Les émeutes aux USA vues de la RTS, et révélation fortuite concernant la censure de Facebook Suisse

Le débat Forum du 29.05.2020 – Twitter VS Trump: qui censure qui?

Débat mené par Tania Sazpinar, journaliste de la RTS, avec une large majorité de gauchistes :
Magali Philip, responsable réseaux sociaux à la RTS,
Jonas Follonier, rédacteur en chef du magazine Le regard libre et journaliste à Bon pour la tête. (Rappel: Bon pour la tête est né le premier jour de l’été 2017, au lendemain de la disparition de L’Hebdo.)
François Charlet, juriste spécialisé dans le droit du numérique.

Introduction par une journaliste RTS, ici Anouk Henry, pour donner le « la » anti-Trump aux invités :

Un tweet virulent de Donald Trump au sujet des émeutes raciales à MinneapolisLe président dit soutenir l’armée et qu’au moindre problème, quand les pillages démarrent, les tirs commencent. Pour Twitter c’en est trop : le message inciterait les forces de l’ordre à tirer sur les gens. Le réseau social n’a pas supprimé le tweet présidentiel mais il a collé un message d’avertissement : « C’est de l’apologie de la violence ». Ce n’est pas un algorithme qui a pris cette décision, mais le grand patron de Twitter, Jack Dorsey. Au réveil, nouveau tweet de Donald Trump, ulcéré, qui accuse de nouveau Twitter d’être biaisé politiquement.

[...]

Cenator: Pour la RTS, les émeutes en cours dans 140 villes des États-Unis, amenant destruction, pillages, le chaos, sont liées directement aux tweets de Trump et il en porte la coresponsabilité avec le policier qui a (aurait) étouffé George Floyd.

La responsabilité de Trump est mise en avant dans chaque émission de Forum depuis ce décès. C’est la dernière reductio ad Trumpum comme la RTS les affectionne tant.

Bien qu’on ne puisse pas déceler la moindre incitation à la violence ou au racisme dans les tweets de Trump, notre média public n’en est pas à ce menu détail près. Calomnier Trump, c’est une tâche à laquelle la RTS s’attelle chaque jour, car elle n’a jamais accepté le fait même qu’il ait été élu président.

De campagnes de calomnies en hystérie d’impeachment, depuis l’élection de Trump, la RTS n’a pas pris un millimètre de distance par rapport à la propagande démocrate, même la plus extrême, diffusée aux États-Unis

La gauche suisse importe tout ce que la gauche américaine déverse par ses médias, et l’impose ensuite à notre population.

Et cette imposition du marxisme culturel a totalement gangrené notre société, notre système d’enseignement, nos médias, entraînant la transformation dramatique de notre pays en une société fragilisée par le multiculturalisme et l’incapacité de la majorité à penser par elle-même.

Le marxisme culturel enseigne aux autochtones la culpabilisation de soi (applicable uniquement aux Suisses blancs et forcément riches), la honte de notre histoire (copiée sur les revendications anachroniques faites aux États-Unis avec la chasse aux personnalités historiques), un féminisme totalement artificiel (comme les manifestations #me too), la promotion des déviances LGBT (les parlementaires suisses débattent actuellement du mariage pour tous, de la procréation pour tous et bientôt de la gestation pour tous), les délires du changement climatique érigés en science et suivi de mesures suicidaires pour le sauver... en somme, tout ce que la dégénérescence de la gauche américaine engendre est rapidement imposé d’une manière incontournable par la gauche en Suisse.

Cette vision déformée et destructrice du monde devrait trouver une certaine opposition, si la population était correctement informée.

Mais justement, la totalité de nos médias est dominée par la gauche, qui impose sa vision du monde, formate l’inconscient collectif, canalise les gens hypnotisés et foncent  tête baissée pour défendre les causes gauchistes. Les voix dissidentes sont inexistantes ou inaudibles. Le dernier « dissident » de la RTS remonte au 26 novembre 2014, lorsqu’elle avait invité Zemmour à un débat.

Il y a tout un pan de la réalité dans le monde que la plupart des Romands ignorent. Par exemple, tout le monde a entendu durant les quatre ans écoulés que Trump était sur un siège éjectable, qu’il est nuisible, tricheur, sexiste, raciste, grossier, incapable, dangereux pour la paix aux États-Unis et dans le monde, etc. mais peu savent ce qu’est l’Obamagate.

La grande différence dans l’information aux États-Unis et en Suisse romande, c’est que TOUS les Américains ont appris, grâce à la présence de médias idéologiquement non biaisés, que les accusations de complot et de manipulation électorale contre Trump ont été fabriquées de toutes pièces. Cette information arrive même chez les Démocrates les plus fanatiques.

Chez nous, aucun démenti n’est fait, les journaleux passent sans broncher à la calomnie anti-Trump suivante. En Suisse romande, l’Obamagate n’a tout simplement jamais existé, tout n’est plus que de la propagande. Et cela se passe ainsi pour tout politicien qui est souverainiste, que ce soit Orban, Bolsonaro ou Salvini.

Il n’y a rien qui puisse freiner la diffusion de cette désinformation déferlante, ces mensonges, aucune voix ne s’élève publiquement pour exprimer le ras-le-bol.

L’État suisse se charge de sauver la presse chroniquement en péril, il s’abonne un maximum dans ses services tentaculaires et verse des dizaines de millions pour « sauver l’information indispensable à la formation de l’opinion des citoyens ».

La léthargie de la population à tout accepter vient de plusieurs facteurs.

Tout d’abord, en cas d’expression d’une idée mal-pensante, le poids des risques encourus : la crainte de perdre son emploi, d’être stigmatisé, malmené, rejeté.

La population suisse a intériorisé une certaine culpabilité permanente.

Ensuite, les villes sont si multiculturelles que les autochtones s’y trouvent minoritaires et en plus la gauche y est très organisée, accompagnée par la publicité des médias qui leur garantit le succès de leurs manifestations.

La tragédie de la Suisse, c’est aussi la pléthore d’ONG gauchistes sur son sol, qu’elle subventionne et chérit, gangrenées également par le marxisme culturel anti-occidental, tiers-mondiste, pro-chinoises. S’ajoute à cela une concentration d’associations gauchistes locales.
Ensemble, elles représentent une force politique incontournable, définissent avec les médias les résultats des votations, en faisant un hold-up sur notre démocratie. Elles sont les juges officiels d’un tribunal au dessus des lois, hostile aux souverainistes, aux populistes. Les remettre en question s'apparente à une hérésie, et les hérétiques sont réduits au silence par tous les moyens.

Et le résultat est là : la Suisse a cédé insidieusement son libre arbitre à ces institutions, ils ne sont plus maîtres dans leurs propre pays, la « moraline » de gauche de ces institutions est imposée comme une identité aux Suisses, comme un ADN, comme notre réputation à laquelle personne ne peut se soustraire. Comme si l’histoire de la Suisse avait commencé après la Deuxième guerre mondiale, et comme si notre survie dépendait de ces institutions (ONU, HCR, OMS...). Dès qu’elles sont critiquées, la bienpensance sort ses griffes et les défend inconditionnellement, même les plus pourries.

Dans l'ensemble, démographiquement, la Suisse n'est pas encore menacée comme aux USA par le fait que des autochtones deviennent minoritaires sur leur sol.  Mais dans les villes romandes, la bascule va arriver sous peu. L'identité de Blanc d'origine chrétienne y est menacée, et contrairement aux immigrés venant d'autres continents, les Blancs n'auront pas une patrie de rechange. Le fait que le plus haut taux d'infection au covid viennent aussi de ces endroits est un symptôme d'une maladie incurable parmi d'autres que nos médias, nos autorités refusent de voir en face.

Cette situation désastreuse pourrait être sauvée par l’internet, qui devient la principale source d’information pour ceux qui refusent l’endoctrinement.

Mais là aussi, les GAFA ont passé en main des Démocrates, et se permettent de filtrer l’information selon leur convenance idéologique ou électorale sous prétexte de fact checking, de lutte contre la désinformation et de blocage des fake news.

Dans les médias de Suisse romande, nous n’entendrons jamais, concernant cette censure, que ce ne sont que des gauchistes qui censurent ceux qui ne pensent pas comme eux.

Par exemple, dans cette logique gauchiste, il est tout à fait normal que Twitter censure Trump, le président démocratiquement élu des États-Unis, lorsqu’il se permet de parler de faire intervenir l’armée pour stopper des émeutes destructrices et sanglantes, ou de critiquer la validité du vote par correspondance.

 Voici un extrait du Forum du 29.05.2020: 

Magali Philip responsable réseaux sociaux à la RTS, se lâche (12:13) : « J’invite Monsieur Follonier à venir passer une journée à modérer les contenus sur Facebook avec nous pour se rendre compte un petit peu de ce qui est publié et surtout de la manière dont tout ça se propage. »

Donc Magali Philip censure non seulement les médias sociaux de la RTS mais apparemment aussi le contenu de Facebook Suisse !

Puis le rédacteur en chef de Bon pour la tête apporte sa solution « pour lutter contre la polarisation » :

La solution est la diversité des médias. Et déplore aussitôt que l’affaire Twitter/Trump va plutôt aider les Républicains dans leur côté binaire.

Sans commentaire!

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Forum revient sur les émeutes aux États-Unis le 1.06, le 2.06, le 3.06, et certainement les jours à venir.

