Attentats: mode d’emploi pour journalistes subventionnés

Attentat : 2 morts dans la Drôme, embarras dans les médias

Rediffusion estivale 2020. Première diffusion le 6 avril 2020

Alors que la France est arrêtée par le coronavirus, un attentat meurtrier commis par un demandeur d’asile soudanais a eu lieu en fin de matinée le 4 avril 2020 à Romans-sur-Isère, petite ville de la Drôme. Courte et instructive revue de presse.

Dans le « direct » du Dauphiné Libéré, principal organe de presse locale de la région, on évoque rapidement la nationalité soudanaise du suspect ainsi que son statut de réfugié. Le journal s’empresse de relayer le communiqué de presse de la maire LR de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, qui mentionne pudiquement un « individu » dont « on ignore pour l’heure les raisons de son geste ».

Pourtant, FranceInfo évoque plusieurs éléments passés sous silence dans le papier du Dauphiné Libéré : le suspect aurait crié « Allahu Akbar » à plusieurs reprises, selon des témoins différents. De plus, selon une « source policière », « l’homme était agenouillé sur le sol et psalmodiait une prière en arabe » au moment où il a été interpellé.

Du profil du tueur et de ses motivations, la plupart des médias disent ne pas savoir grand-chose. Chez Europe 1, le Journal de la mi-journée de Fabienne Le Moal évoque simplement un « homme âgé d’une trentaine d’années » dont on attend d’avoir des « éléments consolidés sur le profil ». C’est tout. Le site internet de la radio, qui pourtant dispose logiquement des mêmes sources, mentionne bien la nationalité soudanaise de l’homme. Quant à la radio RTL, qui titre « Ce que l’on sait du drame qui a fait deux morts à Romans-sur-Isère », elle n’en sait pas beaucoup plus. Mensonge par omission ?

Libération, qui évoque un « homme, aux motivations encore floues » (sic), ne fait aucunement mention du cri « Allahu Akbar » entendu par plusieurs témoins. Ce n’est qu’en fin d’article que l’on apprend que si « l’assaillant s’est présenté comme un réfugié soudanais », il n’est « pas connu des services de police ». La même réserve est de mise chez L’Express qui sans mentionner aucun des éléments qui pourrait amener à penser à une attaque terroriste, conclut son papier par un bref rappel de différentes attaques terroristes en France, dont celle de la mosquée de Bayonne. Cette dernière figure en effet en bonne place après différents attentats djihadistes, car si « le Parquet National Anti-Terroriste n’a pas été saisi », elle avait été « qualifiée de terroriste par l’avocat des victimes ». Chez CNews non plus, l’on n’évoque aucune de ces données possiblement polémiques, et l’on décrit un homme dont on sait « peu de choses » et dont on « ne connait pas les motivations ». En revanche, cela n’empêche pas Jean-Marc Todeschini, sénateur PS de la Moselle d’alléguer que « si l’enquête nous dit qu’il est déséquilibré, on ne pourra pas faire grand-chose ».

Le Monde dans une alerte se contente de signaler le nombre des victimes et que le parquet national anti-terroriste se saisit de l’affaire, en ajoutant en sous-titre « L’auteur présumé des faits, inconnu des services de police, a été placé en garde à vue ». Pour le lecteur rapide qui ne lit que les titres, c’est d’une discrétion de violette.

Il n’y a guère que chez BFMTV que les possibles motivations du tueur sont plus précisées. Interviewé, David-Olivier Reverdy (secrétaire général adjoint d’Alliance police nationale), ajoute même que l’assaillant aurait demandé à être tué par les forces de police lors de son interpellation. Un élément qui n’est « pas anodin dans le procédé », et qui ajouté aux autres, lui permet de conclure que « tous les ingrédients sont réunis » pour étayer la thèse d’une attaque terroriste. Cet entretien a été repris par Le Figaro.

Cet évènement intervient quelques jours après que 14 députés aient publié un communiqué de presse demandant la régularisation des immigrés pour mieux lutter contre l’épidémie de Covid-19.

source: https://www.ojim.fr/
Ce contenu est mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons

Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International.

Voir aussi

  • Colombes : quand une attaque terroriste devient un “accident de la circulation”
    Écoles : la semaine de lutte contre le racisme et l’antisémitisme approche !

Djihadisme, le déni des autorités politiques : “Les islamistes ont réussi à instaurer un rapport d’intimidation en France”

Il y a un vrai déni français du danger djihadiste en France, aussi bien des autorités politiques que religieuses, dénonce l’historien Pierre Vermeren, spécialiste du Maghreb.

[…]
Vous dénoncez le déni des élites françaises. Est-ce un déni ou un aveuglement ?

Il y a les deux. L’aveuglement, c’est le refus de voir. On met la tête dans le sable. Chez les responsables politiques, c’est très présent. On ne comprend pas, ou on ne cherche pas à comprendre. Ce qui touche au religieux est un point aveugle de la réflexion des politiques. Mais il y a aussi du déni, notamment chez les politiques, car les services de l’État sont très bien informés :on sait et on ne veut pas en tirer les conséquences. Parce que cela entraînerait des décisions qui fâchent. Les islamistes ont réussi à instaurer un rapport d’intimidation. On s’autocensure. Quant à une grande partie des Français, je crois qu’elle est aveugle par défaut d’information.

L’Église a joué dans le déni un rôle important, dites-vous. En quoi ?

Je pense qu’elle est dans une logique de repentance, liée notamment à la colonisation algérienne. Avec le concile Vatican II, elle est passée d’une position où Mahomet était une sorte d’Antéchrist et l’islam une hérésie, à l’idée selon laquelle l’islam serait une des voies d’accès à Dieu. On est passé d’une intolérance à une tolérance. L’idée s’est installée que les deux religions auraient les mêmes valeurs. Ce qui est faux. Notre civilisation repose sur trois piliers : l’habeas corpus – le refus de l’arbitraire judiciaire –, la liberté de conscience, donc de se convertir, et l’égalité hommes/femmes. Or, ces trois notions ne sont pas respectées par l’islam littéral. Les chrétiens d’Orient en souffrent, de même que certains musulmans.

L’Église le sait et s’interdit d’intervenir, elle s’abstient de toute critique de l’islam. Une parole manque. Non pas de condamnation, mais de constat. C’est vrai des ordres religieux, c’est vrai de l’épiscopat. […]

Famille chrétienne

Via Fdesouche

Suisse : Une brochure pour lutter contre la radicalisation et “favoriser le vivre ensemble”

La Plateforme Jeunes et médias de l'Office fédéral des assurances sociales édite un guide de contre-discours pour empêcher que les jeunes vulnérables soient appâtés par les discours extrémistes.

[...]

Les contre-discours visent à déconstruire et discréditer les messages et les stratégies de propagande extrémiste en leur opposant des arguments. Les discours alternatifs consistent, eux, à diffuser des messages positifs pour briser les préjugés et favoriser la capacité de penser de manière nuancée ainsi que le vivre ensemble.

[...]

L'extrémisme islamiste a été au centre de la majorité des projets [...]

