Scandale à la RTS : Des employés veulent appeler le Conseil fédéral à l’aide

Les collaborateurs, «nombreux» et qui se décrivent comme «les petites mains de l’entreprise», souscrivent à un projet de courrier destiné à la présidente de la Confédération, Simonetta Sommaruga, aussi cheffe du Département des transports et télécommunications, département de tutelle de la SSR. La lettre, que nous nous sommes procurés, n’est pas encore sur le bureau de la présidente. À ce stade, elle entend toutefois réclamer un enquêteur externe mandaté par le Conseil fédéral pour faire toute la lumière sur les actes commis.

[...]

Le fait que la RTS enquête sur elle-même est également pointé du doigt. Un risque de collusion est évoqué. «Leur devoir serait de ne pas intervenir pour éviter tout conflit d’intérêts. La détermination à mener ce processus jusqu’au bout et de manière transparente est l’unique garant que la direction de la RTS va changer cet environnement malsain.»

[...]

24heures.ch

Les migrants représentent « un gros potentiel » pour les partis politiques selon Arc Info…

Voici un article publié ce vendredi par le « média » Arc Info, no comment...

Les migrants sont sous représentés en politique

40% de la population suisse est issue de la migration. Pourtant le nombre de migrants élus au niveau communal, cantonal ou national reste confidentiel. L'organisation "Gewählte Stimme" voudrait que cela change.

Les personnes issues de l'immigration sont peu nombreuses dans la vie politique suisse, constate l'organisation "Gewählte Stimme". Cette dernière espère faire entendre leur voix dans le champ politique national.

Les migrants sont manifestement sous-représentés en politique, a souligné vendredi le député au Grand Conseil et conseiller communal zougois Rupan Sivaganesan (PS), à l'occasion d'un événement à Berne. "Bien que 40% de la population soit issue de l'immigration, nous ne représentons encore que quelques pourcents des élus à tous les échelons politiques".

L'intérêt de nombreux migrants pour la politique dépend notamment de leur origine, s'ils proviennent de pays dotés d'un système démocratique, ainsi que de l'importance du débat politique à la table familiale, souligne le politologue Nenad Stojanovic. Mais cela ne suffit pas si les électeurs biffent tout de même les noms à consonance étrangère.

Un gros potentiel

Les partis devraient revoir leur copie à ce sujet: l'électorat issu de l'immigration représente en effet un potentiel énorme, mais encore négligé. Celui-ci doit absolument être pris en compte de manière plus active lors des prochaines élections, par de meilleures positions sur les listes, ou de justes conditions de vote.

Le thème de la journée était: "mobiliser les personnes issues de l'immigration pour la politique suisse: qui en prend la responsabilité? Elle était organisée par l'organisation "Gewählte Stimme" (Voix des migrant(e)s élu(e)s pour toutes et tous), neutre politiquement, constituée d'élus issus de la migration.

Xenia Fedorova : « Le lancement de RT France a permis de créer une césure avec le panorama médiatique français »

Propos recueillis par Nicolas Vidal et Matteo Ghisalberti – Xenia Fedorova, la très jeune Présidente et directrice de l’information de RT France a accordé un grand entretien à Putsch. Lancée le 18 décembre 2017, la chaîne RT France a suscité beaucoup polémiques, de discrédit et de critiques au sein du paysage médiatique français. Xenia Fedorova revient sur les 10 premiers mois de la chaîne. où elle aborde la question des Fake News, du financement de RT France, ses relations avec l’Elysée et les autres médias français. Elle nous parle aussi du pluralisme des voix et du débat ainsi que de l’arrivée de Frédéric Taddéi au sein de RT France.

Xenia Fedorova, pourquoi avoir choisi une carrière de journaliste plutôt qu’une carrière de diplomate ?

J’ai toujours été intéressée par la politique et la géopolitique ainsi que par les événements diplomatiques. Mais j’ai réalisé que je n’aurais pas eu la liberté suffisante pour m’exprimer. C’est pour cela que je me suis orientée vers le journalisme. J’ai commencé comme freelance alors que je n’étais encore qu’une étudiante. Si je n’ai donc pas pu être présente dans les coulisses de certains grands événements diplomatiques, j’ai tout de même pu les couvrir comme journaliste. Au final, j’ai pu m’occuper de choses dont je rêvais quand j’étais jeune. J’ai également été inspirée par l’exemple de ma mère qui est journaliste.

Comment définiriez-vous les fake news, Xenia Fedorova ?

