Suisse. Selon deux expertes « Les manuels scolaires sont racistes à la base »

Dans une analyse, deux expertes en éducation révèlent la présence de racisme dans les manuels scolaires suisses.

Ce sont des expertes dans le domaine de l'antiracisme et de l'éducation : Rahel El-Maawi (43 ans, à droite) et Mandy Abou Shoak (31 ans).

Le racisme est une réalité dans les manuels scolaires suisses. C'est la conclusion d'une analyse publiée par le SonntagsBlick. Les spécialistes de la lutte contre le racisme et les expertes en éducation Rahel El-Maawi (43 ans) et Mandy Abou Shoak (31 ans) ont examiné neuf manuels d'allemand et d'histoire actuellement utilisés dans les écoles suisses alémaniques des classes de degrés moyen et supérieur. Parmi eux, "Welt der Wörter 1" ou "Durch Geschichte zur Gegenwart, Band 2".

Le résultat de leur enquête : C'est inquiétant, disent El-Maawi et Abou Shoak, "Nous n'avons pas trouvé un seul support d'enseignement ou d'apprentissage que nous pouvons recommander sans réserve".

Les livres sont écrits par des hommes

La grande majorité du contenu est écrite par des hommes. Les hommes sont également surreprésentés. Les femmes et surtout les personnes non blanches sont à peine représentées, tant comme auteurs que comme protagonistes avec leurs différentes réalités de la vie quotidienne.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Blick.ch


Note : Exactement comme en France depuis des décennies, les Suisses sont à présent jugés par des individus qui ne fustigent pas leur pays d'origine alors que ces derniers sont bien plus intolérants que le nôtre.

De quelles opportunités scolaires et professionnelles ces deux femmes auraient-elles pu bénéficier dans leurs pays d'origine? Avec quel niveau de vie?

C'est ce système que la gauche a su imposer à notre pays : la culpabilisation systématique alors que plus d’un tiers de la population suisse est issue de la migration. Quel pourcentage d'étrangers au Maghreb déjà ?

Vienne : 59% des élèves ne parlent pas l’allemand dans leur vie quotidienne

Susanne Wiesinger n'est plus médiatrice pour les questions culturelles au sein du ministère de l'éducation. Son livre "Machtkampf im Ministerium" est à l'origine de la situation.

"Catastrophe dans la politique de l'éducation"

Son livre intitulé "Lutte de pouvoir au sein de l'école" a fait sensation en 2018. La pédagogue y critiquait les sociétés culturelles parallèles dans les écoles. Son nouveau livre "Machtkampf im Ministerium" (Lutte pour le pouvoir au sein du ministère) fait également parler de lui. Elle y porte un regard critique sur le ministère de l'éducation.

[...]

Sa conclusion donne matière à réfléchir : "Chaque jour, une catastrophe éducative se produit dans nos salles de classe. Les enfants sont trop souvent les dommages collatéraux d'une politique idéologique aveugle. La ligne de parti est souvent plus importante qu'une aide réelle en faveur des élèves".

Ce nouveau livre met en évidence les problèmes croissants dans les écoles autrichiennes. Par exemple, les enfants immigrés de la deuxième et de la troisième génération ne parlent souvent pas suffisamment l'allemand pour obtenir un certificat de fin d'études.

 

 

Les droits des femmes et des minorités sont ignorés en raison d’une tolérance déplacée ou de lignes partisanes. L’antisémitisme de la part des élèves musulmans est également en augmentation. Les enseignants sont abandonnés face au problème.

La proportion d’élèves utilisant une langue parlée autre que l’allemand dans les écoles publiques a considérablement augmenté ces dernières années. Comme le montrent les statistiques scolaires pour 2018/19, la proportion d'élèves ayant une langue familière non allemande a augmenté de 39 %, de 40 % à l'école primaire AHS (entre 10 et 14 ans) et de 59 % à l'école secondaire AHS (école secondaire d'enseignement général).

La situation est particulièrement alarmante dans les écoles primaires de Vienne : 59 % des enfants ne parlent plus l'allemand dans la vie de tous les jours. Dans toute l'Autriche, 31 % des élèves utilisent une autre langue que l'allemand dans leur vie quotidienne.

En tant que responsable l'Office de médiation, Susanne Wiesinger a eu environ 160 entretiens avec des centaines d'enseignants durant son mandat. Le rapport de l'Office et les recommandations qu'il contient à l'intention des responsables politiques sont prêts. Toutefois, on ne sait pas encore si et comment ce rapport sera présenté.

