Berlin : un Irakien récidiviste jugé pour avoir lacéré grièvement le visage et le ventre de sa victime lors d’un vol

Selon l'accusation, le 8 juin, Sevan D. (24 ans) a exigé l'argent et le téléphone portable de sa victime. Le jeune homme a refusé de donner ses objets de valeurs. Le voleur lui a alors infligé de graves coupures au visage, au ventre et au bras, puis il s'est enfui. La victime a été hospitalisée et opérée.

Par la suite, le jeune homme blessé a reconnu l'agresseur sur Facebook : Sevan D., né en Irak, sans-abri à Berlin, connu de la police sous divers pseudonymes et déjà condamné. Quelques semaines avant le crime violent, l'Irakien était sorti de prison. A présent, il se trouve de nouveau en garde à vue. Le ministère public l'a accusé de lésions corporelles dangereuses et de tentative d'extorsion particulièrement grave.

Face au tribunal, l'Irakien nie tout. Il fait des gestes obscènes devant les photographes et exige avec agressivité : "Je ne comprends pas l'interprète, je suis kurde, j'en veux un de ma patrie ! Pourquoi me retenez-vous ici ?" Il risque une peine pouvant aller jusqu'à dix ans d'emprisonnement.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bz-berlin.de

Berlin. Trafics de drogues tenus par des Africains : la maire (Vert) déclare “Pour une femme, c’est trop dangereux de se promener dans les parcs berlinois”

Si vous voulez acheter de la drogue à Berlin, vous en trouverez rapidement au parc de Görlitz à Berlin-Kreuzberg. Des groupes d'hommes, pour la plupart d'origine africaine, se tiennent le long des chemins et proposent du cannabis, mais également des drogues dures.

Monika Herrmann (membre du parti de gauche Les Verts), maire du quartier de Friedrichshain-Kreuzberg, n'ose plus se rendre dans les parcs de Berlin la nuit. Elle estime que c'est trop dangereux pour elle.

"Je me ne promène dans aucun parc à Berlin, je ne sais pas comment vous faites, mais c'est trop dangereux pour moi en tant que femme" répond-elle au journal Welt.

Son district comprend l'un des centres de trafic de drogue les plus connus de Berlin, le parc de Görlitz, problème pour lequel elle tente de trouver une solution. Les trafiquants s'y réunissent depuis des années, s'adressant même aux enfants et aux adolescents pour leur vendre des drogues. [...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Welt.de / Focus.de

Berlin : Affrontement entre clans en pleine rue à coups de machette

Christian Hofer : La problématique de ces clans est connue depuis longtemps par les autorités allemandes. Mais elle a été passée sous silence afin d'éviter toute accusation de racisme.

 

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Les autorités pensent qu'il s'agit d'une rixe entre clans. Une vidéo montre des scènes de violence.

Berlin. Plusieurs bagarres en peu de temps dans les environs de la Neuköllner Fuldastrasse ont mis les services de sécurité de Berlin en état d'alerte.

Les affrontements sont explosifs - notamment parce qu’il s’agit en partie de querelles de clan. Les experts de la scène ont déclaré que les soi-disant juges de paix s'étaient depuis longtemps penchés sur la situation pour éviter que les conflits ne s'aggravent davantage.

Selon la police, entre 40 et 50 personnes ont participé à une bagarre de masse mardi après-midi. Plusieurs personnes ont été blessées et 60 policiers étaient présents.

 

https://www.youtube.com/watch?v=buk_3lOlVlw

 

Des vidéos montrent des scènes de violence. On peut notamment voir plusieurs hommes qui s'attaquent. Deux d’entre eux arrachent des panneaux de signalisation et frappent leurs adversaires. Un homme tient une machette à la main.

