L’ombre de George Soros plane sur la nomination des nouveaux juges de la Cour européenne des droits de l’homme

Grâce aux réseaux de sa fondation Open Society, le financier et philanthrope américain place au sein de la Cour européenne des droits de l’homme des juges acquis aux principes du libre-échange et du sans frontiérisme.

L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) s’apprête à élire, mardi 9 octobre, trois nouveaux juges à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), au titre de la Norvège, de la Turquie et de l’Albanie. Chaque pays concerné par le vote doit désigner trois candidats (dont au moins une femme) et les soumettre à l’appréciation préalable d’un « panel d’experts » chargé de conseiller à l’Assemblée de voter pour l’un plutôt que pour l’autre. Un tel filtre, utile pour éviter que des juges peu qualifiés puissent de nouveau être élus, peut aussi donner lieu à un phénomène d’uniformisation culturelle ou idéologique des juges, recrutés selon les mêmes profils, fournis par les mêmes « experts ».

« George Soros investit particulièrement dans les petits pays »

Cette année, deux des trois candidats proposés par l’Albanie, Sokol Berberi et Darian Pavli se trouvent ainsi avoir occupé de hautes fonctions à l’Open society, le réseau de fondations créé par le financier et philanthrope américain George Soros. Comme l’explique un bon connaisseur des arcanes strasbourgeoises, « George Soros investit particulièrement dans les petits pays parce que leur voix compte autant que celles de la France ou de l’Allemagne et qu’il est plus facile d’y exercer une influence, eu égard à la corruption qui y sévit encore. » L’objectif étant de multiplier le nombre de juges, dont le mandat, non renouvelable, court sur neuf ans, sensibles à la vision du monde développée et soutenue par George Soros. En vingt-cinq ans, Open Society a investi 130 millions d’euros en Albanie, où elle dispose de bureaux. « L’Open society contrôle et finance de nombreuses filiales et organisations – Human Rights Watch ou Amnesty International pour les plus connues – qui, au-delà de leur action propre, œuvrent toutes à l’établissement d’une société toujours plus libérale et individualiste », poursuit l’expert.

Pour cela, un seul mot d’ordre : faire tomber les barrières, les frontières, les limites. A titre d’exemple, le European Implementation Network (EIN) et Open Society Justice Initiative (OSJI)  organisent ce mercredi 10 octobre, pendant la session de l'Assemblée du Conseil de l'Europe, une conférence au sein même du Conseil intitulée « Les tribunaux comptent ! Améliorer la politique migratoire par les arrêts de la Cour européenne des droits de l'homme ». Une façon d'imposer aux Etats, par le biais du juge européen, une politique migratoire plus favorable au nomadisme qu’au contrôle des frontières. Le Letton Nils Muiznieks, ancien Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe (de 2012 à 2018) qui a exprimé sa réprobation aux autorités françaises quant à l’allongement de la durée de rétention pour les migrants, est un ancien directeur de l’Open Society.

Plusieurs juges déjà passés par l'Open society

Certes, la CEDH compte 47 juges (un par Etat membre du Conseil de l’Europe) mais la répartition en cinq sections fait qu’une affaire donnée ne relève en réalité que du travail de huit juges. Pour en rester à l’influence de George Soros, des juges actuellement en fonction comme le bulgare Yonko Grozev (élu en 2015), la croate Ksenija Turkovic (élue en 2013) ou la roumaine Iulia Antoanella Motoc, sont passés soit directement, soit par le biais d’organisations amies par les instances de l’Open Society. Une influence certaine permise par l’abondance de ses fonds ou les perspectives de carrière offertes. « Cette influence, qui contribue au progressisme de la CEDH ou du Conseil de l’Europe sur  les questions migratoires ou sociétales, nuit à la crédibilité des instances européennes, notamment aux yeux des populations des pays de l’Est » conclut l’expert. Une défiance que partagent les Suisses, dont un referendum, le 25 novembre prochain, aura pour intitulé « le droit suisse au lieu de juges étrangers. »

Valeurs Actuelles

Nos remerciements à Λlex Λ |

Arabie Saoudite : Profil bas des Occidentaux sur les droits de l’Homme

La crise diplomatique entre Ottawa et Ryad a fait naître, selon des responsables occidentaux, de «nouvelles lignes rouges» sur les droits de l'Homme en Arabie saoudite. Leurs pays doivent désormais se garder d'évoquer tout haut ce sujet sensible.

Le royaume ne laisse plus aucun pays occidental dénoncer ses violations des droits de l'homme sous peine de les frapper au portefeuille. Et cela fonctionne.

Soutenant les forces loyales au gouvernement yéménite reconnu par la communauté internationale, la pétromonarchie s'est lancée il y a trois ans et demi, en compagnie notamment des Émirats arabes unis, dans une guerre sans merci contre les houthis, soutenus par l'Iran, ennemi juré des Saoudiens, qui se sont emparés de la capitale Sanaa en 2014. Ce conflit dévastateur, relativement oublié par la communauté internationale, en raison de l'extrême difficulté à se rendre sur place, a fait au moins 10 000 morts, dont 9 500 civils.

D'après l'ONU, elle a provoqué la pire crise humanitaire du monde dans le pays le plus pauvre de la péninsule Arabique. Si les deux camps sont accusés de crimes de guerre, les pays occidentaux se montrent relativement peu diserts au sujet des nombreuses « bavures » dont se rend coupable leur allié privilégié saoudien, qui possède la maîtrise totale des airs.

(...)

20Minutes.ch

Le Point.fr

 

Rappels :

Belgique: Un djihadiste marocain ne peut pas être expulsé en raison des Droits de l’Homme

Pour la Commissaire aux droits de l’Homme « les droits des migrants passent avant la sécurité des Etats. »

L’UE exige que l’Italie continue à accepter les migrants: « Même si l’Italie est en proie à des problèmes, elle a l’obligation de garantir les droits de l’Homme. »

Cour européenne des droits de l’homme: La Suisse condamnée pour « racisme » après avoir donné raison à un politicien UDC

La Suisse va augmenter son financement « des Droits de l’Homme »

Tessin. Un entrepreneur algérien refuse la loi anti-burqa: Il veut que la Suisse se fasse condamner par la Cour européenne des droits de l’Homme

Zurich : un Noir prétend qu’il a été contrôlé en raison de sa couleur de peau et saisit la Cour européenne des droits de l’homme.

Suisse : La justice fédérale admet un regroupement familial pour les enfants majeurs

Une jeune Camerounaise aujourd'hui majeure pourra rejoindre sa mère en Suisse. Le TAF change sa jurisprudence en matière de regroupement familial.

Dans un arrêt publié mercredi, le Tribunal administratif fédéral (TAF) a accepté le recours interjeté par la mère en faveur de sa fille. Il a conclu qu'un droit au regroupement familial peut continuer à être déduit de l'article 8 de la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH) lorsque l'enfant devient majeur en cours de procédure.

(...)

20Minutes.ch

Nos remerciements à Wilhelm's

 

Rappels:

 

Suisse: Des Erythréens trichent avec le regroupement familial pour mieux piller la Suisse. La situation est cachée au grand public.

Berne. Les Érythréens manifestent « La Suisse doit annuler le durcissement de sa politique d’asile. »

Négation de droits humains fondamentaux par le Conseil Fédéral?