Le ministre de l’éducation, Heinz Faßmann, s’est montré "surpris" et "irrité" par ce livre qui contient des révélations. L’ÖVP considère son comportement comme un "abus de confiance", Susanne Wiesinger a davantage été "une taupe qu’une médiatrice", a-t-il ajouté.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Cambriolages en série dans les écoles genevoises

Depuis un mois et demi, une série de cambriolages touche les écoles genevoises. Dernière victime en date: l’école Charles-Giron, près des Charmilles, «visitée» mardi sans vols ni dégâts importants. La nuit d’avant, c’était le tour de l’école primaire de Budé, au Petit-Saconnex, pour la deuxième fois en moins d’une semaine…

La police a dénombré pas moins de huit autres cambriolages d’établissements en quelque six semaines, la plupart avec dégâts matériels et vols.

[...]

Tdg.ch

Grande-Bretagne : le parti travailliste veut redistribuer les biens détenus par les écoles privées aux écoles publiques

La motion demande que les fonds et les biens détenus par les écoles privées soient "redistribués démocratiquement et équitablement" aux autres écoles.

Le chancelier John McDonnell a déclaré que cela contribuerait à bâtir "une société plus solidaire et plus égalitaire".

Mais Boris Johnson l'a qualifié d'"attaque inutile" contre l'éducation, fondée sur une "idéologie socialiste enterrée de longue date".

Le vote des membres indique un désir d'inclure cette politique dans le prochain manifeste du Parti travailliste pour les élections.

S'exprimant lors de la conférence du parti à Brighton, Angela Rayner, secrétaire d'État à l'éducation, a déclaré que les "échappatoires fiscales" dont bénéficient les écoles privées seraient supprimées par un gouvernement travailliste.

Cela comprend le retrait du statut d'organisme de bienfaisance, d'autres subventions publiques et des privilèges fiscaux.

Elle a déclaré que l'argent économisé "améliorerait la vie de tous les enfants".

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Bbc.com

Nos remerciements à notre lectrice

Allemagne. Halle : Des classes avec 100 % d’étrangers. « Kurdes et Syriens se livrent déjà en tant qu’enfants à leurs conflits ethniques. »

L'école secondaire de la Kastanienallee à Halle-Neustadt jouit d'une réputation douteuse à l'échelle nationale. Au milieu des vacances d'été, des enseignants avaient écrit au Premier ministre Reiner Haseloff (CDU) dans une lettre pour se plaindre de ce qu'ils considéraient être une forte proportion d'étrangers. Ils parlaient de 70 pour cent.

Mais rien n'a changé depuis lors. Au contraire, la situation est catastrophique comme jamais, rapporte un membre de l’école, qui veut rester anonyme par crainte de problèmes professionnels.

"Il y a trois classes à l'école qui sont officiellement classées comme ordinaires mais qui ne le sont pas car elles ont 100% d'immigrés", déclare-t-il.

L'allemand langue étrangère: "Le système est complètement absurde"

En réalité, selon un décret du gouvernement de l'État, les enfants devraient d'abord apprendre l'allemand dans les classes dites préparatoires. Elles sont également appelées "classes Daz" car les étudiants y apprennent "l'allemand comme langue cible" pendant 18 mois au maximum. "Mais le système est complètement absurde parce que dans trois classes ordinaires, il n'y a que des étudiants-Daz", rapporte l'initié.

L'une de ces classes compte 24 étudiants. L'intégration et l'enseignement de l'allemand ne sont pas possibles dans ces classes, car de nombreux enfants ne sont pas du tout habitués à apprendre à l'école. "Certains se lèvent et se promènent, d'autres ne peuvent pas copier du tableau" déclare l'employé.

Les enseignants ont déjà des problèmes de santé en raison des niveaux élevés de bruit et de stress

Les enseignants ont des problèmes de santé en raison du niveau élevé de bruit et de fatigue. Il y a souvent des opérations de police, des bagarres presque tous les jours, les enseignants doivent régulièrement faire face à des saignements de nez, des lèvres fracassées et régler les différends entre Kurdes et Syriens arabes qui se livrent déjà en tant qu'enfants à leurs conflits ethniques.