Idem pour le TJ de 19h30. Les reportages sur la souffrance des Noirs américains se succèdent. Le 3.06, une star du basket suisse, Thabo Sefolosha, qui joue dans une équipe de la NBA, témoigne. Il a été blessé lors d’une arrestation en 2015 à New York en sortant d’une boîte de nuit. Il avait résisté à son arrestation et s’est retrouvé avec une fracture du péroné. Le Veveysan Thabo Sefolosha a gagné le procès contre la police de New York et a été indemnisé à hauteur de 4 millions de dollars, mais garde malgré tout un souvenir douloureux.

Philippe Revaz : Est-ce que vous sentez la discrimination au quotidien aux États-Unis ?

Thabo Sefolosha : Les lois ont été mises en place d’une façon qui empêche de les attaquer, le système est fait pour ralentir certains en termes de développement et mettre d’autres en avant !

Philippe Revaz : C’est du racisme ?

Thabo Sefolosha : Ça fait partie de la culture, de l’état d’esprit de beaucoup, ça dure depuis longtemps. Malgré les vagues de protestation, c’est toujours les mêmes problèmes, rien ne change.

Philippe Revaz : Ça vous inquiète d’entendre Trump évoquer « la loi et l’ordre » avec des accents nixoniens ? Il veut briser les émeutiers. Est-ce que tout ça va bien se terminer ?

On dirait que la RTS souhaite la guerre civile, la destruction des États-Unis pour arriver à l’accomplissement de son vœu le plus cher, la non-réélection de Trump.

Et les prises de positions victimaires du côté des Noirs continuent.

Puis, ce sont les Noirs vivant sur sol romand qui prennent la relève, relatant devant les caméras de la RTS le martyre des Africains en Suisse. Titre du sujet : Les violences raciales sont également une réalité en Suisse.

Le 19h30 s’est rendu à Genève dans un salon de coiffure africain pour dénicher la violence raciste. Une cliente se demande si elle est à l’abri de ces problèmes.
Une coiffeuse : Je n’ai jamais vécu ça ; je ne veux pas dire n’importe quoi devant caméra mais je veux que ça cesse.

Une employée du salon dit qu’en Suisse le racisme est plus latent qu’aux États-Unis où vit sa famille. Elle n’a pas été forcément insultée ou tabassée à cause de sa couleur de peau mais le racisme est indirecte. Cela lui est arrivé dans le train, que, lorsqu’elle s’asseyait, la personne en face se lève et parte et on comprend tout de suite que c’est du racisme.

En Suisse les plaintes racistes sont en hausse : 352 cas en 2019, soit 80 de plus qu’en 2018, 30% d’augmentation en un an.

Changement de ville : Lausanne. Chacun des six Noirs interviewés affirme avoir vécu des violences policières liées à leur couleur de peau. En 2016, ils ont créé leur association, « À qui le tour ».
Témoignages: « Tu dois faire attention à tout ce que tu fais quand tu rentres dans les magasins pour que les gens ne disent pas : c’est un voleur, qui va prendre un truc. »
Les magasins auraient alors bien du boulot au centre ville de Lausanne, où souvent une grande partie des clients sont des Noirs...
« On doit montrer patte blanche absolument partout, dans tout ce qu’on fait. En Occident c’est épuisant d’être Noir. Nos parents ont dû baisser la tête et accepter cela. Mais nous, on est né ici. »

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Les journalistes ont de la peine à cacher la satisfaction que leur procurent ces émeutes, ces pillages, ces désordres, ces plaintes démontrant par là leur profonde immoralité.

Pour tous ces journalistes partisans, TOUT est préférable à une réélection du Président Trump. Exemples : 

Le spécialiste invité de Tania Zaspinar au Forum du 3.06, Dominique Moïsi, géopolitologue et cofondateur de l’Institut français des relations internationales, conclut ainsi son interview : Le moyen pour les gens de dire ce qu’ils pensent de tous ces problèmes raciales, c’est de voter contre Donald Trump le 3 novembre 2020.

Dominique Moïsi. [MEDEF - CC-BY-SA]

La veille, c’est Boris Vejdovsky, maître d’enseignement de culture et de littérature américaine à l’Université de Lausanne, qui vient battre sa coulpe de Blanc et justifier le déchaînement de barbarie qui secoue des villes aux États-Unis. Trump serait le responsable de tout, y compris du bilan économique désastreux, et Boris Vejdovsky pleure Obama, qui pourrait sauver les Noirs.

Boris Vejdovsky. [UNIL]

Lundi, c’est Élodie Grossi, maîtresse de conférence à l’Université de Toulouse, sociologue et historienne spécialiste des questions raciales aux États-Unis.

Les auditeurs apprennent que si le Covid-19 tue plus de Noirs, cela s’explique par des inégalités systémiques raciales et sociales post-esclavagistes, par manque d’accès aux soins, alors qu’il y a bien d’autres facteurs, comme le non-respect des consignes d’hygiène, qui est, comme nous le constatons, le dernier souci des émeutiers. Tout ce misérabilisme sur le classement des gens selon la couleur de leur peau est totalement clivant, néfaste, il est stigmatisant et raciste.

Les journalistes RTS, jubilent à l’idée d’une contagion des émeutes, et répètent depuis des jours:
« Ça va venir aussi chez nous, comme le mouvement #me too ? »

Si ces journalistes avaient le moindre respect pour le peuple américain, Noirs et Blancs, ils ne chercheraient pas à justifier implicitement les pillages, les incendies, les vies détruites du fait de ces actes de vandalisme. Nier ou ignorer le travail de sape des Antifas, continuer à diffuser la propagande victimaire dans les médias, jetant ainsi de l’huile sur le feu en donnant raison aux émeutiers, c’est soutenir la destruction de la vie de beaucoup d’Américains innocents, c’est se faire coresponsable du chaos et des destructions en cours juste pour des raisons électorales. Aucun autre point de vue ne peut être entendu à la RTS, chaque jour c’est pareil.

La RTS et la totalité des médias officiels en Suisse romande haïssent le peuple américain, ou du moins la partie de ce peuple qui incarne les valeurs américaines. Ces émeutes vont amener la misère, des vies détruites, et la Gauche table sur le fait qu’ainsi Trump va échouer!

Ces émeutes en cours sont une dernière tentative pour renverser Trump, après que toutes les autres tentatives ont échoué.

La gauche ne connaît pas d’autres méthodes, c’est ainsi depuis 1917. Il faut toujours monter les groupes d’individus les uns contre les autres, pour tirer avantage des clivages ainsi fabriqués et arriver au pouvoir. La morale de la gauche est la suivante, la fin justifie les moyens. Et elle ne recule devant rien pour y arriver. Nous apprenons par la TV hongroise M1 (1er juin) que 85% des manifestants de Minneapolis sont arrivés en bus d'autres villes et que ce sont les plus violents.

Ces pillages, ces incendies vont laisser des gens économiquement détruits, il y a déjà eu plusieurs morts.

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Le tweet de Donald Trump :

… These THUGS are dishonoring the memory of George Floyd, and I won’t let that happen. Just spoke to Governor Tim Walz and told him that the Military is with him all the way. Any difficulty and we will assume control but, when the looting starts, the shooting starts. Thank you!

(Ces VOYOUS déshonorent la mémoire de George Floyd, et je ne laisserai pas faire cela. Viens juste de parler au gouverneur Tim Walz et lui ai dit que l’armée est à ses côtés tout du long. À la moindre difficulté, nous reprendrons le contrôle, mais : quand les pillages commencent, les tirs commencent. Merci ! »)

La spécialiste Élodie Grossi, dans son interview à Forum citée plus haut, prétend que Trump « attise la contestation » en utilisant dans ses tweets des termes « extrêmement violents », et donne comme exemple le fait que Trump emploierait le terme de « thugs » pour désigner « la communauté africaine-américaine » !

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À notre connaissance, les médias en Suisse romande n'ont jamais parlé de l’assassinat, à Minneapolis, d’une femme blanche, Justine Damond, abattue à bout portant par un policier d’origine somalienne, « par erreur ». Cette femme sans histoires était en pyjama, non armée, et avait appelé la police parce qu’elle avait entendu dans son voisinage des bruits faisant penser à une agression.
La photo des deux expliquera pourquoi cela n’a pas attiré l’attention de nos médias bien-pensants.

L’indignation variable en fonction de l’échelle chromatique, qu’est-ce que c’est, sinon du racisme ?

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Tony Timpa est mort dans les mêmes circonstances que George Floyd, mais comme il est Blanc vous n’en avez jamais entendu parler :

Vidéo en anglais : « Les caméras piétons des policiers de Dallas montrent le moment où Tony Timpa a cessé de respirer »

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Avant de classer la mort de George Floyd comme « crime raciste », il faut la remettre en perspective, en rappelant quelques statistiques officielles (source : Contre-Info:

Les émeutes et pillages de Minneapolis, réinterprétés par un professeur de Sciences Po Paris

RTS/Forum, 29.05.2020

Flambée des émeutes raciales à Minneapolis: interview de l'historien Pap Ndiaye

https://www.rts.ch/play/radio/forum/video/flambee-des-emeutes-raciales-a-minneapolis-interview-de-lhistorien-pap-ndiaye?id=11362244

Cenator : Sur les émeutes de Minneapolis, après la mort d’un Noir imputée à une contention inadéquate par un policier blanc, nous ne trouvons qu’une seule et unique approche dans les médias romands.

Pour servir la soupe, Renaud Malik tape dans le catalogue de la RTS pour dénicher le Noir de service qui va répondre à chaque question selon les attentes du plus puissant parti de Suisse : Pap Ndiaye, professeur à Sciences Po, Paris, spécialiste de l’Amérique du Nord.

