Suisse : Les Verts veulent un droit de vote fédéral pour les étrangers

Ils viennent de déposer à Berne une initiative parlementaire en ce sens via leur président Balthasar Glättli, font-ils savoir dans un communiqué envoyé par leur vice-présidente du groupe parlementaire, la conseillère aux États genevoise Lisa Mazzone.

En effet, les Verts se sentent pousser des ailes après le succès il y a un mois de la conseillère nationale verte bâloise Sibel Arslan.

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20min.ch

Nos remerciements à Wilhou.ch


Rappels :

Morges: le musulman Pascal Gemperli en lice avec les Verts

Le pedigree de la Verte Sibel Arslan : Cette naturalisée s’énerve contre l’UDC Andreas Glarner

Berlin. Logements : Les politiciens rouges et verts priorisent les demandeurs d’asile au détriment des Allemands

L’initiative sur l’interdiction de la burqa de l’UDC rejetée au Conseil national. « L’initiative est islamophobe et populiste », déclare Ada Marra

Zurich : Une initiative UDC exige que la police rende publique la nationalité des délinquants. Les jeunes socialistes et les jeunes Verts s’y opposent.

Suisse. Coronavirus : la priorité pour le PS et les Verts? l’aide sociale et le chômage pour les étrangers!

CDU, SPD et Verts favorables aux appels publics à la prière, qui se multiplient en Allemagne

Lisa Mazzone se bat (aussi) contre l’expulsion des criminels étrangers !

Suisse : La gauche et spécifiquement Ada Marra veulent le droit de vote pour les étrangers

Le PS lance aujourd’hui une nouvelle offensive. Il y voit la prolongation du long combat pour le droit de vote des femmes. Les Verts vont aussi intervenir à Berne.

 

«Nous voulons les mêmes droits politiques pour toutes celles et ceux qui font ce pays. Le combat continue. Il faut aller plus loin autour de l’idée de citoyenneté»

 

Ada Marra, vice-présidente du PS

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Les Verts déposeront aussi une initiative parlementaire en mars au parlement. Elle demande le droit de vote et d’éligibilité pour toutes les personnes qui vivent en Suisse depuis plus de cinq ans, mais au niveau fédéral.

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TdG


Rappels :

L’initiative sur l’interdiction de la burqa de l’UDC rejetée au Conseil national. « L’initiative est islamophobe et populiste », déclare Ada Marra

Ada Marra : « La Suisse doit accueillir un nombre significatif de réfugié-e-s de Lesbos, et exiger la même chose des États membres de l’Union européenne. »

Porrentruy. Piscine interdite aux étrangers en raison d’incivilités : Les socialistes Christian Levrat et Ada Marra manifestent leur mécontentement

Pour Ada Marra, Berne doit agir contre la haine envers les élus

La mosquée de Lausanne recommande des politiciens pour les élections : Laurent Wehrli (PLR), Claude Béglé (PDC) et Ada Marra (PS)

Ada Marra veut aller chercher les migrants sur les navires des ONG

La socialiste Ada Marra et 32 parlementaires veulent « sauver la presse romande » en faisant passer le contribuable à la caisse

Ada Marra sur le durcissement de la naturalisation: « Quelqu’un qui ne sait ni lire ni écrire ne pourra pas être naturalisé: c’est trop. »

Suisse: Ada Marra et ses petits copains de gauche s’opposent à l’expulsion des requérants Erythréens

La socialiste Ada Marra pour notre 1er Août: « La Suisse n’existe pas. »

Berne : Les Verts relancent le droit de vote à 16 ans

La question du droit de vote à 16 ans est relancée dans le canton de Berne. Le Grand Conseil a adopté lundi par 83 voix contre 66 une motion des Verts chargeant la gouvernement de modifier la constitution cantonale pour accorder le droit de vote aux jeunes dès 16 ans en matière cantonale et communale. Le dernier mot appartiendra au peuple.

[...]

20min.ch

La maire socialiste de Zurich veut le droit de vote communal pour les étrangers “Puisque les étrangers sont nombreux, ce serait démocratiquement souhaitable”

Le parlement du canton de Zurich a soutenu lundi une initiative de l'exécutif de la ville de Zurich demandant l'introduction du droit de vote au niveau communal pour les étrangers. Ce n'est qu'une première étape. Si le parlement accepte un projet de loi, le peuple aura le dernier mot. [...]

Seraient concernés les étrangers résidant depuis au moins deux ans dans une commune.

La maire de Zurich, Corine Mauch [NDLR : il s'agit évidemment d'une socialiste], est venue défendre l'initiative devant le parlement cantonal. Compte tenu du nombre important d'étrangers dans le canton et dans la ville de Zurich, il serait démocratiquement souhaitable que des décisions politiques soient soutenues par un plus grand nombre de citoyens, a-t-elle déclaré.

[...]

24 Heures

 


 

Le droit de vote pour les étrangers s’esquisse en Valais

Le Valais pourrait offrir le droit de vote aux personnes étrangères, sous condition. C’est en tout cas le souhait de la commission traitant des droits politiques de la Constituante valaisanne, qui s’est prononcée en faveur de cette idée. Et ce tant au niveau communal qu’au niveau cantonal.