Les chances futures pour les enfants des classes-C sont donc extrêmement faibles. "Une fois que vous êtes dans cette classe, vous y restez réellement. Il est prévisible que les enfants ne seront pas diplômés ", explique l'employé. "Et les étudiants le remarquent. Ils demandent:" Où sont les enfants allemands? "Certains demandent à pouvoir revenir à des cours normaux.

"La direction de l’école fait tout ce qui est en son pouvoir pour empêcher le public d’entendre qu’il existe des classes à 100% avec des enfants migrants. Car les politiciens ne voudront ni expliquer ce fait ni ne le pourront.

(...)

Mz-web.de

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Ramadan dans les écoles et les hôpitaux genevois : l’administration s’y accommode en catimini.

Suite à l'article dévoilant l'affaire du Département de la formation face au ramadan, voici d'autres révélations.

A préciser : le titre ne provient pas de l'article originel.

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Par Madame Mireille Vallette

Comment gérer les complications dues aux musulmans? Nos institutions se noient. Dernière tasse en date: une circulaire sur le ramadan envoyée à l’école genevoise. Et en scoop dans ce blog, une première tentative stupéfiante.

A peine sortie de l’éprouvant épisode de l’ex-prof Ramadan, Anne Emery Torracinta, conseillère d’Etat en charge du Département de la formation, tombe dans la polémique d’un autre Ramadan. Le 18 mai, une circulaire intitulée «Recommandations en cas de jeûne sur temps scolaire» a atterri dans les boîtes email des responsables d’écoles. «Le Temps» l’a révélée et moult personnalités s’indignent de cette entorse à la laïcité.

La conseillère d’Etat a «pris connaissance avec effarement de ces recommandations». Non seulement elle n’en savait rien, mais elle avait bloqué en 2016 un document du même tabac, provenant du même service… encore plus gratiné!

Concoctée par le Service de santé de l’enfance et de la jeunesse (SSEJ), la circulaire briefe les enseignants sur la meilleure manière de permettre aux élèves de suivre leur loi divine. Mais elle n’utilise jamais le terme «ramadan» afin de souscrire à la laïcité!

D’emblée, le document annonce: «Le jeûne total peut être bien supporté par l’enfant, mais peut impacter son rythme scolaire. Plus l’âge de l’élève est avancé (…) moins il y a de risque de malaise.» C’est que le ramadan concerne aussi les petits du primaire.

Ce n’est pas sur le rythme des enfants que se penche la suite, mais sur les dangers physiques du jeûne: malaises, hypoglycémie, déshydratation. Comment procéder? En substance: si le jeune se sent mal, on lui propose de se reposer. Si le malaise persiste après 20 minutes et qu’il souffre de fatigue, maux de ventre, maux de tête, nausées, vomissement, vertiges ou perd connaissance… l’enseignant contacte les parents et à défaut d’accord, ils doivent venir le récupérer. S’ils ne sont pas joignables, il appelle un médecin «qui donnera son aval et endossera la responsabilité «médicale» pour une rupture de jeûne».

Mais il existe aussi des cas où l’enseignant prévoyant a convoqué les parents et s’est mis d’accord avec eux sur une éventuelle rupture du jeûne. Vu la multiplication des petits musulmans dans les écoles, on en conclut que les enseignants ont une remarquable disponibilité.

Pour la gym, les enseignants sont invités à tenir compte de la faiblesse de l’élève. Et afin de «favoriser l’intégration de tous», ils veilleront à ce que «les camps ou les voyages d’études d’une semaine se déroulent, dans la mesure du possible, hors période de jeûne».

Pour l’anecdote, lors de la conférence de presse des opposants au référendum sur la laïcité, j’ai donné deux exemples aux journalistes de ce qu’une telle loi n’empêcherait pas. L’un concernait d’aimables aménagements concédés par les Hôpitaux publics genevois, l’autre des «Recommandations pour le jeûne du Ramadan» destinée aux enseignants. J’ai proposé aux journalistes de leur en donner une copie, aucun n’a été intéressé.

