Hausse de la délinquance à Paris : “La proportion d’étrangers mis en cause augmente clairement”

Une deuxième partie de l’année qui ne doit pas ressembler à la première. Les instructions de la nouvelle directrice de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) sont claires. La courbe haussière de la "délinquance d’acquisition" (cambriolages, vols à la tire…) sur les six premiers mois de l’année doit s’infléchir. Et vite.

Dans une note diffusée le 17 juin aux chefs de la police parisienne et que nous nous sommes procurée, Valérie Martineau, nommée à ce poste il y a moins de deux mois,  détaille son plan d’action. "Les six premiers mois de 2019 révèlent une évolution défavorable de la petite et moyenne délinquance", constate-t-elle, dans ce document de quatre pages, qui fait office de feuille de route pour ses troupes. "Notre action doit être guidée par un principe simple : obtenir des résultats significatifs."

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Pour la maire de Paris, cette hausse de la délinquance peut s’expliquer par le mouvement des "Gilets jaunes, qui a évidemment mobilisé les forces de l’ordre pour le maintien d’ordre", a-t-elle indiqué lors d’un colloque organisé à l’Hôtel de Ville fin juin. "On comprend qu’un événement comme celui-là ait retiré des effectifs, mais la dégradation dans un certain nombre de quartiers, nous la voyons", a-t-elle ajouté.

Un haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur nuance toutefois les propos de la maire de la capitale, estimant que les Gilets jaunes sont loin d’être la seule raison de ces mauvais chiffres : "La proportion d’étrangers mis en cause augmente clairement, notamment dans la délinquance du quotidien, comme les vols à la tire. Beaucoup sont en situation irrégulière dans l’Hexagone." Des propos qui interviennent dans un contexte houleux entre la mairie de Paris et l'Etat sur la question de l’accueil des migrants dans la capitale.

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Lci.fr

Scène de vie en France : une femme blanche violemment agressée en pleine rue par un Africain nu (Vidéo)

Malheureusement aucune date ni lieu pour cette séquence.

Visiblement la femme ne connaissait pas du tout l'individu et désirait simplement passer. Lorsqu'on visionne la suite de la vidéo, on peut supposer que cet Africain cherchait à la violer en pleine rue.

 

La femme est directement frappée au niveau du visage, par derrière alors qu'elle cherche à s'en aller.

 

Elle semble se faire piétiner au niveau de la tête. 

On ne voyait pas de telles scènes en Europe mais gageons que la gauche ne trouvera rien à redire. Ou plutôt incriminera à nouveau "les hommes" sans préciser qui est le véritable coupable. L'hypocrisie de gauche habituelle.

 

 

 

 

 

 

Source (merci à Cenator)

 

Rappels :

Des féministes signent une tribune contre la pénalisation du harcèlement de rue. « Cela renforcerait la répression contre les migrants »

Harcèlement des femmes à Paris par des migrants. Pour la féministe Caroline De Haas, c’est simplement un problème de place. (Vidéo)

Genève : SolidaritéS, Amnesty International et autres féministes manifestent pour soutenir les 5 femmes agressées

Agression de Genève : Le Blick donne la description de l’assaillant « C’est un jeune d’origine maghrébine. »

Paris : « Allah akbar ! » Un homme barbu en djellaba menace et hurle au djihad

Le quartier a été bouclé plus de deux heures, pour permettre l’intervention de policiers casqués et portant de gilets pare-balles.

La police a mené un spectaculaire déploiement pour interpeller lundi matin à Paris un homme barbu en djellaba vociférant et menaçant depuis sa fenêtre, selon une source policière, des témoins rapportant qu’il avait notamment parlé de djihad.

« Il a dit allah akbar », a raconté Yann Chantrelle, boulanger dans un établissement situé à proximité de l’immeuble dans le XIe arrondissement. « Ça a commencé vers 9h30. Il a gueulé pendant une heure quand la police est arrivée ça s’est vite calmé. Il est sorti une première fois puis il est rentré. Il a jeté ses clés par la fenêtre. Ils lui ont redonné ses clés. Il a fini par ressortir. Ils l’ont plaqué par terre. Ils l’ont emmené », a-t-il raconté.

(...)