 

https://youtu.be/UV3PCa6IJi0

 

Bagarre de masse à Neukölln : la police a dû fermer la rue

On a dénombré plusieurs victimes. Un homme de 22 ans a subi des blessures à la tête, aux bras et au torse. Une personne de 36 ans a été blessée à la tête et aux jambes. Un garçon de 28 ans s'est plaint d'une irritation des yeux et un garçon de 13 ans a été blessé à la tête.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Morgenpost.de

 

 

Berlin : Ali K. jugé pour le viol et le meurtre de Georgine Krüger “Il aurait jeté le corps dans les ordures ménagères”

Durant des années, la disparition de Georgine Krüger a été l'un des cas de personnes disparues les plus célèbres d'Allemagne. Le suspect, âgé de 44 ans, est accusé d'avoir attiré la jeune fille de 14 ans dans une cave de son appartement en septembre 2006, de l'avoir violée et étranglée. Le corps n'a jamais été retrouvé.

L'écolière avait aidé l'homme de son voisinage à porter des sacs. Il l'a frappée avec un objet métallique et a abusé d'elle, déclare la procureure. Puis il l'a tuée pour l'empêcher d'être dénoncé à la police.

Ce n'est qu'en 2017 que les agents de la police criminelle ont suspecté l'homme à la suite d'enquêtes d'infiltration.

Le père de famille avait déjà été condamné à une peine avec sursis en 2013 pour abus sexuel sur mineur.

5ème jour du "procès pour meurtre sans corps" - 13 ans après la disparition de Georgine. L'accusé soupçonné d'assassinat Ali K. est menacé d'emprisonnement à vie. Il ne montre aucune émotion au tribunal.

Deux jours après la disparition de Georgine Krüger (14 ans) en 2006, une centaine de policiers ont fouillé les maisons de la Stendaler Strasse, du numéro 1 au  numéro 23 à Moabit. "Mais seulement les pièces qui étaient ouvertes", se souvient un agent de la police criminelle.

Les fonctionnaires ne sont pas entrés dans les caves fermées à clé à ce moment-là. "Nous n'avions pas de mandat de perquisition", a déclaré le policier. [...]

Le corps de Georgine aurait été dissimulé dans la cave d’Ali K. Le père de famille vivait dans la Stendaler Strasse 3. Par la suite, il aurait jeté le corps dans les ordures ménagères. On ne l'a jamais retrouvé.

272 bâtiments fouillés

272 bâtiments ont été fouillés après la disparition de l'écolière en septembre 2006. De la cave au grenier, disait-on. Le juge demande : "Mais si une cave était fermée à clé, les fonctionnaires n'entraient pas ?". "C'est vrai", répond l'agent de la police criminelle.

[...]

Bz-berlin.deSpiegel.de

 

Berlin : une formation sur la sexualité pour les migrants

En discothèque, un homme et une femme échangent des regards, boivent, rient, dansent, puis s'embrassent. L'homme ramène la jeune femme chez lui, ferme la porte à clé, elle veut partir, il la viole.

La vidéo terminée, sept hommes d'une trentaine d'années, venus à Berlin en provenance de Syrie, Irak ou Afghanistan, sont invités à réagir: "Elle a trop bu, ils couchent ensemble", lance l'un d'entre eux, convaincu que le garçon a profité de l'état d'ébriété de la jeune femme pour abuser d'elle. "Il savait très bien ce qu'il voulait", abonde un autre.

"Ca arrive fréquemment à Berlin, les jeunes boivent beaucoup, se droguent..." et dans ce cas, ce type d'agression peut se produire, prévient la formatrice, Carola Pietrusky-Niane.

A Marzahn, un des quartiers les plus défavorisés de Berlin, où ont atterri nombre des milliers de réfugiés accueillis dans la capitale depuis 2015, les sept hommes assistent, par une chaude après-midi d'été, à quatre heures de cours intitulés "Ensemble pour le respect de la sécurité".

Plus prosaïquement, il s'agit d'une formation sur la sexualité et le consentement. "Ce sont des thèmes difficiles, parlez librement", les encourage la formatrice.

Réunis autour d'une table, des plateaux de fruits posés devant eux, les sept hommes, célibataires et la plupart sans enfants, sont tous volontaires pour suivre cette séance, organisée par l'association norvégienne Hero, qui gère plusieurs foyers de migrants en Allemagne.

