Hijab : gauche et verts complices de l’islamisme au parlement européen

 

François-Xavier Bellamy a proposé, avec ses collègues du PPE, d’interdire que la Commission européenne finance de nouvelles campagnes pour promouvoir le hijab. La gauche et les verts ont empêché que cet amendement soit mis aux voix ! La complicité avec l’islamisme s’affiche à visage découvert. François-Xavier Bellamy a martelé « « La liberté est dans le hijab. » Ce message n’est pas diffusé par une organisation islamique, mais par le Conseil de l’Europe. Un symptôme parmi d’autres d’une dérive très grave, qu’il ne faut surtout pas prendre à la légère, où se mêlent entrisme, complaisance et détournement…. » Tout est dit.

https://streamable.com/im819p

Avec l’argent des contribuables européens, le Conseil de l’Europe (à différencier du Conseil européen, institution de l’UE qui regroupe les chefs d’État et de gouvernement des pays membres) a mis à disposition sur son site plusieurs dizaines de visuels en anglais et adaptés au format des réseaux sociaux dans le cadre d’une campagne de communication visant à «lutter contre les discours de haine antimusulmans».

Alors que les femmes de nombreux pays arabes tentent de s’émanciper du hijab, cette campagne de communication de l’Europe, en faveurs de traditions musulmanes inventées, est cofinancée par l’Union européenne via son programme «Droits, Égalité et Citoyenneté». Doté de 439 millions d’euros, ce programme inadmissible prétexte contribuer à ce que «l’égalité et les droits des personnes tels qu’ils sont inscrits dans le Traité, la Charte et les conventions internationales des droits de l’homme, soient promus, protégés et effectivement mis en œuvre».

«Comment le Conseil de l’Europe peut-il publier que «la liberté est dans le hijab» quand tant de femmes dans le monde, et même en Europe, sont menacées ou persécutées dès qu’elles tentent de se découvrir ?», s’insurge le philosophe et député européen LR François-Xavier Bellamy, qui s’alarme et dénonce une «complaisance qui touche au déni de réalité». «Quand le conseil de l’Europe fait la promotion du voile islamique c’est une négation de nos racines judéo-chrétiennes, de notre civilisation, de l’esprit des Lumières», explique aussi Éric Ciotti.

Centrées principalement sur le hijab, les affiches mais aussi des vidéos de l’Europe ont mis en avant le voile islamique comme «un choix» et «un droit humain». « Avec le voile islamique, «je peux être moi-même sans devoir me cacher» », clamaient, haut et fort, les panneaux au format Instagram, quand un autre revendiquait, de manière mensongère, « à côté d’une femme voilée souriante la «liberté religieuse en tant que femme européenne»…. ».

Depuis des années, des hauts fonctionnaires, des politiques, des universitaires, des chercheurs alertent sur les stratégies d’entrisme qu’ils observent de la part d’une nébuleuse islamiste qui, sous couvert d’antiracisme, prend place dans l’environnement des institutions européennes : des associations, des fédérations, des organisations non gouvernementales proposent des projets et obtiennent des financements européens énormes, indécents.

Scène ordinaire sur une plage du sultanat d’Oman, royaume régi par la charia. Décryptage : ils n’ont pas de Jean-Luc Mélenchon ou d’Éric Piolle à Mascate pour imposer le hijab ou le burkini. Les femmes d’Oman se baignent en maillot de bain.

Ces nébuleuses islamistes utilisent les mots-clés en vogue : défendre l’inclusion, promouvoir la diversité, contrer les « discours de haine »… Et, au nom de la « lutte contre l’islamophobie », elles parviennent à imposer leurs thèses. Le meilleur exemple est le projet « dialogue sur la radicalisation et l’égalité » (DARE), financé dans le cadre du programme de recherche européen Horizon 2020, qui a conclu au fait que la « radicalisation » (le mot islamisme n’est jamais cité) s’expliquait par les « discriminations structurelles » en Europe. Improbable retournement : les pays victimes d’une série d’attentats en deviennent soudain les coupables…