Réunie début novembre, la commission a tranché en faveur du droit de vote, au plan communal, pour les étrangers au bénéfice d’une autorisation d’établissement, soit un permis C. Elle soutient également le droit d’éligibilité de ces personnes «pour tous les pouvoirs». Avec une exception toutefois, elles ne pourraient pas prétendre à la présidence d’un exécutif communal.

[...]

Le Temps

 

Doris Leuthard souhaite un vote pour clarifier la relation avec l’Europe

Doris Leuthard souhaite consulter rapidement le peuple sur la question européenne afin de renforcer la position de la Suisse face à l'UE en pleine dégradation des relations entre Berne et Bruxelles.

Dans le SonntagsBlick, la présidente de la Confédération explique que la situation s'est compliquée avec l'arrivée au pouvoir de nouveaux politiciens en Europe qui comprennent mal les spécificités helvétiques.

La Suisse fait face aux pressions de la Commission européenne pour conclure un accord-cadre institutionnel entre la Suisse et l'UE, qui chapeautera la vingtaine d'accord bilatéraux existants, et que le gouvernement suisse veut ratifier d'ici la fin de 2018. La reconnaissance d'une équivalence de la Bourse suisse, essentielle pour que les banques européennes et les investisseurs correspondants puissent continuer d'acheter et de vendre des titres cotés en Suisse, a ainsi été limitée à un an.

En retour, le Conseil fédéral n'exclut pas de revoir le projet de deuxième tranche de la contribution à l'élargissement en faveur des Etats de l’Est, estimée à 1,3 milliard de francs.

>> Lire aussi: Fâchée, la Suisse réagit à la limitation de l'équivalence boursière par l'UE

Relations avec l'Europe vitales

Or Doris Leuthard relève qu'en matière d'accord-cadre, le climat en Suisse est "empoisonné", ce qui complique encore la donne. La démocrate-chrétienne, souligne l'importance d'établir des règles claires avec l'Union européenne, un partenaire avec lequel la Suisse réalise les deux-tiers de ses transactions commerciales.

D'où l’importance de consulter rapidement le peuple sur la question européenne pour clarifier le débat. "Nous devons savoir dans quelle direction aller", résume l'Argovienne.

Et la Suisse pourrait aussi se doter d'un "secrétariat d'Etat aux affaires européennes". C'est en tous cas la proposition faite par le nouveau chef du Département fédéral des affaires étrangères Ignazio Cassis. Doris Leuthard confirme que le Tessinois  "a présenté de manière informelle des idées au Conseil fédéral. Mais maintenant, il doit décider par lui-même ce qu'il veut mettre en action".

Source RTS

VOTE DU 9 FÉVRIER. VIOLATION DES DROITS HUMAINS DU PEUPLE SUISSE. Plainte à l’ONU. Interview de Michel Piccand

OBS : Bonjour Michel, avec le MOUVEMENT DU 9 FÉVRIER vous venez de lancer cette semaine une nouvelle action pour résister à la violation de notre Constitution (pour rappel le vote du 9 février sur l’immigration de masse n’est toujours pas appliqué), pouvez-vous nous en dire plus ?

MP : Avec plaisir. Comme vous le soulignez, le vote du 9 février n’est pas appliqué. Notre Constitution est violée de manière permanente depuis le 16 décembre. Après les 3 plaintes pénales déposées en mars nous venons donc d’ouvrir aujourd’hui un second volet, une plainte vient d’être déposée auprès du Conseil des droits de l’Homme à l’ONU.

En Suisse on parle beaucoup de droits de l’homme, enfin surtout dans certains milieux, et on semble ne plus se rappeler que les droits de l’homme s’appliquent aussi au peuple suisse.

En refusant d’appliquer le vote du 9 février le Conseil fédéral et le parlement violent les droits humains du peuple suisse. Droits humains ou droits de l’homme c’est la même chose. La démocratie et le droit pour un peuple de s’autodéterminer sont protégés par la Déclaration universelle des droits de l’homme et par le Pacte II de l’ONU qui s’appliquent aussi aux Suisses, et le droit du peuple suisse à disposer de lui-même est violé.

Une plainte a donc été déposée auprès du Conseil des droits de l’homme. Il ne s’agit pas d’une plainte au sens juridique du terme, mais d’une contestation. Dès le 7 novembre les nations membres du Conseil des droits de l’homme, la presque totalité des nations du monde, se réunissent en session à Genève. A cette occasion la Suisse a été appelée à se soumettre à son examen périodique universel (EPU), les autres nations vont examiner si la Suisse respecte les droits de l’homme.

Le Conseil fédéral a dû au préalable fournir un rapport sur la situation dans notre pays, rapport complété par des avis émanant de groupements de la société civile, dont Amnesty international. Le problème c’est qu’aucun de ces documents ne mentionne la violation de notre Constitution et le coup d’Etat qui a eu lieu en décembre. Ces rapports et ces avis cachent la réalité.

Nous en avons donc informé le Conseil des droits de l’homme et lui avons fourni un exposé juridique lui expliquant ce qui se passe en Suisse et pourquoi il mettrait en jeu sa responsabilité et sa crédibilité s’il devait accorder au Conseil fédéral un examen satisfaisant sur la situation des droits de l’homme dans notre pays. Nous pensons que la responsabilité et la crédibilité du Conseil des droits de l’homme sera fortement engagée s’il venait à délivrer un satisfecit à notre gouvernement et à notre parlement, alors que ceux-ci sont en train de violer gravement nos institutions.

OBS : Espérez-vous vraiment un résultat ?

