Lohmar (All.) : « Ils ont eu du plaisir à tuer ». 2 requérants d’asile marocains condamnés pour meurtre par torture

  • Deux hommes sont accusés d'avoir torturé et assassiné un homme de 45 ans pendant des heures.
  • Un accusé a été condamné à la réclusion à perpétuité. Le deuxième homme a été condamné à 11 ans de prison.
  • "Les deux personnes ont eu du plaisir à tuer", stipule le verdict.

Lors du procès d'un meurtre par torture dans un foyer de réfugiés à Lohmar (district de Rhein-Sieg), le tribunal de district de Bonn a condamné un prévenu à la réclusion à perpétuité. Un complice a été condamné à onze ans d'emprisonnement - en raison de sa consommation massive de drogues et d'alcool, il a été considéré comme ayant une capacité diminuée au moment du crime. Lundi, les deux accusés ont été reconnus coupables de meurtre cruel.

Les deux Marocains de 28 et 29 ans avaient ligoté et maltraité un homme de 45 ans dans sa chambre du logement municipal de Lohmar pendant plusieurs heures en juillet 2020. Entre autres, ils ont frappé le crâne de la victime plus de 20 fois avec un pied de table. Son visage a été complètement défiguré. L'autopsie a révélé 200 blessures cutanées sur tout le corps.

Un fonctionnaire a décrit sa première impression sur les lieux du crime avec ces mots: "C'était de la torture." Tout était couvert de sang. Au cours du procès, les accusés se sont largement appuyés sur les lacunes de leur mémoire.

(...)

Le président de la chambre a également déclaré que la frustration ne pouvait pas non plus être exclue. Les prévenus avaient précédemment appris que leur demande d'asile avait été rejetée. Puis ils ont rencontré la future victime. Ils ont bu et pris de la drogue pendant deux jours jusqu'à ce que "quelque chose se passe terriblement mal".

Après le verdict, les deux avocats de la défense ont déclaré qu'ils feraient appel.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Rnd.de

Italie : vaste coup de filet contre des mafias marocaines et albanaises, ils “contrôlaient l’axe de Reggio Emilia et Modène”

Italie : vaste coup de filet contre des mafias marocaines et albanaises

[…]

Selon des médias locaux, près d’une centaine de policiers ont été mobilisés lors de cette opération, diligentée par la Direction anti-mafia des districts de Bologne, et qui a couvert les villes de Modène, Bologne, Cremone, Montou, Parme, Turin, Florence et Forlì. Spécialisées dans le trafic de cocaïne, les 3 gangs criminels contrôlaient l’axe de Regio Emily et Modène.

Hiérarchisée de manière pyramidale, la mafia marocaine s’est inspirée des structures managériales avec un dirigeant, un responsable marketing, des services financiers et approvisionnement et des dealers. Le groupe s’approvisionnait auprès des gangs albanais à raison de 6 à 7 kilogrammes de cocaïne par semaine, avant de les écouler à un prix inférieur au marché, 29 000 au lieu de 36 000 euros le kilo.

[…]

L’article dans son intégralité sur Bladi

Via Fdesouche

Barcelone : un promeneur agressé dans le centre en plein jour par cinq Marocains qui voulaient lui voler sa montre

Les forces de l’ordre ont arrêté cinq individus dimanche suite à l’agression d’un homme qui se promenait sur la Rambla del Raval dans le centre de Barcelone, les agresseurs tentaient de lui voler sa montre, a déclaré la police catalane.

Il a été attaqué et jeté au sol alors que la personne qui l’accompagnait appelait à l’aide. Ser Catalunya a diffusé une vidéo de l’événement qui s’est déroulé en plein jour montrant la brutalité des coups sur cet homme.

 

 

La victime est légèrement blessée, les détenus sont accusés de tentative de vol avec violence, les policiers ont pu récupérer la montre au moment de l’arrestation.

abc.es

(merci à florentino) Via Fdesouche

Turin (It.) : bagarre à coups de vélo et de poubelles entre Ghanéens et Marocains

La rixe qui a éclaté hier après-midi, dimanche 3 mai, au Corso Giulio Cesare de Turin, fait beaucoup débat. Sur place, de nombreuses patrouilles de police ont dû intervenir pour calmer les esprits.

