Extrait d'un article intitulé "Padamalgam", de Jean-Paul Brighelli publié par 'Causeur' : "Si un vieil imam avait été tué dans une mosquée par deux connards - ce qui serait difficile vu que les mosquées sont le plus souvent protégées, comme les synagogues, le président de la République et le Premier ministre, si prompts à condamner et à combattre le terrorisme, appelleraient déjà à une manifestation-monstre contre la montée des périls d’extrême-droite, et envisageraient peut-être de dissoudre tel ou tel groupuscule. Et sans doute auraient-ils raison. Mais ils n’envisagent pas, semble-t-il, de dissoudre l’Islam, ni de prendre de vraies mesures contre les milliers de terroristes islamistes potentiels français - ou qui se sont invités en France. Car l’Islam est une religion de paix et d’amour". - Adaptation et mise en page de Michel Garroté - http://blog.causeur.fr/bonnetdane/padamalgam-001243.html -
Michel Garroté - Autisme, déni, lâcheté, le fait est que les gens ne comprennent pas ou font semblant de ne pas comprendre que l'islam veut gouverner le monde. L'islam est d'abord un islam politique. Les musulmans là où ils se trouvent ont le devoir de soumettre toute la population à la charia. Ils ont ce devoir parce que s'est cela que l'islam leur dit de faire. - Les zones à forte présence musulmane sont des mini-États islamiques et donc des zones de non-droit. Ce n'est pas ce que chaque musulman désire forcément. Mais c'est ce que l'islam exige de la part de tous musulmans. De plus, les musulmans ne sont pas tous des terroristes. Mais 99% des terroristes sont des musulmans. - A ce propos, le Cardinal Burke rappelle quelques évidences "politiquement incorrectes" qui remettent en question le "Padamalgam" (extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page) : "Il n’y a aucun doute que l’islam veut gouverner le monde" déclare le Cardinal Burke. Interrogé par 'Religion News Service', le Cardinal Burke déclare que l’islam est "d’abord une forme de gouvernement". - Le Cardinal s’inquiète du fait que les gens ne comprennent pas que quand les musulmans deviennent majoritaires dans un pays (ndmg - ou région ou quartier), ils ont le devoir de soumettre toute la population à la charia. - Cardinal Burke : "Le point que je veux faire passer est le suivant : quand les musulmans deviennent majoritaires dans quelque pays que ce soit (ndmg - ou région ou quartier), ils ont l’obligation religieuse de gouverner ce pays (ndmg - ou cette région ou ce quartier). Si c’est ce que les citoyens d’une Nation donnée désirent, alors ils n’ont qu’à permettre que ça continue. D’un autre côté, s’ils s’y opposent, alors ils doivent trouver une façon de faire face à la situation". - Le cardinal indique que, dans certaines villes de France et de Belgique, avec d’importantes populations musulmanes, "il y a des mini-États islamiques" avec des "zones fermées" aux autorités gouvernementales. Il ajoute que "ces phénomènes ne sont pas des anomalies dans l’islam. C’est la façon dont les choses doivent aller" (ndmg - selon les lois musulmanes). "Si vous comprenez cela et que vous n’aimez pas l’idée de vous voir imposer un gouvernement islamique par la force, alors vous avez raison d’avoir peur", dit le Cardinal. - Le Cardinal rappelle des exemples historiques d’invasions musulmanes de Nations chrétiennes d’Europe, comme la bataille de Lépante (1571) et la bataille de Vienne (1683) qui s’étaient soldées par des défaites de l’empire ottoman. - Le Cardinal Burke : "Ces événements historiques sont directement rattachés à la situation que nous vivons aujourd’hui. Il n’y a aucun doute que l’islam veut gouverner le monde. Je pense qu’on doit insister là-dessus. On doit dire non, notre pays n’est pas disponible pour être transformé en État islamique", conclut le Cardinal Burke (fin des extraits adaptés ; voir liens vers sources en bas de page). - Michel Garroté - http://religionnews.com/2016/07/21/us-cardinal-says-christian-nations-in-west-must-counter-islamic-influx/ - http://pointdebasculecanada.ca/cardinal-americain-declare-que-les-nations-chretiennes-doccident-doivent-freiner-la-poussee-de-lislam/ -
Michel Garroté - Devrions-nous rompre le "dialogue inter-religieux" avec les musulmans ? Nous vivons une époque étrange, où l'Eglise catholique, notamment en France, persiste à vouloir "dialoguer" avec l'islam. Alors que des musulmans massacrent des civils, en particulier en Allemagne, en France, en Syrie, au Liban et en Irak. Mais le clergé catholique, à la fois mièvre et soumis, veut continuer de "dialoguer", au point d'inventer ainsi un "catholicisme islamo-compatible", un "cathislam". - Je note que la majorité des laïcs catholiques en ont assez du "dialogue inter-religieux" avec les musulmans. Je note également que la majorité des laïcs catholiques veulent que nous défendions, par les armes, les chrétiens persécutés, déportés et assassinés en terre d'islam. Le clergé, lui, préfère pratiquer la "non-assistance à personne en danger", ce qui n'est pas chrétien et ce qui n'est non plus autorisé par par les lois de l'Etat. - Le clergé n'applique donc ni les lois de l'Eglise, ni celles de l'Etat. Faut-il excommunier ce clergé, et, aussi, le traduire en justice ? Ou faut-il lui donner la fessée - à cul nu - sur la place publique, oui, oui, devant tout le monde ? - A ce propos, Bernard Antony écrit (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Deux islamo-jihâdistes viennent donc d’égorger un prêtre et un fidèle dans l’église de Saint Etienne de Rouvray. Egorgements comme il y en a eu tant à notre époque, en Algérie, en Turquie, en Egypte, au Pakistan, au Nigéria, aux Philippines, en Indonésie, en Irak, en Syrie et autres pays de l’oumma islamique. - Bernard Antony : Comme il y en a eu par millions au long des immenses pulsions massacreuses ou génocidaires du fanatisme islamique, dans les hécatombes de Tamerlan en Inde, les invasions arabes de l’Afrique du Nord, les massacres de 1860 au Liban, le génocide il y a un siècle des Arméniens, des Assyro-chaldéens et autres chrétiens d’Orient. - Bernard Antony : François Hollande a réagi comme toujours dans la perfection mécanique de sa médiocrité, qualifiant bien sûr l’attentat de « lâche ». Plus consternantes ont été les premières réactions de certains journalistes et de responsables catholiques. Les premiers ont attendu que François Hollande confirme qu’il s’agissait d’un attentat terroriste ; sans doute pensaient-ils pouvoir prudemment invoquer l’action d’un « déséquilibré ». - Bernard Antony : Quant aux responsables religieux, en particulier Monseigneur Dubost et le Vicaire général de Rouen, Philippe Maheut, ils ont insisté, sans peser la portée de leurs propos, sur la nécessité du renforcement du « dialogue inter-religieux », aveu implicite, sans doute bien malgré eux, qu’ils attribuent la cause de pareils crimes à l’appartenance religieuse. Le vicaire général Maheut s’est demandé « comment on peut en arriver là ». Sa connaissance de l’histoire du terrorisme semble bien courte. Il a invoqué aussitôt, lui aussi, la ritournelle de la « situation d’exclusion ». - Bernard Antony : Comme s’ils étaient tout de même un peu excusables, ces égorgeurs de catholiques. Il a livré sa conclusion : « il faut continuer à aller à la rencontre », sans bien toutefois préciser de qui : des imams ? des terroristes ? Une fois encore, pas l’ombre d’une réflexion pour en finir avec le déni de la réalité de l’islam et pour prendre enfin en considération la nature des textes, Coran et Hadiths, vendus dans toutes les librairies islamiques et les mosquées. Le Maréchal Sissi a demandé que l’on en termine avec la sacralisation de ces textes, pleins de violences, de châtiments barbares et d’égorgements pratiqués par le prophète lui-même. - Bernard Antony : Dialogue ? Rencontre ? Pourquoi pas ? Pour obtenir enfin que le Coran et les Hadiths soient édités, assortis d’avertissements mettant en garde contre leur perniciosité. Tant que l’on ne remettra pas en cause ces textes-modèles et tant que les centaines de milliers d’imams dans le monde ne le feront pas, le terrorisme des Hashishins de notre temps n’est pas près de prendre fin, conclut Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). - Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté - http://www.lagrif.fr/communiques/racisme-antichretien/570-allahou-akbar-ca-suffit-il-faut-traiter-le-coran-et-les-hadiths-comme-mein-kampf -
Michel Garroté - Attentat à Nice, coup d'Etat en Turquie, islam, attentat à la hache en Allemagne, parlons-en. Intéressante, cette analyse de Saïd Derouiche publiée dans 'Causeur' (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : "Le vrai problème, ce sont ces discours 'ambigus', issus des présumés modérés. Car aujourd’hui encore, il y a des gens, visiblement 'propres sur eux', qui continuent à nourrir la haine et à participer à son ancrage chez ces malheureux qui n’ont rien trouvé de mieux que la religion pour 's’épanouir'. Sous la bannière de l’UOIF et des Frères musulmans on peut raconter ce qu’on veut. Et ce seront les premiers à condamner les violences. Si on était parano, on pourrait croire qu’ils se paient notre tête", conclut Saïd Derouiche (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page). - Hallucinante, cette analyse d'Abdelkader Sadouni, imam de Nice (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : "La discrimination des musulmans en France, les attaques islamophobes et l’interdiction de porter des symboles religieux en public donnent l’impression à ces jeunes de ne pas faire partie de la communauté nationale et ce sentiment les motive à partir pour rejoindre, ceux qu’ils estiment être leurs semblables. Selon moi, la situation des musulmans en France est le premier facteur qui pousse de nombreux jeunes à aller se battre. Aussi longtemps que les mosquées seront si peu nombreuses, que leur construction suscitera des protestations et que les musulmans seront discriminés, il y aura ce genre de réactions. Réactions certes erronées, mais bien réelles, face auxquelles nous devons extirper le phénomène qui les génère", conclut Abdelkader Sadouni (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page). - Turquie : - Christian Vanneste, dans "Le contre-coup d’Etat d’Erdogan", écrit notamment (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : Il fallait que les dirigeants européens fussent bien aveugles pour considérer qu’Erdogan fût fréquentable. Promoteur de la guerre civile syrienne, soutien évident des rebelles islamistes et plus ambigu de Daesh qui a largement profité de la porosité de la frontière turque, maître-chanteur à l’immigration de masse, par ailleurs chez lui Chef d’Etat mégalomane qui bombarde les Kurdes et censure les médias, le nouveau sultan bénéficiait d’une incroyable indulgence de la part de l’Union Européenne prête à lui accorder 6 milliards d’Euros, une levée des visas pour les ressortissants turcs, et une réouverture de l’adhésion de la Turquie, en échange de sa « bonne volonté » pour empêcher le passage en Grèce des migrants de toute provenance. - Une telle faiblesse soulevait le coeur alors même que l’un des membres de l’Union, Chypre, subit depuis de longues années l’occupation d’un tiers de son territoire par l’armée d’Ankara. Le 15 Juillet, un drôle de coup d’Etat militaire se produisait. Bien que ceux-ci fussent fréquents en Turquie, celui-ci a été surprenant pour trois raisons. D’abord, son objectif proclamé était de rétablir l’Etat de droit conforme dans ce pays à l’esprit de Kemal Atatürk, fondé sur la laïcité et le respect tout relatif des droits de l’homme. On imagine que cette dernière notion visait surtout la liberté d’opinion et de la presse, mise à mal par le Président. Ensuite, les coups d’Etat bénéficiaient souvent de l’appui de la totalité des Forces armées et après une opération menée sans coup férir, ils conduisaient à des exécutions de dirigeants