20min.ch

 


Rappels :

Simonetta Sommaruga: « La Suisse sera toujours plus multiculturelle »

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Pour l’UDC Guy Parmelin, « La diversité culturelle de la Suisse la rend plus forte »

«La ville de Bienne est le modèle du vivre ensemble», déclare Sommaruga

 

Le premier Français jugé à son retour de Syrie a été libéré de prison

Après avoir purgé une peine de sept ans de prison, Flavien Moreau, un Nantais de 33 ans, a quitté la détention ce lundi 13 janvier 2020. Une libération qui inquiète au vu de sa personnalité. Il bénéficiera seulement d’un suivi judiciaire pendant un an. Avant de disparaître complètement des radars de la justice.


Flavien Moreau était en Syrie en 2012. Il a été arrêté en 2013, alors qu’il s’apprêtait à y retourner. Il a été condamné en novembre 2014 à sept ans de prison, puis incarcéré au quartier d’évaluation de la radicalisation de la prison de Vendin-le-Viell (Pas-de-Calais). Des graffitis « Je suis Ganczarski » ont été retrouvés sur les murs de sa cellule, en référence au terroriste d’Al-Qaïda condamné pour l’attentat de la synagogue de Djerba en Tunisie.

Transféré à Condé-sur-Sarthe en mai 2019, il a été relaxé de menaces de morts sur cinq surveillants de cette prison centrale. La peine de Flavien Moreau s’est ainsi achevée ce lundi 13 janvier, mais « ce n’est pas une sortie sèche », nous a indiqué le directeur du service pénitentiaire d’insertion, l’ex-djihadiste restant sous contrôle judiciaire durant un an, à compter de sa sortie.

Tendance Ouest

Via Fdesouche

Suisse : le CF veut serrer la vis aux terroristes potentiels. Les ONG s’y opposent et invoquent les droits de l’homme

Loi créée dans l'urgence par nos "élites" qui sont censées "prévoir" alors que le problème couvait depuis de nombreuses années.

Ces mêmes politiciens s'offusquaient lorsque les patriotes demandaient de limiter l'immigration ou mettaient en garde contre l'islam, tout en clamant sans cesse que le "populisme est le véritable problème".

Berset tout comme Sommaruga ou encore Parmelin ont affirmé que la diversité est une richesse. Pourquoi de telles lois dans ce cas?

**********

 

Le Conseil fédéral souhaite que la police dispose de plus de possibilités dans la lutte contre le terrorisme.

Plus d'une centaine d'agents ont perquisitionné les domiciles de personnes soupçonnées de terrorisme dans plusieurs cantons cette semaine. À l'avenir, la police devrait également être en mesure d'intervenir plus tôt contre les terroristes potentiels [...].

La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter prévoit entre autres les mesures suivantes :

- Obligation de se présenter: Les personnes représentant un danger doivent se présenter au poste de police.

- Interdiction de contact : les personnes âgées de 13 et plus, qui représentent une menace, peuvent être interdites de tout contact avec l'environnement radicalisé

- Assignation à domicile : En dernier recours, une personne âgée de 16 ans ou plus ne devrait pas être autorisée à quitter son domicile. On pourrait la contrôler au moyen d'un bracelet électronique.

Mais à présent, une opposition se fait entendre : La «Plateforme des ONG suisses pour les droits humains» veut dégommer la loi. Patrick Walder d'Amnesty International en explique la raison.

"La police fédérale pourrait prendre de nouvelles mesures, de la localisation des téléphones portables en passant par l'assignation à résidence contre les personnes représentant un danger. [...] En fin de compte, ce sont des soupçons qui ouvrent la porte à l'arbitraire. Les mesures préventives toucheront des personnes qui ne sont pas dangereuses du tout.

Nous exigeons que la détention préventive à domicile pour les personnes dangereuses soit retirée de la loi parce qu'elle n'est pas compatible avec la Convention européenne des droits de l'homme. Il est également très problématique que des mesures de police préventive soient utilisées contre les enfants âgés de 13 ans et plus et que des mesures de détention à domicile soient appliquées contre les jeunes âgés de 16 ans et plus. Les enfants sont particulièrement protégés en Suisse ; le pouvoir judiciaire ne doit pas les stigmatiser et les criminaliser, mais doit favoriser leur réinsertion sociale [NDLR : C'est ce qui avait été fait pour le jeune Albanais Vedad mais visiblement Amnesty International est prêt à réitérer ces erreurs sur le dos des Suisses.].

Non, nous n'avons pas de cœur pour les terroristes. Ce sont des criminels - et en tant que tels, ils devraient être poursuivis et punis. Cependant, les droits de l'homme fondamentaux ne doivent pas être restreints dans la lutte contre le terrorisme.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose et Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

20min.ch

 

 

Attaques au couteau : où se situe la frontière entre islamiste et déséquilibré ?

Selon une note de police révélée par Le Figaro, les déséquilibrés sont surreprésentés parmi les assaillants. De quoi susciter l’inquiétude des forces de l’ordre face à l’ampleur du vivier potentiel de radicalisation.

« Les terroristes sont-ils “fous” ? » Cette question est au cœur d’une note confidentielle de l’Unité de coordination de la lutte anti-terroriste (Uclat) et qui a été publiée en « diffusion restreinte » dans sa revue trimestrielle. « L’analyse des actes commis, tentés et déjoués depuis janvier 2015 montre que les individus présentant des troubles psychologiques sont aujourd’hui surreprésentés, assurent les policiers spécialisés. Cette évolution confirme que le phénomène de passage à l’acte de la part d’individus présentant une instabilité psychologique s’inscrit aujourd’hui comme une tendance lourde. » Datée de novembre 2017 et d’une actualité toujours brûlante même si elle est en rapport lointain avec les dernières affaires de Lyon et de Paris, cette note l’affirme: « Cumulant une forte réceptivité à la propagande bien huilée de Daech et une extrême sensibilité à un “effet Werther” entretenu par une médiatisation accrue, cette population psychologiquement perturbée constitue aujourd’hui le vecteur majeur de la menace endogène en France. »

Depuis 2012 et l’agression au couteau d’un militaire par une « personnalité de structure psychotique », l’Uclat observe que « ce type d’actes est devenu récurrent à tel point que le ministre de l’Intérieur chiffrait à 30 % le nombre des cas pathologiques au mois d’août dernier ». « De son côté, le monde de la psychiatrie dans son ensemble qualifiait d’“amalgame” les liens tissés entre terrorisme et psychiatrie », précise la note mentionnant le psychanalyste Fethi Benslama, pour qui « selon les études internationales, entre 4 % et 7 % des radicalisés violents présentaient des troubles psychiques ». S’ils concèdent que « définir la folie et la quantifier au mieux au regard des actes terroristes constituent des enjeux de taille pour des policiers peu accoutumés aux vocabulaires de la médecine expertale », les policiers insistent sur l’immensité du vivier potentiel.

« En France, 6 % de la population souffrirait d’un trouble psychique et […] 27 % de la population serait touchée par une détresse psychologique en réaction à une situation éprouvante ou à des difficultés existentielles. » « Si la quête narcissique de reconnaissance apparaît comme un catalyseur puissant chez de nombreux terroristes », l’Uclat considère qu’« il est rare de diagnostiquer chez [eux] des pathologies psychiatriques au sens strict du terme telle que les schizophrénies ».