Un autre voisin, qui n’a pas souhaité que son nom soit divulgué, a expliqué avoir d’abord entendu un homme hurler vers 9h30 au niveau de la rue Oberkampf. « Dans le quartier on n’appelle pas la police pour ça donc ça a duré », a expliqué ce riverain, qui vers 10h l’a « entendu dire djihad et Allah akbar à plusieurs reprises », avant que la police n’intervienne.

Le Parisien

Via Suavelos.eu

Paris : un Afghan a poignardé plusieurs passants, au moins 7 blessés dont 4 dans un état grave. Il s’agirait d’un réfugié.

L'homme qui a attaqué des passants, quai de Loire à Paris, dimanche soir, serait un Afghan de 31 ans. Il serait inconnu de la police, mais il a été décrit comme un consommateur régulier de drogue dure.

  • Un individu a agressé des passants hier à Paris, sur le quai de la Loire, aux bords du bassin de la Villette, dans le 19e arrondissement, aux alentours de 22h30. L'agresseur a poignardé plusieurs personnes "qui lui étaient inconnues dans la rue", devant le cinéma MK2. Armé d'un couteau et d'une barre de fer, il s'en est pris quelques instants plus tard à deux touristes britanniques, rue Henri Nogueres.
  • L'agresseur a été  interpellé par un équipage de la Brigade anticriminalité (BAC) dans la soirée, après avoir été désarmé et battu par des passants. L'enquête a été confiée au 2e district de police judiciaire (DPJ) du chef de tentative d'homicides volontaires.
  • Selon des informations policières, recueillies par Le Point et LCI, l'assaillant serait un Afghan de 31 ans, né à Saracha Ali Khan, dans la région de Jalalabad. Il pourrait s'agir d'un réfugié, des papiers d'identité - que les enquêteurs doivent analysés - ont été retrouvés sur lui. Il n'est pas connu des forces de police, mais l'homme a été décrit comme consommateur de crack.
  • On ignore quelles ont été les motivations de l'individu, a indiqué une source proches de l'enquête à France Info. A ce stade, rien ne permet d'affirmer qu'il s'agit d'un attentat terroriste, cette hypothèse semble même, pour le moment, écartée.
  • L'attaque au couteau a fait 7 blessés, 4 d'entre eux sont dans un état grave, 1 personne serait très grièvement touchée, son pronostic vital serait engagé.

L'internaute.com

 

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Un homme, «a priori de nationalité afghane» et muni d'une arme blanche et d'une barre de fer, a été interpellé par un équipage de la Brigade anticriminalité dimanche soir dans le XIXe arrondissement de Paris. «Rien ne permet à ce stade de retenir le caractère terroriste de ces agressions», a assuré une source proche de l'enquête.

Sept personnes ont été blessées, dont quatre grièvement, dimanche soir à Paris, après avoir été agressées par un homme, «a priori de nationalité afghane», muni d'une arme blanche et d'une barre de fer. Ce dernier a été interpellé par un équipage de la Brigade anticriminalité (BAC), a précisé une source policière à l'AFP. Une enquête, pour tentatives d'homicides volontaires, a été confiée au 2e District de la police judiciaire. «Rien ne permet à ce stade de retenir le caractère terroriste de ces agressions», selon une source proche de l'enquête.

Les faits se sont déroulés peu avant 23 heures dans le XIXe arrondissement, dans le nord de Paris, le long du canal de l'Ourcq. Selon une source proche de l'enquête, l'homme a attaqué des personnes qui lui étaient inconnues dans la rue» près de deux cinémas MK2.

Selon un vigile d'un des cinémas, qui a vu la fin de la scène, l'homme avait déjà agressé des gens. D'après le témoin, lorsqu'il a vu l'agresseur, il était en train d'être poursuivi par deux autres hommes qui tentaient de l'arrêter. «Il avait une barre de fer en main et l'a jetée sur ses poursuivants, puis a sorti un couteau», a-t-il dit à un journaliste de l'AFP.

Youssef Najah, 28 ans, qui se trouvait sur le quai de Loire en train de marcher le long du canal à proximité d'un terrain de pétanque, a vu un homme «en train de courir avec un couteau de 25-30 cm à la main. Il y avait une vingtaine de personnes qui le poursuivaient, ils lui jetaient des boules de pétanques. Il a pris quatre à cinq boules sur la tête, mais ils ne sont pas arrivés à l'arrêter». Toujours selon ce témoin, l'homme s'est ensuite engouffré dans une impasse, «a essayé de se cacher derrière deux touristes anglais. On leur a dit: faites gaffe, il a un couteau. Mais ils n'ont pas réagi». Ces touristes ont ensuite été agressés.