Pourtant, cette sœur aînée de la lettre du 18 mai n’est pas piquée des vers. Bien que refusée par la conseillère d’Etat en 2016, elle voyageait dans le Net –où je l’avais trouvée- depuis deux ans. Pourquoi? «Il s’agit d’une erreur», répond son porte-parole Pierre-Antoine Preti. (Encore une!) Et d’ajouter: «Cette page vient d’être enlevée du site web par nos soins.» Les lecteurs de ce blog sont donc les seuls à pouvoir la lire intégralement ici : Circulaire enseignants.docx

Ces erreurs, bourdes ou chausses-trapes inciteront-ils la cheffe du département à ordonner une petite enquête, voir à sanctionner ? Son porte-parole refuse de répondre. On observera que la circulaire du 18 mai provient de deux hautes fonctionnaires du Département de la formation, dont Francine Novel, directrice au service de l’Enseignement secondaires II. Alors qu’elle était directrice de l’école de culture générale Jean Piaget, un élève avait refusé que sa prof de gym le touche, ce que cette dernière avait notifié à la direction. L’élève avait pu tranquillement continuer suivre ses cours de sport sans contact physique ni avec son enseignante, ni avec les élèves de sexe féminin. Cette complaisance a-t-elle un lien avec l’envoi d’une directive tout aussi complaisante, mais non validée? Mystère… Les complaisants sont si nombreux.

Toujours est-il que la circulaire non diffusée montre à quelles démissions la haute administration est prête à se plier. Le texte explique le sens du Ramadan: quatrième pilier, «mois de la purification, du pardon, du recueillement et de la compassion envers les plus pauvres (…) Le Ramadan est aussi un fait culturel et un lien identitaire avec la communauté, en particulier lorsqu’il s’agit de population migrante.» Quel mauvais esprit refuserait donc de faciliter la pratique de ce rite magnifique où que ce soit, et en particulier à l’école?

Cette obligation (souligné dans le texte!) concerne les musulmans «des deux sexes ayant atteint la puberté (…) Mais les enfants peuvent jeûner (incitation) dès l’âge de 7 ans, «âge du début des prières». Ils doivent s’entraîner.

Refuser un enfant qui jeûne? Vous n’y pensez pas! On aménage! Les Canadiens diraient: «on accommode»! Entretien avec les parents avant le jeûne avec interprète si nécessaire, propositions alternatives, par exemple que l’enfant jeûne durant le week-end ou «proposer un rattrapage du jeûne en partie durant les vacances scolaires», etc. Et les habituels conseils si l’enfant ne se sent pas bien.

Et l’on tient compte de la faiblesse de l’élève pour les journées sportives, les cours de gym, etc.

Et en conclusion, les "Références bibliographiques":

  • Le coran: la sourate 2
  • Le Ramadan et les vertus du jeûne; Les secrets du jeûne en islam (Al Ghazali)
  • Traité moderne de théologie islamique (Boubaker Cheikh)
  • Lien sur un atelier des Hôpitaux universitaires sur le Ramadan (de la même eau, dont j’ai dit quelques mots ici)

Dans nos pays, le Ramadan est accompagné d’innombrables mises en scène que relaient avec passion les médias. Comme je le développe dans mon dernier livre, la folie des rites saisit de plus en plus de musulmans. Ainsi les patients de l’hôpital veulent jeuner alors que les malades n’y sont pas tenus dans leur religion. De nombreux sites, par exemple celui de l’Association des musulmans de Fribourg en 2015 (texte disparu depuis) expliquent que le jeûne n’est- pas valable «quand on absorbe par voie orale un médicament». Règle confirmée par un flyer de l’UOIF. De manière générale, les vade-mecum du ramadan précisent qu’est déconseillé ou interdit «de se faire vomir», «de regarder son conjoint avec désir», «de mâcher du chewing-gum de peur d’en laisser glisser une partie dans l’estomac»… etc. Les femmes qui ont leurs règles, impures, sont toujours interdites de jeûne.

Les soignants, les enseignants, etc. se laissent entrainer dans une glu dont ils ne sortiront pas. Car dans l’islam, les rites, les obligations, les interdictions sont infinis. Foulard des femmes, foulard des fillettes à l’école, halal, prières dans les entreprises, refus de vendre ou de servir de l’alcool, contestation des rites chrétiens (sapin, chants), etc.

Pour conclure avec l’école, tous les cantons font face aux problèmes que posent les musulmans pratiquants. Voir par exemple cette brochure fribourgeoise officielle dont les concessions atteignent déjà des sommets. https://www.fr.ch/osso/files/pdf76/fr_diversite_religieus...(notamment chap. 5,7 et 5,8).

La religion musulmane est entrée dans nos institutions. Quand des autorités auront-elles le courage de l’en faire sortir?

Source

 

Nos remerciements à Devoir de précaution

Grande-Bretagne: Les enseignants fustigent les parents «racistes» qui refusent l’enseignement de l’islam pour leurs enfants

Les enseignants prétendent que les parents qui retirent leurs enfants des cours d'éducation religieuse parce qu'ils ne veulent pas qu'ils apprennent l'islam sont racistes.

