“Je ne parle qu’aux gens sobres” lance Matteo Salvini à Jean-Claude Juncker

Une phrase lancée par Jean-Claude Juncker sur le projet de budget italien a fortement déplu à Matteo Salvini. Le Luxembourgeois avait estimé que le projet de budget italien présenté par Salvini qui prévoyait un déficit de 2,4% du PIB pour les trois années à venir (contre 1,6% envisagé précédemment) était "hors des clous".

La veille, Juncker avait fait fait part de son inquiétude en expliquant qu'il ne voulait pas " après avoir géré la très difficile crise grecque, nous nous retrouvions dans une nouvelle crise, cette fois-ci en Italie".

Ces remarques ont fortement déplu au chef du parti eurosceptique d'extrême droite "La Ligue" qui a expliqué asséné sèchement sur une chaîne italienne : "Je ne parle qu'avec des gens sobres qui ne font pas de comparaisons qui ne tiennent pas la route".

"Il devrait boire deux verres d'eau avant d'ouvrir la bouche, et arrêter de répandre des menaces non-existantes" a-t-il ajouté parlant de Jean-Claude Juncker.

L'ambiance est donc toujours électrique entre Bruxelles et Rome. Peu de chance que les esprits s'apaisent, au moins jusqu'au 15 octobre, date à laquelle la Commission européenne examinera ce projet.

Atlantico.fr

Juncker s’inquiète des nationalismes en Europe

Jean-Claude Juncker était ce jeudi à Madrid. L'occasion pour le président de la Commission européenne de parler de l'amélioration des performances de l'économie dans l'Union et de la décrue du chômage. Mais il n'oublie pas pour autant une faiblesse préoccupante.

 

 

"Il y a, depuis quelques années, un phénomène inquiétant, visible, perceptible mais pas plausible : c'est le retour aux nationalismes, c'est le refus de voir les autres avec les mêmes yeux avec lesquels on se voit soi-même. C'est une tendance dangereuse qui nourrit tous les populismes en général et le populisme associé aux nationalisme conduit à l'aveuglement et à la guerre. C'est comme ça."

Le président de la Commission s'envolera mercredi prochain pour Washington. Objectif : détendre les relations commerciales particulièrement houleuses avec les Etats-Unis.

Source: euronews.com

Juncker est furieux qu’on le soupçonne d’avoir été saoul au sommet de l’OTAN : “Je veux du RESPECT”

La vidéo du sommet de l'OTAN est visible ici.

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Après l'apparition d'une vidéo dans laquelle on le voit lutter pour marcher aux côtés de plusieurs leaders mondiaux, Jean-Claude Juncker a demandé d'être davantage respecté face aux soupçons d'avoir été "ivre" lors du sommet de l'OTAN à Bruxelles.

 

 

Le président de la Commission européenne a insisté sur le fait qu'il n'avait pas le temps de "critiquer les absurdités" et qu'il ne laisserait pas les rumeurs dominer l'agenda "bien plus important" de l'UE.

Chancelant, le président âgé de 63 ans a été aidé par le Premier ministre néerlandais Mark Rutte et le dirigeant portugais Antonio Costa après une «attaque particulièrement douloureuse de sciatique accompagnée de crampes».

Ayant regagné la capitale belge après avoir participé à d'importantes négociations commerciales au Japon et en Chine, M. Juncker a été interrogé sur les récentes critiques de l'eurodéputé autrichien Harald Vilimsky.

M. Vilimsky, qui est également secrétaire général du FPO (parti de droite autrichien), a accusé le président de la Commission de faire de l'UE un "sujet de risée".

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Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Source2

 

Malgré l’humiliation infligée par l’Union Européenne, le Conseil fédéral veut toujours verser 1,3 milliard de francs

Le Conseil fédéral veut débloquer une enveloppe de 1,3 milliard de francs pour dix ans, avec l'accent prévu sur la formation professionnelle et la migration. Dans le cadre de sa contribution à l'élargissement, la Suisse participe depuis 2007 à des projets réalisés dans les pays ayant rejoint l'Union européenne (UE) après 2014.

