Naturalisation facilitée: Pour Le Matin, les gens ont “peur” de la langue arabe

Christian Hofer: On parlait de cet argumentaire ici.

Vous noterez le parti pris de ce journal qui se positionne de facto en faveur du parti socialiste en prétendant que *les Suisses ont peur*, allégation qui vise à biaiser le débat et à prétendre en filigrane qu'il y a du racisme. Une accusation qui met de facto le parti socialiste dans une position confortable d'attaque.

Or avant d'être naturalisé, le débat relève de l'intégration. Il n'y a pas d'intégration lorsque le parti socialiste s'adresse aux individus en arabe ou en turc. Le Matin fait semblant de ne pas le comprendre.

Mais cela signifie surtout que la parti socialiste a très bien cerné quel type d'immigration subit la Suisse et en faveur de qui s'adresse réellement cette naturalisation facilitée: aux musulmans issus des pays arabes dont la culture rétrograde et patriarcale ne pose aucun problème aux féministes socialistes.

 

Via le Facebook de Monsieur Jérôme Desmeules

Lorsque le Parti socialiste suisse milite en arabe et en turc pour la naturalisation facilitée

Pour ceux qui doutent encore de la véritable nature de ce parti.

Voilà la Suisse qu'ils proposent, un pays qui ne possède plus aucune racine, plus aucune tradition ni religion historique. Nos spécificités n'ont aucune valeur pour ces apatrides.

Quant à leur propagande, payer des impôts ne donne en aucun cas le droit d'acquérir un passeport. C'est un élément normal pour quiconque travaille, quel que soit le pays.

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"Le Parti socialiste suisse (PS) s’engage pour une Suisse de la cohabitation, une Suisse de la diversité linguistique, religieuse et culturelle (Nd Christian Hofer: En clair, une Suisse qui n'a plus rien de suisse)

Plus de deux millions de personnes résidant dans ce pays n’ont pas de passeport suisse. Ces gens vivent ici, vont à l’école avec nous, jouent au football avec nous ou vont au cours de natation avec nous, ils travaillent avec nous, ils paient des impôts, comme nous... Ils font partie intégrante de notre pays, de la Suisse. Ils n’ont toutefois pas le droit de participer aux décisions politiques, bien que bon nombre de celles qui sont prises au Parlement ou dans les urnes aient un effet immédiat sur chacun d’entre nous – et donc sur eux aussi.

En comparaison européenne, la naturalisation en Suisse est très difficile, elle coûte cher et elle s’apparente à un parcours du combattant. La nouvelle Loi sur les étrangers dresse même quelques obstacles encore plus difficiles à surmonter sur le chemin des candidates et des candidats. À partir du 1er janvier 2018, seules les personnes au bénéfice d’un permis C pourront demander le passeport suisse. Pour tous les détenteurs d’un permis B, cette possibilité n’existera plus (contrairement à aujourd’hui). Cela concerne 650’000 personnes.

Conjointement avec le PS Migrant-e-s, le PS Suisse lance un appel et une campagne pour la naturalisation des personnes au bénéfice d’un permis B. Nous voulons informer, encourager et aider. Nous voulons plus de Suisse pour toutes et tous."

Suisse: Le parti socialiste veut donner la priorité aux enseignants issus de l’immigration

Christian Hofer: A noter que Halua Pinto de Magalhães a pu bénéficier de nos écoles pour obtenir son diplôme, prenant ainsi la place d'un Suisse alors que ces écoles sont le produit de notre pays.

Bien entendu, le même individu milite pour les siens en retour: il est coprésident Second@s Plus Suisse, une officine qui visait la suppression de notre drapeau national, et il est Conseiller municipal, commission des finances, sécurité et environnement, commission pour l’énergie. Il se gave donc de notre pays, de notre niveau de vie tout en méprisant la population autochtone et en s'acharnant contre elle.

On ne sait pas trop ce qu'il serait devenu dans son pays d'origine mais sa seule préoccupation est de dissoudre le pays qui l'a accueilli, de détruire la spécificité suisse qui lui a donné sa chance.

Enfin, il est clair qu'il y a aussi un risque de favoritisme de la part de ces professeurs étrangers, aidant les élèves qui partagent la même origine, la même religion et délaissant les autres. Que se passera-t-il pour les Suisses? Alors que notre pays est neutre, les leurs sont orientés politiquement et religieusement, comme on a pu le voir avec Hani Ramadan. Mais bien entendu, ces socialistes se fichent lorsque cela se fait au détriment des autochtones.