Des inquiétudes ont été soulevées au sujet des mères et des pères qui abuseraient de leur droit de retirer leurs enfants des cours à l'école, empêchant ainsi leur capacité à explorer de grandes questions et une pensée critique.

Lors de la conférence annuelle de l'Association of Teachers and Lecturers, il a été déclaré que cela allait à l'encontre des tentatives des écoles de préparer les jeunes à la société moderne au Royaume-Uni.

Le syndicat exhorte le gouvernement à prendre des mesures pour s'assurer que les parents n'empêchent pas sélectivement leurs enfants d'apprendre certaines religions, rapporte The Telegraph.

(...)

Richard Griffiths, de la section locale d'Inner London, a déclaré que la motion visait à assurer que ce droit ne soit pas abusé, dans les cas où les parents peuvent avoir «des préjugés incluant l'islamophobie et l'antisémitisme».

(...)

La vice-présidente du syndicat, Kim Knappett, a ajouté qu'elle avait vu une lettre d'un parent demandant que son enfant soit retiré des études religieuses.

Selon les rapports, la lettre était si «vicieuse» qu'elle pensait que les autorités avaient besoin d'être informées.

Un porte-parole du Département de l'éducation a déclaré au Mirror Online: «Une éducation religieuse de bonne qualité peut développer les connaissances des enfants sur les valeurs et les traditions de la Grande-Bretagne et favoriser la compréhension entre les différentes religions et cultures.

Source Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Des centaines d’écoles britanniques reçoivent des menaces à la bombe envoyées par e-mail suivies d’un texte en arabe.

Des centaines d'écoles à travers l'Angleterre ont reçu lundi une alerte à la bombe, provoquant des évacuations.

La menace envoyée par message électronique prétendait qu'une bombe avait été placée sur les terrains scolaires et serait déclenchée si les demandes n'étaient pas satisfaites.

Les courriels proviendraient des États-Unis et ont été envoyés à travers le Royaume-Uni, principalement à Londres, Northumberland et Humberside.

Des écoles de West Midlands, du Lincolnshire, du Gloucestershire, de Bristol, du Bedfordshire, de Manchester et de Liverpool ont également reçu ce courriel.

 

 

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L'email de menace dirait ceci: «Ce message s'adresse à tout le monde. Nous avons envoyé un étudiant avec une bombe. La bombe doit exploser dans 3 heures. (...)

'Si vous n'envoyez pas l'argent! Nous ferons exploser l'engin. Notre site possède toutes les informations nécessaires.

'Si vous essayez d'appeler les flics, nous FERONS exploser l'engin sur le champs! TOUTE tentative de désamorçage par vos propres moyens le fera exploser.

Le mail est ensuite suivi par un texte en arabe.

 

 

L'école primaire catholique Lady Immaculate à Tolworth, l'école Cardinal Road à Feltham, à l'ouest de Londres et le collège communautaire Thurston à Suffolk auraient été évacués.

A 11h10, la police métropolitaine a tweeté: "La police enquête sur des informations faisant état de communications faites dans plusieurs écoles de Londres aujourd'hui, lundi 19 mars.

"Il n'y a pas eu d'arrestations. Les enquêtes sont en cours.

La police du North Yorkshire a déclaré au Mirror: "Nous avons eu un certain nombre de rapports ce matin concernant un canular de bombe dans plusieurs de nos écoles à travers le comté.

"On pense que c'est un problème national.

Nos inspecteurs de l'Unité de la cybercriminalité, appuyés par des agents locaux, ont examiné ces incidents et on ne croit pas qu'il existe une véritable menace.

"Nous travaillons avec les écoles pour rassurer et répondre à toute préoccupation."

 

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

Berlin. Pressions de l’Islam dans les écoles: « Même les bonbons sont devenus un problème car ils contiennent de la gélatine non hallal. »

"Il y a déjà de nombreux exemples d'intimidation religieuse dans les écoles aujourd'hui", a déclaré Hildegard Greif-Groß, directrice de l'école primaire Peter Petersen à Neukölln.

Si les enseignantes étaient autorisées à porter des symboles religieux comme un voile, ces conflits seraient aggravés. Plus concrètement, la directrice rapporte que des élèves auraient été confrontés à des camarades musulmans rigoristes en raison d'un pain au jambon de porc car le Coran l'interdit.