Fin 2016, Jean-Luc Addor déposait une interpellation visant à faire en sorte que la Suisse fasse le nécessaire pour accorder protection à Julian Assange.

Son argumentaire consistait à dire que puisque le Conseil Fédéral se gargarise de protéger les défenseurs des droits humains, il fallait accorder également à Assange une attention particulière. L'article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme précise en effet que le droit "de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit" est un droit humain fondamental.

Au regard de cette définition, il est impossible de nier à Assange la qualité de défenseur des droits humains puisque son site Wikileaks est, de par essence, une création visant à permettre de chercher, recevoir et répandre des informations. Wikileaks n'a d'ailleurs pas d'autre vocation que celle-là.

Mais il en va tout autrement pour le Conseil Fédéral. Pour celui-ci, si certaines actions d'Assange "peuvent viser à la promotion indirecte des droits de l'homme, il n'avait pas l'intention de lier ses révélations directement à la promotion et la protection des droits de l'homme". Par conséquent, il ne mérite pas de protection particulière.

Autrement dit, soit le Conseil Fédéral se permet de nier la substance même de Wikileaks et de lui attribuer une autre utilité que celle de " chercher, recevoir et répandre des informations", soit il nie que l'article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme, à savoir "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit" protège le droit de "chercher, de recevoir et de répandre" des informations comme le fait Wikileaks.

Tout aussi grave, le Conseil Fédéral se permet de lire dans les pensées de Julian Assange afin d'affirmer ce qu'il a ou non l'intention de faire. C'est ce que l'on appelle un "procès d'intention", ce qui correspond grosso modo à un des niveaux les plus faibles et malhonnêtes qui puissent être atteints en guise d'argumentation.

Pour Lesobservateurs.ch, Cain Marchenoir, le 6 mars 2017

 

 

Le détournement des droits de l’homme nous met dans la m…. jusqu’au cou

 

 

Par Dominique Schwander

 

"Seul un pays qui contrôle son propre destin peut jouer pleinement son rôle dans le  monde"

Theresa May, Davos 2017

En Europe, nous ne sommes plus dans le cas de figure de 1979 et de 1948 des droits du citoyen qu’il faut protéger des abus de son Etat, mais des droits du peuple Souverain d’être défendu par son Etat contre la présence envahissante de ressortissants d’autres peuples, d’autres civilisations, d’autres religions, d’autres morales, d’autres idéologies, d’autres étendards, d’autres vertus, d’autres habitudes de comportement et de consommation, d’autres criminalités, même d’autres impiétés.

La Déclaration de 1789 des droits de l’homme fut une déclaration morale pas un code légal; ses créateurs et la République française d’alors n’ont jamais voulu en faire une norme juridique ou une nouvelle « religion » remplaçant nos religions chrétiennes occidentales. Ces Droits de l’homme de 1789 n’avaient pas de valeur juridique mais relevaient du droit naturel. Selon le droit des gens à cette époque puis après, l’État protège ses citoyens nationaux, leur donne la préférence et les discrimine en leur accordant plus de droits qu’aux étrangers, droit de séjour, non extradition, droit de vote, préférence nationale à l'embauche, diverses prestations sociales.

Les Droits de l’homme de 1948, aussi, ont été instaurés afin de protéger les individus de l’arbitraire étatique. Dévoyés, ils sont devenus une rationalisation ayant l’objectif de justifier les caprices de l’ego d’individus uniformisés et d’arracher les racines de notre culture, de nos valeurs, de nos vertus et des hommes, sans lesquels il n’est point de civilisation. En UE, les droits dévoyés de l’homme sont clamés à tout vent, sans tenir compte ni des devoirs qui les précèdent, ni des responsabilités du nouveau citoyen uniformisé et mondialisé mais que de droits d’individus, que ces derniers soient justes ou injustes.

Ces Déclarations sont devenues une idéologie « religieuse » universaliste, supra nationaliste et mondialiste, dans laquelle la notion de citoyen a disparu, alors que c’était bien lui qu’on avait voulu protéger des abus de l’Etat. Ce citoyen n’est même plus consulté, les légitimes préférences nationales et celle de notre civilisation ont disparu. Les juges-prêtres légifèrent à la place du peuple Souverain et menacent ses élus. Il en résulte toute une coûteuse et croissante industrie du social: assistants sociaux, associations immigrationistes et antiracistes (dont beaucoup sont subventionnées par l’Etat et donc ne sont plus des ONG!), psychologues, pédagogues, animateurs sociaux, médecins et une pléthore d’avocats et d’interprètes qui vivent de l’immigration. Cette « religion civile de l’humanité » ou encore « religion séculaire mondiale » des droits de l’homme est devenue un instrument de domination mondialiste et de destruction massive des nations occidentales. En UE et aux USA à la Barack Hussein Obama, les musulmans exploitent cette « religion » des droits de l’homme contre les droits des citoyens et détournent la justice au nom de communautés extra-nationales.

L’idéologie droit-de-l’hommiste a succédé au communisme et à la dictature du prolétariat. Il ne s’agit plus de supprimer toute propriété mais d’un funeste mêmisme niant toute différence entre les êtres humains et entre les pays, mêmisme idéologique de l’indifférenciation entre tous les êtres humains, tous les consommateurs, toutes les nations, faisant obligation de faire abstraction de tout ce qui différencie les individus les uns des autres, évidemment sans le manifester ouvertement ou que les citoyens/consommateurs s’en aperçoivent. C’est le dogme du « tous pareils » (voir dans l’autre le même que soi), du « vivre ensemble » et de l’interchangeabilité de tous les êtres humains, voir même de leur sexe. Des extra-européens sont encouragés à venir chez nous remplacer les Suisses pour faire mieux fonctionner la Suisse et son industrie productrice; utopie puisque c’est la coûteuse industrie du social qui prospère! Notre nation, notre civilisation, notre culture, nos vertus devraient disparaître pour se fondre, heureuses et souriantes, dans la fraternité humaine mondialisée et céder la place à d’autres. Ce suicide collectif de notre nation au profit des autres nous est vendu par les exaltés et les enragés droit-de-l’hommistes comme un devoir moral légalisé, pas comme un choix moral individuel. Les pacifiques angéliques droit-de-l’hommistes consentent à leur propre suicide et à la ruine de leur nation en étant tout fiers de leur supériorité morale et en éprouvant une émotion valorisante, la main sur le coeur, bien entendu en dépensant l’argent des autres. Même si ce sont des ennemis qui nous font la guerre, nous envahissent et nous colonisent, au nom de l’amour frénétique des autres, la culpabilisation, la repentance, le mépris de soi jusqu'à la haine de soi et des siens, l’émotion de se sentir moralement supérieur parmi les siens, le rêve du paradis vachement humanitaire droit-de-l’hommiste sur terre (tout comme le paradis terrestre toujours à venir du communisme) ont pour conséquence que ces angéliques droit-de-l’hommistes font de plus en plus de victimes. An nom de la parfaite égalité, de l’amour des autres et de la haine des siens, l’Etat privilégie des minorités extra-européennes non choisies et au QI bas, supprime la libre expression pour les autochtones, interdit le débat, la liberté de pensée, les libertés publiques, comme au temps de l’Inquisition catholique. Bien entendu, tous les Etats ont des devoirs envers l’humanité, mais leurs devoirs prioritaires sont envers la nation, le pays, la patrie, les intérêts de ses citoyens, leur sécurité et la prospérité, ce qu’oublient la majorité de nos élus, tant ils sont préoccupés par leur arrivisme personnel, leurs émotions valorisantes, leurs exaltations passagères et leur totale incapacité à trouver le juste équilibre entre idéalisme et réalisme.