Comment savoir si une femme est consentante? Quels conseils donner à des réfugiés qui viennent de pays où filles et garçons sont souvent scolarisés dans des établissements séparés, où les manifestations de tendresse sont proscrites en public, où le viol au sein du couple n'est pas considéré comme un crime?

[...]

"Chez nous, nous avons deux lois: celle de l'Etat et celle de la famille, du clan", explique un participant.

Pour nombre d'entre eux, devoir dénoncer un proche auteur d'un viol ou d'actes de maltraitance n'irait pas de soi, encore moins si le coupable est leur père. "L'honneur est une valeur importante pour nous", résume un participant.

Un autre s'émeut qu'en Allemagne un enfant puisse garder le nom de sa mère en cas de divorce.

[...]

L'Express

Berlin. Manifestation contre le racisme : Le drapeau allemand n’est pas le bienvenu. “Nous préférons le drapeau Welcome Refugees.”

La co-organisatrice de la manifestation à Berlin, Theresa Hartmann est interviewée.

Mme Hartmann, comment avez-vous vécu samedi dernier?

Samedi nous a complètement bouleversés, il y avait 242 000 personnes dans la rue, beaucoup plus que prévu. Je crois que nous avons donné un témoignage important contre le racisme et l’exclusion, ainsi que contre les réductions progressives de l'aide sociale.

Selon vous, quelle est la raison pour laquelle tant de gens sont venus? Y a-t-il un grand désir de solidarité?

De nombreux habitants de Hambourg et de Munich sont également descendus dans la rue, ce qui a été le point culminant: les gens commencent à se rendre compte qu'ils doivent faire quelque chose pour que quelque chose change, car le statu quo est insoutenable.

Qu'est-ce qui est insupportable?

Le droit à la santé, au logement, à la migration et au droit d'asile, aux soins, toutes les questions sociales sont traitées dans le prolongement de la question migratoire.

Il y a eu des critiques parce qu'aucun drapeau allemand ni européen n'était autorisé.

Il n'y a eu aucune interdiction de drapeaux lors de notre manifestation. Ceci nous l'avons dit. Mais nous avons également dit que le drapeau allemand ne devrait pas être le symbole de notre manifestation. Autant que ce soit le drapeau arc-en-ciel du Queer Block, les drapeaux syndicaux, ou "Refugees Welcome". Nous ne voulions pas du drapeau allemand.

Est-ce que ce n'est pas intolérant?

Je ne pense pas que ce soit intolérant. Cela a simplement quelque chose à voir avec le fait que ce drapeau est incroyablement connoté par la droite et que nous ne voulions pas défendre la fierté nationale, mais d'autres sujets, les problèmes sociaux. Le drapeau n'était pas interdit, mais il n'était pas non plus désiré.

(...)

 

Tagesspiegel.de / Tagesschau.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

 

 

Berlin : « Il n’y a jamais eu autant d’attaques contre les homosexuels. Les auteurs sont presque toujours issus de l’immigration »

Berlin (Allemagne) – Une insulte, une dispute et finalement une rixe sauvage dans une station de métro dans le quartier de Neukölln. Dans une vidéo qui vient de paraître, deux jeunes arabophones attaquent un transsexuel et le poursuivent sur la plate-forme.

Il ne s’agit pas d’un cas isolé : jamais auparavant il n’y avait eu autant d’attaques contre les homosexuels, l’année dernière seulement à Berlin, 324 cas d’agressions ou insultes homophobes ont été signalés. Et selon les estimations de la police, le nombre de cas non signalés est beaucoup plus élevé.

Les auteurs des agressions homophobes sont presque toujours issus de l’immigration. (…) « Nous estimons que 80 à 90 % des actes homophobes ne sont pas signalés », d’après la police.

L’une des raisons possibles est « que les victimes pensent que la police ne fera rien ».

(…)

Berliner-Zeitung.de

Via Fdeouche.com

Berlin : Un Ethiopien et trois Somaliens agressent les voyageurs. Le train est arrêté en urgence.

Jeudi matin, quatre hommes ont attaqué plusieurs voyageurs sur la ligne S-Bahn S26. Un homme de 24 ans s'est présenté à l'hôpital avec un nez cassé.