Le meilleur exemple pour dénoncer les dérives dangereuses du parlement européen, sous l’influence de nébuleuses islamiques est le royaume d’Oman, jouxtant l’Arabie Saoudite et le Yémen. Certes, Oman pratique officiellement la charia, c’est-à-dire que le droit religieux est la source principale du code pénal. Cependant, il s’agit dans ce pays kharidjite d’une vision de la loi religieuse extrêmement différente de ce qui se pratique dans les pays wahhabites voisins (Arabie saoudite, Qatar), et la liberté de culte est garantie. Les femmes peuvent travailler ou conduire et n’ont pas d’obligation légale de porter le voile.

Et le pays possède des tribunaux modernes qui ne connaissent ni lapidation ni condamnations anachroniques. Les couples non mariés peuvent partager une chambre d’hôtel, l’alcool et les cigarettes sont disponibles dans des boutiques spécialisées (mais leur consommation sur la voie publique est régulée), et le pays bénéficie de plages où les femmes peuvent se baigner librement en maillot de bain. N’en déplaise à Jean-Luc Mélenchon et à Éric Piolle, maire écolo de Grenoble, qui devraient s’offrir quinze jours de vacances à Oman, pour découvrir d’autres horizons, d’autres musulmans que ceux des banlieues grenobloises ou des banlieues de Seine-Saint-Denis.

Un des supports de communication payé par l’Europe pour favoriser l’islamisme et le hijab dans les pays membres. Un déni de réalité !

 

Lire aussi ces articles qui constituent un complément d’information :

https://lesobservateurs.ch/2022/05/12/djellabas-et-voiles-interdits-pour-rencontrer-les-dirigeants-doman/

https://lesobservateurs.ch/2022/07/06/ayatollahs-verts-de-la-mairie-de-grenoble-ils-privent-les-enfants-de-viande-et-poisson/

Une première journaliste à porter le hijab au Canada dans une émission nationale

À partir de lundi, la journaliste de la télévision Ginella Massa présentera l'émission Canada Tonight with Ginella Massa. Elle deviendra ainsi la première animatrice d'une émission de nouvelles ou d'affaires publiques à l'échelle nationale à porter le hijab à l'antenne au Canada.

En 2015, Ginella Massa est déjà entrée dans l'histoire en étant la première journaliste de télévision en Amérique du Nord à porter un hijab à l'antenne.

[...]

Ici.radio-canada.ca

Raffia Arshad, première juge à porter le hijab au Royaume-Uni

Raffia Arshad est la première femme portant le hijab à devenir juge au Royaume-Uni.Raffia Arshad est la première femme portant le hijab à devenir juge au Royaume-Uni.

La quarantenaire a déclaré au quotidien britannique qu’elle voulait «s’assurer que le son de la diversité soit entendu» : «C’est définitivement plus grand que moi […]. C’est important pour toutes les femmes, […] particulièrement pour les femmes musulmanes». […]

Tout au long de sa carrière, elle a traité différents domaines, notamment le mariage forcé, les mutilations génitales féminines ou les affaires liées à la loi islamique. Malgré cette expérience, elle a confié qu’elle était toujours victime de préjugés et de discrimination. Elle a raconté être régulièrement confondue avec une interprète ou une cliente dans la salle d’audience.

Paris Match

Via fdesouche

Suède : le Hijab Nommé « Look de l’Année »

La journaliste de la RTS Anne-Frédérique Widmann s’extasie devant la propagande de Rokhaya Diallo en faveur du hijab

Il s'agit de la même femme qui a réalisé le reportage militant pour le retour des jihadistes en Suisse :  "Sur la piste des damnés de Daech" et dont le blog Boulevard de l'islamisme avait écrit une brillante analyse.

**********

Rokhaya Diallo est connue pour être une militante féministe, anti-Blancs et pro islam, dont la stupidité dépasse l'entendement.

 

 

 

Ce sont ces journalistes de la RTS dont la couleur politique ne fait aucun doute qui sont censés nous informer en toute impartialité via une redevance obligatoire.

