Berlin : des journaliste agressés et gravement blessés lors des manifestations d’extrême gauche du 1er Mai

Le 1er mai, des extrémistes de gauche ont agressé une équipe de télévision à Berlin, provoquant un certain nombre de blessures, dont certaines suffisamment graves pour nécessiter une hospitalisation.

L'attaque s'est déroulée dans le district de Kreuzberg vendredi soir. Une équipe de sept personnes, dont trois agents de sécurité, du programme d'information satirique Heute-Show, diffusé sur la chaîne allemande ZDF, ont filmé les centaines de manifestants qui défilaient dans la zone. La marche a été organisée en violation du confinement édicté pour faire face à l'épidémie de coronavirus (COVID-19). Selon un rapport du journal Die Welt, les manifestants ont crié des chants contre la police et ont lancé des bombes fumigènes alors que les fonctionnaires tentaient de disperser la foule.

Bien qu'il soit illégal en Allemagne de porter un masque lors d'une manifestation, les autorités ont cédé par mesure de prévention contre le coronavirus.

Après le tournage, l'équipe de télévision se dirigeait vers ses véhicules lorsque 20 individus l'ont attaquée avec des bâtons. Selon un porte-parole de la police, quatre personnes ont été si gravement blessées qu'elles ont dû être transportées à l'hôpital.

Selon une déclaration de la ZDF, les assaillants utilisaient également des matraques. L'assistant du son a reçu des coups de pied au visage avec une telle force qu'ils étaient probablement destinés à être mortels.

 

 

La police a ensuite arrêté six personnes - quatre hommes et deux femmes âgés entre 24 et 31 ans - mais toutes ont été libérées durant la nuit. Le bureau du procureur a déclaré qu'il n'y avait aucun motif pour mettre en détention deux d'entre eux, et qu'il n'y avait "aucun soupçon urgent" concernant les quatre autres, selon le site Junge Freiheit.

La responsable de la police de Berlin, Barbara Slowik a déclaré qu'elle ne voulait pas spéculer sur les motifs politiques de l'attaque, mais qu'il y aurait une enquête.

Horst Seehofer, le ministre allemand de l'intérieur, a condamné l'attaque, appelant à une meilleure protection des journalistes. "La liberté de la presse est le pilier de notre démocratie", a-t-il déclaré, affirmant que le pouvoir de l'Etat devrait être utilisé pour prévenir la violence.

"Il s'agit des valeurs fondamentales de notre société", a ajouté M. Seehofer.

De grandes manifestations d'extrémistes ont également eu lieu à Leipzig, Hambourg et Braunschweig, ainsi que dans d'autres quartiers de Berlin. Un journaliste de Hambourg a également été blessé après avoir été frappé avec une bouteille par des manifestants.

Les extrémistes de gauche en Allemagne avaient juré de commettre des actes de violence le 1er mai, déclarant qu'ils avaient l'intention d'exploiter le chaos instauré par le coronavirus à leurs propres fins, comme l'a déjà mentionné Voice of Europe.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Welt.de / Voiceofeurope.com

 

Zurich : Des militants de gauche manifestent (en voiture) pour les réfugiés, la police intervient

Une centaine de militants de gauche se sont réunis samedi après-midi pour une manifestation apparemment non autorisée à Zurich en ces temps de pandémie.

Les manifestants voulaient attirer l'attention sur la situation des réfugiés en raison de la crise du Coronavirus. Probablement pour des raisons toujours liées à la pandémie, les organisateurs ont aménagé la manifestation sous la forme d'un défilé de voitures et de vélos, auquel ont participé une vingtaine de voitures, occupées par 100 personnes.

"À 14 heures, une trentaine de véhicules et un certain nombre de vélos ont traversé la Hardstrasse et la Heinrichstrasse. Plusieurs jours auparavant, la police municipale avait été informée qu'un "rassemblement de voitures" non autorisé avait été organisé à la Heinrichstrasse sous le slogan "Sécurité pour tous les réfugiés", a rapporté la police zurichoise dans un communiqué de presse, extrait du portail "20 minuten".

"Plusieurs manifestants ont suivi les instructions de la police et ont quitté les lieux avec des voitures et des vélos. Cependant, une trentaine d'entre eux, avec environ 16 véhicules, n'ont pas suivi les consignes et sont restés dans la Heinrichstrasse. Par conséquent, ils ont été personnellement inspectés et arrêtés", a déclaré la police.