C’est une très bonne question. Quand je suis arrivée en France, cette expression commençait tout juste à être utilisée régulièrement. Peut-être parce que je suis arrivée pendant la campagne électorale, alors même que les hommes et femmes politiques étaient en train lutter pour la Présidence de la République. Il y avait un grand flux d’informations. En France, l’expression fake news – j’essaie de ne pas être sarcastique – est aussi utilisée dans le sens de l’expression d’un point de vue différent. Cela ne signifie pas nécessairement que l’information n’est pas vraie. Cela peut signifier aussi que l’information est différente de ce que disent les médias mainstream. Ou bien elle est différente des informations que les médias mainstream étaient habitués à diffuser. Je vous donne un exemple : la couverture des faits en Syrie. Tout ce qui allait au-delà de la compréhension et des attentes des médias traditionnels était défini – à priori – comme une fausse nouvelle. Mais ça pouvait simplement être un point de vue différent sur des événements. C’est pour ça que je pense qu’il y un énorme malentendu sur le sens de cette expression. La définition de fake news, c’est une information qui est fausse. Mais, en France, on peut être accusé de diffuser une fausse information tout simplement lors ce qu’on essaie de donner un point de vue différent. Je crois que ce terme est mal utilisé, et de façon abusive, par les médias, mais également par les hommes et les femmes politiques.

Pour lire la suite

La presse allemande en chute libre avec Angela Merkel

La presse allemande en chute libre avec Angela Merkel

 

De même que les partis qui gouvernent l’Allemagne, la CDU chrétienne-démocrate, le SPD social-démocrate et la CSU chrétienne-sociale bavaroise, la presse qui les soutient est en chute libre. Selon la dernière statistique de leurs chiffres de vente, tous ces organes de presse « politiquement corrects » perdent à nouveau de nombreux lecteurs, et ceci même si l’on ajoute à leur tirage sur papier l’audience de leurs éditions numériques, dont les chiffres sont soumis à caution, puisque de nombreux abonnés la reçoivent en plus du journal imprimé. Le record des pertes est détenu par la feuille de boulevard Bild, qui perd plus d'un lecteur sur dix et est passée de quatre millions d’exemplaires il y a quelques années à moins d’un million et demi actuellement.

https://www.journalistenwatch.com/2018/10/18/mit-merkel-abgrund/

 

Traduction (Claude Haenggli) : Les nouveaux chiffres de vente soulignent l’inéluctable déclin des principaux médias. Les organes du groupe Springer sont les plus délaissés en masse par leurs lecteurs. Bild a perdu 11% de lecteurs en comparaison de l’année passée, Die Welt 9,7% et Bild am Sonntag 10,5%. Cela fait penser aux récents résultats électoraux de la CDU/CSU et du SPD. Le recul d’importance des journaux va de pair avec celui de leur chancellière Angela Merkel.

Claude Haenggli, 19.10.2018

 

https://www.journalistenwatch.com/2018/10/18/mit-merkel-abgrund/

Média. Politoc EUrope, entre vassalité américaine et difficulté financières

POLITICO, UNE HISTOIRE AMÉRICAINE

Né à Washington en 2007 sous la houlette de l’éditeur Robert Allbritton, des journalistes Jim VandeHei et John F. Harris, venus du Washington PostPolitico dans sa version d’outre-Atlantique, se présente comme une source d’information sur la Maison Blanche et le Congrès. Il revendique 7 millions de visiteurs uniques par mois et communique également via son édition papier, son magazine, ses événements et ses lettres professionnelles (Politico Pro) disponibles sur abonnement. La version papier est diffusée à environ 40 000 exemplaires, distribués gratuitement à Washington D.C et Manhattan. Politico peut éditer jusqu’à 5 éditions par semaine. Ses vidéos sont reprises sur d’autres supports comme CBS News.

QUAND POLITICO DÉBARQUE EN EUROPE

Nous annoncions en août 2015 l’implantation du média américain à Bruxelles pour traiter de l’Europe :

« Dans la capitale de l’Union européenne, parmi les hordes de politiques, d’élus, de « décideurs », de lobbyistes, on s’excite à l’annonce de l’arrivée du mastodonte américain « Enfin, Washington s’intéresse à Bruxelles », entend-on dans les couloirs, où les fonctionnaires s’émoustillent du projet de Politico de diffuser les « gossip » de la grosse maison … on saura que Jean-Claude Juncker n’est pas si méchant, puisqu’il souffre, le pauvre, de calculs rénaux… Que la soirée de lancement du site, le 23 avril 2015, à laquelle se pressait le gratin des instances européennes, ait été financée par Google, au moment même où la Commission s’inquiétait de son « abus de position dominante », n’inquiète non plus personne. »