MP : Vous savez il faut rester prudent. Un exemple. Nous savons tous que l’Union européenne fait pression derrière les politiciens pro-UE en Suisse, mais il ne faut pas oublier que si les politiciens et les medias mainstream nous racontent sans cesse que l’UE fait pression sur la Suisse, nous expliquent que des politiciens UE ont dit ceci ou cela dans les couloirs, en réalité on ne trouve jamais aucun texte officiel dans lequel l’UE nous menace directement ou indirectement. Vous pouvez chercher vous ne trouverez rien. Et à cela il y a une raison, le droit international et le principe d’autodétermination, dans son aspect externe, interdisent à l’UE de faire pression sur la Suisse et encore plus de la menacer.

Si maintenant on expose et démontre dans une enceinte internationale que le droit d’autodétermination du peuple suisse est violé cela pose un problème, un problème immense de crédibilité pour le Conseil des droits de l’homme s’il refuse de reconnaître notre situation. La scène internationale ce n’est pas seulement l’UE et la Suisse dans leur rapport mutuel et les caciques habituels de nos partis pro-UE, c’est aussi d’autres pays qui pourraient ne pas être d’accord face aux comportements impériaux de l’UE.

Il est clair que le Conseil des droits de l’homme pourrait aussi « botter en touche » notre contestation. Mais la balle est maintenant dans son camp. Le plus important c’est qu’une position a été gagnée par le seul fait de produire l’exposé juridique de notre situation et lorsque le peuple l’aura lu il comprendra de quoi il s’agit.

OBS : Mais n’êtes-vous pas en train de faire appel à des juges étrangers ?

MP : Oui et non. Non parce que le Conseil ne peut rien imposer à la Suisse. Oui parce que l’on demande l’avis de juristes étrangers à notre système. Mais que peut-on faire lorsque notre propre système ne nous permet pas d’obliger directement notre gouvernement et notre parlement à respecter nos lois ? Cela fait mal de le dire…

D’autre part il faut comprendre cette action dans le cadre d’une stratégie générale. Cette plainte auprès du Conseil des droits de l’homme pourrait avoir de nombreux effets, que le Conseil réponde à notre demande ou non. Il faut rappeler que 3 plaintes pénales sont pendantes devant le Ministère public de la Confédération, qui par ailleurs tarde à répondre. La plainte auprès du Conseil des droits de l’homme a ainsi également été communiquée au Ministère public de la Confédération pour qu’il la joigne au dossier pénal en cours. Et on en voit alors l’utilité. Que se passera-t-il si le Conseil des droits de l’homme déclare que nos institutions sont gravement violées mais que le Ministère public de la Confédération déclare le contraire et dit qu’il n’y a aucune atteinte ? Ou l’inverse, que le Conseil ne dit rien et que le MPC déclare l’atteinte réalisée. On voit ici l’enjeu, c’est le peuple qui va devenir l’arbitre de la situation, qui va voir et dire qui fait son travail ou non. C’est un peu comme dans un match de boxe on essaie d’amener l’autre dans les cordes.

Nous sommes là dans des situations juridiques inédites, il n’y a à ma connaissance pas de précédents sur lesquels se fonder. L’étude de l’exposé juridique qui a été présenté au Conseil des droits de l’homme et donc au Ministère public de la Confédération amène d’autre part de nouveaux éléments de réflexion, de nouveaux arguments, cela ouvre de nouvelles portes et de nouvelles possibilités. Le Tribunal fédéral a dit que s’il est appelé à trancher entre l’Accord de libre circulation des personnes et les articles sur l’immigration il appliquera l’ALCP parce que celui-ci prime en tant que droit international sur notre droit interne. Alors on dit, ok pour cette règle, tant que l’ALCP n’est pas dénoncé il prime parce que c’est du droit international ; mais maintenant que dit le Tribunal fédéral si on lui dit que l’ALCP (droit international) est appliqué de manière illicite et qu’en plus il viole un autre droit international qui protège les droits politiques du peuple suisse. Le Tribunal fédéral peut-il expliquer que la Déclaration universelle des droits de l’homme et le Pacte II de l’ONU sont des textes secondaires et inférieurs à un accord de libre-circulation des personnes avec l’UE ? Peut-il faire primer l’ALCP sur la Déclaration universelle des droits de l’homme ? On est curieux de voir ça… Le droit d’autodétermination du peuple suisse est reconnu comme un droit fondamental, intouchable, opposable erga omnes, c’est–à–dire contre tous, c’est du droit international impératif, un accord fut-il avec l’UE qui est appliqué en violation du jus cogens (autre nom du droit international impératif), ça ne vaut rien en comparaison. Ou alors il faut réviser tous les fondements et toutes les valeurs à la base de nos ordres juridiques…

Si l’on y rajoute que les autorités politiques suisses sur demande du Conseil des droits de l’homme et des ONG citées sont en train de travailler à la mise en place en Suisse d’un Institut national des droits de l’homme (INDH)* qui en est au stade de l’avant-projet, on voit aussi que cela va poser problème. Le Conseil des droits de l’homme, le CF, les organisations comme Amnesty international peuvent-ils soumettre le projet de cet Institut en Suisse s’ils se moquent des droits humains politiques du peuple suisse ? Si lorsque les droits fondamentaux du peuple suisse sont violés ils se taisent. On voit bien que ça ne va pas. Que ça ne va pas aller. Et l’on voit que des contradictions insurmontables sont en train de surgir et de se présenter pour eux. Ce qui est par ailleurs une conséquence attendue et parfaitement naturelle de ce qu’ils ont fait. Vous ne pouvez pas porter une attaque majeure contre des institutions, contre tout un système et un ordre juridique et croire qu’il ne va rien se passer, un ordre c’est une construction logique, ce que vous essayez de repousser par une fenêtre reviendra forcément par une autre…

