Tarek Naguib, chercheur à l’Université de Zurich: « Les étrangers sont systématiquement défavorisés en Suisse. La supériorité de la culture occidentale est un mythe. »

Cet individu anti-Suisse travaille à la Haute école des Sciences Appliquées de Zurich:

- Chercheur
- Co-délégué pour la diversité / genre

Points principaux de recherche

- droit constitutionnel
- Protection des droits de l'homme
- Protection contre la discrimination
- Sociologie du droit
- Droit social
- Education aux droits de l'homme (www.naguib.ch)
- Interdisciplinarité et transdisciplinarité en droit

La Suisse, avec 25% de sa population étrangère et ayant accueilli des centaines de milliers de Balkaniques serait donc xénophobe. Pendant ce temps, des Erythréens profitent sans vergogne de notre pays, saignant à blanc nos finances sans que cela ne gêne ce genre d'individu.

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L'avocat Tarek Naguib (42 ans) étudie la discrimination à la Haute école des sciences appliquées de Zurich. Pour lui, il est clair que les étrangers sont systématiquement défavorisés en Suisse. Et: Dans ce pays, la xénophobie peut rapidement se transformer en violence.

En Suisse également, il y a toujours des actes violents. Cependant, le racisme se manifeste souvent de manière latente.

Le Blick: Comment?

Par exemple, dans des cas de désavantages dans l'éducation, la citoyenneté ou les services sociaux. Ces formes institutionnelles de racisme, bien que moins évidentes, sont très répandues.

Sommes-nous alors les racistes les plus gentils du monde ?

Je ne dirais pas cela ainsi. Bien que comparativement en ce moment, le racisme violent en Suisse s'impose rarement.

Pourquoi sommes-nous largement épargnés?

En Suisse, les facteurs clés qui favorisent les agressions physiques sont absents: pauvreté extrême, exclusion sociale, ségrégation de la population, comme dans les banlieues françaises ou dans certains quartiers des villes américaines.

Mais nous ne devons pas être aveuglés: le potentiel de violence raciste existe également en Suisse. Et n'oublions pas: une forme de violence réside dans la «banalité» du racisme inconscient et structurel.

Par exemple, lorsque l'enfant d'un migrant est privé de confiance en raison d'une discrimination cachée à l'école.

Y a-t-il un racisme suisse?

Dans la population suisse, l'idée est que le racisme n'est qu'une question de préjugés et qu'il ne concerne que quelques xénophobes.

Ce à quoi vous vous opposez?

Oui. C'est une compréhension beaucoup trop étroite du racisme. Il y a aussi des raisons racistes lorsque les postes de direction en politique ou dans les rédactions des médias suisses sont principalement occupés par des non-migrants.

Aux États-Unis ou au Royaume-Uni, par exemple, la sensibilité à ces formes latentes de discrimination est beaucoup plus marquée.

Les Suisses ne remarquent donc pas le racisme?

Vous savez, nous sommes tous influencés par le mythe de la supériorité de la culture occidentale européenne. Cette image séculaire est fermement ancrée en nous. Le racisme est complexe. Laissez-moi vous donner un exemple: arrive-t-il que vous demandiez à quelqu'un avec une peau sombre d'où il vient?

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Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

 

 

Suisse: Le nombre d’actes racistes serait en hausse l’an dernier, surtout à l’école

Dans ces articles, il n'est fait nulle mention du racisme contre notre peuple. On ne sait pas quels actes sont unilatéraux et lesquels résultent d'altercations où les deux parties ont été abusives. Or certains musulmans sont friands de provocation pour, par la suite, se positionner en victimes des non musulmans. Le cas de Tariq Ramadan est symbolique de ce que la rhétorique "anti-raciste" offre comme excuse aujourd'hui.

D'autre part, les Africains, les Arabes et les Balkaniques sont très véloces lorsqu'il s'agit de menacer de mort ou d'employer la violence, comme ici ou ici ou encore ici et ici. Dans tous ces cas, ce sont les Européens qui se retrouvent face à une brutalité qu'ils ne connaissent pas et qui les choque. Mais gageons que ces "centres de conseil" n'ont jamais vu un Suisse s'en plaindre.

Dans ce cadre, il n'est fait nulle mention de l'origine des agresseurs. Tout est écrit pour pointer du doigt l'autochtone. On rappelle qu'en Allemagne, nombre d'actes antisémites sont liés à l'immigration. Il en est de même en Suisse, comme le rappelle un article de la Tagesanzeiger: Ce sont des Secondos turcs et balkaniques qui ont démontré leur haine des Juifs. En clair, le multiculturalisme tant apprécié par la Commission suisse contre le Racisme est à l'origine même de ce racisme.

Enfin, ces chiffres visent à culpabiliser un peuple qui pâtit déjà d'un multiculturalisme qu'on lui a imposé. Notre administration cherche aujourd'hui à désarmer des Suisses innocents en raison de l'islam. Il en est de même concernant la loi sur la surveillance électronique qui prétend combattre le terrorisme.

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Les 27 centres de conseil pour les victimes du racisme en Suisse ont enregistré un record de 301 actes racistes en 2017, soit un tiers de plus qu'en 2016, dénonce un rapport relayé par la presse dominicale.

Une grande partie de ces agressions visaient des noirs (95 cas) et des musulmans ou des Arabes (90 cas). Six affaires ont touché des juifs. La plupart des victimes étaient des Suisses (56), suivis par les Erythréens (24) et les Français (16), selon le rapport 2017 des centres de conseil pour les victimes du racisme, qui sera publié lundi par humanrights.ch et la Commission fédérale contre le racisme.

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Source

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet et à Christelle B.

 

L’immigration enchantée

Par Mireille Vallette

La semaine contre le racisme se termine. Les méfaits de la Suisse discriminante et xénophobe ont tenu une nouvelle fois la vedette.

université populaire albanaise,upa,marko bandler,semaine antiraciste

L'Office du tourisme de Neuchâtel illustre par ces photos des visites guidées "sur les traces de l’esclavage" dans le canton. Elle font partie des manifestations organisées durant la Semaine contre le racisme.

Parmi les infinies facettes du racisme, les autorités ont choisi pour 2018 «Le verbal et le non-verbal blessant dans le paysage politique suisse». Une expression modernisée et jargonneuse pour une vieille antienne: haro sur les affiches de l’UDC, du MCG, etc. et sur les commentaires venimeux qui polluent la Toile. Les victimes? Selon le Bureau de l’intégration genevois, des «minorités ethno-raciales et/ou religieuses».

Lors de cette dixième «Semaine Sainte», les fidèles étaient invités comme d’habitude à communier dans la dénonciation des discriminations et autres propos xénophobes, et à dénoncer avec ardeur leurs auteurs.

Les organisateurs, animateurs et intervenants multicolores partagent avec leur public la même conviction: dans notre pays, les noirs sont purs et blancs, alors que nombre de blancs sont vils et noirs. Cette vision manichéenne ne laisse pas la moindre place à la divergence. Comment tolérer qu’un dissident vienne défendre dans l’une de ces innombrables manifestations ce point de vue: l'immigration pose quelques problèmes? Ne prendrait-on pas le risque qu’il propage son discours de haine en soulevant des thèmes aussi nauséabonds qu’identité ou islamisation, voire qu’il s’offusque de l’aimable coutume de femmes couvertes des chevilles aux cheveux?