Peu après "plusieurs personnes" se soient rassemblées avec leurs véhicules dans la Langstrasse et la Josefstrasse. "Ici également, la police municipale est intervenue et a fait partir les personnes présentes. A cette occasion, plusieurs manifestants ont été arrêtés". En plus des arrestations, deux tracteurs, plusieurs haut-parleurs et d'autres équipements de démonstration ont été saisis.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Mattinonline.ch

Nos remerciements à Panterina

Allemagne : Les extrémistes de gauche profitent du Coronavirus pour appeler au pillage

Les autonomistes voient dans la crise du Coronavirus une occasion pour appeler à la rébellion. Mardi, le portail Internet de.indymedia.org a publié un appel au soulèvement, au pillage et aux attaques contre l'approvisionnement en énergie.

Si la situation continue à se détériorer, "nous essaierons d'apporter notre contribution révolutionnaire aux manifestations de colère, aux protestations, aux pillages et aux troubles", déclare le texte écrit par un auteur inconnu utilisant le pseudo "Antikalypse".

Les "impatients" pourraient toutefois ressentir un vif désir d’apporter une contribution immédiate à l’ébranlement des "circuits de production" et de donner un coup qui "interrompt leur approvisionnement en énergie".

Le trafic du S-Bahn a été perturbé par une attaque

Sur ce site, des extrémistes de gauche avaient annoncé leur intention d'attaquer une ligne de câble à Berlin en septembre 2019. L'attaque a partiellement perturbé le S-Bahn et le trafic ferroviaire régional. Les milieux de la sécurité craignent que les extrémistes de gauche attendent que les autorités soient affaiblies par la crise du Coronavirus avant de frapper.

Indymedia est considéré comme l'organe central des communautés autonomes et autres extrémistes de gauche qui sont prêts à recourir à la violence. En août 2018, le ministre fédéral de l'Intérieur de l'époque, Thomas de Maizière (CDU), a classé la plateforme "linksunten.indymedia", qui fait partie du réseau international Indymedia, comme association anticonstitutionnelle et l'a interdite. Sur ce site, les extrémistes de gauche avaient salué les nombreux actes de violence avant et pendant le sommet du G-20 à Hambourg en juillet 2017. Lors des émeutes, les autonomistes avaient pillé plusieurs magasins dans le quartier de Schanzenviertel.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Tagesspiegel.de

Bâle : des extrémistes de gauche perturbent l’office religieux de la veille de Noël car la pasteure a participé à un “blog nationaliste” en… 2011

Un groupe d'activistes masqués a perturbé un office religieux la veille de Noël à Bâle. Ils en voulaient à la pasteure pour sa participation il y a plusieurs années à un blog nationaliste (2011!).

Les activistes et leur banderole appelant à la paix plutôt que la haine ont été expulsés du temple de Petit-Huningue par des membres de la paroisse et le sacristain.

[...]

20min.ch


Méthode typique de l'extrême gauche qui fiche tous les individus dans sa base de données pour les agresser. Les mêmes qui prétendent combattre l'Etat policier sans doute! C'est dire à quel point ces individus sont prêts à rouvrir les goulags si l'occasion se présente.

Le journaliste fait d'ailleurs porter le chapeau de cette action sur la pasteure en lieu et place des extrémistes de gauche (transformés pour l'occasion en simples "militants"), prétendant même que "ce n'est pas la première fois que le passé de la pasteure crée des remous."

Non, vous ne rêvez pas. Lorsque l'extrême gauche agresse, c'est à présent la faute à la victime.

Nos remerciements à Daniel Brand

 

Toulouse : la crèche vivante interrompue par des extrémistes de gauche

Affligeant. C’est aux cris de « Stop aux fachos », sans même se rendre compte que c’est ce qu’ils sont eux-mêmes, en ne respectant aucunement la liberté de pensée des autres, qu'une cinquantaine d’individus, a interrompu samedi, vers 16h la crèche vivante avec chœurs, qui devait se dérouler jusqu’à 18 heures, place Saint-Georges.

Regroupés sur les murettes entourant la place, vociférant et proférant insultes et cris à l’encontre « des flics, des fachos » revendiquant « nous, on est les anticapitalistes ». Effrayant les enfants qui jouaient dans la pastorale et jouant la provocation jusqu’à descendre sur la place en cherchant la confrontation.