Résumé de l’interview:

Pap Ndiaye : Le contexte de cette bavure policière est aggravé par le fait que 23'000 Africains-Américains sont morts du Covid, sur 100'000 Américains. On sait aussi le poids des conditions sociales des Africains-Américains et l’indifférence du gouvernement fédéral. En plus, Trump, ce n’est pas Obama, déplore le professeur.

L’insistance de Pap Ndiaye, tout au long de l’interview, à rebaptiser les Noirs « Africains-Américains » en dit long sur ce spécimen.

Renaud Malik déroule le tapis rouge à son invité :

C’est de nouveau une bavure policière qui a mis le feu aux poudres : est-ce qu’il y a un problème au nouveau des pratiques des forces de l’ordre ?

Pap Ndiaye : Il y a une très longue série de violences policières, déjà dénoncées dans les années 60 par Martin Luther King.

Les policiers s’attaquent ou agressent en particulier les minorités et surtout les Africains-Américains. Trois Américains sont tués chaque jour par la police, pas toujours pour des motifs illégitimes, mais la part des Africains-Américains est très élevée. Cela dure pratiquement depuis un siècle aux États-Unis.

Renaud Malik : Certains expliquent que Trump a jeté de l’huile sur le feu avec ses tweets. Mais à l’époque d’Obama, les tensions sociales étaient déjà très fortes ?

Pap Ndiaye rappelle le décès d’un Noir en 2014 à Ferguson, mais Obama avait alors réuni les chefs de la police, contrairement à Trump qui a tweeté qu’il fallait tirer sur les émeutiers. C’est quelque chose de singulier dans la parole d’un président, qui, loin de calmer, tend plutôt à exciter.

Le degré de malhonnêteté de Pap Ndiaye dépasse tout entendement. En écoutant son discours victimaire, sans un mot du fait que la majorité des crimes sont commis par des Noirs depuis des décennies, nous sommes en face de la propagande la plus crasse et mensongère qu’on puisse inventer. Même à la CNN, une émission si biaisée ne passerait pas.

Trump a mis une limite à ces émeutes en écrivant qu’en cas de pillages, la police devrait tirer. En effet, imposer une limite au déchaînement de barbarie déclenché sous prétexte de révolte raciale légitime est d’autant plus justifié que la pandémie aggrave les tensions, comme l’invité l’explique lui-même, et que les violences font beaucoup de victimes collatérales. 

Et bien sûr, Pap Ndiaye parle de Charlottesville et des mots « compréhensifs » de Trump pour les « néo-nazis », lorsqu’il avait renvoyé dos à dos Antifas et souverainistes, événements que Pap Ndiaye transforme en lutte des justes contre la discrimination raciale des néo-nazis.

Trump aurait même démantelé le ministère de la Justice après Obama, tout est à l’arrêt depuis, et OBJECTIVEMENT il y a des reculs très nets.

Mais qui douterait un seconde de l’objectivité de la RTS et son invité, le professeur de Paris, Pap Ndiaye ?

Et Pap Ndiaye continue : Trump s’en moque, il a fait une croix depuis longtemps sur l’électorat africain-américain.

Renaud Malik : On se souvient de Black Lives Matter, mouvement PACIFIQUE (en réalité, ils  se sont recyclés en Antifas) qui avait émergé à l’époque d’Obama. Il en reste quoi aujourd’hui ?

Pap Ndiaye : Depuis Trump, le mouvement a décliné, car il n’a plus d’interlocuteur à la Maison Blanche. En plus, Trump soutient les policiers lorsqu’ils sont incriminés.

Minneapolis est dirigée par les Démocrates, c’est une ville libérale, c’est-à-dire de gauche. Donc on ne s’attendrait pas à ce que ce genre d’événements y survienne. Mais c’est représentatif d’une situation générale aux États-Unis. Les policiers sont armés avec d’anciens rebuts des guerres menées en Asie. Ils n’ont pas significativement changé leurs pratiques qui demeurent des pratiques très violentes. A Minneapolis, comme partout aux États-Unis, la situation est dégradée, très tendue, en ce qui concerne les relations entre la police et les Africains-Américains.

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Cenator : La meute journalistique romande est en campagne électorale contre Trump : le tweet prétendument raciste du président le rendrait responsable des émeutes de Minneapolis.

La désinformation dans la totalité des médias en Suisse romande bat son plein dès qu’un sujet touche le vivre ensemble. La propagande victimaire de gauche est déversée à flots, en escamotant la réalité de la criminalité des Noirs en Amérique et en culpabilisant les Blancs, forcément racistes s’ils ne sont pas de gauche. Le rouleau compresseur enfonce le message dans le crâne de la population, appuyée par des fausses statistiques et des affirmations mensongères, sans qu’aucune opinion tant soit peu divergente puisse se faire entendre.

C'est encore la même partition que les médias nous jouent: tout est de la faute des Blancs qui ne sont pas de gauche, tout est de la faute de Trump, ... mais nous n’entendrons JAMAIS que ces événements tragiques à répétition sont l'expression de la plus grande catastrophe de notre civilisation, à savoir le multiculturalisme qui entraîne partout la déchéance.

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Jean-Cosme Delaloye, un de ces journalistes, montre l’exemple. Il est correspondant aux États-Unis pour la Tribune de Genève, 24 heures et la Radio Suisse romande. Il commente la mort de George Floyd dans 24 heures : «Je ne peux pas respirer» - Noir américain mort le cou écrasé par le genou d’un policier.

«Je ne peux pas respirer». Depuis le début de la pandémie de coronavirus, l’Amérique blanche dont je fais partie vit avec cette phrase terrifiante dans un coin de sa tête. Pour elle, ces quelques mots évoquent le virus qui attaque le système respiratoire […]

[…] La liste de Noirs tués par des Blancs en raison de leur couleur de peau aux États-Unis, est longue et s’est encore rallongée en février avec le meurtre d’Ahmaud Arbery en Géorgie.

[…] Les relations raciales étaient loin d’être parfaites sous la présidence de Barack Obama. Mais à l’époque de la mort de Trayvon Martin, l’Amérique avait un président qui l’avait consolée en disant: «Si j’avais un fils, il ressemblerait à Trayvon Martin.» Aujourd’hui, elle est dirigée par un homme qui, la veille de la mort de George Floyd, relayait des tweets racistes et sexistes d’un ancien candidat au Congrès.

Source : https://www.24heures.ch/je-ne-peux-pas-respirer-115059179332

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L’article de Dreuz, par Jean-Patrick Grumberg, explique bien les événements de Minneapolis, la récupération par les Antifas, l’inaction de la police locale, le casier judiciaire de George Floyd :

Minneapolis: les Antifas et émeutiers professionnels sèment la violence et le chaos

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« Je vais faire tomber les États-Unis en finançant des groupes de haine noirs. Nous allons les faire tomber dans un piège mental et leur faire mettre les fautes sur les Blancs. La communauté noire est la plus facile à manipuler. »

Georges Soros, interview au journal allemand Bild, sept. 2014.

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Le décret de Trump concernant la censure des réseaux sociaux: Trump signs social media executive order that calls for removal of liability protections over 'censoring'

Concernant la prudence qui s'impose sur l'affaire de Minneapolis, en attendant les résultats de l'enquête:

Attention!!! Affaire Minneapolis cet Événement est très Bizarre et serait Organisé?

Le médecin légiste du comté de MN conclut qu'il n'y a "aucune constatation physique permettant de diagnostiquer une asphyxie ou une strangulation traumatique" dans le décès de George Floyd

Concernant les prétendues bavures des policiers blancs commises contre la communauté noire:

A Minneapolis, où les Somaliens, Erythréens, Soudanais sont majoritaires, les Blancs sont les cibles de gangs violents

USA : un Noir n’est pas davantage en danger face à un policier blanc, selon une étude

Gilles-William Goldnadel sur l’Affaire Telford : «Le racisme anti-blanc impose l’omerta médiatique»

Enseignements politiquement incorrects de la tuerie de Floride

Etats-Unis: derrière le “encore un Noir tué par des policiers blancs”

Charlotte (USA) : chasse aux blancs après la mort d’un Noir tué par un policier noir

DALLAS VIOLENCES POLICIÈRES ET DÉLINQUANCE AFRO-AMÉRICAINE

 

Rappels sur ce qui s’est passé à Charlottesville :

https://lesobservateurs.ch/2017/08/17/lideologie-antiraciste-a-la-source-des-violences-a-charlottesville/

https://lesobservateurs.ch/2017/08/16/charlottesville-trump-condamne-les-extremistes-de-gauche-et-de-droite-le-20-minutes-cache-la-verite-et-depeint-les-extremistes-de-gauche-comme-de-simples-manifestants/

https://lesobservateurs.ch/2017/08/16/affrontements-de-charlottesville-la-police-a-t-elle-laisse-faire/

https://lesobservateurs.ch/2017/08/15/ce-qui-sest-vraiment-passe-a-charlottesville/

RTS: La libre circulation “débattue” par quatre journalistes de gauche, faute d’avoir un journaliste de droite en Suisse romande

FORUM DES MÉDIAS: - Une libre circulation sanitaire?

Cenator, 20.05.2020

Débat mené par Esther Coquoz,
1ère journaliste de gauche

Michel Guillaume, correspondant parlementaire pour Le Temps,
2ème  journaliste de gauche

Patrick Monay, chef de la rubrique suisse à 24 heures, Tribune de Genève, le Matin Dimanche,
3ème journaliste de gauche

Jean Quatremer, correspondant à Bruxelles pour le journal Libération.
4ème journaliste de gauche

https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/forum-des-medias-une-libre-circulation-sanitaire?id=11311539

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Esther Coquoz introduit le débat sur l’ouverture des frontières qui s’accélère. Les raisons sont-elles sanitaires, économiques ou politiques ?
Elle demande à Michel Guillaume : Pourquoi cet empressement à rouvrir les frontières ?