Dans la vidéo tournée par un résident de la région et publiée sur Facebook, on peut voir le chaos éclater en quelques minutes. Il y a ceux qui utilisent une poubelle comme bélier et ceux qui lancent un vélo contre un adversaire.

Demain, mardi 5 mai, le comité provincial de l’ordre public et de la sécurité examinera une série de mesures à appliquer dans la région d’Aurora.

Torino Today

Via Fdesouche

Genève : Les voleurs marocains ultraviolents prennent 14 ans et 16 ans

Le 11 décembre 2017, marchant en pleine nuit dans le quartier de la Servette, alcoolisé, un homme avait été pris pour cible par deux délinquants désireux de le détrousser. Ils avaient alors fait preuve d'une violence inouïe. Le maintenant assis au sol, ils lui avaient infligé six coups de couteau dans l'abdomen et le thorax, en plus de quatre autres dans les jambes et les fesses. Seul le fait que, par miracle, des pompiers se trouvaient dans la rue à ce moment lui avait permis de survivre.

[...]

Elle a rappelé que le plus âgé avait déjà été condamné à dix reprises en Suisse, et qu'il avait commis ses crimes un mois et demi après sa dernière sortie de prison.

[...]

20min.ch

France : une femme de 86 ans attaquée à son domicile par des migrants marocains armés d’un couteau

Deux mineurs ont pénétré par effraction chez une femme de 86 ans dans la nuit de mercredi à jeudi à Caen (Calvados). Armés d’un couteau, ils ont menacé la victime mais ont été arrêtés en flagrant délit par les policiers.

[…]

Ces derniers sont des ressortissants marocains âgés de 15 et 16 ans. Ils ont été placés en garde à vue. Fort heureusement, la victime n’a pas été blessée mais est sous le choc. Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat de Caen.

[…]

Actu17

Via Fdesouche

Le Maroc propose de rapatrier ses mineurs clandestins à condition que l’Espagne paye leur éducation

C’est une demande qui peut paraître étrange mais elle aurait été formulée par le ministre de l’Intérieur marocain Abdelouafi Laftit en visite la semaine dernière en Espagne.

Le responsable marocain aurait proposé à l’Espagne de rapatrier la majorité des mineurs marocains en situation irrégulière à condition que les autorités espagnoles mettent la main à la poche et financent leurs études mais aussi leur formation jusqu’à leur majorité. Cette proposition a été faite à Madrid au ministre de l’Intérieur espagnol Fernando Grande-Marlaska, rapporte Diario de Sevilla.

Les autorités espagnoles auraient déjà sorti la calculatrice pour en évaluer les coûts mais il semble que les dépenses pourraient être plus élevées que prévu, affirme le journal, qui déplore que des accords similaires signés avec le Maroc dans le passé n’aient pas été respectés.

 

Le Maroc, une société attardée qui ose encore exiger de l'argent aux pays européens pour prendre soin de sa racaille.

 

En 2007, plusieurs régions espagnoles ont construit des centres pour les mineurs au Maroc mais les autorités marocaines ont rechigné, explique le journal, à reconnaître les mineurs et à retrouver leurs familles au royaume. De plus, beaucoup d’enfants sont partis clandestinement en Espagne sans avoir prévenu leurs parents et n’éprouvent aucune envie de retourner dans leur pays.

Actuellement, quelque 10.000 mineurs Marocains sont pris en charge par les différents centres de protection en Espagne, principalement en Andalousie (40%), Melilla, Madrid, la Catalogue, le Pays Basque et Sebta.

Bladi

Belgique. Liège : des Marocains pratiquent un rodéo sauvage en pleine ville lors d’un mariage.

Ce samedi, une vidéo montrant une série d’invités à un mariage, tournant comme des fous autour du rond-point Opéra à Liège, a choqué beaucoup de personnes. Ce qu’on ne savait pas, c’est que les chauffards ont été appréhendés une demi-heure plus tard par la police et calmés au commissariat.