Ce qui a clos définitivement la représentation, prévue avec succession de chorales, jusqu’à 18h. Alors, les enfants sont descendus de l’estrade, trois chœurs prévus encore n’ont pas chanté. L’âne et les moutons sont repartis dans leur ferme. Et le public déçu, hochait la tête de dépit. Aussi triste que crétin. Quel intérêt de venir manifester là ?

[...]

Ladepeche.fr

Nos remerciements à ReiNe Margot

MàJ.Quand les masques tombent : et Greta Thunberg assuma au grand jour la réalité de son idéologie

Nous en parlions déjà ici.

Toutefois le docteur Laurent Alexandre a tort sur un point. Greta avait déjà commis une erreur stratégique en soutenant un groupe de musique d'extrême gauche.

Cet article est évidemment absent de notre presse romande alors que la presse française l'évoque sans détour.

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PAS GRAND CHOSE À VOIR AVEC L'ENVIRONNEMENT

Quand les masques tombent : et Greta Thunberg assuma au grand jour la réalité de son idéologie

Greta Thunberg a co-signé une tribune. Dans ce texte, les signataires et Greta Thunberg reviennent sur le réchauffement climatique : "la crise climatique ne concerne pas que l'environnement. C'est une crise des droits de l'homme, de la justice et de la volonté politique. Les systèmes d'oppression coloniaux, racistes et patriarcaux l'ont créée et alimentée".

Atlantico.fr : Le texte de Greta Thunberg publié dans Project Syndicate identifie trois causes qui peuvent être à l’origine du réchauffement climatique dont le racisme et le système patriarcal entre autres. Au vu de cela, quels sont les discours de ces mouvements portés par Greta Thunberg ?

Laurent Alexandre : D’emblée, une chose étonnante est que ce discours a été écrit, ce qui montre bien que les spin-doctors (ou communicants) qui manipulent Greta Thunberg se sentent tout puissants. Ils se permettent de dire que le CO2 n’est pas leur objectif contrairement au fait de mettre la société occidentale – responsable de tous les maux de la terre - à mort. Ils ont tout de même dit que la crise climatique est liée au patriarcat raciste, colonial, oppressif et qu’il est nécessaire de le démanteler. C’est un discours trotskiste, révolutionnaire au sens propre du terme et il est très étonnant de voir ce passage à l’acte car ils vendent la mèche alors que jusqu’à présent ils n’ont jamais dit quel était leur véritable agenda. On est passé en réalité de la défense des coquelicots à la volonté de détruire l’homme blanc, hétérosexuel, chrétien et européen. Pour un peu, cela donnerait raison à Eric Zemmour.

Était-ce un phénomène latent dans le mouvement écologique tel qu’il s’organise autour de cette figure-ci ?

Greta Thunberg est issue d’un milieu d’extrême-gauche et jusqu’à présent, elle n’avait jamais commis de faute. Elle n’avait jamais révélé le fait que son agenda n’était pas écologique mais révolutionnaire. Dans son article, elle ne se réfère qu’à un courant écologique par opportunisme et le CO2 est le levier pour changer la société et pour la faire rentrer dans un paradigme d’extrême-gauche. Je ne doute pas une seconde que ce ne soit pas elle qui l’ai écrit, ce n’est pas un discours spontané. Il a clairement été écrit par son entourage. Le produit Greta n’est pas un produit vert, mais rouge.

Vous dites que cela révèle une forme de trotskisme. S’agit-il réellement d’une idéologie communiste ou est-ce un gauchisme culturel venant des universités américaines ?

On se croirait sur le campus d’Evergreen. C’est un discours qui fait de l’homme blanc hétérosexuel et père de famille le responsable de la totalité des malheurs sur terre. C’est une énorme faute de communication car on ne peut plus dire après un tel écrit «je ne m’occupe que de la science, du CO2, de la réalité scientifique ». C’est un discours politique extrémiste, masochiste pour l’Europe, qui est rendue responsable de tout ce qui ne va pas sur terre.

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Atlantico.fr

Allemagne : une humoriste veut lancer du napalm sur la Saxe qui est trop “brune” (la Saxe vote trop à droite)

Après les élections législatives en Saxe le 1er septembre, les médias ont donné un compte rendu détaillé et une analyse des raisons pour lesquelles certains partis ont connu une croissance particulièrement forte et d'autres ont perdu les faveurs des électeurs. En fin de compte, l'ascension fulgurante de l'AfD ne laisse qu'une seule image : toute la Saxe est "brune" et d'extrême droite.