À Londres, le ministère des Affaires étrangères a confirmé dans un communiqué cité par des médias que «deux Britanniques figuraient parmi les personnes visées», sans donner plus de détails.

Plusieurs agressions similaires en cinq mois

Ces derniers mois, plusieurs attaques similaires se sont produites sur le territoire français.

Le 23 août à Trappes, dans la banlieue de Paris, un homme armé d'un couteau a tué sa mère et sa sœur et blessé grièvement une troisième personne. Les autorités avaient évoqué l'acte d'un «déséquilibré» plutôt qu'une attaque terroriste, malgré une revendication du groupe djihadiste État islamique (EI).

Le 20 juin à Tours (centre), un homme qui menaçait des passants avec un couteau sur un pont piétonnier avait été interpellé. La justice avait là encore écarté l'hypothèse terroriste.

Le 17 juin, une femme voilée avait légèrement blessé deux personnes au cutter dans un supermarché près de Toulon (sud), en criant «Allah Akbar», «apparemment le fait isolé d'une personne avec des troubles psychiatriques avérés» selon les enquêteurs.

Le 12 mai, un passant avait été tué et quatre personnes blessées à Paris par un homme armé d'un couteau qui avait crié «Allah Akbar» avant d'être abattu par des policiers, une attaque revendiquée par l'EI.

Le Figaro

Paris : 14 Sri-lankais interpellés en possession de haches, machettes et couteau de chasse

Quatorze Sri-lankais ont été interpellés dimanche vers 15h45 dans le 19e arrondissement de Paris, porte de Pantin. Ils sont en garde à vue. Ils transportaient deux sacs remplis de haches, machettes, couteau de chasse, bombes de gaz lacrymogène et barre de fer.

La police a interpellé 14 Sri-lankais, dimanche à Paris, porte de Pantin (19e arrondissement). Elle avait reçu un signalement.

 

 

En fouillant leurs sacs, les forces de l’ordre ont trouvé des haches, des machettes, un couteau de chasse, des bombes de gaz lacrymogène et une barre de fer. Ils sont en garde à vue pour « participation à un groupement armé« .

La police pense que le groupe était en train de préparer des « violences contre des personnes ou des dégradations de biens« .

francebleu.fr

Via Fdesouche.com

Paris : Armé d’un couteau, un Égyptien sème la panique dans le métro “Je suis musulman et je bute tous les cathos.”

Grosse frayeur ce samedi dans le métro parisien. Peu avant 13 heures, sur les quais de la station Anvers à Paris, un individu a menacé une rame de passagers, qui était en arrêt prolongé. Exhibant un couteau, il s’est mis à hurler, semant la panique à bord du wagon, « je suis musulman et je bute tous les cathos ».

L’homme a lui-même rangé son couteau, avant d’être maîtrisé sans grande violence par des usagers. Les policiers de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP) l’ont ensuite pris en charge. Il a été placé en garde à vue.

L’agresseur a été identifié comme étant un égyptien de 23 ans, nommé Emad F. Il n’est pas inscrit au Fichier des personnes recherchées (FPR) et à celui de la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP). Il est en revanche connu de la justice pour deux condamnations de droit commun.

Source

Paris : Un policier noir accusé de violences sur un migrant. “Si c’était un policier blanc, il serait accusé de racisme.” (Vidéos)

Christian Hofer : le policier stagiaire a été suspendu et placé en garde à vue.

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Là-bas si j’y suis s’est procuré une vidéo filmée par les caméras de surveillance du nouveau tribunal de Paris, porte de Clichy dans le 17ème arrondissement. On y voit un migrant en attente de jugement, menotté dans le dos, se faire tabasser par un fonctionnaire de police.

 

 

 

 

C’est un gardien de la paix affecté au Tribunal de Grande Instance de Paris qui a voulu dénoncer à Là-bas si j’y suis l’intervention violente d’un de ses collègues contre un détenu menotté dans le dos.

Les faits se sont déroulés le 9 juin 2018.

Ce jour-là, Jules F., gardien de la paix stagiaire au sein de la Direction de l’Ordre Public et de la Circulation (DOPC), est en poste au « satellite gardé », une salle avec cellules qui jouxte une des salles d’audience du Tribunal de Grande Instance. (…)

Source

Nos remerciements à fred

 

Paris. islam : voici le mur de verre antiterrorisme de la tour Eiffel

Ce jeudi, une première partie du futur mur de verre a été dévoilée. Objectif ? Empêcher tout risque terroriste sur le site.