politiques. - Or, celui-ci était manifestement minoritaire et va au contraire conduire à une purge au sein de l’armée. Enfin, on peut concevoir les militaires orfèvres en matière opérationnelle. Ici, l’amateurisme a prévalu : des ponts coupés, des médias occupés, un Chef d’Etat-Major retenu, des bâtiments bombardés, mais le Chef d’Etat, comme par hasard préservé et capable de lancer un message pour mobiliser ses partisans au sein du parti qui le soutient, l’AKP. En revanche, la rapidité, l’ampleur et la cohérence de la répression laissent peu de place à l’improvisation. Quatre jours après la tentative avortée, la purge est à la fois ciblée et massive. Les chiffres sont impressionnants : 9'322 militaires, magistrats et policiers arrêtés, mais aussi 2745 juges démis et 15000 employés de l’Education nationale suspendus. - Le Conseil de l’Enseignement Supérieur a demandé la démission de 1500 recteurs et doyens d’Universités. Le Haut Conseil turc de la radio et de la télévision a retiré un certain nombre de licences. Tout se passe comme si une éradication planifiée était mise en oeuvre, visant tous les sympathisants du mouvement Hizmet fondé par le prédicateur Fethullah Gülen réfugié depuis de longues années aux Etats-Unis. Il faudrait être bien naïf pour croire à une réaction spontanée. On peut même se poser la question de savoir si ce n’est pas Erdogan lui-même qui a fomenté ce putsch raté tant c’est à lui que le crime profite. En tout état de cause, si son pouvoir se trouve renforcé, il parait clair aujourd’hui que ce dictateur est peu fréquentable moins en raison de son absolutisme, que le réalisme politique nous contraint d’accepter, que de son machiavélisme qui le rend trop peu fiable. - L’incendie du Reichstag, le prétendu putsch des SA, celui tout aussi imaginaire de Toukhatchevski, le fait de se débarrasser de ceux qui vous ont aidé à prendre le pouvoir, Röhm ou Trotski, sont des cailloux semés sur le chemin des dictatures. Gülen a grandement favorisé l’accession de L’AKP au pouvoir. La ressemblance est troublante et doit inciter à la prudence. Comme d’habitude, l’Union Européenne est en dessous de tout. - Les ministres des Affaires Etrangères, et la superflue Federica Mogherini se sont réunis à Bruxelles en présence du Secrétaire d’Etat américain, John Kerry pour faire les gros yeux et souligner leur opposition au rétablissement de la peine de mort à laquelle songe le Grand Turc. On peut compter que cette collection d’impuissances reprendra les négociations avec le sultan si celui-ci a l’habileté de renoncer à ce détail de la peine capitale tout en maintenant son opposition dans les prisons turques dont on connaît l’hospitalité proverbiale, conclut Christian Vanneste (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page). - Toujours à propos de la Turquie, Bernard Antony écrit notamment (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : Une Turquie où des Européens se rassembleraient nombreux dans leurs lieux de culte chrétiens et ce pour clamer leur soutien à leur chef en Europe, impensable ? Bien sûr ! Impensable d’abord parce qu’il n’y a pas beaucoup d’Européens en Turquie, et encore moins de chrétiens. Impensable parce que le chrétien, étranger ou non, n’a aucun droit politique dans cette Turquie où la population chrétienne d’il y a un siècle a été génocidée à 99%. Impensable encore parce que 99% des églises ont été rasées ! - Mais ce qui n’est pas impensable, c’est la réalité que retransmettent nos médias : d’importantes communautés turques rassemblées dans leurs mosquées en France pour y clamer leur soutien à Erdogan, leur calife. Tranquillement « chez eux, chez nous » comme Mitterrand voulait qu’il en soit de tous les immigrés. Mais d’ailleurs, désormais, pour ces glorificateurs erdoganiens des janissaires et des bachi-bouzouks, c’est bien chez eux qu’ils sont et ils ne toléreront pas bien longtemps que nous puissions nous y croire encore chez nous. Illusion semblable à celle des malheureux Arméniens et Assyro-chaldéens qui se croyaient encore chez eux au début du XXème siècle, en Cilicie notamment où ils étaient les plus nombreux, et ce depuis des siècles, bien avant l’islam. - Mais qui rappelle cela dans nos médias confisqués par l’idéologiquement correct et l’islamo-turcophilie obligatoire ? Eh bien ici au moins, rappelons qu’il est encore vivant et honoré, celui qui a décidé en 1976 du regroupement familial en France pour les travailleurs immigrés, fausse charité véritablement criminelle de par ses conséquences. Et c’est le même Giscard d’Estaing qui venait, l’année précédente, avec son Chirac de premier ministre, d’imposer la loi Veil. C’est ce que j’avais appelé à l’époque le génocide français. Nous en connaissons de nouvelles étapes, conclut Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page). - Islam - lapidation, amputations, égorgements, tortures : - L'Agrif, de son côté, revient sur l'islam (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : Pour nos radicaux socialistes, les racines sont celles du jacobinisme révolutionnaire, étatiste et laïciste. Pour les anarchistes radicaux, ce sont celles des nihilistes terroristes des siècles précédents, de Ravachol à Baader. Pour les chrétiens radicaux, ce sont celles de la vérité évangélique, de pauvreté, de chasteté, d’humilité, de partage et de non-violence dans l’imitation de Jésus-Christ. Pour les musulmans radicaux, c’est l’imitation du modèle du Prohète, selon la lecture littérale du Coran et des récits de ses faits et gestes (les Hadîths), y compris dans toute leur cruauté (lapidation, amputations, égorgements, tortures). - Mais le respect de l’idéologiquement correct, de l’antiracistement correct, de l’islamiquement correct, mêlé à l’inculture et à la lâcheté, fait que les commentateurs et les politiciens et les politologues et les « experts » laïques ou religieux, s’ils en ont la connaissance, ne veulent pas le dire. Ils n’ont ni la lucidité ni le courage du maréchal Sissi et de quelques autres courageux intellectuels musulmans. Le 28 décembre 2015, le maréchal Sissi, à Al-Azhar, devant le grand mufti et l’assemblée des ulémas d’Égypte, eut, lui, le courage d’appeler à une « révolution religieuse » pour en finir avec « ce corpus de textes et d’idées – Coran, Hadîths – sacralisé depuis trop longtemps ». - Voilà ce que l’on devrait attendre des imams hélas trop nombreux à être experts en doubles discours (Taqiya) : qu’ils enseignent enfin que le modèle du prophète tel qu’il ressort d’une lecture littérale du Coran et des Hadîths procède d’une tardive construction idéologique et politique, qu’il est fou et criminel d’imiter. On attend donc dans cette voie puissamment déblayée par le maréchal Sissi la proclamation solennelle par toutes les grandes instances islamiques, nationales ou internationales, que ce ne sont pas des houris dans les jardins du paradis qui attendent les terroristes mais les démons de l’enfer. À la propagande massive de l’État islamique et autres organisations devrait de plus en plus répondre une contre-propagande encore plus massive sur le fait que l’idéologie de l’islam n’est que mensonges et impostures, ne reposant que sur des textes détournés, falsifiés, inventés entre le 6° et le 9° siècles. - La guerre militaire et policière contre le terrorisme islamiste ne saurait suffire. La guerre idéologique, religieuse et psychologique n’est pas moins importante et à long terme, décisive. La déradicalisation, c’est de s’attaquer aux racines de l’islamisme, de dénoncer les mensonges de ses textes, les impostures de ses assertions. On ne peut combattre le fondamentalisme qu’en minant ses fondements. Il faut que les musulmans, libérés de la sacralité textuelle et de la vision théocratique qui en procède, puissent toujours plus opposer la liberté de recherche de la vérité à un islam sclérosé et terroriste. Il faudrait certes pour les y aider des hommes d’une autre conscience, d’une autre culture que celles de nos gouvernants et de la plupart de nos responsables politiques, médiatiques et religieux. Mais ne les attendons pas. Il faut faire tout ce qui est possible pour que ne soient pas freinés les musulmans qui œuvrent à l’authentique « révolution religieuse » prônée par le maréchal Sissi, conclut L'Agrif (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page). - Attentat à la hache en Allemagne : - D'autre part, Bernard Antony revient sur le « réfugié » musulman ayant perpétré l’attentat à la hache en Allemagne (extraits adaptés ; voir source en bas de page) : Un jeune « réfugié » afghan (ndmg - ou pakistanais selon certains médias), emmené en vacances a poignardé un de ses éducateurs lui ayant demandé de ne pas mettre ses pieds sur la table. Ceci vient après l’attentat à la hache perpétré en Allemagne par un autre jeune musulman afghan, lui aussi bien accueilli dans ce pays par une famille pleine d’humanité. Ces faits viennent confirmer, s’il en était besoin, ce que nous révélait il y a déjà plusieurs années un véritable réfugié désormais prénommé Jean, menacé de mort en Algérie parce que converti au christianisme. - Dans le foyer d’une institution d’origine catholique qui l’hébergeait, il était encore menacé de mort par un de ces Afghans qui, ainsi que bien d’autres pseudo-réfugiés du Caucase et d’ailleurs, font régner la charia par la terreur partout où on les accueille. Faux réfugiés mais véritables envahisseurs islamo-terroristes. Il n’y a d’ailleurs aucune raison, sauf exception pour ceux, menacés du pire, qui ont collaboré avec nos soldats, pour accueillir des quémandeurs d’asile afghans. Les Afghans sont à peu près tous des musulmans fondamentalistes aux coutumes les plus obscurantistes, notamment dans le traitement des femmes. Les uns parmi les réfugiés sont partisans des Taliban : les laisser arriver en Europe est criminel. - Le devoir de la plupart des autres est de combattre les Taliban, pas de déserter. Et s’ils doivent se réfugier, c’est au Pakistan ou dans les autres pays musulmans de l’Asie qu’ils doivent trouver asile, ou en Iran, pour ceux de la minorité chiite. Ajoutons ici qu’il y en a assez de l’impudence de tant d’immigrés musulmans, aussitôt aigris, aussitôt révoltés parce qu’ils ne reçoivent pas immédiatement tout ce qu’ils s’estiment en droit d’exiger. Que n’ont-ils pour modèles les réfugiés d’Indochine, presque tous polis, respectueux, discrets, travailleurs. Mais que n’apprend-on dans les écoles quelle était la vie misérable des indigènes en Tunisie ou en Algérie sous la colonisation turque. Les Français en ont ras-le-bol de la jérémiade des assistés sociaux fabriqués par la convergence de l’échec de l’école de la République et du fatalisme mahométan, conclut Bernard Antony (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page). - Attentat à Nice, coup d'Etat en Turquie, islam, attentat à la hache en Allemagne , voilà, nous en avons parlé. On va encore nous reprocher "d'exagérer" et de faire des "amalgames"... - Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté - http://www.causeur.fr/attentat-nice-islam-islamisme-uoif-freres-musulmans-ramadan-39335.html - http://www.ilgiornale.it/news/mondo/limam-nizza-laicit-francese-responsabile-attentati-1286470.html?mobile_detect=false - http://www.fdesouche.com/750335-abdelkader-sadouni-un-imam-de-nice-la-laicite-la-francaise-est-responsable-des-attentats - http://www.christianvanneste.fr/2016/07/20/le-contre-coup-detat-derdogan/ - http://www.bernard-antony.com/2016/07/mais-jusquou-ira-limpudence-ottomane.html - http://www.lagrif.fr/index.php?option=com_k2&view=item&id=567:radicalisation-ils-ne-cessent-d-en-parler-mais-sans-oser-nommer-comme-le-marechal-sissi-la-racine-du-mal-dont-il-s-agit-la-sacralisation-des-textes-fondateurs-de-l-islam - http://www.bernard-antony.com/2016/07/les-refugies-afghans.html -
Les fanatiques ont fait irruption chez un disquaire lors de la diffusion du dernier album du groupe de rock britannique.