LOIN DE L’ÉQUILIBRE FINANCIER

Trois ans plus tard, si le site revendique plusieurs dizaines de milliers d’abonnés à sa newsletter (gratuite) Playbook, il a perdu en 2017 plus de 5 millions d’euros sur un chiffre d’affaires de 12 millions. Déjà vingt journalistes sont partis en 2018 pour atteindre un équilibre qui semble hors de portée alors que sa directrice Shéhérazade Semsar espère atteindre cet objectif dès 2019 sans faire appel aux fonds de sa maison père. Mais l’équilibre financier est il vraiment important ? Politico Europe est un point d’observation idéal pour les journalistes s’intéressant à l’Union Européenne et aussi pour le Département d’État américain…

Source

La Ville de Lausanne arrose la presse locale avec l’argent des contribuables pour s’opposer à Blocher : 170’000 francs pour le journal «Lausanne Cités»

Et tout cela, sans que le citoyen n'ait jamais eu son mot à dire... la malhonnêteté de gauche dans toute sa splendeur.

A relever la tournure de l'article qui cherche à dédouaner l'utilisation honteuse des deniers publics prétendant que ce journal ne sera "aucunement impacté par l'idéologie socialiste". Mais oui, bien sûr...

Enfin, pour Jean-Marie Fleury, éditeur de Lausanne Cités, être financé par le biais de la gauche (mais pas avec l'argent de cette idéologie, rassurez-vous), ce n'est tout à coup plus un problème pour la "neutralité éditoriale".

Puisque ce n'est pas Blocher, le méchant populiste, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. On est rassuré.

Voici d'ailleurs un exemple d'impartialité de ce journal qui court donner la parole à Pascal Gemperli au sujet de l'affaire Tariq Ramadan, les pauvres musulmans étant "désemparés" selon Lausanne Cités.

Et les victimes?

 

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L'hebdomadaire qui avait été convoité par Christophe Blocher sera finalement soutenu par la municipalité lausannoise.

«Un montant forfaitaire de 170'000 francs sera nécessaire» et le partenariat avec «Lausanne Cités» est prévu sur 5 ans. Par ailleurs, un montant de 70'000 francs sera dédié à l'aide à la presse pour des achats d'annonces dans les médias papier couvrant l'actualité lausannoise.

(...)

La perspective de voir le leader de l'UDC arriver dans la presse romande avait suscité le tollé, en particulier à gauche.

Source et article complet

Nos remerciements à Daniel Brand

France. Loi “anti fake-news” : la liberté d’expression en grave danger

Loi. L’Assemblée nationale a voté cette nuit la loi controversée “contre la manipulation de l’information en période électorale”. A droite comme à gauche, l’opposition est vent debout contre une mesure jugée liberticide.

L’intitulé de la loi pourrait faire penser à une phrase tout droit sortie de 1984 : cette nuit, les deux propositions de loi issues des rangs d’En Marche sur « la manipulation de l’information en période électorale » ont été votées à l’Assemblée nationale. Une loi dite « ordinaire », et une autre organique, applicable lors des élections présidentielles. Le contenu du projet de loi est clair : un candidat ou un parti politique pourra saisir un juge des référés pour faire cesser la « diffusion de fausses informations » trois mois précédant un scrutin national. Cette loi permet également de contraindre les plateformes numériques (dont les réseaux sociaux Facebook, Twitter…) à une obligation de transparence lorsqu’un contenu est diffusé contre une rémunération (contenu sponsorisé). Les deux projets de loi ont été adoptés par une courte majorité En Marche (52 députés contre 22 pour la première, 54 contre 21 pour la seconde…).

 

 

Mais, même parmi la majorité ou les groupes idéologiquement proches d’En Marche, le soutien n’a pas été évident. Les députés du groupe UDI-AGIR, par exemple, ont voté contre. Moins surprenant, les trois groupes de gauche dans l’hémicycle ont aussi voté contre, tout comme les parlementaires du Rassemblement National et une large majorité des députés des Républicains.

Qu’est-il reproché précisément à la loi ?