Nos remerciements à CulAiss

 

Rappels :

Rokhaya Diallo sur RTL : « Ce que dit Ben Laden n’est pas faux »

Ménard : «J’ai vu que Rokhaya Diallo regrette que les compresses des sparadraps soient blanches. Honnêtement, on devient fous !»

Nadine Morano incite Rokhaya Diallo à renoncer au racisme anti-blanc : « je vous conseille de regarder le sujet sur les enfants placés du Bénin et vous bénirez la France où vous avez eu la chance de naître de grandir et de faire de belles études »

Racisme d’état : les études supérieures de Rokhaya Diallo ont été financées en partie par la mairie de la Courneuve

Le Monde rappelle que Rokhaya Diallo a participé à la fondation et a été formée idéologiquement par les Indigènes de la République

Un groupe de personnalités dont l’islamiste Marwan Muhammad, Plenel et Obono signe une tribune en soutien à Rokhaya Diallo

Des voiles islamiques pour petites filles vendus par la chaîne de magasins Marks & Spencer

Sur son site Internet, l’enseigne britannique vend des hijabs destinés aux fillettes âgées de 3 à 9 ans. Devant la polémique, la chaîne s’est défendue en affirmant répondre à la demande… d’écoles.

L’argent n’a pas d’odeur, et pas davantage de religion. Les magasins britanniques Marks & Spencer (M&S) en ont encore donné un exemple avec un nouveau produit mis en vente sur le site Internet de l’enseigne : un voile islamique taille enfant, pouvant être porté par des petites filles âgées de 3 à 9 ans. Cet article, vendu 6 livres sterling (presque 7 euros) et disponible en noir ou bleu marine, peut uniquement être livré au Royaume-Uni.

(Merci à Cannavaro)


Marks & Spencer a déclenché une polémique en ligne après avoir mis en vente pour 6 livres des hijabs d’uniforme scolaire pour fillettes.
‎La chaîne de magasins assure qu’il vend le hijab après qu’un «certain nombre d’écoles ont demandé cette option».‎

Les pages des médias sociaux de la société ont été inondés de messages à propos de ce voile noir, qui est en vente pour seulement 6 livres dans leur section «Équipement de base pour l’école ».‎

Mais le présentateur de radio Maajid Nawaz a critiqué cette décision, disant qu’elle «facilitait le retour au Moyen-Âge ».‎

‎Il a déclaré : «C’est leur droit de préférer les profits aux valeurs. Mais c’est notre droit de leur faire honte d’agir ainsi.[…]‎
‎Pour être clair, ceux-ci [les hijabs] sont vendus pour les petites filles dès l’âge de trois ans.‎

[…]C’est de l’apartheid sexuel. Marks and Spencer sont libres de vendre aussi des t-shirts avec le drapeau confédéré, mais je parie qu’ils ne le feront jamais.»‎

Et certains clients ont menacé de boycotter la chaîne jusqu’à ce qu’il soit retiré du stock.‎

Lorraine Smith a écrit : «Écœurant. Comment pourriez-vous tirer profit de quelque chose qui encourage l’avilissement de la femme et des enfants ? C’est indécent !‎ »

(Traduction Fdesouche)

Source

 

 

Londres célèbre l’habit islamique. Lindsay Lohan s’y rend en hijab.

Londres accueille la semaine de la mode "modeste" pour célébrer les hijabs - seulement un mois après que des femmes en Iran aient brûlé leurs foulards pour protester contre l'habit islamique.

La semaine "London Modest Fashion" a débuté ce week-end, présentant les derniers styles de hijabs, d'abayas et de longs ourlets.

La deuxième édition de cet événement de deux jours, qui s'est déroulé à Victoria House, à Bloomsbury, a vu des mannequins défiler dans des vêtements "discrets" - Lindsay Lohan - dont on dit qu'elle s'est convertie à l'islam - a même fait son apparition.

Lindsay Lohan en hijab

 

Lindsey Lohan

 

 

 

En marge de la London Fashion Week, l'événement, qui coûte jusqu'à 200 £ pour les billets, propose du shopping, des défilés, des conférences et des ateliers - y compris un «centre juridique de la charia».