 

 

Samedi vers 17 heures, une dizaine de véhicules , sortant d’un mariage marocain célébré à la Violette, ont commencé à tourner comme des fous au rond-point Opéra. Ils effectuaient des dérapages, faisaient crisser les pneus et klaxonnaient à tue-tête. Certains dérapaient tellement qu’ils ont pris l’accotement de la place Verte. La scène a particulièrement choqué les témoins présents. Et elle a choqué aussi des milliers d’internautes qui ont vu la vidéo sur les réseaux sociaux et sur notre site.

(...)

Sudinfo.be/

Espagne. islam : Deux Marocains arrêtés pour propagande terroriste

Deux ressortissants marocains ont été arrêtés en Espagne. Ils sont accusés de propagande sur internet et auraient tenté de recruter des individus prêts se battre en “zone de conflit”.

L'Espagne a peut-être évité un nouveau drame. Ce samedi 4 août, BFM TV rapporte que, d'après les informations du quotidien espagnol El Pais, deux ressortissants marocains ont été arrêtés en Espagne pour propagande terroriste.

Des liens avec la cellule « 17-A »

Pendant plusieurs mois, les deux individus ont recruté des postulants au jihad dans les régions de Tarragone et Barcelone, en Catalogne. Ils ont finalement été arrêtés dans une autre ville de la région autonome, à Mataro.

BFM TV ajoute que les terroristes présumés auraient un lien avec la cellule dite du « 17-A », en référence à la date du 17 août, à laquelle ont eu lieu les attaques des Ramblas et de Cambrils (Catalogne). La même cellule avait prévu, comme l'affirme la presse espagnole, une prochaine attaque contre le Camp Nou, le célèbre stade du FC Barcelone.

Pays-Bas: Les musulmans turcs et marocains deviennent de plus en plus religieux

Les musulmans d'origine turque et marocaine deviennent de plus en plus religieux: ils prient davantage et vont plus souvent à la mosquée.

Le journal se réfère à une étude du SCP, une organisation de recherche néerlandaise de premier plan sur les questions sociales et culturelles.

Alors que la majorité des musulmans votent et respectent la diversité culturelle, ils ont une «attitude hostile» vis-à-vis de la société néerlandaise, selon De Volkskrant. 60% d'entre eux ne font généralement pas confiance aux citoyens néerlandais. La police et la juridiction nationale reçoivent à peine des notes satisfaisantes.

"En raison d'un climat social négatif, les migrants sont repoussés vers leurs propres communautés", explique le chercheur Willem Huijnk. "Cela conduit à une orientation renforcée de la foi".

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini 

Paris : Une soixantaine d’enfants, pratiquement tous du Maroc, font régner la terreur à la Goutte-d’Or depuis 2 ans.

On les surnomme "les gamins perdus de la Goutte d'or". Tous, ou presque viennent du Maroc, ils ont entre 9 et 17 ans. Imprévisibles et turbulents, ils font défiler leur journée au rythme de leurs larcins. L'an dernier, ils ont cumulé 813 gardes à vue, souvent pour des vols à l'arrachée. Beaucoup consomment déjà des drogues dures. Depuis deux ans, la mairie de Paris est désemparée face à ces enfants des rues.

"Ce sont des loups, ils n'ont peur de rien."

 

 

 

 

Source : Enquête : les enfants perdus de Barbès

Nos remerciements à Tancrède

Paris. Barbès: 60 mineurs marocains sèment la peur et s’imposent par la violence

Suite de l'article paru ici.

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Quitter la Goutte d'Or dans le 18ème arrondissement de Paris, Mireille* n'y aurait jamais songé. Mais après deux agressions en un mois, sur elle et sur sa fille de quinze ans, elle y réfléchit : "la première fois c'était un dimanche soir, j'ai vu trois de ces jeunes sur le trottoir et j'ai senti une menace alors nous avons fait demi-tour, mais juste après l'un d'eux a sauté à la gorge de ma fille, peut-être pour lui prendre son collier; Elle s'est dégagée, s'est mise à pleurer, nous sommes parties en courant. le lendemain nous avons déposé plainte, mais désormais je ne suis plus tranquille dans la rue, et elle non plus. Elle trouve très injuste de ne plus pouvoir se promener librement dans son quartier".