« Déni de démocratie », « loi sur-mesure » … La loi fait bondir depuis plusieurs mois l’ensemble de l’opposition de la France Insoumise au Rassemblement National. Et pour cause : d’une part, les mots mêmes de la proposition de loi initiale faisaient polémique. Dans une première version, la loi anti fake-news voulait « lutter contre toute allégation ou imputation d'un fait dépourvu d'éléments vérifiables de nature à la rendre vraisemblable ». Des termes ambigus, sans sens réels, à tel point que Reporter Sans Frontière s’est ému de cette situation, dénonçant dans un communiqué au ton résolument inquiet que « les solutions proposées pourraient se révéler inopérantes voire contre-productives. Répondant à une logique d’urgence, le texte a été conçu dans l’urgence, et ne prend pas suffisamment en compte les possibles effets pervers juridiques et politiques, dans un contexte de guerres de l’information menées par des régimes autoritaires. »

 

 

A la suite de cette première levée de boucliers, une nouvelle mouture a été présentée : « toute allégation ou imputation d'un fait, inexacte ou trompeuse, constitue une fausse information.» Un premier couac qui en augure un second : les pourfendeurs du texte montrent du doigt les seulement 48 heures de délai accordé au juge des référés pour statuer afin de savoir si une information est une fake-news ou non. Enfin, les pouvoirs du CSA seraient considérablement renforcés, ce qui inquiète aussi ceux qui sont contre ce texte. La partie concernant le CSA est également directement accusée de viser Russia Today et Spoutnik, deux médias avec lesquels le chef de l’Etat est personnellement entré en guerre. Le texte de loi précise que le CSA peut « mettre fin à la diffusion de services de télévision contrôlés par un État étranger et qui portent atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation ou participent à une entreprise de déstabilisation de ses institutions. » Le 29 mai 2017, devant Vladimir Poutine, Emmanuel Macron avait publiquement accusé ces deux médias de ne pas être des journalistes mais « des agents d’influence. »

Enfin, la loi anti fake-news existe déjà depuis… 1881 ! Voilà le troisième argument des juristes et députés qui sont contre ce texte de loi. « La publication, la diffusion ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées ou mensongèrement attribuées à des tiers lorsque, faite de mauvaise foi, elle aura troublé la paix publique, ou aura été susceptible de la troubler, sera punie d'une amende de 45 000 euros. Les mêmes faits seront punis de 135 000 euros d'amende, lorsque la publication, la diffusion ou la reproduction faite de mauvaise foi sera de nature à ébranler la discipline ou le moral des armées ou à entraver l'effort de guerre de la Nation »explique l’article 27 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.

(...)

Source et article complet

Christophe Passer, journaliste, sur Tariq Ramadan: “Nous étions nombreux à avoir tort par conformisme, crainte d’être taxés d’islamophobie…”

Ce journaliste évite soigneusement de citer Les Observateurs alors que nous avons dénoncé inlassablement l'islamologue, Monsieur Windisch étant même ciblé directement par un message de Tariq Ramadan sur les réseaux sociaux.

Sur ce sujet également, les journalistes devront faire un jour leur mea culpa. Car sans les journalistes, Tariq Ramadan n'aurait jamais bénéficié d'une telle visibilité. Et ils le savent pertinemment.

A noter enfin que Christophe Passer a travaillé en tant que chroniqueur au journal de gauche l'Hebdo et qu'il forme... d'autres journalistes. Cela laisse rêveur.

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Aujourd'hui je m'interroge. Car, non, il ne s'agit plus de faire "la part des choses" entre sa pensée et les accusations de viols s'accumulant, ou sa façon, semble-t-il compulsive, de pratiquer l'adultère et l'emprise au mépris de ce qu'il professait.

Tariq Ramadan, "citoyen suisse, islamologue et philosophe de renommée mondiale", comme l'écrivait avec admiration l'an dernier dans une tribune Sandrine Ruiz (qui vient d'être nommée à la tête de l'Union vaudoise des associations musulmanes), était dans la duplicité totale.

 

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Depuis cette nomination, on ne lui pose guère de questions sur ce qu'elle pense de Tariq aujourd'hui.

Or il nous trompait, nous aussi. Eric Zemmour avait raison. Caroline Fourest avait raison. Jacques Neirynck ou Edwy Plenel avaient architort.

Et nous étions nombreux à avoir tort, par conformisme médiatique, crainte d'être taxés d'islamopophobie, ou peur d'être d'accord pour une fois avec Zemmour ou Fourest.

Son air méchant, son mépris des femmes, dès notre première rencontre: j'aurai dû écouter d'entrée ce ressenti, comme on dit aujourd'hui. J'ai eu tort.

Christophe Passer, journaliste au Matin

 

Rappels:

Alexandre Del Valle: « Tariq Ramadan a pu prêcher pendant 30 ans car la gauche a cassé une note de la DST ! »

Lorsque le PDC Jacques Neirynck soutenait Tariq Ramadan mais traitait les électeurs de l’UDC d’imbéciles.

Tariq Ramadan: Une première plainte pour viol et séquestration a été déposée en Suisse. « J’ai passé une nuit d’horreur. » déclare la Suissesse.