Source

“Pour une France salafiste”

-
Michel Garroté -- Un rapport de l'Institut Montaigne indique, sans surprise, que l'islamisme en France est aujourd'hui en situation de monopole intellectuel, aussi bien sur les réseaux sociaux que dans les librairies. Autre information : la quasi-totalité des réponses en ligne aux questions religieuses est fournie par des interlocuteurs proches des salafistes.
-
"Au cœur de la Fabrique de l’islamisme", le titre du rapport, désigne deux pays, la Turquie et l'Arabie Saoudite. Selon l'enquête de l’Institut Montaigne, l'argent déboursé par ces deux États afin de former des cadres politico-religieux et diffuser l'islam politique a fini par influencer les musulmans européens et imprégner leur pensée. Il a fallu un rapport de 800 pages pour savoir cela (voir lien vers source en bas de page).
-
Michel Garroté pour lesobservateurs.ch
-
Source :
-
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/09/le-monopole-du-salafisme-au-sein-de-lislam-en-france.html
-

Où en sommes-nous avec l’islam ?

-
Par Michel Garroté  -  Ci-dessous, une liste certes incomplète et cependant éclairante sur l'islam aujourd'hui. Il manque la Syrie, l'Irak, l'Arabie saoudite et d'autres pays encore. En revanche, il y a dans cette liste des informations peu ou prou mentionnées par les médias.
-
1- Le Liban sous la coupe de l’Iran
-
A Beyrouth, au siège du parti Kataëb, Samy Gemayel, son président, disait (voir lien vers source en bas de page) : « L’Iran n’a plus besoin d’ambassade au Liban ; avec le général Aoun, plus que soutenu, complètement tenu par le Hezbollah, il est à la présidence de la République ; il est à la présidence de l’Assemblée nationale avec le chiite Nabi Berry ; il y dispose de la majorité avec ses alliés aounistes.
-
Enfin, avec le Hezbollah, qui n’est pas seulement un parti mais est devenu plus qu’une milice, une armée qu’il a puissamment équipée, qu’il encadre et commande, l’Iran domine de fait, insupportablement, notre pays. Face à cela, nous maintenons et défendons coûte que coûte ce qui reste de liberté au Liban dont nous voulons réaffirmer le droit à la souveraineté ».
-
Car, après le départ des occupants syriens en avril 2005, leur allié du Hezbollah libanais ne s’était pas volatilisé, au contraire, maintenant fortement ses positions dans la Bekaa et surtout au sud, le long de la frontière avec Israël.
-
Le Hezbollah s’est fortement renforcé, recevant notamment des Pasdarans iraniens (« gardiens de la révolution ») une dotation de plusieurs milliers de missiles balistiques constituant un danger pour Israël malgré, jusqu’ici, le très efficace système de défense antimissiles de ce pays, ajoute Samy Gemayel (voir lien vers source en bas de page).
-
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/05/le-liban-toujours-plus-sous-la-coupe-de-liran.html
-
2- Le mois du ramadan est le mois du djihad
-
La publicité pour le ramadan est omniprésente, tant commerciale que politique. Faut-il s’en inquiéter ? Pour Joachim Véliocas, spécialiste de l'islam, ce marché en pleine croissance (10 à 15% par an) est un marqueur de l’avancée de l’islamisation en France.
-
A ce propos, le spécialiste de l'islam Joachim Véliocas déclare notamment : Un des plus gros sites musulmans arabes nommés « islam web » basé au Qatar écrit beaucoup d’articles en anglais et en arabe. Il a publié une série d’articles sur l’axe du ramadan de cette année, l’année 1439 du calendrier occidental, dont certains m’ont été traduits par une amie islamologue. Le titre d’un des articles est "le mois du ramadan, c’est le mois du djihad".
-
Ce qui est très inquiétant dans cet article, c’est qu’ils disent clairement que le djihad dans la voie d’Hallah est le devoir de l’islam le plus important, que lorsqu’on fait ce djihad, on gagne une force dans ce monde et dans l’au-delà, que le djihad est un des actes les plus méritoires et enfin que les musulmans ont été humiliés lorsqu’ils ont abandonné le djihad". Ils expliquent la déliquescence de la civilisation islamique au 19e siècle et au début du 20e siècle avec l’effondrement du califat par l’abandon du djihad. Le mois du ramadan est le mois du djihad, insiste Joachim Véliocas.
-
http://bvoltaire.com/mois-ramadan-mois-djihad/
-
3- Turquie - Derrière le soutien au Hamas, l’offensive d’Erdogan sur le monde musulman
-
Alexandre Del Valle : Les raisons qui entrainent l'aversion d'Erdogan pour l'état d'Israël sont multiples :
-
Raisons électoralistes, lié à sa politique interne. Car en condamnant Israël, Erdogan souhaite rallier et galvaniser son électorat radical islamiste, qui est anti-juif et anti kurdes, en les fidélisant autour de cet ennemi commun.
-
Raison d'ambition personnelle. Erdogan, qui est allié aux frères musulmans (il en est un) souhaite établir comme finalité politique un nouveau califat dont il serait le chef. Il se rêve en "patron de l'islam". Sa politique contre Israël, c'est une politique de promulgation de l'idée ottomane, appelée politique néo-ottomane qu'il mène sur tous les fronts.
-
Raison d'intérêts régionaux. Erdogan souhaite séduire les pays arabes voisins afin de redorer l'image des Turcs auprès de ces derniers. En effet, historiquement, les peuples turques ont successivement opprimés les populations arabes. Il cherche donc à redonner du prestige à l'identité turque auprès de ses alliés arabes : c'est une manière de renforcer son leadership régional.
-
Erdogan utilise les affrontements réguliers entre les militants du Hamas et Israël (guerre des 33 jours en 2010 ou la flottille de gaza en 2008) qui font beaucoup de morts, étant donné l'asymétrie des moyens des deux forces (lance pierre contre missile) pour sensibiliser de manière virulente la communauté internationale. Celle-ci se rangeant généralement (excepté USA et quelques pays) du côté de la cause palestinienne, cela renforce de fait la voix d'Erdogan sur la scène internationale.
-
https://fr.news.yahoo.com/turquie-derri%C3%A8re-boycott-d-isra%C3%ABl-l-offensive-n%C3%A9e-053259225.html
-
4- Ne pas tomber dans le piège du Hamas
-
Sous couvert de gens pacifiques qui désirent rentrer chez eux, il y a le Hamas, l’organisation islamiste qui règne à Gaza et dont la stratégie vise à détruire Israël. Que l’action du Hamas soit perverse dans ses intentions et tortueuse dans sa mise en œuvre ne fait guère de doute, puisqu’elle consiste à exposer sciemment des martyrs à la blessure ou à la mort, celles-ci étant, paraît-il, tarifées par de généreux donateurs. Si l’idéalisme juridique proclame toujours le souhait de deux États contenus dans les limites d’avant 1967 (ndmg : l'Etat d'Israël et l'Etat de "Palestine"), le réalisme sait que cette solution est aujourd’hui compromise. Il faut faire un peu d’histoire pour s’en rendre compte. D’abord, le cas de la Palestine n’a rien d’exceptionnel. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, de nombreuses populations ont été déplacées.
-
Les habitants de Königsberg ne manifestent pas pour rentrer chez eux. La ville de Kant, en Prusse orientale, est maintenant Kaliningrad, capitale d’une enclave russe entre Pologne et Lituanie. Les déplacements de populations en Europe de l’Est ont été gigantesques aux alentours de 1945. De même, lors de la séparation entre l’Inde et le Pakistan, ce sont des millions de personnes qui sont passés d’un pays à l’autre au milieu des massacres. Les victimes de la décolonisation ne sont pas moins à plaindre. Les pieds-noirs avaient toute leur place en Algérie, de même que les harkis. Ils ont été obligés de choisir entre la valise et le cercueil. Si l’on remonte dans le passé, les nombreux Arméniens rescapés du génocide turc de 1915 n’exigent pas, non plus, de regagner la région de l’Empire ottoman où ils étaient majoritaires.
-
http://www.bvoltaire.fr/israel-dhistoire-ne-tomber-piege-hamas/
-
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
-