Deux pétitions, plus de 1 500 signatures. D’un commun accord, des habitants et commerçants des XVIIIe et Xe arrondissements, résidants des quartiers Goutte-d’Or, Barbès, la Chapelle et Marx Dormoy, ont décidé d’alerter élus et autorités sur l’insalubrité qu’ils dénoncent déjà sans relâche. Mais également sur l’insécurité, liée, disent-ils, à la présence depuis des mois, de groupes d’enfants des rues, une soixantaine de mineurs marocains âgés de 14 à 17 ans, toxicomanes pour la plupart, auxquels se sont jointes récemment de très jeunes filles.

Les textes ont été remis mardi soir au maire (PS) du XVIIIe, Éric Lejoindre. « Il y a trois semaines, deux personnes ont été physiquement agressées, rue Affre, en plein après-midi. Des plaintes ont été déposées. Ce décompte est loin d’être exhaustif, écrivent les habitants. Et nous notons une nette dégradation, marquée par l’apparition de problèmes bien plus graves : Violence, cambriolages, prostitution et augmentation du trafic de drogue. »

« Toutes les personnes impliquées dans le quartier, ajoutent-ils, s’accordent à dire que nous sommes assis sur une véritable poudrière », terminent-ils, avant de demander « la réalisation d’un diagnostic global, et de la mise en place de nouvelles solutions en collaboration avec les pouvoirs publics, les associations et les habitants ».

Les enfants refusent la prise en charge

La situation, que sont venues aborder ce mercredi, devant les habitants, Dominique Versini, adjointe d’Anne Hidalgo en charge de l’accueil des réfugiés et de la protection de l’enfance et Colombe Brossel, adjointe à la sécurité, semble se dégrader au fil des semaines. D’autant que la plupart des enfants refusent toute prise en charge.

Au mois de décembre, les mêmes avaient pourtant annoncé la mise en œuvre d’un ambitieux plan d’urgence, sous convention avec le Centre d’action sociale protestant (CASP) pour la prise en charge des mineurs marocains, doté d’une enveloppe de près de 700 000 €.

Une situation qui se dégrade, malgré l'action des autorités

Depuis un peu plus d'un an, ces enfants arrivent à la Goutte d'Or. Des Marocains pour beaucoup, entre 8 et 17 ans pour la plupart, majoritairement des garçons mais depuis quelques semaines des filles aussi s'installent dans le quartier. Des "enfants des rues", polytoxicomanes, qui sniffent de la colle ou prennent des médicaments, se bagarrent violemment, dorment dehors.

Au mois de décembre dernier, la Ville de Paris a débloqué près de 700.000 euros pour un plan d'urgence. Un centre d'accueil a ouvert, des éducateurs vont à leur rencontre pour les convaincre de se faire aider, d'être pris en charge, accompagnés. Selon la mairie du 18ème arrondissement, une quarantaine auraient ainsi rejoint le circuit de l'Aide sociale à l'enfance. Mais depuis un peu plus d'un mois, de nouveaux mineurs sont arrivés. "C'est très compliqué", explique le maire socialiste du 18ème, Eric Lejoindre, "nous travaillons avec la préfecture de police, avec la Ville de Paris, mais ces enfants refusent toute prise e charge et en l'état actuel de la loi, nous ne pouvons pas les obliger à rejoindre un centre d'accueil de jour ou de nuit". Le maire se trouve donc sans les outils juridiques pour faire face à cette situation, et demande à la ministre de la Justice de réfléchir à un texte permettant une prise en charge de ces enfants, sans leur consentement.