Jeudi, à 9 h 20, une altercation physique a éclaté entre quatre personnes à la gare de Südkreuz. La bagarre a continué dans le train.

Coup de pied au niveau du cou. Ceux qui viennent en aide sont agressés.

Le quatuor, un Ethiopien et les trois Somaliens, ont continué à voyager. Un Berlinois qui se serait plaint d'une cigarette allumée aurait soudain reçu un coup de pied brutal au niveau du cou de la part d'un homme du groupe.

Alors que d'autres témoins voulaient intervenir, un autre Berlinois a été blessé. Le jeune homme de 24 ans a dû être hospitalisé avec un nez cassé et d’autres blessures au visage.

Frein d'urgence tiré

Peu après qu'un témoin de la station de S-Bahn Priesterweg ait tiré le frein d'urgence du train, la police fédérale a arrêté les quatre hommes. Auparavant, ils auraient également attaqué le conducteur du S-Bahn.

La police fédérale a engagé une procédure préliminaire pour blessures corporelles graves à l'encontre des hommes âgés de 18 à 28 ans.

 

Bz-berlin.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Berlin : une fille de 18 ans, insultée « en arabe » et harcelée par un groupe de 30 personnes, a été pourchassée et attaquée par cette meute lorsqu’elle leur a demandé d’arrêter

Un jeune couple, une jeune fille de 18 ans et un jeune homme de 23 ans, dînait dans un fastfood à Berlin. Une foule d’une trentaine de personnes ont fait des allusions à caractère sexuel « en arabe » à l’encontre de la fille qui, comprenant l’arabe, s’est levée et leur a demandé d’arrêter.

La rage de la foule d’individus était telle que le couple a été obligé de fuir à travers Berlin, pourchassé par une meute d’une trentaines d’individus qui les ont attaqués à coups de chaises et de bouteilles. La jeune fille a reçu une bouteille dans le dos et a perdu connaissance.

Son compagnon a tenté de la protéger en la portant et se sont abrités dans une cour intérieure d’immeuble mais ils étaient toujours poursuivis.

Heureusement la police est arrivée rapidement. Trois attestations pour le moment.

BILD

Berlin : un juif tabassé dans un parc par 10 individus dont 7 Syriens, l’agression serait de nature antisémite

Dix personnes ont été interpellées en Allemagne après une possible attaque antisémite contre un homme dans un parc de Berlin, a annoncé dimanche la police.

Celle-ci n’a donné aucune précision sur les noms et la nationalité de ces trois femmes de 15 à 21 ans et sept hommes de 17 à 25 ans. Selon Bild, sept de ses individus sont des Syriens, les trois autres auraient la nationalité allemande.

Selon la police un homme âgé de 25 ans a demandé du feu, mais un homme de ce groupe lui a arraché sa cigarette, et une bagarre a éclaté lorsque ce dernier a vu que la victime portait une chaîne avec une étoile de David, qui lui a été arrachée avec des « insultes antisémites ». Il aurait également frappé la victime au visage, qui aurait ensuite été rouée de coups par d’autres membres du groupe. Blessée à la tête, elle a été hospitalisée.

7sur7.be

Nos remerciements à Tommy

 

Rappels :

Berne veut engager des moyens financiers pour protéger les juifs et les musulmans contre les « extrémistes de droite ».

Allemagne: Des écoliers non musulmans subissent les sévices des musulmans. « Les attaques deviennent monnaie courante dans certaines écoles. »

Belgique : des manuels antisémites et prônant le djihad sont au cœur de la formation d’imams à Bruxelles, selon un rapport confidentiel

 

Allemagne : La police blesse un individu par balles dans la cathédrale de Berlin, opération en cours (Vidéo du direct)

Un policier a blessé par balles une personne "causant des troubles" à l'intérieur de la grande cathédrale de Berlin, ont déclaré les forces de l'ordre qui ont bouclé l'entrée de l'édifice. L'homme de 53 ans était armé d'un couteau et était de nationalité autrichienne.