*INDH https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-67310.html

Nous amenons d’autre part une nouvelle question dans le débat sur la souveraineté de notre pays et qui concerne notre droit à l’autodétermination cette fois externe, dans nos relations avec d’autres pays, avec l’UE. Ici, parce que le sujet est sensible et met en cause le problème de la double nationalité et des naturalisations, il faut bien comprendre qu’il ne s’agit pas de stigmatiser les Suisses qui sont doubles nationaux. Certains doubles nationaux comprennent très bien le problème qui se pose. Une fois qu’ils ont pris un moment pour y réfléchir ils rejoignent souvent la défense de la souveraineté de notre pays.

Parce que les images valent plus que mille mots, le lecteur trouvera ci-dessous un extrait de ce qui a été présenté au Conseil des droits de l’homme, les documents se trouvent en entier sur le site du Mouvement du 9 février.

OBS : Nous vous remercions Michel pour toutes ces informations.

MP : C’est moi qui vous remercie. Je remercie encore une fois les Observateurs.ch de nous donner l’occasion d’accéder à un large public. Je remercie vos lecteurs. J’aimerais rappeler pour finir que cela fait plus de 10 ans que j’écris des essais en relation avec notre souveraineté. Et il faut que le public sache que les médias mainstream qui furent aussi contactés dans le passé à de nombreuses reprises ne se sont même jamais donné la peine de répondre. Puis j’ai fini par comprendre que c’était une forme de censure, alors que je ne fais que défendre une valeur, celle de l’honnêteté, de l’honnêteté intellectuelle. L’éthique dirait Aristote. Cela en dit long. Dans le débat qui va venir sur NO Billag les citoyens doivent absolument exiger que soit posée cette question de la censure et de la manipulation politique de l’information dans notre pays. Parce que l’on assiste à un début de débat qui n’est traité que de manière économique et où ceux qui précisément nous ont censurés durant des années invoquent aujourd’hui la défense du pluralisme médiatique. Il y a des jours où je me demande si je n’ai pas la berlue, ou si ces gens sont vraiment capables à ce point-là de tout dire si cela peut les servir. Le combat pour la souveraineté est lié au combat pour l’information, ces deux aspects sont totalement liés, les citoyens doivent exiger que ces questions politiques sur la désinformation soient traitées lors des discussions NO Billag, car les lecteurs s’apercevront en lisant la plainte au Conseil des droits de l’homme que désormais nous n’avons plus aucun temps devant nous, plus rien du tout, le combat pour notre souveraineté c’est ici et maintenant, après il sera trop tard. Merci à vous.

Extrait de l’exposé juridique déposé auprès du Conseil des droits de l’homme :

En Suisse plus un canton compte de doubles nationaux (naturalisés) plus il vote en faveur de l’UE.

Vote du 9 février 2014 qui demandait l’arrêt de la migration UE.

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Vote de 2009 sur la reconduction de la libre circulation des personnes et son extension.

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Vote de 2001 sur l’initiative OUI A L’EUROPE qui demandait l’adhésion à l’UE.

En Suisse la proportion des doubles nationaux va continuer de croître.

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Cartes conçues à partir de Kantone der Schweiz.svg, made by KarzA / CC BY-SA 3.0

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On comprend que la libre-circulation des personnes doit s’arrêter ici et maintenant, pas dans 10 ans. Si nous ne faisons rien notre souveraineté sera perdue par le vote des doubles nationaux qui feront pencher la balance en faveur de l’UE.

La question de la libre-circulation des personnes a été présentée au Conseil des droits de l’homme comme un processus de colonisation de peuplement de la Suisse par l’UE, une colonisation politique.

Le dossier complet se trouve sur le site du MOUVEMENT DU 9 FÉVRIER. Nous vous engageons à le lire, à en parler et à le partager, il fournit beaucoup d’autres informations capitales sur notre situation.

Nous cherchons une personne qui pourrait en faire le résumé en allemand et le faire connaître auprès des réseaux sociaux suisses-allemands. Merci. Contact sur le site.

Michel Piccand/mvt9 et LesObservateurs.ch, 3.11.2017

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La ruineuse loi sur l’énergie 2050: Vous voulez une raison pour voter non? Je vous en donne 16!

De Lorenzo Quadri.

Un ami cher me sollicite: « Le vote est proche, tu dois écrire! » Mais je n'ai pas le temps ces jours-ci, je suis occupé avec les tulipes. Alors profitez de cet article, très incisif, que Lorenzo Quadri a publié ce matin.

Comment le PLR a pu approuver cette loi « politiquement correcte » qui se trouve à mi-chemin entre la fable et la catastrophe programmée reste un mystère pour moi.