Un groupe d'islamistes a attaqué vendredi soir des mélomanes qui s'étaient réunis lors du ramadan chez un disquaire d'Istanbul autour d'un verre pour écouter une diffusion du nouvel album du groupe de rock britannique Radiohead, ont rapporté les médias turcs. Au moins deux personnes ont été blessées.
Les agresseurs qui dénonçaient la consommation d'alcool lors du mois de jeûne musulman ont dégradé le matériel et poussé les gens à l'extérieur du magasin par la force en les insultant et en les frappant, selon les images diffusés sur les réseaux sociaux. «Nous vous tuerons, espèces de bâtards», a lancé un des assaillants.
Quatre personnes ont été inculpées de participations aux activités d’un groupe terroriste ce mercredi à Ternat, Borgerhout et Anvers.
l y aurait eu de nouveaux projets d’attentats en Belgique.Dans le cadre d’un dossier de terrorisme, la police fédérale d’Anvers a exécuté ce mercredi huit mandats de perquisition, à la demande d’un juge d’instruction de Malines. Elles se sont déroulées notamment dans les villes de Ternat, Borgerhout et Anvers. Quatre personnes, suspectées d’avoir voulu recruter des volontaires afin de les envoyer en Syrie ou en Libye, ont été emmenées pour audition par les forces de l’ordre.
Les individus arrêtés à Bogerhout préparaient visiblement un attentat à Anvers, révèle De Standaard. Certains d’entre eux sont encore mineurs. Tous ont été en contact avec l’Anversois Hicham Chaib, figure de premier plan de l’organisation terroriste Etat islamique à Raqqa.
Le parquet fédéral n’a toutefois pas souhaité s’étendre sur les détails des plans retrouvés chez les individus arrêtés. L’on apprend toutefois que lors de leurs échanges sur internet surveillés ces derniers mois, les personnes arrêtées ont évoqué une attaque à Anvers, dans « un lieu où il y a beaucoup de passage ». La gare d’Anvers aurait été évoquée.
Rallier les zones de conflit
Certaines d’entre elles avaient l’intention de rallier elles-mêmes les zones de conflit et de rejoindre l’organisation terroriste État islamique, a précisé le parquet fédéral. L’une des personnes interpellées a été placée sous mandat d’arrêt. Une autre, sous bracelet électronique. Les deux dernières ont été libérées moyennant le respect de strictes conditions.
Toutes les personnes arrêtées ont été inculpées de participation aux activités d’un groupe terroriste. Aucune arme n’a été découverte, pas plus que des explosifs.
Aucun lien avec le 22 mars
Pour l’heure, rien n’indique la présence d’un lien avec le double attentat qui a frappé l’aéroport de Zaventem et la station de métro Maelbeek le 22 mars dernier. Le fait qu’aucun Flamand ne soit directement lié aux attentats de Paris ou de Bruxelles confirme en effet la thèse du parquet qui se refuse pour le moment à communiquer « tout autre renseignement ou précision supplémentaire dans l’intérêt de l’enquête ».
Ci-dessus, la mosquée Arrhama, dans le quartier Saint-Jean, le 26 mars. Les portes restent fermées aux journalistes et aux policiers. (source : copie d'écran du site internet de Paris Match)
Le poids des mots, le choc des photos. Fidèle à sa célèbre formule, l'hebdomadaire Paris Match publie, le 9 avril 2016, une enquête choc. Un journaliste de la redaction a infiltré la mosquée la plus radicale d'Avignon, là où les flics de Bernard Cazeneuve ne mettent plus les pieds. La redaction de l'hebdomadaire souligne sous la plume de son envoyé spécial, Djaffer Aït Aoudia, "Nous avions enquêté au mois de janvier à la Reine-Jeanne, à Avignon. Retour sur cette banlieue provençale où la menace de la charia apparaît déjà.
"Pointer le nez à la Reine-Jeanne est une mauvaise idée quand on a publié une enquête révélant que, vu de ce quartier, Avignon mériterait de s’appeler « république des salafistes » plutôt que cité des Papes…
"Depuis la parution de mon enquête dans Paris Match, j’ai eu droit à toutes les insultes : « Impie… Traître… Mécréant… » J’ai fait l’objet d’un prêche qui a appelé les musulmans à me maudire. Ma photo galope d’un site Internet islamiste à l’autre. C’est l’ensemble des imams d’Avignon qui me voue à l’enfer...".
Dans une France où tout va mal, surtout pour les patriotes qui travaillent dur, dans une France en plein désarroi, où nos paysans se suicident pour échapper aux huissiers, dans une France où des intégristes Egyptiens utilisent le Pays comme base arrière, dans une France où les projets de mosquées ou de centres cultuels musulmans intégristes se multiplient, dans une France où le député-maire PS d’Annonay Olivier Dussopt, en Ardèche, a fait interdire dans sa ville l’islamiste intégriste Omar Erkat, qui entendait donner une conférence médicale, intitulée « Guérir l’autisme », le 14 novembre 2014 en soirée au château de Déomas à Annonay, les révélations sur Avignon constituent un nouveau "coup de tonnerre" en Europe. Dans quelques mois, Avignon va-t-elle remplacer Molenbeck ?
Paris Match a, ces derniers mois, multiplié les reportages dans les milieux intégristes, comme ce reportage à Trappes.
De retour en Avignon, Djaffer Aït Aoudia écrit : "Je viens voir si des mesures ont été prises pour freiner la montée des « émirs » et autres « émirs en chef », qualifiés pour prendre en main petits voyous et gamins perdus. Notre document avait fait réagir les autorités locales, la préfecture avait diligenté une enquête… Sur les trottoirs, pourtant, ce sont toujours les mêmes hommes en pantalon à larges pans, les femmes voilées et même de toutes petites filles drapées dans le linceul islamique...".
Et tout le reportage montre que les habitants de ce quartier d'Avignon vivent la présence des intégristes comme une fatalité, après la grêle et les sauterelles. Les témoignages recueillis par Djaffer Aït Aoudia attestent du découragement : "Un habitant, un Blanc, peut-être le dernier du quartier, balade son chien. Il accepte de me donner une indication : « Si les chefs sont encore là ? Ils partiront quand les poules auront des dents ! Allez voir à la mosquée d’à côté… » C’est la mosquée du quartier Saint-Jean. L’homme qui la dirige, Mimoun El-Khoury, reçoit notre photographe dans son épicerie, entre caisses d’oranges et sacs de patates. Encore furieux d’avoir été mis en cause, il explique les nouvelles règles : les journalistes ne sont plus les bienvenus chez lui. « Interdiction de distribuer la parole des religieux. La seule ration pour les reporters français, c’est la famine… » Mais il se fait bon commerçant : « Laissez-moi vous offrir une orange ! »...
"Après notre enquête, El-Khoury a été longuement auditionné par la police, sommé de contenir les débordements langagiers dans sa mosquée et de se défaire d’un encombrant imam, défenseur de Daech, le dénommé Hichem. On l’a prié de veiller à ce que les lois de la République et de la laïcité soient respectées dans sa mosquée, souligne le reporter de Paris Match Djaffer Aït Aoudia".
Pendant la prière à la mosquée Assunnah, carrefour des prédicateurs les plus extrêmes, le 26 mars. (source : copie d'écran du site internet de Paris Match)
Ce nouveau reportage, haut en couleurs et en saveurs, démonte la mécanique relationnelle entre les islamistes intégristes et les autorités. Djaffer Aït Aoudia relate "Au début, El-Khoury s’est exécuté. Mais, très vite, il aurait repris ses marques, avec l’objectif de trouver l’équation qui concilie la loi et son projet d’alimenter le radicalisme. Un ex-membre de l’association qu’il préside, l’Entente culturelle islamique, accepte de me parler. Mais pas question de citer son nom. Trop risqué. Il a rompu avec ses anciens mentors pour protester contre leur nouvelle marotte, la conversion. « Les convertis sont animés par le besoin obsessionnel de faire leurs preuves afin de se faire accepter. Ils sont des proies faciles. Les gourous martèlent, entre douceur paternelle et sévérité, jusqu’à leur vider le cerveau. Et le remplir d’un univers régi par les lois d’Allah. Je les ai vus faire, ça marche… »
"Depuis janvier, la mosquée organise même des « séances de baptême collectif ». Trois personnes sur quatre à avoir plongé du côté obscur et violent de la religion se recrutent désormais parmi les convertis. Rien à voir avec les délinquants, passés directement du trafic à Allah. Mais ces anciens chrétiens, ces ex-athées, sont déjà surnommés « les machines à tuer » ou « les déjà morts »… Je me souviens de ma rencontre avec l’un d’eux. C’était après l’assassinat de l’humanitaire américain de 26 ans Peter Kassig, en 2014, en Syrie : « Tuer un musulman est un assassinat odieux, qui doit être vengé. Mais tuer un chrétien n’est pas un crime. C’est juste une proclamation, c’est mathématique », m’avait-il expliqué. A la lecture de ce Coran, Mahomet s’arracherait la barbe.
"J’ai maintenant rendez-vous dans l’Avignon du Festival, celui de la place de l’Horloge et du palais des Papes, avec une personne qui peut m’éclairer sur le rôle de ces imams face au radicalisme. « Ici, dans un rayon de 3 kilomètres, il y a dix mosquées. Deux turques, une algérienne, plutôt “light”, et sept salafistes où exercent des imams formés pour la plupart au Maroc, là où la pensée wahhabite [version moderne du salafisme] fait des ravages. »
La mosquée Assunnah, du Pontet, pendant une journée découverte. (source : copie d'écran du site internet de Paris Match)
"Quatorze mille Marocains auraient déjà rejoint les organisations terroristes en Syrie et en Irak poursuit Djaffer Aït Aoudia dans son récit. Au Maroc, les dérapages des personnalités religieuses sont monnaie courante. Prêches radicaux dans certaines mosquées, discours misogynes sur les radios, professeurs d’école partisans d’un islam puritain, Sartre et Descartes interdits de programmes scolaires mais littérature saoudienne librement importée…
"C’est un disciple de ce wahhabisme marocain que je rencontre à la Croix des Oiseaux, à 1 kilomètre de la Reine-Jeanne. La cinquantaine, djellaba, chéchia et longue barbe noire sans moustache, Mohammed El-Bouami Alaoui, président de l’association La Sagesse, à l’origine de la mosquée du quartier, semble arrivé directement du VIIe siècle. Un compagnon du Prophète… mais avec sa page Facebook, véritable placard publicitaire pour les radicaux du royaume alaouite. Récemment, j’apprends que ses acolytes ont pris d’assaut une mosquée pour interdire l’enterrement d’un Irakien au motif qu’il était chiite.