Nous avons là une variante du mensonge socialiste qui pointe du doigt les "méchants blancs racistes" alors que les autres seraient exempts de reproches. C'est évidemment aussi un excellent tremplin pour le remplacement de la population locale, les migrants ayant plus de chances que les autochtones eux-mêmes dans les filières de formation, défigurant de manière irréversible notre système, les Suisses se faisant éduquer par ceux qui les remplacent.

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Un postulat des conseillers socialiste SP Fuat Kocer et Halua Pinto de Magalhães demande de privilégier les enseignants issus de l'immigration lors de la candidature.

Selon le "Bund", ils demandent "qu'à qualifications égales, lorsque deux enseignants postulent pour une même place, la personne issue de l'immigration doit être engagée". Köçer déclare que cela devrait améliorer la communication entre les élèves, les parents et les professeurs. "Les professeurs pourraient servir de modèle aux élèves."
Ces enseignants pourraient générer un lien de confiance entre les parents étrangers et devraient faciliter la coopération entre les familles et l'école. «Si un enfant issu de l'immigration a de mauvaises notes, les parents peuvent penser que les enseignants le traitent de manière injuste en raison de son origine (Nd Christian Hofer: Bien entendu à contrario, un enseignant étranger serait *tout à fait neutre* avec un Suisse). Si de nombreux professeurs sont d'origine étrangère, cette excuse deviendrait obsolète déclare Köçer au 20 Minutes.

Tamara Funiciello, Présidente des Jeunes Socialistes Suisses (Celle qui appelle à violer la loi en faveur des clandestins), salue la demande. "Pour le Suisse, beaucoup de choses considérées comme normales dans le système scolaire sont totalement étrangères pour le migrant. (...) Les enfants ne peuvent pas pleinement exploiter leur potentiel."

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Migrants. Les Verts et le PS posent leurs exigences: “La Suisse doit soutenir l’Italie, conseiller juridiquement les migrants et accepter ceux qui ont déjà de la famille chez nous”

Christian Hofer: La gauche attaque par tous les moyens notre démocratie et veut contourner Dublin qui a été pourtant voté par le peuple.

En clair, les problèmes causés par l'Italie, Merkel et l'UE deviendraient les nôtres, à notre charge!

Pire, tous nos faits et gestes seraient inspectés par des instances pro immigration comme l'ONU. Une ingérence inadmissible alors même que notre pays est à bout de souffle avec cette immigration, et cela avec des conseillers juridiques leur offrant notre pays sur un plateau. C'est tout simplement une énorme provocation pour le contribuable suisse qui n'a pas son mot à dire alors que les cantons sont en danger sur le plan financier justement à cause de cette immigration.

La gauche essaie encore une fois de contourner notre souveraineté en imposant un flux massif, comme cela s'est produit avec les Balkans.

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Le groupe parlementaire des Verts va déposer une interpellation urgente réclamant un débat lors de la session d'automne, indique-t-il dans un communiqué publié samedi. Il parle de sa «préoccupation sur la crise humanitaire à Côme (I)», critique le silence des autorités et exige une meilleure protection des requérants d'asile.

Le groupe PS de son côté insiste sur le droit de déposer des demandes d'asile en Suisse, qui doivent ensuite être traitées avec sérieux. Ils souhaitent dans la foulée la création d'un groupe d'experts, intégrant des personnes issues de la société civile, et chargé de surveiller que les droits des migrants, qui ont tenté d'entrer en Suisse, restent garantis.

Une instance indépendante, comme le Haut Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (UNHCR), fournirait de son côté un rapport régulier sur la situation.

Le groupe PS demande aussi un meilleur conseil juridique aux migrants à la frontière, des traducteurs ainsi que la distribution de justificatifs écrits aux personnes renvoyées, pour qu'elles puissent se défendre face à un refus d'entrée.

Autre point: la Suisse doit soutenir l'Italie dans l'organisation et la prise en charge des camps. Les migrants qui ont de la famille en Suisse mais ont déjà été enregistrés en Italie ne devraient plus être renvoyés vers la Péninsule selon le système Dublin, mais autorisés à gagner la Suisse.

Source et article complet

Bâle: La présidente du Tribunal, membre du PS, relativise les actes d’un pédophile

On rappelle que Libération, le journal de gauche, défendait la pédophilie.

Et l'on découvre que cette présidente de Tribunal est... membre du parti socialiste. Nul ne sera surpris de voir que la décision débouche sur une peine... plus clémente encore que celle demandée par la défense. C'est une aberration au regard du dossier.