Cela survient quelques semaines après que des milliers de femmes en Iran et dans le monde ont risqué l'emprisonnement en brûlant leur hijab pour protester contre le voile sur #NoHijabDay.

Plus de 40 designers du monde entier ont présenté des foulards, des hijabs et des robes longues amples lors de la vitrine de mode annuelle organisée par Haute Elan, qui affirme que la "mode modeste" est l'un des marchés de consommation à la croissance la plus rapide.

(...)

Source Source2 Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

Menacée d’expulsion de son université pour avoir refusé d’essayer un hijab lors de la journée mondiale du hijab

Des étudiantes de l’Université de Floride Centrale se sont mobilisées en ligne pour faire expulser leur camarade Kathy Zhu en l’accusant d’« intolérance » et d’« ignorance ». Elles reprochent à l’étudiante d’avoir posté sur Twitter trois photos d’un stand d’essayage de hijab dans le cadre du World Hijab Day (journée mondiale du hijab) et d’avoir répondu « Non, merci » à la proposition de porter un hijab. Un appel à l’expulsion de Kathy Zhu a été relayé par plusieurs milliers d’internautes. Mal leur en a pris. Kathy est une blogueuse influente qui compte bien ne pas se laisser intimider. Elle a reçu le soutien massif de son public et de plusieurs politiques, activistes, blogueurs et journalistes. Kathy a finalement obtenu gain de cause auprès de son université.

« Non, merci. »

Kathy Zhu étudie à l’UFC, l’une des plus grandes universités américaines. Jeudi 1er février, dans le cadre de la journée mondiale du hijab, un groupe d’étudiantes volontaires de la Muslim Student Association a animé un stand d’essayage de hijabs dans le campus dans le but « d’éduquer les membres de l’université sur la signification et l’importance du hijab ». Comme l’explique la MCA dans son communiqué, l’opération consistait à alpaguer des étudiantes sur le campus toute la journée sur le campus pour les inciter à « essayer de porter un hijab pour une journée« .

Dans son communiqué, la MSA tente de se montrer rassurante : le port du hijab dans le campus est « optionnel » et « personne n’a été forcé ». L’association se défend d’avoir « exercé des pressions » pour faire porter le hijab aux étudiantes et affirme avoir simplement voulu les « éduquer« . Les hijabs étaient distribués gratuitement : l’événement était sponsorisé par plusieurs « entreprises de modest fashion » (« mode modeste » est le nom euphémisant utilisé pour renvoyer aux enseignes proposant divers hijabs et niqabs).

Lorsque Kathy Zhu s’est vue proposer de porter le hijab, elle a sobrement répondu « Non, merci », puis a pris en photo le stand et a exprimé sur Twitter son désaccord avec l’événement d’éducation au voile islamique.

« Il y a un stand « Essaye un hijab » sur le campus de ma fac, a-t-elle écrit. Donc maintenant, vous êtes en train de nous dire que c’est juste un accessoire de mode et pas un symbole religieux ? Ou bien vous tentez d’habituer les femmes à être opprimées par l’islam ? » 

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Elle a également posté une série de photos montrant le stand et les écriteaux sur lesquels il était inscrit « Hijabs gratuits« , « Mon hijab me rend puissante« , ou encore « Mon hijab est un symbole de compréhension« .

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Capture d’écran réalisée avant verrouillage du compte Twitter de l’utilisatrice

Elle appelle sa communauté à se mobiliser pour faire expulser Kathy de son université :

« TWITTER, FAIS CE QUE TU SAIS FAIRE. Faisons expulser cette fille. Envoyez un mail à st_condu[at]ucf.edu (BUREAU DES ETUDIANTS DE L’UCF) et envoyez-leur le tweet de Kathy, avec ses photos. L’ignorance ne saurait être tolérée sur mon campus ».