Michel Guillaume : On est entré dans une nouvelle phase avec l’épidémie. Jusqu’à fin avril, la priorité était la protection de la population. Actuellement, c’est le redémarrage de l’économie. Avec les deux interviews de Guy Parmelin aujourd’hui et de Karin Keller-Suter dans la NZZ, on voit bien que le Conseil fédéral relance la campagne contre l’initiative de l’UDC qui veut absolument résilier l’accord sur la libre circulation des personnes (votation qui aura lieu le 27 septembre).

Jean Quatremer : Le confinement (pas le coronavirus) va causer la plus grave récession en période de paix depuis au minimum trois siècles : 7 à 12 % de récession dans la zone euro. Pour retrouver une récession de -10%, il faut remonter à 1942, quand la France était occupée par l’Allemagne nazie. Le tourisme, c’est 10% du PIB de l’Union européenne. En Grèce, par exemple, c’est 21%. Et tout ce secteur a été beaucoup touché. Il y a une urgence absolue à rétablir les voyages au moins au sein de l’UE. Par contre, pas question de rouvrir les frontières en dehors de l’Espace économique européen.

Patrick Monay : Nous avons réalisé un sondage avec tous les titres de Tamedia. Résultat du sondage: les Suisses veulent partir en vacances à l’étranger.

Cenator (auteur des commentaires en italique): Il y a quelques semaines, la Confédération encourageait les citoyens à passer leurs vacances en Suisse, pour soutenir le tourisme aux abois. Mais maintenant que le Conseil fédéral et nos médias ont uni leurs forces pour combattre l’initiative UDC, tout ce « beau monde » trouve tout à fait normal de se rendre en Grèce ou au Portugal, en voiture, svp !  Les « sondages » prouveraient que c’est la volonté populaire ; le peuple refuserait l’enfermement, à savoir la fin de la libre circulation des personnes ! La « mécanique » destinée à annihiler la capacité de libre réflexion des citoyens est en marche.

Esther Coquoz à Patrick Monay : On a vécu 20 ans de libre circulation en Suisse. Il y avait un sentiment d’enfermement à cause de ce confinement, pas seulement le fait de devoir rester chez soi, mais de ne pas pouvoir sortir de Suisse.

Patrick Monay : Oui, on l’a vu dans les zones frontalières, et je crois partout dans le pays, cette période a fait peser une chape d’incompréhension sur le pays, à laquelle nous ne sommes plus habitués. Il y a un soulagement certain à voir que ça va se débloquer.

Esther Coquoz à Michel Guillaume : Pour l’ouverture des frontières, la France se trouve dans le même accord que la Suisse, l’Allemagne et l’Autriche : est-ce que ça vous a surpris ?

Michel Guillaume : Oui. La Suisse avait entamé d’abord des négociations avec l’Allemagne et l’Autriche, qui ont bien maîtrisé la crise, ce qui n’est pas du tout le cas de la France.
On voit sur coronadata.ch que la France a un ratio de décès, parmi les malades du coronavirus, qui est l’un des plus élevés au monde, plus qu’en Italie, plus qu’en Grande-Bretagne. Je pense que là aussi des considérations économiques ont prévalu : rappelez-vous les files interminables de voitures auxquelles on a assisté à la frontière franco-suisse du côté de Genève.
La gauche et nos médias nous rappellent sans cesse les embouteillages aux postes frontières en cas de contrôles, mais jamais ils ne relèvent que les routes sont surchargées, que des automobilistes perdent chaque année un temps épouvantable dans les bouchons et que le nombre des accidents aggrave encore cette situation. La faute en revient à la libre circulation impliquant l’immigration de masses.

Un peu moins de bouchons en Suisse l'an dernier
En tout, 25'366 heures d’embouteillage ont été recensées en 2018 sur le réseau des routes nationales. C'est une baisse de près de 2% par rapport à 2017. https://www.24heures.ch/suisse/bouchons-suisse-an-dernier/story/29430461
https://www.lelynx.fr/assurance-auto/conduite/securite-routiere/circulation/bouchons-total-2018/embouteillages-2019/

Esther Coquoz à Jean Quatremer : Un accord sans la France, c’était difficile à imaginer.

Jean Quatremer : Oui. Comment voulez-vous que des Suisses aillent en vacances en Espagne en voiture si la France n’a pas ouvert ses frontières ?
Au nom du climat, on nous a seriné depuis des mois qu’il faut éviter la voiture à des fins de loisir, mais tout à coup, en pleine crise économique, le premier souci des gens est de pouvoir partir en vacances en Espagne, en voiture. De plus, l’espace aérien n’est pas rouvert à cette aviation qu’on a tant diabolisée.

Esther Coquoz à Jean Quatremer : Comment vous expliquez que l’Italie, toute seule, comme ça, durant le week-end, annonce elle aussi qu’elle va ouvrir ses frontières, sans avoir passé aucun accord avec personne, sans avertir aucun Etat de l’Union européenne ? Il y a une petite urgence à ne pas être le dernier à profiter des touristes sur ses plages ?
Il y a deux objections dans cette question. D’abord, l’idée que l’on puisse refuser à un Etat souverain le droit de décider lui-même s’il va ouvrir ses frontières. Ensuite, l’insinuation amère que l’Italie serait coupable de vouloir profiter du tourisme.

Jean Quatremer : Là, c’est encore une fois le chacun pour soi qui a dominé. Pourtant la Commission européenne a proposé des guidelines, pour qu’on puisse rouvrir les frontières de façon concertée. Encore une fois, les frontières nationales n’ont pas permis d’arrêter le virus. C’est ce dont on s’en est aperçu.
On sait qu’en réalité, les pays qui ont fermé rapidement leurs frontières ont eu moins d’infections, moins de morts, ont été moins affectés par la crise. Mais voilà : au nom de l’ouverture des frontières, on répète le mantra : « les frontières n’arrêtent pas le virus ». On croirait entendre la formule employée à l’époque de Tchernobyl : « les frontières n’arrêtent pas le nuage radioactif », sauf que dans le cas de la pandémie c’est une absurdité, puisque le virus est transporté essentiellement par des personnes.

La Commission européenne conseille de rouvrir les frontières seulement entre régions sanitairement homogènes, et voilà qu’on ouvre les frontières nationales chacun dans son coin !

Esther Coquoz : Toutes ces ouvertures de frontières auront un impact en Suisse sur un objet politique très important, qui est la votation du 27 septembre. L’UDC veut supprimer la libre circulation des personnes. Patrick Monay, vous y faisiez déjà allusion dans un éditorial paru mercredi dans 24 heures : c’était important d’ouvrir les frontières pour mener un débat serein dans une Suisse ouverte, c’est comme ça que le débat peut mieux se passer ?

Patrick Monay : C’est une bonne nouvelle, cette ouverture, même partielle, en vue de cette votation, parce qu’une situation inverse aurait fait peser un climat malsain, inhabituel, d’incompréhension de la population, avec des réflexes de repli sur soi-même. Et je pense qu’effectivement cette ouverture permet un débat plus serein et je m’en réjouis.
Il faut absolument placer des mots pavloviens nécessaires à la « formation d’opinion » – ici le « repli sur soi ». Le contrôle des frontières est une chose naturelle et il a duré pendant 750 ans. L’ouverture a duré 20 ans, a amené des problèmes sans fin et on veut nous faire croire que c’est l’état normal. 

Esther Coquoz à Michel Guillaume : Vous penser que le Conseil fédéral avait vraiment en tête cette votation du 27 septembre, et qu’il fallait un retour à la normale le plus abouti possible, avant les votations ?
L’initiative UDC ne pouvait pas prévoir la pandémie. Lier les deux et en faire une stratégie politique de l’UDC est juste ignoble. Faire penser que l’on pourrait moduler l’ouverture des frontières en fonction des résultats souhaités dans les urnes, c’est extrêmement grave.
Ce genre de manipulation ouvertement assumée montre à quel point les médias se sentent tout permis. Quel mépris pour la population !

Michel Guillaume : Oui. L’issue de la votation était déjà très ouverte avant la crise du coronavirus. Elle le devient encore davantage puisqu’on vit dans un climat anxiogène, dont entend bien profiter l’UDC avec son initiative de résiliation de la libre circulation.
C’est le comble : après avoir ouvertement parlé de manipuler la population avec la réouverture des frontières, les journalistes osent dire que c’est l’UDC qui profite de la pandémie !

L’UDC dit désormais qui si on ne ferme pas les frontières, on va assister à une libre circulation des chômeurs plutôt que des travailleurs.

Il y a une réalité économique au-delà des slogans, et la réalité économique c’est que l’Union européenne est quand même le principal partenaire économique de la Suisse, dont les exportations vont en direction de l’Union européenne à raison de 55 %. Je pense que les citoyens n’ajouteront pas une deuxième crise, c’est-à-dire une crise institutionnelle avec l’Union européenne, à celle que nous traversons déjà avec le coronavirus.
Encore ce mantra répété ad nauseam selon lequel l’Union européenne est notre principal partenaire commercial. L’UE achète nos produits à cause de leurs  qualités, parce qu’elle y trouve son avantage, elle ne le fait pas par charité. Mais la puissance de nos médias est telle, qu’en prétextant une « menace institutionnelle avec l’UE », le peuple s’est aplati devant une autorité étrangère. (Votations sur les « juges étrangers » et sur les armes.) Par ailleurs, la balance commerciale avec l’UE est nettement en sa faveur.