Est-ce cela la neutralité politique, "excentrée de l'opinion public", tant vantée par Yaël Hayat alors que cette présidente est clairement orientée?

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La Cour a condamné un rentier AI de 64 ans à 15 mois de prison avec sursis pour actes d'ordre sexuel avec des enfants, pornographie illicite et dénonciation calomnieuse. Cela alors que l'avocat de la défense avait requis une peine minimale de 18 mois de prison avec sursis.

Si la présidente du tribunal, Jacquellin Kiss, a pris soin de rappeler que les faits reprochés à ce sexagénaire domicilié à Pratteln (BL) n'étaient pas à prendre à la légère, elle a néanmoins souligné qu'en terme de délits sexuels les infractions commises ne pouvaient pas être considérées comme «très graves».

Quant aux photos que le prévenu avait pris de l'entre-jambe des enfants qu'il gardait, Jacquelin Kiss les a qualifiées de «passives» et de «décontractées». Les juges ont également estimé que les clichés n'avaient pas de caractère sexuel, sauf trois d'entre eux. Une appréciation surprenante, selon la «Balser Zeitung», d'autant plus que les enquêteurs ont retrouvé sur l'ordinateur du rentier AI des photos et vidéos particulièrement choquantes, classées dans deux fichiers différents: «ados moins de 10 ans - fellation» et «ados moins de 10 ans - pénétrations».

Source

Le PS veut révolutionner le processus d’intégration

Maintien de l'ouverture des frontières et renforcement de l'intégration sur le marché du travail: tels sont les principaux axes de la politique migratoire prônée par le PS suisse.

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Le PS appelle à changer fondamentalement la façon d'envisager l'intégration, que ce soit par le biais de la formation ou de l'emploi. Il s'agit de lever les obstacles à l'intégration en permettant aux requérants de travailler, mais aussi d'accéder à des cours de langue dès le premier jour, a notamment plaidé la conseillère nationale Cesla Amarelle (VD).

[...]

Article complet ICI

Asile: Le parti socialiste se battra pour garder nos frontières ouvertes et s’oppose aux renvois Dublin

Le parti socialiste s'attend à une augmentation du nombre de migrants ces prochains mois, ainsi que l'a indiqué son président Christian Levrat. Mais il combattra néanmoins "avec la dernière énergie" toute velléité de fermer les frontières et d'employer l'armée à cette tâche, comme demandé par l'UDC.

Une solution à l'échelle européenne

La Suisse ne solutionnera pas ses questions en matière d'asile sans collaborer avec ses voisins européens, a affirmé le conseiller national zurichois Tim Guldimann. L'Europe se trouve maintenant à la croisée des chemins et doit impérativement réformer le règlement de Dublin, en se donnant les moyens de garantir son application.

40% des migrants arrivés en Suisse sont des "cas Dublin", a expliqué le Zurichois. mais le PS n'est pas favorable à un renvoi des réfugiés vers l'Allemagne ou l'Autriche, aussi longtemps que ces deux pays sont confrontés à des flux bien plus plus élevés que la Suisse.

Source

Belgique : LE PS DÉFEND LA MAJORITÉ SEXUELLE À 14 ANS

Enième fausse bonne idée du PS sous forme de proposition de loi. Eternellement à la poursuite de ce qu’elle considère être le « progrès », la socialiste Lalieux souhaite abaisser la majorité sexuelle à 14 ans au lieu de 16 actuellement.

Combattre l’« hypocrisie conservatrice »

Présenté par le PS comme le fruit d’une volonté de rompre avec l’ « hypocrisie conservatrice » (sic), ce texte aurait pour conséquence immédiate de faire sortir du code pénal l’ensemble des relations sexuelles avec les mineurs de plus de quatorze ans. Est-ce vraiment nécessaire? Est-ce vraiment souhaitable?

A vrai dire, dans la pratique, les Roméo et les Juliette doivent rarement braver les rigueurs de la justice car les magistrats sont le plus souvent capables d’apprécier avec tolérance ce type de situations lorsqu’elles impliquent les plus jeunes. Si l’ « hypocrisie conservatrice » était inscrite dans les textes, comme le prétend assez hypocritement le PS, leur application, elle, est beaucoup plus progressiste. Les condamnations pour viol, de relations entre mineurs sur la seule base de l’âge, ne sont pas fréquentes. Dès lors, pourquoi introduire un changement là où la jurisprudence a déjà procédé aux adaptations nécessaires pour une mise en phase avec la société?

