Le maire de Béziers a été agressé ce samedi en marge d'une réunion publique sur "l'union des droites". Sur RMC, il dénonce la "violence des antifas" et le fait que des élus se soient félicités de cette échauffourée.
"Il y avait 40 ou 50 personnes qui se présentent comme des 'antifas'. On a le droit de contester ce que je dis, de me chahuter. Mais là ce n'est pas un chahut, c'est des gens qui m'ont tapé dessus ! D'une violence incroyable et tout ça sous les yeux d'élus de gauche, d'Insoumis, du PC du PS qui n'ont pas bronché. J'ai été jeté à terre, des coups derrière la tête qui me font encore mal, qui font que le médecin m'a dit 4 jours d'ITT et 10 jours partiels. C'est ça la réalité".
Source et article complet du 07/05/2018 à 09h09
Nos remerciements à
@Vautrin
D’accord avec vos commentaires !
Robert Ménard semble avoir découvert l’eau chaude.
Une des séquelles de son passé à gauche lui fait encore dire l’ânnerie qu’il n’a pas d’ennemis en politique, mais que des adversaires.
Alors, au lieu de pleurnicher, il ferait mieux de s’inspirer de Bernard Lugan, un vrai mec de droite qui, 50 ans après, considère encore comme ennemis, ses adversaires de mai 68.
En plus, ce qui le rend sympathique, c’est qu’il est pour le rétablissement du duel en matière de presse. De préférence à cheval et … au sabre !!!
D’ailleurs, n’avait-il pas conclu, lors d’une intervention sur la repentance coloniale, avec une citation (de Chirac ?) :
« Il y a une chose qu’il est impossible de greffer, et cela par manque de donneurs … les couilles ! »
[Bergamo – nord Italia -]
Jusqu’en Italie Robert Ménard est connu et respecté comme un maire compétent et un homme admirable.
En revanche le grand trou du c.. barbu avec un chapeau club Med et des lunettes noires de lâche n’osant même pas être reconnu :
JE PEUX VOUS AFFIRMER QUE DE L’ITALIE À LA RUSSIE EN PASSANT PAR LA HONGRIE … GARRE À SA SALE GUEULE !!!!!
http://menilmontemps.org/IMG/jpg/fete21janvier2016.jpg
Ce chaos profite à Macron et aux banquiers qui l’on installé au pouvoir.
Tous les régimes totalitaires ont commencé par faire taire leurs opposants, par la force si besoin est: les communistes, les fascistes, les nazis, entre autres, ont procédé de la sorte (au passage, tous ces mouvements étaient de gauche, y compris le nazisme: socialisme national). Après, on fait peur au peuple tout entier. C’est ce qui est en train de se passer avec les hordes de black blocs, no border, altermondialistes, anars d’ultra-gauche, qu’on laisse se regrouper et tout casser, sous prétexte qu’il est impossible de les arrêter en amont. Je suis sûre que si ces milices étaient d’extrême-droite, il y a longtemps qu’elles auraient été mise hors d’état de nuire!
Le but de tout cela est d’installer un régime totalitaire, en y rajoutant une bonne dose de propagande, que Goebbels avait parfaitement théorisée et que les nouveaux médias facilitent.
Il est bien évident qu’entre toutes ces manipulations et les lois liberticides en France, nous ne sommes plus en démocratie, mais dans une démocrature où règnent des ploutocrates qui œuvrent à mettre en place un nouvel ordre mondial, fondé sur la mondialisation, l’immigration et l’islamisation des sociétés occidentales.
Monsieur Ménard vous vous croyez en démocratie? la droite doit également se montrer dans la rue comme les identitaires.
Ces idéologues à la petite semaine sont d’un ridicule et d’une lâcheté à faire peur!!fastoche de s’en prendre à un homme seul! moins fastoche de combattre les ennemis du Pays qui se servent de ces abrutis notoires pour faire main basse sur notre patrimoine et tout ce que nos ancêtres ont construit durant des siècles
« Plus une société dérive de la vérité ,plus elle haïra ceux qui parlent vrai »(Georges Orwell)
@UnOurs : Oh ! Il n’y eut jamais d’explications entre gentlemen, en politique. Tenez : Maurras s’est battu en duel; c’était assez courant lorsqu’il y avait de vrais Hommes. Même on se cacougnait entre Rouges, Camelots du Roy, Croix de Feu etc… J’ai connu la fin de cette époque, jusque vers 1975 (valeur indicative). Il me souvient de bonnes bagarres entre colleurs d’affiches, entre service d’ordre et briseurs de meetings, entre Rouges, Bleus et Blancs. Et, encore une fois, personne, ni nous ni eux, n’allait chougner chez Poulaga ni porter le pet aux chats-fourrés.
Maintenant, à quoi servirait le « débat » politique ? C’est bien une idée de faux-modernes naïfs anglo-saxons (qui font d’ailleurs tout le contraire). Lorsque chacun tient SA vérité, pas la peine d’essayer de la confronter à celle des autres, c’est de la blague et du temps perdu. Le dialogue, … , le dialogue… autant mettre des statues en concile ! La politique n’est qu’un rapport provisoire de forces.Les idées font leur chemin lorsque la masse amorphe commence à éprouver de sérieux désagréments; tant qu’on peut s’abriter, tortorer à sa faim, avoir sa sacro-sainte caisse à roulettes, s’abrutir devant un écran plat, barboter l’été dans un bain de saumure, on vote pour le plus arnaqueur, celui qui joue au Père-Noël des lendemains qui chantent. Mais quant quelque chose vient à manquer… alors là polop ! Ça rougne dur, et des fois ça explose. Pour s’en protéger, l’hyper-caste politique a acheté des médias de propagande; ça ne marche qu’un temps. Je pense qu’aujourd’hui les châtaignes reviennent de saison. Tant mieux !
Certains se croient encore dans l’ancien monde, dans le monde du débat politique à l’occidentale, entre adversaires raisonnables et sur la base d’arguments échangés. Alors que nous sommes entrés dans le monde de la pré-guerre, des ennemis, notamment politiques, et de la post-légalité (les forces de « l’ordre » ne faisant rien).
Ah ben oui la démocratie ne marche que dans un sens.
Hé, Robert, tu me déçois ! Alors comme ça, tu pleurniche comme une gauchiste virée de Tolbiac ? Mon gars, la politique c’est pas la cour de récré, tu dois le savoir, non ?. D’accord, il y a une palanquée d’hermaphrodites qui vont couiner chez les chats-fourrés dès qu’on leur envoie un vent odorant au nez, même pas un petit bourre-pif. Mais il y a aussi des affreux, normal. Ceux-là, ils cognent; oh, cinquante contre un, pas des chevaliers en combat singulier, mais ils cognent. Il faut courir le risque. J’ai pris des gnons dans ma folle jeunesse, j’en ai reçu pas mal, et je n’ai pas pour autant bieurlé au charron. Pas plus que mes copains. Pas plus que ceux d’en face. Alors ramasse-toi, tête haute,comme un homme, et essaie de manigancer une vengeance carabinée, sans l’aide des presstitués, des perdreaux et des chats-fourrés bavacheux à l’hermine.
Actuellement si on est un homme politique, il faut absolument avoir des gardes du corps !
Ou être armé de »taeser » ou autre spray au poivre pour se défendre …
Comme mentionné par M. Trump, il faudra être armé pour être un homme libre !
Personne ne viendra à notre secours lors que le chaos sera de mise …