Ces droit-de-l’hommistes seraient des idéalistes; les collabos français pendant la deuxième guerre mondiale l’étaient aussi. Tous ces idéalistes nuisent à nos nations européennes.

Pour se blâmer et s’effacer devant les autres, en abandonnant leurs intérêts et leurs modes de vie, les mondialistes supra nationalistes, immigrationistes, islamo-collabos méprisent leur nation, leur civilisation, leurs racines, leur histoire, leurs croyances. Le projet de la haine de soi et de son pays est devenu la pensée officielle du politiquement correct de l’idéologie droit-de-l’hommiste. Tant de Suisses ne se sentent plus le droit de s’aimer, de se s’estimer, de défendre les petits blancs autochtones, d’expulser les criminels étrangers, mais se sentent obligés d’aimer tous les autres en particulier tous les immigrants, même les illégaux, les faux réfugiés et les criminels. Ces Suisses aveuglés refusent de voir que la « religion » ou idéologie séculière droit-de-l’hommiste est aussi dangereuse que les « religions » ou idéologies séculières nazie, marxiste, maoïste, castro-chaviste, etc, qui veulent toutes instaurer impitoyablement le bien paradisiaque sur terre et une société internationaliste, parfaite selon elles.

Ayant mis leur foi dans la « religion » droit-de-l’hommiste, les pseudo-démocraties de l’UE cultivent le mondialisme, le supranationalisme, le multiculturalisme, l’obsession de l’ouverture aux autres, l’inclusion des autres et surtout leur non-assimilation, avec comme conséquence la dévalorisation de la souveraineté de leurs peuples et la paralysie de toute vraie démocratie. Pire, des élus interdisent aux médias de dire ce qui se voit, d’investiguer, de chercher par le débat la vérité, de dénoncer et créent sournoisement une société liberticide, une dictature silencieuse, un troupeau de moutons et des piètres journalistes lâches, ignares, copieurs-colleurs, sans éthique professionnelle, sans conscience, ces « prostituées intellectuelles » comme les appelait le 25 septembre 1880 John Swinton alors chef du « New York Times » (avant que ce journal soit devenu d’extrême gauche!) et les ont même subventionnés! En Suisse, les journalistes avec conscience, comme Roger Köppel de la « Weltwoche » deviennent exception.

La morale des droits de l’homme a été dévoyée en une obsession légale intolérante de non-discrimination, une nouvelle « religion » d’Etat avec paradis sur terre, en instaurant l’amour des autres jusqu’au mépris de soi et des siens, au nom de la fraternité uniformisée mondialiste devenue « sacrée » et soumise à la « justice » de ses juges-prêtres.

Dans une société, la prohibition de toute discrimination détruit l’Etat de liberté fondé sur la reconnaissance d’une sphère privée protégée où la loi ne peut pas et ne doit pas pénétrer et s’immiscer. Telle prohibition transforme l’Etat en une dictature où l’inquisition policière et judiciaire viole de plus en plus la sphère privée des citoyens. L’amour unilatéral de l’autre, en particulier de l’étranger et de l’immigrant incarne la sainte humanité de la nouvelle inquisition droit-de-l’hommiste qui nous contraint à renoncer à notre amour de la patrie, à la liberté, à notre sécurité, à nos intérêts, à nos familles, à la vraie justice, à notre histoire, à nos vertus.

Religieux ou athées, en répudiant nos racines, notre histoire, notre culture judéo-chrétienne, notre héritage chrétien, nos vertus et notre morale, en facilitant la naturalisation, nous nous trahissons radicalement et nous transformons notre pays en un dépotoir. Il nous faut revenir aux vrais droits de l’homme qui protègent le citoyen-contribuable-autochtone d’un pays, respecte la préférence nationale, contrôle le pouvoir abusif de l’Etat et assure au peuple Souverain de s’exprimer librement, de s’estimer, de communiquer sa pensée, de débattre puis de décider.

PD. Dr. Dominique Schwander, février 2017

 

 

 

 

L’Arabie saoudite, désormais membre du Conseil des Droits de l’Homme, condamne à la décapitation un opposant handicapé

L'Arabie Saoudite a condamné à mort un handicapé de 23 ans, rapporte notamment le journal britannique «The Independant». Munir al-Adam pourrait être décapité pour avoir participé à une manifestation de l'opposition. Un tribunal l'a, entre autres, reconnu coupable de «violences contre la police» à la fin de l'année 2011.

Partiellement aveugle et sourd, il affirme être dorénavant complètement sourd d'une oreille après avoir été battu par les forces de l'ordre. Sa famille affirme que c'est justement en raison des coups reçus qu'il a signé des aveux. Lui-même explique qu'on lui reproche notamment l'envoi de SMS à une époque où, assure-t-il, il n'avait pas l'argent pour posséder un téléphone portable. Il a fait appel de sa condamnation.

En Arabie saoudite, les condamnés à mort sont exécutés par décapitation au sabre. Le pays est un de ceux où la peine capitale est la plus mise en pratique et sa mise en oeuvre est en hausse ces dernières années. Malgré cela, l'Arabie a intégré fin octobre le Conseil des droits de l'Homme de l'Onu (Organisation des Nations unies).

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La démocratie vacille

La nature de la démocratie

A l’origine de tout pouvoir politique se trouve l’idée que des personnes vivant dans un espace commun admettent de perdre une part de leur liberté au profit d’un organisateur. Celui-ci a pour tâche de rendre cette cohabitation harmonieuse et durable.

Lorsqu’un individu reçoit une part de pouvoir lui permettant d’imposer ses vues à autrui, le risque existe qu’il en veuille de plus en plus. Plus il cumule de pouvoirs, plus la probabilité que ceux-ci soient pris sur les libertés de ceux qu’il doit théoriquement aider à évoluer dans l’harmonie est grande. Cette volonté de puissance, si elle dépasse certaines limites, peut tendre vers la dictature, la tyrannie ou même le totalitarisme. Elle peut conduire jusqu’à la suppression pure et simple de la liberté d’exister de certains groupes dans le cas des génocides. L’histoire regorge de cas où, pour satisfaire leur envie de pouvoir, des dirigeants s’en sont pris aux peuples qu’ils devaient servir.

L’idée de la démocratie est apparue, je pense, dès lors que les êtres humains ont compris qu’on ne peut déléguer à autrui le pouvoir de gouverner sans qu’il ne soit tenter d’augmenter massivement ce pouvoir au détriment d’autrui. Il s’agit donc d’une parade pour se prémunir des tentations du pouvoir. Sa finalité ne consiste pas tant à permettre à la majorité de gouverner que de protéger les peuples des excès de ceux qui possèdent le pouvoir.

La démocratie, une question de limites

Chaque démocratie a ainsi développé son propre arsenal d’outils permettant de limiter le pouvoir consenti à ceux qui prennent en main le destin de la communauté.  Afin d’éviter des dérapages durables, elles ont mis sur pied le principe de périodicité des élections. Une personne n’est élue que pour un certain temps et si elle ne correspond pas aux attentes de la population, qu’elle cherche à acquérir trop de pouvoir, alors elle peut être sanctionnée d’un non-renouvellement du mandat. Cette crainte de voir une tyrannie se prolonger dans le temps est si présente qu’un deuxième mécanisme, à savoir celui de la limitation du nombre de mandats consécutifs que peut exercer un individu, s’est développé dans de nombreux pays.