  • La stratégie énergétique 2050 (...) coûtera 200 milliards de francs (d'ici 2050). Pour une famille de quatre personnes, cela signifie une augmentation annuelle de CHF 3'200.--.
  • Le « nouveau départ » prévoit une réduction de la consommation par habitant de 43% en Suisse d'ici 2035, sur la base du niveau de l'an 2000. Cela signifierait un retour aux années soixante!
  • La nouvelle loi prévoit l'arrêt des centrales nucléaires en Suisse à la fin de leur cycle de vie. Cela signifie que, dans quelques années, il nous manquera 40% de l'électricité actuellement à disposition.
  • L'abandon de l'énergie nucléaire est injustifié: seule l'Allemagne a pris une telle mesure.
    Même le Japon ne l'a pas fait, malgré la catastrophe de Fukushima.
  • Le nucléaire n'est pas une technologie en voie de démantèlement: aujourd'hui dans le monde 446 centrales nucléaires sont actives, 60 sont en construction et 125 sont déjà prévues. D'ici 2030, les réacteurs de quatrième génération arriveront. La recherche dans ce domaine se poursuit.
  • La Suisse ferme ses centrales nucléaires. Résultat? Elle ira acheter de l'énergie atomique produite à l'étranger. Elle achètera aussi de l'électricité polluante produite à partir du charbon. Tout autre qu'écologique!
  • Pour compenser l'électricité réduite de près de la moitié, il n'y a que trois façons: a) les subventions coûteuses pour les énergies renouvelables, pour accroître la productivité et l'efficacité; b) l'achat d'électricité en dehors de nos frontières et augmenter ainsi la dépendance de la Suisse à l'étranger pour un bien prioritaire, ce qui signifie se rendre de plus en plus vulnérable au chantage (et avec le gouvernement de pleutres que nous avons...); c) l'imposition  de mesures draconiennes aux citoyens pour réduire la consommation d'énergie.
  • Pour compenser en partie l'abandon injustifié de l'énergie nucléaire, ils aimeraient construire un millier de centrales d'énergie éolienne. Ces implantations défigurent, sont mortels pour les oiseaux, elles ne fonctionnent que s'il y a du vent (la Suisse n'est pas les Pays-Bas!) Et on ne peut pas stocker l'électricité. Vous ne pouvez pas convertir la maison rustique de grand-père en chalet de vacances car il ne faut pas toucher aux sites protégés. Mais implanter des milliers de ventilateurs avec des pales de 100 mètres c'est positif? Vous plaisantez?
  • L'essence et le diesel seront lourdement pénalisés. Par conséquent, les automobilistes, les propriétaires et les locataires d'une maison seront saignés à blanc.
  • Le système d'incitation SICE fait partie de la deuxième phase de la stratégie d'énergie 2050.
    Il prévoit: une nouvelle redevance de 26 cts par litre de diesel et d'essence ainsi qu'une explosion de la taxe sur l'huile de chauffage, qui passerait à 89 cts par litre à la place des 22 cts actuels. Par conséquent, une augmentation de 67 cts par litre!
  • Les prix élevés du carburant et du mazout pénaliseront, encore une fois, le pouvoir d'achat des Suisses. Il y a en qui, à l'avenir, voudraient que l'essence coûte CHF 10.-- par litre! Rouler en voiture deviendra un luxe pour les riches?
  • Même la remise en état des bâtiments sera payée par les citoyens. Est-ce qu'il n'y a pas assez de nouvelles taxes et impôts pour nous appauvrir davantage?
  • A partir de 2029, les systèmes de chauffage à combustible seront interdits. Il est évident que le coût de remplacement des équipements (pourtant) entièrement fonctionnels sera payé par les propriétaires d'une maison, respectivement les locataires des appartements.
  • Les impôts et taxes ne seront pas suffisants. Pour réduire de façon drastique la consommation d'énergie, toute une série d'interdictions dans le style soviétique verra le jour. Et nous savons que l'imagination des fonctionnaires fédéraux, en matière de limitation de la liberté des citoyens, n'a pas de limites. Par exemple: il est facile d'imaginer qu'un jour on ne pourra passer l'aspirateur qu'à certaines heures déterminées, actionner la machine à laver seulement deux fois par mois, la température des maisons sera limitée à 18 degrés et ainsi de suite.
  • « Big Brother » espionnera les citoyens: afin de « diriger » la consommation d'électricité, on installera des réseaux intelligents (SmartGrid). Chaque ménage sera muni d'un dispositif de « Smartmeter » qui informera les producteurs en temps réel sur la consommation. Adieu la vie privée!
  • Si la nouvelle loi sur l'énergie est approuvée, les Suisses seront matraqués afin de réduire volontairement leur consommation d'énergie de 43% au cours des 17 prochaines années. Cependant, dans le reste du monde, des milliards de personnes consommeront toujours plus d'énergie. A quoi servira, au niveau mondial, le sacrifice pesant et couteux imposé aux Suisses? Réponse: à rien! Seulement à permettre à quelques représentants de la partitocratie de se balader, enflés comme des dindes, de dire que, grâce à lui/à elle, les Suisses sont "les premiers de la classe" dans le domaine de l'énergie. Le Roi Soleil compresse les citoyens de taxes pour se faire beau aux yeux du monde avec son palais royal fastueux de Versailles. Le principe est le même. Par conséquent, nous votons NON le 21 mai sur la loi sur l'énergie de Leuthard&Co.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

Valais: Malgré les fraudes avérées, le gouvernement a été validé

Le Grand Conseil valaisan a validé lundi matin l'élection du gouvernement cantonal. Il a rejeté par 105 voix contre 23 un recours de l' UDC contre le scrutin en raison d'irrégularités.