"Même les oursons en gomme ne sont pas considérés comme propres", a-t-elle déclaré. Car il y a de la gélatine animale provenant de bétail qui n'ont pas été abattus de manière "halal". Même des élèves de l'école primaire ont été de plus en plus mis sous pression par la famille et les camarades de classe pour mettre un voile. "Le grand-père donne 100 euros pour ça."

(...)

 

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Hildegard Greif-Groß.

 

Voile, crucifix et kippa

L'objectif est de maintenir la loi berlinoise sur la neutralité - elle interdit aux enseignants, agents de police et au personnel judiciaire de porter des symboles religieux tels que le voile, le crucifix ou la kippa. La loi, qui a plus de douze ans, subit des pressions considérables depuis que le Tribunal des prud'hommes a attribué des indemnités pour cause de discriminations à des enseignantes qui avaient été refusées dans les écoles primaires en raison de leur voile.

En outre, la Cour constitutionnelle fédérale s'est prononcée dernièrement contre une «interdiction générale du voile».

À Berlin, cependant, les enseignantes des écoles professionnelles sont autorisées à porter un voile. Des représentants de la gauche et de la délégation régionale des Verts se sont également exprimés pour une révision de la loi sur la neutralité.

« Nous ne sommes pas islamophobes, nous voulons juste que la religion reste en dehors des écoles », a déclaré l'avocat Walter Otte, l'un des principaux initiateurs de l'initiative de la loi sur la neutralité. Il dirige le groupe de travail Laïque Vert Berlin.

La directrice Greif-Groß a mis en garde contre une «ghettoïsation des écoles» dans les quartiers centraux comme à Neukölln-Nord, Wedding et ailleurs, la religion devrait y jouer un rôle croissant. "Il ne faut pas que nous ayons une école arabe, une école turque et une école européenne dans certaines zones", a déclaré la femme de 62 ans.

En tant que directrice d'une école particulièrement réputée à Neukölln, elle reçoit déjà des appels téléphoniques de parents inquiets dont les enfants sont victimes d'intimidation dans d'autres écoles et qui demandent désormais leur admission. Les Kurdes ou les Alévis sont particulièrement touchés.

Madame Greif-Groß a souligné que cela fait 38 ans qu'elle est dans cette école. Auparavant, presque personne ne portait de voile ici. Dans le passé, les mères travaillaient dans les usines, mais aujourd'hui on permet beaucoup moins aux filles.

À la mi-mars, le procès d'un enseignante qui veut porter son voile à l'école sera à nouveau entendu devant le Tribunal du travail. Trois autres sont en attente.

(...)

Source et article complet Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

L’Espagne va enseigner l’islam au lycée « afin de combattre les fausses idées »

Une nouveauté dans les programmes d’enseignements en Espagne. Dès l’année prochaine, des cours sur l’islam seront dispensés à tous les élèves de confession musulmane dans le but de les éloigner du radicalisme.

La décision a été prise par le ministère de l’éducation nationale et concernera tous les lycées du pays. « Cette nouvelle matière obligatoire fait partie d’une stratégie de sensibilisation, de prévention et de détection de la violence, en particulier terroriste », indique le ministère dans un communiqué repris par le journal El Mundo.

Plus loin, le ministre explique que « la création d’un cadre de dialogue qui favorise la pensée critique, avec pour objectif ultime, la compréhension de la pluralité et la promotion de la coexistence, piliers de la société démocratique » et ce, afin de « réduire le risque de réception de fausses idées sur la religion musulmane ».

Pour mener à bien cette réforme, 12 manuels ont déjà été préparés par la Commission Islamique d’Espagne et serviront donc base de l’enseignement de la culture islamique dans les lycées.

D’après des chiffres publiés par le journal El Mundo, l’Espagne compte actuellement 200 000 élèves de confession musulmane pour à peine un cinquantaine de professeurs de religion islamique.

Source

France: L’ombre des Frères musulmans plane sur les principales écoles sous contrat avec l’État

Par le biais de leur branche française qu’est l’UOIF, l’emprise de l’organisation sur l’enseignement musulman est réelle.