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Retour de flammes

Les accusations et appels à la délation de l’étudiante pro-voile ont été relayés par des milliers de personnes et l’université reçoit « plusieurs courriels de plaintes ». Les auteures de la campane contre Kathy utilisent un argument classique des militants pro-voile américains, britanniques et français : elles accusent la jeune femme d’avoir publié une photo de femme voilée « sans son consentement ».

Kathy Zhu fait part à ses 39 000 abonnés de sa ferme intention de ne pas se laisser intimider. Elle publie un bref communiqué ainsi qu’une vidéo dans laquelle elle déclare que cette campagne d’intimidation, « c’est la définition du fascisme ». Quant aux accusations de non-respect du droit à l’image, elle les balaye d’un revers de la main puisque l’événement était une manifestation politique publique et qu’aucune des femmes photographiées n’a été personnellement ciblée.

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Sur le hashtag #IStandWithKathyZhu, de nombreux internautes manifestent leur soutien à Kathy. Parmi eux, le secrétaire d’Etat assistant aux transports Oliver McGee, la militante féministe athéiste Yasmine Mohammed, la journaliste Laura Loomer et la militante anarchiste Cassandra Fairbanks.

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L’Université a finalement tranché en faveur de Kathy, estimant que ses publications « ne contreviennent pas aux règles de conduite » de l’UCF.

L’étudiante qui a lancé les accusations contre Kathy ainsi que les étudiantes qui ont participé à la campagne agressive se voient désormais accusées de harcèlement en ligne et donc de violation des règles de conduites de l’université.

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Ce genre de campagne de harcèlement contre les femmes anti-hijab est de plus en plus courant. En août dernier, en France, une coach sportive a subi une campagne de harcèlement particulièrement violente, riche en insultes et menaces, pour avoir critiqué le voile sur sa page Facebook. De nombreux internautes pro-voile s’étaient mobilisés pour pousser son employeur à la licencier. Tout comme Cathy, Julia Zborobska ne s’était pas laissée intimider et a assumé ses propos. Elle a porté l’affaire devant la justice, a obtenu le classement de l’affaire et a pu reprendre normalement le travail.

Source: Bellica.fr

Suède. Journée internationale du hijab: Un stand veut « favoriser la tolérance » en proposant aux passantes de le porter. La journaliste y participe avec enthousiasme. (Vidéo)

Journée internationale du hijab à Stockholm. Entre autres activités, les visiteurs sont invités à porter un voile afin qu'ils se débarrassent de leurs soi-disant préjugés au sujet du vêtement islamique.

La journaliste de DN a participé avec enthousiasme aux célébrations en mettant un hijab.

Le but officiel du "hijabdagen International" est de défendre le droit des femmes de se voiler.

"Le plus gros problème avec le voile est que les gens pensent que nous sommes opprimés", explique l'organisatrice Zanoobia du mouvement Ahmadiyyar.

"Vos hommes devraient essayer de porter le voile une semaine, ainsi vous verriez ce qu'ils en pensent. C'est malsain".

Deux policiers se sont postés en face de la tente pour faire face aux agressions ou aux provocations des passants.

"Nous savons que le voile est perçu négativement. L'année passée, il y a eu plusieurs passants qui ne voulaient pas dialoguer, mais juste donner leurs opinions. C'est précisément ce que nous voulons contrer. Nous voulons augmenter la tolérance et la compréhension. Je respecte leurs opinions et ensuite ils doivent aussi me respecter", explique l'organisatrice Zanoobia.

 

 

 

 

Tout a été diffusé en direct sur la page Facebook de DN.

Mais les commentaires sur Facebook ne sont pas autant enthousiastes que la journaliste de DN l'était.

« Savez-vous à quel point des femmes ont lutté durement pour éviter d'avoir à porter le voile? »

« Les femmes musulmanes devraient être solidaires avec tous celles qui sont forcées de porter le voile » écrit un autre.

« DN ne veut pas "défier leurs préjugés '' sur d'autres sujets, par exemple porter de la lingerie sexy et les bains de soleil seins nus?, écrit Glenn.