Bat Ye’or, ennemie du totalitarisme islamique

Bat-Ye'or-4

-
Michel Garroté  --  Je connais Bat Ye'or depuis le début des années 1980. Sans elle, je n'aurais pas pris conscience de L'Eurabia et du Spectre du Califat, bref, de l'islamisation de l'Europe telle que nous la vivons aujourd'hui, en 2018.
-
A ce propos, Roland Jaccard, sur causeur.fr, écrit notamment (extraits adaptés ; liens vers sources en bas de page) : Bat Ye’or n’a pas ménagé la Palestine, ni la politique pro-arabe de l’Union Européenne qui conduit immanquablement à ce qu’elle nomme l’Eurabia et dont on peut chaque jour constater les effets. Bat Ye’or qui pourrait reprendre à son compte le mot du Prophète Isaïe : « Vox clamantis in deserto » (la voix qui crie dans le désert).
-
D’autant que le soutien qu’elle a reçu des néo-conservateurs américains, sans oublier le tort que lui ont valu les nombreuses références à son œuvre d’Anders Breivik, ont rendu presque inaudibles en Europe ses propos jugés alarmistes et caricaturaux.
-
Sans entrer dans le fond du débat, il faut lui reconnaître de nombreuses qualités, la première étant son style. Bat Ye’or (« la fille du Nil » en hébreu) nous enchante lorsqu’elle raconte sa jeunesse dans une Égypte cosmopolite qui n’avait rien à envier à l’empire austro-hongrois.
-
Écrivant aussi bien en anglais qu’en français, elle fait preuve d’une curiosité insatiable et parvient, sinon à convaincre, au moins à semer le doute. Et si elle avait vu juste ? À titre personnel, je serai enclin à le croire.
-
Et c’est pourquoi j’aimerais vous conseiller de lire attentivement l’autobiographie politique (DE LA DÉCOUVERTE DU DHIMMI À EURABIA, éditions Provinciales, 25 janvier 2018 ; voir deuxième lien vers source en bas de page) de cette dame dont la vision du monde peut gêner certains, mais dont personne ne pourra nier qu’elle repose non seulement sur une expérience vécue, mais sur une vie passée à en comprendre le sens avec une honnêteté intellectuelle hors du commun, ajoute Roland Jaccard (fin des extraits adaptés ; liens vers sources en bas de page).
-
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch,22.5.2018
-
https://www.causeur.fr/ayn-rand-bat-yeor-communisme-islam-151236
-
https://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/2912833426/causeur-21
-

Sommeil et traitement des médias face aux attentats

islam-16

-
Michel Garroté  --  Entre ceux qui roupillent et ceux qui racontent n'importe quoi sur les attentats, on est plutôt mal barré. Ce sont les Etats-membres de l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI) qui, encore une fois, vont être super-contents. L'OCI avec laquelle les Etats-membres de l'Union Européenne et du Conseil de l'Europe ont signés des accords pour combattre "l'islamophobie", pour critiquer Israël (quoi qu'il fasse ou pas) et pour promouvoir l'islam...
-
Ivan Rioufol écrit notamment : Les plus dangereux sont ceux qui roupillent. Dans la guerre que l'islam suprémaciste a déclarée à la nation, trop d'élites dorment encore au lieu de combattre l'ennemi intérieur. La préservation du vivre-ensemble est leur excuse la plus cynique. Le «délai de décence» est également régulièrement rappelé à ceux qui, après chaque horreur djihadiste, exigent des actes plutôt que des résiliences. Résultat de cette politique de l'oreiller: en France, le nazislamisme progresse sans résistance.
-
Cette idéologie s'appuie aussi bien sur un prosélytisme subtil que sur l'enrôlement de voyous des cités. L'un d'eux, le délinquant franco-marocain Radouane Lakdim, 25 ans, a égorgé le colonel Arnaud Beltrame, 44 ans. L'officier de gendarmerie s'était proposé comme otage à la place de la caissière du Super U de Trèbes (Aude). Au nom d'Allah, le tueur avait préalablement assassiné Jean Mazières, Christian Medvès, Hervé Sosna. En octobre, à Marseille, Laura et Mauranne avaient été d'autres proies d'un autre barbare, ajoute Ivan Rioufol (source en bas de page).
-
Ingrid Riocreux écrit notamment : Le traitement des attentats par les médias démontre qu’ils sont résignés : le faux problème de la question du passage à l’acte. « Qu’est-ce qui motive le passage à l’acte ? ». Cette interrogation occupe une place centrale dans le traitement journalistique de l’attentat du Super U de Trèbes. Elle a ses variantes : « Qu’est-ce qui fait qu’un beau matin, cet individu s’est levé en se disant qu’il allait tirer sur des CRS et tuer des gens dans une grande surface ? » ou encore, « qu’est-ce qui fait qu’il a basculé ? ».
-
On retrouve ici sous une forme nouvelle la tendance générale des médias à psychiatriser les affaires de terrorisme, sur laquelle je me suis déjà arrêtée : habituellement, les terroristes sont des déséquilibrés et nous sommes plus ou moins pathologiquement atteints si nous sommes incapables de résilience. Ici, c’est plus subtil, mais l’importance accordée à cette question des conditions du passage à l’acte ne me semble pas plus saine.
-
Autant se demander pourquoi je me coupe les cheveux :
-
Je ne dis pas qu’elle soit dénuée d’intérêt. Mais elle se rattache, finalement, à des axes classiques de la recherche scientifique : la prise de décision, l’acting-out, le passage à l’acte, sont des objets de questionnement passionnants qui amènent à s’interroger sur les rapports complexes entre la liberté humaine et l’influence de phénomènes hormonaux, neuronaux, psychologiques (et pas nécessairement psychopathologiques) ou purement conjoncturels (les facteurs contextuels).
-
Autrement dit s’interroger sur le fondement psychique de l’acte terroriste revêt aussi peu d’intérêt, ou à peu près autant, que de s’interroger sur ce qui fait qu’un beau matin, je veux changer de coupe de cheveux, ou refaire la déco de mon bureau. C’est fascinant, mais doit-on en faire l’enjeu central d’une interrogation sur le terrorisme islamique en France ? Je n’en suis pas certaine.
-
L’acceptation de l’islamisme ?
-
Je pense même que c’est dangereux parce qu’on en arrive à se convaincre que toute la solution réside dans l’anticipation et l’empêchement de ce passage à l’acte. Et voilà qui est grave et inquiétant. Voilà qui témoigne d’une résignation collective contre laquelle il est impératif de lutter.
-
En effet, cette focalisation exclusive signifie que la même idéologie qui a poussé le terroriste à cet acte, pour peu qu’elle s’impose sans violence, ne rencontrera aucune résistance. Autrement dit, derrière la question obsessionnelle du passage à l’acte se cache l’acceptation tacite de la fin et la seule contestation des moyens.
-
Ainsi, par la manière même dont on se pose la question (cf. l’image de la bascule), on s’oblige à dissocier l’état théorique et la phase pratique comme s’ils n’entretenaient aucun rapport. On se refuse à envisager que le passage à l’acte soit, ajoute Ingrid Riocreux (source en bas de page).
-
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
-