"Aujourd’hui, je suis venu l’interroger sur deux convertis. La première, dans sa mosquée, Charlotte Bon. On a retrouvé sa trace en Syrie. « Je ne me souviens plus », dit-il en égrenant son tasbih (chapelet musulman). Pourtant, la jeune fille de 22 ans était proche de son ancien secrétaire général, Kamel Benaicha. Elle a fini par être jetée dans le lit d’un djihadiste de Daech qui l’a engrossée. Il s’emporte : « Arrêtez de m’interroger à ce sujet ! Je n’en sais rien ! Les gens viennent se convertir dans notre mosquée, après, s’ils veulent partir en Syrie, c’est leur problème ! Qu’ils partent ! »".
Abderrahmane Bouaffad, devant la mosquée El-Boukhari, dans le quartier de la Rocade, où a eu lieu le « tribunal islamique » qui lui a donné tort : il s’est fait déposséder des locaux de son association par Mohammed El-Bouami Alaoui, président de l’association salafiste La Sagesse. (source : copie d'écran du site internet de Paris Match)
Djaffer Aït Aoudia aborde alors avec son interlocuteurs la question de David M., devenu Karim, un jeune Arménien qui, lui aussi, fréquentait assidûment sa mosquée. L'homme lui répond : "Il a été arrêté en se rendant au Maroc. On a retrouvé chez lui 90 téléphones portables dont certains avaient été utilisés par des réseaux radicaux en Belgique et en Syrie. Karim l’Arménien était hébergé par le trésorier de La Sagesse.
« Il ne l’hébergeait pas, il lui louait un appartement », rectifie El-Bouami. Djaffer Aït Aoudia livre son diagnostic dans ce reportage implacable : "Quoi qu’il en soit, cet appartement a été perquisitionné après les attentats de Paris. Le trésorier était en possession de la plupart des documents de l’Arménien, y compris les plus confidentiels, comme son code secret de la Caf ou son relevé d’opérations bancaires. Est-ce donc lui qui avait organisé son départ au Maroc ? « Je vous ai dit que cela n’est pas mon problème. De toute façon, je ne peux vous parler de personne. L’islam me l’interdit : je n’ai pas le droit de dénoncer. » Je laisse tomber, effondré. Pour lui, les djihadistes seraient donc des résistants…
"Je quitte la mosquée pour retrouver Abderrahmane Bouaffad, un homme pieux, mais qui ne fait pas partie de la galaxie salafiste. Il a gardé un souvenir cauchemardesque de sa rencontre avec El-Bouami et sa cour. C’était il y a quelques années ; Bouaffad voulait bâtir un centre culturel dans ce quartier de la Croix des Oiseaux, avec pour objectif, dit-il, de promouvoir un islam affranchi de toute idéologie et de l’influence des Etats étrangers.
"Des jeunes semblent séduits, parmi lesquels un certain Mohammed El-Bouami, encore inconnu, encore modeste, qui propose ses services. C’est un cheval de Troie. Il va gravir les échelons, profiter de l’hospitalisation de Bouaffad pour bricoler de nouveaux statuts, monter l’association La Sagesse et recruter des imams à la réputation sulfureuse ajoute Djaffer Aït Aoudia."
Mohammed El-Bouami Alaoui, président de l’association salafiste La Sagesse. (source : copie d'écran du site internet de Paris Match)
L'enquête de Djaffer Aït Aoudia révèle "Rapidement, la Croix des Oiseaux fait parler d’elle. Plaque tournante de la drogue, elle devient le sanctuaire du djihadisme, avec des conversions à la pelle, des perquisitions et des arrestations en chaîne. Rétabli, Bouaffad s’affole. Légalement, il reste le président de l’association, propriétaire des locaux. Il porte plainte, saisit la préfecture, la mairie, toutes les autorités possibles pour obtenir l’expulsion des « squatteurs ».
"Parce qu’il ne reçoit aucune réponse, il se rabat sur l’arbitrage et contacte un imam affilié au Conseil du culte musulman, pensant qu’il présente toutes les garanties… Mohammed El-Mahdi Krabch exerce à la mosquée de la Rocade, aux portes des remparts. C’est lui qui préside la séance.
"Un véritable traquenard. Face au requérant, une dizaine d’imams. A peu près tous marocains. Parmi eux : Mohamed Senouci, l’ancien imam du Pontet qui veut « châtier les forniqués et les fornicateurs », ou encore Chikh Souhib, un des lieutenants d’Abdel Hadi Doudi, imam à Marseille, ancien du Fis algérien, la crème de la crème des djihadistes. Le président de la mosquée de la Rocade, Mimoun Bellaghzari, ouvre le débat « au nom d’Allah, le grand » : « C’est pour vous écouter, vous et votre adversaire, que nous vous avons fait venir. A la fin des débats, nous allons nous retirer pour délibérer et prendre une décision. »
"Un tribunal islamique, comme au pays des mollahs ! « Je ne savais pas que cela pouvait exister en France ! » Bouaffad en a encore des frissons. Le verdict tombe : il doit abandonner les lieux aux « putschistes », aucune des parties ne devra introduire un recours devant les autorités de la République. La décision est retranscrite dans un document officiel (que j’ai consulté), rédigé par l’avocat de l’association La Sagesse, avocat au barreau d’Avignon....".
Selon Paris Match, "Bouaffad croit encore qu’il s’agit d’une hérésie islamo-juridique et qu’il suffit, pour obtenir l’expulsion, de porter plainte devant le tribunal de grande instance. Le magistrat lui donne raison et les ennuis commencent : prêches violents, insultes sur les réseaux intégristes, campagnes médiatiques. La punition d’un « mauvais musulman » qui n’a pas accepté de courber l’échine. Cette cabale est révélatrice : il existe bel et bien une colonne salafo-marocaine dans la région, qui veut noyauter les mosquées, implanter l’intégrisme.
"Mais que fait le Conseil français du culte musulman ? Ma question fait sourire une personne bien informée : « Le CFCM n’ignore rien des salafistes d’Avignon. Ses membres en sont des acteurs. Tout porte à croire qu’il est noyauté par les plus radicaux du réseau marocain. » Je n’ai qu’à me rendre à la mosquée du Pontet « pour constater par [moi]-même »....".
La mécanique est parfaitement rôdée, comme le démontre Djaffer Aït Aoudia, journaliste à Paris Match : "La voilà, cette mosquée du Pontet qui a récemment abrité le conseil d’administration du CFCM. Elle a deux entrées : l’une pour les hommes, l’autre pour les femmes. Et deux visages. Côté jardin, pendant les journées portes ouvertes, salamalecs et verres de thé. Côté cour, une piste d’atterrissage pour prédicateurs salafistes. Son ancien imam, Mohamed Senouci, n’a jamais caché son orthodoxie et sa détermination à appliquer la charia en France. Son successeur ne fut autre que l’imam Hichem, qui a prêché à Paris et au Pontet avant de migrer à Saint-Jean, où il a été récemment obligé de rendre sa chaire.
"Il a fini par trouver refuge à la Croix des Oiseaux. Même de la fenêtre, le spectacle est édifiant : parmi une foule d’enfants, les silhouettes de préadolescentes, emmitouflées dans la camisole islamique pour chanter Allah. Face à elles, leur professeur-prêcheur, visage et corps enseveli sous le niqab. Rien ne dépasse. Même pas les mains. Je m’en vais, stupéfait. Les Avignonnais ne voient donc rien de cette vie à leurs portes ?
"La mosquée El-Boukhari, par exemple, celle qui « a abrité le tribunal islamique » de mon interlocuteur. Tous les hommes politiques locaux en ont foulé le sol, même le ministre Cazeneuve. Le président de la mosquée, Bellaghzari, sera bientôt décoré de la Légion d’honneur ! Et la maire d’Avignon, Cécile Helle, travaille en fusion avec l’imam El-Mahdi Krabch, sur lequel elle ne tarit pas d’éloges : « Homme tolérant […] qui respecte nos valeurs et les lois de la République », mais qui préside un tribunal islamique !
"Connaissent-ils Mustapha Abou Oumama, le fondamentaliste parisien qui veut voiler les Françaises, comme il le clamait en 2014 pendant une rencontre organisée par l’association de la Croix des Oiseaux, Etude et partage ? interroge avec malice Djaffer Aït Aoudia. Oumama était alors accompagné par un imam belgo-marocain, Il y aussi Azaouaj. Lui a fini par rejoindre Daech, il est mort en Syrie. C’était quelques mois seulement après son passage à Avignon.
"Complaisance politique ou simple ignorance ? Mme la maire n’a pas daigné répondre à notre demande d’interview. Au château de Saint-Chamand, une salle municipale est prêtée à une école d’enseignement de l’islam et de l’arabe.
"Peu après la publication de notre reportage, la municipalité a rouvert gracieusement son château à l’une des stars de la scène islamiste française, Nabil Ennasri. Une rencontre organisée (encore) par… Etude et partage ! A l’heure où j’écris, l’enseignement islamique continue de prospérer. Il est vrai que les musulmans, islamistes ou pas, sont aussi des électeurs…"
Dans la Cité des Papes, au cœur de la Provence, des imams intégristes semblent avoir pris le contrôle de quartiers complets. Sans le travail d'investigation de la redaction de Paris Match et de son envoyé spécial Djaffer Aït Aoudia, la France entière ignorerait la terrible réalité d'Avignon, ville plus renommée pour son tourisme, sa cité des Papes, mais qui dissimule une concentration d'islamistes intégristes.