«Votre combat est perdu d’avance»

« On n’en peut plus. Les enfants sont passés sous la coupe réglée des trafiquants adultes… Et ce sont eux les plus violents », déplore une habitante de la Goutte d’Or. « Votre combat est perdu d’avance : sur un ou deux gosses que vous parviendrez à sortir de la rue, combien y resteront ? Le basculement criminogène de notre quartier est extrêmement inquiétant. Il est tenu depuis longtemps par les mafias, mais elles, comme elles ont intérêt à voir la police le moins possible, elles nous laissent à peu près tranquilles ! » Les riverains étaient nombreux, mercredi soir à la mairie du XVIIIe, pour cette nouvelle réunion publique d’information sur les mineurs marocains de la Goutte-d’Or. Et le sentiment d’impuissance régnait. Malgré les efforts entrepris par la Ville, la police, le parquet des mineurs et les associations mandatées, désormais très présentes aux côtés des enfants. Tous soulignent les mêmes difficultés pour approcher ces enfants en errance. « Comment imposer des soins à des jeunes qui n’en veulent pas ? », reconnaît le maire (PS), Éric Lejoindre.

Source Source2

Barcelone: deux Marocains tabassent un homosexuel. «On va te tuer avec des pierres comme on fait aux pédés dans notre pays»

Un des deux deux individus qui avaient tabassé un homme gay dans la gare de la ville catalane, le laissant pour mort sur les voies de chemin de fer, est jugé à Barcelone.

L’affaire, survenue à l’aube du 1er octobre 2016, avait horrifié l’Espagne, même si les faits n’avaient été relatés dans les médias que quelques mois plus tard. Elle a pour cadre la célèbre station balnéaire gay-friendly de Sitges, près de Barcelone. Au cours de la soirée, plusieurs jeunes d’origine marocaines s’étaient mis à importuner un groupe d’amis gay dans un bar. Un peu plus tard, l’un de ces derniers, Andrès (prénom d’emprunt) avait recroisé la petite bande, qui l’avaient suivi jusqu’à la gare, où il allait attendre le premier train du matin.

Alors qu’il pensait être en sécurité, Andrès avait été attaqué par deux des jeunes. Il avait été frappé derrière la tête et roué de coups de pieds et de pierres, avant d’être dévalisé. «J’ai vu mon sang couler, et j’ai pensé que j’allais mourir», a-t-il raconté. Ses agresseurs l’ont ensuite jeté sur les rails une minute avant l’arrivée d’un train. Des témoins, ainsi qu’un ami des agresseurs (qui n’a pas été mis en cause) ont remonté la victime sur le quai et averti la police.

Les deux auteurs du crime, rapidement identifiés, ont comparu devant la justice. Le premier, mineur au moment des faits, a été jugé l’an dernier et condamné à 4 ans d’internement pour tentative d’homicide avec pour circonstance aggravante le caractère homophobe de l’attaque, rappelle le site LGBT espagnol DosManzanas. «On va te tuer avec des pierres comme on fait aux pédés dans notre pays», avait entendu la victime.

«Comme si c’était une blague»
Le second assaillant était en procès cette semaine devant un tribunal de Barcelone. Abdelhakim E. H. conteste la qualification de tentative d’homicide à motivation homophobe. La défense soutient la thèse d’une banale dispute et désigne Andrès comme celui qui a le premier eu un geste agressif. Une version contredite par la vidéosurveillance et par les témoins. «[Les agresseurs] riaient comme si c’était une blague, c’est ce qui m’a le plus choqué», a raconté l’un d’eux.

Les parties civiles ont demandé 14 ans de prison, le Ministère public 13 et demi contre le prévenu. Andrès avait subi une hémorragie cérébrale qui aurait pu être fatale, a rappelé le Ministère public. Il souffre encore physiquement et psychologiquement des suites de l’agression.

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Paris offre 700 000 € aux migrants mineurs marocains. « Ils volent, ils cambriolent, ils arrachent les colliers. »

Devant l’afflux de mineurs marocains en errance dans les rues de la Goutte d’or (XVIIIe), la ville débloque un dispositif exceptionnel chiffré à près de 700 000 €.

Multiplication des maraudes, dispositif de prise en charge nuit et jour, suivi physique et psychiatrique, avec à la clé, une enveloppe de près de 700'000 €. Et une demande de renforcement policier et judiciaire. A situation inédite, mesures exceptionnelles.