Source Source2 Recherches et Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à notre lectrice

Vidéo via: Boris Le Lay

Canada: Des trousses hijab d’urgence disponibles à l’Université Dalhousie

L’Université Dalhousie à Halifax met en place une trousse hijab d’urgence pour les femmes qui se feraient arracher leur voile. Même si l’université ne rapporte aucun cas du genre, l’Association des étudiants veut être prévoyante.

L’idée est venue après une veillée aux chandelles sur le campus, après l’attentat à la mosquée de Québec, en janvier dernier. Selon la présidente de l’Association des étudiants de l’Université Dalhousie, Amina Abawajy, la communauté musulmane s’inquiétait pour sa sécurité, surtout les femmes qui portent le hijab, puisqu’elles sont facilement identifiables comme musulmanes.
L’association explique que cela peut être une expérience traumatisante pour une femme de se faire agresser et arracher son voile.
C’est pour cela que l’association a décidé de munir le Service de sécurité de l’université, de trousses de hijab d’urgence. Ainsi, une femme peut avoir accès rapidement et facilement à un voile dans des moments difficiles.

Tant la direction de l’université que l’Association des étudiants espèrent que ces trousses n’auront jamais à servir.

Radio-Canada

Nike commercialise son premier hijab de sport

Il est disponible dès ce vendredi : Nike vient de lancer son premier hijab de sport, une initiative annoncée en mars.

Ce voile conçu spécialement pour faire du sport a été notamment inspiré par l'escrimeuse américaine Ibtihaj Muhammad, qui a par ailleurs inspiré la première poupée Barbie voilée, commercialisée dès 2018.

"Inspirer davantage de femmes à faire du sport"

"Nike a pour but de servir les pionnières d'aujourd'hui et d’inspirer davantage de femmes à faire du sport, dans une région où les obstacles sont encore nombreux", assure la compagnie dans un communiqué, indiquant que ce produit répond à une véritable demande.

Le Nike Pro Hijab a été testé par des athlètes musulmanes de haut niveau sponsorisées par la compagnie, comme la patineuse artistique émiratie Zahra Lari et la coach égyptienne Manal Rostom.

Il est disponible en noir et gris, au prix de 30 euros. D'autres coloris seront commercialisés début 2018.

Une mode polémique

En mars 2016, Laurence Rossignol, alors ministre de l'Enfance, des Familles et des Droits des femmes avait critiqué les marques qui lancent des vêtements à destination des femmes musulmanes : "On ne peut pas admettre que c'est banal et anodin que de grandes marques investissent ce marché [...] C'est irresponsable de la part de ces marques."

La philosophe Elisabeth Badinter avait, quant à elle, appelé au boycott de la mode islamique.

Source

Belgique : Une femme agressée par deux Irakiens car « elle ne portait pas le voile »

Hamad et Omar, des Irakiens de 24 ans et 29 ans, ont comparu détenus devant le tribunal correctionnel de Liège pour une agression particulièrement inquiétante. 

Les faits se sont produits dans la nuit du 8 au 9 octobre 2016. La jeune fille se trouvait dans un établissement avec son compagnon à Herstal. Une dispute est intervenue et la jeune femme a quitté les lieux seule. Elle a marché dans les environs avant de voir une voiture dans laquelle se trouvaient trois hommes. Hamad était le conducteur, Omar le passager avant et un mineur d’âge se trouvait à l’arrière de la voiture.

Omar a saisi le sac de la jeune femme avant de la pousser dans la voiture. C’était le début de longues minutes d’angoisse. Un des occupants lui a déclaré qu’ils allaient la violer. Ils lui ont également déclaré que « chez eux en Irak, cela n’arrivait pas aux femmes, car elle portait le hijab ! » Selon la jeune femme, les faits ont duré environ une heure.

Les auteurs ont pris l’autoroute et se seraient arrêtés sur un parking. Ils ont ensuite reconduit la jeune fille à proximité de l’endroit où ils l’avaient embarquée. « Tout le monde a crié, j’ai eu peur et j’ai démarré », a déclaré Hamad. « Je me suis excusé. Je lui ai conseillé de ne pas sortir seule à cette heure-là. »

Quant à Omar , qui est présenté comme celui qui a fait subir les attouchements à la jeune fille.  » Je l’aurais menacée avec un couteau si je voulais b… », a expliqué le prévenu. « Je me serais mis derrière si j’avais voulu la toucher », a poursuivi l’homme qui nie avoir déclaré qu’en Irak, les filles ne se faisaient pas violer car elles portaient le hijab.