Un officier de police a ouvert le feu sur un individu dans la cathédrale de Berlin pour un motif encore inconnu. Sur des images diffusées sur les réseaux sociaux, on peut voir des policiers boucler la zone. Les secours sont également sur les lieux

 

 

«Un coup de feu a été tiré dans la cathédrale de Berlin [ce 3 juin]», a déclaré un porte-parole de la police allemande à Reuters, sans donner les détails de l'incident. Selon l'agence de presse, un policier aurait ouvert le feu sur un individu.

 

 

Sur Twitter, la police a précisé que l'individu ciblé par la police avait été blessé aux jambes. «Vers 16h, la police est intervenue en raison d'une personne causant des troubles [dans la cathédrale]. Par la suite un agent de police a fait usage de son arme de service», a déclaré une porte-parole de la police à l'AFP sans fournir davantage de détails.

Les secours ont été envoyés les lieux, comme en attestent des vidéos publiées sur les réseaux sociaux.

Source

Source2

Berlin : un migrant clandestin camerounais bat à mort une dame de 84 ans à coups de déambulateur

A Berlin, une retraitée de 84 ans tuée dans son appartement par un migrant de 23 ans originaire du Cameroun et en situation illégale en Allemagne. La dame avait été retrouvée par son fils morte dans son appartement le 3 mai dernier. L’autopsie a révélé des blessures violentes à la tête et au buste. La retraitée a été tabassée à mort par un jeune Camerounais de 23 ans en situation illégale en Allemagne : la brigade criminelle a arrêté le principal suspect. Selon le journal « Bild », la retraitée aurait été battue à mort avec son propre déambulateur. Toujours selon le même journal, le tueur camerounais serait en situation illégale en Allemagne, après avoir essuyé en 2015 un premier refus suite à sa demande d’asile déposée en Belgique en 2012. Selon les accords de Dublin, il ne serait plus recevable à l’asile sur le territoire européen, de ce fait, le tueur aurait usé d’une fausse identité pour faire une nouvelle tentative outre-Rhin.

Le suspect est par ailleurs déjà défavorablement connu des services de police, avec une longue liste de délits et crimes qui vont du vol jusqu’à une douzaine de coups et blessures ainsi qu’une agression sexuelle. D’où la question : pourquoi un tel individu se trouve encore sur le sol allemand et n’a pas été expulsé ? Pour seule réponse, l’Office des réfugiés « demande de la compréhension et se cache derrière la protection des données des individus ». L’assassin camerounais, hébergé dans un centre pour sans abri, aurait fait la connaissance de sa victime dans la rue ou dans un parc. Les voisins de la victime ont reconnu le tueur

Die Welt

Berlin: Des réfugiés déjà connus de la police tabassent et volent des cyclistes

Deux cyclistes ont été battus et menacés de couteaux dans le quartier de Berlin-Tiergarten par plusieurs agresseurs. Deux des auteurs sont encore mineurs.

Un groupe de réfugiés connus de la police a attaqué deux cyclistes la nuit. Vers 1 heure du matin, près du pont des Lions, ils ont encerclé les hommes, leur ont asséné des coups de pied et les ont battus. L'un des agresseurs les a menacés avec un couteau et a exigé leurs téléphones mobiles.

Le groupe composé de 6 à 7 jeunes hommes a fui en emportant un téléphone portable après que les deux victimes (âgées de 46 et 56 ans) aient appelé à l'aide.

À la gare de Tiergarten S-Bahn, les enquêteurs ont pu arrêter trois suspects (16, 17 et 18 ans) - le jeune homme de 18 ans portait le téléphone et un couteau sur lui.

Tous les trois sont d'origine afghane, deux d'entre eux n'ont pas d'adresse fixe. Ils sont déjà connus pour violences.

 

(...)

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

 

Berlin: Ahmed T. poignarde à mort sa compagne Patrycja F. devant ses enfants. Elle s’était convertie à l’Islam.

Elle ne pouvait plus supporter la brutalité de son ami et voulait rompre avec lui. Les voisins ont longtemps craint ce qui est arrivé: Ahmed T., 39 ans, a tué sa compagne Patrycja F.