Comment imaginer une seconde laisser un orateur relever ce paradoxe: nous sommes les seules sociétés à biberonner à l’égalité dès la maternelle, mais les seules coupables de racisme? Inversement, nombre d’immigrés originaires de pays qui enseignent le rejet et n’ont pas eu la chance de participer à des «Semaines contre le racisme» semblent avoir comme par magie abandonné leurs préjugés en abordant nos contrées, et être tout soudain atterrés de découvrir les nôtres.

Comment alors expliquer que parmi les requérants d’asile ou dans les prisons, se déroulent moult rixes et signes de racisme, par exemple entre Somaliens et Afghans ou Irakiens, Maghrébins et Noirs, Russes et Noirs, mais aussi Noirs et Noirs (ethnies ou pays) ? A la prison de Champ-Dollon, suite à des rixes «ethniques» où il y a eu un mort, la prière musulmane a dû être pacifiée: elle a lieu en alternance un vendredi pour les albanophones et un autre pour les Maghrébins.

Chez nous, les immigrés sont invités à rester tournés vers leur culture d’origine, le nouveau credo voulant qu’ils seront mieux réceptifs à la nôtre. Or, comme le remarque la journaliste Elisabeth Lévy, l’histoire de l’Occident est justement celle de l’émancipation des individus de leur groupe social, religieux, ethnique. Cette fixation sur les "cultures d'origine"ne comprend pas leur critique ni l’exigence d’évolution, contrairement à ce que fait depuis des lustres la culture des "pays d'accueil".

Malgré ces conflits  racistes, je n’ai jamais vu un débat, une vidéo, une soirée consacré à ce sujet. Les participants au cérémonial annuel reprennent en chœur un discours de victimisation et de valorisation des immigrés qui a pour corollaire, voire comme fondement, le dénigrement de nos démocraties. Côté «victimes», cet incessant rappel de la culpabilité de l'Occident augmente la rancœur, l’agressivité et le rejet, un phénomène désormais en pleine croissance.

 

Le canton de Neuchâtel montre à quel point cette volonté de dénigrer, en l’occurrence le «canton d’accueil», atteint des sommets. Il invite ses immigrés et leurs soutiens à des visites guidées «Sur les traces de l’esclavage à Neuchâtel». Oui, les nouveaux historiens ont trouvé que des hommes d’affaire du cru ont financé des transports d’esclaves. Et même que des intellectuels défendaient l'esclavage! Les immigrés doivent donc savoir que ce fléau figure aussi sur la longue liste des actions scélérates de la Suisse. Mais ils ne doivent en aucun cas connaitre les ombres de leur passé et en parler: il est ainsi inconcevable de consacrer la moindre discussion à l’esclavage arabo-musulman.

J’ai aussi scruté le programme genevois de l’hymne à la diversité. J’y ai patiemment cherché une voix dissonante dans la collection de films, vidéos, dégustations multiculturelles, contes venus d’ailleurs, multiples moments d’émotion liés aux douleurs de l’exil et aux périlleux chemins qui y mènent.

Eh bien, j’en ai trouvé UNE... La mienne.

Albana Krasniqi, directrice de l’Université populaire albanaise (UPA) m’a en effet invitée à une table ronde. Une initiative courageuse, voire audacieuse. J’y côtoyais Hélène Agbémégnah, membre d’INES, un «think tank issu de l’immigration», et le socialiste Marko Bandler, responsable de la cohésion sociale à Vernier. Le public ? Essentiellement des familiers de l’UPA, un «milieu hostile» pour moi, celui avec lequel j’aime le plus débattre.

Le débat s’est passé dans la paix, sinon l’harmonie. Il a montré qu’il est possible pour des dissidents de la pensée de s’inscrire en faux face au politiquement correct sans déchainer les passions. Marko Bandler a involontairement illustré combien effectivement la défense des immigrés va de pair avec l’éreintement de la Suisse (ses inutiles «mythes fondateurs», ses incroyables exigences de naturalisation, etc). Il a cependant admis que «l’entre soi» de cette semaine antiraciste n’est pas très constructif.

Quant aux citoyens qui n’entendent ni durant cette Semaine, ni dans le débat public en général des voix qui portent leurs critiques et leurs réticences face à l'immigration, ils s’expriment dans les urnes. Et c’est ainsi que les fervents adversaires du «populisme» leur donnent avec ce genre d'exclusions un sérieux coup de pouce.

Le blog de Mireille Vallette

 

 

France: Le racisme « anti-blanc » s’affiche à l’Université Paris-8 depuis que l’extrême-gauche y accueille des migrants

Pendant ce temps, notre Confédération suisse et nos cantons dilapident notre argent pour des "semaines contre le racisme".

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Depuis un mois et demi, un collectif d’extrême gauche s’est installé avec une centaine de migrants dans des locaux universitaires situés à Saint-Denis. Depuis, des tags anti-France, anti-blancs et homophobes fleurissent sur les murs de la Faculté. L’Université a annoncé qu’elle portait plainte.

«Français = PD», «Femmes, voilez-vous!», «AntiFrance vaincra», «Mort aux blancs», «Beau comme une voiture de police qui brûle», «Kill Cops (au pluriel)», etc.

Les murs du bâtiment A de l’Université Paris-8 sont devenus, depuis le 30 janvier, le lieu d’expression d’une violence extrême contre les «blancs», la France, les policiers, Israël et les homosexuels. Situés à Saint-Denis, les locaux de l’Université Paris-8, historiquement marquée à gauche, ont été investis par un collectif d’extrême gauche et des migrants, qui les occupent depuis un mois et demi. Contactée par Le Figaro, l’Université «condamne avec la plus grande fermeté les tags trouvés sur les murs le 8 mars» et annonce qu’elle va porter plainte.

 

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«Mon exaspération devient profonde», explique au Figaro une enseignant-chercheur qui souhaite garder l’anonymat. «Certains de mes collègues ont reçu des menaces de mort», explique-t-elle. Certains universitaires du département de Droit, qui ont cours dans le bâtiment A occupé par le collectif et les migrants, souhaiteraient en effet retrouver leurs locaux pour pouvoir assurer leurs enseignements. Dans un échange de mail que Le Figaro a pu consulter, la présidence de l’Université Paris-8, qui tente en vain depuis un mois et demi d’arranger une conciliation avec les occupants, exprime son «soutien aux personnels qui subissent quotidiennement dégradations et insultes variées». «Maintenant, on en arrive à des graffitis racistes partout sur les murs», ajoute l’universitaire, avant de préciser: «Ce ne sont pas les migrants, les pauvres. Ils ne parlent pas français. Ce sont plus probablement les membres du collectif d’extrême-gauche.» Contacté par Le Figaro, le collectif «Les exil.é.s occupent Paris VIII» n’a pas donné suite.

Dégradations des locaux universitaires

Les tags donnent une certaine idée de leur contenu idéologique. Une première catégorie de tags vise la France et les «blancs». Parmi les dizaines de tags, «anti-France vaincra», «Mort aux blancs», «Fuck White People», «Je suis trop blanc», «Assimilation = ethnicide». D’autres sont un appel à la violence contre les forces de l’ordre: «Beau comme une voiture de police qui brûle» ou «Kill Cops (au pluriel)». Certains sont homophobes, comme «Français = PD». Des tags ont encore une connotation islamiste («Femmes, voilez-vous!»), anticolonialiste (Dis à ton prof d’histoire qu’il raconte des histoires, la plus grande des civilisations est née en Afrique noire), antiraciste (Le monde ou rien/Tout pour les miens/Tue un raciste/puis brûle son corps de sale bâtard). Dans ses échanges de mail, l’Université évoque des tweets antisémites. À cet égard, Le Figaro a pu seulement se procurer des tweets antiisraéliens et propalestiniens («Intifadez-vous» ou «Boycott Israël État raciste»).