Depuis la "politique arabe de la France", rien a changé. La France, puis l'Europe, ont développé le concept de "l'Eurabia" avec la Ligue arabe ; puis le concept d'une Europe islamo-compatible avec les Etats membres de l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI). Résultat : depuis 2015, nous sommes submergés par une migration musulmane massive et nous sommes victimes d'attentats islamiques. - A ce propos, dans La Libre Belgique, Joseph Junker écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Rien n’a changé parce que Charlie, et nous tous avec lui, avons continué à confondre liberté d’expression et provocations vulgaires. Et pourtant nous aurions pu nous détacher d’une conception pré-pubère de ce bien si précieux qu’est le droit d’affirmer haut et fort ce qu’on pense être juste. Et pourtant nous aurions pu cesser d’ériger en monument ce qui n’est en réalité qu’un reliquat de gaudriole estudiantine mal évacué. - Joseph Junker : Le terrorisme ne doit pas nous faire changer de vie, dit-on ? Eh bien il se trouve que l’indignation profonde qui m’a soulevé le cœur après le lâche et ignoble assassinat des dessinateurs de Charlie n’a pas fait changer la bien faible estime dans laquelle je tenais ladite publication. Las ! Elle a continué à repousser toujours plus loin les frontière de la décence, avec en lamentable point d’orgue la "Une" stupide de la semaine dernière. Et tout a continué. - Joseph Junker : Rien n’a changé parce qu’une partie de notre élite a continué d’affecter de croire que c’est en niant un peu plus nos racines, en faisant taire les cloches, en renommant les vacances de pâques et les marché de noël ou encore en retirant les crucifix des écoles catholiques qu’on allait recréer le vivre-ensemble. Comme si accéder aux exigences d’un laïcisme délirant, amalgamer terrorisme islamique, moine bouddhiste et frère catholique, renier tout patrimoine chrétien et endoctriner patiemment nos petites têtes blondes au nihilisme ambiant… pardon les "initier à la citoyenneté" pouvait être de quelque secours que ce soit face au défi posé par le radicalisme ! Et tout a continué. - Joseph Junker : Rien n’a changé parce qu’une autre partie de notre élite s’est appliquée à prouver son (in)utilité en nous proposant des gadgets législatifs dispendieux et inutiles, comme si la perpétuité effective et la déchéance de nationalité allaient dissuader des kamikazes de frapper notre pays. N’est-ce pas la même élite pourtant qui refuse de regarder ses responsabilités en face, d’affronter le monstre qu’elle a elle-même créé par son clientélisme, son inconstance et son manque de vision ? N’est-ce pas elle qui toujours se complaît dans un somptueux déni, ne pensant qu’à refiler la patate chaude au gouvernement qui l’a précédé ou suivi ? Et tout a continué. - Joseph Junker : Rien n’a changé parce que la Belgique est resté la Belgique : un Etat morcelé, où le moindre débat de fond ou même de forme mène à des discussions sans fin de marchands de tapis… pendant que rien ne se passe. Un Etat où la rationalisation des compétences n'est admissible qu'en la dispersant encore plus ; un Etat où de laborieux compromis sont érigés en dogmes et d'autant mieux observés qu'ils sont incompréhensibles. Un Etat faible, pour un pays qu'on aime. Et tout a continué. - Joseph Junker : Rien n’a changé parce qu’après chaque attentat, on a ressorti les bougies, les larmes, les "Je suis...", les "vivre-ensemble", la "solidarité" et les minutes de silence bien nécessaires pour un temps, celui de l'émotion, mais qu'on n’est jamais allé plus loin. Les analyses qu'on aurait dû entendre, les grands débats et les solutions déterminées qui auraient dû s'imposer sont restés submergés sous un pathos nécessaire et compréhensible un temps, mais dont l’omniprésence a oblitéré toute réflexion de qualité. Et tout a continué - Joseph Junker : Rien n’a changé parce que depuis toujours, questionner l’assimilation et la radicalisation d’une partie des communautés immigrées est resté un débat miné qui rend suspect celui qui s’avise de l’aborder (accusé de "faire le jeu de Daech"). Rien n'a changé parce qu'aujourd'hui encore il n'est pas toléré d'autre interprétation de ces évènements tragiques que celle qui nous est servie par ceux qui en sont co-responsables. Rien n’a changé parce qu'il n'est pas autorisé de préconiser autre chose que ce qui n'a pas marché jusqu'à présent... et que le débat sur ces questions en devient par conséquent l’apanage de quelques extrémistes de gauche et de droite en mal de castagne. Et tout a continué. - Joseph Junker : Rien n’a changé parce que nous nous sommes enfoui la tête dans le sable syrien en refusant de choisir le moins mauvais camp. Nous nous sommes lavés les mains dans l'innocence de ceux qui ne font rien, ou plutôt qui laissent faire le sale boulot par les autres, les (vilains) Russes, les (méchants) Iraniens. Nous n'avons autorisé qu'au compte-goutte nos forces armées à frapper Daech en faisant semblant de ne pas s'allier à leur ennemi dictateur un peu trop encombrant, que nous n’osions ni aider ni combattre. Nous nous sommes indignés de la prise de Palmyre, mais n'avons aidé personne à la reconquérir. Et tout a continué. - Joseph Junker : Rien n’a changé parce qu’une moitié de l’Europe a refusé depuis deux ans de voir le réfugié qui frappe à sa porte autrement que comme un importun à qui l'on n'a rien demandé. Rien n'a changé parce que l'autre moitié de l'Europe a versé dans l’angélisme, refusé de voir Cologne ni d’admettre le souci bien réel que cette vague d'immigration apportait au "bien commun". Rien n’a changé parce que ces deux Europe se sont réconciliées dans le dos de leurs citoyens au prix d’un deal sordide avec le Sultan Erdogan. Et tout a continué, conclut Joseph Junker (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). - Michel Garroté - http://www.lalibre.be/debats/opinions/apres-charlie-rien-n-a-change-tout-a-continue-5702284a35708ea2d4324f1d -
Suite aux attentats de Bruxelles, je publie, ci-dessous, quelques analyses et aussi quelques commentaires, sur ces attentats, et, surtout, sur le contexte dans lequel ils ont été perpétrés. Les lectrices et les lecteurs trouveront ainsi des textes et interventions de Luc Rosenzweig, d'Ivan Rioufol, de la revue de presse Le Salon Beige et de Marion Maréchal-Le Pen. Pour ce qui me concerne, j'écrirais simplement que LesObservateurs.ch n'ont cessé de mettre en garde contre la terreur djihadiste et ses réseaux. Ce qui se réalise aujourd'hui en matière de terrorisme islamique était prévisible depuis très longtemps. Nous en avons fait maintes fois la démonstration, sources et preuves à l'appui.
-Les médias classiques, faute d'arguments, se sont contentés de nous taxer "d'islamophobes", "d'extrémistes" et de "racistes". Ils vont continuer de le faire. Faute d'arguments. Ils vont lancer, encore et encore, des campagnes soi-disant "anti-racistes". Ils vont continuer de dire "pas d'amalgame". Ils vont continuer de nous stigmatiser. Ils vont continuer de victimiser les musulmans. Ils vont continuer de nous censurer par-ci et de nous insulter par-là. Ils savent que nous avons raison, que les gens nous lisent et cela les insupporte. Ils sont incultes, sectaires et arrogants. Mais nous ne lâcherons rien. - Sur causeur.fr, Luc Rosenzweig écrit : Ce n’est pas le bilan humain des attentats de Bruxelles qui est effarant mais le fait qu’ils se soient produits dans un contexte de mobilisation policière maximale. Cela signifie tout simplement que les terroristes islamiques peuvent frapper où ils veulent, dans des lieux symboliques théoriquement surprotégés comme l’aéroport de Zaventem, et une station de métro au cœur du quartier européen de la capitale belge. Le djihadisme européen est bel est bien une organisation structurée, dotée d’une stratégie, de centres de commandement, d’un appareil logistique et surtout de bases de repli dans des quartiers où ils sont protégés par la population. - Luc Rosenzweig : Ces « bases vertes », comme on disait jadis les « bases rouges », où les terroristes marxistes (RAF, Brigades rouges, Action directe) tentaient, sans succès de trouver asile et protection, ont, elles, une existence bien réelle. Comment, sinon, expliquer que les terroristes les plus recherchés d’Europe aient pu trouver, pendant quatre mois des « planques » dans la capitale de l’Union européenne, conclut Luc Rosenzweig. - Voilà donc qu'on parle et reparle de Molenbeek, et ce, depuis 2001. Ce n'est donc pas nouveau. De 2001 à 2016, ça fait quinze ans, rien que ça. A ce propos, Ivan Rioufol, sur lefigaro.fr, écrit : A ceux qui osent encore parler d’un "prétendu communautarisme" et qui disculpent l’islam de toute filiation avec le terrorisme commis au nom d’Allah, un tour à Molenbeek (Belgique) ne ferait pas de mal. C’est dans ce quartier "multiculturel" de Bruxelles qu’a été arrêté, vendredi, le français Salah Abdeslam, un des djihadistes qui ont semé la mort à Paris le 13 novembre 2015. Recherché par toutes les polices depuis 4 mois, il vivait à 700 mètres du domicile de ses parents. Des témoignages, relatés par des médias, font comprendre que sa présence dans cette enclave musulmane était connue de beaucoup d’habitants. - Ivan Rioufol : Il est en tout cas évident qu’une omerta a protégé la fuite et la planque du tueur, qui a bénéficié sur place d’un réseau de solidarité. Lors de son arrestation, des jeunes ont tenté d’affronter les forces de l’ordre. Ceux qui ne veulent toujours pas voir la relation entre le repliement identitaire de la partie non intégrée de la communauté musulmane et le développement de l’hostilité à l’égard du modèle démocratique occidental sont les meilleurs collaborateurs de l’islam radical. A Molenbeek, cette idéologie totalitaire est comme un poisson dans l’eau. Comme le rappelle L’Opinion, ce lundi, impressionnante est la liste des terroristes passés par là depuis l’assassinat du commandant Massoud en Afghanistan en 2001, en passant par les attentats de Madrid (2004), la tuerie du musée juif de Bruxelles (2014), l’attaque avortée du Thalys et les attentats de Paris. - Ivan Rioufol : Mais il serait faux de croire cette situation spécifique à la Belgique. Des Molenbeek, il y en a partout en France", admet Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie officiers (police), dans Le Figaro. Il cite notamment Trappes, Roubaix, Le Mirail (Toulouse). Mais il faudrait y ajouter Sevran, Lunel et bien d’autres communes islamisées dans l’indifférence des élus locaux et des pouvoirs publics. Dans mon livre : "La guerre civile qui vient", je cite ce maire d’une banlieue, qui veut garder l’anonymat, qui recherchait en octobre 2015 un spécialiste de la guérilla urbaine et qui se prépare à des affrontements de rues. "Tous les ingrédients d’une possible guerre civile sont là", explique-t-il. Sa lucidité n’est cependant pas la chose la mieux partagée. - Ivan Rioufol : Le plus souvent, les maires des cités majoritairement musulmanes sont des personnages dociles, prêts à acheter la paix sociale en multipliant les concessions aux islamistes. C’est cette politique de soumission qui est aujourd’hui