Un violeur détenu à la prison de Valence s’évade lors d’une sortie au zoo 

En France, avec Eric Dupond-Moretti, qui a transformé les prisons en « clubs Med », les détenus, encadrés par des matons, vont désormais visiter les zoo. Histoire, peut être, de leur montrer que leurs conditions de détention sont moins sévères que celle des animaux encagés. Mais, il arrive que le compte n’y soit plus une fois la visite du zoo terminée.

Le parcours pénitentiaire d’Ahmed B. était ponctué de plusieurs incidents en détention et d’une précédente évasion en 2017 à l’issue de laquelle il avait été rapidement interpellé et réincarcéré. Cette fois, il n’a pas eu besoin d’escalader le mur de la prison et de cisailler les clôtures. Il s’est fait la belle comme un oiseau dans le parc du même nom.

Ainsi, mardi 3 mai 2022, lors d’une sortie au zoo d’Upie (1), un détenu du quartier « maison centrale du centre pénitentiaire de Valence » a fait le singe et s’est évadé. Ahmed B., 43 ans, était incarcéré depuis le 23 novembre 2005 pour purger différentes peines, notamment pour viols sous la menace d’une arme.

https://www.msn.com/fr-fr/news/france/valence-un-d-c3-a9tenu-s-c3-a9vade-lors-dune-sortie-culturelle-au-zoo/ar-AAWUXpj?ocid=uxbndlbing

Ahmed B., 43 ans, a profité d’un court instant de solitude dans les toilettes du parc pour prendre la fuite, au nez et à la barbe des agents pénitentiaires. Immédiatement prévenus, les services de gendarmerie ont déployé d’importants moyens opérationnels afin de localiser le fuyard. Un hélicoptère a notamment été déployé pour survoler la zone. En vain.

L’histoire, confirmée par le procureur de la république de Valence ce mercredi, prêterait à rire si l’évadé « d’Alcatraz- Valence » avait été sous le coup d’une peine légère. Mais, l‘individu de 43 ans avait été condamné à 15 ans de réclusion criminelle pour des faits de viols et d’extorsion sous la menace d’une arme.

En effectuant quelques recherches, on apprend que ce taulard au casier judiciaire bien chargé n’en était pas à son coup d’essai. Il s’était déjà évadé de prison en 2017. Incarcéré depuis 2005, il venait de purger une peine de quinze ans de réclusion criminelle pour des faits de viols et d’extorsion commis sous la menace d’une arme. Cette condamnation avait été prononcée en 2008 par la cour d’assises du Rhône.

Le violeur anticipe une libération prévue en mai 2025

Ce détenu avait ensuite été transféré en mai 2021 à Valence afin d’effectuer le reste de « multiples » condamnations de différentes natures : atteinte aux biens et aux personnes, infractions liées aux stupéfiants, infractions au Code de la route. « Sa libération était prévue le 31 mai 2025 », indique la procureur de Valence.

Bref, selon les services d’Eric Dupond-Moretti, ministre de la justice et candidat aux prochaines élections législatives, cet hôte des services pénitentiaires « n’était pas vraiment un mauvais bougre…Réinsérable…Même dans un zoo… ». Certes, son parcours en prison avait été ponctué de « plusieurs incidents ». L’administration pénitentiaire avait néanmoins, relevé « depuis plusieurs mois » un changement, « une dynamique positive dans son comportement ». Selon le parquet de Valence, le détenu suivait une formation et avait commencé à indemniser ses victimes. Il s’était également inscrit sur une liste d’attente pour travailler. C’est la raison pour laquelle, l’administration et le juge d’application des peines lui ont accordé cette permission de sortie culturelle sous la haute surveillance de quatre gardiens bien baraqués..

« Cette permission était prévue sur la journée dans un zoo afin de préparer l’individu à sa future sortie et d’évaluer ses capacités de réinsertion », tente de justifier le parquet.

Recherché, dans un premier temps dans l’enceinte du zoo, par les agents de l’administration pénitentiaire, ce « drôle d’oiseau » est resté introuvable. Les gendarmes ont alors été alertés et un dispositif a été mis en place pour tenter de retrouver le fugitif à l’extérieur du zoo. Il n’allait quand même pas se planquer dans l’enclo des zébus ou des lémuriens.

Le quadragénaire du centre de détention de Valence est toujours activement recherché ce mercredi 4 mai par les militaires drômois.

Bien sûr, une enquête a été ouverte dans la foulée du chef d’évasion avec flagrance et confiée à la Section de recherches de Grenoble en co-saisine avec le Groupement de gendarmerie de la Drôme. Les investigations étaient toujours en cours sous la direction du parquet de Valence mercredi après-midi. «Compte tenu du profil de l’intéressé et dans un souci de préservation de l’ordre public, tous les moyens sont engagés afin de rechercher activement ce condamné. Un mandat de recherche et un mandat d’arrêt ont été décernés mardi à son encontre», précisait une des responsables de l’enquête, jointe par téléphone.