Afrique du Sud: Un jeune Blanc tabassé sans raison par 3 Noirs en pleine classe. L’enseignante laisse faire. (Vidéo)

L'article date de 2014 mais c'est une violence qui est évidemment tue dans nos médias depuis de nombreuses années.

Imaginez seulement l'inverse et notre presse aurait parlé de ces agressions durant des semaines.

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L'intimidation et la violence dans les écoles sont de nouveau à l'honneur après qu'une vidéo, prise dans une salle de classe du lycée Otto du Plessis de Port Elizabeth à Algoa Park, montre un garçon de 8e année agressé à plusieurs reprises par un groupe de camarades.

Tout au long de l'attaque acharnée contre Anton du Toit, 14 ans, un professeur assis à son bureau dans la classe ne cherche pas à intervenir.

La vidéo, enregistrée par un autre élève sur un téléphone portable, montre Anton appuyé contre le tableau à l'avant de la classe pendant que trois autres garçons le poussent dans le mur, tirent sur son maillot et le frappent à coups de poing au visage et à la tête.

La vidéo, qui a été filmée en mars, a été portée à l'attention du quotidien Herald hier par la mère choquée d'Anton, Anitia du Toit, 49 ans, qui l'a vue pour la première fois cette semaine. "Anton m'a raconté ce qui s'était passé, mais seulement maintenant, en le voyant pour la première fois, je me rends compte à quel point la situation est sérieuse", a déclaré Du Toit.

Elle a déclaré qu'elle savait qu'une vidéo avait circulé parmi les élèves à l'époque, mais l'école lui a dit qu'elle avait été supprimée peu de temps après l'incident.

Se remémorant l'incident, Anton a déclaré d'une voix douce hier soir que le même groupe de camarades de classe l'a agressé plusieurs fois ce jour-là.

"Le bagarre dans la vidéo était la première des trois où ils m'ont causé des problèmes ce jour-là. Après la classe, ils sont revenus vers moi pendant la récréation, puis encore plus tard ce jour-là avant de rentrer à la maison.

 

 

Ces types ont menacé de me poursuivre, alors j'ai demandé à des amis de rentrer à la maison avec moi après l'école. Heureusement, ils ne sont plus apparus. "

Pendant la vidéo qui dure 30 secondes, personne - y compris l'enseignant - ne fait d'effort pour arrêter l'attaque. Au lieu de cela, plusieurs élèves sont vus brandissant des téléphones portables pour enregistrer l'incident, et un grand rire et des encouragements peuvent être entendus.

"Frappe-le! frappe-le! ", crie un enfant.

La vidéo ne montre pas comment le combat a commencé, mais débute lorsqu'Anton est poussé et frappé par deux garçons - un plus grand que lui et l'autre beaucoup plus petit. Un troisième garçon, également plus petit, se joint et frappe Anton. Le plus grand garçon se tient finalement à l'écart, observant comment les petits garçons frappent à plusieurs reprises leur victime.

À un moment donné, on voit Anton demander à ses agresseurs pourquoi ils lui font du mal. Quand Anton tente de donner un coup à l'un des petits garçons, leur ami beaucoup plus grand intervient et frappe à nouveau Anton avec une force visible.

Une enseignante est aperçue vers la fin de la vidéo assise derrière son bureau, et un garçon peut être entendu crier à la «juffrou» (Nd Christian Hofer: Jeune femme non mariée, "mademoiselle") d'attendre afin que l'agression puisse continuer.

Le directeur d'Otto du Plessis, Tinus van Eeden, a confirmé hier l'incident et déclaré que des mesures disciplinaires avaient été prises par la suite. Il a dit qu'un des garçons, le plus grand visible dans la vidéo, avait été temporairement suspendu à plusieurs reprises.

«Les parents du garçon ont été appelés à l'école à plus d'une occasion, et cette bagarre n'était qu'une des nombreuses transgressions qui lui ont valu une suspension temporaire plus tôt cette année.

"Il a été suspendu pendant une semaine. Il est revenu à l'école et a été suspendu à nouveau peu de temps après son retour." Bien que le garçon soit actuellement suspendu, il est toujours dans la classe d'Anton lorsqu'il fréquente l'école.

Van Eeden a déclaré que le garçon de 15 ans avait été évalué et devait être dans une école pour élèves ayant des besoins spéciaux, mais aucune école spéciale à Port Elizabeth n'avait d'espace pour lui, et la pire punition que l'école pouvait appliquer était une suspension temporaire.

En ce qui concerne la défaillance de l'enseignante à intervenir, le directeur a défendu ses actions, soutenant que les enseignants devaient être très prudents lorsqu'ils intervenaient car les élèves auraient facilement pu l'accuser d'agression si elle était physiquement impliquée.

(...)

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

USA: Des Noirs accusés de racisme pour s’être opposés à… la bibliothèque présidentielle d’Obama

Bronwyn Nichols Lodato n'aurait jamais pensé que son opposition à la construction d'un garage privé sur les parcs publics historiques entraînerait des accusations de racisme.

Mais c'est ce qui s'est passé après que Madame Lodato, une femme afro-américaine qui vit dans le quartier de Hyde Park depuis plus d'une décennie, se soit prononcée contre les plans de la bibliothèque présidentielle d'Obama.

«Tout ce que je voulais faire était de m'assurer que mes enfants puissent jouer sans parking dans leur parc», a déclaré Mme Lodato au Chicago Tribune. "J'ai trois jeunes enfants et nous vivons dans un appartement. Mon histoire est simple, comment pouvons-nous garder le parc pour que nos enfants puissent y jouer?

Juanita Irizarry, une militante affiliée à "Friends of the Park", a déclaré que les résidents en faveur de la bibliothèque de l'ancien président Barack Obama accusaient tous ceux qui désapprouvaient ou posaient des questions: ils devaient être blancs, ne pas se soucier des Noirs ni du développement économique (...).

Source:Washington Times Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Grande-Bretagne. High Wycombe: Deux hommes et deux femmes blancs tabassés par des immigrés (Vidéo)

Suite de l'article déjà paru ici mais avec les détails traduits.

Bien entendu, vous ne lirez pas cela dans nos médias, nos journalistes préférant les fake news où la diversité est victimisée.

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Deux hommes et deux femmes ont été blessés à la suite d'une rixe qui a éclaté dans un "chicken shop" (restauration rapide de poulets) à High Wycombe.

 

 

Que s'est-il passé?

  • Samedi 11 novembre, entre 3h50 et 4h15, deux hommes et deux femmes, tous dans la vingtaine, sont entrés au Peri Peri Chicken Delight à Oxford Street, High Wycombe.
  • Un groupe d'environ six à huit hommes a alors entamé une dispute avec les deux hommes et les deux femmes. Le groupe de six à huit hommes a ensuite attaqué les deux hommes.
  • L'un des victimes a été assommée, à la suite d'un coup de pied au niveau de la tête, après avoir été frappé au sol. En conséquence, il a subi une commotion cérébrale et des coupures au visage.
  • L'autre victime a également été frappée au visage, recevant des coupures et des ecchymoses.
  • Les deux femmes ont tenté d'arrêter le combat et l'une d'entre elles a été poussée au sol, ce qui a provoqué une fracture du poignet.
  • L'autre victime a également subi des écorchures et des ecchymoses aux genoux et aux jambes.
  • Les victimes ont été soignées à l'hôpital Wexham Park, elles en sont sorties.