Devant l’ampleur qu’a pris, ces derniers mois, l’afflux des enfants migrants marocains, réfugiés dans le quartier populaire de la Goutte-d’Or (XVIIIe), leur toxicomanie, leur violence, et l’échec des dispositifs déployés depuis le printemps dernier, la Ville a décidé de mettre en place un plan d’ampleur, sous convention avec le Centre d’action sociale protestant (CASP) qui travaillera en partenariat avec des associations rompues à la prise en charge des jeunes en errance : Aux Captifs la Libération et Trajectoires.

Lundi, lors du prochain Conseil de Paris, une subvention de 684 967 € sera soumise au vote de l’assemblée.

Depuis le mois de février 2016, le quartier voit affluer ces silhouettes juvéniles. Les premiers arrivants avaient 9 ou 10 ans. La seconde vague, entre 14 et 17 ans. Certains sont à peine majeurs. Aujourd’hui, ils sont une soixantaine. Ces enfants des rues venus du Maroc via l’enclave espagnole de Melilla, à bord de camions, puis de bateaux de marchandises, ont souvent transité par l’Espagne avant d’échouer sur les trottoirs de la Goutte-d’Or.

Dans quel but ? Totalement livrés à eux-mêmes, ils sniffent de la colle, boivent, agressent les passants, volent et refusent les prises en charge proposées. Beaucoup se disent orphelins. « Ceux qui ont accepté d’être hébergés ont fugué rapidement, ou commis des actes violents », souligne Dominique Versini, adjointe de la maire de Paris Anne Hidalgo à la protection de l’enfance. « Ils sont dangereux pour eux-mêmes et les autres. En piètre état physique, en proie à différentes addictions… Je ne promets pas de résultats dans les huit jours, mais nous allons tenter un dispositif expérimental inédit face à ces profils qui sont connus en Afrique ou en Amérique latine, mais que nous découvrons seulement en France. C’est un véritable défi. »

Pour tenter de relever ce défi, les associations mandatées assureront une présence quotidienne auprès des jeunes, dans la rue, pour tenter d’instaurer un lien de confiance. Et les convaincre de gagner l’accueil de jour qui sera prochainement mis en place, pour se réchauffer, se reposer, prendre une douche. Un lieu d’hébergement de nuit ouvrira prochainement ses portes, en proche banlieue. « Le plus compliqué, souligne Dominique Versini, est de créer un lien avec ces enfants qui ont erré dans leur pays, puis à travers l’Europe, sans aucun référent adulte, le plus souvent ».

Une réponse judiciaire difficile

« Des orphelins des rues, on n’avait pas vu ça à Paris depuis la Seconde Guerre mondiale », assure Valérie Goetz, la commissaire principale du XVIIIe. « Au début, ils se contentaient de menus larcins mais maintenant, ils sont passés aux vols à la tire, aux arrachages de colliers, aux cambriolages. Ici, mais également dans les départements de petite couronne. Et ils commencent à se mélanger avec les délinquants plus âgés, les trafiquants de cigarettes de contrebande. »

Que faire face à ces très jeunes gens, dépourvus de papiers, qui mentent le plus souvent sur leur âge et leur identité ? « Au-delà de 13 ans, lorsqu’ils sont pris en flagrant délit ils sont placés en garde à vue », souligne-t-on au parquet des mineurs, « mais même lorsqu’un placement suit, ils retournent systématiquement à la rue. Ils ont une grande capacité de résistance. Et, en l’absence de parents, le suivi judiciaire et éducatif est extrêmement compliqué. Tous les jours, une dizaine d’entre eux sont interpellés… Et des ordonnances de placement provisoire sont signées quotidiennement ».

Source

Palmanova (Italie) : trois Marocains dévalisent le prêtre qui les avait accueillis

Le prêtre qui ne pardonne pas.