Les travaux de sécurisation de la Tour Eiffel entamés en 2017 sont presque terminés: une barrière de verre et des grillages reproduisant la forme de la Dame de Fer protègent désormais le monument parisien du risque terroriste.

"Un des deux piliers de la sécurité, c'est la clôture en verre de 6,5 cm d'épaisseur" a indiqué Bernard Gaudillère, président de la Société d'exploitation de la Tour Eiffel (Sete), lors d'une visite du chantier organisée pour la presse.

 

 

 

Un grillage dessiné par un architecte autrichien

La paroi de verre "est solide, à toutes épreuves et d'une sécurité absolue" face à d'éventuels tirs de balles, s'est enorgueilli le président de la Sete. Ce dispositif, "étudié avec la préfecture de police" pour trouver "les meilleurs moyens de garantir la sécurité", est complété par des plots anti-voitures-béliers, "particulièrement résistants".

L'enceinte en verre, de 3m de haut, protègera le monument le long du Quai Branly et de l'avenue Gustave Eiffel. Elle "permettra aux visiteurs de retrouver la perspective, classée, qui s'étend depuis le Champ-de-Mars jusqu'au Trocadéro" précise un communiqué de presse.

Des grilles métalliques ont été installées sur les deux autres côtés du périmètre, le long des jardins latéraux désormais intégrés à l'enceinte de la Tour Eiffel. C'est là que se trouvent les "alvéoles de sécurité" par où entrent les visiteurs.

"La particularité de cette clôture, c'est qu'elle reprend la forme et les courbes de la Tour Eiffel, selon l'inspiration du dessin initial de Gustave Eiffel" a expliqué Alain Dumas, directeur technique de la Sete.

Le grillage métallique, qui mesure 3,24m de haut - soit "exactement le centième" de la Dame de Fer-, a été dessiné par l'architecte autrichien Dietmar Feichtinger, déjà choisi pour la passerelle Simone de Beauvoir dans l'est parisien et la passerelle d'accès au Mont Saint-Michel.

Une fois passé le grillage, les visiteurs "chemineront à travers les jardins pour accéder au parvis", a expliqué le président de la Sete Bernard Gaudillère. La balade dans les deux hectares de jardin, comprenant deux lacs, rendra "l'expérience (...) infiniment plus agréable et romantique", a-t-il ajouté.

Fin des travaux mi-septembre

Le parvis de la Tour Eiffel avait été fermé à la libre circulation en juin 2016 en raison du risque terroriste. Les barrières de chantier installées par sécurité étaient jugées "peu esthétiques" par le président de la Sete.

Le chantier pour une sécurisation définitive a été lancé à l'automne 2017. "L'essentiel des travaux sera terminé à la mi-juillet", a annoncé Bernard Gaudillère, et les derniers ajustements seront terminés mi-septembre. "L'accès au parvis et aux jardins demeurera gratuit", a-t-il précisé.

"Les travaux n'ont pas fait diminuer le nombre de visiteurs", s'est réjoui le président de la Sete, espérant entre "6 et 7 millions" d'entrées en 2018.

La sécurisation du périmètre de la Tour Eiffel a coûté près de 35 millions d'euros à la Sete. Ces travaux s'inscrivent dans un plan de réorganisation de 300 millions d'euros, dont la plupart des objectifs doivent être atteints avant les jeux Olympiques de 2024.

Source

Nuits d’émeutes en banlieue parisienne après la fermeture d’une salle de prière (Vidéos)

Les nuits d’affrontements se succèdent à Sartrouville depuis le 5 juin, à la suite de la fermeture d’une salle de prière suspectée d'être un foyer salafiste. Policiers et pompiers subissent les assauts de jeunes du quartier.

Depuis le 5 juin, le quartier de la Cité des Indes à Sartrouville est durant la nuit le siège d’affrontements intenses entre la police et certains de ses habitants. La raison de la colère du quartier : la fermeture le 4 juin de sa salle de prière, depuis des années dans le viseur des autorités.

 

 

 

Les heurts sont survenus quelques heures seulement après l’expulsion des fidèles de ce lieu de culte musulman, déjà fermé deux fois auparavant sur ordre du préfet. Les fidèles se sont repliés sur un autre local à proximité. Mais la salle initiale a été murée, suscitant la colère du voisinage.