http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/03/29/31003-20180329ARTFIG00317-ivan-rioufol

-

islamisme-reveil-d-une-resistance-francaise.php
-
https://www.causeur.fr/medias-attentats-lakdim-beltrame-super-u-150252
-

“Attaque au couteau – La piste terroriste semble écartée”

   
Michel Garroté  --  Récemment, dans la presse, je lisais, entre autre : "Belgique - Attaque au couteau. La piste terroriste semble écartée". "Allemagne - Un adolescent tué d’un coup de couteau à la gorge. La piste terroriste semble écartée". Or, la théorie du loup solitaire ou du déséquilibré n'existe pas. Celle de la piste terroriste "qui semble écartée" n'existe pas non plus.
-
Les attaques au couteau sont des attaques  terroristes, sans loup solitaire et sans déséquilibré. L'attaquant au couteau est un musulman qui tue au nom d'Allah (Allah akbar !). Les enquêtes policières et judiciaires le prouvent et néanmoins les médias font semblant de ne pas comprendre. Car pour les médias, dire la vérité sur les attaquants au couteau, ce serait faire le jeu des "islamophobes".
-
Ce qui compte, c'est de protéger les attaquants au couteau, c'est de les présenter comme des loups solitaires ou des déséquilibrés. Les victimes des attaques au couteau, en revanche, ne sont pas considérées comme des victimes. Elles ne sont que des individus se trouvant au mauvais moment au mauvais endroit, sachant qu'à chaque fois, "la piste terroriste semble écartée".
-
Le djihad armé découle d'une décision collective :
-
A ce propos, Naïma Rudloff, Cheffe du Service de l'Action publique antiterroriste et de l'Atteinte à la Sûreté de l'État, écrivait récemment : Cette théorie du loup solitaire n'existe pas. Ni en 2006 ni en 2018. Aujourd'hui, le processus de radicalisation est le même qu'hier, même si l'organisation des réseaux a changé. Il n'y a pas de loup solitaire, car le djihadisme suppose une allégeance à une organisation ou à un émir. Par ailleurs, le djihad armé découle d'une décision collective, donc ça ne peut être le fait d'un individu seul qui décide de passer à l'acte.
-
D'ailleurs, lorsque nous sommes confrontés à un individu isolé qui passe à l'acte, nous devons nous poser la question de savoir si nous sommes véritablement en présence d'une qualification terroriste. Je tiens également à souligner qu'il n'y a pas d'auto-radicalisation, ni de radicalisation expresse. Le dossier des attentats de Toulouse-Montauban l'a bien démontré. C'est une radicalisation qui est montée en puissance progressivement chez Mohammed Merah. Il y a ses voyages à l'étranger, notamment en Algérie, puis la fréquentation des instituts au Caire en Égypte, au Pakistan et en Afghanistan.
-
Poser la question du rétablissement de la peine de mort pour les terroristes :
-
Enfin, la radicalisation n'est pas une maladie mentale. Il y a finalement très peu d'affaires dans lesquelles un tel diagnostic est posé. Il y a des personnalités plus ou moins fragiles, qui présentent des troubles du comportement, mais, dans la majeure partie des cas, nous avons affaire à des individus parfaitement conscients et responsables de leurs actes. La réponse [ndmg - au terrorisme] permettrait de poser la question du rétablissement de la peine de mort pour les terroristes islamistes plutôt que de libérer ces terroristes au bout de 8 ans.
-
Une fois que nous avons arrêté ces individus se pose le problème de leur détention. Selon moi, ce point est majeur. D'abord parce que les organisations terroristes ont une habitude de la détention. Ils savent la mettre à profit. Ce temps est utilisé par les plus radicalisés à développer leur savoir. Beaucoup s'inscrivent, par exemple, à des cours de philosophie. Ils cherchent aussi à acquérir des connaissances en géopolitique, en rhétorique avec un degré de radicalisation qui augmente car il repose de plus en plus sur un savoir acquis et réfléchi, conclut Naïma Rudloff, Cheffe du Service de l'Action publique antiterroriste et de l'Atteinte à la Sûreté de l'État.
-
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
-
http://www.lepoint.fr/justice/terrorisme-naima-rudloff-il-n-y-a-pas-de-loup-solitaire-06-02-2018-2192487_2386.php
-