Dans ce contexte, Jan Böhmermann [NDLR : Un autre humoriste allemand] a déclaré dans son émission Neo Magazin Royale : "La seule chose qui peut sauver cet Etat fédéral est une coalition de la RAF et de la Royal Air Force".

 

La satire peut tout se permettre. Mais pouvez-vous encore en rire si vous la lisez trois fois ?

Maria Clara Groppler : "Et si ça ne marche pas : Le napalm."

Mais Maria Clara Groppler (née en 1999) fait un pas de plus et, fondamentalement, un pas de trop. La jeune femme a joué dans "NightWash" le 3 juin 2019, 3 bons mois avant le vote de la Saxe. Ce spectacle permet à de jeunes comédiens talentueux de se produire devant un large public. Dans la vidéo qui suit, elle déclare ceci (la séquence débute à 01:00:03) :

 

 

"Donc voici ma proposition : On prend juste des Canadairs. On les remplit de jus de citron et on les fait survoler Chemnitz. Et si cela ne marche pas : Napalm. (...)" [NDLR : la référence au citron consiste à éviter qu'un fruit ne devienne brun, par extension "nazi" dans le contexte du spectacle de cette "humoriste".]

Visiblement le napalm est un sujet d'humour pour les extrémistes de gauche :

 

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Nachrichten-fabrik.deCompact-online.de

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Italie : un extrémiste de gauche qui possédait un kit pour fabriquer des bombes libéré grâce à la Cour Européenne de droits de l’Homme

Christian Hofer : De nombreux sites d'extrême gauche soutiennent ce terroriste sur Internet (comme ici et ici ou ici et encore ici). C'est dire à quel point la violence et le terrorisme sont normaux pour ces individus.

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Bologne, l'anarchiste est libre.

Un kit de fabrication de bombes a été trouvé dans la maison du Divin Umoru.

Divine Umoru est libre. Mais l'arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme (où un appel a été interjeté contre l'expulsion par les avocats de cet homme de 24 ans) est toujours manquant. Le Nigérian devait être expulsé d'Italie le mois dernier par décret car il était soupçonné de terrorisme : en 2016, il a été arrêté parce qu'on a trouvé dans sa maison un "kit" pour fabriquer des bombes.

Ces derniers jours, le ministère de l'Intérieur a expliqué à la Cour les motifs du décret d'expulsion et a demandé la levée de la suspension, mais la CEDH l'a rejetée ; la décision finale est maintenant attendue, selon les avocats Alessia Lauri et Cinzia Brandalise qui représentent Divine Umoru.

Le jeune homme est de sympathie anarchiste connue. Certains antagonistes ont manifesté à Malpensa le jour de l'expulsion de Divine, signalant qu'ils avaient "bloqué les portes d'embarquement". "Mais notre recours contre l'expulsion avait déjà été accepté par la Cour en début d'après-midi - précise l'avocate Alessia Lauri - et la décision de suspendre la mesure avait déjà été prise.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Ilrestodelcarlino.it

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

 

Les sanglots de l’extrême gauche pour une famille expulsée

Image : la presse de gauche (un pléonasme en Suisse romande) ne recule devant rien. Le Matin publie l’image du bras entaillé du requérant débouté.

Légende du Matin.ch de l’image : « Au moment de l'interpellation, paniqué et désespéré, Erik D. s'est profondément entaillé les avant-bras. Dans un rapport médical de février 2019, un médecin ne pouvait exclure un passage à l'acte suicidaire en cas de renvoi. »

Extraits de l’article :

Vaud - Renvoi sanglant à Leysin [...]

Cinq parlementaires vaudois demandent au Conseil d'Etat de faire revenir les parents et leurs trois enfants brutalement expulsés le 16 avril dernier.

[...]

Jean-Michel Dolivo d'Ensemble à gauche (EAG) a rappelé lundi les circonstances de cette expulsion «qui a choqué beaucoup de monde». La famille de minorité yézidie a été discriminée en Géorgie. En Suisse depuis huit ans, ses demandes d'asile ont toutes été refusées.

[...]

Aucun des enfants, âgés de deux, quatre et sept ans, ne parle géorgien, a poursuivi Jean-Michel Dolivo. Le fils aîné a été diagnostiqué autiste.

[...]

Quant aux parents, ils souffrent de problèmes de santé graves attestés par des médecins reconnus, notamment des tendances suicidaires suite à leur vécu en Géorgie.