reprochée par les autorités belges à l’ancien bourgmestre de Molenbeek, le socialiste Philippe Moureaux. Par électoralisme et flatteries communautaristes, il est tenu pour responsable de la sécession de ce quartier (18 mosquées), en dépit du droit de vote acquis aux étrangers pour les élections locales depuis 2004. C’est Moureaux qui, par exemple, s’indignait qu’un lien puisse être fait entre le terrorisme et l’islam après les attentats de Charlie Hebdo. Mais des Moureaux, la politique française en est pleine, conclut Ivan Rioufol sur lefigaro.fr. - On peut lire sur la revue de presse Le Salon Beige (LSB) : Les Allemands et les Turcs ont réussi à faire passer l’essentiel de leur accord. L’éventuel veto britannique concernait la suppression des visas pour les Turcs entrant dans l’espace Schengen. Finalement on se contentera d’accélérer le processus de libéralisation, ce qui revient au même à court terme. La disposition essentielle est la disposition « temporaire et extraordinaire » qui prévoit le renvoi vers la Turquie de tous les nouveaux migrants qui arriveront sur les îles grecques, à partir du dimanche 20 mars selon les termes de l’accord, en fait à partir du 4 avril, a dit ensuite Angela Merkel. - Le Salon Beige : Pour chaque Syrien renvoyé, les Européens s’engagent à « réinstaller » dans l’UE un autre Syrien depuis la Turquie. L’accord stipule que chaque demandeur d’asile qui arrivera sur les côtes grecques aura droit à un examen individualisé de sa requête et le droit de faire appel de la décision de renvoi. Quelque 2'300 experts vont être envoyés en Grèce. Pour la Turquie c’est un accord « historique », parce que l’UE s’engage à accélérer le versement des 3 milliards d’euros déjà promis, et à ajouter 3 milliards d’euros d’ici la fin de 2018. Quant au processus d’adhésion de la Turquie, l'UE va ouvrir un nouveau chapitre, conclut le chroniqueur repris sur la revue de presse Le Salon Beige. - De son côté, Marion Maréchal-Le Pen signale qu'on ferme les yeux sur l’augmentation d’actes christianophobes. Ainsi, on peut lire sur Nouvelles de France : Marion Maréchal-Le Pen était reçue par Apolline de Malherbe dans BFM Politique. La députée Front national du Vaucluse a regretté « l’indignation à géométrie variable dans ce pays » à propos des actes antimusulmans. Selon elle, SOS racisme ne prend généralement pas en compte les dépôts de plainte raciste à l’égard des blancs. - Nouvelles de France : L’élue FN se pose des questions sur le nombre d’actes anti-blancs comparés aux actes anti-musulmans regrettant l’absence d’observatoire et souhaiterait une égalité de traitement. « On ferme les yeux sur l’augmentation d’actes christianophobes qui aujourd’hui explosent en France. Il existe un racisme anti-blanc dont on ne parle jamais en France », a-t-elle déploré, conclut Nouvelles de France. - Michel Garroté, 22 mars 2016 -
Y a-t-il un lien entre migrants musulmans et terrorisme islamique ? Le simple fait de poser cette question est déjà, en lui-même, politiquement incorrect, et, bientôt, illégal, interdit. Y a-t-il un lien entre migrants musulmans et terrorisme islamique ?, demandais-je. En effet, quel rapport peut-il y avoir entre, d’une part, plus d'un million de migrants musulmans qui, en 2015, sont parvenu à rejoindre l'Europe ; et d'autre part, les terroristes islamiques de l’EI & Consorts ? Le rapport entre les deux, c’est que les migrants qui rejoignent l’Europe sont musulmans. Et que les civils génocidés par l’EI en Syrie, en Irak et ailleurs, sont en grande partie des chrétiens. Or, si l’Union Européenne, le Conseil de l'Europe et l’Eglise catholique sont opposés à tout génocide, c’est les chrétiens qu’elle devrait accueillir en priorité, et non pas les migrants musulmans. - Le comble, c’est que l’Union Européenne, le Conseil de l'Europe et l’Eglise catholique veulent que les chrétiens restent en terre d'islam pour éviter la fin de la Chrétienté d’Orient. Mais l’Union Européenne, le Conseil de l'Europe et l’Eglise catholique, en revanche, veulent accueillir tous les migrants musulmans qui se dirigent vers l'Europe. On laisse les chrétiens se faire massacrer en terre d’islam et on accueille les musulmans en Europe avec le soutien de l’Eglise catholique. J’ai souvent écrit que l’islamisme est totalitaire et génocidaire. Et j’ai souvent écrit que l’idéologie issue de l’islamisme est comparable au communisme, au fascisme et au national-socialisme. - Enfin, j’ai souvent démontré, sources et preuves à l’appui (notamment grâce aux travaux de l’historienne Bat Ye’or), que depuis les années 1950, l’Union Européenne, le Conseil de l’Europe, le Parlement européen et l’Eglise catholique ont conclu des accords avec la Ligue Arabe (LA) et avec l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), accords qui stipulent la promotion de l’islam et la lutte contre toute critique de l’islam (critique surnommée « islamophobie ») et qui stipulent également la négation du droit d’Israël à exister. Cela fait donc plus de 60 ans que l’Europe, devenue post-chrétienne, anti-israélienne et islamophile, se rend complice du sort absolument catastrophique des chrétiens en terre d’islam ; et se rend complice des menaces existentielles qui pèsent, de plus en plus, sur Israël. - J’ajoute que ce qui s'est déroulé en 1975-1990 au Liban se déroule actuellement en Europe. Le simple fait d'écrire cela est déjà, en soi, politiquement incorrect, et, bientôt, illégal, interdit. - Michel Garroté, 17.2.2016 -
Selon une étude révélée par «Le Figaro», plus de 8000 musulmans français sont «radicalisés»
Huit mille deux cent cinquante musulmans français sont aujourd’hui considérés comme «radicalisés», contre environ 4000 en 2014: ce chiffre, tiré d’une enquête du Ministère de l’intérieur et publié par Le Figaro, témoigne de la difficulté des autorités hexagonales à endiguer la vague extrémiste et le succès des prédicateurs salafistes auprès d’une population à 70% masculine.
Beaucoup parmi mes amis analystes sont aussi pessimistes que moi concernant l’Europe : pas ou plus de civilisation à défendre ; pas d’armées offensives ; et des défis insurmontables. L’éradication de toutes traces du christianisme dans les pays musulmans d’Orient ne suscite aucune réaction concrète et significative. La « libanisation » de la France ne va pas tarder à exploser, car les politiques, de droite comme de gauche, sont totalement « corrompus » à l’islamisme qu’ils favorisent. Enfin, l’arrivée du FN au pouvoir signifierait le début de la guerre civile. Je dois avouer que je partage assez toutes ces vues. Ci-dessous, je publie les extraits de deux analyses qui elles aussi vont dans ce sens. Je ne connais pas personnellement leurs deux auteurs. Je note simplement qu'ils vont, en gros, dans le même sens que mes amis analystes et moi-même. - L'analyste Alain Wagner (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : 'La France est en guerre' est une formule en vogue. D’habitude quand on est en guerre, il est d’usage de scruter le ciel pour guetter les bombardiers, on cherche les uniformes ennemis, on examine les cartes pour voir les parties du pays envahies par les troupes ennemies. Ici pourtant, rien de tout cela. L’ennemi n’arrive pas de Syrie mais de Molenbeek en Belgique, il n’a pas d’uniforme et est majoritairement composé de Français. Certains observateurs firent remarquer que tous les membres des commandos mitrailleurs étaient musulmans, mais les autorités nous affirmèrent que cela n’avait aucun rapport. - Alain Wagner : C’est quand même étrange que dans une guerre avec un Etat situé au Moyen Orient (ndmg - l'EI), ceux qui nous attaquent soient originaires de notre propre pays. C’est également étonnant que la France soit en guerre contre un Etat islamique qui n’est pas islamique, composé de musulmans qui ne sont pas musulmans et d’aller bombarder quelques baraquements en Syrie pour montrer qu’on défendra jusqu’au bout le droit d’aller au bistrot tranquille. C’est également étonnant qu’une partie non négligeable de nos citoyens (ndmg - musulmans) manifestent bruyamment leur soutien à l’ennemi sur les réseaux sociaux et de manière presque ouverte dans la rue et dans leurs comportements quotidiens. - Alain Wagner : Notre gouvernement nous ment quand il prétend que nous sommes en guerre contre un Etat lointain. L’absurde concept de 'guerre au terrorisme' ne sert qu’à camoufler la désagréable réalité de la révolte islamique : cette rébellion de la charia en cours en France, comme dans toute l’Europe, si elle n’est pas reconnue pour ce qu’elle est et traitée de manière adéquate, ne fera qu’empirer et devenir la véritable guerre civile que beaucoup commencent à pressentir, conclut l'analyste Alain Wagner (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). - Le général Vincent Desportes (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La situation en Libye inquiète depuis longtemps. Il ne faut pas réitérer les erreurs de Nicolas Sarkozy : aller tout casser en Libye et repartir sans s'inquiéter de ce qui adviendra par la suite. Il faut s'interroger sur le jour d'après, sur les moyens que nous sommes prêts à consentir pour aider à installer un Etat (ndmg - libyen). Tous les efforts que nous menons contre l'EI en Irak et en Syrie seraient vains si nous laissions l'EI s'installer (ndmg - en Libye) à 300 kilomètres de nos côtes (ndmg - L'EI est déjà en Libye à 300 kilomètres de nos côtes). - Le général Vincent Desportes : Il y a urgence. Si on laisse l'EI croître et dépasser une certaine taille, les milices locales (ndmg - libyennes), les plus à même de les combattre, ne seront plus en capacité de le faire. La question n'est pas quelles frappes il faut faire, mais que veut-on faire en Libye. Les modalités de l'intervention découleront de cet objectif. Tant que cela n'est pas résolu, on devra, au mieux, se contenter de contenir l'EI, comme on le fait au Moyen-Orient, conclut le général Vincent Desportes (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). - Michel Garroté, 3 février 2016 - http://verite-valeurs-democratie.over-blog.com/2016/02/la-france-est-elle-vraiment-en-guerre.html - http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/libye-il-ne-faut-pas-laisser-daech-s-implanter-a-300-km-de-nos-cotes_1760004.html -
Musulman converti au christianisme, Rachid a travaillé comme bagagiste chez Dnata.
Il raconte le radicalisme religieux de ses anciens collègues et l’ostracisme dont il a été l’objet.
Ce jour-là, il était niché dans un salami pur porc. Lorsque l’Algérien Rachid (prénom d’emprunt), fraîchement engagé comme bagagiste saisonnier chez Dnata à Genève, sort de sa besace un déjeuner transgressif, ses collègues le houspillent: «Ils m’ont insulté en arabe, de façon très vulgaire. J’ai gardé mon sang-froid, leur ai fait remarquer qu’ils n’avaient pas à me dire ce que je devais manger et qu’être Algérien ne faisait pas forcément de moi un musulman.»
Mais la tolérance ne figure pas au digeste de ses camarades, à 90% Nord-Africains, selon lui. Rachid, converti au christianisme, doit manger à l’écart. Il y restera longtemps.
«Même ici, je ne pouvais pas vivre comme je le voulais.»