Des ados gavés d’images porno

Ceci pose la question de l’utilité du maintien de la criminalisation des relations sexuelles avec des adolescents. Si à 14 ans, certains disposent de la maturité pour entamer une vie sexuelle, c’est loin d’être une généralité, même en cas de relations consenties. A l’heure de la connexion permanente, où l’énorme pression des réseaux sociaux sur les ados ne cesse de s’accroître en infiltrant tous les pans de leur vie, de l’école à la maison, les pratiques sexuelles des ados sont en pleine mutation. Jamais le sexe n’aura pu faire irruption de façon aussi intrusive, massive et précoce dans leur existence. Il faudra probablement encore de nombreuses années pour mesurer l’exacte étendue des conséquences de cette situation.

Les adeptes inconditionnels du progrès prompts à foncer sans réfléchir, face à un âge des premières relations sexuelles qui ne cesse de baisser, s’empressent de brandir la liberté pour systématiquement dépénaliser, sans se soucier du prédateur qui exploitera cette faiblesse. Pour ce dernier, peut-être lui même mineur, il suffira d’obtenir le consentement d’une jeune victime qui a peut-être « consommé » régulièrement des « gang bangs » depuis ses 10 ans sur son smartphone. Certes, les plus jeunes ne manquent pas de connaissances tant ils sont gavés d’images pornographiques. Sont-ils, pour autant, capables d’assumer sereinement le démarrage de leur vie sexuelle dans de telles conditions?

Pourquoi refuser de s’en remettre au juge pour analyser le contexte dans lequel s’est déroulée une relation avec un mineur afin de déterminer si, oui ou non, elle tombe sous le coup de la loi?

Un abaissement de la majorité pénale?

Quant à systématiquement calquer la législation sur les pratiques en vigueur, si on prend ce chemin, alors on peut se demande combien d’années nous séparent encore de la légalisation de l’excision ou du mariage à 14 ans! Est-ce vraiment cela le progrès auquel les socialistes veulent nous convertir? N’est-ce pas un comble quand on voit à quel point les mariages précoces, que nous dénoncions en octobre dernier ici même, constituent un frein au développement, y compris chez nous!? Ironie du sort ou manque de cohérence, c’est la même Karine Lalieux qui parrainait la conférence de l’ONG Plan sur la question…

Enfin, de façon plus générale, puisqu’il est question de modifier le code pénal, tant qu’à abaisser la majorité sexuelle, pourquoi ne pas avoir commencé par abaisser la majorité pénale? Après tout, l’âge des délinquants ne cesse, lui aussi, de baisser…

Mais on sait le PS toujours très frileux lorsqu’il s’agit de sanctionner.

 TH

Source le peuple.be

Grâce à une alliance Gauche – PDC, Genève va devenir “une ville refuge”

Christian Hofer: Nous parlions de cette affaire déjà ici. On notera que c'est encore une alliance gauche-PDC qui a validé cette décision, la même alliance qui est à la base de l'élection d'une PBD incapable au Conseil fédéral. Rappelons encore que la dette de la ville de Genève se monte à 1,51 milliard de francs à la fin 2015 et que l'Hospice Général lui-même avouait qu'il ne pouvait plus faire face à l'arrivée des migrants. Et devinez que font les socialistes et le PDC?

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Hier, Genève a accepté l’idée de se déclarer «Ville de Refuge» et de soutenir l’objectif d’accueillir en Suisse 50 000 réfugiés, deux propositions contenues dans un appel national lancé par plus de septante personnalités – notamment du monde politique 1), et signé à ce jour par près de 5000 personnes. Ainsi, le Conseil municipal de la Ville de Genève a-t-il renvoyé en commission des finances une résolution socialiste reprenant les termes de cet appel. A savoir l’urgence de la crise migratoire et humanitaire et le concept de «Ville de Refuge», lancé par Barcelone et Madrid qui se sont déclarées comme telles. Un concept visant surtout à favoriser l’accueil de réfugiés par des privés ainsi que les réseaux de soutien.

PLR, UDC et MCG ont été minorisés grâce à l’alliance de la gauche et du PDC.

Le socialiste Emmanuel Deonna a affirmé que la Suisse avait la capacité d’accueillir 50 000 réfugiés. Le Vert Alfonso Gomez a, lui, pointé la faillite de l’Union européenne, accusée de manquer à son devoir d’asile. Genève doit prendre ses responsabilités, ajoute Morten Gisselbaek (Ensemble à Gauche).