Le lycée Averroès de Lille a longtemps été la vitrine de l’enseignement musulman en France: premier établissement musulman sous contrat avec l’État (depuis 2008), taux de réussite au bac frôlant les 100 %, anciens élèves devenus ingénieurs, médecins, notaires, professeurs… Mais il est aussi devenu la cible de critiques: emblème de la mainmise des Frères musulmans sur cet enseignement confessionnel, «double discours» affichant une adhésion aux valeurs républicaines mais défendant un islam fondamentaliste, financement opaque, en provenance des pays du Golfe. Un rapide retour historique, qui figure d’ailleurs sur le site du lycée, est instructif. Averroès fut fondé pour répondre à la «demande» créée par l’exclusion d’une vingtaine d’élèves voilées, en 1992, du lycée public Faidherbe à Lille. La Ligue islamique du Nord, branche locale de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), décida alors de scolariser officieusement ces jeunes filles à la mosquée et de lancer le projet d’un établissement confessionnel. En 2003, Averroès ouvrait ses premières classes, un an avant la loi interdisant le port de signes religieux ostentatoires à l’école.

«Le projet de l’UOIF, c’est la construction d’une communauté qui négocie son insertion dans la République» Gilles Kepel, islamologue

L’emprise des Frères musulmans, par le biais de leur branche française qu’est l’UOIF, sur l’enseignement musulman est réelle. L’UOIF contrôle les principales écoles sous contrat avec l’État mais aussi, plus ou moins directement, une quarantaine d’écoles hors contrat, le plus souvent dans le primaire. À Lille, les liens organiques sont transparents: Amar Lasfar, le président de l’association Averroès qui gère le lycée, est le président de l’UOIF. Makhlouf Mamèche, le directeur adjoint, est vice-président de l’UOIF et président de la Fédération nationale de l’Enseignement privé musulman (FNEM), créée en mars 2014. Au-delà des organigrammes, ce cordon ombilical nourrit des interrogations. Ce que l’islamologue Gilles Kepel résume ainsi: «Légalement, rien n’interdit évidemment la création d’écoles musulmanes, au même titre que les écoles juives ou catholiques. Mais, le projet de l’UOIF, c’est la construction d’une communauté qui négocie son insertion dans la République. La vraie question est: dans quelle mesure ce mouvement favorise une logique de rupture avec la communauté nationale?»

Officiellement, le lycée Averroès et ses émules ailleurs en France n’ont d’autre but que de former une élite musulmane, de futurs cadres de la société française, et de répondre aux demandes de familles pour un enseignement de qualité avec une forte dimension religieuse, tel que le présente Makhlouf Mamèche. «Rien d’autre, en apparence, que le modèle de l’enseignement catholique du XIXe siècle», rappelle Bernard Godard, longtemps conseiller pour les cultes au ministère de l’Intérieur. En février 2015, une mission d’inspection à Averroès, lancée par le rectorat a estimé que «les termes du contrat avec l’État (étaient) globalement respectés».

«Stratégie d’entrisme»

Mais «l’agenda caché» des Frères musulmans et de leurs antennes françaises serait plus trouble. Auteur de Pourquoi j’ai quitté les Frères musulmans (1), qui raconte ses quinze années de militantisme au sein de l’organisation, Mohamed Louizi décrypte ainsi sa politique à long terme: «L’objectif, c’est bien de créer une rupture entre la République “méchante” et la jeunesse musulmane afin que celle-ci ne croie plus au projet républicain.» Selon lui, cette rupture passe par des vecteurs idéologiques bien rodés: la victimisation de la jeunesse musulmane et l’instrumentalisation de la question palestinienne à des fins de «judéophobie». Et Mohamed Louizi de rappeler cette déclaration, en 2008, du président de Fédération des organisations islamiques en Europe – «On a un projet sur vingt ans» – illustrant parfaitement, selon lui, «la stratégie d’entrisme» des Frères musulmans.

La question du financement de ces écoles reste controversée. À écouter Makhlouf Mamèche, «90 à 95 %» du budget d’Averroès est «assuré par la communauté musulmane», via des souscriptions, des collectes dans les mosquées et les frais de scolarité. Le reste, il ne le nie pas, vient de financements étrangers: «Arabie Saoudite, Qatar, pays du Golfe en général». L’ancien membre des Frères musulmans, Mohamed Louizi, assure lui que la part des fonds étrangers est beaucoup plus massive. La Qatar Charity, dont le siège européen est à Londres, serait particulièrement présente, les autres argentiers du Golfe se manifestant moins ouvertement. La Qatar Charity a ainsi participé pour un million d’euros (sur 1,5 million) à l’achat de locaux pour le lycée lillois qui a déménagé en 2012. Lors d’une émission sur une chaîne de télévision de Doha, baptisée El Ghaït («la pluie»), le financement du lycée Averroès était mis en exergue. Un exemple de cette pluie qui arrose tout…

(1) Éditions Michalon, janvier 2016.