Quelques vérités sur l’arrivée massive de “migrants” musulmans

Islam-islamisme-1

   
Michel Garroté  --  Où en sommes-nous, début 2018, avec l'arrivée massive de "migrants" musulmans ? le pape a une nouvelle fois lancé un appel à l’hospitalité envers les immigrés. "Le péché est de renoncer à la rencontre avec l’autre", a-t-il martelé a propos des "migrants" musulmans. En France, le chiffre du nombre de titres de séjour délivrés aux étrangers (essentiellement des musulmans) est passé de 193'000 en 2011 à 262'000 en 2017. En Allemagne, les actes de violence ont augmenté entre 2014 et 2016 de plus de 10% (612 cas élucidés sur 2'091 cas au total) avec l’arrivée massive de "migrants" musulmans.
-
Eglise catholique :
-
Le pape François vient de lancer, une fois de plus, un appel aux Européens pour qu’ils intègrent les clandestins musulmans avec leur identité religieuse. "Avec leur identité religieuse" : donc avec leurs convictions islamiques. Notons que cette exigence du pape n'est pas conforme à la philosophie catholique. Et le pape a une nouvelle fois lancé un appel à l’hospitalité envers les immigrés. "Le péché est de renoncer à la rencontre avec l’autre", a-t-il martelé a propos des "migrants" musulmans. Donc, si on prend au sérieux le pape, les catholiques européens qui veulent stopper la migration massive de musulmans (soit 77% des cathos) sont en état de péché et ne peuvent pas communier. On devrait supprimer les messes et mettre le pape à la retraite, tant qu'à faire.
-
France :
-
En France, le chiffre du nombre de titres de séjour délivrés aux étrangers est passé de 193'000 en 2011 à 262'000 en 2017, soit une augmentation de 69'000 par an. Comparativement, l'augmentation de 10,8% de 27'373 expulsions est donc proportionnellement en baisse. 262'000 en 2017 calculé sur cinq ans, 2017-2021, cela fait plus d'un million de nouveaux "migrants", musulmans pour la plupart, qui s'ajoutent aux 12 millions de musulmans, étrangers et franco-musulmans, vivant déjà en France.
-
"Les croyants musulmans savent très bien ce qui se passe, seule une minorité parmi eux est violente, mais dans l'ensemble, ils n'ignorent pas que leur taux de natalité est tel qu'un jour, tout ici sera leur", a récemment déclaré Mgr Luc Ravel, archevêque de Strasbourg. "Tout ici sera leur" : pour une fois, un évêque français qui dit la vérité sur les croyants musulmans. Mgr Luc Ravel a ajouté que les dirigeants politiques français savent qu'un remplacement de la population est en cours, qui aura rapidement des conséquences beaucoup plus graves que celles qu'on constate aujourd'hui.
-
Allemagne :
-
Commandée par le Ministère allemand de la famille et de la jeunesse, une enquête a été menée par l’un des criminologues les plus réputés d’Allemagne, Christian Pfeiffer, qui s’est concentré sur la Basse-Saxe, une région démographiquement et socialement représentative de l’ensemble du pays. Après les exactions de la Saint-Sylvestre à Cologne le 31 décembre 2015, lorsque des centaines de femmes avaient été agressées sexuellement par des demandeurs d’asile, le ton et l’approche du problème ont changé.
-
Depuis, les responsables politiques – mais aussi les médias – estiment qu’il est important d’évoquer la nationalité des auteurs si cela contribue à élucider un problème. La conclusion des enquêteurs est sans détour : tandis que les actes de violence avaient continuellement baissé depuis plus de dix ans (de moitié parmi les mineurs), ils ont augmenté de nouveau entre 2014 et 2016 de plus de 10% (612 cas élucidés sur 2'091 cas au total) avec l’arrivée massive de "migrants" musulmans. "L’augmentation est due à 92% aux demandeurs d’asile", note leur rapport. A noter que l'Allemagne va accueillir 200'000 migrants musulmans supplémentaires par an.
-
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
-

Islam – Jean-Paul II et Pape François – Du bon sens à la dérive

   
Michel Garroté  --  Selon le pape François, "ceux qui fomentent la peur des migrants sèment la violence et la xénophobie. Ils [les migrants] enrichissent la vie des Nations qui les accueillent", a tout récemment répété le souverain pontife.
-
"Ceux qui fomentent la peur des migrants, parfois à des fins politiques, au lieu de construire la paix, sèment la violence, la discrimination raciale et la xénophobie, sources de grande préoccupation pour tous ceux qui ont à cœur la protection de chaque être humain", a ajouté le pape François ["ceux qui sèment la violence", c'est le paradigme inversé : les islamistes propagent la paix et nous, nous semons la violence ; il fallait oser ; le pape François l'a fait].
-
Le souverain pontife, qui a placé la Journée Mondiale de la Paix, qui aura lieu le 1er janvier 2018, "sous le signe des migrants", a par ailleurs souligné que les migrants et les réfugiés "n’arrivent pas les mains vides". "Ils enrichissent la vie des Nations qui les accueillent", a-t-il ajouté, appelant  --  une fois de plus  --  à les "accueillir", les "protéger, les "promouvoir" et les "intégrer".
-
Fait très éclairant, de son côté, le pape Jean-Paul II, avec bon sens  --  s'adressant à Monseigneur Mauro Longhi, en mars 1993 [au commencement de la terreur islamique], dans l'ermitage de Bienno, sur le Massif du Gran Sasso  --  déclara notamment : "Rappelle-le à ceux que tu rencontreras dans l'Église du troisième millénaire : je vois l'Église affligée d'une plaie mortelle. Elle se nomme l'islamisme. Ils envahiront l'Europe".
-
Jean-Paul II ajouta : "Ils envahiront l'Europe ; l'Europe sera une cave, vieilles reliques, pénombre, toiles d'araignée, souvenirs familiaux. Vous, Eglise du troisième millénaire, vous devrez contenir l'invasion, les armes ne suffiront pas, vous devrez contenir l'invasion avec votre foi vécue intégralement", dit Jean-Paul II en conclusion.
-
De Jean-Paul II au pape François, nous sommes passés du simple bon sens à la dérive islamophile. Sans oublier Benoît XVI, qui paya très cher son analyse pertinente de l'islam, faite à l'Université de Ratisbonne (c'est d'ailleurs à partir de ce moment-là que les médias se sont acharnés contre Benoît XVI - Ratzinger jusqu'à ce que, épuisé, il démissionne).
-
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 28.11.2017
-

L’islamisme n’est absolument pas étranger à l’islam

islam-10

   
Michel Garroté  --  Le nouveau livre de Pierre-André Taguieff, "L’islamisme et nous : penser l’ennemi imprévu" (CNRS éditions, 2017), est un ouvrage majeur pour nous éclairer, en tant que Nations et Civilisation, sur un XXIe siècle qui s’avère - déjà - être très dangereux. Notons, dans ce cadre, qu'en 2016, plus de 1'170 chrétiens ont été tués et 215 millions de chrétiens ont été gravement persécutés dans le monde musulman.
-
L’islamisme n’est absolument pas étranger à l’islam ; il en est encore aujourd’hui une conséquence (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : le passage de l’islamisme ordinaire à l’islamisme criminel s’effectue d’une façon indécelable, et assez logique au plan du raisonnement interne de la religion et de sa geste historique. Les textes anciens et la tradition (sahis, sunna), la littérature des Frères musulmans, le wahhabisme politique et d’État, les appels tant au jihad et au meurtre des juifs et des chrétiens par les organisations islamistes contemporaines qu’à la prise de pouvoir sur les pays européens, tout ceci qui a été écrit et publié par les islamistes, est patiemment analysé, décrit et résumé rigoureusement par Taguieff.
-
L’islam, s’il n’est contenu ni par la raison humaine, ni par un cadre politique nécessairement strict, est par nature guerrier et s’affirme ostensiblement comme tel. Et donc, quels que soient les moyens envisagés et mis en œuvre, l’islamisme se donne vocation à prendre le pouvoir non seulement dans ses contrées d’origine mais encore dans tous les pays du monde. L’ennemi juif et chrétien – ou leurs complices régnants – est censé persécuter les musulmans. Cette victimisation, assénée et mise en scène, justifierait donc une légitime riposte contre l’Occident en général, la France en particulier.
-
Quant aux islamophiles et aux islamo-gauchistes, non seulement ils vivent dans l’impunité (alors qu'ils sont des collabos islamo-fascistes), mais encore ils s’attirent la bienveillance de « sous-chiens » (sic) authentiques : soit de simples bobos (« basse intelligentsia ») au cerveau détérioré par 40 ans de lecture non critique de Libé ou du Monde, pratiquant avec dévotion les rituels de la secte de la pensée unique ; soit, pire, des islamo-gauchistes, ou islamo-fascistes, fous de haine qui fantasment de conduire la nation à la guerre civile en affirmant qu’elle a commencé et qu’ils sont attaqués.
-
Cette maladie intellectuelle se décline en divers sous-types : le sous-type branché-médias qui croit chic-parisien d’inviter des ennemis de l’Occident et des libertés, mêmes habiles comme Ramadan, à parler à des millions de téléspectateurs ; le sous-type anti-islamophobe (ou islamophile) qui, pour bien montrer qu’il est anti-extrême droite, valide de ce fait tout ce qui est lié à l’islam (la prétendue « religion des pauvres »), et même, en cas de crimes, s’efforce d’écarter sans examen, ou de minimiser, la motivation religieuse.
-
En général, ces piliers de plateaux télés (par copinages de toutes natures), paresseux, arrogants et incultes ne connaissent rien à l’islam pour avoir été incapables de l’étudier. On y trouve aussi des psys-à-tout-faire pour qui la riposte adéquate à l’engagement de jeunes des cités aux côtés des génocidaires du Moyen-Orient est le séjour tous frais payés en pension de soi-disant dé-radicalisation (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Adaptation de Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 19.10.2017
-
https://www.causeur.fr/islamisme-islam-pierre-andre-taguieff-147257
-