[...]

article complet:

*****

Cenator: En huit ans, cette famille de parasites a utilisé toutes les combines possibles pour continuer d’exploiter au maximum les contribuables suisses. Grâce aux innombrables « collectifs », associations et organisations « pro-asile », tous subventionnés, cette famille a mobilisé des psychiatres et des pédopsychiatres, a fourni des certificats et des expertises médicales à la pelle.

Grâce aux services juridiques œuvrant pour les demandeurs d’asile, et en déposant recours sur recours, cette famille a pu faire prolonger ses vacances en Suisse durant huit ans… et même se reproduire !

A présent, le « Collectif Droit de rester » continue encore son hystérie « humaniste ». 

En Suisse, des cas similaires se comptent par dizaines de milliers, et ceux déjà installés définitivement par centaines de milliers… pratiquement tous à la charge des contribuables.

La nouvelle merveilleuse selon laquelle il existe des peuples en Europe occidentale qui entretiennent gratuitement tous ceux qui arrivent des « shithole countries » dès qu’on prononce le mot magique « demande d’asile », s’est répandue comme un feu de poudre dans le monde.

Actuellement, des millions sont déjà en route, tous voulant accéder à cette vie de rentier. Et des dizaines de millions, des centaines de millions ont l’intention de suivre le mouvement.

Comme le principal fonds de commerce de la gauche est « les migrants », il lui fallait promouvoir « l’urgence climatique » pour empêcher la population occidentale de prendre conscience du réel tsunami qui va emporter notre civilisation !

Lausanne : 2 kilos 1/2 de cocaïne dans un squat de migrants. Pour l’extrême-gauche, il faut les régulariser.

Ils s’étaient installés il y a un mois tout juste. La centaine de migrants africains qui forme le Collectif Jean Dutoit avait quitté Lausanne fin septembre pour s’installer dans un nouveau lieu: l’ancienne halle Switcher au Mont-sur-Lausanne. Lundi en début d’après-midi, leur squat a été visé par une vaste opération antidrogue de la police cantonale et de la police municipale lausannoise. Ordonnée par le Ministère public, la descente a mobilisé près de 180 agents de 14 h à 17h30. Elle a abouti à l’arrestation de cinq personnes. 2,5 kilos de cocaïne ont été saisis, ainsi que plusieurs milliers de francs suisses et d’euros.

(...)

Depuis son changement d’adresse, le collectif s’était plaint par voie de communiqué de fouilles systématiques aux abords du bâtiment. De fait, selon les informations données par la police, depuis le 24 septembre, 1,78 kilo de cocaïne a été saisi sur 13 personnes originaires du Nigeria, de Sierra Leone et de Gambie notamment, interpellées alors qu’elles quittaient le squat. Jean-Christophe Sauterel dément toutefois tout durcissement du dispositif autour du nouveau squat. «Il n’y a pas eu de contrôles systématiques.»

Quoi qu’en dise la police, ce n’est pas la première fois que le Collectif Jean Dutoit est visé par une grosse opération antidrogue. Fin mai dernier, il y avait déjà eu une descente dans l’immeuble occupé par les migrants à la Blécherette avant leur installation au Mont-sur-Lausanne. Elle avait impliqué près de 150 gendarmes et policiers, aboutissant à l’arrestation de quatre personnes. À cette occasion, une centaine de grammes de cocaïne et 20’000 francs suisses avaient été saisis. La police précisait alors qu’elle avait déjà arrêté 12 trafiquants en lien avec le même squat au cours des mois précédents, saisissant 6 kilos de cocaïne et 41’000 francs.

Parmi les individus arrêtés en mai dernier, deux sont aujourd’hui toujours en détention provisoire, dont un Nigérian de 52 ans. Celui-ci avait été désigné par la police comme l’organisateur du trafic de cocaïne basé au squat de la Blécherette. Plusieurs sources ont depuis confirmé que cette personne occupait une position importante dans l’organisation du Collectif Jean Dutoit, se faisant appeler «The Chairman», ou «Le Président».

(...)