Le parquet a requis 4 ans de prison. La défense a plaidé le sursis.

LaLibre.be

Suisse: Une féministe pour une interdiction du foulard à l’école jusqu’à 18 ans

En tant que féministe, Martine Chaponnière estime inacceptable sous prétexte de relativisme culturel, on tolère que des parents imposent à des petites filles de porter le foulard à l’école.

Spécialiste dans le domaine de l’éducation et de la formation des femmes, thématique qu’elle a enseignée durant de nombreuses années à l’Université de Genève, Martine Chaponnière est l’auteure de plusieurs ouvrages sur la question.

Source et article complet

Nos remerciements à 

Hypocrisie: Lorsque les féministes du gouvernement suédois mettent le hijab durant leur visite en Iran

Dans une déclaration qui est devenue virale sur Twitter et Facebook, UNWatch, une ONG des droits de l'homme installée à Genève, a exprimé sa déception en constatant que le gouvernement suédois, qui se présente comme étant le premier gouvernement féministe au monde, a sacrifié ses principes et a trahi les droits des femmes iraniennes lorsque la Ministre du Commerce Ann Linde et d'autres membres féminins ont rencontré samedi le président Rouhani en portant des hijabs, des tchadors et de longs manteaux, par respect aux lois iraniennes oppressives et injustes qui rendent le hijab obligatoire - malgré le fait que Stockholm promette de promouvoir "une perspective d'égalité entre les sexes" au niveau international, et d'adopter une "politique étrangère féministe" dans laquelle "l'égalité entre les femmes et les hommes est un objectif fondamental."

 

En faisant cela, les dirigeantes suédoises ont ignoré l'appel lancé récemment par l'activiste des droits des femmes iraniennes Masih Alinejad qui a exhorté les politiciennes européennes "à défendre leur propre dignité" et à refuser de courber l'échine face à l'obligation du port du hijab lors des visites en Iran.

Alinrejad a créé une page Facebook dédiée aux femmes iraniennes afin de résister à la loi et les incitant à montrer leurs cheveux en tant qu'acte de résistance. Cette page compte aujourd'hui 1 million d'internautes

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"Les politiciennes européennes sont des hypocrites», déclare Alinejad. "Elles se tiennent avec les femmes musulmanes françaises et condamnent le bannissement du burkini - car elles pensent que la contrainte est mauvaise, mais quand cela se passe en Iran, elles se soucient seulement de l'argent."

 

La scène qui s'est déroulée samedi à Téhéran était aussi un contraste frappant avec la position féministe du Vice-Premier Ministre Isabella Lövin à l'encontre du président américain Donald Trump. Elle a écrit dans un tweet viral, puis dans le Gardien op-ed de la semaine dernière, que "le monde a besoin d'un leadership fort pour les droits des femmes".

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La députée suédoise Isabella Lovin se moque de Donald Trump.

 

La ministre du Commerce Ann Linde, qui a signé plusieurs accords avec des ministres iraniens, tout en portant un voile, "ne voit pas de conflit" entre la politique des droits de l'homme de son gouvernement et la signature des accords commerciaux avec une dictature oppressive qui torture les prisonniers, persécute les homosexuels (...).

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Le Canada autorise le hijab dans la police fédérale

Le port du voile islamique par les femmes musulmanes est désormais autorisé dans la Gendarmerie royale du Canada, a annoncé aujourd'hui le gouvernement canadien.

"Cette addition à l'uniforme" de la police montée a été décidée récemment par le commissaire de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), Bob Paulson, a dit à l'AFP Scott Bardsley, porte-parole du ministère de la Sécurité publique.

