La police ainsi que les spécialistes de la jeunesse et de la migration tentent de juguler un phénomène lié à la crise provoquée par la pandémie de Covid-19.
La pandémie de Covid-19 a des effets inattendus. Comme celui de favoriser la petite délinquance, notamment les vols, qu’ils soient à la tire, à l’étalage ou dans les véhicules. En bref, les délits dits «de rue». Depuis la mi-avril, le phénomène a fortement touché les cantons de Genève et de Neuchâtel qui, comme l’expliquait la RTS, ont répondu à l’aide d’unités spécialisées de la police constituées pour mettre un terme à ces agissements.
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Note : Remarquez à quel point le journaliste minimise ce qui se passe :
- Ces délits seraient causés par le coronavirus (Ce journaliste croit-il sérieusement que sans le coronavirus, ces clandestins ne commettraient pas de délits et seraient honnêtes?)
- Ces délits seraient inhérents à la "petite délinquance" alors que ces actes pourrissent la vie des autochtones qui travaillent dur chaque jour et que la violence de ces mineurs étrangers n'est plus à démontrer.
- Les auteurs s'imposent dans un pays non musulman et ne démontrent aucun remord, aucun respect. Ce qui ne semble pas choquer le journaliste.
- Quel sort serait réservé à un Européen sans titre de séjour valable qui oserait commettre des délits dans l'un des pays d'origine de ces délinquants?
- Ce journaliste ne semble pas s'offusquer qu'il s'agit de clandestins qui n'ont rien à faire dans notre pays et du fait que la Confédération ne les expulse pas illico.
Rappels :
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Le collectif Perce-Frontières dénonce les conditions d’accueil des mineurs non accompagnés à Genève.
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