Selon Le Parisien, les forces de l’ordre ont dû essuyer plusieurs nuits durant des tirs de mortier artisanal, de projectiles, des jets de pierre ou encore de feux d’artifice, tandis que des départs de feu survenaient à divers endroits. En réponse, les forces de l’ordre ont procédé à de nombreux tirs de flash-ball et à des lancers de grenades de désencerclement. Des jeunes s’en sont pris à un système de vidéosurveillance qu’ils ont voulu incendier, ainsi qu’aux locaux du bailleur qui louait jusqu’ici la salle de prière. Ils ont brisé au marteau les vitres d'un de leurs bâtiments.

Pourquoi Sartrouville s'embrase-t-il ainsi ? Les fidèles de la salle de prière n'ont pas supporté l'expulsion de l'association qui gérait le lieu de culte, à la demande du bailleur social Logement Francilien. Pour la troisième fermeture de ce local ouvert depuis 17 ans, le bailleur a eu recours à la force publique pour faire respecter l’injonction à quitter les lieux qui avait été ordonnée le 17 mai. La salle de prière était considérée suspecte depuis les années 2000 au point qu’une perquisition a été menée en ses murs en 2015, sans résultat. Mais l’ancien préfet des Yvelines Serge Morvan, qui a récemment quitté son poste, l’accusait d’être un avant-poste du salafisme, en accointance avec des terroristes. Il a produit deux arrêtés, l’un en octobre 2017 qui courait jusqu'à la fin de l’état d’urgence le 1er novembre. A la suite de la réouverture du lieu, le préfet a produit un second arrêté préfectoral.

 

 

Une salle de prière justifiant le «recours au djihad» selon le préfet

Selon les termes utilisés dans les arrêtés de la préfecture, le préfet avait estimé que ce local était «le théâtre d’un prosélytisme intense». Il a évoqué «la diffusion de prêches radicaux par son imam et les imams extérieurs», «la mise à disposition aux fidèles d’ouvrages comprenant des passages appelant à la haine et à la discrimination envers les juifs et les chrétiens et justifiant la violence et le recours au djihad».

L'ancien préfet a affirmé de même que certains fidèles avaient été arrêtés en pleins préparatifs pour se rendre en Syrie ou en avaient encouragés d’autres à partir, dont une une jeune djihadiste française en 2014. Il a également accusé l'ancien président de l'association cultuelle de la salle, Saïd Djelleb, d’être en relation avec Djamel Beghal, le mentor de l’un des frères Kouachi et d’Amédy Coulibaly, auteurs des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Casher en janvier 2015, qui sortira bientôt de prison.

Ces propos ont été réfutés en bloc par l’intéressé, qui a confié au Parisien ne pas connaitre Djamel Beghal, et ne pas comprendre pourquoi il n’avait pas été inquiété par les forces de l’ordre avec tout ce que le préfet sous-entendait sur le lieu de culte dont il avait eu la responsabilité. Pour preuve de sa bonne foi, il fait valoir qu’il s’était retiré de la présidence de l’association en novembre 2017, laissant place à une personnalité moins controversée. Des caméras de vidéosurveillance avaient été installées et un nouvel imam avait été nommé. Mais les autorités ont décidé que ces changements intervenaient trop tard et que la base de fidèles était déjà inquiétante.

Source

Paris : Un Marocain prend plusieurs personnes en otage. “Il évoquait l’islam, le 11 septembre, l’affaire Théo…”

– Un homme muni de plusieurs couteaux et d’une arme factice a fait irruption dans l’agence publicitaire Mixicom située rue des petites écuries (Xe) à Paris, vers 16h00.
– Un large périmètre de sécurité a été mis en place, jusqu’à l’assaut de la BRI vers 19h45.
– Le forcené a été interpellé. Deux otages ont été libérés et sont sains et saufs. L’un avait été aspergé d’essence.

21h00. Une troisième otage était cachée dans les locaux où se sont déroulés les faits indique BFMTV. Elle a pu communiquer avec l’extérieur selon la chaîne d’information.

L’auteur s’est fait passer pour un livreur pour pénétrer à l’intérieur des locaux, vers 16h00.