 

 

Nos remerciements à Yvan Perrin

 

 

Nos médias titrent “qu’un Suisse est suspecté de terrorisme” alors qu’il s’agit d’un naturalisé Bosniaque! Merci Sommaruga pour le multiculti!

Et ceci sans mentionner s'il s'agit d'un naturalisé ou non: le but prioritaire étant de mettre dans l'esprit de nos compatriotes que les Suisses sont désormais aussi coupables de terrorisme islamique. Et cela, par les organes de propagande même qui clament que le multiculturalisme est un bienfait pour notre pays.

Or on apprend par LCI qu'il s'agit d'un imam d'origine bosniaque.

Figure également un imam de nationalité suisse, mais d’origine bosniaque. 

Il faut à présent compter sur la presse française qui n'est guère réputée pour être de droite, afin d'avoir quelques informations pertinentes. C'est dire à quel point nos médias ne méritent plus notre confiance. Merci Tamedia!

Or il s'agit bel et bien de terrorisme islamique comme le mentionnent divers sites mais vous ne lirez aucunement le mot "musulman" dans les articles de nos médias bien-pensants. Par contre, vous aurez obligatoirement le terme 'Suisse' dans le titre même.

Stigmatiser les Suisses sur la base d'une information tronquée? Aucun problème!

Dire la vérité, que c'est un musulman naturalisé qui préparait un attentat? Xénophobe! raciste!

C'est magique non?

Article du 20 Minutes.ch:

 

Article du 24H:

 

Article de la Tribune de Genève:

 

 

 

Article du Matin:

 

Autre source qui confirme l'origine du "Suisse". Pire, ce dernier se prénomme "Al Bosni", ce qui démontre à quel point il est fier d'appartenir à notre peuple, qu'il protègera notre pays contre un danger, respectera nos racines: c'est sans nul doute une réussite d'intégration pour le PS et notre gouvernement de vendus!

Toutes les personnes interpellés en France étaient en contact depuis juin 2017 avec un « émir », un imam de nationale suisse mais d'origine bosniaque. Ce dernier est plus connu sous le nom d'Al Bosni. Il est soupçonné d'avoir endoctriné de jeunes Français et de les avoir poussés à passer à l'acte. Les contours du projet étaient en revanche méconnues. Et les perquisitions aideront dans ce sens là.

VSD

Le 20 Minutes après les attentats musulmans: “Europe. L’intégration des immigrés musulmans progresse”

Une étude allemande constate de «vrais progrès» dans l'intégration des immigrés musulmans en Europe.

(...)

«Cette intégration couronnée de succès est d'autant plus notable qu'aucun de ces cinq pays n'offre des moyens structurels adéquats permettant une participation (à la société) et que les musulmans sont confrontés à un rejet ouvert de la part d'environ un cinquième de la population», souligne l'institut Bertelsmann.

Source et article complet via le Facebook du PNS

Rappels:

Autriche. Sondage sur les musulmans: Un quart des sondés est favorable à la charia.

Des modérés? En Grande-Bretagne? Redites moi ça encore?

73% des musulmans de France considèrent les règles islamiques plus importantes que la loi

En Catalogne, un lieu de culte musulman sur trois serait tenu par un imam salafiste

Finlande : des centaines de musulmans radicalisés recensés à travers le pays

Allemagne: Les médias accusés de collaborer à la politique pro migrants de Merkel et de traiter les opposants de racistes

Après une analyse de milliers d'articles publiés en Allemagne entre février 2015 et mars 2016, les chercheurs de la Hamburg Media School et de l'Université de Leipzig ont constaté que les principales publications allemandes ne couvraient pas objectivement la crise des réfugiés.

Le rapport est disponible sur le site internet de la Fondation Otto Brenner. Selon les médias allemands, l'étude complète sera publiée officiellement lundi.

L'enquête accuse les journaux traditionnels tels que le Bild, Die Welt, Sueddeutsche Zeitung et Frankfurter Allgemeine Zeitung, de collaborer à la politique des réfugiés de la chancelière allemande Angela Merkel.

On estime que plus de 1,6 million de demandeurs d'asile sont entrés en Europe entre 2014 et 2016, ce qui a entraîné la plus grande crise des réfugiés depuis la Seconde Guerre mondiale. À partir de 2015, le gouvernement de la chancelière Merkel a mené ce qu'on appelle aujourd'hui la politique de  «portes ouvertes», malgré une avalanche de critiques du public.