Mais les partis sont réticents à débloquer ces sommes s'il n'y a pas d'amélioration des relations entre la Suisse et l'UE. Principale pierre d'achoppement: la limitation de l'équivalence de la bourse suisse à un an, décidée fin décembre 2017 par Bruxelles.

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Source et article complet

 

Rappels:

Quand Jean-Claude Juncker vient relever les compteurs

La Suisse annonce une mesure de rétorsion contre l’UE. L’Union Européenne rétorque qu’elle veut un accord institutionnel.

Didier Burkhalter voulait verser les 1,3 milliard de francs exigés par l’UE sans contrepartie!

Malgré 1,3 milliard offert à l’Union Européenne, la Suisse est placée sur la liste « grise » des paradis fiscaux

Un scandale: le Conseil fédéral fait à l’UE un cadeau de 1,302 milliard de francs d’argent des contribuables

Jean-Claude Juncker : « Nous veillerons à la sauvegarde des droits des Africains en Italie ». Une députée italienne lui répond qu’il doit arrêter de boire. (Vidéos)

Christian Hofer: pour voir cet alcoolique dans ses oeuvres, vous pouvez visionner cette vidéo.

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Sous l'impulsion de la Ligue, le programme commun promet aussi un tour de vis sécuritaire, anti-immigrés et anti-islam. Interrogé à ce sujet, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a déclaré juger «les gouvernements non pas sur ce qu'ils annoncent mais sur ce qu'ils feront. Mais nous restons attentifs pour sauvegarder entier les droits des Africains qui sont en Italie».

 

 

Cette sortie lui a valu une réplique mordante, (qui fait allusion au goût prononcé pour l’alcool de Juncker), de la part de Giorgia Meloni, présidente de Fratelli d’Italia :

 

 

« Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker dit que la Commission européenne veillera à ce que le prochain gouvernement italien respecte les droits des Africains en Italie. Juncker, bois un peu moins ! »

a ironisé Meloni avant d’ajouter :

« L’Italie doit respecter ses propres lois. Quels sont les droits que nous devrions respecter ? Ceux des personnes qui entrent en Italie sans respecter nos lois ? En Italie on n’entre pas illégalement. Si tu entres illégalement tu dois être rapatrié. »

Source Source2 Source3

Rappels:

Davos: Juncker n’a pas de temps pour le Conseil fédéral. «Pourtant même Donald Trump a du temps pour la Suisse.»

Quand Jean-Claude Juncker vient relever les compteurs

Jean-Claude Juncker, après l’attentat de Berlin: «l’ouverture est le meilleur moyen de lutter contre le terrorisme»

L’Union européenne a entériné la loi sur les armes à feu. Juncker exulte.

Davos: Juncker n’a pas de temps pour le Conseil fédéral. «Pourtant même Donald Trump a du temps pour la Suisse.»

Christian Hofer: Lorsque le Temps découvre le mépris de l'UE que nous pointons du doigt depuis des années: amusante révélation pour ces journalistes si fiers de leur intelligence.

Avec un peu de réflexion, ils admettront peut-être un jour que la Suisse se fait berner, menacer et voler par cette "union" qui n'a rien de démocratique. Et cela, avec le concours actif du parti socialiste suisse.

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L’annonce a jeté un froid. Alors qu’il se rendra jeudi prochain dans la station grisonne, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, n’a laissé inscrire à son agenda aucune rencontre officielle avec le président de la Confédération, Alain Berset, ou le vice-président, Ueli Maurer.

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«Même Donald Trump a du temps pour la Suisse», réagissait vendredi à chaud un familier de la relation bilatérale, évoquant un affront, d’autant plus que la Confédération est le pays hôte du sommet grison.

Source et article complet

 

 

Juncker « portera le deuil » si Marine Le Pen est présidente

Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a promis de « porter des vêtements de deuil » en cas de victoire de Marine Le Pen à l’élection présidentielle française.