Un deuxième resserrement des possibilités des dirigeants s’est effectué au sujet du type des pouvoirs qu’ils peuvent exercer. On a pris soin de ne plus laisser dans les mêmes mains le législatif, l’exécutif et le judiciaire. Comme d’ailleurs le temporel et le spirituel.

Les textes fondamentaux tels que les constitutions ou la déclaration des droits de l’homme ont quant à eux pour rôle de délimiter clairement les rapports entre les individus et le pouvoir, de protéger une sphère de liberté autour des premiers et de borner les possibilités du second à leur égard. Dans le cas de la Suisse, cette délimitation s’est même doublée d’une capacité offerte à la population d’altérer les décisions et silences de l’autorité ne lui semblant pas convenables par le biais des référendums et initiatives.

La zone physique sur laquelle le pouvoir a le droit de s’exercer est elle aussi définie. Les frontières ont la tâche de permettre aux diverses communautés démocratiques d’établir clairement la limite territoriale qu’elles assignent à leur pouvoir tout comme à celui des pouvoirs voisins. Dans un ordre d’idée similaire, l’intérieur du territoire de notre pays est lui aussi divisé et scindé en échelons communaux, cantonaux et fédéraux.

La leçon des totalitarismes

Promouvoir une culture démocratique consiste donc à se protéger des dérives des régnants en restreignant au maximum l’exercice de leurs prérogatives et fixant un espace de liberté dans lequel chacun doit être au maximum préserver de leur intrusion.

Bien entendu, les régnants ne voient pas toujours d’un bon œil les bornes qui leur sont imposées. Surtout si leur soif de pouvoir est grande.  Ils peuvent donc tenter de repousser les limites. Cela peut être conscient comme inconscient. Les pires de tous ont même réussi à s’affranchir d’à peu près toutes les restrictions. Ils sont à l’origine des régimes totalitaires dont la spécificité a été justement de ne plus laisser une bribe de libertés aux individus.

Comme la force ne suffit pas et que les hommes n’admettent que difficilement de se soumettre corps et âme à autrui, il leur a fallu ruser. Ils y sont arrivés par le biais d’une astuce, à savoir camoufler leur irrépressible envie de domination derrière la promotion d’idéaux, la défense de grandes valeurs. Ce n’est qu’à cette condition-là qu’il leur fut possible de convaincre leur peuple de baisser plus ou moins totalement la garde. Les soviétiques ont mis des foules entières à leurs pieds en se servant d’un prétexte égalitaire alors que les nazis, eux, se sont appuyé sur la défense de valeurs plus traditionnelles. L’inadéquation totale des règnes des uns comme des autres avec ce qu’ils prônaient doit nous servir de leçon et nous faire comprendre que la défense de grands principes peut n’être que poudre aux yeux en vue d’acquérir un pouvoir plus grand.

Cet apprentissage est d’autant plus impératif que nous vivons une curieuse et inquiétante période dans laquelle les gardes fous mis sur pied par les authentiques démocrates sont mis à rude épreuve.  Il n’est point ici question de la Syrie ou d’une autre terre lointaine mais bien de notre chère Helvétie. Tout comme de nos proches voisins. En y regardant de plus près, sans se laisser berner par le discours sur les valeurs, un constat s’impose : les protections mises sur pied pour protéger les faibles des puissants reculent. Et cet effacement se fait bien souvent sous couvert de défendre des valeurs supérieures.

Une séparation des pouvoirs qui commence à devenir floue

S’il ne semble pas y avoir actuellement d’assaut mené contre la périodicité des élections, en revanche on a pu voir dernièrement certaines individualités (Anne Catherine Lyon par exemple) tenter de s’opposer à la limitation des mandats auxquels ils avaient droit. Pour le moment, le principe semble toutefois tenir la route. Mais il n’est pas certain que cela dure éternellement.

La séparation des pouvoirs est un des principes clés de la démocratie. Pourtant, les frontières entre les uns et les autres ne sont pas toujours aussi nettes que l’on pourrait croire. Et cette distinction a même tendance à devenir de plus en plus incertaine. La croissance de l’administration fédérale a engendré une situation dans laquelle son poids est de plus en plus important en matière d’impulsions législatives. Toujours plus nombreuses sont les lois proposées par l’exécutif et ses services. Une prérogative qui devrait pourtant plus ressortir du domaine du législatif. Mais ceci reste encore dans des limites acceptables.

Plus contestable est la situation au niveau européen. On ne le dit pas assez, mais la Commission Européenne, sorte d’exécutif continental, est titulaire d’un monopole en matière d’initiative législative. Ce qui signifie que le parlement européen ne propose aucune loi. Il peut s’opposer, voir amender les différents textes, mais la seule instance capable de créer des lois est l’exécutif. La séparation de ces deux pouvoirs n’existe donc pas au niveau européen. Et, par ricochet, comme les accords entre la Suisse et l’Union européenne sont de plus en plus contraignants et nombreux, notre parlement se voit dans l’obligation d’avaliser toute une série de décisions ne provenant plus de notre pôle législatif mais bien d’un exécutif hors sol !

Les textes fondamentaux vacillent et sont retournés contre ceux qu’ils doivent protéger !

Plus nette encore est l’évolution des textes fondamentaux ces dernières années. Initialement des garde-fous pour empêcher le pouvoir d’abuser de ses prérogatives, ils sont aujourd’hui utilisés pour mettre au pas les peuples récalcitrants ! Grâce au prétexte-étendard de la lutte contre les diverses discriminations, les droits de l’homme sont instrumentalisés pour mener la chasse à ceux qui s’opposent à certaines évolutions sociétales contestables voulue par le pouvoir. Et ce alors que leur rôle initial consiste, au contraire, à protéger ces mêmes individus des incursions du pouvoir dans leur sphère de liberté (d’expression notamment).

Notre constitution nationale est également sévèrement bafouée. Ses dernières évolutions (datant du 9 février 2014) ne sont tout simplement pas respectées. Certains vont jusqu’à vouloir la mettre en conformité avec ce que décident parlement et gouvernement (bilatérales notamment) ! Dans n’importe quel état de droit, c’est l’inverse qui prévaut : ce sont les lois qui doivent être en conformité avec la loi fondamentale et pas le contraire ! Entre de vulgaires accords commerciaux et un texte fondamental, aucun réel démocrate ne tergiverse ! Mais nous, nous en sommes à un point où le gouvernement se permet même de signer de nouveaux accords internationaux (traité de libre circulation avec la Croatie) alors qu’ils sont interdits par la constitution.

Certains (par exemple, Robert Cramer) tentent de justifier cela en prétextant que nous vivons une situation un peu particulière et que c’est dans l’urgence que le pouvoir doit agir en attendant de pouvoir modifier la constitution (RASA et son/ses éventuel(s) contre-projet(s)). Pour ceux qui préfèrent que les choses soient dites concrètement, cela signifie que nous vivons un moment dans lequel une partie de la constitution est suspendue, que nos autorités disposent d’une situation de plein pouvoirs en la matière. Cela porte un nom : « dictature » même si personne n’ose le dire clairement.