Par le passé, le Collectif Jean Dutoit n’a jamais nié que certains de ses membres étaient impliqués dans la vente de drogue. Lors de la perquisition de lundi au Mont-sur-Lausanne, une poignée de jeunes gens soutenant les migrants avaient fait le déplacement, maintenus à distance par les policiers. «On a toujours dit que la solution pour mettre fin ces trafics serait de régulariser ces gens et leur donner un travail», déclare une militante. Comme les autres jeunes, son soutien aux migrants n’est pas entamé par les saisies de drogue et les arrestations. (24 heures)

Nos remerciements à Alex

Berlin. Manifestation contre le racisme : Le drapeau allemand n’est pas le bienvenu. “Nous préférons le drapeau Welcome Refugees.”

La co-organisatrice de la manifestation à Berlin, Theresa Hartmann est interviewée.

Mme Hartmann, comment avez-vous vécu samedi dernier?

Samedi nous a complètement bouleversés, il y avait 242 000 personnes dans la rue, beaucoup plus que prévu. Je crois que nous avons donné un témoignage important contre le racisme et l’exclusion, ainsi que contre les réductions progressives de l'aide sociale.

Selon vous, quelle est la raison pour laquelle tant de gens sont venus? Y a-t-il un grand désir de solidarité?

De nombreux habitants de Hambourg et de Munich sont également descendus dans la rue, ce qui a été le point culminant: les gens commencent à se rendre compte qu'ils doivent faire quelque chose pour que quelque chose change, car le statu quo est insoutenable.

Qu'est-ce qui est insupportable?

Le droit à la santé, au logement, à la migration et au droit d'asile, aux soins, toutes les questions sociales sont traitées dans le prolongement de la question migratoire.

Il y a eu des critiques parce qu'aucun drapeau allemand ni européen n'était autorisé.

Il n'y a eu aucune interdiction de drapeaux lors de notre manifestation. Ceci nous l'avons dit. Mais nous avons également dit que le drapeau allemand ne devrait pas être le symbole de notre manifestation. Autant que ce soit le drapeau arc-en-ciel du Queer Block, les drapeaux syndicaux, ou "Refugees Welcome". Nous ne voulions pas du drapeau allemand.

Est-ce que ce n'est pas intolérant?

Je ne pense pas que ce soit intolérant. Cela a simplement quelque chose à voir avec le fait que ce drapeau est incroyablement connoté par la droite et que nous ne voulions pas défendre la fierté nationale, mais d'autres sujets, les problèmes sociaux. Le drapeau n'était pas interdit, mais il n'était pas non plus désiré.

(...)

 

Tagesspiegel.de / Tagesschau.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

 

 

Bâle : Tabassé gratuitement par des gauchistes. “Mon style vestimentaire trop à droite leur déplaisait.”

L'Alémanique a été attaqué par des activistes de gauche alors qu'il rentrait tranquillement chez lui avec une copine. Selon la Basler Zeitung, les faits se sont produits dans la Wasserstrasse, qui accueillait ce soir-là une fête organisée par les gauchistes.

Interrogée par le quotidien, la victime pense avoir été attaquée à cause de son style vestimentaire. Le jeune homme explique en effet être un fan de musique hardcore et que son look est souvent confondu avec celui des extrémistes de droite.

(...)

Le Matin

Nos remerciements à Λlex Λ

 

Rappels :

Terrorisme d’extrême gauche à Bâle: « Ils voulaient causer un maximum de dégâts et tabasser du flic»

Bâle : Tabassé à mort pour un smartphone. La police recherche un individu parlant avec un accent des Balkans.

Bâle : Les Guggen accusés de racisme en raison de leurs logos. Facebook bloque leur page.

Bâle : un homme attaqué par 5 individus et un bouledogue. La police recherche des hommes « à la peau brune ».

Bâle : 3 Kosovars tabassent un homme de 59 ans car il photographiait leur véhicule mal parqué. Les médias romands refusent de publier l’origine des agresseurs.

 

Berne : Les extrémistes de gauche de la Reitschule exigent des mesures contre… les abus de la police.

Les exploitants du centre culturel alternatif de la Reitschule accusent les policiers de racisme et d'abus de pouvoir.

Dans une lettre ouverte, ils appellent la Ville de Berne à prendre des mesures afin de mieux contrôler les agents lors des opérations policières.

(...)

20 Minutes.ch

Nos remerciements à notre lectrice

 

Rappels :

Berne : Plusieurs policiers blessés à coups de pierres par les extrémistes de gauche à la Reitschule

Berne. Centre d’extrême gauche de la Reitschule: Encagoulés, ils caillassent une voiture de police

Berne: Arrestations au centre d’extrême gauche de la Reitschule. 11 individus en prison, des policiers auraient été agressés.