Le MCG Daniel Sormanni accuse la gauche de privilégier les réfugiés aux chômeurs genevois et autres précarisés «de chez nous». Pour l’UDC Eric Bertinat, «nous sommes tous simplement débordés par les demandes et ne savons pas où loger ces personnes. Et en plus, la gauche refuse les solutions en abri PC!»

1. L’appel a notamment été signé par les conseillers nationaux Lisa Mazzone (Verts/GE), Chantal Galladé (PS/ZH), la conseillère aux Etats (PS/GE) Liliane Maury Pasquier ou
encore le conseiller d’Etat genevois Antonio Hodgers (Verts). www.change.org/p/appel-national-appel-national-pour-que-la-suisse-accueille-rapidement-50-000

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France: dans l’indifférence générale, l’Assemblée nationale modifie les règles de l’élection présidentielle

Dans un climat survolté, les députés ont réformé les modalités du recueil des 500 signatures, de l’heure de fermeture des bureaux de vote et du temps de parole dans les médias.

Les députés ont adopté jeudi soir en nouvelle lecture la proposition de loi organique modifiant les “règles applicables à l’élection présidentielle”. Applicable pour la prochaine élection présidentielle en 2017, la proposition de loi socialiste modifie profondément certaines règles marquantes du concours présidentiel, comme par exemple l’obligation pour tous les candidats de rendre public les fameux 500 parrainages d’élus.

C’est SÛR, François HOLLANDE se représente en 2017

Depuis la victoire de Hollande, le chômage a progressé de 21%

Une autre disposition, beaucoup plus polémique, concerne la modification de la stricte égalité du temps de parole dans les médias entre les différents candidats. Pour beaucoup de députés d’opposition, ce texte conduit à affaiblir les petits candidats. Les précisions de Valérie Brochard.

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Pendant que les islamistes tuent en Europe, la priorité pour le PS est de désarmer les Suisses

Vercingétorix centralise la récolte des armes dormantes

En 2016, «Vercingétorix» vit toujours. Mais de manière centralisée à l’arsenal de Morges: «Auparavant, nous organisions des demi-journées de récolte décentralisées à Aigle, à Payerne, à Yverdon, à Lausanne et à Nyon. Avec le temps, nous avons observé une diminution des quantités apportées», explique Marc Schöni, chef de la Division affaires militaires et logistique. L’arsenal de Morges adoptera l’horaire continu chaque mardi, de 7 h 30 à 18 h 30 (hors vacances scolaires) à la suite d'une idée lancée par le député Alexandre Rydlo (PS).

L'intervention d'Alexandre Rydlo vise à étendre les heures d'ouverture de l'arsenal de Morges pour permettre aux militaires de milice vaudois de pouvoir accéder aux prestations de l'arsenal de Morges à des heures "normales", soit au-delà de 16h45.

Le député Jean Tschopp (PS) s’est inquiété de la situation. Selon lui, l’opération «Vercingétorix» n’est pas suffisante. Il propose un système de rachat.

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Suisse: Ils veulent ancrer les bilatérales dans la Constitution pour contrer l’UDC

Après l’échec de l’UDC sur le renvoi des étrangers criminels, après la signature par le Conseil fédéral du protocole sur la Croatie, certains parlementaires se sentent pousser des ailes pour sortir le dossier européen de l’ornière. Kathy Riklin (PDC/ZH) et le président du Parti bourgeois-démocratique, Martin Landolt (GL), jugent le climat favorable pour faire revoter le peuple. Peu convaincus des chances d’aboutir à un accord négocié avec l’Union européenne, ou de voir cette dernière accepter une clause de sauvegarde unilatérale, ils souhaitent ancrer dans la Constitution les relations bilatérales.

«A cet effet, nous réclamons un contre-projet à l’initiative RASA», déclare Martin Landolt dans la SonntagsZeitung. Le président du PBD demande au Conseil fédéral de traiter rapidement le texte des professeurs de droit réclamant l’abrogation de l’article 121a introduit le 9 février 2014 avec l’acceptation de l’initiative «Contre l’immigration de masse».

Retoucher la Constitution

Pour le chef du groupe socialiste aux Chambres, Roger Nordmann (PS/VD), il ne fait pas de doute que, «pour remettre d’équerre nos relations avec l’UE, il faudra retoucher la Constitution.