La bonne nouvelle : les autres détenus de la prison de Valence qui visitaient le zoo ce jour là ne se sont pas évadés et ont regagné leurs cellules.

Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411

 

Consulter ces articles pour un complément d’information :

https://www.20minutes.fr/faits_divers/3280199-20220429-chambery-les-deux-detenus-qui-ont-tente-de-s-evader-renvoyes-a-la-maison-d-arret

https://www.20minutes.fr/faits_divers/2987451-20210228-perigueux-deux-detenus-evadent-sciant-barreaux-prison

https://www.tf1info.fr/justice-faits-divers/drome-un-detenu-profite-d-une-sortie-au-zoo-pour-s-evader-2218670.html

 

(1) Le zoo d’Upie – Le jardin aux oiseaux ou zoo d’Upie est un parc zoologique de six hectares, créé en 1976 et situé à Upie, au sud de l’agglomération de Valence, dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ouvert toute l’année, ce parc à l’entrée payante, présente aux visiteurs deux cents espèces d’oiseaux, correspondant à environ un millier de ces animaux , mais aussi de nombreuses espèces de mammifères, tels que le chien-loup, le zébu, le lama, et le wallaby, ainsi qu’une espèce de reptile. En outre ce parc est présenté comme un centre de reproduction pour espèces menacées.

La pornographie est-elle un droit de l’homme ?

Par ECLJ

C’est la question que la Cour européenne des droits de l’homme a accepté de trancher. Saisie par un prisonnier qui se plaint de s’être fait confisquer ses revues à caractère pornographique, la Cour doit juger si les prisons peuvent légitimement interdire la possession et l’usage de tels documents.

Les faits de cette affaire peuvent être très succinctement résumés : le requérant purge une peine de prison en Slovaquie pour un double meurtre et se plaint de s’être vu retirer des documents pornographiques, et d’avoir été sanctionné pour cette infraction au règlement de la prison. Selon lui, cette confiscation et l’interdiction générale de posséder de tels documents portent atteinte à sa vie privée et à sa liberté d’expression.

La Cour jugera si l’accès à la pornographie en prison est un droit garanti par la Convention européenne des droits de l’homme.

L’ECLJ a été autorisé par la Cour à intervenir dans cette affaire et a soumis des observations écrites (accessibles ici en français).

Dans ses observations, l’ECLJ a tout d’abord rappelé que la pornographie est intrinsèquement immorale. Dès lors, les États peuvent, ainsi que l’indique la Convention européenne, limiter certaines libertés pour protéger la morale, ainsi que la sécurité, la santé, ou les droits d’autrui. La protection de la morale est une prérogative d’État reconnue par la Convention aux articles 8, 9, 10, 11 et 21.

L’ECLJ s’appuie sur son rapport « Pornographie et droits de l’homme » (2020) pour indiquer à la Cour que de nombreuses recherches établissent qu’une utilisation répétée de la pornographie cause un risque de dépendance, ainsi que de nombreuses pathologies psychologiques et des troubles relationnels. Celle-ci dévalorise systématiquement les personnes et incite à la violence, à l’agressivité et même au sadisme ou au masochisme. La dévalorisation de la femme est quasi-systématique dans la pornographie, où elles sont présentées de façon stéréotypée et humiliante.

L’ECLJ souligne également qu’il est d’autant plus légitime de protéger les détenus des effets pervers de la pornographie que ces personnes y sont particulièrement vulnérables. Leur isolement et oisiveté accroît le risque de dépendance. L’incitation aux violences pulsionnelles causée par la pornographie est encore plus problématique s’agissant des prisonniers coupables de violences sexuelles. Il en résulte que ne pas prévenir dans ces lieux de détention la diffusion de matériel pornographique serait un manquement au devoir de l’État de veiller à la bonne santé de ses détenus, à leur sécurité, aussi qu’à leur réinsertion.

Certes, durant ces dernière décennies, la Cour européenne a fait une application très réduite de la protection de la « morale », la couvrant du voile pudique de la vie privée. Toutefois, s’agissant de la pornographie, d’autres motifs, relatifs à la santé, la sécurité et la dignité, militent en faveur d’un plus grand contrôle. La société semble d’ailleurs prendre de plus en plus conscience de la nocivité de la pornographie et de la nécessité d’en protéger les protagonistes ainsi que les personnes jeunes et vulnérables. Deux projets de résolution sont actuellement à l’étude au sein de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe, qui recommandent aux États un plus grand contrôle, sous l’angle des droits des femmes et des enfants.