Selon l'enquête, Ahmed T. a poignardé à plusieurs reprises la femme. Les enfants en commun Serrin (11 ans), Mohamed (8 ans) Idris (4 ans) et Yusra (2 ans) étaient là et ont tout vu.

Vers 20h30, les voisins ont appelé la police. Ils ont entendu les enfants crier "Maman est morte!". Les policiers ont trouvé Patrycja éclaboussée de sang. Elle était couverte de plaies perforantes. Un médecin des urgences a essayé de ranimer la femme sans vie - en vain.

Les voisins le décrivent comme "fou"

Les voisins racontent que la police était constamment dans l'appartement. En raison de sa brutalité, Ahmed T. aurait été interdit de contact pendant un an. Néanmoins, il était toujours là. "Elle l'a toujours laissé entrer", explique un voisin. "Si la police l'emmenait parce qu'il la battait, elle le défendait toujours."

Patrycja F., originaire de Pologne, s'est convertie à l'islam et ne sortait de la maison qu'en portant un foulard. (...)

 

Berliner-zeitung.de Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Λlex Λ

 

Allemagne: La police déjoue un attentat islamiste au couteau visant le semi-marathon de Berlin

Quatre hommes ont été arrêtés alors qu'ils planifiaient une attaque au couteau contre des passants à l'occasion du semi-marathon de Berlin.

Quatre hommes soupçonnés d'avoir planifié un attentat au couteau contre les spectateurs du semi-marathon de Berlin ont été arrêtés par la police allemande, rapporte le quotidien local Die Welt.

L'événement sportif a eu lieu ce dimanche dans la matinée.

L'un des hommes, suspect principal de l'enquête, équipé des deux couteaux "aiguisés", serait lié au terroriste Anis Amri, 24 ans, à l'origine de l’attentat de Berlin au camion-bélier contre un marché de Noël en décembre 2016. Ce dernier, qui avait entraîné la mort de 12 personnes, avait été retrouvé et abattu par la police à Milan.

Le suspect n°1, surveillé depuis longtemps par les autorités allemandes, serait motivé par la vengeance de la mort d'Anis Amri.

Source

Nos remerciements à Pierre 1er 

Allemagne: Mohammad S. et son gang accusés de viols collectifs sur 2 jeunes adolescentes. L’une d’elles n’a été libérée qu’après 3 jours.

Deux Allemandes, âgées de 14 et 16 ans, auraient été violées à Berlin par six hommes.

Mohammad S. et son pote Wael I., sont entre autres accusés de viols collectifs.

Les deux jeunes filles auraient été abusées par six hommes originaires des quartiers immigrés de la ville de Berlin: Neukölln et Wedding.

Mohammad S. (17 ans), aurait rencontré la plus jeune des deux, l'adolescente de 14 ans, lors de l'été 2015 via Facebook. Lors de relations sexuelles consenties, il a réalisé des photos et des vidéos.

Il a menacé de publier les enregistrements, forçant ainsi la jeune fille à commettre d'autres actes sexuels avec les cinq co-accusés, a indiqué le procureur. Le 22 septembre 2015, elle a dénoncé ses bourreaux.

Le 20 septembre 2016, c'est une jeune fille de 16 ans qui aurait été abusée dans un appartement de la banlieue de Neukölln, à Berlin.

A la suite d'un jeu de boissons, l'adolescente était tellement saoule qu'elle n'a pas pu se défendre, selon le procureur. Elle aurait crié et vomi pendant qu'on la battait et qu'on se moquait d'elle à maintes reprises.

Elle aurait subi plusieurs agressions sur une période de 3 jours. Puis, elle a été libérée de l'appartement par la police.

Aucun des accusés n'est en détention. Un seul a été considéré comme adulte lors des faits: Wael I., qui a 26 ans. Ce dernier déclare à propos de l'écolière de 14 ans: "Les rapports sexuels étaient consentis; Je n'étais pas au courant des pressions et de la contrainte. Je ne savais pas que la personne avait été soumise à des chantage sexuels."

Concernant l'étudiante de 16 ans, il ne veut en parler que lorsque le public quitte la salle. Toute autre situation heurterait sa «sphère sexuelle», a déclaré son avocat.