Que sait-on?

  • Les délinquants sont décrits comme étant six à huit hommes de type asiatique (Nd Christian Hofer: Les Pakistanais sont classés comme étant "asiatiques" au Royaume-Uni), âgés de 18 à 26 ans, portant des vêtements de sport, certains ayant des capuches.
  • Les délinquants sont partis dans une berline couleur argent et un van blanc.

L'agent en charge de l'enquête, la détective Caroline Timmis, du Local CID basé à High Wycombe, a déclaré:

"Suite à cette agression, nous faisons appel à des témoins."

"Nous sommes conscients qu'il y avait peut-être plusieurs personnes dans le restaurant au moment de cette agression et nous demandons à toute personne qui a des informations de se manifester.

"Toute personne ayant des informations devrait appeler la police de Thames Valley en citant la référence 43170335682."

Source Source2 Source3 Traduction Libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Vacances réservées aux femmes non blanches pour fuir “l’oppresseur blanc”: le documentaire. (Vidéo)

Christian Hofer: A noter la photo de Malcom X à 1:04 dans la vidéo.

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Ce documentaire montre une retraite pour les femmes noires qui ont besoin d'une "pause vis-à-vis des oppresseurs blancs".

Vice News est connu pour trouver des histoires intéressantes et les transformer en documentaires. Mais un nouveau mini-documentaire de Vice publié la semaine dernière a secoué le creuset racial.

Le documentaire se concentre sur une agence de voyage avec des retraites au Costa Rica qui exigent que les clients soient des femmes non blanches.

La raison de ces retraites? Echapper aux Blancs aux États-Unis.

 

De quoi parle le documentaire?

Le documentaire note qu'il y a beaucoup d'agences de voyages et de retraites pour les Noirs aux États-Unis, mais celle-ci, appelée «Women of Colour Healing Retreat», est différente parce que les clients viennent spécifiquement pour «rompre» avec l'oppression des Blancs.

Pendant la retraite de 10 jours, les femmes mangent végétalien, font du yoga, méditent, et afin de "discuter des frustrations d'être noir en Amérique", selon le narrateur. Les participantes conviennent que les Blancs "ruineraient" la retraite s'ils étaient présents.

(...)

Source et article complet Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

USA: Un Blanc tabassé par hasard par 3 Noirs. 50 coups en 1 minute. La vidéo de l’agression est trop violente à regarder pour la juge. (Vidéo)

L'agression a été si violente que la juge n'a pas pu regarder la vidéo en entier.

Lorsque le juge a demandé à John Watts pourquoi il a attaqué un homme au hasard, puis a participé à un passage à tabac si violent, le jeune de 20 ans a répondu:

"Je l'ai juste attaqué".

 La juge du comté de Hamilton, Jody Luebbers, a demandé: "Pourquoi est-ce arrivé?"

Watts, qui se tenait debout devant le banc du juge, ses mains attachées derrière le dos, fit une pause pendant quelques secondes.

« Je ne sais pas comment l'expliquer, » a-t-il dit.

 

Attention, vidéo choquante

 

 

 

Watts est le deuxième homme reconnu coupable de l'attaque survenue le 15 mai 2017 près de la bibliothèque principale du centre-ville. La juge Luebbers a condamné Watts à sept ans de prison. Il a plaidé coupable le mois dernier pour agression criminelle.

En septembre, Johntae Dearmond a plaidé coupable de vol aggravé et a été condamné à neuf ans. Dearmond, âgé de 21, a imputé son attaque à l'ébriété. 

 La victime, un bibliothécaire dans la quarantaine, marchait près de la bibliothèque, peu après minuit quand Watts, Dearmond et une troisième personne se sont approchés. Selon les documents judiciaires, une quatrième personne a servi de guet.

 

coupable

 

Ils ont demandé une cigarette au bibliothécaire. Puis l'attaque a commencé. Le procureur adjoint Allison Oswall a déclaré jeudi que Watts l'a plaqué sur le trottoir.

L'homme a été frappé environ 50 fois. Il a reçu des coups de pieds au niveau du visage. L'attaque a duré environ une minute. Il a subi une hémorragie interne du cerveau. Le sang est sorti de son oreille. On peut voir Dearmond  prendre le téléphone portable de l'homme.

 Alors que la juge Luebbers regardaient la vidéo surveillance de l'agression, elle l'interrompit:  « Ça suffit, je ne peux pas regarder davantage. ».

(...)

La juge a noté que Watts a pris le temps de ramasser le baume pour les lèvres qu'il avait laissé tomber sur le trottoir, mais il n'a pas aidé la victime.

Elle a exprimé son 'inquiétude face à l'incapacité de Watts d'expliquer pourquoi il a attaqué un homme "absolument sans aucune raison."

« Insensé », a-t-elle dit. "Sauvage. Et horrible."

(...)

Source Source2 Taduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Les extrémistes de l’antiracisme deviennent hors de contrôle

Voici le genre de message que l’on commence à voir sur internet. Et n'en doutez pas, ce n'est que le début tellement cette propagande à sens unique s'insinue partout, jusque dans les universités.

Le moindre élément est devenu raciste dans la tête de ces individus préformatés.

 

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Source

 

Rappels:

Bradford (Royaume-Uni) : des jeunes immigrés pakistanais ont caillassé des pubs « parce qu’ils étaient tenus par des Blancs »

L’orchestre symphonique de Boston accusé de jouer trop d’œuvres d’«hommes blancs»

Londres : accusée de racisme, une université s’excuse pour avoir parlé de « campus blanc » au sujet de la neige tombée

Université de Yale : Les étudiants ne sont plus obligés de suivre des cours sur les auteurs blancs

USA: 6 actrices blanches apparaissent en Une d’un magazine, l’une d’elle obligée de se justifier sur le « manque de diversité » de la couverture

Christian Hofer: Les mêmes "anti-racistes" qui prétendent qu'il n'existe pas de races, que la couleur de peau n'a aucune importance, font... une polémique sur une couverture de magazine représentant des femmes blanches...

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Six actrices, dont elle-même, figuraient en une du Los Angeles Times.

Elle ne s’attendait pas à être elle-même au cœur de la polémique. À Hollywood, l’actrice Jessica Chastain est connue pour être une militante de la diversité. Elle a même créé en 2016 une société de production dirigée par des femmes qui a pour but de promouvoir cette cause au cinéma.

Mais pour la dernière couverture du supplément spécial cinéma du Los Angeles Times, l’actrice de 40 ans a posé au côté de Margot Robbie, Diane Kruger, Annette Bening, Saoirse Ronan et Kate Winslet… Des femmes de différents horizons, mais toutes blanches. Les réactions sur les réseaux sociaux n’ont pas manqué.