Dans diverses villes européennes, des femmes ont été frappées et violées par des migrants musulmans. Un Juif portant la kippa s'est fait agresser, à la machette, à Marseille, par un musulman. L'année 2016 serait-elle encore pire que le fut l'année 2015 ? Tout ce que j'écris depuis 2007 sur Internet ne faisait - et ne fait - qu'annoncer ces événements. Et je ne suis pas le seul. Lisez et relisez les analyses de Bat Ye'or, Gilles William Goldnadel, Michel Gurfinkiel, Alexandre Del Valle, Uli Windisch, Yvan Rioufol, Eric Le Ray. - Lisez et relisez Valeurs Actuelles, Boulevard Voltaire, Riposte laïque, Résistance républicaine, Les Observateurs. Depuis 8 ans, tout a été dit et écrit sur Internet. Résultat : les médias classiques continuent de défendre et de valoriser l'islam à tout prix, à n'importe quel prix, quitte à inverser le paradigme et mentir tous les jours. En Europe, des musulmans peuvent violer des femmes et chasser des Juifs à coup de machette. Mais la seule chose qui compte, c'est qu'il ne faut surtout pas critiquer l'islam. - Les coupables sont les victimes - Yvan Rioufol, dans le Figaro, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien en bas de page) : Qui sont les victimes ? "Les musulmans !", répond le discours humaniste. En commémoration de la manifestation du 11 janvier 2015, qui répondait à la nouvelle vague d’attentats islamistes contre la France, François Hollande s’est rendu à la grande mosquée de Paris pour y prendre le "thé de la fraternité". Un peu plus tôt, une église de Fontainebleau (Seine-et-Marne) avait été incendiée par un marginal. Yvan Rioufol : Lundi, un enseignant juif se faisait agresser à la machette, à Marseille, par un lycéen turc immédiatement qualifié de "déséquilibré" : un réflexe qu’impose la novlangue humanitariste dès qu’il s’agit de désigner ceux qui attaquent au nom d’Allah. En Allemagne, le déni des faits est identique : autorités et médias ont mis quatre jours avant d’admettre la responsabilité de "réfugiés", majoritairement nord-africains, dans les agressions sexuelles de centaines de femmes, le soir de la Saint-Sylvestre. - Yvan Rioufol : Les chrétiens d’Orient persécutés, dont le sort est autrement plus cruel que celui des habitants de Gaza, est également ignoré des indignés hémiplégiques qui réservent leurs épanchements aux Palestiniens. Les manifestations contre Israël sont légion. Mais il n’y en a eu aucune pour dénoncer la fureur de l’État islamique, protégé par des sunnites qui avalisent sa réhabilitation du califat. "Les musulmans payent le plus lourd tribut au terrorisme", font répéter les propagandistes de la "religion de paix et de tolérance". Yvan Rioufol : Le monde islamique a, en effet, ses conflits fratricides dont Istanbul vient d’être le théâtre. Cependant, c’est bien le salafisme qui veut conquérir l’Occident détesté. Pour autant, l’état de légitime défense de l’Europe a aussi ses négateurs. Pour le sociologue Raphaël Liogier (Libération, lundi), c’est elle qui est "fondamentaliste", à vouloir protéger sa civilisation. La soumission à l’islam impérieux, qui ne goûte pas de demeurer longtemps minoritaire, se généralise dans le camp du Bien : il voit le musulman comme le damné de la terre, et la nation trop française comme un obstacle à son épanouissement, conclut Yvan Rioufol dans le Figaro (fin des extraits adaptés ; voir lien en bas de page). - Oui au port de la kippa - Le chroniqueur Bernard Antony, président du Cercle d’Amitié française, juive et chrétienne, écrit (extraits adaptés ; voir lien en bas de page) : Catholique et français attaché à la liberté, à la diversité et aux traditions, j’approuve totalement ceux de mes compatriotes juifs qui ne veulent pas renoncer, sauf en dangereuses zones de non-droit (Note de Michel Garroté - qu'attend l'armée pour les nettoyer, ces zones de non-droit ?), au port de la kippa selon leur conviction et habitude, ne cédant pas ainsi partout à la pression terroriste. Pour ma part, j’entends continuer plus que jamais à porter alternativement à la boutonnière la croix de Saint-Jacques de Chrétienté-Solidarité très visible ou encore l’insigne de l’AGRIF avec la croix et le coq gaulois. - Bernard Antony : Si on continuait en effet dans la voie auto-liberticide ouverte par l’abandon de la kippa, on finirait par proscrire demain tout signe d’appartenance, tout ce qui est l’expression d’une conviction, d’une mission, d’un sacerdoce, d’une liberté. On verrait bientôt le paradoxe que ce ne seraient plus que des êtres étranges et incertains, aux visages inhumainement dissimulés qui rompraient par le comble de l’anonymat le règne de l’indifférenciation générale. - Bernard Antony : Or, bien sûr, ce sont les vêtures de cette radicale confiscation, selon les mœurs de l’épouvantable principe islamiste de suspicion de toutes et de tous, qui doivent être absolument interdites partout dans la cité, sans aucune exception ; non pas seulement pour des raisons légitimes de sécurité mais parce que notre civilisation est fondée sur le respect de la dignité humaine et donc de celle de la femme, dont le visage sans dissimulation carcérale est la première expression de sa liberté fondamentale de créature de Dieu, conclut le chroniqueur Bernard Antony, président du Cercle d’Amitié française, juive et chrétienne (fin des extraits adaptés ; voir lien en bas de page). - Michel Garroté, 15 .1 2016 - http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/01/bloc-notes-ces-victimes-quigno.html?xtor=RSS-19 - http://www.lagrif.fr/index.php?option=com_k2&view=item&id=514:pourquoi-je-defends-le-droit-au-port-de-la-kippa -
A part les bloc-notes d'Ivan Rioufol et de Gilles William Goldnadel publiés dans le Figaro (quotidien français de droite écrit par des journalistes de gauche), et, à part l'hebdo français Valeurs Actuelles, pratiquement aucun média français classique n'écrit la vérité sur les zones de non-droit de l'Hexagone (zones musulmanes de non-droit pudiquement appellées "quartiers sensibles"). Et pour se ré-informer, les Français se tournent, tout naturellement, vers les sites et blogues Internet francophones de droite, tels par exemple Riposte Laïque, Résistance Républicaine, Boulevard Voltaire ou Les Observateurs. - Le problème des "quartiers sensibles" est né sous De Gaulle, n'en déplaise aux néo-gaullistes d'aujourd'hui. Ce qui est nouveau, ce ne sont pas les zones de non-droit. Ce qui est nouveau, c'est qu'avec l'afflux massif de clandestins illégaux musulmans -- surnommés "migrants" par la caste politico-médiatique -- et avec l'infiltration de ce flux massif par des terroristes de l'Etat Islamique, nous nous dirigeons, selon toute vraisemblance, vers la guerre civile en Europe et aux Etats-Unis entre autre. - A cet égard, la persécution judiciaire dont font l'objet les sites et blogues Internet francophones de droite révèle l'impuissance de la caste politico-médiatique à gérer cette situation de crise. Au lieu de prôner l'envoi de l'armée dans les zones de non-droit, la caste politico-médiatique intente des procès à la blogosphère de droite et tente ainsi de l'asphixier financièrement. Le tandem Valls-Taubira est, en soi, une véritable caricature du pouvoir (du régime ?) en place à Paris. L'agité du bocal, je veux parler de Sarkozy bien sûr, ne vaut guère mieux. Il a semé le chaos en Libye et s'il est réélu en 2017, il sèmera le chaos partout où il pourra, car son état mental s'est aggravé. - Daniel Pipes, dans The Daily Caller, a récemment publié une analyse (adaptation française de Johan Bourlard) sur le risque de guerre civile dû aux zones musulmanes de non-droit en Occident, zones musulmanes de non-droit pudiquement appelées "quartiers sensibles" dans la novlangue post-occidentale (extraits adaptés ; voir les liens vers sources en bas de page) : De la Méditerranée à la Baltique, les zones de non-droit partiel dans les quartiers à majorité musulmane font partie du paysage urbain. Rien que pour la France, les autorités du pays en dénombrent 751. Cette démission, présage d'une catastrophe, nécessite un revirement immédiat. Si j'appelle les mauvais quartiers des villes européennes zones de non-droit partiel, c'est parce que les gens ordinaires vêtus de tenues ordinaires en des moments ordinaires peuvent y entrer et en sortir sans aucun problème. Mais il s'agit de zones de non-droit dans ce sens où les représentants de l'autorité – au premier rang desquels la police mais aussi les pompiers, les préposés au relevé de compteurs, les ambulanciers et les travailleurs sociaux – ne peuvent y pénétrer que sous haute protection et pour une durée limitée. S'ils désobéissent à la règle de base, ils risquent d'être poursuivis, insultés, menacés voire agressés. - Daniel Pipes : Cette situation ne devrait pas exister. Les sociétés d'accueil ont le pouvoir de dire non à l'apparition, en leur sein, de quartiers marqués par la pauvreté, le crime, la violence et la rébellion. Or, contrairement à ce qui devrait se passer, les gouvernements renoncent à leur pouvoir de contrôle dans l'espoir, fervent et un rien désespéré, d'éviter la confrontation. Les politiques multiculturelles entretiennent l'illusion en esquivant tout ce qui pourrait être interprété comme « raciste » ou « islamophobe ». Loin d'être une banale absurdité, cet abandon constitue une décision aux conséquences graves – bien plus profondes que, par exemple, le fait de ne pas tenir sous contrôle une ville américaine minée par le crime comme East St Louis. Et ce, en raison du fait que les zones musulmanes de quasi-non-droit s'inscrivent dans un contexte politique beaucoup plus large marqué par une une double dimension, occidentale et islamique. - Daniel Pipes : Dimension occidentale. Le fait d'éviter la confrontation reflète une ambivalence profondément ancrée au sujet de la valeur accordée à sa propre civilisation voire à la haine de la race blanche par elle-même. En 2006, l'intellectuel français Pascal Bruckner faisait remarquer dans son livre La tyrannie de la pénitence que la pensée gauchiste « s'épuise dans la dénonciation mécanique de l'Occident dont elle souligne l'hypocrisie, la violence et l'abomination. » Les Européens sont considérés comme « l'homme malade de la planète » dont la cupidité et les notions fallacieuses de supériorité sont la cause de tous les problèmes dans le monde non-occidental : « L'homme blanc a semé le deuil et la ruine partout où il a posé le pied ». Si la triade fatale formée par l'impérialisme, le fascisme et le racisme représente tout ce que l'Occident peut offrir, il n'est pas étonnant que les personnes qui migrent vers l'Europe, notamment les islamistes, soient considérées comme des êtres supérieurs à qui l'on doit une déférence passive. Ces derniers exploitent cette situation en agissant mal – des dealers de drogue font la loi, un gang viole 1400 enfants pendant 16 ans et fait la promotion d'idéologies violentes – avec une quasi-impunité car, après tout, les Européens n'ont à s'en prendre qu'à eux-mêmes. - Daniel Pipes : Dimension islamique. Les zones de non-droit partiel sont aussi le résultat d'une tendance islamique à l'exclusion et à la domination. La Mecque et Médine constituent les zones officiellement, souverainement et éternellement réservées aux seuls musulmans. Depuis près de quatorze siècles, ces deux villes arabes sont formellement interdites d'accès aux kâfirs, qui ne peuvent s'y aventurer qu'à leurs risques et périls. Il existe, depuis des siècles et aujourd'hui encore, une foule de témoignages de non-musulmans qui racontent leur périple dans les zones saintes de l'Islam. - Daniel Pipes : Il existe d'autres zones islamiques de ce type. Avant de perdre le pouvoir en 1887, les dirigeants musulmans du Harar en Somalie ont, pendant des siècles, mis l'accent (pour reprendre les termes d'un officier britannique) sur « l'exclusion de tous les voyageurs qui ne sont pas de confession musulmane ». Dans le même esprit, des femmes portant le hijab hurlent contre des non-musulmans en visite au Mont du Temple à Jérusalem pour leur faire sentir qu'ils n'y sont pas les bienvenus et pour ainsi les en écarter. En Occident, les enclaves légales réservées aux musulmans sont emblématiques d'un désir d'autonomie et de souveraineté des musulmans. Un autre exemple de ce genre de zones nous est donné par l'organisation Muslims of America [Musulmans d'Amérique], à la tête d'environ 15 zones de non-droit où grouillent les armes et l'hostilité, dans des propriétés privées disséminées aux quatre coins des États-Unis. - Daniel Pipes : Contrairement à des endroits comme East St. Louis, les zones de non-droit partiel à majorité musulmane ont, pour les musulmans, une dimension profondément politique et hautement ambitieuse. En effet, il n'est pas exagéré de penser qu'elles deviendront des zones musulmanes autonomes dans lesquelles la loi islamique s'appliquera au nez et à la barbe des autorités locales. La faiblesse des gouvernements occidentaux combinée à la forte volonté de puissance des musulmans laisse présager une situation future marquée par les troubles, les crises, les ruptures, voire la guerre civile. - Daniel Pipes : Certains pensent qu'il est déjà trop tard pour empêcher cette fatalité. Je ne suis pas de cet avis. Toutefois, si on veut éviter la catastrophe, il faut que le travail de démantèlement de toutes les zones de non-droit partiel soit entrepris sans tarder et conduit avec une détermination et une célérité fondées sur une estime de soi retrouvée. Deux principes universels devraient guider les gouvernements européens : l'exercice du monopole de la violence légitime et l'application des mêmes lois à l'ensemble des citoyens. La paix intérieure en Europe et peut-être dans d'autres contrées comme l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada et les États-Unis, est à ce prix, conclut Daniel Pipes (fin des extraits adaptés ; voir liens en bas de page). - Michel Garroté - Texte original de Daniel Pipes : - http://fr.danielpipes.org/16408/europe-zones-non-droit - Adaptation française de Johan Bourlard : - http://www.danielpipes.org/16384/the-danger-of-partial-no-go-zones-to-europe
A la suite d’une série de perquisitions, deux suspects soupçonnés d’avoir projeté des attentats dans le centre de Bruxelles pour les fêtes de fin d’année ont été arrêtés. Cette opération n’est pas liée à l’enquête sur les attentats de Paris.