L’ECLJ forme le vœu que la CEDH saura faire prévaloir une interprétation des droits de l’homme respectueuse de la santé et de la dignité humaine.

À cette fin, pour soutenir les actions de l'ECLJ auprès des institutions européennes, vous pouvez signer et partager notre pétition :

La pornographie n’est pas un droit de l’homme

Lire le texte complet de la pétition

lien vers la vidéo: Comment lutter contre la pornographie en ligne ? (15:29)

 

Suisse : Il faut six gardiens pour neutraliser Carlos (Vidéo)

Le délinquant récidiviste Brian [NDLR : Surnommé Carlos] pousse la justice suisse dans ses derniers retranchements. En prison, il a détruit une cellule spéciale de 1,85 million. Avant cela, il s'en prenait aux gardiens et aux autres détenus. D'où lui vient cette colère ? C'est ce qu'il a expliqué mercredi à la télévision pour la première fois.

C'est un fauteur de troubles, un émeutier et un cogneur. Même en prison, Brian K.* (25 ans) alias "Carlos" est inarrêtable. Le kickboxer a attaqué un gardien ou a attaqué des codétenus. L'année dernière, le tribunal de l'arrondissement de Zurich l'a condamné à quatre ans de prison, plus une courte période d'internement. En d'autres termes, les juges ont ordonné une mesure thérapeutique d'hospitalisation. Le délinquant a fait appel de cette ordonnance. Il a récemment détruit une cellule spécialement construite pour lui dans la prison de Pöschwies, dont le coût est de 1,85 million de francs.

 

 

Mais le jeune homme de 25 ans n'a pas été impressionné par cela. "Cela s'est cassé si rapidement que j'ai été surpris moi-même", déclare Brian K. dans un documentaire de l'émission de la SRF "Rundschau", qui lui a rendu visite en prison. Il a simplement paniqué parce qu'il a découvert des caméras dans sa cellule.

D'autres images de Pöschwies montrent la force et la rage du jeune homme. Elles ont été prises le 9 avril 2019, lorsque six membres du personnel pénitentiaire ont été appelés pour l'emmener en promenade. Ils le sortent de sa cellule avec un équipement de protection complet. L'atmosphère est tendue - et se dégrade finalement. Brian K. crache en direction des fonctionnaires. Une échauffourée s'ensuit. Ils parviennent à le maîtriser seulement à six. La promenade n'aura pas lieu.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch

Les autorités allemandes sévissent contre les « dissidents du changement climatique ».

Sky News Australie

Selon la youtubeuse et climatoréaliste Naomi Seibt, les gouvernements du monde entier répriment la dissidence, en particulier lorsqu'il s'agit de questions controversées comme la réponse au Covid-19 et au changement climatique.

Mme Seibt est actuellement menacée d'emprisonnement par les autorités allemandes après avoir refusé de retirer trois de ses vidéos, les autorités affirmant que ses vidéos ne sont pas conformes à la loi.

"Ils font une utilisation abusive de la "crise" climatique pour pousser à la tyrannie et pour faire taire les personnes qui ont des opinions différentes ou qui font leur propre recherche", a déclaré Mme Seibt à Sky News.

"Une fois de plus, nous voyons cet État s'opposer à des personnes comme moi et essayer de nous faire taire", a-t-elle dit.

"Je les ai faites (les vidéos) parce que je m'en tiens à ce que je dis, et je mets en doute la science qu'il y a derrière le programme mainstream de lutte contre le changement climatique."

"Je crois que la plupart des militants pour le climat ne savent pas de quoi ils parlent et qu'il y a beaucoup de propagande.

"Nous devons faire pression contre cela et nous battre pour plus de réalisme climatique et pour réimposer la liberté d'expression."

Traduction Cenator

(Sous-titres disponibles en traduction automatique)

******

voir aussi: Les climatosceptiques ont aussi leur égérie : Naomi Seibt l’anti-Greta

Médias. RTS. Mehmet Gultas et sa camarade au secours de Greta Thunberg

Prisons suisses : Proportion la plus faible d’étrangers depuis 15 ans. « Seulement » 70% d’étrangers

 

La proportion d'étrangers en prison n'a jamais été aussi basse en 15 ans: sur les 7000 personnes emprisonnées en Suisse à fin janvier 2020, 70% (4807) étaient de nationalité étrangère. Les prisons ne sont pas non plus surpeuplées, avec un taux d'occupation de 93,7%.

Le nombre de détenus étrangers a diminué de 4% en un an, a indiqué le criminologue Marcelo Aebi, revenant sur une publication de l'Office fédéral de la statistique sur les incarcérations lundi.