Une heure de débat nourri a occupé les parlementaires. A l'exception de l'UDC, tous les groupes ont estimé que l'importance des fraudes dénoncées ne changerait pas le résultat. Ils ont tous soutenu la nécessité de valider le scrutin.

Source et article complet

L’UE est «déçue» du vote suisse

La Commission européenne est «déçue» du rejet de la troisième réforme fiscale des entreprises par la population suisse, selon le commissaire à la fiscalité, le Français Pierre Moscovici. L'UE va consulter les Etats membres pour décider de la marche à suivre.

Le résultat aura naturellement une influence sur la coopération entre l'UE et la Suisse, a déclaré Pierre Moscovici lors d'une conférence de presse jeudi à Bruxelles. Il a toutefois rappelé les liens l'attachant à la Suisse. L'UE entend poursuivre ses échanges constructifs dans la lutte contre l'évasion fiscale.

Source et article complet

Quand Christophe Barbier explique comment frauder à la Primaire de la Droite … (BFM TV)

Quand Christophe Barbier explique sur BFM TV comment frauder à la Primaire de la Droite…
- 20/11/2016, 13h42 via Fdesouche.com

Christophe Barbier est un journaliste français. Il est le directeur de rédaction de l'hebdomadaire L'Express entre et .

 

https://youtu.be/REt5xR_QV-Y

Mise en garde de l’UE après le vote au Tessin

Christian Hofer: On parlait de ce vote déjà ici. Il est bien clair que la Suisse n'est plus souveraine, que nous sommes à présent constamment menacés, et cela grâce à notre Conseil fédéral qui nous a vendus à cette organisation.

La décision du peuple s'opposant à l'immigration de masse est contournée par le Conseil fédéral. En toute occasion, c'est l'UE qui choisit à présent du sort de nos compatriotes, qui légitime le pillage de nos terres, la destruction de notre sécurité, l'immigration de masse, l'affaiblissement de notre indépendance. Tout ce contre quoi notre pays s'est toujours battu! Cette organisation se moque éperdument des conséquences pour notre pays. Elle n'est là que pour nous abaisser à son niveau.

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L'Union européenne a mis en garde la Suisse après le oui du Tessin à l'initiative UDC baptisée «Les nôtres d'abord». «Ce vote ne va pas faciliter des discussions déjà difficiles entre Berne et Bruxelles» estime l'UE.

«Nous prenons acte du vote intervenu hier (dimanche) dans le Tessin, qui d'après ce que nous comprenons, doit encore être validé par le gouvernement fédéral», a déclaré lundi lors d'un point presse Margaritis Schinas, porte-parole de la Commission. «Le vote ne va pas faciliter d'une quelconque manière des discussions déjà difficiles», a-t-il ajouté.

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En Italie, ils veulent faire voter les réfugiés

Étranges élections qui se profilent en Italie, dans le Trentin, dans la petite ville de Vittorio Veneto. La majorité de gauche, formée du Parti Démocrate, parti au pouvoir, et de listes civiles, voudraient faire participer les « réfugiés » qui ont obtenu un statut de résident aux élections pour les sept conseils de quartiers. Avec ce document, ils sont déjà plus d’une soixantaine de migrants, hôtes du Centre italien de solidarité et de Caritas.

Des dizaines de « réfugiés » avec le certificat de résidence ont manifesté leur volonté d’exercer ce qu’ils considèrent leur droit de vote. Droit qui n’est garanti qu’aux seuls citoyens par la Constitution. Mais c’est en imposant de nouvelles revendications que les lobbies immigrationnistes font avancer le Grand Remplacement en Italie et ailleurs.

Lesecrétaire national de la Ligue Vénète, ancien maire de Vittorio Veneto, Gianantonio Da Re, annonce des protestations massives. Selon lui, les « réfugiés » pèseront dans le budget des Services Sociaux de la commune. Également dans le résultat du vote. Il parle de « nettoyage ethnique » pour « substituer une partie des citoyens avec des étrangers. » « Dans tous les cas, ironise-t-il, nous aurons tout loisir de savoir combien de réfugiés ont été régularisés par la gauche et combien nous en devrons supporter. »

Un autre responsable politique de droite, conseiller communal de la Ligue du Nord, est intervenu également : « Tant qu’on y est, pourquoi les réfugiés ne présentent pas aussi leurs représentants? »

Francesca de Villasmundo

http://www.secoloditalia.it/2016/09/alle-urne-i-profughi-vittorio-veneto-pd-accarezza-lidea-scontro/

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Avenir suisse veut donner le droit de vote aux enfants pour lutter contre la “gérontocratie”

Christian Hofer: Jolie manipulation: ce serait une prise de pouvoir par des personnes d'origine étrangère puisque les enfants étrangers sont déjà majoritaires dans certaines classes et que certaines communes laissent les étrangers voter. En clair, la Suisse changerait "démocratiquement" par l'immigration de masse au bout de quelques années.
Avenir suisse n'en est pas à son coup d'essai pour saper notre démocratie et la volonté des Suisses comme on peut le constater dans cet autre article.
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Avenir Suisse propose d'accorder un droit de vote aux enfants dans un document diffusé dimanche par la Zentralschweiz am Sonntag. Les mineurs ne pourraient toutefois pas se rendre directement aux urnes.