20h35. Le preneur d’otages est un marocain âgé de 27 ans. Il est inconnu des services de renseignement et n’est ni fiché S, ni fiché au FSPRT (le Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste) selon BFMTV.

Les policiers n’ont pas découvert d’explosifs dans les locaux où se sont déroulés les faits, mais des couteaux et une arme factice, toujours selon la chaîne d’informations.

Plusieurs témoins affirment que le preneur d’otages était habillé tout en noir, et cagoulé.

20h15. Un robot lanceur d’eau a été utilisé alors que le preneur d’otage et l’un des otages étaient aspergés d’essence. La BRI est intervenue après l’utilisation du robot qui a permis de limiter au maximum tout risque de feu.

L’auteur n’a pas opposé de résistance lors de son interpellation.

20h10. Le preneur d’otages aurait évoqué de nombreux sujets, notamment l’Islam, l’Iran, le 11 septembre, l’affaire Théo et l’affaire Maëlys selon les informations de BFMTV.

20h05. L’un des otages avait été aspergé d’essence par le forcené selon Libération.

19h50. L’assaut a été donné par la BRI. L’auteur a été interpellé, les otages sont sains et saufs annonce la Préfecture de police de Paris.

19h25. Le périmètre de sécurité autour du lieu des faits vient d’être élargi d’une vingtaine de mètres.

19h00. Prise d’otages toujours en cours rue des petites écuries (Xe). La situation est figée et dirigée par la BRI Paris.

Source et article complet

Nos remerciements à Λlex Λ

Paris : Une soixantaine d’enfants, pratiquement tous du Maroc, font régner la terreur à la Goutte-d’Or depuis 2 ans.

On les surnomme "les gamins perdus de la Goutte d'or". Tous, ou presque viennent du Maroc, ils ont entre 9 et 17 ans. Imprévisibles et turbulents, ils font défiler leur journée au rythme de leurs larcins. L'an dernier, ils ont cumulé 813 gardes à vue, souvent pour des vols à l'arrachée. Beaucoup consomment déjà des drogues dures. Depuis deux ans, la mairie de Paris est désemparée face à ces enfants des rues.

"Ce sont des loups, ils n'ont peur de rien."

 

 

 

 

Source : Enquête : les enfants perdus de Barbès

Nos remerciements à Tancrède

Les pompiers de Paris : “Mamoudou a sauvé un jeune Français de 4 ans mais 21 Français sont morts au combat au Mali pour préserver la liberté.”

Mamoudou Gassama s'est rendu hier à la caserne de Champerret dans le XVIIe arrondissement afin de rencontrer la Brigade des Sapeurs pompiers de Paris et signer un contrat pour un service civique de 10 mois.

 

 

Source

Nos remerciements à Wilhelm's Back

Attentat à Paris : l’ami d’Azimov travaillait à l’Office français de l’immigration

Comble. Abdoul Hakim A., l’ami du terroriste Khamzat Azimov arrêté dimanche 13 mai à Strasbourg (Bas-Rhin) et dont la garde à vue a été prolongée, était en CDD à l’Office français de l’immigration depuis janvier, d’après une information relayée par France Info.

Les enquêteurs peuvent rire jaune. Abdoul Hakim A., l’ami de l’auteur de l’attaque au couteau à Paris, samedi 12 mai au soir, travaillait depuis janvier à l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Offi) à Strasbourg (Bas-Rhin), d’après une information rapportée par France Info.

 

« Tous les contrôles légaux ont été effectués »

Le proche de Khamzat Azimov, lui aussi originaire de Tchétchénie, « travaillait depuis janvier en CDD à l'accueil de l'Ofii, un poste qui n'était pas à responsabilités, et son contrat avait été renouvelé jusqu'à décembre », a fait savoir le directeur général de l'Office, Didier Leschi, précisant qu’il avait été mis à pied lundi 14 mai. Il assure que lors de son embauche, « tous les contrôles légaux ont été effectués, notamment la vérification du casier judiciaire », mais qu’il « n’avait pas casier ».

Abdoul Hakim A. a obtenu la nationalité française à l’âge de 13 ans. Il avait ensuite effectué sa scolarité dans le même lycée strasbourgeois que Khamzat Azimov. Il était suivi des services de renseignements depuis son mariage religieux avec une Francilienne radicalisée de 19 ans qui avait tenté de partir en Syrie.