Les internautes se demandent comment l’actrice a pu cautionner cette couverture. La journaliste Rebecca Carroll l’a interpellée : « Honnêtement Jessica Chastain, en tant que porte-parole de l’égalité, comment pouvez-vous poser pour une photo comme celle-là et ne pas vous sentir affligée par l’exclusion flagrante ? Comment est-ce possible de ne pas comprendre le message que cette photo envoie ? »

Deux jours après la parution de la photo, elle a répondu à Rebecca Carroll sur Twitter. « C’est triste de voir qu’il n’y a pas de femme de couleur sur cette photo qui vise à promouvoir notre importance dans les films. L’industrie (NDLR, du cinéma) doit devenir plus inclusive dans ses récits. »

Le Parisien via Fdesouche.com

Michel Leeb, nouvelle proie des racistes anti-blancs, pour son sketch l’Africain !

Par Josiane Filio

Qui n’a jamais rigolé un bon coup aux éternelles blagues sur les Belges, les Suisses, les Juifs, les Noirs, les Arabes, les Gays, les Femmes, surtout si elles sont blondes… qui nous mettaient en joie à chaque banquet d’anniversaire, baptême, communion, mariage… sans autre arrière pensée que d’amuser la galerie, grossissant le trait à plaisir puisque chacun sait que c’est précisément l’outrance qui fait rire.

Mais attention ! Si j’emploie volontairement le passé, c’est que de nos jours, où il n’est même pas envisageable une « trêve des confiseurs » pour les racistes anti-blancs, il n’est plus question de faire marrer les copains en imitant tel ou tel accent, surtout s’il est africain, sous peine de se voir immédiatement traîner devant le tribunal le plus proche du siège d’associations ou de « collectifs » dont le fonds de commerce est précisément l’antiracisme, dûment subventionnés (même s’ils prétendent le contraire) par les collabos au pouvoir.

C’est sans doute trop demander à l’esprit étroit de tous ces crétins venus en France pour y mieux vivre que dans leurs pays d’origine, parce que totalement incapables d’y faire régner l’ordre eux-mêmes, de comprendre qu’il  est terriblement énervant de constater que les nouvelles générations n’ont plus que la critique, la hargne et la haine contre ceux qui les ont « colonisés »… alors qu’à l’époque, la plupart d’entre eux n’étaient même pas encore nés !

Parce que pour le coup, c’est nous qui ne comprenons pas pourquoi, malgré tout le mal qu’on leur « aurait » fait, ils persistent à venir encore et encore, et en grand nombre, vivre chez leurs anciens colonisateurs, plutôt que faire profiter leurs pays des bienfaits de leurs sciences, acquises gratuitement, précisément chez ces odieux « Céfrancs faces de craie » !

Rien d’étonnant alors que le célèbre chanteur-comédien-humoriste Michel Leeb, se retrouve dans le viseur de ces auto proclamés antiracistes, pour ses sketchs mettant en scène des Africains ; c’était à prévoir, vu la tournure des événements et la montée au créneau de tous les hystériques racistes anti-blancs, qui voient du mal dans tous les propos sortis des bouches des blancs dès qu’il est question de l’Afrique, même quand il s’agit d’humour, devenu un véritable gros mot pour ces susceptibles incultes.

Aujourd’hui, c’est Eva Doumbia, vigie « afropéenne » (c’est nouveau ça vient de sortir, aurait dit Coluche !) et cofondatrice du collectif « Décoloniser les arts » qui a appelé ses semblables « les racistes anti-blancs », à venir faire un sit-in ce 14 décembre, devant le Casino de Paris, là où l’humoriste donnera son nouveau spectacle… où figurera sans doute l’un de ses sketchs sur l’Afrique qui nous fait tant rire, sans pour autant qu’il soit question de « haine raciale » envers les Africains, de la part des spectateurs.

« A partir de son histoire familiale et de sa position de femme perçue avant tout comme noire dans la société française, Eva Doumbia interroge avec intelligence et perspicacité les rapports raciaux nés de l’histoire française esclavagiste et coloniale… », nous dit Séverine Kodjo-Grandvaux, contributrice Le Monde Afrique, à Douala.

De toute évidence, franco-ivoirienne-malienne c’est bien elle qui a un problème avec sa couleur de peau, qui ne peut être niée, puisque tranchant sur le blanc de la majorité des Français (et même des Européens), tout comme n’importe quel touriste blanc se trouve trancher sur la couleur noire ambiante en Afrique, sans pour autant alerter le ban et l’arrière ban !

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/07/30/eva-doumbia-vigie-afropeenne_ 5166700_3212.html

Sur Boulevard Voltaire, Nicolas Gauthier parle d’un « safari permanent » des antiracistes qui ne se reposent jamais… « en trois huit, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept » , soulignant le discours de Eva Doumbia :

« Pour moi, c’est un grand retour en arrière, ce retour de Michel Leeb. C’est le retour d’une espèce de France raciste, où on peut se permettre de dire n’importe quoi, où on peut se permettre de ne pas prendre en compte 30 % de la population qui n’est pas blanche en France et qui est complètement niée et moquée. »

Ah ben, tiens, comment a-t-elle fait pour savoir que « les siens » représentent 30% alors que les comptages ethniques sont expressément défendus en France ?

Par ailleurs, je la renvoie au rejet par l’ensemble de la bien-pensance dont elle fait manifestement partie, du tiers de la population française, parmi lesquels des citoyens noirs et arabes,  sous prétexte qu’ils votent mal puisque désignant des représentant F.N., et là nous avons de vrais chiffres !

http://www.bvoltaire.fr/antiracisme-chasse-michel-leeb-ouverte/

L’objet du délit, pour ces esprits étriqués :

ou encore :


Le racisme hélas a toujours existé et existera malheureusement toujours chez certains êtres « bas de plafond », mais il est à déplorer que de nos jours ce sont justement ceux qui glapissent « au racisme » à tous propos, qui sont les vrais racistes anti-blancs, donc qui haïssent ouvertement ceux qui leur apportent assistance… prenant plaisir à se vautrer dans un supposé racisme qui ne serait qu’anti noir ou arabe ; en cela ils ne font que suivre les préceptes de leur grande prêtresse, la venimeuse Christiane Taubira.

Mais dussé-je froisser tous ces esprits irascibles, je continuerai à me délecter des productions humoristiques de Michel Leeb et ses compères.

Et je laisse donc le soin à l’artiste, qui déplore que le politiquement correct est partout, de conclure par une phrase que je ne peux qu’approuver : «Ceux qui vous taxent de racisme ont eux-mêmes un vrai problème à régler»

à partir de 4’50

Bravo l’artiste, continue, ton public sait bien que la haine de l’autre n’est pas chez toi, mais bien plutôt chez ces virulents vrais racistes !

Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

Article paru en premier sur RL

Si le raciste est Noir et déteste les Blancs c’est “politiquement correct”

giampaolo-rossi-150x150Par Gianpaolo Rossi (photo) qui se définit lui-même ainsi :
« D’abord et surtout archéologue. Pour cette raison je m’occupe de politique et des médias. J’écris pour Il Giornale. A leurs risques et périls.»

 

 

LE COCKTAIL RACISTE

Prenez le New York Times, la Bible libérale des progressistes du monde entier, la voix de la gauche radicale-chic qui rêve global, des gens "cool" qui sont toujours du côté des derniers (avec les sous des premiers) : c'est le journal du multiculturalisme idéologique et des pouvoirs économiques, de l'anti-racisme et des maîtres illuminés de la finance apatride.

Bien. Maintenant, prenez un juriste afro-américain dénommé Ekow Yankah qui enseigne le Droit à la Yeshiva University de New York; actif au parti démocrate comme chef du conseil des avocats du DNC (Comité national démocrate ) et dont les articles sont régulièrement publiés, justement sur le New York Times et aussi sur le Huffington Post.