Berne: Policier enfermé dans la Reitschule. Le collaborateur du centre d’extrême gauche refuse d’ouvrir la porte.

Berne: Le centre d’extrême gauche « Reitschule » ferme mais les subventions sont déjà garanties jusqu’à 2019!

 

Berne : Plusieurs policiers blessés à coups de pierres par les extrémistes de gauche à la Reitschule

Des hommes masqués ont jeté des bouteilles, des pierres et des barres de fer sur des policiers samedi soir lors d'une intervention.

Peu après minuit, une vingtaine de personnes, dont plusieurs le visage camouflé, sont ressorties du centre et ont recommencé à bombarder les agents.

(...)

20Minutes.ch

Recrudescence de la violence d’extrême gauche en Suisse alémanique

Des militants d'extrême gauche se sont attaqués à des entreprises de construction en Suisse alémanique. Des dizaines de véhicules et de machines de chantiers ont été incendiées ces derniers mois.

La vague de sabotages a débuté au printemps 2017. Des dizaines de véhicules et de machines de chantiers ont été mis à feu ou endommagés à Zurich, Berne et Bâle, sans faire de blessé. Mais les dégâts matériels sont importants.

Principale entreprise visée, Implenia s'impatiente. "Cela augmente nos coûts car cela provoque des retards sur nos chantiers", se plaint Reto Aregger, porte-parole de l'entreprise de génie civil. "Ces déprédations doivent impérativement être éclaircies et stoppées par la police".

Protestations contre un pénitencier

Les entreprises visées sont liées à l'agrandissement de la prison du Bässlergut, à Bâle. Certaines attaques ont été revendiquées - anonymement - sur un site d'extrême gauche, où l'on trouve aussi des menaces ouvertes contre toutes les sociétés impliquées dans la construction de ce pénitencier.

"Seulement si votre entreprise se retire immédiatement de ce projet inhumain, elle pourra à nouveau parquer ses véhicules sans conséquences en ville", peut-on par exemple lire.

100 cas de violences en 2017

Le 11 mai dernier, deux véhicules ont à nouveau été mis à feu à Bâle. Les polices des cantons concernés collaborent avec les Services de renseignement de la Confédération, sans parvenir à stopper ces groupes violents.

Selon les renseignements fédéraux, les violences commises par l'extrême gauche augmentent en Suisse depuis 2015, avec 100 cas enregistrés l'année dernière.

Il faut remonter aux années 1980 pour retrouver une telle vague de violences d'extrême gauche, en Suisse.

Source

Allemagne : les antifas publient un guide du «touriste émeutier» avant une réunion du parti de droite l’Alternative pour l’Allemagne (AfD)

Fort de son succès aux législatives, le parti Alternative für Deutschland se réunit en congrès fin juin. Avec un guide à l'attention des contre-manifestants, les antifas s'organisent déjà et ne font pas mystère de leur intention de semer le trouble.

«Augsbourg pour les touristes émeutiers» : l'extrême gauche allemande prépare avec soin sa réaction à la tenue du congrès fédéral annuel d'Alternative für Deutschland (AfD). Le parti souverainiste et anti-immigration, qui a effectué une percée notable lors des dernières élections législatives en Allemagne en septembre, doit se réunir à Augsbourg (Bavière) du 30 juin au 1er juillet 2018.

Conçu graphiquement comme une brochure publicitaire, un guide, mis en ligne sur la plateforme Indymedia, fourmille de renseignements utiles et détaillés, dans tous les domaines : itinéraires, informations géographiques, mais aussi adresses privées de personnalités de l'AfD, qualifiées au passage de «collabos».

 

 

Dans un manifeste séparé, avec le sous-titre sans ambage «Appel à l'émeute», les antifas expliquent leur motivation à perturber l'événement. «Nous vivons en Allemagne aujourd'hui un bouleversement du climat politique», expliquent les auteurs du texte, déplorant une montée, selon eux, des «clichés racistes», des «stéréotypes antisémites» et des «campagnes de dénigrement antiféministes». Forgeant la notion de «société allemande post-nationale socialiste» en référence à l'Allemagne nazie, les antifas se définissent en outre dans ce texte comme une minorité se battant contre une «majorité allemande».