Cette opposition radicale à la constitution constitue également une réduction massive du pouvoir imparti à la population de s’opposer aux (non) décisions du pouvoir et signifie que peu importe ce que celle-ci désire, le pouvoir décide en définitive. Cette tendance va s’accentuant ces dernières années puisque des propositions concrètes de réduction du droit d’initiative populaire sont apparue dans la sphère publique. Soit en augmentant le niveau d’exigences à remplir soit par un contrôle préalable de leur applicabilité par les instances de pouvoir. Ici aussi, les droits de l’homme sont brandis pour faire taire les populations qui ne veulent pas du modèle que leur propose le pouvoir. Et ce alors que, répétons-le, les droits fondamentaux sont en principe une protection pour les populations contre l’arbitraire des régnants !

Les bornes physiques

Les bornes physiques ne sont pas non plus épargnées. Tant au niveau communal qu’au niveau cantonal, une tendance à la fusion a fait son apparition. Et qui dit fusion dit 1) augmentation du pouvoir de ceux qui dirigent la nouvelle entité 2) diminution de la multiplicité des pouvoirs. Le plus étrange dans tout cela est vraisemblablement l’argument selon lequel il faut agir ainsi parce que le monde se complexifie. Or, en faisant de la sorte, la complexité de la situation à gérer augmente encore plus. Tout raisonnement sain voudrait, au contraire, que si complexification il y a, alors une simplification de la quantité des affaires à gérer par un même pouvoir s’impose !

L’effacement des frontières avance encore plus nettement. Ceux qui ne se satisfont pas de leur pouvoir martèlent un discours agressif basé sur des valeurs d’ouverture et autre tolérance afin de camoufler leurs réelles intentions. Etre réaliste à ce propos consiste à passer outre ce qui est dit et constater que ce décloisonnement induit une augmentation massive de la zone (du Portugal jusqu'au fin fond de la Grèce) où s’exerce un pouvoir unique. Lorsque la Suisse accepte de céder ses prérogatives en matière de gestion migratoire ou des frontières, c’est l’étendue du pouvoir de l’UE qu’elle augmente. Un pouvoir de plus en plus absolu, de moins en moins borné. Dans le même temps, c’est le nombre d’individus soumis à sa propre influence que le pouvoir suisse accroit. Avec les ressources qui vont avec. Il s’agit donc d’un échange Win Win entre deux entités en recherche d’un pouvoir plus grand. Cela l’est d’autant plus que le séant de nos dirigeants semble irrésistiblement attiré par la douceur des fauteuils bruxellois.

Un petit mot sur l’islam

Ce rapide et inquiétant tour d’horizon de la situation de la démocratie suisse ne serait pas complet sans dire quelques mots au sujet de l’islam. Il s’agit là d’une religion dont la philosophie est totalement inverse à celle de la démocratie ici même décrite. L’islam a pour ambition de réunir la planète entière sous sa bannière. Un étendard qui n’admet aucune distinction entre pouvoir spirituel et temporel. De manière générale, il n’y a point de limitation démocratique à avoir pour les disciples d’Allah puisque le Coran a pour ambition de régler l’ensemble de nos existences.

Dès lors que cette grille d’analyse est adoptée, l’islamophilie radicale de nos dirigeants s’éclaire et devient limpide.  L’islam est l’allié idéal de quiconque cherche un pouvoir absolu et sans aucune limite puisque son ADN est de la même nature. A la nuance près qu’au final il ne pourra rester qu’un dominant : l’islam ou nos zélites. Celles-ci sont si prétentieuses et imbues d’elles-mêmes qu’elles ne voient pas ce qui se profile à l’horizon…

Pour lesObservateurs.ch, Cain Marchenoir, le 3 novembre 2016

La Russie éjectée du Conseil des droits de l’homme rejetée à cause de son rôle en… Syrie

Alors que la France et les USA arment des jihadistes sous le label fallacieux de "rebelles bien sous tout rapports".

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L’Assemblée générale de l’ONU examinait vendredi 28 octobre les candidatures au Conseil des droits de l’homme pour le mandat 2017-2019. Lors d’un vote surprise, elle a rejeté la candidature de la Russie.

La Russie était en lice avec la Croatie et la Hongrie pour deux sièges réservés à l’Europe de l’Est. Elle n’a obtenu que 112 voix contre 114 pour la Croatie et 144 pour la Hongrie, sur 193 pays membres. C’est la deuxième fois seulement qu’une grande puissance échoue à se faire élire au Conseil, après les Etats-Unis en 2001.

Le vote a eu lieu notamment après que de nombreuses organisations humanitaires ont appelé à ne pas réélire la Russie pour un deuxième mandat en raison de son soutien au régime de Bachar Al-Assad.

L’Arabie saoudite, elle aussi critiquée par des ONG en raison de sa campagne de bombardements au Yémen, a par contre été élue au Conseil avec 152 voix.

La situation à Alep « en tête »

« Il s’agit à l’évidence d’un signal d’alarme pour Moscou », a déclaré le directeur de Human Rights Watch à Genève, John Fisher, en souhaitant « que le message soit entendu ». « Il est difficile de croire que les gens qui ont voté aujourd’hui n’avaient pas en tête la situation à Alep », a souligné Akshaya Kumar, directrice adjointe de HRW pour l’ONU à New York.

Parmi les autres pays élus vendredi, sur une base régionale, figurent les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la Chine, l’Egypte, l’Irak, l’Afrique du Sud, Cuba et la Tunisie. Ils prendront leur siège en janvier 2017 pour un mandat de trois ans. Quatorze sièges ont été renouvelés vendredi sur les quarante-sept que compte le Conseil. Le Conseil, créé en 2006 et siégeant à Genève, est l’organe principal du système onusien en matière de droits humains.

Source

 

 

Qatar: des centaines d’ouvriers étrangers sans salaires depuis des mois

Des centaines d’ouvriers étrangers, employés au Qatar par une entreprise de travaux électriques, sont sans salaires depuis quatre mois, a indiqué mardi l’un des chefs de la communauté indienne.

Ces travailleurs veulent rencontrer l’ambassadeur d’Inde à Doha pour parler de leurs difficultés, a déclaré à l’AFP Arvin Patil de l’association de bienfaisance Indian Community Benevolent Forum.

Les travailleurs seraient employés par une compagnie basée à Abou Dhabi, aux Emirats arabes unis.

«Entre 300 et 400 travailleurs n’ont pas été payés», a précisé M. Patil.

«On va voir ce qu’on peut faire. On peut donner de l’argent à une ou deux personnes, mais c’est plus difficile quand il s’agit de 300 personnes au moins», a-t-il dit.

Selon lui, il s’agit non seulement de ressortissants indiens mais aussi d’ouvriers originaires de différents pays.

Les Indiens forment le plus gros contingent de migrants au Qatar. Ils représentent quelque 545 000 personnes sur une population totale de 2,5 millions d’âmes.

Les salaires de ces ouvriers n’ont pas été payés malgré l’introduction en novembre dernier d’une réglementation garantissant le transfert automatique des salaires sur les comptes bancaires des intéressés.

Le Qatar est régulièrement sous le feu des critiques de défenseurs des droits de l’Homme et de syndicats internationaux pour les conditions de travail dans l’émirat, notamment sur les chantiers du Mondial de football qu’il doit organiser en 2022.