Esther Coquoz à Patrick Monay : On entre dans une crise économique importante. Cela va être plus difficile, pour le gouvernement, pour ceux qui s’y opposent, de lutter contre l’initiative UDC avec 4 % de chômage qu’avec 2% comme on l’avait au début de l’année ?
Non seulement tous les invités de ce « débat » sont du même bord, contre l’initiative, mais en plus Esther Coquoz pose des questions orientées qui préparent les réponses attendues. En plus, elle cite des chiffres trompeurs : maintenant qu’il s’agit de faire passer la libre circulation, elle parle de moyennes suisses, mais à Genève les chiffres sont bien supérieurs.

Patrick Monay : Oui, avec 2% de chômage en plus, ce sera deux plus fois difficile de combattre l’initiative.
Toutes les analyses de cette libre circulation des personnes ont montré que c’est la demande en travailleurs qui crée l’immigration ; si on est en récession et qu’on ne crée pas d’emplois nouveaux en Suisse, il n’y aura pas, ou moins, de travailleurs européens qui viendront chez nous. Je ne crois pas à un appel d’air de chômeurs.
S’il y a 4% de chômage en Suisse et 20% chez nos voisins, est-ce qu’on ne pense pas que les chômeurs vont prendre d’assaut notre pays ? 

Esther Coquoz à Jean Quatremer : Est-ce que du côté européen la libre circulation en prend un peu pour son grade, est-ce qu’elle va devenir moins importante, moins incontournable ?

Jean Quatremer : On peut l’analyser dans les deux sens. Le monde entier a fermé ses frontières. Certains pays se sont totalement fermés, même face aux marchandises. Face à une crise majeure, c’est les intérêts nationaux qui dominent et on se tourne vers l’Etat, qui a comme réflexe immédiat de contrôler son territoire. Cela semble donner raison à tous ceux qui disent que le contrôle des frontières, c’est la marque même de l’existence d’un Etat, c’est le cœur du cœur de la souveraineté. Et en Europe, clairement, cette crise a montré que la libre circulation ne pouvait pas résister à la peur panique des citoyens, et qu’en fait on peut vivre quelque temps [!] avec les frontières fermées: ce n’est pas sympathique, on ne peut pas aller voir sa famille, partir en vacances, mais au fond on s’habitue, et si le prétexte [!!] invoqué est le bon, les citoyens sont prêts à faire une croix sur une liberté qu’on considérait comme essentielle Mais pour combien de temps ? On n’en sait rien.
Comme si, avant la libre circulation, les gens ne pouvaient pas voir leur famille à l’étranger, ni partir en vacances. On a vécu pendant des siècles avec le contrôle de nos frontières, et on essaie nous faire avaler que la pratique des vingt dernières années serait immuable.

Mais à l’inverse – c’est l’argument dans l’autre sens – ça montre aussi que sans la libre circulation on a des sacrés problèmes. Aujourd’hui, je suis à Bruxelles et il n’y a plus personne pour ramasser les asperges, parce que les travailleurs ne circulent plus. Il y a d’énormes problèmes d’approvisionnement en Europe parce qu’il y a des gens qui ne font plus le travail, les transports, les chaînes d’approvisionnement sont extrêmement perturbés. Il y a des tas de choses qu’on ne trouve pas – et je ne parle pas du papier de toilette (rire d’Esther Coquoz). Donc on voit bien que sans libre circulation, il y a quelque chose qui ne marche pas. Et les gens ont besoin de partir en vacances. Si devant chaque frontière il faut rester une journée [sic !], expliquer où on va, justifier pourquoi on se déplace, etc., combien de temps les citoyens seraient-ils prêts à l’accepter ?
Pour prôner la libre circulation, Jean Quatremer confond volontairement le contrôle normal des frontières avec une situation d’urgence où il faut empêcher la diffusion de la maladie. Cette manipulation éhontée est déversée dans les oreilles des auditeurs parce que les médias savent qu’ils peuvent tout se permettre. Utiliser la pandémie pour promouvoir la libre circulation, c’est juste honteusement pervers.
Si les Allemands ont pu faire venir des travailleurs roumains pour les récoltes, pourquoi pas la Belgique ? C’est la Belgique qui est mal organisée si elle a un taux d’infection Covid si élevé, elle ne doit s’en prendre qu’à elle-même et pas à la libre circulation. Les asperges pouvaient déjà être récoltées avant que l’UE instaure la libre circulation.
Si, lors de pandémies, il y a des pénuries, il n’y a là rien de plus normal. Cette situation très particulière ne permet pas de tirer des enseignements politiques généraux.

Jean Quatremer : Vous avez de la chance en Suisse que comme les votations vont arriver en septembre, les gens vont penser aux vacances et se dire que c’est quand même pas mal de pouvoir circuler librement.
Pauvre Jean Quatremer, les Suisses sont des êtres adultes qui pensent plus loin et profondément que vous ne pouvez le concevoir.
Un seul exemple, en votation populaire, les Suisses ont refusé une sixième semaine de vacances obligatoires pour tous… ça vous en bouche un coin M. Jean Quatremer ?

Rire de satisfaction d’Esther Coquoz, qui s’adresse à Michel Guillaume : Les gens vont penser aux vacances, et se dire que c’était pas mal, ou vont peut-être se rappeler d’autres choses, comme la collaboration que la Suisse a pu avoir avec l’Union européenne ?
Mme Coquoz, comme d’habitude vous vous oubliez et sortez sans vergogne de votre rôle… comme c’est une coutume à la RTS.

Michel Guillaume : Je suis très ouvert. J’aimerais bien que les relations entre la Suisse et l’Union européenne s’améliorent grâce à l’excellente collaboration, hormis un ou deux couacs, auxquelles on a pu assister.
La bien-pensance appelle « couacs » le fait qu’au plus fort de la progression de la pandémie, des pays voisins ont retenu/volé des masques et des désinfectants destinés à la Suisse ; à cause de cela, il y a eu un surplus de malades et de morts parce que des soignants n’ont pas eu suffisamment de matériel pour se protéger.

Michel Guillaume : Durant cette crise du coronavirus, la Suisse a accueilli plusieurs dizaines de patients français. C’est toujours du goodwill en plus. Cela dit, l’UE attend de la Suisse qu’elle signe cet accord, que la Suisse n’a jamais voulu signer et dont elle voudrait maintenant rediscuter plusieurs points qui lui semblent très défavorables.

Exemple scandaleux mais totalement habituel de manipulation de l’opinion à la RTS

Le débat - Gouvernement jurassien: PDC en danger?

Débat entre Anne Seydoux-Christe, ancienne conseillère aux Etats PDC, Rosalie Beuret, députée socialiste au Parlement jurassien et conseillère municipale à Porrentruy, et Romain Schaer, membre de l'UDC et maire de La Baroche.

Le débat - Gouvernement jurassien: PDC en danger? - Radio - Play RTS

En direct de Délémont, journaliste sur place Alain Arnaud, interview avec Esther Coquoz

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Alain Arnaud plante le décor : La gauche se renforce (Grève du climat, Grève des femmes), alors que le PDC perd des plumes. La candidate socialiste Rosalie Beuret a donc des atouts, auxquels s’ajoute sa jeunesse. De son côté, Anne Seydoux-Christe a une solide expérience, la sagesse d’une ex-sénatrice, et en plus, elle bénéficie aussi du facteur « femme ».

Anne Seydoux-Christe : On était dans une année Greta, et on y sera encore, car les problèmes environnementaux vont perdurer. 2019 était aussi une année de femmes, j’ai été rapporteur pour la loi sur l’égalité au Conseil des Etats et je me suis battue pour cette loi. Je me suis aussi battue pour des seuils de représentativité dans les conseils d’administrations et... j’ai aussi participé à la grève des femmes.

Rosalie Beuret : Est-ce que les Jurassiens et les Jurassiennes souhaitent un renouveau ? Oui, on voit dans les urnes, les Jurassiens et les Jurassiennes veulent s’engager davantage pour le climat et l’égalité, et le PS est sorti en tête de cette élection fédérale, nous avons la légitimité pour revendiquer le siège.

Esther Coquoz s’adresse ensuite à Romain Schaer de l'UDC. Le ton change, devient plus agressif, plus arrogant :

Vous êtes l’outsider de cette élection. On s’est demandé même si vous aviez vu votre candidature, car vous n’étiez pas présent à l’assemblée UDC qui vous a élu candidat. Est-ce que votre candidature est sérieuse ou vise juste à provoquer un deuxième tour ?

Romain Schaer répond qu’il n’y a pas assez de personnes de droite dans le gouvernement, et qu’il serait souhaitable d’avoir une personne qui vienne du privé, et non pas de l’administration qui s’autogère.

Esther Coquoz sur un ton moqueur à Anne Seydoux-Christe : Vous devriez vous droitiser pour plaire [aux électeurs] ?

Anne Seydoux-Christe : Je ne vais pas me « droitiser » pour plaire. Le Jura gagne à être dirigé au centre, plutôt qu’à droite avec un nationaliste de l’UDC, ou plutôt qu’à gauche.

Esther Coquoz à Romain Schaer : En tant qu’UDC, est-ce que véritablement vous pouvez vous fondre dans ce gouvernement collégial ? Une UDC qui, on le rappelle, soutient l’initiative de limitation qui veut abolir la libre circulation des personnes ! Est-ce qu’un profil comme le vôtre peut vraiment fonctionner dans un gouvernement collégial, avec ce type de convictions ?