A présent mélangez le tout, secouez bien et vous boirez un cocktail d'un racisme tellement violent, bête, éhonté et répugnant qu'une brochure du Ku Klux Klan à coté semble être un texte de propagande pour l'intégration multiraciale.

Mais voilà, comme cette fois le raciste est Noir et que la haine est dirigée contre les Blancs, pour cette gauche hypocrite, c'est politiquement correct.

Si le raciste est noir, son racisme est politiquement correct car c'est considéré comme un acte de défense contre les Blancs

UN DELIRE POLITIQUEMENT CORRECT

Il y a quelques jours, dans un éditorial publié dans le New York Times, le prof. Yankah s'est posé cette question :  "mes enfants pourraient-ils être amis avec des Blancs?" 

Evidemment, sa réponse est non. Ses enfants ne peuvent être amis des Blancs. Pas parce que lui est raciste mais parce que les Blancs le sont; donc puisque les Blancs sont racistes il apprendra à ses enfants à ne pas avoir d'amis Blancs. Simple, non ?

Mais alors, pourquoi les Blancs seraient-ils racistes ? Avant tout parce qu'ils sont Blancs; par conséquent ils portent une sorte de marque infâme de racistes pour l'éternité à cause de l'esclavage. Ensuite parce que les Blancs sont ceux qui ont voté pour Trump et cette élection oblige le pauvre professeur nazi-black à rappeler aux enfants la leçon des vieilles générations : "je leur enseignerai la suspicion et la méfiance"; donc il leur apprendra à se tenir loin des méchants blancs.

Il écrit ces choses, précise-t-il, par charité,  "le cœur brisé" , mais pour lui, malheureusement il n'existe aucune autre alternative : "L'histoire a fourni aux gens de couleur bien peu de raisons leur permettant de faire confiance aux Blancs (...) et ces derniers mois le mépris et la façon dont le pays respecte la valeur des minorités a été évident".

L'élection de Trump a fixé dans l'esprit de ce pauvre juriste noir "une pensée terrible mais familière aux Noirs américains : on ne peut pas se fier à ces gens là", c'est à dire aux Blancs. Et pas seulement aux Blancs qui ont voté Trump mais également à ceux qui haïssent Trump et qui font tout pour le critiquer.

Comme l'a écrit Scott Greer : ce qui est exprimé ici "est un concept fou qui mine les enseignements de ces 60 dernières années sur les races" qui est "de ne pas juger quelqu'un sur la couleur de sa peau mais sur son caractère individuel". En revanche, le professeur libéral progressiste affirme le contraire en affirmant que "la race est le facteur principal pour juger une personne".

Imaginons un instant ce qu'il serait arrivé si un juriste blanc avait publié un éditorial affirmant vouloir enseigner à ses enfants de ne pas avoir d'amis noirs. On l'aurait probablement viré de son poste d'enseignant, il aurait été lynché dans les médias (et pas seulement dans les médias) et il aurait certainement été dénoncé pour discrimination raciale.

Mais si le raciste est Noir, sa discrimination est seulement un réflexe de défense; le racisme anti-blancs est un racisme victimaire : je vous hait parce que vous me haïssez.

LE RACISME ANTI-RACISTE

Cet article du NewYork Times est un délire raciste et, par certains côtés, plus dangereux que celui des suprémacistes blancs, car c'est un racisme exprimé par l'élite libérale et légitimé par le puissant pouvoir des médias, car, ce qui est préoccupant, c'est qu'Enkow Yankah enseigne son racisme anti-Blancs à l'université, comme le fait, par exemple aussi la professeure Jessie Daniel, sociologue (Blanche) de la City University de New York, qui a expliqué récemment que les familles composées de Blancs et "qui donnent naissance à des enfants blancs", génèrent le racisme et légitiment la suprématie blanche du pays. Et que donc,  les familles multiraciales devraient être favorisées : "Si un Blanc se définit comme anti-raciste mais qu'ensuite il donne naissance à des enfants blancs, alors, il fait partie du problème". En somme si tu un Blanc ou une Blanche et que tu ne veux pas être complice du racisme, tu dois procréer avec une femme ou un homme noir.

Une femme comme celle-là devrait être enfermée en asile psychiatrique au lieu d'enseigner dans une université américaine.

La haine idéologique face à Trump empêchent les élites intellectuelles libérales de voir que les minorités raciales sont défendues dans la Constitution américaine par le XIV amendement qui représente un des plus grands progrès civil de tous les temps; il fut encouragé et voulu par des législateurs blancs (et Républicains vu que les esclavagistes étaient, historiquement, les Démocrates).

Le racisme d'un raciste est facile à combattre parce qu'il est visible, exécrable et souvent caricatural, violent, certes, mais facilement punissable et condamnable par l'opinion publique.

Mais le racisme des anti-racistes est sournois, caché, hypocrite car il est considéré comme politiquement correct par l'élite. Un peu comme le fascisme des anti fascistes.

Gianpaolo Rossi / Il Giornale.it

Source en italien (traduit par Danielle Borer pour lesobservateurs.ch)

France: Les «ateliers en non-mixité raciale» du syndicat Sud Education 93 suscitent la polémique

Pour discuter des «postures dominantes» des «enseignants blancs», Sud Education 93 organise un stage dans lequel des ateliers se tiendront en «non-mixité raciale». Le ministre de l'Education a dénoncé un événement «inconstitutionnel et inacceptable».

L'organisation par Sud Education 93 d'un stage syndical contre l'antiracisme a créé une vive polémique le 20 novembre, jusqu'au plus haut sommet de l'Etat.

Intitulé «Au croisement des oppressions – Où en est-on de l’antiracisme à l’école ?», ce stage se tiendra les 18 et 19 décembre prochain, avec pour vocation d'analyser le «racisme d’État dans la société et en particulier dans l’Éducation nationale». Dans cette optique, seront mis en place des «ateliers en non-mixité raciale» – c'est à dire dont sont exclus les blancs – où les participants pourront discuter de la «blanchité» ou encore des enseignants et des élèves qui seraient «racisés» et des «postures dominantes» des «enseignants blancs».

«Inconstitutionnel et inacceptable» selon le ministre de l'Education nationale

Une ségrégation assumée, passée inaperçue jusqu'au 18 novembre, lorsque le secrétaire général du Printemps républicain Nassim Seddiki l'a signalée sur son compte Twitter. Repris dans la foulée par le site Fdesouche, qui a écrit un article à ce sujet, l'information a ensuite largement circulé sur les réseaux sociaux.

La Licra s'inquiète de la présence parmi les intervenants du «CCIF [Collectif contre l’islamophobie en France] et [des] compagnons de route des Indigènes de la République»et le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer a condamné un événement qu'il a jugé «inconstitutionnel et inacceptable» dans un message sur Twitter.

 (...)

L’ONU préoccupée par le racisme en Suisse. Rebelote, après Doudou en Helvétie en 2006!

Les Etats membres ont passé la Suisse pour la troisième fois depuis 2012 à un Examen périodique universel (EPU).

Lutte contre le racisme mais aussi travailleurs migrants, violences contre les femmes ou encore responsabilité internationale des multinationales. Les Etats membres de l'ONU ont appelé jeudi la Suisse à Genève à des améliorations sur ses droits de l'homme.

(...)