En Arabie saoudite, les employés d’un hôpital privé ont observé lundi une grève --action rare dans le royaume-- pour protester contre le non paiement de leurs salaires. Des milliers de travailleurs du bâtiment avaient souffert du même problème en raison des difficultés des firmes qui les emploient.

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Rappel:

Légion d'honneur : Hollande décore discrètement le patron de Qatar Airways

Lorsque le gouvernement français interdit la liberté de religion pour satisfaire les musulmans

Christian Hofer: Ce qui est contraire aux Droits de l'Homme que la gauche nous agite tant lorsqu'il s'agit d'accueillir des millions de migrants en Europe. Cela n'offusque évidemment pas les officines de gauche, ni l'ONU. Bien entendu, la Présidente de la Commission fédérale contre le racisme ne dira rien si ce n'est que "le Coran ne rejette pas les autres religions": En clair, il n'y a plus que des lâches et des menteurs, qui plus est grassement payés, dans les rouages de nos sociétés. Notre Constitution est violée par l'islam (article 15) et nos politiciens s'en fichent!

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D’un coté, la république pour les Français non musulmans, et de l’autre, pour les Français musulmans les règles de la charia.

Avec le rapport d’information n° 757, session extraordinaire de 2015-2016, enregistré à la présidence du Sénat le 5 juillet 2016 sur l’organisation, la place et le financement de l’islam en France et de ses lieux de culte – de même qu’avec la création, en 2005, du CFCM (Conseil français du culte musulman) -, il a été répondu à une fonction symbolique :« Assurer la visibilité du culte musulman au même titre que les autres cultes. »

Il s’agissait, selon la formule reprise autant par M. Jean-Pierre Chevènement que M. Nicolas Sarkozy (en son temps),« d’asseoir l’islam à la table de la République ». Dans ce sens, les organisations voulant participer à sa création devaient accepter un texte rappelant les principes de la laïcité.

En introduction de ce rapport, on peut lire : « La situation nationale et internationale de ces derniers mois, de ces dernières années, a placé – bien malgré elle – la communauté musulmane vivant en France au cœur de débats et d’interrogations provoqués par l’amalgame trop fréquent entre l’islamisme radical et l’islam. »

On pouvait souscrire à ce distinguo, si toutefois les principes qui régissent la République avaient été respectés. Hélas, c’était sans compter sur les accommodements que s’arrogent les représentants du peuple avec les lois pourtant votées en son nom.

Mais quelle est donc la transaction qui a permis l’accord, l’acceptation et enfin la signature entre les représentants de l’islam, dit « non radical », et l’État ? Le constat est radicalement confondant !

En effet, le texte adopté a été accepté par les représentants de l’islam, dit « non radical », mais au prix d’un compromis sur son contenu. La mention du droit de « changer de religion » a été retirée à la demande de l’UOIF (page 87 du rapport d’information n° 757 du Sénat).

S’est-on jamais assis aussi volontiers sur le droit ?

Avec cette compromission (excusez du peu), les pouvoirs publics ont introduit un état d’exception, en totale contradiction avec la Constitution, le droit français et la Convention européenne des droits de l’homme qui, aux termes de l’article 9, précise : « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction. »

D’un côté, la République pour les Français non musulmans, et de l’autre, pour les Français musulmans, les règles doctrinales de la charia imposée par le Coran. (Selon le Coran, l’apostasie et son pendant – le blasphème – sont punis de mort ou de peines sévères.)

Ipso facto, de compromissions en acceptations tacites, l’État acceptera-t-il, ainsi, que l’on revienne sur la peine de mort ? Ce serait radical, non ?

La neutralité de l’État se doit, dans l’esprit si ce n’est la lettre de la loi du 9 décembre 1905, de respecter les cultes qui s’exercent sur son territoire.

Mais l’État ne se doit-il pas à l’absolue priorité de respecter les principes fondamentaux de sa Constitution, du droit français et de la Convention européenne des droits de l’homme ?

Naïvement, je le pensais !

Source

Des droits de l’homme aux hommes sans droits

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Michel Garroté - Vous avez dit "droits de l’homme" ? Au temps de la guerre dite "froide" (100 millions de victimes à l'échelle planétaire en 40 ans), nos médias passaient sous silence les violations des droits de l'homme dans la sphère soviétique et se concentraient sur les violations des droits de l'homme dans les pays à régimes autoritaires pro-occidentaux.
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Aujourd'hui, nos médias passent sous silence les violations des droits de l'homme en terre dite terre d'islam et se concentrent sur les violations des droits de l'homme en Russie. Ils ne les dénonçaient pas en Russie au temps de l'URSS et maintenant ils les dénoncent parce que la Russie est devenue notre alliée, au moins tactique à court terme, voire stratégique à moyen et long terme.
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En somme, avec la guerre froide, puis, la guerre djihadique, nous vivons dans un monde où nos médias nous font passer systématiquement des droits de l'homme aux hommes sans droits. Laguerre froide était un jeu à somme nulle dans un monde bipolaire. La guerre djihadique est une guerre assymétrique dans un monde multipolaire. Et dans les deux cas, nos médias nous font glisser des droits de l'homme aux hommes sans droits.
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A ce propos, dans Valeurs Actuelles, Laurent Dandrieu écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : En France, Les magistrats se sont conféré "une fonction prophétique", au détriment du peuple. Détournés de leur but originel, les droits de l’homme empêchent aujourd’hui le peuple de se défendre contre l’immigration de masse. Avec la récente série d’attaques terroristes islamistes, la question de l’état de droit s’est retrouvée au centre des débats, et derrière elle, celle des droits de l’homme : sont-ils le symbole même de notre civilisation, ce à quoi il faut s’accrocher contre vents et marées sous peine de renier notre identité profonde, ou sont-ils devenus l’incarnation de notre impuissance, la figure d’une société incapable de se défendre parce qu’elle ne se réduit plus qu’à un assemblage de règles juridiques dont la finalité a été perdue de vue ?
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Laurent Dandrieu : Dans ce débat, le petit essai de Jean-Louis Harouel, les Droits de l’homme contre le peuple, fournit un aliment indispensable pour la réflexion. Le titre est sans équivoque, la thèse limpide. C’est celle d’un dévoiement des droits de l’homme, détournés du but pour lequel ils avaient été conçus et retournés contre les peuples qu’ils étaient censés défendre des empiètements du pouvoir. Jean-Louis Harouel : « L’application de droits individuels jadis conçus pour protéger un peuple contre les excès d’autorité de ses gouvernants devient dangereuse pour ce peuple quand se déversent sur son territoire d’autres peuples, surtout dans un climat de guerre entre civilisations. Aujourd’hui transformés en une religion séculière de nature millénariste obsédée par la non-discrimination, les droits de l’homme exposent chaque peuple européen à voir des membres d’un autre peuple s’installer massivement chez lui et mettre à profit ces droits pour travailler à le détruire, pour faire prévaloir leur mode de vie et leurs valeurs, au détriment de ceux du pays d’accueil », précise Jean-Louis Harouel.
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Laurent Dandrieu : Porteur de valeurs rigoureusement contraires à celles de notre civilisation, parmi lesquelles la confusion du profane et du sacré et la soumission de la liberté de pensée à la révélation divine, stipulée par la Déclaration islamique universelle des droits de l’homme de 1981, le communautarisme musulman, qui résulte inéluctablement de la présence massive de l’islam en Europe, utilise par exemple notre conception des droits de l’homme pour tendre à empêcher toute critique véritable de cette religion, qui serait une manière détournée de discriminer les musulmans. Il utilise l’obsession de la non-discrimination à laquelle se résume de plus en plus notre système juridique pour protéger de toute critique et répandre une pensée religieuse par nature discriminatoire - vis-à-vis des femmes ou des minorités religieuses non musulmanes, par exemple.
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Laurent Dandrieu : La façon dont l’arsenal juridique censé lutter contre les discriminations a progressivement réduit la liberté d’expression sur des sujets aussi cruciaux que l’immigration ou l’islam est caractéristique de ce détournement des droits de l’homme contre le peuple : « Il y a, au nom des idées les plus généreuses, création subreptice d’une société liberticide, dans laquelle il est interdit de dire ce que l’on voit, de dénoncer les mécanismes qui sont en train de détruire nos sociétés et notre civilisation », écrit Harouel.
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Laurent Dandrieu : Symbole de cette façon dont la promotion des droits de l’homme en alpha et oméga de toute politique a conduit nos sociétés, suivant le mot de Marcel Gauchet, à « se promettre à l’impuissance collective », Jean-Louis Harouel pointe une décision du Conseil d’État, datant de 1978, érigeant en principe intangible le droit au regroupement familial. C’est ainsi, note-t-il, que « la très vertueuse religion séculière des droits de l’homme trace aux Européens le devoir de disparaître en souriant pour faire place à d’autres peuples et d’autres civilisations ». Au nom des droits de l’homme, ils deviennent des hommes sans droits, qui n’ont plus que celui de s’effacer en silence. Dans le silence étourdissant produit par la léthargie des Européens qui semblent consentir à leur propre disparition, le livre éclairant de Jean-Louis Harouel apparaît comme un salutaire cri d’alarme, conclut Laurent Dandrieu dans Valeurs Actuelles (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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Les Droits de l’homme contre le peuple, de Jean-Louis Harouel, Desclée de Brouwer, 146 pages, 14 €.
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http://www.valeursactuelles.com/des-hommes-sans-droits-64361
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Ansbach: le terroriste était un blessé de guerre de l’état islamique, arrivé en Europe comme réfugié pour se faire soigner