Intérioriser la sensibilité des musulmans

islam-31

   
Michel Garroté  --  Je lis, y compris sur www.lesobservateurs.ch, que selon ce bon vieux Tariq Ramadan, il faudrait, ose-t-il déclarer, "intérioriser la sensibilité" des musulmans. A ce propos, le géopoliticien Alexandre del Valle écrit notamment (voir lien vers source en bas de page) : L’islamiquement correct est à la fois une idéologie et un syndrome. En Occident, il est tout d’abord une déclinaison islamophile de l’idéologie multiculturaliste et xénophile qui sous-tend les valeurs des démocraties libérales occidentales depuis trois décennies.
-
Au niveau occidental comme au niveau mondial, il désigne également une attitude psychologique de soumission volontaire (« dhimmitude ») face au néo-impérialisme islamique, lequel a comme protagonistes des pôles qui sont à la fois des organisations internationales (OCI, Ligue islamique mondiale, Frères musulmans, etc.) et des Etats islamiques « amis » de l’Occident (Arabie saoudite, Qatar, Koweït, Turquie, Pakistan, etc) mais qui sponsorisent ces mêmes organisations islamistes mondiales dont le projet est d’étendre au monde entier l’ordre théocratique islamique fondé sur la Sharià, ajoute Alexandre del Valle (voir lien vers source en bas de page).
-
Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 20.9.2017
-
Source :
-
http://www.atlantico.fr/rdv/geopolitico-scanner/islamiquement-correct-nouvelle-trahison-clercs-face-au-totalitarisme-islamiste-alexandre-del-valle-3164743.html?yahoo=1
-

Commission fédérale contre le racisme ou pour l’islamisme ?

Nous sommes nombreux à nous souvenir avec précision de ce que nous faisions à l'heure où l'obscurantisme le plus crasse s'en est pris au monde libre. En ce 11 septembre 2001, l'islamisme donnait sa pleine mesure et démontrait aux bonnes âmes ce que la religion de paix et d'amour version Ben Laden était capable de faire aux mécréants que nous sommes. Aujourd'hui, 16 ans plus tard, la bien mal nommée Commission fédérale contre le racisme tient un colloque public à l'Université de Fribourg consacré à la réalité de l'islam en Suisse.

Le constat est sans appel. Les actes hostiles à l'égard des musulmans sont à la hausse dans notre pays. Les organisateurs de ce raout islamophile n'y vont pas par quatre chemins, qui constatent que "depuis des années, les musulmans font les frais de ce type de propagande, qui exacerbe les émotions, sème la méfiance et génère de l'exclusion sociale". Ils évoquent bien sûr les réseaux sociaux, évidemment coupables de relayer les messages haineux émanant de ces fronts étroits insensibles à l'enrichissement culturel que les disciples d'Allah nous proposent.

Bien évidemment, il ne sera point question des appels à la haine que certains imams relaient régulièrement dans ces mosquées qui se transforment implacablement en centres de formation pour jihadistes. On n'entendra pas plus parler de ces terroristes partis faire le jihad après s'être radicalisés à l'écoute des guides de la foi ou simplement en consultant les sites idoines sur internet. Non, le musulman ne peut être que victime puisqu'autre, l'altérité étant par définition positive et enrichissante. Pas le moindre écho au sujet des vidéos régulièrement transmises sur le Net montrant les atrocités des égorgeurs qui s'apprêtent à profiter de notre naïveté pour revenir chez nous poursuivre leur combat suite à leur défaite sur leur terrain. Pour la présidente de la commission en question, Martine Brunschwig-Graf, le rejet dont seraient victimes les disciples d'Allah "est nourri par des faits qui n'ont rien à voir avec les musulmans en tant que tels, mais avec des événements internationaux". Des faits qui n'ont rien à voir avec les musulmans en tant que tels mais régulièrement perpétrés aux cris d'Allah Akbar, ce qui suppose une porosité certaine entre islam et terrorisme.

En fait de colloque, l'événement du jour vise une fois de plus à exonérer l'islam de toute responsabilité dans les horreurs qui endeuillent la planète un peu partout. Il s'agit d'une magistrale entreprise de propagande financée par les contribuables, ce qui allège d'autant le budget que l'Arabie saoudite consacre à la diffusion de la haine de l'Occident en Occident. A l'heure où les polices suisses mettent régulièrement à jour les conspirations islamistes en gestation plus ou moins avancée sur notre sol, la bien-pensance stipendiée par l'impôt s'agite en vue de présenter les auteurs comme victimes de ceux qu'ils massacrent avec enthousiasme. Si tant est que les membres de la commission aient eu quelque honneur, ils l'ont perdu ce jour, qui n'ont rien trouvé à redire aux propos d'Abu Ramadan appelant Allah à détruire les ennemis de l'islam, les Juifs, les Chrétiens, les Hindous, les Russes et les Chiites. Non, pour Martine Brunschwig-Graf et ses amis, pareil message ne pose aucun problème, seules les réactions hostiles de ceux qu'Allah est appelé à détruire doivent être flétries sur l'autel du vivre-ensemble.

Mustafa Kemal parlait de l'islam en ces mots : "Cette théologie absurde d'un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies". Pour empoisonner nos vies, il a vu juste mais il est à craindre que le cadavre ne soit plus vivant que jamais.