[...]

20min.ch

Nos remerciements à Wilhou


Rappels :

Cet article évite évidemment de mentionner le fait que les individus naturalisés sont classés en tant que "Suisses" même s'ils n'ont rien à voir avec notre pays, notre culture, nos traditions et qu'ils agissent en suivant une logique ethnique.

Màj. Eclairage UW – « NOS djihadistes » : stade ultime de notre laxisme généralisé, notamment en matière de naturalisation – 05.02.2019

Genève: Pierre Maudet encourage la naturalisation afin de contrer l’initiative UDC

Genève: Pierre Maudet reconnait avoir facilité la procédure de naturalisation « Genève naturalise à tour de bras. »

Matteo Salvini risque jusqu’à 15 ans de prison pour avoir endigué l’immigration illégale

Le patron de la Ligue est accusé de séquestration de personnes pour avoir bloqué un bateau de migrants au large de la Sicile, quand il était ministre de l’Intérieur. 

Durant son année à la tête du ministère de l’Intérieur italien, Matteo Salvini n’a eu de cesse de lutter contre l’immigration clandestine. Une politique qui se retourne contre lui. En effet, le Sénat italien a autorisé, ce mercredi 12 février, le renvoi en justice du patron de la Ligue, accusé de séquestration de personnes, pour avoir bloqué un bateau de migrants au large de la Sicile, rapporte notamment Le Figaro. Son immunité parlementaire a également été levée par le Sénat.

Salvini rappelle son « devoir » de défendre les frontières

[…] Mais Matteo Salvini devra sans doute attendre plusieurs années avant de connaître le verdict définitif, compte tenu de la lenteur de la justice italienne et des possibilités de recours. Durant son intervention, avant le vote des sénateurs, l’homme fort de la droite italienne a « revendiqué avec orgueil » son action en tant que ministre. Il a expliqué qu’il était de son « devoir » de défendre les frontières du pays quand il était ministre de l’Intérieur. « Mes deux enfants ont le droit de savoir que, si leur papa était souvent loin de la maison, ce n’était pas pour séquestrer des personnes mais pour défendre les frontières et la sécurité du pays », a-t-il fait valoir. « Les adversaires doivent être battus dans les urnes, pas dans les tribunaux », a-t-il insisté.

[…]

Source : Valeurs actuelles (12.02.2020)

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Rappels :

La capitaine du navire Sea-Watch arrêtée après avoir forcé le passage pour accoster à Lampedusa

«Commandante arrêtée, navire mis sous séquestre»: Salvini sur le Sea-Watch ayant forcé le barrage de Lampedusa

L’impunité pour la capitaine du Sea Watch 3 légitime le droit à l’invasion et bafoue le droit d’une nation à la souveraineté

Italie : 135 migrants bloqués sur un navire des garde-côtes

Salvini : Etre dénoncé par une communiste, passeuse de migrants, c’est une médaille !

Goldnadel TV : Le mauvais procès fait à Salvini : Quand le gouvernement des juges opprime le peuple

Épidémie: Hôpital mobile hongrois construit en 18 jours et usine où les détenues cousent des protections covid

Viktor Orbán a visité l'hôpital épidémique mobile le plus moderne d'Europe. Le centre de soins de Kiskunhalas a été construit en 2 semaines et demie. Le Premier ministre s'est rendu aussi à l'hôpital local et a consulté les responsables de l'institution au sujet du contrôle épidémiologique.

Viktor Orbán a également visité une usine de conteneurs, où les femmes détenues, qui cousaient habituellement des uniformes, produisent maintenant des vêtements de protection pour les visiteurs.

France. Coronavirus : Mutineries dans les prisons de Draguignan, Béziers, Marseille, Roanne, Sequedin et Aix-Luynes

Selon le site spécialisé actupenit.com de nombreux incidents ont eu lieu ce samedi dans de nombreuses prisons de France. Béziers, Marseille, Roanne, Sequedin et Aix-Luynes sont principalement concernées.

Les ERIS (équipe régionale d’interversion et de sécurité) ont été sollicitées pour intervenir afin de rétablir la situation dans plusieurs établissements.

France 3


Les forces d’intervention sont sur place. Les détenus refuseraient de rentrer dans leurs cellules.

(…)

Midi Libre

Via Fdesouche

Christine Tasin condamnée à 4 mois de prison avec sursis pour apologie du terrorisme !

COMMUNIQUÉ DE RIPOSTE LAÏQUE- Pierre Cassen

La 10e chambre correctionnelle de Paris vient de rendre son verdict. Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine, qui lutte depuis de longues années contre l’islamisation de notre pays, vient donc d’être condamnée à quatre mois de prison avec sursis, pour apologie du terrorisme.