Romain Schaer répond calmement qu’il le fait déjà au niveau de sa commune.

Esther Coquoz : Vous allez vous comporter comme un patron si vous êtes élu au gouvernement jurassien ?

Romain Schaer : Je vais me comporter comme un ministre, c’est à dire comme un chef de département. (Esther Coquoz rit ! C’est la seule personne dont elle rit dans tout ce débat !)

Résumé Cenator

La RTS reste le principal influenceur d’opinion en Suisse

Les Suisses ont continué de se forger leur opinion principalement grâce à la télévision en 2018. La presse écrite a elle perdu quelques plumes, alors que les offres en ligne ont pris de l'importance.

Les médias en ligne ont gagné trois points d'influence sur l'opinion nationale, passant de 15 à 18%, selon les résultats du nouveau monitoring des médias suisses publiés mardi. Ils réduisent ainsi l'écart avec la presse écrite (20%), qui perd deux points.

Seule la radio a aussi progressé, pour atteindre 24%. La télévision a baissé d'un point, mais reste en pole position avec 28%, précisent les auteurs de l'étude réalisée par Publicom sur mandat de l'Office fédéral de la communication.

Les médias sociaux, étudiés pour la première fois, sont également en repli à 11%. Ils jouent toutefois un rôle important dans la formation de l'opinion publique, notamment en Suisse romande où ils devancent les médias en ligne et talonnent la presse écrite.

Aucune mainmise

Dans l'ensemble, le paysage médiatique suisse est resté diversifié et performant en 2018, estiment les auteurs du monitoring. Il a ainsi largement assumé son rôle social de garant de la diversité d'opinions. Et ce malgré l'accentuation de phénomènes de concentration potentiellement néfastes.

Les auteurs de l'étude pointent notamment l'arrêt de la version papier du Matin et du Blick am Abend, la fermeture définitive du Giornale del Popolo ou encore la fusion de L'Express et l'Impartial, devenus Arcinfo.

Même s'ils bénéficient d'un choix d'informations nettement plus réduits que les Suisses alémaniques, les Romands et les Italophones ont aussi disposé de suffisamment d'alternatives pour satisfaire leurs besoins d'informations. Aucun danger imminent de mainmise n'est à craindre, souligne le rapport.

Vigilance de mise

Une certaine vigilance reste toutefois de mise, notamment concernant le 'duopole', formés de la SRG SSR et de Tamedia. Avec 35% du marché national d'opinions, la SRG SSR a d'ailleurs grappillé 4 points par rapport à 2017 et caracole en tête du classement. Tamedia a de son côté vu sa part réduite d'un point, à 16%. Le groupe n'en occupe pas moins la deuxième place.

Dans certaines régions, les premiers programmes de la SRG SSR atteignent même près de la moitié de la population. En Suisse romande, RTS Un est toujours en tête avec 40% de parts du marché d'opinion, devant 20 minutes et La Première. Facebook et Youtube viennent ensuite, illustrant l'importance des médias sociaux.

Au Tessin, RSI LA 1 arrive aussi en haut du classement avec un résultat encore meilleur (45%) que la RTS. Rete Uno et le Corriere del Ticino complètent le podium. Quant à 20 minuti, il est beaucoup moins populaire et n'occupe que la onzième position. En Suisse alémanique, la télévision a également la cote. SRF 1 arrive devant 20 Minuten et les chaînes de radio SRF 1 et SRF 3.

Seuil des 50 points

Les grands systèmes d'éditions régionales de fournisseurs privés doivent aussi continuer d'être observés, d'après les auteurs de l'étude. Leur influence flirte parfois avec le seuil des 50 points. C'est notamment le cas avec la combinaison BZ/Bund à Berne, la Luzerner Zeitung en Suisse centrale, le St-Galler Tagblatt à St-Gall ou encore la Südostschweiz aux Grisons.

Le monitoring des médias suisses se base sur l'analyse de plus de 170 marques de médias et neuf groupes de médias nationaux, des marchés spécifiques aux régions linguistiques et 14 marchés régionaux locaux.

/ATS

sources: https://www.rtn.ch/rtn/Actualite/economie/La-television-reste-le-principal-influenceur-d-opinion-en-Suisse.html

https://www.lenouvelliste.ch/articles/suisse/medias-les-suisses-se-forgent-leur-opinion-principalement-grace-a-la-television-798848

 

 

La journaliste de la RTS Anne-Frédérique Widmann s’extasie devant la propagande de Rokhaya Diallo en faveur du hijab

Il s'agit de la même femme qui a réalisé le reportage militant pour le retour des jihadistes en Suisse :  "Sur la piste des damnés de Daech" et dont le blog Boulevard de l'islamisme avait écrit une brillante analyse.

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Rokhaya Diallo est connue pour être une militante féministe, anti-Blancs et pro islam, dont la stupidité dépasse l'entendement.

 

 

 

Ce sont ces journalistes de la RTS dont la couleur politique ne fait aucun doute qui sont censés nous informer en toute impartialité via une redevance obligatoire.

Nos remerciements à CulAiss

 

Rappels :

Rokhaya Diallo sur RTL : « Ce que dit Ben Laden n’est pas faux »

Ménard : «J’ai vu que Rokhaya Diallo regrette que les compresses des sparadraps soient blanches. Honnêtement, on devient fous !»

Nadine Morano incite Rokhaya Diallo à renoncer au racisme anti-blanc : « je vous conseille de regarder le sujet sur les enfants placés du Bénin et vous bénirez la France où vous avez eu la chance de naître de grandir et de faire de belles études »

Racisme d’état : les études supérieures de Rokhaya Diallo ont été financées en partie par la mairie de la Courneuve

Le Monde rappelle que Rokhaya Diallo a participé à la fondation et a été formée idéologiquement par les Indigènes de la République

Un groupe de personnalités dont l’islamiste Marwan Muhammad, Plenel et Obono signe une tribune en soutien à Rokhaya Diallo

RTS : Mise au point nous présente les Non-binaires/fluides

Mise au Point du dimanche 27 octobre.

Soyez heureux de payer la redevance pour ce genre d'information primordiale, entre l'écriture inclusive et les revendications LGBTQ. Une culture qui nous manquait cruellement.

 

Je suis non-binaire visible ici :

 

https://www.rts.ch/play/tv/mise-au-point/video/je-suis-non-binaire?id=10818464

 

RTS.ch

Nos remerciements à Daniel Brand et Patrick Payerpacher

 

 

Lorsque la RTS fait la promotion du retour des jihadistes avec notre argent

Vous ne verrez aucune image concernant les Yézidies et les chrétiens égorgés ni le sort de leurs femmes, transformées en esclaves sexuelles durant des années. Il n'y avait aucune compassion, aucun "droits de l'homme" (que l'islam ne reconnait pas), aucun médecin ou autre CICR lorsqu'il était question des minorités. Pour la RTS, tout cela est réservé aux islamistes et à leurs familles. La RTS y parle même de "souffrance" (52:46).

Tout est fait pour préparer les Suisses au retour de ces individus qui vouent une haine illimitée à notre pays et au christianisme. Ce sont même des victimes selon ce reportage orienté.

Aucune critique non plus sur le fait que notre administration a naturalisé des individus qui représentent un danger pour notre pays. Ainsi, la gauche n'est coupable de rien : ni sur le plan du multiculturalisme qu'elle impose à notre pays, ni sur le plan de la naturalisation dont elle exige une simplification à chaque occasion.

 

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Nous sommes partis en Syrie, à la recherche de citoyens suisses qui ont cédé aux sirènes de l’Etat islamique.

Tandis que des femmes et des adolescents livrent des témoignages inédits sur la vie à l’intérieur du Califat, un détenu vaudois dénonce les mauvais traitements dont il est l’objet tandis qu’à Lausanne, pour la première fois, sa famille témoigne.

Ils sont parmi les 11’000 combattants, femmes et enfants étrangers de Daech, détenus dans les prisons et camps tenus par les Kurdes au Nord-Est de la Syrie. Alors que leur famille et les autorités locales réclament leur rapatriement, les Etats européens, Suisse comprise, mettent le dos au mur.

Reportage visible ici :

https://www.rts.ch/play/tv/emission/temps-present?id=385293

Brésil. La RTS en flagrant délit de désinformation dans l’affaire Jair Bolsonaro

La violente attaque au couteau à l'encontre du conservateur Jair Bolsonaro, candidat à l'élection présidentielle brésilienne (attentat auquel il échappe à la mort par miracle grâce à la chirurgie), a été l'objet d'un traitement médiatique malhonnête de la part de la RTS dans son reportage au 19:30 ce vendredi.

Il est présenté comme le candidat "d'extrême-droite" de l'élection, or, si la rts était neutre, elle parlerait de candidat du "parti Social-libéral"..

Dans ce reportage, Jair Bolsonaro est qualifié, coup sur coup, de "raciste", "misogyne", "homophobe" et "nostalgique de la dictature militaire". Des propos qui sentent bon la diabolisation....

Le commentaire est ensuite dû à la correspondante de la RTS au Brésil. Alors que l'auteur du coup de couteau est un militant de gauche déclaré, la correspondante le qualifie de "déséquilibré" (Ndr : on pourrait se demander finalement si tous les militants de gauche ne sont pas des "déséquilibrés"...).

La correspondante explique que "vu de l'opinion public" (sic), c'est la victime qui a "incité à la violence" au cours de la campagne, en d'autres termes, il est responsable de ce qui lui arrive...