Sur https://lesobservateurs.ch/, Sami Aldeeb, écrivait, le 21 décembre 2015 : Être islamophobe n'est pas à confondre avec être musulmanophobe. En 2011, Joseph Fadelle, ancien musulman devenu chrétien, avait déclaré, lors d’une interview à l’Aide à l’Église en détresse (AED), que son but était de "détruire l’islam" et il s'en était expliqué comme ceci (dans L’Homme Nouveau) : "C’est une phrase choquante, en effet, sur laquelle je ne reviens absolument pas, mais qui mérite d’être bien comprise. Je veux détruire l’islam, d’abord pour sauver les musulmans. La distinction entre les deux est encore une fois primordiale. C’est le salut des musulmans qui m’importe". Sami Aldeeb : "Leur fondement étant le Coran, il faut pousser les musulmans à comprendre le Coran et plus seulement l’apprendre par cœur, car il ne peut pas être parole de Dieu. Voilà un moyen bien concret, mais difficile à mettre en place, je le sais. Tout doit commencer dans la prière. Nous sommes des instruments, ce n’est pas nous qui détruirons l’islam et sauverons les musulmans, mais bien la main de Dieu. Les chrétiens français doivent se réveiller, réveiller leur foi. Ça fait trop longtemps qu’ils dorment. Maintenant il faut parler aux musulmans, c’est notre devoir. La situation est telle qu’on ne peut plus se permettre de dormir. Ce n’est plus seulement une question de charité, c’est désormais notre responsabilité d’enfants de Dieu", concluait Sami Aldeeb. L’idéologie islamophile Quant à moi, je note que selon l’idéologie islamophile à la mode (idéologie islamophile qui juge et condamne l’islamophobie), l’islam aiderait, soi-disant, l’Occident, à redéfinir son identité ; à pratiquer le dialogue des cultures ; et à pratiquer le multiculturalisme. A cet égard, l’idéologie islamophile reproche, à l’Occident, d’avoir une identité judéo-chrétienne prétendument monolithique. Et dans ce cadre, l’islam apporterait, paraît-il, quelque chose de nouveau. L’islam aiderait, soi-disant, les Occidentaux, à redéfinir leur relation avec les autres. L’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à lutter contre le racisme ; contre la discrimination ; contre le regard porté sur les musulmans. Un regard colonial, nous dit l’idéologie islamophile, un regard colonial influencé par l’histoire de l’Occident face à l’islam. L’islam aiderait, soi-disant, les Occidentaux, à transcender l’ère coloniale et les croisades. L’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à devenir multiculturels. Et l’islam aiderait, paraît-il, les Occidentaux, à faire de la lutte contre la discrimination, une priorité. Voilà résumée, en quelques lignes, l’idéologie islamophile. Je n’invente rien. C’est bel et bien ainsi, qu’est formulée (dans la haine de soi et avec une fausse culpabilité) l’idéologie islamophile, par des journalistes, des historiens, des sociologues, des enseignants, des chercheurs, des faiseurs d’opinion et des politiciens. Et quiconque n’adhère pas à cette idéologie islamophile, est, automatiquement, accusé d’être islamophobe. Mais le fait demeure que l’idéologie islamophile, non seulement s’est construite sur du sable mouvant ; mais qu’en plus, elle ne peut souffrir quelque débat que ce soit. Quiconque n’adhère pas à l’idéologie islamophile ne peut qu’être islamophobe. Et quiconque est islamophobe ne peut qu’être raciste (or l'islamophobie n'est pas raciste ; l’islam et l’islamisme ne sont pas raciaux, ils sont politico-religieux). On le voit ici, le niveau du débat, est à peu près aussi lamentable, que l’était, le débat sur le communisme; Un anticommuniste n'est pas "raciste" envers les communistes chinois, nord-coréens, vietnamiens et cubains. Un anticommuniste serait forcément un « réactionnaire d’extrême-droite ». Résultat : le communisme, à l’échelle planétaire, entre 1917 et 1992, a tout de même tué, plus de 150 millions de personnes… Et puisque je mentionne des millions de personnes tuées, j’attends toujours les chiffres sur le nombre de personnes tuées' en quatorze siècles, au nom de l’islam. Combien de Juifs d’Orient ? Combien de Chrétiens d’Asie mineure et d’Orient, par exemple Arméniens, Syriaques, Syro-chaldéens ? Combien de musulmans tués par d’autres musulmans, par exemple, lors de la guerre Iran-Irak (1980-1988) que tout le monde a oubliée, combien de musulmans et de non-musulmans tués par l'Etat islamique ? Alors oui, oui, j’ai la phobie, la peur de l’islam. Pas une peur qui, face à l’islamisme, fait de moi un collabo, un capitulard. Non, une peur qui m’invite à aller au-delà de la peur et qui m’invite à dire que, oui, je suis islamophobe et que je combats l’islamisme précisément pour cette raison. Ceux qui avaient la phobie, la peur du nazisme, avaient deux choix possibles : devenir des collabos capitulards ou résister. Je choisis de résister en reconnaissant que la peur est l’une des motivations de ma résistance, l’autre motivation étant le refus de perdre ma liberté d’expression et d’opinion. Michel Garroté
Les dirigeants européens et la Turquie se sont mis d’accord dimanche sur un fonds de 3 milliards d’euros pour aider la Turquie à accueillir des réfugiés syriens, a indiqué le président du Conseil européen.
En France, il est pratiquement interdit de critiquer l’islam sous peine d’être taxé d’islamophobe et de raciste. La seule religion qu’il est pratiquement interdit de critiquer dans l’Hexagone, c’est donc l’islam. C’est ce que j’appelle l’allahïcité ou encore la laïcité à géométrie variable : islamophile, christianophobe et judéophobe. Cette mauvaise farce va jusqu’à inventer un « islamisme modéré » même si, à l’occasion, celui-ci se livre à son corolaire, le « terrorisme modéré ».
Sur Les 2 Ailes, Stanislas de Larminat écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : L’Islam n’a pas à proprement parler de magistère doctrinal. On peut toutefois relire un document officiel signé par tous les états islamiques prétendument modérés : la Déclaration Islamique des Droits de l’Homme. Elle stipule que la reconnaissance de ces droits est le prélude incontestable à l’édification d’une société islamique. Il s'agit d'une convention adoptée au Caire le 5 août 1990.
Stanislas de Larminat : Son titre exact est « Déclaration Islamique des Droits de l’Homme Suivie de leurs spécificités dans la Charia Islamique ». Elle a été élaborée par l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI). 57 états musulmans sont membres de cette organisation, dont la Turquie, l’Algérie, l’Arabie Saoudite, l’Iran, la Maroc, le Soudan, le Qatar, mais aussi des pays africains comme le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Nigeria, le Niger, le Mali. Tous ces états peuvent-ils prétendre que leurs musulmans sont modérés quand ils ont signé une telle déclaration ?
Stanislas de Larminat : Il faut l’analyser en détail. Le préambule : Il y est rappelé que le statut de l'homme dans l’Islam est celui de "vicaire de Dieu sur terre". Cette charte "constitue des directives générales aux États membres en matière des droits de l'homme". Le préambule réaffirme " le rôle civilisateur et historique de la Communauté islamique, meilleure communauté que Dieu ait créée et qui a donné à l'humanité une civilisation universelle équilibrée". Il déclare que "personne n'est en droit d'entraver totalement ou partiellement les droits fondamentaux et les libertés universelles dans l’Islam, de les violer ou de les ignorer".
Stanislas de Larminat : Les articles de la convention : Ils prévoient une référence fondamentale à la charia: "Tous les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration sont soumis à la charia islamique", art 24. Il n'y aura pas de crime ou de peine, sauf tels que prévus dans la charia", art 19, conclut Stanislas de Larminat (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
De son côté, Abdellah Tourabi, directeur de publication du journal marocain ‘Tel Quel’ écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : A chaque fois que se produit un attentat ou que le monde découvre une atrocité commise par Daech, on entend immédiatement des affirmations du genre “ça n’a rien à voir avec l’islam”, ou “ces gens-là n’ont jamais lu le Coran”. Ces arguments peuvent être bien intentionnés, mais ils sont, hélas, faux et intellectuellement malhonnêtes. Ils n’aident ni à comprendre la réalité ni à avancer pour sortir de cette impasse historique dans laquelle le monde musulman s’est englué. Les fanatiques qui se réclament de Daech parlent et agissent à l’intérieur de l’islam. Leurs convictions, leurs actes et leur vision du monde se veulent comme une réplique parfaite de l’islam des origines.
Abdellah Tourabi : Les adeptes de Daech appliquent le Coran à la lettre, font des hadiths le fondement même de leur vie quotidienne, et veulent reproduire intégralement la première forme politique connue de l’islam, le califat. Leur univers est certes fantasmé et anachronique, mais il correspond à une réalité qui a existé il y a 14 siècles. Le nier ou refuser de le reconnaître serait un aveuglement. Les textes religieux sont l’alpha et l’oméga des soldats de Daech. Comme les autres groupes jihadistes (Al Qaïda, les groupes égyptiens des années 1980-1990), ils justifient massivement leurs actes par des références au Coran et à la Sunna.
Abdellah Tourabi : Leurs documents, leurs communiqués et leurs livres sont construits comme des démonstrations théologiques et religieuses. Ils s’appuient sur des versets et des hadiths qui sont le résultat d’un contexte particulier, marqué par les guerres menées par le prophète Mohammed contre ses adversaires et la naissance du premier État musulman à Médine. Des versets comme “tuez les infidèles où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les”, ou un hadith qui énonce que “le jihad est le plus haut sommet de l’islam”, sont cités abondamment par les intégristes de Daech. Ils ne les ont pas inventés ni détournés de leur sens littéral.
Abdellah Tourabi : Le Coran, comme tous les autres livres religieux, contient des passages violents et belliqueux. Ils sont l’expression de leur temps et le contexte de leur révélation. Le calife Ali, cousin et gendre du prophète, résumait l’affaire en une formule limpide et clairvoyante: “Le Coran c’est deux lignes écrites dans un livre. Ce sont les hommes qui les interprètent”, disait-il. Lui qui a été assassiné aux premières années de l’islam par un fanatique qui préfigurait les sectaires de Daech. Notre refus de voir cette vérité en face, de reconnaître la part de violence dans l’islam et de vouloir la dépasser nous entraîne dans une spirale d’hypocrisie et de déni de réalité.
Abdellah Tourabi : Les théories du complot, la rhétorique creuse et vaine et le rejet de toute responsabilité sont les manifestations d’un malaise et d’une impasse. En rabâchant des slogans comme “pas d’ijtihad en présence d’un texte” et “le Coran est valable en tout lieu et tout temps”, on s’est empêchés d’avoir une lecture rationnelle et historique des textes religieux. Le regard critique, l’usage de la raison et l’adaptation à notre monde seront toujours sacrifiés et relégués au second plan. Et, entre-temps, les fanatiques de Daech continueront leur lecture littérale et mortifère des mêmes textes religieux que nous partageons avec eux, conclut Abdellah Tourabi (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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