La plainte émanait du CCIF, association proche des Frères musulmans, qui se livre à un véritable djihad judiciaire, en France, pour interdire toute critique de l’islam, comme si notre pays, qui a longtemps symbolisé l’insolence, l’irrévérence et la parole libre, devait se soumettre aux lois de la charia. Cette officine a ainsi, entre autres, déposé plainte contre Georges Bensoussan, Éric Zemmour, Pascal Bruckner, Céline Pina et même Natacha Polony !

Le parquet a relayé la plainte de l’association, et a appuyé, à deux reprises, la demande des avocats du CCIF (dont l’un, Ouadie El Hamamouchi est un élu socialiste) de différer la date du procès, sous l’incroyable prétexte qu’ils n’auraient pas eu le temps d’étudier le dossier. Et cela fut accordé à deux reprises, alors que l’accusée avait fait le déplacement.

Lors du procès, qui se tint enfin, au mois de décembre, le procureur osa demander 6 mois de prison, dont 4 mois fermes, sans cacher une volonté de faire taire, ainsi, Christine Tasin, et lui interdire toute critique de l’islam, et toute information sur ce dogme qui sortirait du politiquement correct.

Dans un contexte où la jeune Mila, 16 ans, ne peut plus aller à l’école depuis deux semaines, pour avoir dit, en termes crus, le mal qu’elle pensait de l’islam et du Coran, et où elle subit menaces de mort et de viols, ce verdict ne peut qu’encourager les soldats d’Allah qui, sur le territoire français, entendent interdire, par la menace ou la violence, 5 ans après les meurtres de Charlie Hebdo, toute critique de leur dogme.

Cette condamnation, voulue et impulsée par le parquet, aux ordres du gouvernement, se situe quelques semaines après l’incroyable verdict délivré contre l’écrivain Renaud Camus, condamné à deux mois de prison avec sursis, et à une lourde amende, pour avoir affirmé qu’il préférait la guerre à la soumission !

Elle se situe dans le contexte où Éric Zemmour, qui, quatre soirs par semaine, redonne de l’oxygène au débat démocratique sur CNews, sera jugé dans quelques semaines pour incitation à la haine, suite à ses propos tenus lors de la Convention de la Droite.

Marine Le Pen et Gilbert Collard seront d’autre part jugés, eux aussi, pour apologie du terrorisme, pour avoir diffusé des images de la barbarie de Daesch, suite à une comparaison scandaleuse du journaliste Jean-Jacques Bourdin entre l’État islamique et le Front national.

Lors de l’énoncé du verdict, le président a fait savoir que ce verdict était bienveillant pour l’accusée, qui n’a pas été condamnée à de la prison ferme, et a expliqué que cela était sa dernière chance, et qu’elle devait le comprendre.

Naturellement, Christine Tasin fera appel, et, loin de se laisser intimider, continuera un combat mené depuis près de 15 ans, avec Riposte Laïque et Résistance républicaine, puisque, quotidiennement – il suffit de consulter l’actualité, en France et dans le monde – les faits, hélas, lui donnent raison.

Pierre Cassen

Fait à Paris, le 4 février

source:

Lire également :

https://resistancerepublicaine.com/2020/02/04/apologie-du-terrorisme-4-mois-de-prison-avec-sursis-pour-christine-tasin-mais-zekri-toujours/

 

Belgique : Une directrice de la prison agressée et blessée par un détenu armé d’une arme artisanale lors d’une audience disciplinaire

Genève : Les femmes voilées pourront rendre visite à leurs maris incarcérés

En octobre, une femme voilée n'a pas pu rendre visite à son mari incarcéré à la prison genevoise de Champ-Dollon. Elle a été priée de l'ôter ou de partir. Elle a choisi de partir, raconte «Le Temps». Comme elle, plus d'une centaine de femmes n'ont pas pu voir leur conjoint depuis décembre 2018 et l'entrée en vigueur d'une nouvelle directive voulue par l'ancien directeur des lieux. Celle-ci stipule que tout couvre-chef est proscrit, pour des raisons sécuritaires (éviter que des objets soient introduits dans ou sortis de la prison): voile, mais aussi kippa, capuchon ou casquette.

[...]

Finalement, l'Office cantonal de la détention a décidé d'adopter dès janvier 2020, à la satisfaction du conseiller d'Etat Mauro Poggia, la solution utilisée dans les aéroports: le voile et la kippa sont ôtés durant la fouille, et remis ensuite. La casquette et le capuchon demeureront en revanche interdits.

20min.ch

Nos remerciements à Wilhou

 


On rappelle que Mauro Poggia s'est converti à l'islam pour marier une riche tunisienne.