(...)

 

 

Source Source2 Traduction libre Les Observateurs.ch

 

Berlin. Pressions de l’Islam dans les écoles: “Même les bonbons sont devenus un problème car ils contiennent de la gélatine non hallal.”

"Il y a déjà de nombreux exemples d'intimidation religieuse dans les écoles aujourd'hui", a déclaré Hildegard Greif-Groß, directrice de l'école primaire Peter Petersen à Neukölln.

Si les enseignantes étaient autorisées à porter des symboles religieux comme un voile, ces conflits seraient aggravés. Plus concrètement, la directrice rapporte que des élèves auraient été confrontés à des camarades musulmans rigoristes en raison d'un pain au jambon de porc car le Coran l'interdit.

"Même les oursons en gomme ne sont pas considérés comme propres", a-t-elle déclaré. Car il y a de la gélatine animale provenant de bétail qui n'ont pas été abattus de manière "halal". Même des élèves de l'école primaire ont été de plus en plus mis sous pression par la famille et les camarades de classe pour mettre un voile. "Le grand-père donne 100 euros pour ça."

(...)

 

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Hildegard Greif-Groß.

 

Voile, crucifix et kippa

L'objectif est de maintenir la loi berlinoise sur la neutralité - elle interdit aux enseignants, agents de police et au personnel judiciaire de porter des symboles religieux tels que le voile, le crucifix ou la kippa. La loi, qui a plus de douze ans, subit des pressions considérables depuis que le Tribunal des prud'hommes a attribué des indemnités pour cause de discriminations à des enseignantes qui avaient été refusées dans les écoles primaires en raison de leur voile.

En outre, la Cour constitutionnelle fédérale s'est prononcée dernièrement contre une «interdiction générale du voile».

À Berlin, cependant, les enseignantes des écoles professionnelles sont autorisées à porter un voile. Des représentants de la gauche et de la délégation régionale des Verts se sont également exprimés pour une révision de la loi sur la neutralité.

« Nous ne sommes pas islamophobes, nous voulons juste que la religion reste en dehors des écoles », a déclaré l'avocat Walter Otte, l'un des principaux initiateurs de l'initiative de la loi sur la neutralité. Il dirige le groupe de travail Laïque Vert Berlin.

La directrice Greif-Groß a mis en garde contre une «ghettoïsation des écoles» dans les quartiers centraux comme à Neukölln-Nord, Wedding et ailleurs, la religion devrait y jouer un rôle croissant. "Il ne faut pas que nous ayons une école arabe, une école turque et une école européenne dans certaines zones", a déclaré la femme de 62 ans.

En tant que directrice d'une école particulièrement réputée à Neukölln, elle reçoit déjà des appels téléphoniques de parents inquiets dont les enfants sont victimes d'intimidation dans d'autres écoles et qui demandent désormais leur admission. Les Kurdes ou les Alévis sont particulièrement touchés.

Madame Greif-Groß a souligné que cela fait 38 ans qu'elle est dans cette école. Auparavant, presque personne ne portait de voile ici. Dans le passé, les mères travaillaient dans les usines, mais aujourd'hui on permet beaucoup moins aux filles.

À la mi-mars, le procès d'un enseignante qui veut porter son voile à l'école sera à nouveau entendu devant le Tribunal du travail. Trois autres sont en attente.

(...)

Source et article complet Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Berlin: Une étudiante britannique tabassée et violée dans un Bar à chicha. La police refuse de donner le signalement des agresseurs.

Une étudiante de 18 ans en voyage universitaire a été battue et violée par deux hommes à Berlin.

Elle a été attaquée dans un bar à chicha après avoir perdu ses amis lors d'une soirée en ville.

Elle a passé deux jours à l'hôpital en raison de la gravité de ses blessures et du traumatisme.

Des sources ont déclaré au journal The Sun qu'elle avait été piégée par les hommes avant d'être enfermée dans une pièce où ils l'ont battue.

(...)

La police de Berlin a refusé de commenter ou d'indiquer l'endroit où le viol s'est produit, et aucune description des agresseurs n'a été publiée.