Avec cette proposition du laboratoire d'idées de l'économie suisse, ce sont les parents qui auraient un droit de vote supplémentaire.

Dans le viseur d'Avenir Suisse: les électeurs de plus de 60 ans qui pourraient être majoritaires à partir de 2035 et pourraient ainsi imposer leurs vues à la population active, rapporte le média alémanique.

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Les Français détruisent leur carte électorale

Un phénomène qui n'est pas récent mais qui commence à prendre plus d'ampleur à travers les réseaux sociaux. Un acte lourd de sens.

Chacun des intervenants explique ce qui le dérange dans le système politique et économique français et conclut son plaidoyer par la destruction de sa carte électorale. Une carte qui est considérée comme un objet inutile par une grande partie d'entre eux.

https://youtu.be/LCDinOu7SxY

Cette pratique symbolise le mal-être qui hante une partie des électeurs en France. Un sentiment d'impuissance mêlé à un véritable ras-le-bol. Comme ces vidéos circulent principalement sur Facebook, ce comportement pourrait se généraliser et c'est donc une source d'inquiétude pour le gouvernement français.

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Des politiciens britanniques courtisent le vote musulman par des promesses

 

Les musulmans britanniques – dont l’écrasante majorité a voté travailliste en 2010 – pourraient déterminer le résultat de l’élection du prochain Premier ministre.

PAR SOEREN KERN, Jeudi 30 avril 2015

Le leader du parti travailliste britannique, Ed Miliband (photo ci-dessus), a promis, s’il est élu Premier ministre le 7 mai, de faire passer une loi contre l’« islamophobie ».
Cette initiative – qu’un observateur a qualifiée d’« extrêmement alarmante » en raison de ses conséquences pour la liberté de parole en Grande-Bretagne fait partie d’un effort de Miliband pour flatter les électeurs musulmans dans ce qu’il appelle
« l’élection générale la plus serrée depuis une génération ».
Les conservateurs au pouvoir et l’opposition travailliste étant au coude à coude à quelques jours du scrutin, les musulmans britanniques – dont l’écrasante majorité a voté travailliste en 2010 – pourraient bien déterminer le résultat de l’élection du
prochain Premier ministre.
Dans une interview aux Muslim News, Miliband a déclaré:« Nous allons en faire [de l’islamophobie] un crime aggravé. Nous allons faire en sorte que cela soit inscrit au casier judiciaire afin d’être sûrs que la police éradique l’islamophobie qui est un crime de haine. Nous allons changer la loi sur ce point afin qu’il soit
absolument clair que nous avons horreur des crimes de haine et de l’islamophobie.  Ce sera la première fois que la police enregistrera [comme telles] les agressions islamophobes dans tout le pays. »
On dirait que Miliband tente de rouvrir un vieux débat britannique sur la « haine religieuse ». Entre 2001 et 2005, le gouvernement travailliste d’alors, sous la conduite Premier ministre Tony Blair, avait tenté à deux reprises [voir les liens]
d’amender la partie 3 de la loi de 1986 sur l’ordre public pour étendre les dispositions sur l’incitation à la haine raciale de façon à ce qu’elles couvrent aussi l’incitation à la haine religieuse.
Ces tentatives s’étaient heurtées à l’opposition de ceux qui estimaient que ces mesures allaient trop loin et menaçaient la liberté de parole. À l’époque, ces critiques faisaient valoir que la définition du gouvernement travailliste pour la « haine religieuse » était si draconienne qu’elle faisait de toute critique de l’islam un crime.
En janvier 2006, la Chambre des Lords avait approuvé la Loi sur la haine raciale et religieuse, après avoir amendé le texte de façon à interdire seulement les propos « menaçants » et non ceux qui étaient seulement injurieux ou insultants. Les législateurs ont aussi précisé que seuls seraient punissables les propos comportant l’intention, et non seulement le risque, de provoquer la haine raciale. Ils ont aussi ajouté que le prosélytisme, la discussion, la critique et le fait d’insulter ou de se moquer d’une religion, d’une croyance ou d’une pratique religieuse ne seraient pas des délits.
La promesse renouvelée de Miliband de faire de l’« islamophobie » (un terme qu’il ne définit pas) un « crime aggravé » est peut-être le signe qu’il tente de transformer la loi de 2006 – qui fixe déjà une peine maximale de sept ans de prison pour l’incitation à la haine religieuse – en une véritable loi musulmane contre le blasphème.
D’après le commentateur britannique Leo McKinstry, « La proposition de Miliband est contraire à toute la tradition de la démocratie occidentale, qui veut que les gens soient punis seulement pour leurs actes et non pour leurs opinions. » Dans un article d’opinion [voir lien], il ajoute :« Dans la Grande-Bretagne de Miliband, il sera impossible de critiquer le moindre aspect de la culture musulmane, que ce soit la propagation de la burqa, l’établissement de tribunaux
islamiques ou la construction de mosquées colossales. Nous vivons déjà dans une société où Mohammed est devenu le prénom masculin le plus répandu [chez les nouveau-nés] et où un enfant né à Birmingham a plus de chance d’être musulman
que chrétien. S’il remporte l’élection, Miliband fera en sorte que l’islamisation toujours plus rapide de notre pays continue sans frein. »
McKinstry affirme que Miliband cherche à gagner la faveur des trois millions de musulmans britanniques afin de « renforcer le vote travailliste des villes.
Les musulmans sont en train de devenir un bloc électoral essentiel dans la politique britannique et sont déjà en mesure de décider du résultat d’élections locales dans de nombreux endroits du pays, comme il ressort d’un rapport du Conseil musulman de Grande-Bretagne, une organisation faîtière.
Le rapport montre que la population musulmane britannique est en grande majorité jeune et exercera une influence politique croissante avec le temps. L’âge médian des musulmans britanniques est 25 ans, contre 40 ans pour l’ensemble de la population.
Une extrapolation indique qu’un million de musulmans britanniques de 18 ans et plus pourront voter cette année.
D’après une étude, les musulmans pourraient déterminer le résultat de 25% des 573 sièges au Parlement en Angleterre et au Pays de Galles.
D’autres font valoir que la communauté musulmane britannique est ethniquement diverse et a peu de chances de voter de manière uniforme. Un analyste a soutenu que le potentiel d’influence des musulmans ne se réalisera pas cette année, faute d’une véritable organisation du vote musulman au niveau national.
Une étude publiée par Theos, un think-tank basé à Londres, a découvert que si les musulmans votent systématiquement travailliste, c’est pour des raisons socio-économiques et non religieuses.
Une enquête de la BBC, le 17 avril, a montré que près d’un quart des électeurs « asiatiques » [Pakistanais, etc.] ne savent toujours pas pour quel parti ils voteront. Certains des sondés ont dit que ce sont les questions économiques qui décideront
pour qui ils voteront.
Quoi qu’il en soit, l’influence des musulmans dans l’élection de 2015 dépendra largement de leur taux de participation, qui a été notoirement bas dans le passé. On estime que seuls 47% des musulmans britanniques ont voté en 2010.
Depuis lors, plusieurs campagnes ont été menées pour les encourager en 2015 [liens : Get Out & Vote, Muslim Vote and Operation Black Vote]. Un autre groupe, YouElect [c’est vous qui élisez], affirme : « 53% des musulmans britannique n’ont pas voté en 2010. Ce chiffre énorme montre que beaucoup de musulmans ses sentent ignorés par les politiciens et sont désabusés du processus politique.» Avec la montée de la rhétorique islamophobe en politique et une quantité toujours grandissante de lois anti-terroristes qui visent spécifiquement les musulmans, il est plus important que jamais que les musulmans utilisent leur droit de vote pour montrer aux politiciens qu’ils doivent changer d’attitude et de ligne de conduite.» YouElect veut faire passer le message que vous pouvez faire quelque chose sur les sujets qui vous tiennent à cœur. Nous avons lancé une campagne avec le hashtag #SortItOut, qui appelle les musulmans à voter (…).
» Avec 100'000 jeunes musulmans de plus qui pourront voter cette année, et 26 circonscriptions ayant une population musulmane de plus de 20%, la communauté musulmane a une occasion très réelle d’exercer une influence sur la politique
britannique. »
Ce n’est cependant pas l’avis de tous les musulmans.