"Le droit tunisien impose au mari non musulman de le devenir, faute de quoi le mariage n’existe pas." Cette discrimination ne choque évidemment ni nos socialistes suisses ni ceux qui invoquent systématiquement les droits de l'homme lorsqu'il s'agit de sanctionner la Suisse au moindre jugement non politiquement correct.

"Il vaut ainsi mieux être né de père inconnu que d’un père non musulman connu et marié ! En effet, une procédure spéciale permet d’acquérir les droits tunisiens pour celui-là, mais pas pour celui-ci."

Blog d'Olivier Emery

France. Téléphones fixes dans les cellules : Les gardiens dépassés par la situation. « Même Abdelkader Merah a accès au téléphone »

C'est évidemment le gouvernement de gauche de Macron qui est derrière cette énorme stupidité, Nicole Belloubet, la Ministre de la Justice étant une socialiste.

 

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Depuis le début du mois de juillet, la quasi totalité des cellules de la prison de Condé-sur-Sarthe sont équipées de téléphones fixes. Une installation qui devrait concerner 50 000 cellules françaises d'ici à 2020. Le but : réduire le trafic de téléphones portables.

Seuls les quartiers disciplinaires n'ont pas de combiné. Le quartier de prise en charge de la radicalisation en est pourvu. D'après le syndicat FO Pénitentiaire, Abdelkader Merah, le frère de Mohamed Merah, transféré à la prison de Condé-sur-Sarthe début août a, par exemple, accès au téléphone dans sa cellule.

Mais les surveillants pénitentiaires ne sont pas assez nombreux pour écouter toutes les conversations en direct. Le décalage d'écoute a déjà pris 48 heures de retard pour certains détenus à Condé-sur-Sarthe... un danger pour cette prison où se trouvent les plus dangereux du pays.

 

 

Une sorte de cabine téléphonique dans les cellules

Le téléphone proposé n'est pas une ligne comme les autres. Le détenu ne peut pas recevoir d'appels et ne peut composer que le numéro qui a été au préalable enregistré par l’administration, dont l'adresse et le nom du correspondant a été justifié par des factures.

Une précaution qui n'en est pas une, selon les gardiens de prison : "une fois que le numéro est composé, les familles à l’extérieur transfèrent les appels sur d’autres téléphones portables et organisent des conférences. Ca discute en langue étrangère et les agents ne peuvent traduire. On passe à côté de pleins de choses. A l’heure actuelle c’est impossible de suivre les conversations en direct. Elles ont lieu le soir, elles durent parfois plus d’une heure et demi. On risque de passer à côté de choses. Et comme il s'est passé le 5 mars, qu'on se rende compte après l'attaque que cela aurait pu être évité. " explique un surveillant à la prison de Condé-sur-Sarthe, représentant local du syndicat Force Ouvrière.

Avec les téléphones fixes et le manque de moyens humains, le personnel se sent vulnérable face à un dispositif jugé, qui plus est, inutile. "Un détenu qui veut trafiquer ne passent pas par les fixes" ajoute le surveillant.

Renforcer le lien familial ?

Pourtant, à l'annonce de cette mesure, Nicole Belloubet, la Ministre de la Justice se montrait confiante sur son intérêt : "nous considérons qu'il y là une question de sécurité, qu'il y a là également un allégement des taches pour les surveillants et également une question de lien familial"

[...]

France3-regions.francetvinfo.fr

 

A lire également :

Téléphones fixes dans les cellules : un contrôle impossible faute de personnel

Genève : installation de téléphones dans les cellules de prison. « Les délits et l’évasion seront grandement facilités. »

Par Céline Amaudruz, UDC

L'UDC du canton de Genève prend acte "avec grand plaisir" de la décision d'équiper les cellules de la future prison des Dardelles de combinés téléphoniques. Comme nous le fait savoir le Département de la Sécurité, il s'agit là d'un "outil primordial" dans le maintien des liens familiaux et de la resocialisation future des détenus." Bien évidemment, les esprits chagrins n'ont pas manqué de mettre en évidence le risque que les bénéficiaires de cette innovante facilité puissent en abuser pour pérenniser depuis l'intérieur l'activité extérieure qui leur a valu leur séjour.

On cite notamment le trafic de drogue, commerce qui se pratique volontiers au travers des moyens de communication modernes. Les instigateurs ont bien sûr devancé cette objection obtuse par le fait que le Ministère public sera à même de placer des écoutes téléphoniques en cas de soupçons, ce qui ne devrait pas se produire, compte tenu qu'"un accompagnement socio-éducatif spécifique et des mesures individualisées sont prévues." Certes, les gardiens, hostiles au changement comme tout le monde le sait, font savoir qu'il n'existe aucune base légale pour surveiller les échanges entre détenus et monde extérieur mais sornettes que tout cela.