Source

Nos remerciements à Λlex Λ

 

Attaque au couteau à Paris : l’assaillant de 20 ans, né en Tchétchénie, était fiché S

L'auteur présumé de l'attaque au couteau perpétrée samedi 12 mai à Paris n'avait cependant pas d’antécédents judiciaires, selon nos informations.

enquête progresse, dimanche 13 mai, après l'attaque au couteau perpétrée dans le cœur de Paris, à Opéra. L'assaillant, qui a tué une personne et en a blessé quatre autres, est un Tchétchène âgé de 20 ans. Selon nos informations, cet homme né en 1997 n'était connu des services de renseignement et faisait l'objet d'une fiche S. Il n'avait cependant pas d’antécédents judiciaires.

Les enquêteurs vont désormais tenter de mieux comprendre le profil de l'assaillant. Sa mère et son père ont été interpellés et placés en garde à vue. Les domiciles qu'il fréquentait sont ou vont être perquisitionnés. Les ordinateurs ou téléphones éventuellement saisis pourraient permettre de trouver des éléments pouvant expliquer le passage à l'acte, comme un testament ou une lettre d'allégeance à Daesh.

Les enquêteurs vont également se pencher sur l'entourage du jeune homme et tenter de déterminer si l'assaillant a pu bénéficier de complicité. Invité sur RTL ce dimanche 13 mai, le spécialiste des filières terroristes Claude Moniquet a rappelé que la présence que la présence de combattants Tchétchènes dans les rangs des filières islamistes n'était pas nouvelle. "Cela existe depuis une vingtaine d'années", selon l'expert.

Selon les informations d'une source proche du dossier, pour Cnews, il avait été naturalisé français, et était fiché S, en dépit du fait qu'il n'avait pas d'antécédents judiciaires.

Source RTL et Cnews.fr

Paris: Daech revendique l’attaque

Un homme a attaqué des passants au couteau, ce samedi soir dans le centre de Paris. Les premiers bilans, déjà lourds, font état d'au moins 1 mort et plusieurs blessés. Quatre personnes ont été blessées, dont deux en "urgence absolue". Le procureur de la République de Paris a confirmé la thèse de l'attentat terroriste et l'EI a revendiqué l'attaque. [article mis à jour avec les derniers éléments disponibles].

DERNIERE MINUTE - Un homme a attaqué des passants dans Paris ce samedi 12 au soir. Les premiers bilans sont d'ores et déjà lourds et font état d'au moins 1 mort et 4 blessés (et non 8 comme évoqué de source policière dans un premier temps). L'assaillant est passé à l'acte en utilisant un couteau, selon les premiers éléments disponibles, ce qui rappelle un mode opératoire qu'ont utilisé des terroristes par le passé par exemple à Marseille en octobre dernier.

Il était aux alentours de 21h30-22h lorsque les premières alertes ont retenti: un individu armé d'un couteau a attaqué des passants dans le secteur de la station de métro 4 septembre (ligne 3), dans le 2e arrondissement de la capitale. Très vite un agent de police a risposté en utilisant son arme de service pour neutraliser l'homme. Il est mort. De nombreux membres des forces de l'ordre ont immédiatement convergé vers la zone, qui a été entièrement bouclée.

Les premiers bilans provisoires de source policière ont été revus à la baisse au fil de la soirée: ils font désormais, peu avant 23h, état d'une victime décédée et quatre blessés (et non huit comme avancé dans un premier temps), dont deux en état "d'urgence absolue" qui ont été transférés à l'hôpital Georges Pompidou.

Mise à jour à 00h13: Le groupe Etat islamique revendique cette attaque au couteau perpétrée rue de Monsigny via son agence de propagande.

Mise à jour à 00h04: Le président de la République Emmanuel Macron a réagi à cette attaque terroriste sur Twitter. Il a présenté ses condoléances à la familles de la victime, assuré les blessés de son soutien et salué le courage des policiers sur place.

Source

Paris: Un homme agresse plusieurs personnes avec un couteau, deux morts. L’assaillant aurait crié “Allah Akbar”.

Lors d'un point presse, le procureur de la République de Paris François Molins a annoncé que la section antiterroriste du parquet de Paris a été saisie. Il a en outre rapporté que plusieurs témoins avaient entendu l'agresseur crier «Allah akbar».

Présente sur le lieu de l'attaque, la police scientifique procède à l'identification de l'agresseur. Aucun papier n'aurait été retrouvé sur lui.