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Mise à jour. Oskar Freysinger, indigné, s’adresse au président François Hollande: “Le PS français pratique une ingérence…”

Pour voir le courrier complet adressé par le Ministre Oskar Freysinger au Président socialiste français F. Hollande et prendre connaissance des seuls passages retenus par les médias, ouvrir le lien ci-dessous :

Oskar Freysinger à la présidence francaise

 

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Christian Hofer: Suite à l'affaire que nous avions publiée ici.

Le conseiller d'Etat valaisan Oskar Freysinger s'indigne de l'ingérence du PS français dans les votations du 28 février prochain. Il s'est fendu d'une lettre au président de la République française François Hollande. En réalité, la procédure n'a rien d'illégal.

Le 17 février dernier, les Français résidant en Suisse ont reçu une circulaire les appelant à rejeter l'initiative de mise en oeuvre de l'UDC. "Ce texte menace le droit de séjour de plus de 2 millions de personnes", indique le texte envoyé par la section du parti socialiste des Français de l'étranger (FFE-PS).

L'initiative UDC constituerait une menace au droit de séjour de près de 120'000 citoyens français ne possédant pas la double nationalité suisse, poursuit le message électronique. Pour diffuser ses consignes de vote, le PS français aurait utilisé les listes électorales consulaires.

"Ingérence caractérisée et grave"

Oskar Freysinger est scandalisé. "Monsieur le président de la République, il est incompréhensible qu'un parti gouvernemental d'un pays ami puisse répandre via les structures consulaires de l'Etat français de telles exhortations à la peur et à la haine", écrit le Valaisan dans sa missive à Paris datée de vendredi.

Il y voit "une ingérence caractérisée et grave dans les affaires intérieures helvétiques", car cet envoi est assimilable à une démarche officielle. Dans le même élan, le ministre en charge de la sécurité en profite pour demander aux Français des mesures contre la "délinquance de vos banlieues qui ne cesse de prendre nos cantons pour cible".

Contactés le consulat de Genève et l'ambassade de France en Suisse n'ont pas été en mesure de prendre position sur cette lettre. Reste que l'initiative du PS français à ses ressortissants n'est pas passée inaperçue dans la blogosphère. La journaliste Liliane Held-Khawam soulève comme Oskar Freysinger la question du mode de transmission via les listes électorales consulaires.

Citoyens informés

Or il s'avère que le thème a déjà occupé le Sénat français en 2014, rappelle-t-elle. Un sénateur se demandait si les consulats de France avaient le droit de transmettre les informations personnelles de résidents français à l'étranger incluant leurs adresses électroniques. La réponse du Ministère français des affaires étrangères est sans équivoque.

La loi prévoit la communication des listes électorales à toutes sortes de destinataires y compris les partis ou les groupements politiques. Elles contiennent l'ensemble des données qui y figurent, adresses électroniques comprises. Les Français qui s'inscrivent sont au courant de cette pratique.

En outre, l'administration ne dispose d'aucun droit de suite ou de contrôle sur l'usage qui pourrait être fait de ces listes ainsi diffusées, et en particulier sur l'éventuelle transmission de ces listes à des tiers. Les doléances du vice-président de l'UDC risquent ainsi bien de rester lettre morte.

Source

 

Le PS invite les étrangers à voter dans leurs langues: “Surtout élisez des socialistes”

Christian Hofer: Nous parlions de cette affaire déjà ici. On découvre maintenant que le Président de ce parti pavoise et se sent très fier de la provocation. Quel Suisse peut encore voter pour ce parti après cela?

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Les socialistes du Nord vaudois ont produit des clip vidéos destinés aux électeurs non-francophones pour les convier à élire leurs candidats. Des voix s'élèvent pour critiquer un encouragement à ne pas s'intégrer.

Le Parti socialiste yverdonnois a lancé mercredi sur des réseaux sociaux ainsi que sur son propre site internet des clips qui invitent notamment en arabe, en tamoul, en kurde, en somali, en grec, les électeurs étrangers à user de leurs droits civiques: participer aux votations du 28 février prochain, et surtout élisez les candidats socialistes! Car depuis 2003, le canton de Vaud les autorise à voter sur le plan communal s'ils bénéficient d’un permis de séjour depuis dix ans et s'ils résident dans le canton depuis trois ans au moins.

topelement

Avec le Président du PS d'Yverdon et candidat la Municipalité, Pierre Dessemontet, les Suisses savent en tout cas pour qui ne pas voter: Ce dernier se prête à cette mascarade en vidéo. 

Dans le journal «24heures», vendredi, une candidate du PS à la Municipalité déclare que ces clips en albanais et en bosniaque seront bientôt édités.