Un prêtre a été volé par trois jeunes Marocains auxquels il avait offert son aide en échange de leur engagement à effectuer quelques menus travaux utiles à la petite paroisse de Palmanova, province de Udine. Deux d’entre eux, comme on peut le lire dans un article du Libero, ont été arrêtés par les carabiniers. Les Nord-africains, qui ont fini à la barre du tribunal, ont négocié un accord sur une peine d’un an et quatre mois avec obligation d’effectuer du volontariat dans la paroisse qu’ils avaient dévalisée. Le ministère public accepta mais Don Angelo Del Zotto s’y opposa, demandant à ce que les immigrés restituassent la totalité des sommes dérobées, à savoir 10000 euros et d’autres objets précieux. Ainsi, les deux jeunes retourneront au tribunal lundi pour connaître leur condamnation.

Don Angelo leur avait ouvert les portes de la paroisse

Le prêtre connaissait seulement un des trois hommes, dont il s’occupait souvent, mais il voulut faire également confiance aux deux autres. Ils lui semblaient en effet corrects. Ils avaient frapper à sa porte pendant plusieurs semaines d’affilée pour lui demander une main charitable. Et ils le remercièrent en lui dévalisant son appartement alors qu’il célébrait la messe. Ils dérobèrent six mille euros, des images sacrées, des bijoux en or, et même les souvenirs de famille du prêtre précédent.

[…]

Ils remplirent un sac entier et fuirent. Les investigations des carabiniers se concentrèrent rapidement sur eux et furent démasqués. Khalifa Bagrar, 19 ans, habitant à San Daniele del Friuli, et El Mehdi Zinaoui, 22 ans, habitant à Trivignano Udinese, qui avec leur complice avait été accueillis par le prêtre comme des fils.

Secoloditalia

Merci à anonimo Via Fdesouche.com

Thurgovie: Deux Marocains embrassent de force une femme puis la volent et l’aspergent de spray au poivre

Une femme a été approchée dans la nuit le samedi par deux hommes. D'abord, elle a été embrassée, puis volée et pulvérisée avec un spray au poivre. La police a pu arrêter les auteurs.

Alertées, les patrouilles de police de Thurgovie sont rapidement intervenues sur place et ont pu appréhender les deux suspects, un Marocain de 27 ans et un Marocain de 38 ans.

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Info

Pays-Bas : Deux homosexuels violemment agressés par un groupe de Marocains

Un couple d’homosexuels Jasper Vernes-Sewratan et Ronnie Sewratan-Vernes ont été attaqués par un groupe d’hommes en revenant d’une fête à Arnhem durant les premières heures du dimanche matin. Ronnie a perdu quatre dents et une partie d’un cinquième dans l’attaque. Jasper s’est échappé avec des côtes et des bleus sur le dos et le genou, rapporte RTL Nieuws.

Les deux rentraient à la maison d’une soirée dansant à Arnhem. « Nous montrons presque jamais en public que nous sommes ensemble », a déclaré Jasper à un média. « Mais nous avions bu quelques verres, il faisait sombre dans la rue et il n’y avait presque pas de monde, alors nous marchions main dans la main ».

Quand ils ont atteint le pont Nelson Mandela, ils ont été confrontés à un groupe de six à huit jeunes hommes. « Je pense qu’ils étaient marocains. Ils ont commencé à crier: dégoûtant, sale homo, de telles choses. Nous avons crié quelque chose et nous avons couru, mais ils nous ont vite rattrapé » déclare Jasper.

NLtimes

Rappel: Pour l'Association des étudiant-e-s en études genre, c'est l'homme blanc hétérosexuel le problème.

Belgique. Multiculturalisme: Bagarres entre Marocains et Algériens

Drogue, bagarres et violence. On ne peut que plaindre les habitants de la ville haute, qui assistent au pire, impuissants, depuis leurs fenêtres, nuit après nuit. On plaint les policiers aussi pour ces interventions difficiles et ces enquêtes compliquées. Ashraf, père de deux enfants, a été victime d'une de ces bagarres le 26 mars 2016. Aujourd'hui, il est sorti du coma mais a l'esprit d'un enfant de 5 ans, sans espoir d'amélioration.