Juncker "portera le deuil" si Marine Le Pen est présidente - Fdesouche

« Alors je porterai des vêtements de deuil !« , a répondu mardi soir Juncker, interrogé sur ce qu’il ferait si Le Pen devenait présidente, dans une interview à la chaîne de télévision publique allemande ZDF enregistrée à Bruxelles. Tous les sondages donnent jusqu’à présent la dirigeante du Front national (extrême droite) qualifiée au second tour de la présidentielle 2017. Elle serait toutefois battue au second tour.

Au cours de cet entretien réalisé en allemand, le chef de l’exécutif européen s’en est pris également aux mouvements populistes, en plein essor en Europe, qu’il fustige régulièrement. « Les populistes lancent des slogans et nous, nous devons produire des solutions« , s’est-il défendu. Juncker a attribué la détérioration de la situation en Europe à une « polycrise » – un de ses leitmotivs – qui « embrase » le Vieux continent et au delà.

Le Figaro

Juncker déplore le «manque d’amour» des Européens pour l’UE… et demande l’arrêt des référendums

Le président de la Commission européenne craint le résultat des élections autrichiennes du 4 décembre. Selon lui, les Etats ne devraient pas consulter leurs peuples sur la question de l'UE, car cela «rajouterait de la défiance à la défiance».

«Je crois qu'il n'est pas sage d'organiser des débats sur l'appartenance à l'Union européenne», a affirmé Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, qui dit «craindre le résultat» qui en découlerait.

Cette déclaration intervient à quelques jours de l'élection présidentielle autrichienne du 4 décembre, dont le candidat Norbert Hofer, profondément eurosceptique, est donné favori par les sondages. «Je ne crois pas que le prochain président autrichien, quel qu'il soit, se lancera dans ce genre d'aventure», a commenté Jean-Claude Juncker. Selon lui, un tel processus ne ferait que «rajouter de la défiance à l'énorme défiance déjà présente au cœur de l'UE».

«Il y a un manque d'amour» des Européens pour l'UE, selon Jean-Claude Juncker, qui s'est dit préoccupé par la montée des partis anti-européens après le Brexit, notamment en Autriche, aux Pays-Bas, ou en France. Il a considéré comme «possible» la victoire du Front national en 2017, qui a annoncé vouloir organiser un référendum sur une sortie de l'UE. Autre préoccupation pour le président de la Commission européenne : l'Italie, où un référendum constitutionnel est également organisé ce dimanche 4 décembre, dont l'issue pourrait contraindre le gouvernement à démissionner et ouvrir les portes du pouvoir au Mouvement 5 étoiles, parti réputé très peu favorable à l'UE.

Par le passé, Jean-Claude Juncker a souvent fait scandale à cause de ses déclarations pour le moins directes et de ses prises de position parfois jugées autoritaires sur la question de l'UE. «Je suis pour le secret, les débats sombres», avait-il par exemple déclaré, ajoutant : «Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens».

Source

Photo: Juncker et S. Sommaruga. A présent, on comprend mieux pourquoi ces deux individus s'entendent aussi bien, leur haine de la démocratie étant palpable. L'UE avec son président strictement élu entre députés européens est un modèle d'oligarchie. Quant à Sommaruga, c'est la même personne qui veut réduire nos libertés à néant tout en imposant une immigration de masse contre l'avis de la population.