Source

Nos remerciements à Vivi

Suède : la baisse du niveau scolaire imputable à l’immigration

Selon l’Education nationale suédoise, la baisse globale du niveau scolaire dans le pays est en grande partie imputable à l’arrivée d’élèves immigrés qui peinent à rattraper leurs condisciples.

Qualifié autrefois de modèle du genre, à l’instar de son voisin finlandais, le système d’éducation en Suède marque dangereusement le pas ces dernières années, comme le révèle le ministère de l’éducation ce lundi. Ainsi, selon un rapport intitulé « L’importance de l’immigration pour les résultats scolaires », l’Agence de l’éducation a calculé que « jusqu’à 85% » de ce phénomène était dû à « la hausse de la part d’élèves arrivés dans le pays après l’âge de scolarisation et le fait que ce groupe d’élèves a vu ses résultats se dégrader par rapport aux autres ».

Non seulement de plus en plus d’élèves sont d’origine étrangère – c’est-à-dire qu’ils sont soit nés à l’étranger ou que leurs deux parents le soient (10% en 2006, 14% en 2015) -, mais en plus ils étaient de plus en plus en souvent en échec scolaire (37% en 2006, 50% en 2015).

Valeurs Actuelles

France. Les USA vont former les directeurs d’école à l’immigration avec l’European Administrators Program

Cette information que nous détenons pourrait bien faire scandale en France. On savait déjà que les États-Unis souhaitaient favoriser l’installation de migrants en Europe pour la déstabiliser un peu plus. Ils passent aujourd’hui aux actes, en lançant dans cinq pays européens un « European Administrators Program » destiné aux responsables scolaires (directeurs d’école, proviseurs, conseillers principaux d’éducation…). L‘Education nationale vient d’autoriser ce partenariat  à grande échelle avec les Etats-Unis.

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Des espaces de prière seront-ils mis à disposition des élèves musulmans dans 2 écoles lucernoises ?

Nos lecteurs nous prient de publier (merci à Anne)

Qu’on parle de foulard pour les filles musulmanes ou de crucifix dans les salles de classe, la relation entre école et religion est toujours source potentielle de conflit. Récemment, le débat a rebondi autour d’espaces de prière mis à disposition pour les musulmans dans deux écoles lucernoises. Solution pragmatique pour les uns, ces «espaces de silence» n’auraient rien à faire dans les écoles publiques d’un pays laïc, arguent les autres.

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*Elham Manea (voir aussi son FB) est citée dans l’article:
Elham Manea, politologue à l’Université de Zurich, double nationale suisse et yéménite, comprend elle aussi que les autorités scolaires lucernoises aient voulu trouver une solution pragmatique. Mais en même temps, elle lance un avertissement: «Il s’agit de voir comment nous pouvons vivre ensemble dans un contexte où la religion est devenue une source de conflits. Car il ne faut pas occulter l’islam politique et fondamentaliste – pas plus que les fondamentalismes en général». Elle se souvient des expériences en Grande-Bretagne, où les écoles à majorité musulmane ont vu des demandes d’espaces de prière dès les années 60, pour en arriver par étapes à des classes séparées par sexe.
«Maintenant, la Grande-Bretagne est face à la tâche difficile de ramener les courants islamistes sous contrôle. L’intégration a échoué. Il n’y a pas une société multiculturelle où l’on se respecte mutuellement, mais des société parallèles, monoculturelles et fermées». Donc, «attention à l’engrenage». Car il y a d’autres cantons suisses qui ont reçu des demandes pour des espaces de prière dans les écoles, rappelle Elham Manea.

Genève: Dix cantines scolaires ne serviront plus de porc

La plus grande association genevoise de restaurants scolaires ne proposera plus de porc aux élèves. Dix cantines et 1200 enfants sont concernés, à Saint-Jean, Charmilles, Vieusseux et Liotard. Des raisons logistiques sont avancées: l'équipement des cuisines ne permet pas de préparer deux menus différents, rapporte «Le Courrier». Or, dans certains restaurants, jusqu'à 40% des élèves ne mangent pas de porc. L'association a donc choisi les repas qui pénalisent le moins d'enfants possible.

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