Plus sérieusement, on ne peut que déplorer le fait que le DS n'apprenne jamais de ses erreurs. L'accompagnement socio-éducatif rappelle de tristes souvenirs dans notre canton, qui a clairement montré ses limites face à des crapules invétérées. Le problème de la langue ne manquera pas de se poser eu égard à l'internationalisation poussée de la clientèle. On ne risque rien à imaginer que les adeptes du tchourama ou du kaansa ne sont pas nombreux dans l'administration. Il sera ainsi facile pour les résidents aux idiômes rarissimes de poursuivre leurs activités délictueuses depuis leur cellule. Le but ultime de tout détenu, à savoir s'évader, sera grandement facilité eu égard aux instructions fournies à ses complices par le détenu dont la connaissance des lieux sera précieuse.

Pour conclure, on constate qu'une nouvelle fois, c'est aux auteurs qu'on pense en termes de bien-être, les victimes restant désespérément seules avec leur douleur. Jusqu'à quand ?

Facebook de Madame Amaudruz

 

Genève : Les détenus pourront téléphoner de leur cellule

Un poste de téléphone dans chaque cellule de prison. Ce concept «sera mis en œuvre aux Dardelles», confirme le Département cantonal de la sécurité (DS).

Ce projet est le fruit d’une réflexion «menée depuis plusieurs années». Il constitue un «outil primordial» dans le maintien des liens familiaux par exemple, et la resocialisation future des détenus. Si les communications seront libres pour les détenus purgeant leur peine, le risque de voir un trafic ou une évasion s’organiser depuis une cellule «ne peut être totalement exclu», admet toutefois le DS.

(...)

20Minutes.ch

 

Belgique : Visite refusée dans une prison car elle porte un «short trop court» en «plein ramadan»: l’établissement a obligé Jeanne à se changer

Au début du mois de juin, Jeanne (prénom d’emprunt) a failli se faire refuser une visite pénitentiaire au motif que « son short était trop court et que nous étions en plein ramadan », nous assure-t-elle. Jeanne a dû se changer avec les affaires de son ami détenu pour accéder à la salle commune des visites.

 

Jeanne aurait porté cette tenue le jour de sa visite

 

L’administration de la prison confirme l’incident mais évoque une tenue « choquante pour certains ». «  J’avais apporté des affaires à mon ami détenu. J’ai dû les enfiler pour pouvoir accéder à la salle des visites. Je me suis changée derrière un rideau transparent près de la salle des visites  », raconte Jeanne (prénom d’emprunt). «  C’est la première fois que cela m’arrive  », nous précise-t-elle.

Les gardiens lui auraient également indiqué que deux autres femmes s’étaient vues refuser l’entrée à la prison pour les mêmes motifs. «  C’est scandaleux, je veux juste qu’on me respecte  », ajoute Jeanne.

Source Source2

Belgique. L’islamiste radicalisé en prison est loin d’être un cas isolé : « En prison, ils l’ont travaillé durant des mois. Les Belges sont minoritaires. » explique un gardien de prison (Vidéo)

Aujourd’hui les prisons semblent être le berceau du jihad. Les plus faibles d’esprit ont recourt à l’endoctrinement des terroristes, qui ont mis au point une véritable stratégie de domination sur les autres prisonniers. Le phénomène inquiète profondément les gardien pénitentiaires, d’après eux Benjamin Herman a été la cible des radicaux. 

 

 

Les prisonniers qui sont allés combattre aux côtés de l’organisation terroriste Etat Islamique sont considérés comme de véritable héros parmi la communauté des radicalisés.

 

"Je suis convaincue à 100% que les futurs terroristes sont dans les prisons. J’en ai déjà 10 en tête qui sont prêts à passer à l’acte"

 

Les détenus qui reviennent de Syrie vantent leurs crimes et leurs échanges reposent sur le nombre de morts dont ils sont la cause.

Face à ce terrible fléau, les gardiens de prisons laissent parler leur inquiétude et expriment leur désarroi: « Des radicaux qui prêchent et essayent de convertir les autres Belges, il y en a partout ». « Je ne vois pas comment le gouvernement belge peut trouver des solutions pour stopper ce phénomène ».

Un gardien de prison (dans la vidéo) : « Dans les prisons (…) les Belges sont minoritaires, minoritaires… ils sont pris dans la masse »

RTL.be

Jawad relaxé, 3 mois de prison, même avec sursis, pour Pierre Cassen, cela fait désordre…

Comment mieux résumer la France de Macron ? Dans notre pays, un djihadiste dealer qui héberge des terroristes se retrouve en liberté, mais…

On me condamne, dans les circonstances ahurissantes que je décris dans cette vidéo, que j’ai réalisée rapidement chez des amis, à cause de problèmes techniques, à 3 mois de prison avec sursis.