Le 24 juillet, un Syrien se fait exploser à l’entrée d’un concert en plein air dans la ville bavaroise d’Ansbach. Il s’appelle Mohamed Daleel (ou Abou Youssef pour Daesh). Au moyen d’une bombe, cachée dans son sac à dos, il fait quinze blessés mais il est le seul à perdre la vie. Depuis, son profil et son parcours interrogent les autorités allemandes. Une enquête du New York Times lève à présent une partie du mystère.

L’homme arrive en Europe en avril 2013, en Bulgarie plus précisément. Il se présente quelques mois plus tard, en novembre, à Ilana Savova qui dirige à Sofia une organisation de défense des droits de l’Homme. Près de trois ans plus tard, elle se souvient bien de lui:

"On ne voit pas gens avec des éclats d’obus dans la jambe tous les jours!"

Il lui explique qu’il est blessé depuis qu’un obus est tombé sur sa maison tuant sa femme et ses enfants et qu’il a fui la Syrie pour se faire soigner et échapper à la guerre.

D’après l’organisation djihadiste, il rejoint les rangs de l’EI en Irak avant de se battre en Syrie, à Alep. C’est là qu’il est blessé par un shrapnel. Il cherche alors à se faire soigner en Europe pour mieux revenir sur le front. Pour d’obscures raisons, il n’aurait pu satisfaire cet objectif, décidant alors de passer à l’acte en Allemagne.

BFM

Le cerveau des attentats d’Istanbul a été protégé par son statut de réfugié en Autriche

Akhmed Chataev (…) a fui la Russie il y a 12 ans, et a gagné le statut de réfugié en Autriche.

En Janvier, les services secrets russes l’ont désigné comme le principal recruteur de terroristes d’ISIS depuis la Russie et les pays européens.

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Tchataïev – surnommé «One-Armed ‘après qu’il ait affirmé que l’un de ses membres a été coupée en prison – a fui la Russie il y a 12 ans, et a gagné le statut de réfugié en Autriche.

Une fois en Europe, il a envoyé du matériel vers le Caucase du Nord pour les terroristes.

En 2008, il a été arrêté en Suède pour possession illégale d’armes, a passé un an en prison après que des Kalachnikov , des explosifs et des balles aient été trouvés dans sa voiture.

Après avoir purgé sa peine, il a déménagé en Ukraine, où il a été arrêté à la demande de la police russe – mais a utilisé son statut de réfugié autrichien pour éviter l’expulsion.

Daily Mail

Suède. Un djihadiste membre de Daesh s’en sort en demandant l’asile “conformément à la Convention de Genève”

Christian Hofer: «Aussitôt que ces gens sortent leur joker et disent «asile», alors s'ouvrent pour eux les portes du paradis», a lancé Leif Fransson, commissaire de la police aux frontières.

Voilà la vérité à propos de ces "droits de l'homme" que Burkhalter agitait avec tant d'arrogance à propos des Érythréens, pendant que les Européens triment pour leur payer les soins, la nourriture et le logis.

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Un Bosnien membre présumé du groupe terroriste Etat islamique (EI) a été arrêté cette semaine à son arrivée en Suède. Mais il a dû être confié à l’Office des migrations parce qu’il déposait une demande d’asile.

Cet homme de 46 ans, décrit par les médias suédois comme un « djihadiste de l’EI », figure au fichier du système d’information Schengen à la demande de la France, selon le quotidien « Sydsvenskan », qui a révélé l’affaire. Il est arrivé lundi à l’aéroport de Malmö, dans le sud de la Suède, avec ses quatre enfants.

Alertés par sa nervosité manifeste au moment de passer la douane, des fonctionnaires de la police aux frontières l’ont emmené pour l’interroger et vérifier son identité. L’homme a alors demandé l’asile et a été automatiquement confié à l’Office des migrations, conformément à la Convention de Genève.

Le Matin

Ce jeudi 14 avril, les Etats‑Unis dénoncent la France dans leur rapport mondial annuel sur les droits de l’homme

Pour l'année 2015, l'Etat américain constate, je cite : « La montée d'islamophobie et d'antisémitisme en France ou encore les violences policières envers les migrants ou les Roms ». Fin de citation. Les incidents touchant à ces domaines seraient croissants selon le rapport présenté par John Kerry, chef de la diplomatie américaine.

Beaucoup de sujets sont évoqués

Que ce soient les attaques faites à l'islam, le rapport cite l'Observatoire contre l'islamophobie du Conseil français du culte musulman (CFCM), celles qui sont faites aux Juifs d'après le Service de protection de la communauté juive (SPCJ), elles ont toutes les deux augmentées. Les expulsions de camps illégaux de Roms sont en hausse pour l'année 2015. Les Américains reprochent à la police française quant à elle de faire « un usage excessif de sa force ». Les conditions de salubrité des prisons, des hôpitaux, les violences faites aux femmes sont notamment aussi évoquées.

Certains sujets, en revanche, sont passés sous silence...

Mais quid des chrétiens ? Nulle part, ils ne sont évoqués alors que l'on pourrait constater également, en cette année 2015, le nombre croissant de profanations, d'outrages, de persécutions, d'injures et de calomnies à l'encontre des catholiques, des protestants, des orthodoxes.

Les attentats du 7 janvier et du 13 novembre ont encadré cette année 2015. Chaque Français a été touché de près ou de loin. Les Américains dénoncent la France, soit. Mais qu'ils dénoncent tous les crimes commis, qu'ils remontent peut être aux sources et qu'ils évoquent toutes les victimes.

Source

Islam, islamisme, anti-racisme et droits de l’homme.

Je ne suis qu'un Français lambda. Un blanc détesté par des "victimes" par essence, par la couleur, par culture, parce que blanc c'est tout, parce qu'héritier de mes ancêtres paysans, laboureurs et autres. En regardant la vidéo d'Aldo, j'ai pu voir sa colère. Son dépit, son amertume.

Oui il suffit de connaître son histoire de France pour savoir ce que l'on peut faire pour se défendre (Poitiers 732).

Oui il suffit de connaître même un peu, la géopolitique à travers les siècles pour savoir ce qu'est l'islam.

Oui l'islam est un système qui a échoué sur tous les plans sociétaux sauf sur celui de la mise en place d'une dictature mortifère (76 iém exécution en Arabie Saoudite Sunnite. Plusieurs centaines d'exécutions en Iran Chiïte)

Oui pendant des siècles, ce virus, cette peste verte s'est étalée partout dans le monde. Elle s'est accaparée des inventions, mis en place des sociétés racistes, sexistes et assassine de libertés mais aussi de vies humaines.

Il suffirait, il suffit seulement d'un peu de curiosité pour comprendre ce qu'est l'islam. Il suffirait aussi et sans doute, que nos dirigeants se décrochent du biberon du Qatar, qu'ils cessent de pointer à la caisse de l'Arabie. Il suffirait seulement que la presse soit moins dépendante des millions d'euros que les pétro-monarchies déversent sur les conseils d'administrations, que des journalistes aient enfin le courage de sortir des chemins battus par Allah, par l'antiracisme dévoyé. Qu'ils retirent leurs oeillères, abaissent le bandeau qui les aveugle, cesse d'obéir à leurs rédacteurs qui lui-même obéi aux patrons de presse, qui lui-même, etc.

Il suffirait de retrouver la flamme de Saint Denis (pas celle de la Saint Denis communautaire et islamisée d'aujourd'hui), retrouver nos héros d'antan, nos personnages grandioses, si ce n'est nos piou-pious que désormais, une élite tarée ne voit plus que comme des soldats africains comme si nos tranchées n'avaient pas été abreuvé par le sang de nos soldats de Bretagne, de Corse, du Béarn, de la Beauce et de bien d'autres régions. Comme si la guerre de 14/18 n'avait été qu'une guerre entre africains et allemands tandis que les Français étaient planqués à l'arrière. Car nous en sommes arrivés là aujourd'hui, dans la négation de la France et des Français. Dans cet enseignement que c'est l'Afrique qui c'est battue pour la France en 1914-1918. J'ai honte pour mon grand-père.

Il n'y aurait plus que des piou-piou africains à Verdun?
Il n'y aurait plus que des piou-piou africains à Verdun?

Petit rappel cependant: la France est victorieuse mais meurtrie avec près de 1 400 000 soldats français et coloniaux décomptés morts, soit 27 % des 18-27 ans. A comparer avec les 97 100 morts issus des colonies qui n'étaient pas tous des noirs, mais aussi des arabes, des asiatiques et n'en déplaise à certains, des juifs blancs, c'est 1 302 900 morts français du terroir qu'il faut absolument rappeler. Voilà cette politique antiraciste et assassine, qui tue deux fois les Morts pour la France de 14/18. C'est bien une trahison de cette socia-lie qui veut refaire l'histoire de France.

Nbr de mort colonie 14-18

Revenons à ce dépit d'Aldo Stérone que je comprends. Il est Algérien, a vécu en Algérie, a connu les dérives islamistes, les attentats, les bombes, les arguments de cet islam tentaculaire et il nous dit: cessez de vous poser des questions sur votre avenir, il est inscrit dans tous les livres d'histoire depuis 1400 ans de misère islamique qui n'a rien à donner que la mort ! Rien à vous offrir qu'un mensonge sur une certitude d'une vie dans l'au-delà, au sacrifice de votre vie sur terre aujourd'hui. Et comme personne n'est revenu pour dire qu'il y avait bien 72 femelles à l'hymen renouvelables, à la blancheur de lait (Raciste), aux sourires parfait, qui vous font grimper aux rideaux du paradis d'Allah, vous êtes dans le domaine de l'illusion pure, dans la forfaiture religieuse pour ne pas dire dans la connerie monstrueuse. Au service de qui doit-être la bonne question.

https://youtu.be/7ZWWyXrBK_E

Par quel masochisme, par quelle folie, par quelle stupidité, des femmes et des hommes choisissent de saisir l'ombre plutôt que la proie. Au passage, je dit que je n'ai aucune compassion pour ce fils converti, enfant de cathos de gauche qui a choisi de se faire sauter en Syrie. J'ai même une profonde détestation  de cette engeance et un mépris certain pour ses parents qui découvrent leur fils meurtrier aux ordres d'Allah. Qu'ils crèvent ces salauds de djihadistes.

Partout où l'islam s'est installé et nous pouvons le constater en Afrique du Nord autrefois romanisée, juive et chrétienne, ce ne fût que misères et désolations. L'islam n'apporte rien et détruit tout au nom d'Allah. Vous pouvez prendre tous les pays sous la tutelle de l'islam, vous n'avez rien d'autre qu'une population qui fuient la misère. Malheureusement, une fois installée, cette population ne songe qu'à reproduire le logiciel d'origine: s'installer, profiter, piller et imposer sa religion.

Misère et pauvreté en terre d'islam. Sauf les pétro-monarchies qui ont attendu que les Occidentaux leur donnent le pétrole qu'ils avaient sous le sable.

Nous savons notre avenir avec l'islam, il est écrit dans le passé. Ce passé que nos traîtres de dirigeants et à tous les niveaux, s'évertuent à nier. Interdisent d’accès à nos enfants en leur inculquant le "droit-de-l'hommisme" et la formule empoisonnée de "l'anti-racisme" destructeur des réalités. Cet avenir et le néant de nos civilisations. De notre civilisation judéo-chrétienne dans seulement quelques décennies. Ce sont nos enfants qui devront subir la lâcheté des Français qui continuent de voter pour ceux qui les trahissent depuis 45 ans, depuis la mort du général De Gaulle pour être exact.

Gérard Brazon

Pour mémoire la conquête des Indes: https://fr.wikipedia.org/wiki/Conqu%C3%AAtes_musulmanes_des_Indes

Pour Amnesty, les droits humains sont en danger en Suisse

L'ONG internationale a rendu son rapport 2015/2016. L'organisation épingle aussi la Suisse et l'UDC.

Les institutions qui protègent les droits humains sont en danger, s'alarme Amnesty International (AI) dans son rapport annuel publié mercredi. «La Suisse n'échappe pas à la tendance» avec l'initiative de l'UDC prônant la primauté du droit suisse.

Suite

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