Source et article complet

 

Notre propre article de 2006  sur la première visite des représentants de l'ONU sur le sujet : Uli Windisch, "Doudou en Helvétie": faut-il en rire ou en pleurer ou réagir fermement? 15-26.2.2006  :

 

"Doudou en Helvétie"[1] : faut-il en rire, en pleurer ou réagir fermement ?

par Uli Windisch

Je trouve grave qu'il n'y ait pas eu de réactions officielles, ou autres, claires, étayées et fermes à cette conférence de presse.

 

Premières conclusions de cette "enquête" : "la Suisse connaît une situation de racisme, de xénophobie et de discrimination". N'avez vous pas remarqué le tsunami raciste qui déferle sur la Suisse ? Ensuite : "La Suisse ne dispose pas d'une législation nationale pour combattre le racisme". Existe-t-il beaucoup d'autres pays ou c'est le corps électoral lui-même qui a approuvé une loi contre le racisme (en Suisse, le 25-9-1994) ?

 

Le nombre de votations sur la thématique de l'immigration a intrigué ledit rapporteur. Tiens ! Il n'a pas remarqué qu'il existait des systèmes  politiques très différents et que le système suisse comportait lui aussi certaines spécificités, notamment la démocratie directe et référendaire, à savoir par exemple que 100 000 personnes (50 000 jusque dans les années 1970) peuvent, par le biais de l'initiative populaire, proposer, à peu près sur n'importe quel thème, une modification de la Constitution. Ainsi, le problème de l'immigration a en effet été discuté en Suisse, publiquement, 15 à 20 ans avant que tel ne soit le cas dans les autres pays d'immigration européens. Et la Suisse comptait déjà 14 à 15% d'immigrés dès les années 1960-1970 alors que ce taux n'était que de 4 à 5% dans les pays voisins.

Il est donc vrai que cette thématique a été beaucoup plus discuté en Suisse et nettement plus tôt, mais ce débat a permis précisément aux réticences et réactions envers cette immigration subite et très importante (je ne dis pas trop importante !) de s'exprimer ouvertement, certes de manière parfois abrupte et véhémente. Mais cette "parole  exprimée" a eu pour effet d'abréagir les affects et les émotions, alors que dans d'autres pays l'impossibilité de poser le problème  publiquement pendant de nombreuses années a entraîné de graves frustrations et a débouché sur la naissance de mouvements et de partis extrémistes. Aujourd'hui, beaucoup d'acteurs sociaux et politiques ont compris que le fait de pouvoir simplement discuter les problèmes publiquement (plutôt que de les nier ou de les minimiser comme le veut le politiquement correct), participait déjà en partie à leur résolution. La démocratie directe consiste à admettre que tout peut-être discuté par tous et cela semble être un souhait de plus en plus général. Pensons au phénomène de "la montée des profanes" : les citoyens veulent de moins en moins être gouvernés par décrets ou être réduits à accepter passivement des évidences formulées d'en haut par des gouvernants, des experts, des technocrates et peut-être aussi par des rapporteurs, spéciaux ou non. En bref, pour les démocrates, le débat public est un signe de santé et de maturité sociale, citoyenne et politique, et non une maladie honteuse.

Ne pas réagir face aux accusations de Doudou Diène est grave pour plusieurs raisons. Les autorités sous-estiment grandement l'impact de tels propos, impact explicite ou implicite, immédiat ou à long terme.

Il en va aussi de l'image de la Suisse. Sans vouloir, à l'inverse, idéaliser cette dernière, son dénigrement constant et obsessionnel fausse complètement cette image, la négativise et donne prise aux stéréotypes les plus éculés. Un tel dénigrement finirait par révulser et humilier n'importe quelle population. Personne n'aime être dénigré en permanence (si à chaque critique nous réagissions comme d'autres à certaines caricatures…), même si nous savons et admettons volontiers que nous sommes loin d'être parfaits et que nous pouvons constamment améliorer notre prédisposition, avérée, à faire avec la diversité. J'aime trop la critique pour ne pas vouloir la brimer.

Mais est-ce sur-réagir que de simplement réagir ? Non, car on n'a pas réalisé, qu'à peine "l'expertise" rendue publique, plusieurs médias étrangers ont repris ces propos - plusieurs brèves et émissions spéciales, etc. - en les amplifiant et les caricaturant encore davantage. Et ce n'est qu'un début, puisque ce dit rapport sera présenté au monde entier à l'ONU. Oui à la critique, non aux accusations rapides et infondées à effets pervers garantis.

A Berne, il existe toutes sortes "de cellules de crise", mais beaucoup moins d'observatoires ou de cellules de communication relative à la construction et à la reconstruction incessantes de l'image du pays.

[1] Titre d'un article du Matin-Dimanche (15/01/2006) en réaction à la conférence de presse de Doudou Diène, rapporteur spécial de l'ONU sur le racisme, après cinq jours d'enquête !

Uli Windisch, février 2006

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. “La diversité est une richesse pour la Suisse.”

Christian Hofer: A noter que l'OFS tient un discours purement socialiste en faisant référence à ce multiculturalisme forcené alors que les Suisses n'ont jamais pu le choisir.

Plus encore, alors que ces mêmes politiciens et autres administrations trouvent toutes les excuses imaginables pour les délinquants étrangers, jusqu'à trahir la volonté des Suisses, ils n'ont aucune empathie pour la population qui doit subir les actes de violences allochtones. La compréhension ne doit s'appliquer qu'à sens unique.

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Les Suisses sont globalement tolérants, mais un bon tiers d'entre eux dit pouvoir être dérangé par la présence de personnes perçues comme différentes. L'enquête publiée mardi par l'OFS précise que c'est autour des musulmans que les tensions se cristallisent le plus.

Selon les groupes auxquels elle est confrontée, la population suisse montre plus au moins d'ouverture, écrit l'Office fédéral de la statistique (OFS). Parmi les trois groupes étudiés dans l'enquête, lorsque des caractéristiques négatives sont présentées, 17% estiment que celles-ci s'appliquent aux musulmans.

Ce taux chute à 12% chez les juifs et 4% chez les Noirs, précise l'OFS. Les taux d'hostilité sont à 14% vis-à-vis des musulmans, 10% pour les Noirs et 8% pour les juifs. Dans le cas des musulmans, l'hostilité envers ce groupe est toutefois moins forte que la défiance envers l'islam qui s'élève, en 2016, à 33%.

L'an dernier, 36% de la population indiquait 'pouvoir être dérangée par la présence de personnes perçues comme différentes'. L'intensité de ce sentiment varie selon l'origine du dérangement, relève l'OFS.

Six pourcents de la population se déclarent dérangés au quotidien par une personne ayant une couleur de peau ou une nationalité différente, 10% par une religion différente et 12% par des langues différentes. Enfin, 21% se disent gênés par la présence de personnes ayant un mode de vie non sédentaire.

Tolérance globale

Malgré les sentiments évoqués, la population résidante fait preuve de tolérance vis-à-vis des étrangers, ajoute l'OFS. En témoigne par exemple le fait que 64% des personnes sont contre le renvoi des ressortissants étrangers en cas de raréfaction des emplois, que 60% sont favorables au regroupement familial ou encore que 56% acceptent l'idée d'une naturalisation automatique de la 2e génération.

Deux tiers des Suisses ne pensent pas que les étrangers créent un climat d'insécurité dans la rue et quasi autant réfutent l'idée qu'ils seraient responsables de potentielles hausses du chômage. Seules 16% des personnes se sentent menacées par les étrangers et 4% par les Suisses.

L'enquête met également en lumière les expériences personnelles de discrimination. Ainsi, 27% de la population affirme avoir subi au moins une forme de discrimination au cours des cinq dernières années en raison d'une appartenance à un groupe. Spécifiquement, 4% déclare avoir subi de la violence physique, 13% de la violence psychique et 21% de la discrimination.

La nationalité est, de manière nette, le motif le plus souvent cité par les victimes (54%). Près de la moitié (48%) l'ont été dans le cadre du travail ou de la recherche d'emploi.

Une société multiculturelle

L'OFS rappelle que la Suisse se caractérise par la présence de multiples groupes sociaux et une diversité d'appartenances. On recense plus de dix communautés religieuses principales parmi la population, pour plus de 190 nationalités. Cette diversité constitue une richesse pour la société, écrit l'OFS, mais elle peut aussi créer des défis en matière de cohabitation.

En 2016, 56% des personnes estimaient que l'intégration des migrants dans la société suisse fonctionne bien. Pour 66% des habitants, le racisme est un problème social important. La majorité estime que les mesures prises par différents acteurs dans les domaines de la lutte contre la discrimination raciale et de l'intégration répondent aux besoins actuels.

Près d'un tiers (entre 29% et 34%) pensent toutefois qu'elles sont insuffisantes ou lacunaires. Parmi les personnes insatisfaites des mesures prises, la majorité indique que c'est à l'Etat d'augmenter ou de réduire son investissement, quel que soit le domaine.

Politisation de l'immigration

Parallèlement à la statistique de l'OFS, le Département fédéral de l'intérieur (DFI) a publié mardi le rapport du Service de lutte contre le racisme 2016, établi tous les deux ans. Celui-ci constate que les opinions hostiles envers les étrangers et les minorités ne semblent pas avoir évolué de façon significative, en dépit de la politisation de l’immigration.

Dans la préface au rapport, le conseiller fédéral Alain Berset note que la 'diversité exige de nous plus qu'une simple tolérance passive; elle nous oblige à nous ouvrir aux différences'. Si la Suisse jouit d'une forte cohérence sociale, 'nous ne sommes pas plus à l'abri du racisme que d'autres pays'.

Les discriminations se manifestent souvent de manière subtile et imperceptible dans les relations quotidiennes, alors qu’elles prennent des allures de plus en plus ostensibles et agressives sur Internet et les réseaux sociaux. 'Plus nous agissons avec fermeté et rapidité contre les discriminations raciales, mieux nous pourrons prévenir les conflits et consolider notre cohésion sociale', conclut Alain Berset.

Source

Rappels:

"Sale babtou": un jeune Blanc tabassé par un Noir à Delémont

Suisse: Un imam haineux a touché 600’000 francs de l’aide sociale

Exclusif. Mosquée de Winterthour: L’imam appelle à la mort des… chrétiens et des non musulmans.

Suisse. Yverdon-les-Bains: Altercation entre Africains à coups de hache.

Suisse multiculturelle: Bagarre sanglante entre un Ethiopien et un Somalien à Zurich

Islam. Tessin: Deux requérants d’asile arrêtés en raison de «risque pour la sécurité intérieure de la Suisse»

Suisse: Un islamiste préparait un attentat. Condamné trop sévèrement selon le Tribunal, il se trouve en liberté.

Suisse: 58% des adultes condamnés sont des étrangers. Les délinquants naturalisés sont classés en tant que… « Suisses »!

Les Chrétiens sont persécutés par les musulmans parce qu'ils sont chrétiens

France. Des Blancs attaqués sur l’île de Saint-Martin: “Ils disent dehors les Blancs.”

Saint-Martin est un territoire français situé dans les Caraïbes, dans la partie nord de l’île de Saint-Martin, dans les Antilles, portant le statut de collectivité d'outre-mer française depuis le 15 juillet 2017. Avant cette date, elle faisait partie intégrante du département d'outre-mer de la Guadeloupe.

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Isabelle, Toulousaine de naissance, vit sur l'île antillaise de Saint-Martin depuis 25 ans. Cette médecin, qui séjourne actuellement en vacances à Toulouse, a habituellement, du fait de son métier, les nerfs solides. Mais depuis hier, elle est en panique totale et lance un appel au secours car elle craint pour la vie de son mari et de son fils qui sont, eux, sur l'ïle antillaise ravagée par l'ouragan Irma.

"Mon mari et mon fils sont en danger de mort, comme une grande partie de la population. C'est la guerre civile là-bas. On commence à entendre parler dans les médias des pilleurs qui ont dévalisé les magasins après le passage de l'ouragan, mais on est bien loin de la réalité. Des bandes de voyous ont en effet dévalisé le bâtiment des douanes, qui a été très abimé et ont volé le stock d'armes qui s'y trouvait. Depuis jeudi soir, ils sillonnent l'île masqués et cagoulés et s'attaquent aux maisons encore debout dans lesquelles les habitants se sont réfugiés", raconte-t-elle, au bord des larmes.

depeche

 

 

 

"Je les ai eu hier soir au téléphone, ils sont tétanisés de peur. Ca tire autour de notre maison dans laquelle ils sont barricadés avec six amis qui sont chez nous parce leur villa a été détruite, poursuit-elle. Ils ne peuvent pas sortir. Ils disent que les agresseurs circulent par bande de dix, sont sans foi ni loi et sont prêts à tirer pour récupérer de la nourriture ou de l'argent."

Ses dires sont corroborés par les témoignages d'autres résidents de l'île, qui, sur les réseaux sociaux, racontent que ces gangs défoncent les portes des maisons et disent "dehors les blancs".

"C'est une honte, s'insurge Anne, une ancienne avocate de la région, qui s'est installée à Saint-Martin voici 4 ans et qui y a ouvert deux hôtels. Dans la partie néerlandaise de l'île, l'armée a sécurisée la ville mais côté français, on attend toujours les militaires et les secours. On est rentré en catastrophe en métropole il y a 3 jours parce qu'on a un bébé. Un de nos hôtels a été rasé par l'ouragan. L'autre est encore debout et nos amis qui y ont tout perdu s'y sont réfugiés. On a réussi à les joindre. Ils sont terrorisés. Ils nous ont décrit des scènes de braquages. Il faut absolument que le gouvernement nous envoie l'armée de toute urgence".

"Notre priorité numéro un est toujours de secourir les populations et de rétablir l'ordre parce qu'après le passage du cyclone ont eu lieu un certain nombre de scènes de pillages, d'où la nécessité de projeter un certain nombre de forces de l'ordre sur place pour en éviter d'autres", a déclaré ce midi le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb lors d'un point presse.

Au total, 455 membres des forces de sécurité sont en cours d'acheminement, selon lui, sur l'île de Saint-Martin, "et un nouveau contingent de 187 personnes va arriver dans les heures qui viennent, avant l'arrivée du cyclone José" qui se rapproche de la même zone.

Avec ces déploiements, "les problèmes de maintien de l'ordre devraient être réglés", a estimé M. Collomb. Reste à savoir si les forces de l'ordre vont justement réussir à rejoindre l'île avant le passage de l'ouragan José, qui s'est brutalement renforcé ce vendredi matin, et dont les premiers coups de vent se sont déjà sentir sur Saint-Martin et Saint-Barth, qui devaient être de nouveau touchées demain matin.

Source et article complet

Nos remerciements à Λlex Λ