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Dans ce pays, on condamne 5 jeunes Identitaires à 1 an de prison avec sursis, et à des amendes exorbitantes.
Dans ce pays, on harcèle judiciairement Christine Tasin.
Dans ce pays, on multiplie les plaintes contre Robert Ménard.
Dans ce pays, on oblige Mohamed Louizi à faire une grève de la faim, après six plaintes déposées contre lui par des islamistes, quand celles qu’il dépose ne sont pas instruites.
Dans ce pays, on condamne l’apostat Pascal Hilout, né Mohamed, mais on fout une paix royale au CCIF ou aux Indigènes de la République, qui ne cachent pas leur volonté d’islamiser notre pays, ni leur haine des Français blancs.
Dans ce pays, on condamne une oeuvre du cinéaste Gérard Boyadjian, coupable de délit d’audace.
Dans ce pays, on condamne le blogueur Boris Le Lay à des peines de prison supérieures à celles d’islamistes qui ne cachent pas leur inféodation à Daesch.
Dans ce pays, on traîne le talentueux Eric Zemmour devant les tribunaux.
Dans ce pays, enfin, nombre de Français, coupables de trop aimer leur pays, sont harcelés par une véritable police politique, au service du régime, et par trop de magistrats, qui ne rendent plus la justice au nom du peuple français, mais au nom de leur idéologie mondialiste et multiculturelle.

Je m’adresserai, suite à cette condamnation inique, que je vais essayer de contester, aux lecteurs de Riposte Laïque ce jeudi, à 13 heures, pour expliquer quelques dessous croustillants de cette condamnation, et mettre en place la meilleure riposte possible.

Pierre Cassen

Source Riposte Laïque

Suisse Romande: 80% des prisonniers sont des étrangers. « On paie le prix fort de l’immigration » dixit Franz Walter, Directeur établissement de détention fribourgeois

Surpopulation dans les prisons romandes.

L'une des raisons principales est que les cantons paient la facture de la politique d'immigration qui a des effets secondaires considérables. Tandis qu'en Suisse alémanique c'est 50 à 60% de la population qui est étrangère.

La population, âge moyen 35 ans.

Principalement:

- Afrique noire

- Maghrébins

- Et une grande importation des Maghrébins de la France

 

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Corse : trois détenus blessent deux gardiens de prison à l’arme blanche en criant « Allah Akbar ».

Deux gardiens de prison ont été blessés, dont un gravement, touché à la gorge d'un coup de couteau, par trois détenus de la maison d'arrêt de Borgo, en Haute-Corse. L'un d'eux aurait crié «Allah Akbar», selon un délégué syndical.

Trois détenus ont attaqué deux gardiens de prison à la maison d'arrêt de Borgo, en Haute-Corse le 19 janvier, selon la direction de l'administration pénitentiaire. Agressés à l'arme blanche, les deux agents ont été transféré vers l'hôpital de Bastia : l'un d'entre eux se trouve dans un état grave après avoir été touché à la gorge, mais son pronostic vital n'est pas engagé.

Le procureur Caroline Tharot n'a pour l'heure donné aucune précision supplémentaire sur les circonstances de l'agression, survenue en plein mouvement de contestation national des surveillants de prison. Selon un délégué syndical pénitentiaire cité par Corse Matin, un détenu aurait crié «Allah Akbar».

D'après une source proche de l'enquête, l'auteur des faits s'est retranché dans sa cellule avec un ou deux complices. Un périmètre autour de la prison a été bouclé et une dizaine de véhicules de CRS sont arrivés vers 11h devant la maison d'arrêt, où la direction de l'administration pénitentiaire a confirmé à l'AFP qu'une opération de police était en cours. Il y avait des soupçons de radicalisation autour de ce détenu, qui ont été confirmés ces derniers mois par des écoutes téléphoniques transmises au procureur de la République qui a ouvert une enquête, a ajouté cette source.

La ministre de la Justice Nicole Belloubet a publié un communiqué pour exprimer «tout son soutien et son attention» aux deux agents, suite à  «l’agression grave et intolérable» dont ils ont été victimes.

Cette agression survient à la suite de plusieurs autres dans différents centres pénitentiaires en France. Alors que la mobilisation des surveillants pénitentiaires réclamant plus de sécurité pour mener à bien leur mission battait son plein, sept surveillants avaient été agressés le 15 janvier en fin d’après-midi par un détenu radicalisé au centre pénitentiaire de Mont-de-Marsan.

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