Migrants – Chrétiens oui – Musulmans non

   
Michel Garroté - On nage en plein délire. Certains pays d'Europe Centrale et Orientale (PECO) veulent stopper la migration massive de musulmans vers l'Union Européenne (UE). Résultat : certains pays membres de l'UE veulent "exclure" les PECO en question. L'UE montre ainsi - une fois de plus - son vrai visage : celui d'une entité totalitaire. De quoi s'agit-il exactement ?
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Le Luxembourg pratique "l'exclusion" :
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Le petit Duché du Luxembourg (pays d'origine de Jean-Claude Juncker, actuel chef de l'UE...) veut "exclure" la Hongrie de l'Union européenne. Pourquoi le Luxembourg veut-il cette "exclusion" ? Parce que le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a osé déclarer : L’Europe doit aider les chrétiens prioritairement avant les musulmans. Orban n’a pas mâché ses mots pour épingler les élites de la défaillante Union Européenne qui a totalement échoué sur la déferlante de migrants qui s’est introduite sur le Continent européen.
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La Pologne se réveille :
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De son côté, Donald Tusk, ancien Premier ministre polonais et actuel président du Conseil de l’UE a - enfin - admis que "nous devons sécuriser nos frontières". "L’immigration incontrôlée et clandestine, le terrorisme et la peur de la mondialisation sont trois grands défis pour l’Europe" et "la sécurisation de nos frontières extérieures" devrait être la première priorité de l’UE, a déclaré Tusk. "Jamais plus nous ne pourrons permettre que nos frontières soient débordées par des vagues de migrants en situation irrégulière comme en 2015". Le Luxembourg va-t-il également demander "l'exclusion" de la Pologne de l'Union européenne ?
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Les migrants musulmans menacent les réfugiés chrétiens :
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Autre phénomène occulté par la presse : Paulus Kurt, chrétien d’origine orientale, membre du Conseil central des chrétiens orientaux en Allemagne (Zentralrat Orientalischer Christen in Deutschland, ZOCD), est en contact permanent avec les chrétiens du Moyen-Orient réfugiés en Allemagne, auxquels il apporte son assistance. Ce qu’il dit est effrayant. En voici des extraits trouvés dans Christianophobie Hebdo : "Les chrétiens constituent une minorité parmi les réfugiés. Quand ils se plaignaient, rien ne se passait ou les solutions prenaient trop de temps.
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Les gens avaient peur pour leurs vies. Le second problème, c’est que les traducteurs étaient des musulmans et étaient du côté des accusés [de violence contre les chrétiens]. J’ai eu connaissance de cas où des traducteurs accompagnant des chrétiens à la police, leur disaient en route qu’ils pouvaient dire adieu à leur droit d’asile s’ils maintenaient leurs plaintes. J’ai été le témoin de retrait de plaintes de la part de chrétiens qui avaient été menacés. C’est difficile pour les chrétiens d’obtenir le soutien des autorités. Dans les foyers gérés par des musulmans, les chrétiens sont contraints à ne rien dire".
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Revenons à la Hongrie :
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Mais revenons à la Hongrie. Le Premier ministre hongrois Orban a demandé la tenue d’un référendum en Hongrie sur les quotas imposés par l’UE. Orban en a appelé l'UE à désormais se concentrer sur l’aide des chrétiens pour faire face à la crise migratoire qui a vu des millions de réfugiés voyager librement à travers le continent européen sans frontières nationales. Orban a dit : "Si nous voulons vraiment apporter de l’aide, nous devons vraiment aider là où se situe l’origine du problème. Si l’Europe désire le meilleur pour elle-même et construire une armée unie, elle doit être maîtresse de la mer Méditerranée et – comme le faisaient les anciens empereurs Romains – couler les bateaux vides et non autorisés".
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Le dirigeant hongrois a exhorté la Hongrie à dire "non" à tous les migrants après avoir saluer le vote capital pris par la Grande-Bretagne de quitter l’UE pour reprendre en main son île de façon indépendante. Il a répété son désir d’organiser un référendum national suite à la décision de l’UE de vouloir réinstaller un quota de 160.000 migrants parmi les états membres. Orban a dit qu’il espérait que le vote anti-immigration du Brexit serve d’exemple pour le reste de l’Europe. Il est tout simplement évident, dixit Orban, que si nous invitons les réfugiés à venir ils viendront. La guerre politique basée sur le thème de la migration est une occasion qui satisfait les deux parties, a-t-il ajouté.
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"Pour eux c’est une occasion unique de pouvoir détruire l’Europe qui est fondée sur la Chrétienté et la nationalité afin de complètement modifier les fondations ethniques de l’Europe". "Ils savent parfaitement que les musulmans ne voteront jamais pour un parti qui a des racines chrétiennes, et, de fait, en raison de l’énorme volume de musulmans en place, les partis conservateurs seront évincés du pouvoir". Mais cette guerre est aussi une excellente opportunité pour les partisans des États-Nations ayant des racines chrétiennes, a estimé Orban.
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"Notre grande occasion aujourd’hui est d’empêcher toute discussion sur la crise migratoire à travers ce système obligatoire" (ndmg - obligation d'accueillir tous les migrants). Orban a récemment affirmé son projet de construire une seconde barrière de sécurité pour défendre les frontières de son pays, car il n’a aucune confiance dans les dirigeants européens qui prétendent vouloir "endiguer" le flux de migrants provenant du Moyen-Orient et d’Afrique.
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Michel Garroté
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http://www.express.co.uk/news/world/709832/Hungary-migrant-crisis-EU-quota-system-Viktor-Orban-referendum
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/09/r%C3%A9fugi%C3%A9s-dans-les-foyers-g%C3%A9r%C3%A9s-par-des-musulmans-les-chr%C3%A9tiens-ont-peur.html
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http://www.christianophobiehebdo.fr/allemagne-des-migrants-chretiens-persecutes-dans-les-centres-de-refugies/
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http://visegradpost.com/fr/2016/09/13/pour-donald-tusk-president-du-conseil-de-lue-nous-devons-securiser-nos-frontieres/
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Migrants : Le Pape appelle à “construire des ponts et à abattre les murs”. Il est félicité par les dirigeants de l’UE.

Le pape François a appelé vendredi les Européens "aujourd'hui plus que jamais, à construire des ponts et à abattre des murs", à l'image des pères fondateurs de l'Union européenne, en recevant le prix Charlemagne au Vatican.

"Les projets des Pères fondateurs (de l'UE, ndlr), hérauts de la paix et prophètes de l'avenir, ne sont pas dépassés", a lancé le saint Père en adressant un vibrant plaidoyer pour l'Europe dans son discours.

Il a également exhorté les Européens à oser un changement radical de modèle, pour aller vers une Europe plus ouverte mais aussi plus sociale, au moment où, a-t-il souligné, le chômage fait des ravages en particulier chez les jeunes.

La cérémonie a eu lieu au Vatican, et non à Aix-La-Chapelle (Allemagne), où le prix est traditionnellement remis, en présence de la plupart des dirigeants de l'Union européenne, dont la chancelière allemande Angela Merkel.

S'adressant à eux, le pape argentin, qui avait déjà "secoué" l'UE lors d'un discours devant le parlement européen en novembre 2014, a critiqué une Europe "en déclin (...), qui est en train de 'se retrancher' au lieu de privilégier des actions qui promeuvent de nouveaux dynamismes dans la société".

Jorge Bergoglio a également déploré que cette UE ne se contente en ce moment que de "retouches cosmétiques ou de compromis bancals", notamment en matière d'accueil, dont il s'est fait un grand défenseur, n'hésitant pas à monter l'exemple. Au terme d'un voyage récent sur l'île grecque de Lesbos, il avait ramené avec lui au Vatican douze réfugiés syriens.

Prônant un nécessaire "dialogue", le pape a insisté sur le fait qu'il "permette de regarder l'étranger, le migrant, celui qui appartient à une autre culture comme un sujet à écouter, considéré et apprécié". Car, rappelle le pape, "l'identité européenne est, et a toujours été, une identité dynamique et multiculturelle".

S'adressant à ses invités - la chancelière allemande, les présidents du Conseil européen, Donald Tusk, de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, du Parlement européen Martin Shulz, de la Banque centrale européenne Mario Draghi, la chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini et le roi d'Espagne Felipe VI-, François les a exhorté à ne pas oublier la jeunesse européenne.

"Comment pouvons-nous faire participer nos jeunes à cette construction lorsque nous les privons de travail (...) nous ne savons pas leur offrir des opportunités et des valeurs ?", a-t-il lancé.

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Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, et Martin Schulz, président du Parlement européen rendent hommage au Pape

Face à la crise des réfugiés, l’avenir n’est pas au repli sur l’Etat-nation, déclarent Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, et Martin Schulz, président du Parlement européen. Ils rendent hommage au pape François, lauréat du prix Charlemagne 2016, « symbole d’une Europe unie qui ne cesse de rappeler que nos valeurs sont notre âme commune ».

La visite du pape François à Lesbos n’était pas uniquement symbolique. En ramenant avec lui douze réfugiés syriens, il a agi beaucoup plus concrètement et avec bien plus de solidarité que nombre d’Etats membres de l’Union. Le pape nous a ainsi adressé un appel à l’action. Les homélies sur la solidarité et l’amour de notre prochain ne suffisent pas. Ces valeurs n’ont de sens que si nous les mettons en pratique.

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Pour Juncker et consorts : l’UE c’est fini ! Les peuples ne veulent plus d’eux !

Juncker, Schultz, Tusk, Mogherini et consorts ne veulent pas comprendre. Ils ne se sont toujours pas rendu compte, de la lame de fond qui est inexorable. L’Europe s’émiette tous les jours un peu plus.
Les dernières réunions au « sommet » ont démontré l’impuissance et la déloyauté des eurocrates.

Suite

Suisse – UE: Juncker exclut une clause de sauvegarde unilatérale

Simonetta Sommaruga rencontrait à Bruxelles le président de la commission européenne Jean-Claude Juncker pour trouver une solution à l'initiative UDC «contre l'immigration de masse».

Selon le Tages-Anzeiger, Jean-Claude Juncker s'est montré ferme au terme de cet entretien de 30 minutes: cette clause de sauvegarde n'est possible à ses yeux qu'avec l'accord de l'UE.

Source

Le Spiegel accuse Juncker de truquer à la baisse les chiffres des flux migratoires depuis la Turquie

Le nombre de réfugiés en provenance de Turquie aurait diminué de moitié ? Un graphique, manipulé par le chef de la Commission européenne Juncker fait polémique.

Le président de la Commission de l’UE, Jean-Claude Juncker, aurait présenté des chiffres douteux quant à la diminution du nombre de réfugiés provenant de Turquie et rentrant en Grèce ce jeudi aux chefs d’État et de gouvernement de l’UE. Les critiques de plusieurs hauts fonctionnaires de la Commission visaient principalement, selon des sources du Spiegel, un graphique du rapport Juncker qui suggère un effondrement du nombre de réfugiés après le sommet UE-Turquie à la fin de novembre.

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Juncker avec Sommaruga: de grands amis, pour ne pas dire plus.

Selon la présentation de M. Juncker, le nombre de réfugiés se serait effondré et serait passé lors de la semaine calendaire 49, la semaine après le sommet, de 23 666 personnes à 9093 la semaine suivante. Toutefois, un rapport de la Commission révélait que lors des deux premiers jours de la 50e semaine près de 11 000 réfugiés étaient arrivés en Grèce.

En outre, le graphique controversé contredit en partie les chiffres de la Haute Commission pour les réfugiés de l’ONU. Le rapport journalier de celle-ci pour le 15 décembre (« à usage interne »), les experts estiment que le nombre d’arrivées quotidiennes en Grèce entre le 30 novembre et le 6 décembre, c’est-à-dire directement après le sommet UE-Turquie, était de 3590 par jour et qu’il avait augmenté de 36 pour cent par rapport à la semaine précédente.

(…) Spiegel via Fdesouche

Accueil de migrants : Le président de la Commission européenne veut que ce soit fait de façon obligatoire

Jean-Claude Juncker a déclaré que l’Europe devait se mettre d’accord « dès la semaine prochaine » pour accueillir 160.000 migrants.

Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, présente mercredi ses propositions pour la répartition des réfugiés, lors de son premier discours sur l’état de l’Union devant le Parlement européen. Il souhaite un accord rapide entre les pays membres pour accueillir 160.000 réfugiés.

« De façon obligatoire ». « C’est 160.000 (personnes) que les Européens doivent prendre dans leurs bras. Ceci doit être fait de façon obligatoire », a insisté Jean-Claude Juncker lors de son premier discours sur l’état de l’Union. C’est quatre fois plus que la proposition faite par la Commission en mai, proposition à l’époque fraîchement accueillie par une partie des Vingt-Huit. Il a aussi exhorté les ministres de l’Intérieur qui se réunissent à Bruxelles le 14 septembre à « se mettre d’accord ». Certains chefs d’Etat, comme celui de Pologne, se sont déjà opposés à un système de quotas de migrants par pays.

Les réfugiés en question sont principalement en provenance d’Irak et de Syrie et sont arrivés ces derniers mois dans des pays du Sud de l’Europe, Grèce, Italie et Hongrie essentiellement.

Europe 1 via Fdesouche.com

Jean-Claude Juncker en remet une couche

Jean-Claude Juncker (ci-dessus avec S.Sommaruga), le président de la Commission européenne persiste et signe. Chers européens, vous allez accueillir toute la misère du monde. Ne croyez pas que la Commission européenne, Frontex et les autorités compétentes soient occupés à travailler pour endiguer le flot des migrants clandestins, dans leur grande majorité des migrants économiques: NON. Monsieur Juncker le dit clairement: « n’écoutez surtout pas les populistes »!

Suite

Droit d’asile : quand l’enfer est pavé de bonnes intentions

[...]

« l’équipe Juncker veut mettre en place un mécanisme de distribution pour les seuls réfugiés qui ont clairement besoin d’une protection internationale […]. Pour chacun des pays de l’Union européenne, la clé de répartition tiendrait compte du PIB, de la population, du taux de chômage et du nombre de demandeurs d’asile déjà volontairement pris en charge. Ce serait un système temporaire, face à l’urgence, en application de l’article 78.3 du traité de Lisbonne. Mais l’ambition est affichée de pousser plus loin, dès la fin de l’année : un système “permanent”, “automatique” et “obligatoire” de transfert à travers toute l’Europe des échoués de la Méditerranée et autres demandeurs méritant l’asile, selon les textes en préparation. Ces quotas, quel que soit leur nom, sont de la dynamite politique. »

[...]

Article complet sur Bd Voltaire

La politique du pire de Jean-Claude Juncker

Jean-Claude Juncker, Président de la Commission européenne veut imposer aux peuples européens un système de quotas à chaque pays pour la prise en charge des migrants, ce qui est une folie.

Cette répartition des demandes d'asile entre les différents européens serait un formidable appel d’air et un cadeau fait aux passeurs qu’il nous faut à tout prix éviter.

Dans un contexte d’absence de contrôles aux frontières, ce système serait incohérent puisque les migrants pourraient ensuite circuler dans toute l’Europe.

La bombe migratoire que constitue l’Afrique, où plusieurs millions de réfugiés seraient susceptibles de tenter l’aventure en Europe, est tragique. Jean-Claude Juncker veut ainsi imposer à une Europe en panne d’emploi et morcelée de tensions communautaires un système qui va aggraver ces problèmes.

S’il faut évidemment sauver les pauvres migrants victimes de passeurs esclavagistes sans scrupules en déployant une flotte au plus près des côtes libyennes, l’Europe doit au contraire adopter une politique d’immigration beaucoup plus restrictive en raccompagnant systématiquement les migrants à leurs points d’embarquement dans des centres d’accueil adaptés.

A l’image de ce qui peut se faire en Australie, il faut promouvoir un discours plus dissuasif afin de faire comprendre à ces migrants qu’aucun accueil sur notre continent ne pourra avoir lieu.

Nicolas Dupont-Aignan

Source

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