Malgré des rassemblements massifs contre les politiques de Berlin, les journaux ont largement soutenu «l'élite politique» en diffusant le concept de la «culture de bienvenue» (Willkommenskultur) en Allemagne, affirme la recherche.

 La «culture de bienvenue» a été «transfigurée en une sorte de mot magique» dans lequel «les services du Samaritain... qui  peuvent être volontairement fournis par les citoyens, peuvent être moralement demandés».

"Une grande partie des journalistes ont mal compris leur rôle professionnel et ont négligé la fonction d'éclaircissement des médias", a déclaré le responsable de l'étude, le professeur Michael Haller.

Haller a déclaré que de nombreux rapports ont ignoré l'opinion publique allemande et n'ont pas tenu compte du point de vue de la communauté des experts ou des demandeurs d'asile eux-mêmes. Les articles étaient souvent imprégnés des opinions du journaliste.

Dans l'ensemble, l'étude a révélé que les articles étaient trop sentimentaux et avec très peu d'enquêtes critiques à l'égard des autorités.

Le document a noté que certains médias avaient traité les opposants à la «politique de la porte ouverte» du gouvernement comme étant des racistes.

En outre, les auteurs de l'étude estiment que certains rapports ont «contribué massivement» à la division entre l'opinion publique allemande et la perte de confiance dans la qualité du journalisme.

Au fur et à mesure que la crise des réfugiés s'est déroulée et que l'Allemagne a été secouée par une série d'attaques impliquant les demandeurs d'asile, Merkel a été forcée de changer d'avis.

En avril, elle a déclaré que certaines personnes potentiellement dangereuses avaient pu infiltrer le pays parmi les réfugiés. En septembre, Merkel a reconnu que le slogan «nous pouvons le faire» - se référant à la capacité de l'Allemagne à accueillir un grand nombre de demandeurs d'asile - est devenu «une formule vide».

Source1 Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

 

La Weltwoche relate plusieurs cas d’aveuglement judiciaire et politique en Suisse.

La Weltwoche relate plusieurs cas d'aveuglement judiciaire et politique en Suisse

Dans sa nouvelle édition, la Weltwoche fait part de trois cas particulièrement révoltants d'une mansuétude exagérée à l'égard de criminels. Ceux-ci sont non seulement traités de manière fort lâche par la justice, au détriment des intérêts de leurs victimes, mais certaines autorités politiques prennent encore leur défense. Il s'agit de l'affaire d'une agression sauvage commise en Argovie par des ressortissants de Saint-Domingue, du cas de l'écolier musulman qui avait terrorisé son école de Schaffhouse et finalement de la protection politique dont profite la fameuse "Reitschule" de Berne.

http://www.weltwoche.ch/ausgaben/2017-28/artikel/er-lacht-ueber-die-schweizer-gesetze-die-weltwoche-ausgabe-282017.html

http://www.weltwoche.ch/ausgaben/2017-28/artikel/wegschauen-die-weltwoche-ausgabe-282017.html

http://www.weltwoche.ch/ausgaben/2017-28/artikel/krieg-spielen-die-weltwoche-ausgabe-282017.html

Résumé (Claude Haenggli):

Trois ressortissants de la République dominicaine ont pénétré lors d'une nuit de juin 2014 dans l'appartement d'un Argovien de 55 ans. Ils étaient à la recherche de cocaïne. Les deux hommes maîtrisèrent leur victime avec un appareil à électrochocs et lui infligèrent treize coups de couteau, le blessant grièvement au ventre et au foie. En 2016, ils ont été condamnés par le tribunal de Baden à plusieurs années de prison. Quelle ne fut pas la surprise de la victime de rencontrer récemment l'un des agresseurs en liberté. Il s'avère en effet que tous les trois, qui avaient fait recours contre leur condamnation, ont été libérés sans que le procureur ayant été chargé du cas soit informé. De plus, ils bénéficient toujours de l'aide sociale et ne seront pas expulsés de Suisse.

L'écolier musulman de 17 ans, qui à Schaffhouse terrorisait les autres élèves et avait menacé d'éventrer sa maîtresse de classe avec un couteau qu'il arborait fièrement, bénéficie maintenant d'articles minimisant son cas dans des publications de gauche zuricoises. Un premier article a paru dans le supplément de fin de semaine publié par la maison d'édition qui possède les principaux journaux de l'arc lémanique, le Tages-Anzeiger. Il y est prétendu sur plusieurs pages qu'il ne s'était rien passé de spécial et que cette affaire avait été volontairement montée en épingle par des politiciens et des journalistes de droite. La Woz, hebdomadaire d'extrême-gauche, présente de son côté l'écolier, à qui il avait même été permis de prier selon le rite musulman dans le bureau du directeur de l'école, comme une "victime de journalistes avides de popularité". L'auteur de l'article de la Woz travaille pour la Schaffhauser AZ, organe du parti socialisteLa présidente de la commisision scolaire est aussi membre de ce parti.