En août 2017, les autorités allemandes avaient procédé à la fermeture d'un site d'extrême gauche, hébergé par cette même plateforme Indymedia. Cette décision faisait suite aux nombreuses violences qui avaient émaillé le sommet du G20 à Hambourg un mois plus tôt. Selon Thomas de Maizière, alors ministre allemand de l'Intérieur, Indymedia était le théâtre «quasi-quotidien» de propos haineux, de propagande, voire «d'assistance concrète» à la commission d'infractions, par exemple en discutant de la fabrication d'un cocktail Molotov.

Source

Robert Ménard: “Ils m’ont jeté à terre sous les yeux d’élus de gauche, de communistes qui filmaient et s’en sont félicités. Les gendarmes n’ont pas réagi non plus.”

Le maire de Béziers a été agressé ce samedi en marge d'une réunion publique sur "l'union des droites". Sur RMC, il dénonce la "violence des antifas" et le fait que des élus se soient félicités de cette échauffourée.

 

"Il y avait 40 ou 50 personnes qui se présentent comme des 'antifas'. On a le droit de contester ce que je dis, de me chahuter. Mais là ce n'est pas un chahut, c'est des gens qui m'ont tapé dessus ! D'une violence incroyable et tout ça sous les yeux d'élus de gauche, d'Insoumis, du PC du PS qui n'ont pas bronché. J'ai été jeté à terre, des coups derrière la tête qui me font encore mal, qui font que le médecin m'a dit 4 jours d'ITT et 10 jours partiels. C'est ça la réalité".

 

 

 

Source et article complet du 07/05/2018 à 09h09

Nos remerciements à Λlex Λ

 

Paris. Défilé du 1er mai : un McDonald’s saccagé par des extrémistes de gauche encagoulés à Austerlitz (Vidéos)

16h23 - Alors que les casseurs ont attaqué une agence de permis de conduire et ont brûlé des véhicules, les CRS commencent à charger les responsables, notamment à l'aide de canons à eau. 

16h20 - Les individus cagoulés s'en sont également pris à une concession Renault, d'après les journalistes sur place.

15h40 - Le cortège syndical est parti avec 40 minutes de retard de la place de la Bastille.

 

 

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Des incidents ont éclaté ce lundi lors de la manifestation du 1er mai à Paris. Plusieurs centaines d’individus masqués ont pris part à la mobilisation et un restaurant MdDonald’s a été saccagé à Austerlitz.

Dès les premières minutes de la manif, les journalistes sur place avaient remarqué la présence d’individus « cagoulés » ou « masqués ».

Vers 15 heures, la préfecture de police de Paris recensait de « 40 à 50 individus masqués et cagoulés », selon l’AFP. A peine une heure plus tard, c’est 1200 individus en noir que les autorités dénombraient.

 

 

 

Rassemblés autour de banderoles comme « Premiers de cordée, premiers guillotinés » ou « Cette fois, on s’est organisé », ils criaient « Tout le monde déteste la police », « Paris, debout, soulève-toi » ou encore « Zyed, Bouna, Theo et Adama, on n’oublie pas, on pardonne pas ».

A Austerlitz, le McDonald’s a été attaqué à coups de pavés par des individus cagoulés. Plusieurs mobiliers urbains ont également été dégradés.

Peu avant que le cortège ne parte, deux individus, munis de burins, avaient été interpellés.

Lundi, la préfecture de police avait évoqué un risque de débordement par « des groupes extrémistes » voulant faire de cette journée « un grand rendez-vous révolutionnaire » et prévoyant de « s’en prendre violemment aux forces de l’ordre ainsi qu’aux symboles du capitalisme ».

Source Source2

 

France: Deux extrémistes de gauche suisses ont pris part à l’entrée illégale d’une trentaine de migrants

Quatre Italiens et deux Suisses ont été interpellés et placés en garde à vue dans les Alpes françaises après avoir pris part, dimanche, à l'entrée en France d'une trentaine de migrants venant d'Italie, a-t-on appris lundi de sources concordantes.

Une source proche de l'enquête a affirmé à l'AFP que les personnes interpellées «ont participé activement aux débordements survenus au col de Montgenèvre», à la frontière italienne

France. L’extrême gauche saccage l’Université de Paris 8: “Frappez vite, frappez fort, un bon flic est un flic mort.”

Nous parlions déjà de ces extrémistes ici.

Quelques jours après la mort du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, voici comment l'extrême gauche procède.

Photos via Marc Ferracci, Professeur d'économie à l'Université Panthéon Assas. Conseiller spécial auprès de la Ministre du Travail.

 

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