le délit de solidarité

«Aucun Européen ne pourra plus faire un pas dans la rue en sécurité», menace Erdogan

Après avoir piégé l’Europe avec son pacte d’Ankara, Merkel juge « inacceptable » que la Turquie fasse pression sur l’UE

UE : Ursula von der Leyen exige un budget «vert»

La présidente de la Commission européenne veut qu'au moins 25% du budget de l'UE soit consacré à la lutte contre le changement climatique.

Dans le cadre de son nouveau Pacte vert, l'exécutif européen veut faire en sorte que l'Union européenne devienne le premier continent à atteindre la neutralité climatique en 2050. Mais certains Etats membres ne veulent pas pour autant rogner sur l'argent alloué aux anciennes politiques, comme le fonds de cohésion ou la politique agricole commune, alors qu'en parallèle, le départ du Royaume-Uni de l'UE va laisser un manque à gagner.

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Le Matin

La présidente de la commission européenne ironise sur le départ des Brexiters : « Vous ne nous manquerez pas »

Cette femme a participé aux conférences Bilderberg en 2015,2016, 2018 et 2019.

Sur cette image, on la voit en pleine discussion avec George Soros en 2012 à Berlin, lors de la Conférence Nicolas Berggruen.

 


 

"Vous ne nous manquerez pas", a lancé la présidente de la Commission européenne à l'adresse des députés britanniques pro-Brexit qui "crient et provoquent", après avoir salué ceux qui ont "très courageusement défendu le remain", provoquant les applaudissements de l'hémicycle.

 

 

 

L'Obs.com

 

Socialisme vert : La présidente de la Commission européenne veut que l’Europe devienne « le premier continent climatiquement neutre » d’ici 30 ans

Dans le dernier «Schweiz am Wochenende», Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a écrit une tribune concernant le "Green Deal" qui vise à rendre l'Europe climatiquement neutre. Ses déclarations ne peuvent rester sans réponse - car sa stratégie est effrayante.

Premièrement, l'UE est aujourd'hui l'une des régions les plus prospères du monde. Il y a les libertés civiles, la démocratie et les structures de l'économie de marché. L'espérance de vie, les revenus et la propreté de l'environnement atteignent des niveaux attrayants. Cependant, il y a beaucoup de choses dans l'UE qui doivent donner matière à réflexion aux observateurs attentifs : Les banques et les États ont constitué des réserves de dettes qu'ils ne pourront jamais rembourser. La dette du secteur privé est plus élevée que jamais. Dans de nombreux pays, les promesses de paiement dans le domaine de la vieillesse et des soins de santé sont très éloignées de la réalité. L'euro montre des signes de déclin. La politique monétaire de la Banque centrale européenne nuit aux mécanismes d'ajustement de l'économie et maintient en vie les entreprises improductives. L'Union n'est plus prête à se défendre ; le citoyen est désarmé sous prétexte de la menace du terrorisme. Et surtout, il y a la censure, qui se répand par le biais du politiquement correct et des médias sociaux.

Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve. Mais nous savons qu'il suffit de peu pour déstabiliser la situation. L'Europe serait alors plongée dans une crise bien plus grave que celle qui a été évitée en 2008. Dans une telle situation, il faudrait que les hommes politiques réalisent qu'ils ont mis l'UE dans une position difficile sur les plans économique, politique, militaire et social. Ce qu'il faut, c'est un véritable revirement : davantage de libertés, d'économie de marché et de concurrence, moins de réglementation, de subventions et d'influence de l'État, davantage de sécurité intérieure et extérieure.

Au lieu de cela, Ursula von der Leyen présente son "Green Deal", qui vise à faire de l'Europe "le premier continent climatiquement neutre" d'ici trente ans. Bien sûr, il y a le changement climatique. Mais "une vie bonne et sûre" dépend avant tout de la sécurité intérieure et extérieure, de l'assurance vieillesse et maladie, de la sécurité de l'emploi, de l'endettement des États, des banques et des particuliers, et non du changement climatique. La présidente von der Leyen induit le lecteur en erreur dès la première ligne de sa tribune. Et la Doctoresse von der Leyen sait que "la science" grâce à laquelle nous savons que la "spirale climatique" peut encore être arrêtée n'existe pas dans ce sens. Pratiquement toutes les déclarations de son article sont de belles paroles sans contenu. Et tout doit être soumis à ce plan irréfléchi : "Du trafic aux taxes, de l'alimentation à l'agriculture, de l'industrie aux infrastructures." Tout doit être déterminé et changé par la politique : "Comment nous produisons et consommons, comment nous vivons et travaillons." Tout devrait être fixé de manière irréversible. Il est également clair que beaucoup plus d'argent sera dépensé. 100 milliards d'euros supplémentaires doivent être "libérés" chaque année. Je crains que des fonctionnaires que nous n'avons pas élus et des hommes politiques irresponsables retirent chaque année 100 milliards d'euros aux entreprises et aux budgets performants et les mettent dans de tels discours creux. Il s'agit d'une pure et simple destruction de la prospérité.

Pour quelle raison Madame von der Leyen écrit-elle de telles choses ? Les citoyens doivent-ils vivre comme les politiciens le souhaitent ? (C'était déjà le cas dans les dictatures et cela se reproduit encore aujourd'hui en Chine ; nous en connaissons tous les conséquences.) Ou les citoyens doivent-ils être distraits de cette réalité qui a depuis longtemps échappé aux politiciens et aux bureaucrates ? Ou alors ces Mesdames et Messieurs pensent-ils qu'un continent peut être géré avec un tel contenu ?

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

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