Contrairement à l'esprit de la convention qui la lie à la ville de Berne et qui lui permet de toucher des subventions comme lieu de culture, la "Reitschule" a été fermée pendant la fin de semaine durant laquelle s'est tenue la réunion du G-20 à Hambourg. Ceci pour permettre aux activistes d'extrême-gauche qui l'habitent de participer aux émeutes qui s'y sont déroulées et pour laquelle cette "mosquée des prédicateurs de haine" a fait une propagande effrénée. Mais cela n'a eu aucune conséquence, car cette institution, qui n'est pas fréquentée par des prolétaires, mais surtout par des rejetons de familles bien situées financièrement, est protégée par les politiciens de gauche qui gouvernent la ville fédérale.

Claude Haenggli, 15.7.2017

Donald Trump attaque les médias qui « essayent de faire croire que l’immigration de masse marche magnifiquement » en Suède

Dans un nouveau « Twitter storm », le président américain a violemment dénoncé les « médias menteurs » qui l’accusent d’avoir inventé un « attentat » en Suède lors de son dernier discours en Floride.

Quelques heures après sa prise de parole dans cet état américain, la presse institutionnelle occidentale avait lancé une vaste offensive contre Donald Trump, l’accusant d’inventer des « attentats » pour les besoins de son discours.

En France (Nd Christian Hofer et en Suisse aussi), les médias du système n’agirent pas différemment.

L’agence de presse gouvernementale « AFP » diffusait ces accusations dans de nombreux titres hexagonaux :  


Le Président Trump n’a pourtant jamais évoqué d’attaque terroriste. Voulant préciser sa pensée, il a indiqué hier sur Twitter qu’il faisait référence à une affaire rapportée par Fox News et traitant des migrants en Suède.

« Ma déclaration relative à ce qui s’est passé en Suède faisait référence à une histoire diffusée sur Fox News concernant les migrants et la Suède » écrit le président américain.

S’exprimant à nouveau aujourd’hui suite à cette campagne de désinformation massive : « Foutez la paix au public – Les médias à FAUSSES INFOS essaient de dire que l’immigration de masse en Suède marche magnifiquement. NON! »

Donald Trump dénonce systématique les tentatives de désinformation menées, à l’échelle globale, par les médias occidentaux et les groupes d’intérêts qui les dirigent. Une révolte frontale qui déstabilise considérablement le système médiatique.

Le gouvernement suédois entend « expliquer » sa politique d’immigration

Le gouvernement suédois, qui s’était déjà ridiculisé en dénonçant le « machisme » du président américain avant d’aller visiter l’Iran intégralement voilé, a réagi à son tour.

L’ambassade de Suède aux USA a annoncé vouloir « expliquer » la politique d’intégration et d’immigration du pays au président américain.

Si le cas de la Suède devait être étudié, ce serait bien plutôt pour comprendre ce qui ne doit pas être reproduit ailleurs en matière d’immigration. L’arrogance du « premier gouvernement féministe du monde » risque de rapidement déclencher une réplique cinglante du chef de l’état américain. Avec une immigration de masse afro-musulmane qui a fait de Stockholm une des principales capitales du viol (voir ici), les « féministes » au pouvoir en Suède risquent de s’exposer à un dur rappel à la réalité. Réalité à laquelle faisait allusion Donald Trump. De nombreuses affaires impliquant des migrants musulmans touchent le pays, comme lors d’un viol d’une Suédoise par un irakien en direct sur Facebook il y a peu (voir ici), ou d’un viol collectif par des demandeurs d’asile syriens (voir ici). Le président américain pourrait discuter de la situation de Malmö, désormais à majorité islamique (source), que les Suédois de souche et même les juifs ont fui en masse (voir ici). Source

Médias : la fin du monde se rapproche. La faute à Trump.

L’EXPRESS

 

 

LIBÉRATION

 

LE MONDE

 

TRIBUNE DE GENÈVE

 

L’horloge de l’apocalypse, qui symbolise l’imminence d’un cataclysme planétaire, a été avancée de 30 secondes à 2 minutes et 30 secondes avant minuit, ont annoncé ce jeudi des scientifiques, qui invoquent entre autres la rhétorique de Donald Trump. C’est la première fois depuis 2015 que la célèbre horloge est avancée.

Ces éminents scientifiques, dont quinze prix Nobel, justifient leur inquiétude en raison « de la forte montée du nationalisme dans le monde, des déclarations du président Donald Trump sur les armes nucléaires, du réchauffement climatique, de la détérioration de la sécurité mondiale dans un contexte de technologies de plus en plus sophistiquées ainsi que l’ignorance grandissante de l’expertise scientifique ».

L’Obs

via fdesouche.com

Donald Trump veut continuer à utiliser Twitter à cause de la malhonnêteté des médias

Christian Hofer: Voilà qui répond à la réaction stupide de Doris Leuthard. Trump avait dénoncé depuis belle lurette le mépris des médias à son égard, notamment lors de l'élection présidentielle. Cette conseillère fédérale n'avait rien compris de la situation et s'était permis de donner des leçons. Parler de choses que l'on ne comprend pas tout en étant grassement payé: voilà qui en dit long sur le potentiel réel de nos conseillers fédéraux.

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Le président-élu des États-Unis entend bien continuer à écrire ses tweets dont il a le secret, même lorsqu'il sera investi officiellement le 20 janvier. Et cela, parce qu'il estime que les médias ne font pas un travail honnête à son égard.

Même lorsqu’il sera officiellement installé dans le Bureau ovale, Donald Trump n’a pas l’intention de mettre Twitter en veilleuse. Bien au contraire, le président-élu prévoit de continuer à envoyer des messages en 140 caractères sur le réseau social après le 20 janvier, date à laquelle aura lieu son investiture.

Interrogé dimanche 15 janvier par The Times sur une variété de sujets, du Brexit à la reine en passant par les relations entre le Royaume-Uni et l’Union européenne, Trump a aussi abordé son rapport aux médias, qu’il juge dégradé à cause de la manière dont la presse le traite.

Pour le 45ème président des États-Unis, l’usage de son compte Twitter lui permettra de « rectifier » ce que les journaux et les chaînes de télévision disent de lui, ces derniers étant accusés de faire un travail « malhonnête ». Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le futur chef de l’État ne s’en prive pas.

Quand ils accèdent à la Maison Blanche, les présidents américains ont accès à un compte Twitter officiel : @POTUS (President of the United States). Actuellement, il est aux couleurs de Barack Obama, puisque le Démocrate est en fonction jusqu’au 20 janvier. Mais dès l’investiture achevée, il sera transformé pour correspondre à Donald Trump.

Le profil @POTUS compte 13,5 millions d’abonnés. C’est beaucoup, mais moins que celui de Donald Trump (@realDonaldTrump), qui atteint 20 millions d’inscrits. Toutefois, cela reste très inférieur au compte personnel de Barack Obama : celui-ci (@BarackObama) est suivi par 80,5 millions d’internautes.

Avec l’intention de Donald Trump d’utiliser son compte personnel, il reste à savoir quel sera le destin du compte officiel pour les présidents américains. Sera-t-il délaissé pendant les 4 prochaines années de la présidence Trump ? Cela risque de poser quelques soucis lorsqu’il s’agira de procéder à l’archivage de sa parole publique.

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Fusillade de Zurich: Le Matin continue sa propagande d’extrême gauche en titrant que le tireur est un “Suisse” alors qu’il est d’origine ghanéenne

Le Matin tente de procéder à un contre-feu après l'attentat de Berlin, dont l'auteur est issu de l'immigration que ce journal aime tant.

Ce média accuse fallacieusement et en première page les Suisses d'être responsables de la fusillade de Zurich alors que l'auteur de cette violence est d'origine ghanéenne. C'est donc un pur produit de l'immigration et de la naturalisation que la gauche veut nous imposer!

Comme écrit tant de fois, la gauche ne possède aucune morale, ne reconnait jamais ses erreurs alors que ce journal se positionne très clairement en faveur de l'immigration qui déferle sur notre continent. Bien loin de se remettre en question ou de faire son mea culpa devant nos morts, devant l'islam qui assassine des chrétiens durant les fêtes de Noël, ces journalistes continuent leur propagande à sens unique! Il n'y a pas de mots assez forts pour condamner leurs exactions.

On se souvient qu'après l'attentat de San Bernardino aux USA, ce journal avait même osé claironner que les "musulmans avaient peur des représailles".

La propagande du Matin, en première page de leur site, à côté de l'attentat de Berlin, afin d'imposer dans l'esprit des lecteurs que les Suisses sont aussi des salauds alors que dans les deux cas, ce sont des étrangers qui imposent leur violence en Europe!

 

Le mensonge est vite éventé, la police précisant les origines de cette crapule.

Nos remerciements à Info