Yvan Perrin

L’ouragan “Charia planétaire”

islam-16

   
Michel Garroté  --  Tempêtes (Texas), séismes (Mexique), ouragans (Irma aux Caraïbes et en Floride, etc.), tremblements de terre (Japon), la nature se déchaîne et fait la 'Une' des médias (cela dit le nombre de morts reste étonnement faible pour le moment). Les catastrophistes et les messies temporels annoncent la Fin des Temps, l'Apocalypse et appellent à faire un don ; les climatistes mettent tout sur le dos du changement (climatique évidemment) ; les bobos pleurent la mort de Pierre Bergé ; Vincent Placé a perdu sa breloque à 7'000 euros dans des circonstances obscures. Purée, c'est vrai ça en fait des désastres, petits et grands, en si peu de temps. Cela dit, tous ces événements, abondamment repris dans la presse, ne doivent pas occulter le plus grand des ouragans, celui de la "Charia planétaire".
-
A ce propos, Ivan Rioufol, dans "A ceux qui ont empoisonné la France", écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Un venin coule, depuis plus de trente ans, dans les veines de la France maltraitée. Ses gestes s’alourdissent, sa vue se brouille, sa raison vacille. Mais des faux gentils persistent à lui injecter d’amères humeurs sur son passé, ses pensées, ses arrière-pensées. Ces belles âmes perverses veulent la Nation à genoux, afin qu’elles se voient grandes. Les effets dans l’Éducation nationale sont effrayants : ici et là, la république humiliée s’efface. Le livre d’un ancien principal de collèges marseillais " difficiles", Bernard Ravet, décrit l’emprise de la charia au cœur de l’école publique. Le témoin relate la mixité sociale absente, la contestation de la théorie de l’évolution, le sexisme, la généralisation du ramadan, l’antisémitisme, le prosélytisme, etc.
-
Les médias s’offusquent. Mais le scandale est ailleurs, dans l’incapacité de l’État zombie à réagir à une radicalisation décrite depuis les années 2000. Le danger est moins l’islam que tous les salauds vertueux qui continuent à empoisonner la France. Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Éducation nationale, redonne espoir quand il tourne le dos aux Diafoirus du pédagogisme. Mais il demeure désespérant quand il divise les classes de CP en deux, sans rien tenter pour expulser d’abord la religion de l’École laïque. "J’ai demandé un bilan national sur le sujet", a-t-il expliqué, lundi au Figaro, en réponse aux "révélations" du proviseur.
-
Cet aveu dit l’indolence de la république, abrutie de repentances. Qui a pris au sérieux les premières alertes, lancées dès les années 1990, notamment pas votre serviteur  ? Le rapport Obin et Les Territoires perdus de la République ont été, début 2000, deux ouvrages majeurs qui décrivaient le multiculturalisme et ses dérives racialistes. Constat de l’enseignante Barbara Lefebvre (« FigaroVox ») : "À l’école de la République depuis trois décennies au moins on a su très bien s’y prendre pour déraciner les savoirs et la culture, pas la haine". La France ne retrouvera sa fierté et le goût de la reconquête que si elle cesse de suivre la palanquée d’esprits chagrins, de traîtres sentencieux, de lâches soumis à la brutalité islamique, conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
De son côté, Lafautearousseau, dans "La question du régime se pose toujours en France", donne un éclairage royal qui décoiffe (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Nous savons bien que, selon le constat lucide de Jacques Bainville, si souvent cité, « tout a toujours très mal marché ». Ce réalisme pessimiste devrait d’ailleurs épargner aux maurrassiens le reproche rebattu d'avoir idéalisé notre passé monarchique, fût-il, au regard de l'Histoire, plus réussi et de très loin que ce qui a suivi jusqu'à nous. Plus profondément, les lecteurs de Gustave Thibon savent aussi que le Politique est ce « gros animal » dont a parlé Simone Weil, où le bon et le mauvais se mêlent inéluctablement, où une forme même approchée de perfection est inatteignable, où subsistera toujours un lot non éliminable de turpitudes, de violences, de médiocrités et d'injustices.
-
On ne conforme pas une société à l'idéal comme ont pu être ciselés jusqu'à la quasi perfection une fable de La Fontaine, une tragédie de Racine, une sculpture de Puget, un poème de Verlaine, ou même une commode de Boulle. Telle est, en ce sens, la supériorité des arts sur le politique. Seul, peut-être, par leur conjonction heureuse, le siècle de Louis XIV a pu s'approcher d'une forme de perfection d'ensemble, encore que le Grand Roi se soit reproché sur son lit de mort d'avoir trop aimé la guerre et, pour la faire, d'avoir demandé des efforts excessifs à ses sujets. Ils en auront eu, pourtant, les bénéfices sous les règnes suivants d'où la guerre fut presque absente et où ils s'enrichirent. Encore ce XVIIIe heureux se termina-t-il par la Révolution et son cortège d'horreurs. Pas encore achevées, d'ailleurs.
-
Ces réserves ayant été faites, il y a tout de même des degrés dans l'imperfection. Vu sous cet angle, à l'orée du quinquennat d'Emmanuel Macron, l'état présent de notre pays nous semble avoir atteint un degré d’échec, sinon maximum, du moins très élevé, avec ses 2'200 milliards de dette, ses 9 à 10 millions de pauvres, ses 6 millions de sans travail, ses 10 millions  d’habitants issus d'une immigration en majorité musulmane, difficilement intégrable et pour partie agressive.
-
A quoi s’ajoutent la menace  terroriste pesant sur toutes les têtes, des engagements extérieurs où s'enlisent nos militaires, une économie en déclin, une industrie dont des pans entiers ont été sacrifiés au dogme libre-échangiste et qu’il ne sera pas aisé de reconstruire, une agriculture réduite à presque rien et, en tout cas, à la misère, une société plus que jamais fractionnée entre riches et pauvres et ce, parfois, dans des proportions honteuses ; sans compter notre déchéance culturelle et morale, la pire, sans doute, de ces plaies.
-
C'est sans nul doute à raison d'un tel inventaire, même s'il devrait être approfondi et nuancé, que, curieusement, après cent cinquante ans à peu près ininterrompus de pratique républicaine, de la IIIe à la Ve république, la question du régime se pose toujours en France et qu'un recours à la solution monarchique y est périodiquement remis sur la table. Aujourd'hui, c’est un paradoxe que d'avoir pour président de la République un homme qui, lorsqu'il était ministre de l'Économie sous la présidence de François Hollande, expliqua à des journalistes l'incomplétude de la démocratie et qui leur précisa que le problème de la France est qu'il lui manque un roi.
-
Nous voulons bien le croire, nous qui nous sommes parfois demandé s'il était encore légitime, soutenable, près de deux siècles et demi après la Révolution, de continuer à vouloir que notre royalisme aboutisse. Notre conclusion toujours renouvelée est que, dans la situation où elle se trouve et face aux crises qu’elle ne peut manquer de rencontrer, cette possibilité, ce recours, doivent être préservés pour la France. C’est ce que pensèrent en leur temps, en faisant omission de notre actuel président de la République, deux de ses prédécesseurs : Charles De Gaulle et François Mitterrand, conclut Lafautearousseau (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour Les Observateurs, 9.9 2017
-
http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2017/09/bloc-notes-a-ceux-qui-ont-empo.html
-
http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/09/06/pourquoi-y-a-t-il-toujours-des-royalistes.html
-

« Silence, on tue ». Bernard De La Villardière dénonce la lâcheté officielle face à l’islamisme

24/08/2017 – 05h00 Paris  (Breizh-info.com) –  Bernard De La Villardière n’est pas de ceux qui manient la langue de bois. Le présentateur de l’émission Enquête exclusive – qui avait fait « le buzz » en ne se laissant pas intimider par des racailles de banlieue parisienne lors d’un tournage – vient de vivement réagir aux attentats en Espagne, dénonçant l’hypocrisie médiatique et politique qui a suivi ces attaques islamistes.

Suite