Quant à Pierre Dessemontet, président du PS d'Yverdon et également candidat à la Municipalité, il dit se réjouir de cette démarche et l'assume totalement.

Dans le quotidien «Le Matin», il balaie les critiques en usant de la stigmatisation: il s'attendait à ce que «l'extrême droite» réagisse négativement.

Source

 

somali

L'électrice type du PS aujourd'hui. Cela se passe de commentaire.

Cesla Amarelle (PS): “Le texte de l’UDC instaurerait un climat de peur… pour les étrangers”

Christian Hofer: Effectivement, pour une fois la situation serait peut-être inversée, ce qui est naturellement inadmissible pour une socialiste.
On relèvera toute l'hypocrisie de cette personne qui invente des cas où "le pauvre étranger serait coupable malgré lui", tout en passant sous silence les très nombreuses situations où ce sont les Suisses qui paient le prix du laxisme des juges très à gauche et qui ont peur!
On a très bien vu sur quoi débouchait "l'appréciation du juge" dans de nombreux faits divers, jusqu'au sursis pour du viol! C'est exactement ce que fait la Cour européenne des droits de l'homme en donnant la priorité aux étrangers criminels car "ils ont des enfants" tout en méprisant totalement nos victimes alors qu'ils viennent de briser la vie de l'une des nôtres! On ne compte plus les récidives scandaleuses dont la propagande socialiste est pleinement responsable. On notera encore que pour ce genre de personne, il n'y a eu que "Cologne" alors que de tels actes se sont déroulés dans de nombreux autres endroits. C'est dire par quoi nous sommes dirigés: des incompétents et des ignares!
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Pour la conseillère nationale Cesla Amarelle (PS/VD), l'initiative de mise en oeuvre de l'UDC instaurerait un climat de peur au sein de la population étrangère du pays. Elle estime que le texte est disproportionné et n'apporte aucune solution.

Cinq ans après l'adoption de l'initiative "Pour le renvoi des étrangers criminels", l'UDC revient à la charge avec un second texte strict et détaillé, lancé en 2012 et soumis à votation le 28 février prochain.

Le Parlement a adopté en mars dernier une loi d'application de la première initiative, laissant une marge de manoeuvre aux juges prononçant les renvois. Si le peuple refuse le second texte de l'UDC, la loi élaborée par les élus s'appliquera.

RTSinfo: L’UDC affirme que l’initiative sur laquelle le peuple se prononcera en février constitue une réponse proportionnelle au problème des criminels étrangers, car elle prend en considération la gravité des actes et la présence d’antécédents. Que répondez-vous à cela?

Cesla Amarelle: L’initiative ne respecte pas le principe de proportionnalité en ce sens qu'elle décrète que certaines infractions, dont des infractions mineures, conduisent à un renvoi automatique. L'UDC fait une confusion entre la sanction et l’expulsion. Il y a des personnes qui doivent être sanctionnées. Mais quand l’infraction est de faible gravité, cela ne devrait pas conduire à une expulsion parce que c’est disproportionné. Par exemple, une insulte à fonctionnaire suivie dans une séquence de dix ans d’un tag sur un mur ou du vol d’une bouteille de schnaps dans la caravane du voisin, cela suffit pour provoquer l’expulsion automatique.

Des infractions graves sont également mentionnées dans le texte de l'UDC...

Dans le catalogue des infractions graves, il y a notamment l’abus à l’aide sociale. Dans ce domaine, un simple oubli suffit à provoquer l'expulsion automatique. Prenons l'exemple de quelqu'un qui perçoit des allocations familiales et qui oublie de déclarer un changement de situation, disons son enfant n’est plus en apprentissage car il a pris une année sabbatique. Cet oubli sur plusieurs mois est constitutif d’un abus à l’aide sociale et conduit à une expulsion automatique. Ce texte instaurerait un climat de peur permanent au sein de la population étrangère de Suisse !

Selon l'UDC, le Parlement a refusé de respecter la volonté du peuple en laissant une marge de manoeuvre aux juges dans la loi d'application de la première initiative. Qu'en pensez-vous?

C’est totalement faux ! Le Parlement avait le mandat du peuple de faire une loi et c'est ce qu'il a fait. C'était lui qui était tenu de proposer quelles infractions étaient concernées, puisque la première initiative était très vague à ce sujet. Le Parlement a choisi la manière forte, c'est-à-dire un catalogue d'infractions extrêmement fourni.  Par ailleurs, il a comme mandat de respecter la Constitution. Et c'est ce qu'il a fait en intégrant la clause de rigueur. Il nous paraissait essentiel de donner une marge de manoeuvre aux juges dans les cas exceptionnels, et seulement les cas exceptionnels, en particulier pour les personnes qui sont nées en Suisse ou qui ont toujours vécu en Suisse. Le juge pourra ainsi mettre en balance l'intérêt public de renvoyer une personne avec son intérêt individuel à pouvoir rester, parce que par exemple cette personne a ses enfants en Suisse ou parce qu'elle ne connaît même pas la langue du pays dans lequel elle va être renvoyée.

N'est-ce au fond pas un débat de juristes face à des préoccupations concrètes et pleines d'émotion de la population (sécurité, immigration…) ?

Mais ce que j'explique est plein d'émotion ! Nombreux sont ceux qui connaissent une mère de famille étrangère qui pourrait être concernée. Près de la moitié des Suisses ont une personne étrangère dans leur propre famille. Veut-on vraiment que les gens de notre propre famille vivent à long terme dans une peur permanente de se faire expulser ?

Il y a également l'argument économique. La détention des criminels étrangers dans les prisons suisses a un coût. Que répondez-vous à cela ?

L'UDC n’apporte aucune réponse. Si cette initiative est acceptée, le 29 février, il n'y aura pas de résolution des problèmes majeurs qui existent dans le pays concernant l'expulsion des vrais criminels. Le problème aujourd'hui, c’est l'exécution des renvois. Avec ce texte, nous allons créer un désordre social majeur en Suisse avec une augmentation du nombre de décisions de renvoi qui est évalué à plus de 10'000 par an. Ces personnes ne seront pas toutes expulsées de fait, parce que si elles proviennent de certains pays comme l'Algérie ou le Maroc, l'Etat d’origine refuse le retour au pays. La Suisse ne peut pas faire de vols spéciaux avec des ressortissants algériens parce qu'elle n'obtient pas les laissez-passer pour poser l'avion sur la piste. C’est la même chose au Maroc, car le pays n'a pas d'intérêt majeur à collaborer avec nous sur cette question.

La campagne a débuté dans un contexte particulier après les agressions du Nouvel An à Cologne. Craignez-vous que cela porte préjudice au camp du « non » ?

C'est évident. Je suis encore sous le choc de toute cette affaire. C'est absolument affreux ce qui s’est passé à Cologne. C'est un enjeu majeur de faire en sorte que cela ne se reproduise plus.

Comprenez-vous que les Suisses se sentent concernés et fassent le lien avec cette initiative ?

Oui, mais le rôle du politique est de trouver des solutions et dans le domaine des migrations, les choses sont très différentes les unes des autres. Il semblerait (sic!!!) qu'à Cologne les principaux suspects soient d’origine maghrébine selon les éléments connus, sans vouloir les stigmatiser. Et de nouveau, le problème c'est que nous n'arrivons pas à renvoyer ces personnes. L'UDC peut continuer à taper sur la chaise contre laquelle nous nous cognons tous, mais le parti n'apporte aucune solution.

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Petit rappel pour cette socialiste: La violence des Balkaniques dans notre pays. Violence importée par le PS!

https://www.youtube.com/watch?v=mhanYbXgAcs

Les menaces de mort à l'encontre de nos inspecteurs de l'AI:

En 2009, le Conseil fédéral avait décidé de ne plus reconduire l'accord de sécurité sociale avec le Kosovo, qui expirait en avril 2010. Des enquêteurs chargés sur place de débusquer des abus avaient été menacés de mort.

Suisse: S’évader de prison n’est pas punissable. CF et le PS s’opposent à toute sanction

Le conseiller national Lukas Reimann (UDC/SG) souhaite que les personnes s'échappant d'un établissement pénitentiaire puissent être punies par la loi. Le Conseil fédéral ne partage pas cet avis.

Dans une réponse à une motion déposée par le conseiller national Lukas Reimann (UDC/SG), le Conseil fédéral écrit: «L'interdiction de l'évasion que demande l'auteur de la motion est contraire au principe reconnu selon lequel l'autofavorisation n'est pas punissable. Ce principe distingue l'ensemble de la procédure pénale et il a notamment pour conséquence que nul n'est tenu de déposer contre soi

Interrogé par le «Tages-Anzeiger», Corrado Pardini, qui représente le PS à la commission des affaires juridiques du National, partage l'avis du Conseil fédéral.

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