Alors que Jair Bolsonaro est annoncé en tête du premier tour des présidentielles, les médias semblent, plus que jamais, motiver à couvrir et détourner cette tentative de meurtre... il ne faudrait pas queJair Bolsonaro finisse en martyr après tout...

La RTS au service de l’UE: “Des membres du lobby des armes Pro Tell inquiets de sa radicalisation.”

Bien entendu, la même RTS va soigneusement éviter de parler du scandale de la Fédération suisse des fonctionnaires de police mais donnera la parole à des individus dont l'opposition à l'UDC n'est plus à prouver.

C'est ainsi que l'impôt de la redevance sert à détruire nos libertés, nos us et coutumes.

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Le lobby des armes Pro Tell, sous la direction ad interim du conseiller national UDC valaisan Jean-Luc Addor, se serait radicalisé aux yeux de certains de ses membres. Les critiques proviennent du coeur même du lobby.

Certains des membres de Pro Tell, composé de défenseurs des armes, mais aussi de chasseurs ou de collectionneurs d'armes, regardent d'un mauvais oeil ce qu'ils estiment être un virage à droite, selon l'enquête menée par la RTS. La situation a même mené à la démission de Pro Tell d'une conseillère nationale UDC.

Aux yeux du conseiller d'Etat valaisan et chasseur Christophe Darbellay, Pro Tell défend désormais un "droit à la texane", auquel il ne peut pas s'identifier. L'élu valaisan fait référence à l'initiative parlementaire, retirée depuis, du conseiller national UDC Jean-Luc Addor.

Le texte demandait le droit pour tout à un chacun de pouvoir porter une arme dans l'espace public afin d'assurer sa propre sécurité, à condition d’avoir suivi une formation. Le soutien du comité de Pro Tell à cette demande représente concrètement le genre d'action qui dérange.

(...)

Mauvais timing

Cette situation arrive au mauvais moment, Pro Tell doit s'engager dans la lutte contre la reprise de la directive européenne sur les armes à feu. Les troupes semblent dispersées à la veille de leur plus grosse bataille.

Parmi les anciens alliés de Pro Tell sur cette question, figuraient des parlementaires PLR, dont le conseiller aux Etats uranais Joseph Dittli. Il a lui aussi pris ses distances, jugeant Pro Tell trop radical et regrettant que le lobby des armes se retrouve sans président à cet instant précis.

Source

Nos remerciements à Λlex Λ

 

La RTS continue sa propagande: Fratelli d’Italia, CasaPound, Forza Nuova “ces partis héritiers du fascisme”

Pendant ce temps, les patriotes italiens sont menacés, agressés, insultés sans que cela ne gêne la RTS. Bien entendu, aucune de ces informations n'apparaitra jamais sur ce média.

Mieux, la violence de l'extrême gauche est logiquement présentée comme étant une réponse légitime, bénéficiant de facto d'une image très valorisante puisqu'elle s'oppose aux "fascistes", synonyme de "liberté". Un manichéisme savamment conçu pour être transmis le plus facilement possible au peuple désinformé.

Toute cette mascarade ne pourrait se faire sans une censure massive des atrocités commises par les migrants en Italie: il convient de donner la seule faute aux Italiens en évitant soigneusement de donner les raisons d'un tel vote.

Mais c'est la propagande que nos compatriotes ont choisie de financer désormais.

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Affrontements, intimidations contre les médias, débat sur l'immigration: les partis héritiers du fascisme bombent le torse à une semaine des élections législatives en Italie. Une manifestation antifasciste a lieu samedi à Rome.

Le climat se tend en Italie. Alors que la campagne des élections législatives, prévues le 4 mars, touche à sa fin, les incidents se multiplient. Depuis le début du mois de février et la fusillade raciste de Macerata, des affrontements mêlant militants antifascistes, extrémistes de droite et forces de l'ordre se sont produits à Palerme, Rome, Bologne, Pérouse ou encore Turin.

Sur le fond, le débat politique s'est lui aussi musclé, les partis se livrant à une surenchère de propositions pour freiner l'immigration, en forte augmentation dans le pays. Focus sur ces mouvements héritiers du fascisme, dont l'influence sur la vie politique italienne prend de l'ampleur.

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à Remy Dlde

La RTS épinglée pour ses partis pris sur «No Billag»

Le médiateur alémanique de la SSR a reçu jusqu'ici 40 réclamations du public au sujet du traitement de l'initiative. De son côté, la médiatrice de la RTSR en a reçu cinq.

Trois réclamations ont visé la RTS avant la fin 2017 et deux depuis début 2018, précise lundi à l'ats la médiatrice de la RTS Raymonde Richter. Les trois premières reprochent à une émission de «Mise au point» de laisser entendre que le comité romand «No Billag» et son président Nicolas Jutzet veulent la mort de la SSR. Les deux autres critiquent le manque de réserve de journalistes de RTS radio.

 

(...)

Source et article complet Via le Facebook du PNS

 

Propagande d’extrême gauche sur la RTS: Un xénophobe obligé de vivre dans la peau d’une requérante

Un politicien de droite xénophobe et une requérante d’asile échangent leur corps par magie. C’est le pitch de «Boomerang», nouvelle comédie produite par la RTS diffusée ce soir

Se réveiller dans la peau de celui dont on préférerait tout ignorer. Une aventure que vont vivre le Suisse Théo, politicien xénophobe candidat au Conseil d'État à Fribourg, et Berivan, requérante d’asile kurde portant le voile. Son mantra à lui: stopper le flux d'étrangers qui «met en danger les valeurs suisses». Sa peur à elle: se faire expulser du pays qu'elle a rejoint au péril de sa vie.

 

(...)

Source et article complet Source2

Affaire Defend Europe: Le Conseil suisse de la presse rejette la plainte et donne raison à la RTS

Des nouvelles de la RTS et du conseil suisse de la presse dans l'affaire "Defend Europe"

Enfin serait-on tenté de dire, le conseil suisse de la presse a rendu réponse et, comme je m'y attendais, en donnant raison à la RTS. Je précise que son président n'est autre que Monsieur Dominique Von Burg ancien rédacteur en chef du téléjournal de la TSR.

De là à penser qu'il y a collusion entre les anciens collègues mais actuels confrères il y a un pas que je laisse à chacun le soin de franchir ou non.

 

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Ce que je retiens surtout de la réponse de Monsieur Bernard Rappaz, rédacteur en chef de l'actualité de la RTS heureusement à la retraite depuis lors, c'est qu'il possède le talent absolument inné de faire passer des vessies pour des lanternes. A défaut, je m'empresse de l'ajouter, de trouver quelque bien-fondé dans ses propos qui relèvent avant tout de la mauvaise foi évidente et du résultat d'un positionnement idéologique marqué.

Monsieur Rappaz justifie les propos selon lesquels "le projet choque la communauté internationale" en se fondant surtout sur l'écho médiatique qu'il a suscité. L'argument est faible voire indigent. En fait, lorsqu'on connait l'orientation politique très nettement marquée gauche-progressive par une large majorité des médias, il est tout de même présomptueux de faire accepter cette brillante démonstration au public comme argent comptant. Monsieur Rappaz oublie sciemment ou par incompétence que cette action était surtout destinée à dénoncer le trafic d'êtres humains qui entretemps a été prouvé et stoppé. Si la RTS avait correctement fait son travail à défaut d'hurler avec les loups l'air du multiculturalisme et du mondialisme convenu et forcé, elle aurait dû se renseigner davantage avant d'insulter aussi ouvertement le mouvement "Defend Europe".

Le plus grotesque est le renvoi opéré par la RTS au procès qu'il est intenté en France à cinq membres de Génération Identitaire pour avoir occupé une mosquée à Poitier et pour avoir peut-être fait quelques déprédations minimes. Ceci est une réaction pouvant être à la rigueur considérée comme excessive et condamnable mais qui n'a aucune commune mesure avec les dégradations et les atteintes à la vie de policiers dans l'exercice de leur fonction commise par les racailles à qui Génération Identitaire aurait déclaré la guerre. Bien sûr la RTS monte en épingle le premier cas et passe pratiquement sous silence où avec des commentaires neutres les exactions commises dans le second.

Ceci dit, je précise qu'au moment où la RTS a diffusé son reportage, le procès n'avait pas en eu lieu et les accusés bénéficiaient ainsi de la présomption d'innocence que nos journalistes n'ont donc pas respecté. Cette approche était ainsi exclusivement à charge et davantage orientée politiquement qu'exécutée avec toute la rigueur professionnelle dont une télévision nationale devrait pourtant se prévaloir. Je répète une nouvelle fois que le jugement de cette action des Identitaires, laquelle justifie selon la RTS le qualificatif d'haineux, a été mis en délibéré au 7 décembre, soit après que Monsieur Rappaz fut parti à la retraite. J'ajoute qu'au cours de ce procès la défense a fait valoir que l'action avait pour but de démasquer le vrai visage de l'imam de cette mosquée de Poitier. Le visage d'un homme qui a fait la promotion de prédicateurs dangereux et ainsi considéré comme un imam radical. Je ne doute pas un seul instant que le travail des journalistes de la RTS a été bâclé mais il me restait encore à apprendre qu'en plus d'être des incompétents ils sont encore des devins capables de prévoir cinq mois à l'avance l'issue d'un procès !!