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Un homme a attaqué des passants au couteau, samedi soir dans le 2ème arrondissement de Paris, faisant au moins un mort et quatre blessés avant d'être abattu.

L'ESSENTIEL EN DIRECTUne personne a été tuée et quatre blessées samedi soir dans le centre de Paris par un homme armé d'un couteau, qui a été abattu par des policiers, a-t-on appris auprès de la préfecture de police.

 

Les trois informations à retenir :
  • Un homme criant "Allah Akbar" a attaqué des passants au couteau, samedi soir dans le deuxième arrondissement de Paris
  • Le bilan est d'au moins un mort et quatre blessés parmi les passants
  • L'assaillant a été abattu par les forces de l'ordre

 

 

Au moins un mort et quatre blessés parmi les passants. L'agression a eu lieu dans le 2ème arrondissement, près de l'Opéra, en plein cœur de la capitale, dans un quartier de bars, restaurants et théâtres très fréquenté le samedi soir. L'homme a agressé au couteau cinq personnes, dont une est morte, aux abords de la rue Saint-Augustin, a indiqué la préfecture de police. Quatre personnes ont été blessées : deux ont été transportées en "urgence absolue" à l'hôpital, deux en "urgence relative", selon cette source.

 

 

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Belgique: 1 mois avant les attentats de Paris, la bourgmestre de Molenbeek possédait une liste de 30 islamistes. Elle répond que ce n’était pas le travail de sa police.

La chroniqueuse Katie Hopkins a réalisé un reportage sur Molenbeek pour Fox News. Selon la chaîne de télévision américaine, le parti Islam est "l'étoile montante" des prochaines élections communales de 2018, avec une liste de 28 candidats à Molenbeek.

Katie Hopkins interroge Françoise Schepmans (MR), bourgmestre de Molenbeek, sur la préparation des attentats de Paris: "Vous avait-on prévenu que Salah Abdeslam était suspecté de terrorisme ?"

La bourgmestre de Molenbeek répond : "Nous avions une liste contenant plus de 30 noms, mais ce n’est pas le travail de notre police locale de suivre ces gens."

La chroniqueuse s'en prend à l'élue : "C’est la bourgmestre, elle est là depuis 6 ans et elle n’a rien fait. C’est une partie du problème dans la capitale du djihad en Europe. Les politiciens ferment les yeux parce qu’ils dépendent des votes des musulmans. C’est la raison pour laquelle des attentats ont été planifiés en Belgique."

 

 

 

"Les reporters n'osent pas aller à Molenbeek"

Katie Hopkins, ancienne star de la télé-réalité qui travaille pour un média canadien d'extrême-droite, a passé trois jours à Molenbeek et l'image qu'elle en dresse se rapproche de la caricature : "Cette ville est connue pour être un lieu où les autres reporters n’osent pas s'aventurer. Il y a 80 % des musulmans, et de nombreux religieux extrémistes. J’étais la seule femme à ne pas porter de voile sur le marché. Tout le monde porte Burkah."

Elle ajoute que de nombreuses mosquées non autorisées y sont financées par l’Iran. D'après elle, de nombreux Belges quittent les lieux. "Des académiques et des enseignants me disent qu’il y a des mosquées non autorisées, mais ils ne veulent pas qu’on les filme. Il y a une énorme mosquée qui est dirigée par des Saoudiens qui a obtenu un bail de 99 ans gratuitement tant qu’ils peuvent ramener des imams extrémistes. Et on se demande pourquoi on se retrouve avec des djihadistes à côté de chez soi..."

Françoise Schepmans: "Je suis choquée"

À la suite de la publication du présent article, la bourgmestre de Molenbeek s'est déclarée choquée de la manière dont l'équipe de Fox News a réalisé son reportage. Selon elle, Katie Hopkins ne s'est pas présentée comme journaliste et lui a demandé: "Est-ce que je peux prendre une photo avec vous ? Je suis une touriste."

Habituée à répondre aux questions de ses concitoyens, la bourgmestre a accepté de répondre. Elle ne s'est rendu compte qu'à la fin de l'interview qu'une autre personne la filmait. Elle réagit avec choc : "Katie Hopkins est venue avec un scénario prédéterminé. Elle était là pour casser la commune et ses habitants. Les propos qu’elle tient sont inacceptables. C’est une atteinte à l’image de la commune scandaleuse et inacceptable."

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Nos remerciements à L’Île du docteur Moreau

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