Le porte-parole de la police a déclaré que les deux hommes avaient été libérés après l'interrogatoire en raison de l'absence de danger de fuite.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Source2

Allemagne. Berlin: Marche des femmes contre l’insécurité provenant de l’immigration. “Nous ne devons pas avoir la charia en Allemagne.”

Pour ceux qui prétendent que "toutes les immigrations se valent" alors qu'une telle manifestation démontre que la situation est une première en Europe!

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Samedi 17 février. La marche des femmes jusqu'à la Chancellerie: Nous ne sommes pas du gibier!

Demain c'est parti! Leyla Bilge appelle à une manifestation de masse à Berlin: pour l'autodétermination et la sécurité - contre l'importation des visions archaïques du monde et de la violence.

"J'organise une marche des femmes à la chancellerie. Chaque voix, chaque femme est nécessaire ce jour-là."

 

 

leylabilgefrauenmarsch

 

"Désormais, nous, en tant que femmes, nous ne pouvons plus nous déplacer sans danger ni sans être importunées dans certaines zones des grandes villes. Lorsque la police conseille aux femmes de ne pas faire du jogging seules, la limite de la tolérance est atteinte. Presque tous les jours, nous lisons des viols cruels et des meurtres de femmes.

Plus les femmes seront nombreuses, plus la pression sera forte pour Merkel et les politiciens des vieux partis. Sortons dans la rue ensemble, afin de nous battre pour notre droit à la liberté et à l'autodétermination! La liberté des femmes n'est pas négociable!

Nous avons à nouveau besoin de sécurité dans les rues et nous appelons la chancelière à se battre contre les agressions sexuelles et les meurtres de femmes, contre les mariages d'enfants, mais aussi contre la privation de liberté, contre l'obligation de porter le voile et contre la mutilation forcée sur des enfants sans défense.

Nous sommes ici en Allemagne au 21ème siècle, il ne doit pas y avoir de rechute dans le Moyen Age ni d'introduction rampante de la charia.

Tout le monde est le bienvenu, peu importe son origine ou son idéologie politique. tant que cela est compatible avec nos lois, nos valeurs et que vous êtes opposés à la politique désastreuse des réfugiés des vieux partis.

Votre Leyla"

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

 

Berlin : un mineur afghan aurait violé la fillette de 4 ans de sa famille d’accueil

En mars 2016, une famille de Berlin accueille chez elle Mahdi A., mineur afghan. Mahdi (soi-disant 13 ans à l’époque) aurait abusé sexuellement de la fille de 4 ans de cette famille. La défaillance des autorités a empêché à ce jour l’élucidation de cette affaire. Mahdi A. a disparu.

Bild


Mahdi A., un autre Afghan et la famille d’accueil ont vécu ensemble sans friction pendant 14 mois […] Puis, à l’été 2017, la fille âgée de 4 ans a raconté à sa mère qu’elle avait « joué au docteur » avec Mahdi. Ce jour-là, l’autre Afghan était également présent. Mais la petite fille a dit à sa mère que ç’avait été Mahdi, l’autre avait regardé.

Tout de suite après, des médecins de la clinique pour enfants et adolescents de Berlin-Buch auraient constaté « de forts indices d'(…) abus sexuel ». Une association d’aide à la jeunesse porta plainte contre Mahdi A.

Mahdi a contesté, face à la police, les reproches qui lui étaient faits. Selon le journal Bild, l’enquête fut plus tard abandonnée. La procureur chargée du dossier a déclaré au journal qu’il n’existait pas de présomption de culpabilité suffisante. Mais le fait que Mahdi A. n’avait à la connaissance des autorités que 13 ans au moment des faits a joué également un rôle important. Il n’aurait été pénalement majeur qu’à 14 ans.
Mais il existe des doutes sur sa minorité pénale. […]

Bien que la police judiciaire régionale ait émis des doutes sur son âge et ait demandé une expertise, le ministère public s’opposa à cette demande. […]

D’après l’enquête faite par Bild, cet Afghan s’est enfui depuis en Suède et il y vit sous un autre nom . […]

(Traduction Fdesouche)

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