UK-Elections-Dont-Vote-HPAu Royaume-Uni, des islamistes manifestent contre le vote qui aura lieu le 7 mai. Affiche : NE VOTEZ PAS – Personne n’a le droit de légiférer à part Allah :

 

Le prédicateur islamiste Anjem Choudary, né en Grande-Bretagne, mène campagne, lui, pour appeler les musulmans à ne pas voter. Dans une série de messages sur Twitter avec le hashtag

#StayMuslimDontVote  [restez musulmans, ne votez pas], il explique que voter est un « péché » contre l’islam car Allah est « l’unique législateur ». Il dit aussi que les musulmans qui votent ou qui briguent une fonction publique sont des « apostats ».
D’autres islamistes britanniques suivent la même voir. Des affiches jaune vif proclamant que la démocratie « viole la loi d’Allah » ont été vues à Cardiff, capitale du Pays de Galles, et à Leicester. dans le cadre d’une campagne appelée
#DontVote4ManMadeLaw  [ne votez pas pour une loi humaine].
Une de ces affiches disait :« La démocratie est un système où l’homme viole la loi d’Allah et décide ce qui peut ou ne peut pas être permis à l’humanité, sur la seule base de ses caprices et de ses désirs.» L’islam est la seule solution véritable et efficace pour le Royaume-Uni. C'est un système global de gouvernance dans lequel on applique les lois d’Allah et on observe la justice. »

Soeren Kern est Senior Fellow à l’Institut Gatestone de New York et Senior Fellow en politique européenne au Grupo de Estudios Estratégicos à Madrid.

Cet article est paru en anglais sur GatestoneInstitute.org    via

Merci à Cenator pour la traduction

Écosse, referendum sur l’indépendance : Suspicions de larges fraudes!

Ce qui se passe sur la vidéo: des bulletins « YES » sont placés sur la pile des bulletins « NO », on voit aussi très clairement des piles entières de bulletins « YES » donc pour l’indépendance lors du zoom de la caméra placés sur la zone de comptage réservée aux piles de bulletins « NO ».

Ceci constitue une fraude électorale et des dizaines de cas semblables ont été répertoriés, qui devraient amener soit au minimum à un recomptage des bulletins (si toutefois ils ont été conservés et dans quelles conditions) soit à un nouveau vote.

https://www.youtube.com/watch?v=D8Mc01RuuO0

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