C'était le 26 mars dernier : 6 heures du mat', l'heure des fins de sortie et de tous les dangers. Ashraf s'était disputé avec sa femme et avait décidé d'aller boire un verre pour se calmer. Il en avait bu plusieurs et avait l'alcool particulièrement "casse-pieds" (sic!), c'était de notoriété publique à la ville haute.

sa tête cogne le sol...

Mohamed, lui, sortait de boîte et rentrait chez lui, boulevard Joseph II: «  J'ai vu qu'il y avait une bagarre à la rue Chavannes -des Marocains contre des Algériens-, je ne voulais pas m'en mêler mais je me suis approché pour regarder. Il y avait Ashraf, que je connais de vue: il m'a dévisagé. Quand il a bu, il est insupportable. Il m'a mis deux claques sur les oreilles. Pour me défendre, je lui ai collé un crochet du gauche qui l'a déséquilibré et il est tombé au sol, sa tête a cogné par terre, il n'a plus bougé. J'ai mis ma veste sur lui et j'ai attendu la police.  »

Source et article complet

Belgique : deux snacks syriens saccagés par une vingtaine de Marocains. « Ces Marocains n’ont rien à craindre des lois belges et le savent »

A Anderlecht, chaussée de Mons, non loin de la place Lemmens, deux snacks appartenant à une même famille syrienne ont été pris d’assaut vers minuit dans la nuit de jeudi à vendredi par quinze à vingt jeunes cagoulés qui étaient armés de pierres, de cocktails Molotov, de barres à mine et de pistolets.

« Ils nous terrorisent. Ce sont des jeunes de la communauté marocaine qui nous attaquent. Tout a commencé il y a deux jours lorsqu’on a refusé de donner à l’un d’eux une cuillère pour qu’il puisse réchauffer sa drogue. Il nous avait prévenus qu’il reviendrait plus tard », confie l’un des deux patrons de snack.

« Lorsque l’un de mes frères a voulu les empêcher de rentrer à l’intérieur pour tout casser et de mettre le feu comme dans le snack de notre cousin, ils ont fait feu dans sa direction à travers la vitrine. La balle n’a heureusement qu’effleuré son visage. Juste avant, ils avaient déjà tiré plusieurs coups de feu en l’air. »

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Et de livrer le fond de sa pensée : « On a fui la Syrie pour être en sécurité. On ne pensait pas se retrouver à la merci de petits voyous qui font preuve d’une violence totalement gratuite et contre lesquels on ne peut rien faire parce qu’ils répliquent toujours à plusieurs et savent qu’ils ne craignent rien. On se demande si vos lois sont faites pour les protéger, si on est bien en Belgique ou dans la jungle. »

(…) Précédemment, à deux pas de là, dans une rue perpendiculaire à la chaussée de Mons, celle du Docteur Meersman, un jeune Belge d’origine marocaine avait été tué en date du 9 mars dernier. « Des Albanais l’ont mis à la porte de leur café parce qu’il posait problème. Ils l’ont massacré juste devant à coups de couteau et de batte de baseball », explique un témoin sous couvert d’anonymat.

« Quatre jours plus tard, le 13 mars, des Marocains ont bloqué tout le quartier avec des voitures qui venaient d’un peu partout en Europe : France, Espagne, etc. Ils cherchaient les meurtriers du jeune de 25 ans. Ils ont fini par brûler le café des Albanais. » (…)

Source

Hollande: Des Marocains agressent les enfants autochtones

Via le Facebook: Antiraciste est un nom de code pour antiblanc

En Hollande, des marocains "Hollandais" de 3éme génération essayent de voler les vélos des passantes...

C'est marrant cette haine des Européens, pourtant, la Hollande n'a pas conquis le Maghreb que je sache.

Ah mais suis-je bête. Ce sont des Blancs aussi les Hollandais. Et comme les anti-Blancs aiment à le répéter, les Blancs doivent tous collectivement payer pour les méfaits avérés ou imaginaires de nos ancêtres et de nos contemporains.

https://youtu.be/9ANHtIdQ_8k