Toujours dans le registre de l'incitation à la haine, on aurait bien aimé entendre la RTS dénoncer avec autant de force et de conviction le "camp décolonial" interdit aux Blancs et aux couples mixtes, également exclus. Personne non plus ne se fend d'une quelconque indignation lorsque l'universitaire franco-ivoirienne Maboula Soumahoro, maîtresse de conférence de l'université de Tour, présidente de l'association Black History Month et régulièrement invitée sur les plateaux télé apporte son soutien à ce camp colonial et réfute le fait qu'il s'agisse d'un camp raciste puisque les Blanches peuvent y participer à conditions qu'elles soient voilées (!). Où est la RTS quand il s'agit de fustiger avec autant de véhémence les propos de la députée France Insoumise Danièle Obono lorsqu'elle n'hésite pas à qualifier de "camarade" Houria Boutelja porte-parole du Parti des Indigènes de la République régulièrement contestée pour ses déclarations racistes, homophobes ou antisémites? Cette indifférence affichée parle d'elle-même et condamne notre média national de parti-pris quoiqu'en dise Monsieur Dominique Von Burg avec ses accents de sincérités aux relents écoeurants.

C'est notamment contre toutes ces provocations que les jeunes de Génération Identitaire réagissent, comportement que la RTS s'empresse de condamner avec délectation tout en restant très discrets sur ses véritables motifs qui pourtant rendent cette action "Defend Europe" légitime et dont la justification fait par conséquent qu'elle emporte l'adhésion d'une majorité du peuple.

Finalement, nous avons affaire à une télévision qui tente de maladroitement cacher, mais sans y parvenir, ses réelles orientations et convictions politiques et qui finalement sera sanctionnée par l'initiative No Billag tant il est vrai qu'une grande partie du public n'a plus envie de financer un outil de propagande mondialiste et multi culturaliste à l'excès contraire à ses convictions propres.

Je transmettrai à ceux que ça intéresse la réponse de Rappaz ainsi que les considérants et les conclusion du service suisse de la presse. Cependant il est à noter que leur prise de position sera publiée sur leur site internet.

Source: Jean-Pascal Cattin

Médias. Affolement et propagande suite…Raymond Vouillamoz, ancien directeur de la Télévision romande: “Si No Billag passe, il n’y aura plus de Darius Rochebin”

A n'en pas douter, voici un argument de taille qui va tout de suite faire pencher la balance.

Vouillamoz n'a pas compris que les Suisses refusent de financer une télévision biaisée sur le plan politique, dont le prix est exorbitant, via une "redevance" obligatoire, alors que les taxes explosent de toute part et qu'une famille modeste aurait bien besoin de cet argent. Non vraiment, pour cet individu, le peuple laborieux et ses problèmes n'existent tout simplement pas.

Le salaire indécent (536'314 francs) du directeur de la SSR ne lui pose visiblement aucun problème non plus.

Quant au socialiste, il arrive à s'inventer un statut de "patriote" tout en militant en faveur de l'immigration de masse. On se demande s'il reste encore un semblant de logique à cet énergumène ou si prendre les gens pour des imbéciles est une seconde nature dans son parti.

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Le conseiller national Manuel Tornare (PS/GE) ne cache pas son inquiétude. C’est en effet le 2e sondage, après celui de Médias Suisses en septembre, qui donne l’initiative victorieuse. «Ce serait un séisme pour la Suisse. Encore plus grave que le oui à l’initiative contre l’immigration de masse. (...) Adieu la cohésion nationale et bonjour à ces chaînes étrangères orientées comme le sont Russia Today (RT) ou Foxnews. En tant que patriote, je trouve cela extrêmement grave. Et je me battrai jusqu’au bout pour que le non l’emporte lors du scrutin du 4 mars.»

Raymond Vouillamoz, ancien directeur des programmes de la Télévision romande, écrit au vu du sondage: «Il s’agit d’une forme de suicide collectif, car sans les chaînes de la SSR, la démocratie dépérirait. Plus d’infos en provenance de la Suisse romande. Plus de retransmissions sportives de nos équipes nationales. Plus de Darius Rochebin. Fini Mise au pointTTCABETemps présent

(...)

Source et article complet

Rappels:

Etude: Près de 70% des journalistes de la SSR sont à gauche

Le directeur de la SSR a perçu un salaire de 536'314 francs en 2016 (page 88).

Jacques Dubochet Prix Nobel de chime. » Grosse récupération politique de la RTS », Forum du 4.10.2017

Affaire Defend Europe contre RTS

Médias. Les Rohingas : comparez ce qu’en dit la RTS et la Réinformation. Edifiant!

Le PS dit non à l’initiative «No Billag»

Le Parti socialiste dit «NON à la destruction du paysage médiatique suisse» et recommande de rejeter, le 4 mars, l'initiative «No Billag».

Le 4e pouvoir, incluant une offre radio/TV diversifiée et indépendante, ne peut être ainsi rayé de notre démocratie, écrit le PS vendredi dans un communiqué.

(...)

Source

Nos remerciements à G. Vuilliomenet

Rappels:

Etude: Près de 70% des journalistes de la SSR sont à gauche

Médias. Votation populaire à venir 4.3.2018 : « No Billag » : fin du service public ? Grand affolement, propagande monstre et mensongère

Suisse: un spécialiste du renseignement économique dévoile le pot aux roses « En contrôlant la radio et la télévision, on peut gagner des élections »

Après Barcelone, la RTS invite un imam pour nous expliquer que l’islam est une religion de paix

Médias. Quand les « Signatures » de la RTS attestent de l’idéologie des journalistes du Service public (devinez laquelle!), audio 1’48

La RTS en pleine propagande d’extrême gauche: « Néonazis, menace sur l’Europe »

Lettre ouverte à l’émission de la RTS “Les beaux parleurs” du 19 novembre 2017

 Un lecteur nous prie de publier :

Mesdames, Messieurs,

J’ai eu le douteux plaisir d’entendre l’émission « les beaux parleurs » de ce dimanche 19 novembre 2017. Si j’ai pu apprécier la belle résistance de Mme Marie-Hélène Miauton, cela n'a pas empêché la « féministe de service » d'y aller de son commentaire sur les fusils d'assaut « utilisés notamment contre les femmes » (sic!)

[Dans l'émission de ce dimanche, après 1:07:20, et notamment à 1:10:19.]

Dans le feu nourri de questions et remarques aussi sottes les unes que les autres, Mme Miauton a laissé passer cette énormité. En tant que tireur, moniteur et collectionneur, je ne peux m’y résoudre, même si ce faisant j’ai conscience d’accorder trop de considération à une jeune dogmatique qui, n’était-ce son ascendance, ne ferait jamais parler d’elle nulle part. Quelle tristesse, une jeunette née en 1985 et qui parle encore comme si elle avait brûlé son soutien-gorge en 1968 !

La seule utilisation d'un Fass90 « contre les femmes » à ce jour et à ma connaissance, concerne un tragique fait divers dans la région de Zurich en novembre 2007. Un jeune adopté d'origine équatorienne de 21 ans avait volé des munitions à l'armée, et abattu -à distance- une jeune apprentie coiffeuse à un arrêt de bus. Dire que ce drame est lié au fusil d'assaut serait aussi malhonnête que prétendre que c'est un drame de l'adoption ou de l'immigration.

Il convient de relever que les contrôles sont plus sévères désormais lors de la conscription ( https://www.lematin.ch/suisse/626-appeles-juges-trop-dangereux-pour-l-armee-/story/13514195 ). Parce que jusqu’à ce drame de 2007, c’est bien la gauche, socialistes en tête, qui s’opposait à la transmission du casier judiciaire pour des raisons de « protection de la personnalité ».

Il y a certes eu d’autres drames ou fusillades en Suisse : http://www.arcinfo.ch/articles/suisse/avant-daillon-une-chronologie-des-fusillades-en-suisse-252199

On constate, même si on est heureusement loin d’un échantillon statistique valable qui devrait contenir 300 cas au minimum, que les femmes ne sont pas spécialement plus victimes que les hommes. Et que malgré des informations parfois peu détaillées (notamment sur l’origine des criminels, on se demande bien ce que font les journalistes!), si les fusils d’assaut étaient massivement utilisés contre les femmes de ce pays, on le saurait.

Pour être concret dans mes reproches : vous n’avez aucune connaissance des armes, aucune culture armurière, vous êtes à 100 % dans les préjugés, parce que dans votre « milieu » (je veux dire : entre « élites » autoproclamées), il est de bon ton d’être contre les armes. Vous m’excuserez si j’ai la faiblesse de considérer que dans ce domaine votre déontologie journalistique laisse à désirer !

Je ne me fais pas d’illusions sur le fait que je n’aurai – une fois de plus – droit à aucune réponse ni excuse de votre part. Je vous écris peu, moins d’une fois par année, à chaque fois que vous dépassez vraiment les bornes. Je vous rappellerai cependant que dans moins de trois mois, le 4 mars 2018, le peuple souverain se prononcera sur l’initiative « no billag ». Ce n’est sans doute pas la première fois que vous entendez ces arguments, mais je crois plus que jamais qu’il est bon de vous les répéter, parce que manifestement vous n’avez encore rien compris, du haut de votre tour d’ivoire.

Je ne paye pas une redevance pour me voir imposer une propagande de gauche. Je ne paye pas une redevance pour me faire continuellement insulter en tant qu’amateur d’armes.

Soyez également sûr d’une chose : chaque fois que vous salissez intentionnellement les chasseurs, tireurs ou collectionneurs de ce pays, ce sont 20, 30 ou 50 personnes qui comprennent pourquoi il faudra absolument voter oui à « no billag ». Je suppose que d’une certaine façon je devrait vous remercier(?)

Vous vous passerez de mes salutations, j’ai pour habitude de saluer ceux avec qui on peut parler dans un respect mutuel. Un terme dont le sens semble vous échapper.

Jeferson (nom connu de la rédaction)