La décision "de permettre aux membres féminins de confession musulmane de porter le hijab, si elles le désirent", vise à encourager ces dernières "à envisager une carrière avec la Gendarmerie royale du Canada", a déclaré M. Bardsley.

Source

Les policières écossaises pourront porter le voile si elles le souhaitent

La police écossaise va désormais considérer le foulard comme un accessoire optionnel conforme à l’uniforme de ses fonctionnaires.

Cette décision a été prise dans le but d’encourager plus de femmes musulmanes à rejoindre les forces de l’ordre.

Phil Gormley, le chef de Scotland Yard, a indiqué dans un communiqué de presse qu’il se félicitait de cette mesure qui bénéficiera à la communauté musulmane, ainsi qu’aux policières et aux membres du personnel :

“Comme beaucoup d’autres employeurs, en particulier dans le secteur public, nous essayons de faire en sorte que nos effectifs soient représentatifs des communautés au service desquelles nous travaillons.”

 

Source1 Source2

Zurich (Adliswil) : Le Conseil municipal veut interdire le foulard et… la croix

ND Christian Hofer: Dans un souci "d'équité", nos conseils municipaux désirent désormais bannir nos petites croix alors que notre pays est basé sur des racines chrétiennes et que cela n'a jamais posé de problème auparavant. Évidemment, cette croix gêne les protagonistes de gauche ou provenant d'immigrations. Il est bien clair que sans certaines immigrations, nous n'aurions pas à renier nos racines aujourd'hui. Nous sommes devenus une communauté parmi d'autres dans notre propre pays! On notera les pleurnichements de l'Eglise alors qu'elle a milité afin que nous accueillions de nombreux requérants tout en sachant que ceux-ci s'opposeraient à nos références chrétiennes. Elle se rend compte seulement maintenant de ce qui se passe et des conséquences de sa propagande pro immigration.

A partir du 1er mars 2016, le conseil municipal doit décider, si les collaborateurs urbains peuvent porter les croix chrétiennes ou les foulards pendant le travail.

Un politicien socialiste et l'Église catholique veulent empêcher le projet.

Le port d'une croix ou d'un voile par un employé ou une employée de la ville d'Adliswil pourrait blesser les sentiments religieux de la clientèle - c'est cela que craint le Conseil municipal d'Adliswil.

C'est pour cette raison qu'il veut adapter le statut du personnel au 1er mars. Ainsi il peut exiger à l'avenir un vêtement neutre de la part des employés. Le conseiller socialiste Davide Loss n'apprécie pas du tout le projet. "Cette révision est totalement inacceptable", dit-il. Fondamentalement l'Etat devrait certes se présenter de façon neutre à l'égard de la population, l'accommodation prévue est trop vague pour Loss. "Si on veut faire une telle révision délicate, alors on doit clairement définir ce qui est permis et ce qui ne l'est pas. Par exemple, une petite croix autour du cou est-elle permise ou non à l'avenir ? " se demande-t-il. "Et cela vaut-il aussi pour les employés qui ne sont pas en contact avec les clients?"

En effet, ces questions restent ouvertes dans la décision du conseil municipal. Et le président de la ville Harald Huber n'était pas accessible ces deux derniers jours pour le journal ZSZ.

"C'est discriminatoire"

L'Eglise s'oppose à la révision. "Certains employés de la ville sont déconcertés" déclare le président du conseil de paroisse catholique Markus Fellmann. 

Il trouve que la proposition de règlement va trop loin.

"Par exemple, la belle chaîne que l'employé a reçue il y a peut-être 20 ans de son parrain ne peut plus être portée ouvertement, car elle a une croix comme pendentif." C'est discriminatoire. 

Le libéral Markus Bürgi perçoit le changement projeté le conseil municipal tranquillement : "les barrières pour une restriction seront élevée aussi à l'avenir." Il part du principe que le conseil municipal utilise convenablement le nouvel instrument. Avec le statut du personnel actuel, le conseil municipal n'a aucune marge de manœuvre. "Aujourd'hui, un employé pourrait se référer simplement à la liberté de religion et appliquer les textes religieux."

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch