Nicolas Lecaussin, Directeur de Recherches économiques “Ceux qui insultent Trump sont peut-être les véritables psychopathes.”

Par Nicolas Lecaussin est Directeur de l'IREF (Institut de Recherches Economiques et Fiscales), think-tank libéral.

Alors que nombre de commentateurs se refusent à voir la politique de Donald Trump et préfèrent le réduire à des pathologies cliniques, il faudrait plutôt juger ce dernier sur ses résultats, pour lesquels il n'a pas à rougir, analyse Nicolas Lecaussin.

Difficile d'y échapper. Emissions de radio ou de télé, articles, reportages, débats ou conférences, la très grande majorité ont pour sujet la santé mentale de Donald Trump. Le bruit court qu'il serait «psychopathe». Aux États-Unis, d'après une lettre «anonyme» provenant, selon le New York Times, de l'intérieur de l'administration, Trump serait «atteint de folie». Un livre intitulé «Fear» («Peur») vient de paraître. En France, on voit même Trump sur la couverture d'un livre intitulé «Ces psychopathes qui nous gouvernent», entouré de plusieurs figures toutes plus sanguinaires les unes que les autres.

(...)

Dans le pays du «psychopathe» Trump, le taux de chômage est à 3.8 %, celui des Afro-américains n'a jamais été aussi bas, les investissements des entreprises battent des records, l'indice de confiance des consommateurs atteint le plus haut niveau depuis 18 ans et la croissance économique a été revue à la hausse: 4.7%! Les experts hostiles à Trump en tiennent-ils compte?

Très impliqué dans les primaires républicaines avant les élections de midterm (mi-mandat) de novembre, Trump a fait gagner les candidats qui se réclamaient de lui. Sur 37 candidats républicains qu'il a soutenus, seuls deux ont perdu. Très bizarre, ce président «psychopathe». En outre, il a mis en place une réforme fiscale tout à fait cohérente qui n'a rien à envier à celle de Reagan au début des années 1980 et il a fait repartir la machine économique américaine.

L'adversaire numéro 1 de la plupart des médias américains a aussi choisi de déréglementer en supprimant des normes inutiles, il a donné de l'air aux entreprises et aux investisseurs. Pire encore: il a facilité l'embauche et le licenciement des fonctionnaires fédéraux afin de diminuer le rôle et le pouvoir de nuisance des syndicats. Délire de psychopathe?

Sur le plan international, le même «psychopathe» a tendu la main au dictateur de la Corée du Nord alors que tout le monde craignait un affrontement militaire. Il a demandé un effort supplémentaire aux membres de l'OTAN - rien de vraiment anormal - sans rien changer aux engagements de l'Amérique. Il vient de signer un nouvel accord commercial avec le Mexique et il y en aura probablement un autre avec l'Europe.

On peut très bien critiquer Trump, mais avec des arguments solides. Ce qui demande un minimum de culture et de compétence. L'insulter à longueur de journée est indigent et grotesque. C'est obsessionnel, pour reprendre le titre du célèbre livre de Jean-François Revel à propos de l'antiaméricanisme des Français. À tel point qu'on se demande parfois qui est vraiment «psychopathe».

Le Figaro

Nos remerciements à Jean-Pascal Cattin

 

Rappels :

Les scoops du journal Le Temps sur le président D.Trump. En fait, qui est malade ?

Manipulation: Le Temps publie 24 articles anti-Trump en 30 jours.

Suisse. L’illustré : idiot utile de l’antitrumpisme primaire et milliardaire?

La télévision publique allemande se moque de Trump sur les réseaux sociaux (IMAGES)

Le New York Times diffuse les animations anti-Trump de Bill Plympton (Vidéos)

Dans Le Temps sur le Président Trump: « son état mental se détériore »

 

Florilège pour le 20 Minutes.ch (tous nos médias sont sur la même ligne haineuse).

20 Minutes.ch : «Trump a tenu 2 minutes au lit et je suis généreuse»

20 Minutes.ch : Trump a quelques soucis avec son propre drapeau

20 Minutes.ch : «C'est le début de la fin pour Donald Trump»

20 Minutes.ch : Donald Trump peine avec les fuseaux horaires

20 Minutes.ch : Les provocations de Trump «détruisent» la croissance

20 Minutes.ch : Trump vs James: moqueries sur Twitter

20 Minutes.ch : «Donald Trump utilise le sport pour nous diviser»

etc.

 

 

L’association pro-migrants SOS Méditerranée a reçu des dons en nature de grands médias

En obtenant le label « grande cause », décerné par le Premier ministre, l’association humanitaire a pu obtenir des spots de publicités.

L’association de sauvetage en mer SOS Méditerranée, qui porte assistance aux personnes en détresse en mer, a vu ses campagnes de publicité passées gratuitement à la télévision et à la radio, indique Libération, via son site spécialisé Checknews.

Libération explique ces campagnes gratuites par l’obtention du label « grande cause », obtenu en 2017 par SOS Méditerranée. Il s’agit d’une distinction décernée par le Premier ministre chaque année à une ou plusieurs associations en manque de visibilité. Elle permet d’obtenir des campagnes publicitaires sur les chaînes publiques et certaines chaînes privées, pendant douze mois.

540.000 euros de publicités gratuites

Comme Libération le rappelle, il existe deux types de campagnes :
- des campagnes « payantes ». Les chaînes publiques diffusent des spots payés par le fond de 100 000 euros attribués par le gouvernement avec le label. Pour SOS Méditerranée, ce fonds s’est réparti de la façon suivante : 70 000 euros pour les campagnes télévisuelles et 30 000 euros pour les campagnes à la radio.
- des campagnes gracieuses sur les chaînes publiques et privées : ces dernières offrent la diffusion à l’ONG.

L’association n’a donc en soi rien reçu comme argent des médias français, explique Libération. Ceci étant, si elle avait dû payer les spots publicitaires gracieusement diffusés par les médias, le coût total aurait été de 540 828 euros. Les médias ont donc offert ces publicités gratuitement, mais n’ont jamais financé SOS Méditerranée.

Le quotidien fait aussi la liste des médias qui ont participé :

- Dons en nature valorisés dans nos comptes : Amaury Media (L’EQUIPE TV) CANAL+ (VICELAND, Planete +, Comedie +, Infosport +, Non stop people, Campagne TV) IP France (RTL) Lagardère Publicité (Europe 1, Virgin radio, RFM, RFM TV, VIRGIN radio TV, Elle Girl) M6 (6TER, W9) NRJ (NRJ12, NRJ hits, Station 25, NRJ, Chérie 25, Nostalgie, Rires et Chansons) REGIS (Mangas, TREK, Animaux, Toute l’Histoire, Sciences et Vie TV, Chasse et Pêche, AB Moteurs, AB1) TF1

- Dons en nature non valorisés dans nos comptes : France 2 France 3 NEXT (RMC, BFM Business) Nova Régie (Radio Nova, TSF Jazz) Radio France (France info, France inter, France bleu) Skyrégie (SKYROCK)

Nisrine Yadini, directrice administrative et financière de SOS Méditerranée France a indiqué que l’association n’était « pas intervenue » dans le processus de négociation avec les chaînes. C’est le service d’information du gouvernement qui s’en est occupé. Libération précise qu’il ne s’agit donc pas de militantisme de la part des médias, étant donné que le label grande cause constitue justement à se faire diffuser.

Valeurs Actuelles

Nos remerciements à Jean-Pascal Cattin

Massacre au couteau de Lübeck. Les médias romands refusent de publier l’origine iranienne de l’agresseur.

Christian Hofer : Nous parlions de cette agression abominable déjà ici.

La Suisse Romande semble être la seule région d'Europe où l'information n'est plus traitée que d'un seul point de vue. Lausanne Cités, subventionné par le biais de la gauche et le Matin, soutenu par les jeunes socialistes, ont démontré ce qu'est devenue notre presse politisée à l'extrême.

Pendant ce temps, les médias français dans leur grande majorité - et pourtant généralement de gauche - ont stipulé l'origine de ce criminel.

C'est le cas notamment du Parisien, qui n'hésite pas à parler d'un germano-iranien.

Francetvinfo, Reuters. le Figaro, ou encore Le Daupiné mentionnent également cette information.

Il n'y a guère que les médias romands, RTS en tête, qui la passent sous silence.

La RTS va même plus loin puisque ce média met en exergue que c'est un "Allemand" sans aucune mention ni rectificatif, plus de 17 heures après les faits. Aucun rappel non plus des attentats islamistes passés afin de ne pas faire "d'amalgames" ni d'instiller un quelconque doute sur le véritable pédigrée de l'individu. Y a bon la redevance obligatoire!

 

 

Les Suisses qui ont voté aveuglément pour une redevance ad aeternam, sans garde-fous, sont pleinement responsables de ce genre de dérapage. En définitive, ils reçoivent l'information qu'ils méritent.

Quant aux autres "médias romands", ils reprennent le texte qu'un torchon comme Libération publie. A savoir un vague rappel concernant les attentats, afin d'aiguiller légèrement le lecteur sur une possible naturalisation du criminel "peut-être né à l'étranger", et ceci afin de se prémunir d'une information future qui attesterait d'un attentat. Il s'agit de sauver ses fesses sans faire le jeu de "l'extrême-droite". Un superbe exercice d'équilibriste.

 

Le 20 minutes.ch

Le Matin

La Tribune de Genève

Le 24 Heures

 

Vous noterez également la fameuse diversité d'information dont nos journaux se vantent tant.

On ne s'étonnera guère que cette gauche milite sans arrêt pour la naturalisation. Vous en voyez les conséquences désirées dans ce cas symbolique: une culpabilisation infondée des autochtones tout en cachant les méfaits de la naturalisation et de la criminalité importée. Je vous laisse également deviner dans quelles statistiques ce crime odieux va être classé. Le fameux amalgame que les bien-pensants prétendent combattre est une notion qu'ils utilisent sans aucune retenue... lorsqu'il s'agit des Européens.

 

 

 

 

Suisse : le lâchage de la presse écrite interpelle

Syndicats, éditeurs et Parti socialiste se sont émus du retrait de la presse écrite au profit de la radio et de la télévision.

[…] Les éditeurs, le PS et les syndicats saluent la loi sur les médias, mise en consultation mercredi, mais déplorent le lâchage de la presse écrite au profit de l'audio-visuel. Le PLR et le PDC affichent un soutien plus modéré, tandis que l'UDC et l'USAM disent non.

Le PS et Syndicom et le Syndicat suisse des mass médias (SSM) appellent au maintien d'une aide générale aux prestations journalistiques pour soutenir les médias imprimés. […]

«Une offre de médias diversifiée et de haute qualité dans toutes les régions du pays est une condition préalable indispensable au bon fonctionnement de la démocratie», souligne Géraldine Savary, conseillère aux États (PS/VD). […]

Selon eux, la presse reste le plus grand contributeur à la formation des opinions dans le débat démocratique. Les fonds publicitaires siphonés par Google et Facebook manquent pour la création de contenu journalistique en Suisse, poursuivent les éditeurs. […]

Le PLR soutient le projet du Conseil fédéral, qui a repris une partie de nos revendications, a précisé le conseiller national Hughes Hiltpold (PLR/GE). Le Genevois synthétise la position de son parti par l'expression de «scepticisme bienveillant».

[…] L'UDC défendra une non-entrée en matière devant le Parlement, a indiqué le conseiller national zurichois Gregor Rutz, jugeant le projet de loi inutile.

Médias en ligne

Le PS, les éditeurs et les syndicats saluent le fait que les médias en ligne fassent l'objet d'une nouvelle aide. L'UDC, le PLR et l'USAM sont en revanche opposés à l'extension des subventions aux médias électroniques. […]

Diversité médiatique

Pour le PLR, l'objectif central de la nouvelle loi sur les médias reste d'assurer une vaste diversité dans le paysage médiatique suisse. La SSR a ici un rôle important à tenir. L'offre de service public de la SSR doit cependant être mieux définie dans le cadre de la nouvelle loi sur les médias, en mettant l'accent sur le contenu essentiel du mandat de service. […]

Article entier : Le Matin

Quelques commentaires de lecteurs :

Michel GASSER : Etant moi aussi du 3e âge, la lecture informatique de la presse ne me pose pas de problème comme le prouvent mes interventions quotidiennes. Par contre, je préfère boire mon café ou ma bière au bistrot avec un vrai journal sur la table, plutôt que devoir m'encombrer d'une tablette ou d'un smartphone.

Michel Fehr : Emus...voila voila, ça promet déjà des actions émouvantes non ?

Alain Bovett : C'est simplement lamentable. L'ère informatique, même si elle devient plus facile à utiliser, reste encore trop souvent inaccessible est encore trop éloignée et compliquée pour ces vénérables personnes que sont celles du 3ème âge. Pourtant, elles ont autant le droit que quiconque, d'avoir accès à ce genre d'information.

Gilles Crettenand : M. Bovet, vous sous-estimez nos aînés. Pour avoir travaillé en EMS, j'ai connu de vénérables petites dames qui maîtrisaient les moyens de communication et de paiements modernes nettement mieux que les jeunes.

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Rappel : éditorial de Grégoire Nappey, rédacteur en chef du «Matin», 4 mars 2018 :

[…] Près d'un tiers des Suisses est suffisamment insatisfait de l’actuelle organisation du service public audiovisuel dans ce pays pour avoir voté oui à «No Billag». Sans compter ceux qui, bien que mécontents, ont tout de même voté non. C’est déjà énorme et l’échec de l’initiative ne doit pas, surtout pas, masquer cette réalité que Berne n’a pas voulu voir jusqu’ici.

[…] Plus que jamais sur la sellette, la SSR ne sort pas indemne d’une expérience où, avant les sondages fiables des dernières semaines, elle a bien cru que sa dernière heure était venue. Une cure d’amaigrissement va lui être imposée, sans doute violente. C’est le premier effet «No Billag».

Le deuxième doit être plus profond. Le problème n’est pas forcément que dans les réponses que l’on veut amener, mais aussi dans les questions que l’on pose. Désormais il y en a une, fondamentale: qu’est-ce que le service public? Associée à une autre, tout aussi importante: que veut le public (au sens du type de contenu mais aussi de ce qu’il est prêt à payer et à qui pour s’informer et se divertir, dans un mode de consommation numérisé qui a fait exploser le concept de «grille de programme»)?

Si Doris Leuthard est sur le départ comme on l’entend çà et là, c’est à son successeur (peut-être Simonetta Sommaruga?) qu’il incombera de sentir ce besoin de redéfinition claire et d’adaptation à l’évolution technologique. […]

Article entier : Le Matin

 

Bernard de La Villardière : «Une certaine caste médiatique disqualifie toute opinion divergente»

FIGAROVOX/TRIBUNE - Bernard de La Villardière revient sur le «clash» qui l'a opposé sur C8 aux chroniqueurs de l'émission de Cyril Hanouna. Il regrette l'impossibilité d'aborder certaines questions dans un débat médiatique qui tourne à vide. Il venait pourtant parler de femmes qui se battent pour leurs droits au Sud de la Méditerranée.

Politique médiatique: passer des paroles aux actes

Communiqué de presse UDC Suisse, le 4 mars 2018

Comme prévu, l'initiative populaire "Oui à la suppression des redevances radio et télévision" a été rejetée par le peuple et les cantons. Les discussions durant la campagne de votation ont cependant révélé que presque toutes les parties concernées constatent un net besoin de réforme de la législation médiatique, soit en particulier une réduction de l'impôt sur les médias et une limitation du mandat de service public de la SSR. Il est évident aux yeux de l'UDC, qu'il est désormais grand temps de passer des paroles aux actes.

C'est également grâce aux pressions massives de la SSR, de nombreux journalistes, mais aussi d'artistes qui profitent du produit des redevances de réception que l'initiative populaire "Oui à la suppression des redevances radio et télévision (suppression des redevances Billag)" a été refusée par le peuple et les cantons. Une fois de plus, un lobbying massif, financé notamment par le produit de redevance, a été mis en scène, par exemple dans le magazine "Link" de l'association supportant la SSR en Suisse alémanique (cf. "AZ", 5.2.2018).

Il est maintenant grand temps de passer des paroles aux actes et d'appliquer les nombreuses promesses faites avant la votation. Selon le président du PDC, le conseiller national Gerhard Pfister, il faut désormais "ouvrir un débat sur le service public ainsi que sur les dimensions et l'orientation matérielle de la SSR" ("Tages-Anzeiger" du 25.1.2018). Jürg Grossen, président du Parti des Verts-Libéraux, s'est prononcé en faveur d'un "service public fort dans le domaine de la télévision", mais il voit des possibilités de réduction dans les secteurs du divertissement et du sport ("Tages-Anzeiger" du 25.1.2018). Selon Bernhard Guhl du PBD, la SSR doit se concentrer sur la radio et la télévision alors que "les activités en ligne doivent être réduites" (nau.ch, 17.1.2018). Petra Gössi, présidente du PLR, estime elle aussi que la "SSR ne peut pas continuer de croître année après année". Elle aurait été favorable à un contreprojet à l'initiative "No-Billag" (watson.ch, 18.1.2018). Dans son document de fond sur la politique médiatique, le PLR réclame la libération des entreprises du paiement de la redevance.

Jean-Michel Cina, président de la SSR, a promis qu'"il n’y aura pas de tabou dans les réformes à venir de la SSR" ("Le Nouvelliste", 9.2.2018). Selon Ladina Heimgartner, directrice générale adjointe de la SSR, il est évident que "la SSR doit dégraisser" (Medien-Club, SRF, 16.1.2018). La conseillère fédérale Doris Leuthard a repris cette idée et elle s'est déclarée favorable à une baisse à 300 francs de la taxe par ménage (20min, 18.1.2018). Concernant le financement de la SSR, son directeur général, Gilles Marchand, s'est dit prêt à présenter des variantes: "Nous sommes prêts à travailler, à proposer des variantes" (Le Temps, 6.1.2018).

Le groupe UDC s'est déjà prononcé durant le débat parlementaire pour un contreprojet ramenant l'impôt médiatique à 200 francs et libérant les entreprises de ce prélèvement. Les discussions sur l'initiative "No-Billag" confirment la justesse de cette position. Dans le but d'ouvrir un débat réellement utile sur le service public, l'UDC postule les points suivants:

  1. La révision de l'ORTV doit être suspendue. Il s'agit en premier lieu d'ouvrir un débat sur le futur mandat de la SSR. De plus, il faut, comme exigé par la CTT-CN, trouver une solution conforme aux lois du marché concernant les données médiatiques de Swisscom avant de permettre à la SSR de faire en exclusivité de la publicité ciblée.
  2. La révision de la concession de la SSR doit être suspendue. La concession actuelle doit être prolongée jusqu'en 2020. Lors de la formulation de la nouvelle concession, il faudra prendre en compte les postulats 17.3628 (réexamen du nombre d'émetteurs SSR) et 15.3618 (respect du principe de subsidiarité). De plus, il faut donner au Parlement un droit de participation.
  3. Dans les mois à venir il faut enfin mener un débat fondé sur le service public.
  4. La préparation d'une nouvelle loi sur les médias doit être abandonnée. Ce projet est en effet inutile. Les mesures de dérégulation nécessaires peuvent être prises dans le cadre d'une révision partielle de l'ORTV.
  5. De nouveaux flux financiers et de nouvelles subventions (parts supplémentaires au produit de la redevance, extension de l'offre de service public) doivent absolument être évités.
  6. L'impôt médiatique par ménage doit être abaissé à 300 francs (in. parl. Natalie Rickli). Parallèlement, les entreprises doivent être libérées de l'impôt sur les médias (in. parl. Gregor Rutz).

Les personnes suivantes sont volontiers à votre disposition pour répondre à vos questions:

  • Natalie Rickli, conseillère nationale 079 635 45 74
  • Gregor Rutz, conseiller national 079 220 54 39
  • Manfred Bühler, conseiller national 078 717 81 17
  • Jean-François Rime, conseiller national 079 230 24 03

 

La manipulation mentale, une arme de destruction massive de notre démocratie directe et participative

Par PD. Dr. méd. Dominique Schwander

Les manipulateurs pervers narcissiques représentent 2 à 3 % de la population occidentale et les psychopathes 1%. Ils sont parmi nous. Des élus, des politiques et, évidemment, des spécialistes en communication, des meneurs de campagne électorale nous manipulent, sans être nécessairement des pervers narcissiques ou des psychopathes. Tous ces gens, les mass médias et leur intelligentsia journalistique qui a trahi sa mission de leader informateur, font des efforts conscients pour manipuler de manière éhontée l’opinion publique et les électeurs. Nous sommes tous plus ou moins manipulés car nous sommes tous humains et donc manipulables.

 

Les techniques et stratégies de manipulation mentale sont exercées individuellement, par exemple dans une famille ou sur le lieu de travail. Sun Tzu, Mahomet, Pavlov, Schopenhauer, Goebbels, Bernais, Chomsky, Bush, Obama, le couple Clinton, Merkel, Erdogan, Macron, Leuthard, Sommaruga, Berset, Darbellay, etc, étaient/sont des adeptes de la manipulation de masse. Les techniques de manipulations de masse sont exercées sur une population à des fins politiques, idéologiques, religieuses, économiques ou militaires. Depuis Sun Tzu, les armées et les dictatures ont toutes leur manuel de manipulation et de diversion, par exemple l’armée des USA: « Silent weapons for quiets wars". Operations Research Technical Manual TW-SW7905.1.1979. Et bien sûr tant de gouvernements, pas seulement de pays musulmans et de dictatures, ont peur de laisser un libre penseur, un individu critique, voir une partie du peuple Souverain développer leurs propres sphères d’influence, ce qui risque de remettre en question les fondements de la société et leur pouvoir mais surtout créerait des changements sociaux remettant en cause la légitimité, le statut et les avantages d’élus carriéristes et de hauts fonctionnaires.

 

Les autorités qui manipulent un peuple ne mènent pas une vie exemplaire sur le plan moral, bien au contraire. A force d’être manipulé, tôt ou tard, le peuple  laisse un régime autoritaire puis une dictature être instaurés. Les supporters de cette dictature manipulent à loisir, profitent de la situation, la corruption se généralise et contamine toute la société, de bas en haut. Ils oublient vite que, dès que la classe dominante cesse d’être un symbole des valeurs éthiques, sa chute devient inévitable, même si cela prend beaucoup de temps. Finalement, comme on peut l’observer en Afrique et en Amérique latine, les entrepreneurs et les élus font l’apologie de la corruption en affirmant que grâce à elle l’économie est florissante et le produit national brut augmente chaque année. Promus dans la caste aux côtés d’oligarques enrichis ou rêvant de le devenir, ils ne voient plus que, sauf quelques exceptions semblables à eux, la classe moyenne s’appauvrit, le pouvoir d’achat baisse plus que le PIB augmente, les pauvres augmentent, sont prêts à  écouter un groupe d’aristocrates de l’esprit communistes et à les soutenir afin de rompre sciemment avec le démocratisme ploutocrate, corrompu et exploiteur.

 

Ci-après une liste non-exhaustive de comportements, de stratégies, de tactiques et de techniques de manipulation mentale, dénommée aussi sujétion psychologique, dont l’objectif est toujours de contrôler notre perception de la réalité en prenant le contrôle psychique du sujet manipulé, qu’il est plus juste de nommer la victime:

 

    • Le gaslighting est une tactique de manipulation mentale qui consiste à déformer ou à fausser le récit des évènements de manière à faire douter la victime de sa mémoire, de sa perception et de son équilibre psychique, par exemple l’électeur, une femme maltraitée ou un Donald Trump. Cette tactique s’appuie sur la dissonance cognitive, c’est-à-dire le conflit entre deux différentes informations, entre deux pensées contraires, entre deux opinions. Le déni de la réalité et du contenu intolérant, meurtrier et impératif du coran et des autres textes musulmans « sacro-saints » est une telle manipulation mensongère entretenue par des élus islamo-collabos, angéliques ou idiots utiles. Pour ces derniers en déni, l’islam-idéologie est une religion de paix, de tolérance et de bonheur. Pour les autres, qui ont pris connaissance du coran, des hadiths, etc, et qui observent la réalité quotidienne autour d’eux, c’est une idéologie guerrière, militante, envahissante, d’une autre temporalité et irrationnelle.
    • Manipulation du langage: les idéologues et les politiques doctrinaires manipulent le langage. Par exemple l’islam-idéologie est très proche du communisme et du socialisme par leur manipulation du langage.
    • Jouer sur l’émotion est une technique classique pour empêcher toute analyse rationnelle d’une situation. On fait appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion. C’est ce que font quotidiennement les présentateurs à la télévision, des élus, des imams, plutôt que d’essayer d’apporter des faits, des explications objectives, une observation  impartiale et d’encourager les spectateurs et les gens à analyser et à raisonner avant qu’ils choisissent ou décident par eux-mêmes. Manipuler ou susciter des émotions permet d’accéder à l’inconscient et au moi narrateur des individus, à influencer les gens dans leurs idées, leurs peurs individuelles ou collectives, leurs désirs, par exemple le paradis pornographique de Allah et de sa superstar Mahomet. Ce faisant les manipulateurs nous suggèrent des comportements et des décisions que nous croyons venir du plus profond de  notre être, alors que ce n’est pas le cas.
    • La stratégie de la diversion et de la distraction est très utilisée et très efficace. Elle détourne l’attention du public des vrais problèmes pour lui imposer à la place du superflu insignifiant que l’on met savamment en scène dans les émissions d’actualité traitées dans les mass médias. Le réchauffement climatique, la possession légale d’armes, « panem et circenses » de la Rome antique, les manifestations sportives actuelles, les rituels de l’islam-idéologie, le pas d’amalgame, en sont des exemples quotidiens.
    • La stratégie de l’homme de paille ou sophisme de l’épouvantail est très utilisée en politique et en islam. Elle représente de manière fausse ou exagérée, de façon absurde ou irrationnelle, vos propres pensées et sentiments. Cela finit par invalider totalement notre droit à avoir ou à exprimer des pensées, des émotions, une opinion ou un vote et finalement nous avons des doutes, culpabilisons et changeons d’avis. Les pervers narcissiques, les psychopathes essayent de représenter nos opinions, nos émotions et nos expériences vécues de manière fausse, absurde ou irrationnelle afin de convaincre les autres que nous avons nous des défauts de caractère et sommes irrationnels.
    • Traiter les gens comme des enfants: des émissions grand public ou de la publicité s’adressent à nous comme à des enfants, ce qui génère des réactions émotionnelles « cool » du public confronté en réalité à de graves problèmes qui sont ainsi minimisés, vu qu’ils suscitent bien peu de réactions.
    • Maintenir les gens dans l’ignorance sous prétexte que les gens qui savent sont dangereux, menacent l’équilibre du système en place, de l’établissement politico-économique, religieux ou idéologique. Toute dictature, tout gouvernement autoritaire et/ou théocratique maintiennent l’instruction publique et l’éducation à un niveau très bas. Cela fait partie des techniques pour que des systèmes autoritaires, (Inquisition par exemple), idéologiques (islam-idéologie par exemple) ou corrompus (nation africaine ou sud-américaine), perdurent. C’est attristant. En réalité, l’instruction publique et les mass médias sont les deux secteurs à partir desquels le monde pourrait devenir, sans corruption ni violence, renouvelé et élevé moralement. L’instruction publique nourrit ou empoisonne l’esprit de l’enfant. Les mass médias nourrissent ou empoisonnent l’esprit de l’adulte. De nos jours, l’école et les mass médias sont tous deux aux mains d’une gauche dénuée d’esprit: les remettre aux mains de l’esprit et de la raison serait la plus haute tâche de toute politique idéale, de toute révolution idéale
    • Encourager la médiocrité en érigeant au rang de valeurs, la bêtise, la vulgarité, la sexualisation de tout, l’ignorance, voir un rap idiot, grossier et sexuel ou les émissions de télé-réalité. Plus la chanteuse est vulgaire, sexualisée et désinhibée, plus elle est adulée et considérée une superstar. On encourage le public à se complaire dans la médiocrité puis à élire des médiocres.
    • La stratégie du différé ajourne une mesure impopulaire en la présentant comme une concession équitable, le port du voile islamique ou du burkini, la viande halal. On nous fait accepter finalement telle mesure parce qu’elle ne nous affecterait pas directement ou dans l’immédiat.
    • La stratégie du problème/solution clé en main consiste à faire croire au public que beaucoup de situations ou événements présentés comme aléatoires ou liés au hasard (par exemple le réchauffement climatique), répondent à une logique implacable. Cette manœuvre fait que la  solution apportée qui serait parfaitement inacceptable en temps normal, est non seulement acceptée mais également plébiscitée par ceux-là mêmes qui en feront les frais. Par exemple, en brûlant des cierges et en diminuant les libertés l’une après l’autre, suite à un acte terroriste musulman, en ayant du lait dans nos veines et pas du vitriol comme le terroriste musulman, nous transformons petit à petit une démocratie en une démocrature.
    • Le manipulateur emploie différentes formes de menaces, de chantage et d’abus mental pour prendre un ou des individus en otage. Il essaye de vous terrifier pour que vous soyez toujours en accord avec lui. C’est ce qui se passe dans les zones de non-droit dites aussi zones islamisées de France, de Suède, etc. Dans le monde des manipulateurs, les pervers narcissiques sont les seules personnes à avoir raison, et tout autre avis ou menace pour leur supériorité entraîne leur rage.
    • Culpabiliser l’esprit de révolte ou d’indignation: en inversant les valeurs dans un Etat-nation, en culpabilisant le révolté et l’indigné, en les tenant pour responsables de leurs peines ou malheur, en leurs faisant accepter progressivement une mauvaise image de soi, les manipulateurs dépriment et inhibent toute nouvelle action. La révolte et l’indignation sont alors remplacées par la culpabilité.
    • Si le manipulateur n’arrive pas à modifier la manière dont vous vous percevez vous-même et vous vous exprimez en public, il cherche, par des campagnes de rabaissement public, de diffamation et d’harcèlement à contrôler et à changer la manière dont les autres personnes vous perçoivent. La diabolisation ad hiltlerum ou traiter d’extrême droite un élu de droite, Christophe Blocher ou Donald Trump, est devenue, depuis Staline, une pratique émotionnelle courante de la politique guerrière que mène la gauche et les partis qui lui sont soumis. Depuis des années, de telles frappes préventives manipulatrices sont faites quotidiennement contre le Front national français et les partis populistes de droite.
    • La triangulation est une technique très utilisée par de nos élus avant les votations concernant une initiative, Elle consiste à faire intervenir l’opinion réelle ou supposée, voire la menace d’une tierce personne, faiseur d’opinion, relais d’opinion, ancien élu, professeur d’université, guide religieux, etc, ou même le public lors d’un débat publique ou télévisé, tout en invalidant en même temps la réaction légitime des  victimes face à l’abus.
    • Le manipulateur est toujours obsédé à maintenir un contrôle permanent des moindres petits aspects de votre vie et de vos émotions. A ce faire, il va même inventer des situations de conflit, afin de vous déstabiliser et de vous affaiblir. Ainsi l’islam-idéologie gère chaque facette de la vie du musulman pratiquant, ne lui laisse aucun espace de liberté, condamne tout individualisme et glorifie son oumma.
    • La projection mentale est un mécanisme de défense des manipulateurs. Ainsi depuis XIV siècles les musulmans utilisent les juifs et Israel comme bouc émissaire et recourent à leur victimisation expiatoire pour justifier leurs razzias, leurs attaques, leurs guerres asymétriques ou hybrides et leurs actes terroristes. Ce faisant, les musulmans manipulateurs déplacent leurs responsabilités, refusent de reconnaître leurs torts et d’assumer leurs actes.
    • Attaqué le manipulateur, par exemple tel Tariq Ramadan, utilise des stratagèmes élaborés, employant des biais cognitifs, des sophismes, des arguments fallacieux et la taqyia de la nébuleuse musulmane, soit une conversation absurde et irrationnelle. Ces stratagèmes lui permettent de crier au complot, de gagner le débat, de manipuler et de vaincre l’adversaire, d’avoir toujours le dernier mot, même en ayant complètement tort. Nombres de manipulateurs dans les débats, plutôt que de prendre le temps d’examiner attentivement différentes perspectives, généralisent tous vos propos et arguments en faisant des discours généralisants qui ne reconnaissent pas les nuances.
    • Le conditionnement destructeur pratiqué par le manipulateur nous conditionne lentement et durablement parce que, en particulier, il craint tout ce que nous aimons d’autre, à part lui qui s’estime le meilleur. Nos élus eurolâtres et nos bruxellisés s’adonnent à ce travers manipulateur
    • La stratégie du dégradé est classique; quand l’addition est trop lourde, on fait plusieurs tickets. Voyez Berset avec l’AVS, les retraites vieillesse et l’assurance maladie et accident ou les revendications et exigences croissantes des immigrants musulmans.
    • Créer des problèmes, puis offrir des solutions. Le problème peut être par exemple une « false flag operation ». Les raisons données par les Français et leurs alliés pour s’ingérer militairement en Iraq et en Syrie furent des manipulations mensongères bien pires que celles données par les USA de Bush pour s’ingérer militairement en Iraq.
    • Finalement la stratégie et la technique de l’avenir: connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes. Les techniques de pointe en algorithmes, en intelligence artificielle, en biologie, en neurobiologie, en génétique, en psychologie appliquée, par exemple concernant le moi narrateur, toutes exploitées par face de plouc, WhatsApp et autres réseaux « sociaux » scrutinateurs-surveilleurs-contrôleurs-espions apporteront tant de connaissances nouvelles sur la femme, l’homme, la société et leurs fonctionnements, que l’individu lui même ne se connait pas aussi bien que ceux qui ont accès à ce savoir, tout particulièrement aux puissants algorithmes nous concernant. Si nous ne réagissons pas, si nous ne faisons pas de meilleurs choix, ce nouveau savoir représentera un pouvoir et un outil de contrôle puissants et autoritaires pour tous ceux qui ont un intérêt à manipuler les autres et se seront donnés ces nouveaux moyens. Avant une prochaine votation, vous aurez dans votre inconscient, qui face de plouc a décidé que vous choisissiez. Comme l’a écrit en 1925  le visionnaire Comte autrichien R. N. Coudenhove-Kalergi dans son livre « Idéalisme pratique, noblesse, technique, pacifisme »:  « La technique sans l’éthique mène aussi bien à des catastrophes que l’éthique sans la technique. L’éthique et la technique doivent se compléter, doivent avancer ensemble, se réfléchir et se conscientiser ensemble. »Actuellement, chez nous, c’est la télévision, puis l’islam-idéologie, puis les élus eurolâtres et autres bruxellisés, qui contribuent le plus à la manipulation mentale de masse. C’est pourquoi, nos élus de gauche se félicitent que nos chaînes nationales accaparent la quasi totalité, soit beaucoup plus que 1 milliard de CHF, des redevances que tous les citoyens suisses payons ; une bonne raison de voter oui à l’initiative NO BILLAG, de libéraliser et de privatiser le marché de la télévision et de la radio. Notre télévision nationale coûte très cher au peuple et est vraiment mauvaise. Pour le prix que paie chaque famille et même (!) nos entreprises notre télévision est une misère. Les Espagnols et les latino-américains ont deux termes imagés et métaphoriques pour qualifier une télévision comme notre nationale: « telebasura » soit téléordure ou mieux encore « TV chatarra » soit TV ferraille ou TV débris, la « comida chatarra » étant la malbouffe. Nos coûteuses chaînes de télévision nationales ne sont-elles pas une fort coûteuse TV malbouffe contre laquelle nous devons réagir avec fermeté et indignation. 
  • Notre télévision suisse pollue notre mental et celui de nos enfants avec des émissions de plus en plus bêtes et addictives. Elle suggère des idées pauvres, des façons de penser irrationnelles, une inculture, un faux savoir et un tas de choses à consommer. Elle est devenue si mauvaise qu’elle n’incite pas à la réflexion.
  • Il n’y a pas de vrais débats à la télévision. Les débats ne sont plus présidés et dirigés par une personne impartiale et cultivée.
  • Les invités sont toujours des soit-disants experts qui débitent et débitent comme des journaux pisses-copie, de façon mal dissimulée, une vérité dictée par l’idéologie, une tendance politique le plus souvent de gauche, l’argent, ou le pouvoir, mais bien évidemment jamais discutable.
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  • Notre télévision nationale est devenue l’art de perdre du  temps; moins pour les entrepreneurs qui sont eux beaucoup plus axés sur la lecture que la classe ouvrière et les enfants et moins pour les jeunes devenus accrocs au réseaux sociaux et à l’internet.
  • Notre télévision, comme notre presse quotidienne, est un flot ininterrompu d’informations inutiles, sur lesquelles le téléspectateur/lecteur n’a pas d’influence, contrairement aux sites web de réinformation qui publient les nombreux commentaires des internautes. Donald Trump, disant ce qu’il pense et faisant tant d’efforts pour faire ce qu’il a promis avant d’être élu, est passé par là: les journaux quotidiens tel le poubelliste, le liberticide, autres bidonneurs et canards aux accroches, angles, scoops, audience douteux et équivoques, qui ont rien d’interactif, parce que leur redac’chef qui se met en photo en première page refuse de publier les lettres d’opinion et même les articles de lecteurs qui lui paraissent politiquement incorrects, prendront un bouillon puis feront faillite et seules les futures chaînes de télévision privées qui seront vraiment interactives survivront. Réjouissons-nous, la chaîne CNN manipulatrice et tellement menteuse a perdu 30 % de ses annonceurs, les finances du New York Times et du Chicago Tribune, que nos quotidiens copient fidèlement le lendemain matin, vont mal.
  • L’information est tronquée, et manipulée parce que quelques oligarques, la caste pseudo-aristocratique de l’argent, détiennent la très grande majorité des mass médias du monde entier, tous supports confondus. Si bien que ceux qui gobent cette  « info » ne savent plus ce qui se passe réellement dans leur canton, dans leur pays et dans le monde. Ils vivent dans le récit d’un monde factice qui désigne ses gentils et ses méchants au gré des intérêts politiques, idéologiques, économiques et militaires du moment.
  • Notre télévision nationale est la reine de la désinformation. Pour être désinformé rien de rien de tel qu’écouter quotidiennement « les infos » et les « nouvelles ».
  • Notre télévision rend étroit d’esprit et ramollit le cerveau. L’information est déversée tel quelle dans notre cerveau. Nous ingurgitons tout ce que les journaleux ripeurs nous versent. Nous entendons tout le temps les mêmes choses et à longueur de journée (chômage, précarité, immigrés, catastrophes et tant de futilités) à tel point que nous pensons que c’est le seul point de vue viable, que c’est la vérité et finalement nous ne mettons même pas en doute ce que nous entendons et voyons ni ne nous viendrait à l’esprit de soupçonner l’existence d’autres points de vue.
  • A la télévision, la publicité est toujours présente, importante et primordiale. Ce neuromarketing nous fait consommer d’avantage et mal. En outre, toutes ces émissions de télévision subventionnées par les citoyens-contribuables sont pensées et choisies pour mettre le téléspectateur-consommateur dans la meilleure disposition mentale possible pour avaler tant les messages publicitaires que les affirmations et conclusions partiales de journalistes de gauche, de la caste à la Soros et de dits experts.
  • Des études ont montré que l’obésité augmente même chez les enfants à mesure des heures quotidiennes passées devant la télévision et que la télévision est mauvaise pour la santé.Succomber au pouvoir de séduction, de suggestion, de persuasion et de soumission volontaire ou non, des manipulateurs mentaux est facile; c’est même inévitable si nous n’y prêtons pas une attention soutenue et quotidienne. Bien informés, nous sommes des citoyens; mal informés, nous devenons des sujets puis des soumis. Citoyens du peuple Souverain suisse, reprenons tous le contrôle de notre propre vie et de notre cerveau pour revendiquer un monde meilleur, tout simplement; pour cela, le 4 mars prochain, ne nous laissons plus être manipulés par nos dispendieuses chaînes TV malbouffe, leurs bien trop nombreux employés qui luttent pour leur juteux fond de commerce et leurs supporters.
  • .

PD. Dr. méd. Dominique Schwander

DROGUES : LES BOBARDS DES MÉDIAS-SOROS

STUPÉFIANTS, anticipation et autruches médiatiques

Par Xavier Raufer

Dix ans bientôt : le "Livre blanc de défense et sécurité nationale" paraît en juin 2008. Ces livres blancs sont d'usage sobres et lisses, mais avec véhémence, celui de 2008 appelle à l'an-ti-ci-pa-tion, saint-Graal de la défense à venir. "Anticipation... base de notre stratégie... très haute priorité... première ligne de défense... fondement d'une nouvelle doctrine" : hors de là, point de salut. Depuis, dans la vraie vie, notre appareil de défense-sécurité a-t-il appris à anticiper ?

Mohamed Merah et autres fanatiques, tueries de Charlie-Hebdo, du Bataclan, etc. ? Raté. Les blitzkriege de Poutine, Crimée puis violente reconquête de la Syrie ? Raté encore. La mutation du gang salafiste d'abu Musab al-Zarqawi en un terrible "Etat islamique" ayant, vers 2014, plus de blindés que l'armée française ? L'explosion ravageuse du cyber-crime ?

Rien vu ni prévu. Faute à qui ? D'abord, aux architectes du Livre blanc - ignorant que le besoin d'un dispositif ou produit nouveau, un vaccin contre le Sida par exemple, n'induit pas sa faisabilité rapide. Vouloir anticiper n'est pas savoir le faire - tant d'obstacles existent sur cette route-là.

Le premier pour mémoire, car souvent dénoncé par l'auteur : les cyber-arnaques du big data-police-justice prédictive, etc. Pas plus qu'à l'ère d'Aristote, l'incertitude n'est aujourd'hui modélisable. Un jour peut-être, grâce à la physique quantique, mais demain matin, non.

Reste l'obstacle majeur à l'anticipation, au décèlement précoce des dangers et menaces : l'aveuglement médiatique. Définissons-le à partir d'un exemple précis, les stupéfiants, la toxicomanie.

Sous la présidence Hollande, le gros de notre presse d'information fut bradée à deux milliardaires, menant désormais d'une main de fer des empires médiatiques Uberisés. Ce, non pour informer les lecteurs, mais pour leur vendre le capitalisme libertaire à la Soros, ici défini comme DGSI (Davos-Goldman-Sachs-Idéologie).

Pour pulvériser la société à leur profit, Soros, filou-financier souvent condamné et ses complices milliardaires-libertaires glauques, prônent la libéralisation des drogues. Leur plan : créer la panique médiatique autour du cannabis. Vite, libéralisons ! Demain sera trop tard. D'où, le matraquage du Monde et de Libération sur la toxicomanie galopante en France et en Europe, que seule la libéralisation du cannabis saurait contrôler et encadrer.

Or c'est faux : en Europe, l'usage de toutes les drogues, héroïne, amphétamines, cocaïne cannabis, etc., baisse désormais - surtout là où ses ravages étaient les pires. En septembre 2012, le Daily Mail titre - inutile de traduire "Drugs are going out of fashion dramatic fall in usage since 1996". En 2012 aussi, le World Drug Report signale qu'en Europe, l'usage de l'héroïne et de la cocaïne est en "baisse sensible", le cannabis étant, lui, "stable ou déclinant". Même constat dans le rapport Europe-2013 de l'Office français des drogues et de la toxicomanie (OFDT). En France ? Dès 2013, l'OFDT signale que, chez les jeunes de 17 ans, le cannabis recule. L'usage régulier (10 fois par mois) a même diminué de moitié de 2002 à 2011, de 12% à 6 % des 17 ans - signal fort : là sont les usagers de demain.

Conséquence du recul des drogues en Europe, marché mondial N°1, 24 milliards d'euros par an dit l'Office européen des drogues et de la toxicomanie (OEDT): pour les cartels et mafias, une baisse de 15% de ce marché signifie perdre 3,5 milliards d'euros par an. Or dans le féroce milieu criminel, le chef n'enrichissant plus sa meute est éliminé. Ainsi et dès 2012, les criminologues alertent : les "parrains" inventifs se ruent sur des trafics palliatifs, êtres humains, contrefaçons, cyber-crime, etc. De fait, ces activités criminelles ravageant la société, la santé publique, etc., explosent depuis lors.

Si, au lieu de gober les bobards-DGSI, notre appareil de sécurité avait ciblé à temps ces nouveaux périls criminels, il aurait attaqué le mal à sa racine - c'est cela, anticiper - au lieu d'attendre passivement, comme c'est le cas, que le mal soit fait.

Aujourd'hui, ce recul de la toxicomanie éclate au grand jour.

La 9e enquête OFDT-Escapad établit que, dans la cruciale catégorie des 17 ans, l'usage du cannabis est au plus bas depuis 2000 ; de 2014 à 2017, le nombre de ces jeunes fumant du hasch baisse de 9%. Les amphétamines et la cocaïne ? 8,8% en usent en 2014 chez les 17 ans, 6,8% début 2018.

Du bout des lèvres mais bien tard, les médias-DGSI l'avouent désormais.

Or pourquoi libéraliser des drogues dont l'usage baisse de lui-même ? Voilà la vraie question. Et la tâche des officiels est désormais claire : affronter les menaces criminelles émergentes, au lieu d'écouter des sornettes médiatiques.

Xavier Raufer

Entretien avec Pierre Cassen sur la situation du contre-pouvoir médiatique en France

La situation de Pierre Cassen est un exemple parmi d'autres car la situation de la liberté de la presse en France est catastrophale. Le CSA, la commission de la carte d'identité des journalistes professionnels, même l'Elysée, déterminent qui a le droit de porter la carte de presse ! C'est inédit dans un pays qui donne des leçons de démocratie dans le monde.

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Les médias régionaux n’ont pas de plan B

"Une bonne partie des radios et TV régionales risquent de disparaître si l'initiative «No Billag» est acceptée."

Couverture d'élections communales, événements sportifs locaux, expositions villageoises: ces offres sont directement menacées par l'initiative «No Billag», ont clamé vendredi les radios et TV régionales. Le public doit en être conscient avant d'aller voter le 4 mars.

Plus d'un million d'auditeurs écoutent chaque jour une radio locale. On compte autant de téléspectateurs curieux de l'actualité près de chez eux. En cas d'acceptation de «No Billag», une grande partie de ce public serait privée de ces prestations. [...]

En Suisse romande, si l'initiative passe, «seules quatre radios régionales continueront d'être exploitées au lieu des douze actuelles et des cinq chaînes TV. Partout ailleurs, ce sera la fin des programmes», a illustré Philippe Zahno, président des Radios Régionales Romandes (RRR).

[…] L'exemple de Canal 9 en Valais est parlant: de 1984 à 2014, les ménages ont payé 36 francs par an via la facture d'électricité et de raccordement au câble pour deux heures d'émission par jour. Les rentrées se montaient entre 1,8 et 2,5 millions de francs par an.

En 2015, ce système a été abandonné pour passer à un système d'abonnement. A peine 8000 ménages sur 143'000 ont payé et les rentrées ont chuté à 300'000 francs par an. Résultat, la chaîne s'est séparée de cinq collaborateurs, a fermé son bureau à Martigny et a réduit son émission à une heure quotidienne.

[...]

D'autres systèmes par cartes de paiement dans le Jura n'ont pas non plus fonctionné. [...]

Pour les représentants des radios et TV locales, l'initiative émane de personnes qui n'ont aucune idée du fonctionnement des médias locaux. En cas de oui, le démantèlement suivrait très rapidement, soit dès le 1er janvier 2019, a martelé Philippe Zahno. […] (ats/nxp)

12.01.2018

source:

https://www.tdg.ch/suisse/

Quand l’AFP confirme la tyrannie médiatique à propos des migrants

(Breizh-info.com) – « Migrants: la presse approuve le pape et craint la surdité des croyants ». Tel est le titre révélateur d’une dépêche de l’AFP (Agence France Presse) parue le 26 décembre après les propos – contestés par de nombreux catholiques – tenus par le Pape François à propos des migrants à l’occasion de son homélie de Noël.

L’AFP confirme ainsi la tyrannie médiatique qui est à l’oeuvre aujourd’hui en France – tout en laissant coi les observateurs qui s’inquiètent d’une généralisation de la pensée unique dans la presse subventionnée française, «presse d’État», disent certains.

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Médias: les moutons ont repris du service

Par Mireille Vallette

C'est reparti! Après s'être plongés avec avidité dans les révélations de Saïda Keller Messahli, les journalistes se tournent à nouveau, sans l'ombre d’une question critique, vers l'Évangile selon Sainte Martine.

Je donnais deux mois aux médias pour qu'ils reprennent leur habituelle défense des activistes musulmans. J'étais optimiste. Tous ont découvert le caractère salafiste des imams et responsables musulmans avec l'ouvrage de Saïda Keller Messahli «La Suisse plaque tournante islamiste». Tous ont présenté ces révélations début septembre à leur public comme la vérité vraie.

Et voilà qu'à l'occasion de la journée à l'uni de Fribourg sur le thème «Hostilité envers les musulmans: société, médias, politique», la présidente de la Commission fédérale contre le racisme Martine Brunschwig Graf envoie un communiqué à toute la république médiatique. Il met l'accent sur le terrible fléau décrit par tous les intervenants. Rappelons que ce jour-là, l'université a failli lamentablement à sa prétention d'être un lieu de débat.

A la réception du communiqué, la quasi totalité des journalistes résument ou font une complaisante interview de la présidente. Aucun ne pose cette simple question: l’hostilité (par ailleurs bien modeste si l'on en croit les chiffres avancés ce jour-là) n'est-elle pas due, entre autres, à toutes ces associations, ces mosquées, ces imams qui propagent un islam archaïque, misogyne et intolérant, et qui revendiquent à tout va pour imposer leurs préceptes? Non, les disciples de Pavlov ont répété sans l'ombre d'une question dérangeante le catéchisme de Dame Brunschwig.

Je n'ai découvert que quelques jours plus tard un article de la Basler Zeitung. Il remet en question les déclarations de Fribourg et notamment de Martine Brunschwig Graf (MBG) et de ses collaborateurs. Il montre que:

- Les chiffres contredisent le ton alarmiste de la Commission fédérale contre le racisme.

- Le nombre de consultations pour discrimination a reculé entre 2015 et 2016, de 53 à 31 (pour 30 «centres    d'écoute et de conseil»!). MBG parle de 48, mais elle arrive à ce chiffre en comptant les discriminations liées à l'origine arabe et non à la religion. En plus, 4 de ces cas ont été comptés à double.

- Un expert a présenté une recherche au colloque montrant qu'1 article de journal sur 5 fait des «généralisations» sur les musulmans. En augmentation jusqu'en 2009, en recul depuis.

En résumé (le mien), les chiffres qui annoncent une évolution positive sont tus, ce qui alimente la victimisation des musulmans et leur hostilité envers notre société.

Je n'ai pas vu l'article de la Basler Zeitung dans le superbe répertoire publié sur son site par la CFR. Un oubli ?

médias-pro-muzz

 

Mireille Vallette, le 25 septembre 2017

 

Intégration: les médias ont enfin compris!

Par Mireille Vallette

...Que l'adaptation des disciples d'Allah à notre culture, c'est l'adaptation de notre culture à la leur.

"L'intégration des immigrés musulmans progresse"

genève-muzz

Titre et illustration: Tribune de Genève, 24 août 2017

 

"L'intégration des musulmans progresse en Europe"

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Titre et illustration: Radio romande, 25 août 2017 

A Bienne, des musulmans particulièrement intégrés préviennent la radicalisation

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Non, ce n'est pas cette dame qui doit être déradicalisée, c'est elle qui empêche les filles de se radicaliser.

Naïma Serroukh, est l'instigatrice du  projet de prévention de la radicalisation Tasamouh (tolérance, pardon et réconciliation), terme qui ne veut rien dire pour un musulman et qui contrairement à ce que raconte la dame ne figure pas dans le Coran, dixit Sami Aldeeb qui a fait une recherche pointue). Et même pour un francophone, la signification est plutôt opaque: qui tolère quoi ou qui? qui pardonne quoi à qui? qui se réconcilie avec qui ou quoi? Mais ces termes plaisent tant aux autorités biennoises qui soutiennent le projet!

Créé en 2016, ce mouvement entend faire intervenir des médiateurs (diplômés... par Bienne et Tasamouh) dans les écoles, les centres de jeunesse et les mosquées. Marocaine d’origine, installée près de Bienne depuis près de vingt ans, Naïma Serrouk habite le même village que l'imam qui souhaite la destruction des non-musulmans. Comment elle et son mouvement n'ont-ils rien remarqué? La Radio du Jura Bernois lui a posé la question. Réponse:

 

« Si on va prendre des textes comme ça coupés de leur contexte et on va le proposer à n’importe qui alors on va arrêter tous les imams de la Suisse hein, parce que c’est des propos qui se disent dans une salle de prière relatif à un sujet qui était traité ce jour-là et c’est pas quelque chose qu’on va dire, à partir de là on va dire que cette personne est radicale… Peut-être trop conservateur, peut-être dans un discours… classique. Mais pas d’aller dans cette vision de la radicalisation. (...) quand on entend ça comme je l'ai fait hier à la télé ou dans les journaux, comme j’ai dit, coupés de leur contexte ça fait peur (..) c’est des spécialistes qui doivent analyser ça, pas donner comme ça des paroles à la population; y a la parole, y a l’action… est-ce qu’il y a de l’action derrière ça?»

 

Encore une preuve que l'intégration des musulmans d'Europe et de Suisse progresse à la vitesse grand V. Grâce entre autres à l'exceptionnelle lucidité des autorités.

 Source : blog de Mireille Vallette

 

 

Grosse plantée des médias mainstream !

Ci-dessus, la photo de Shiva Ayyadurai, candidat aux sénatoriales du Massachussetts

 

Nos lecteurs nous demandent de publier. Merci à Michel Piccand

1) La version biaisée de la RTS et de la presse main Stream qui parlent d'une manifestation anti-raciste pour contrer un groupe prétendument raciste et d'extrême droite :

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2) La réalité est tout autre... Le rassemblement que l'on voit ci-dessous dans un square (kiosque), concerne la campagne de Shiva Ayyadurai, un candidat républicain aux sénatoriales du Massachusset, d'origine indienne. Dans son discours il remercie l'Amérique de lui avoir donné l'opportunité de pouvoir étudier, lui dont la famille, en Inde, faisait partie de la caste des Intouchables.

On peut lire sur les pancartes "Black lives do matter" qui signifie "La vie des Noirs compte". Pour des racistes qualifiés de nazis, c'est étrange, isn't it ?

Allemagne: les crimes des “réfugiés” ont explosé. Les médias allemands ont menti, chiffres officiels à l’appui.

La statistique policière sur la criminalité (PKS) pour l'année 2016 fournit des faits explosifs au sujet des crimes des « réfugiés ».

L'auteur Ines Laufer s'est immergée dans les profondeurs des statistiques afin de traiter les faits d'une manière compréhensible et vérifiable pour tous:

Il y a un mois, le ministre de l'Intérieur, Thomas de Maizière, a présenté la très attendue Statistique policière sur la criminalité (PKS) pour l'année 2016 et j'étais impatiente de l'avoir afin de pouvoir décrire le développement de la criminalité dans notre pays et la présenter.

Les résultats de mon analyse sont visibles ci-dessous, et je les ai comparés aux déclarations des médias populaires.

À titre d'exemple, je me concentre ici sur le Huffington Post - qui selon ses propres données atteint mensuellement 4 millions de lecteurs dans les pays germanophones.

1. La criminalité des « réfugiés » en comparaison à celle des « autochtones »

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HuffPost février 2017:

« Au cours des derniers mois, l'Allemagne a débattu à maintes reprises pour savoir à quel point les migrants et les réfugiés sont criminels.

Jusqu'à maintenant, le bilan s'établissait ainsi: En moyenne, ils ne commettent pas plus de délits que la population locale et le nombre de cas est en baisse ».

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Les faits identifiables dans les statistiques criminelles

En 2016, les demandeurs d'asile (= « réfugiés ») étaient en terme de criminalité globale plus de 600% davantage criminels que les Allemands (y compris les Allemands criminels issus de l'immigration et les détenteurs de la double nationalité). Ils étaient aussi deux fois plus criminels que tous les autres criminels étrangers:

Dans une population de 100'000 Allemands, il y a 1'913 suspects.

Dans une population de 100'000 étrangers, il a y a 6'847 suspects.

Dans une population de 100'000 "réfugiés" (1), il y a 13'930 suspects (sans prendre en compte les délits concernant la loi sur l'immigration)

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Dans le cas de la criminalité violente, les «réfugiés» étaient 1400% davantage criminels que les Allemands (2) Le facteur entre les Allemands et les demandeurs d'asile est de 15,1 et entre les Allemands et les étrangers, il est de 5.

Dans une population de 100'000 demandeurs d'asile, le ratio de suspects de crimes violents est de 1'400% en comparaison avec une population de 100'000 Allemands.

Dans une population de 100'000 étrangers, le ratio de suspect de crimes violents est de 400% en comparaison avec une population de 100'000 Allemands.

Gewaltkriminalität

Concernant le terme « suspects », il est à noter qu'il s'agit d'individus dont la police a bien déterminé leur implication et qui sont ensuite remis à la justice pour procès.

Par conséquent, les différences énormes de la criminalité sont également prises en compte dans la répartition des prisonniers.

Par exemple, en 2016 à Baden Württemberg sur 100'000 Allemands, 41 auteurs ont été condamnés. Et sur 100'000 étrangers, 201 délinquants ont été condamnés - 5 fois plus.

Voici un aperçu des différents secteurs de la criminalité où les étrangers et les requérants d'asile ont été à chaque fois davantage criminels que les Allemands (en 2016).

Vergleich der Faktoren

Requérants d'asile :

Viols collectifs 42,7
Viols et agressions sexuelles 15,2
Criminalité violente 15,1

Concernant le délit de « viol collectif » le facteur, par exemple, est de 42,7. Les demandeurs d'asile ont ainsi été plus de 4000% davantage criminels que les Allemands concernant ce délit.

Concernant les blessures corporelles graves, les demandeurs d'asile ont été plus de 1400% davantage criminels que les Allemands.

 

gefährliche und schwere KV

2. Développement des « crimes des réfugiés »

 

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La version du HuffPost en décembre 2016:

« Les populistes de droite instrumentalisent..., afin de démontrer qu'il y a véritablement davantage de criminalité depuis la crise migratoire en Allemagne.

A présent, les chiffres prouvent enfin que ceux qui prétendent que ce ne sont pas complètement des cas isolés ont tort: Selon un rapport de situation confidentiel de la police fédérale allemande, les délits commis par les réfugiés ou pour lesquels les migrants ont été suspectés ont baissé fortement ».

Et en février 2017, le HuffPost déclarait:

« Le nombre des délits concernant l'atteinte à la vie tout comme les abus sexuels oscille à un niveau peu élevé.

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Les faits concrets en comparaison avec les statistiques criminelles de 2015 et 2016:

La criminalité globale a légèrement baissé en 2016 par rapport à l'année précédente. Ceci est dû au fait que les Allemands se sont montrés considérablement plus discrets en ce qui concerne la criminalité.

En contrepartie, la criminalité des demandeurs d'asile (= « réfugiés ») a littéralement explosé. Elle a augmenté de près de 60 % par rapport à l'année précédente (hors violations de la loi sur l'immigration), alors que l'augmentation des demandeurs d'asile a été au maximum de 25%. (3)

Concernant les délits violents tels que les assassinats, le nombre de suspects des demandeurs d'asile a augmenté de 100%, alors qu'il a baissé chez les Allemands de 6%. Le nombre d'Allemands assassinés a augmenté de près de 20% - une augmentation dont seuls les migrants sont responsables.

Pour les délits d'abus sexuels, le nombre de suspects « réfugiés » a augmenté de 120%, alors qu'il a baissé de 2,6% chez les Allemands.

Quant aux viols collectifs, le nombre de suspects allemands (avec une origine immigrée) a baissé de près de 10%, alors qu'il y a une augmentation de 130% de suspects "réfugiés" appréhendés.

Le nombre de cas détectés a presque doublé par rapport à 2015, le nombre des victimes allemandes a augmenté de près de 120%. (4)

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3. La criminalité des Syrien, des Irakiens et des Afghans

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La version du HuffPost du 07 février 2017:

« Les Syriens, les Afghans et les Irakiens commettent proportionnellement aux autres migrants relativement peu d'infractions pénales.

********************

Les faits basés sur les statistiques PKS de 2016, tableau 62 (Infractions pénales et suspects de nationalité non allemande):

Au sujet des infractions concernant les attouchements sexuels qui portent particulièrement atteinte au sentiment de sécurité des femmes, les Afghans, les Irakiens et les Syriens dépassent même la criminalité élevée des Africains du nord (Nafris), comme le précise le graphique :

Vergleich_Nationalität_gegen die sexuelle Selbstbestimmung

Concernant ce délit, le groupe réunissant les Afghans, les Irakiens et les Syriens était non seulement huit fois davantage criminel que les Allemands, mais aussi presque quatre fois plus criminel que tous les autres étrangers et près de 25% plus criminel que les Africains du Nord (Maroc, Algérie et Tunisie).

4. Les déclarations de Thomas de Maizière

Lors de la conférence de presse du 24 avril 2017, Thomas de Maizière a été parfaitement clair concernant l'augmentation importante des délits violents et de la violence sexuelle, soulignant qu'elle a été causée par les migrants (= « réfugiés »), dont la criminalité a augmenté de façon disproportionnée :

 

https://www.youtube.com/watch?v=nTed7tbVRa4

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La version du HuffPost du 24 avril 2017:

« Il y a cependant eu une croissance au-dessus de la moyenne dans le domaine de la criminalité violente: Pour les meurtres et les homicides, une augmentation de plus de 14,3% a été enregistrée, pour le viol et à l’agression sexuelle, l'augmentation se monte à 12,8%.

« Ces chiffres doivent nous causer des soucis à tous, » a déclaré Maizière lundi. Il déplore une brutalisation de la société ».

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Le fait que l'augmentation massive de la criminalité concernant les délits graves a été causée par les « réfugiés » n’est tout simplement pas mentionné – à quelques exceptions près - par tous les médias.

Au lieu de cela, ce qui est suggéré aux lecteurs c'est que l'ensemble de la société - et donc la majorité des Allemands - est le déclencheur de la « brutalisation ».

Même sa déclaration relevant que 80% des victimes « réfugiés » ont été le fait d'autres « réfugiés », a été défigurée par les médias. (...)

Au contraire, la déclaration (du ministre) prouve qu'il y a peu de danger pour l'intégrité corporelle des « réfugiés » de la part de la population locale. Alors qu’à l’inverse, l'augmentation massive du nombre de victimes allemandes (avec un pourcentage en baisse des suspects allemands) pointe la dangerosité de ce groupe de personnes pour les autochtones.

Conclusion

Bien que j'ai choisi de prendre pour cible pour cet article le « HuffPost » en détail, cela aurait tout aussi bien pu être « der Spiegel » ou « die Süddeutsche » ou « der Focus » ou « die Zeit » ou « die Welt » ou « der Stern » ou, ou encore…

Entre les faits de la criminalité extrême des « réfugié » et les publications des médias grand public, il existe un énorme écart.

L’information concernant l'incroyable ampleur, selon laquelle les demandeurs d'asile sont globalement davantage criminels que les Allemands dans le domaine de la criminalité violente ainsi que dans la violence sexuelle, est systématiquement cachée aux gens par les médias courants.

Il devient évident que les gens ne sont pas informés, mais qu’ils sont manipulés, afin de les maintenir seulement sur le chemin du « Refugee-Welcome » prédestiné par la chancelière Merkel et le gouvernement allemand.

 

À cet égard, non seulement des demi-vérités omettant les informations importantes sont diffusées, mais souvent de véritables mensonges.

 

Nous avons affaire ici non seulement à un journalisme d'opinion stupide, mais à de la propagande d'Etat plus solide, telle que la RDA (Nd Schwarze Rose: la République démocratique allemande faisant partie du bloc communiste) n’aurait pu mettre plus minutieusement en scène.

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Source2

Rappel :

Allemagne: Les médias accusés de collaborer à la politique pro migrants de Merkel et de traiter les opposants de racistes

Immigration et manipulation : comment les médias allemands ont falsifié la réalité

 

Par Giampaolo Rossi

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G. Rossi (photo) , journaliste italien ayant étudié l'archéologie, se défini lui-même ainsi : « D’abord et surtout archéologue. Pour cette raison je m’occupe de politique et des médias. J’écris pour Il Giornale. A leurs risques et périls.»

 

 

 

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LES MENTEURS DES REDACTIONS

Ceci est un acte d'accusation sans précédent contre les médias allemands : en pleine urgence migratoire, entre 2015 et 2016, les principaux journaux d'Allemagne ont délibérément falsifié la réalité en publiant une information unilatérale et dénuée de toute critique du phénomène, embrassant exclusivement le point de vue d'Angela Merkel, de son gouvernement et des élites politiques et économiques qui voulaient imposer à l'opinion publique la "culture de l'accueil sans discrimination". L'accusation ne vient pas des habituels polémistes réactionnaires, des blogueurs sans vergogne ou des xénophobes qui servent de prétexte pour empêcher toute opposition au délire du multiculturalisme idéologique. Non. L'accusation vient cette fois  d'une recherche de la Fondation Otto Brenner réalisée par un pool de chercheurs de l’Université de Leipzig et de la Hamburg Media School, recherche coordonnée par le prof. Michael Haller; son titre : "La crise des réfugiés dans les médias". C'est l'étude la plus complète et la plus élaborée méthodologiquement sur ce thème.

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UNE ÉTUDE RAVAGEUSE

Cette recherche a analysé plus de 30.000 articles des principaux journaux nationaux et régionaux allemands entre 2015 et 2016. Plus de 200 pages de chiffres et de statistiques détaillés sur les articles des journaux Süddeutsche Zeitung, Frankfurter Allgemeine Zeitung, Die Welt, Bild, ainsi que sur des publications en ligne et 85 journaux régionaux.

De 2015 à 2016 aucun journal n'a parlé des préoccupations et des peurs d'une partie croissante de la population…

La conclusion est dévastatrice : pendant que Merkel imposait  la “politique des portes ouvertes” aucun éditorial, aucun article concernant le thème de l'immigration "n'a parlé des préoccupations, des peurs et aussi de l'opposition d'une partie croissante de la population". En d'autres mots, c'est comme si, pour les journaux allemands, une partie (probablement majoritaire) de l'opinion publique du pays n'existait pas. Et les rares fois où des journalistes ont essayé de parler de cette partie de l'Allemagne préoccupée par l'immigration, ils l'ont fait "avec une attitude professorale" quand ce n'était pas de façon "méprisante".

celui qui ne s'alignait pas sur le mythe de l'accueil était automatiquement xénophobe ou raciste…

Les journalistes n'ont pas su (ou pas voulu ?) faire une distinction entre les positions vraiment xénophobes et racistes d'une minorité et les préoccupations légitimes et réalistes d'une partie importante de la société allemande face à l'invasion de plus d'un million d'immigrés, invasion voulue par madame Merkel. Et ce sentiment d'insécurité et de peur a été transformé en racisme et en intolérance, sinon en retard culturel. En somme, l'habituel et stupide snobisme des ménestrels de l'élite européenne.

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QUELQUES DONNEES

Pour comprendre de quelle façon les journaux allemands ont manipulé l'opinion publique il suffit d'examiner quelques données qui émergent de cette étude : entre le printemps 2015 et le printemps 2016, dans les trois principaux quotidiens du pays, seuls 4% des articles étaient consacrés à une interview et seuls 6% rapportaient des données objectives. Un article sur cinq était un éditorial exprimant l'opinion des rédactions, "un chiffre étonnamment haut". Dans le classement des personnalités entendues ou citées sur ce thème, deux sur trois étaient des politiciens gouvernementaux ou de partis favorables à l'immigration; seuls 9% étaient des représentants de la justice (officiers des forces de l'ordre, magistrats, juges ou avocats) ont été entendus sur les thèmes liés à l'ordre public et à peine 3,5% de chercheurs et d'experts du multiculturalisme, du droit de la famille dans les sociétés islamiques ou du rapport entre sunnites et chiites.

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"L'ACCUEUIL" : LE MOT MAGIQUE

L'histoire construite autour de la définition de “Willkommenskultur” ou de la Culture de l'Accueil tellement chère, en Italie, à Boldrini, à Saviano et aux exégètes de la pensée Sorosienne est un cas emblématique.

les journaux ont transfiguré le concept d'Accueil, le transformant en mot magique…

D'après l'étude, les journaux allemands ont “transfiguré le concept d'Accueil”, le transformant en “obligation morale (…) une sorte de parole magique” pour convaincre les citoyens "à se tourner vers une activité de bons Samaritains envers les nouveaux arrivants". Pendant toute la période de 2015, et une bonne partie de 2016,  83% des contenus journalistiques ont mis l'accent sur le concept d'Accueil, tout en cachant l'existence d'une toujours plus grande partie de la population devenant sceptique et méfiante envers la Willkommenskultur.  150906-germany-migrants-hg-1149_c84baa1a147301b74ce5ddd8010c9694.nbcnews-ux-2880-1000Et quand la moralisation ne fonctionne plus, les habituels techniciens et experts imposent,  (comme en Italie), cette recette pseudo-économique : "l'Allemagne a besoin de centaines de milliers de travailleurs pour lutter contre le vieillissement de la population"; donc ceux qui ne veulent pas les accueillir font le malheur de l'Allemagne. Et ainsi, pendant que les journaux surexposaient les manifestations de "bienvenue" au migrants, ils cachaient les manifestations contre l'accueil qui se déroulaient dans de nombreuses villes allemandes.

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CONCLUSION SANS APPEL 

Certes, la recherche a ses limites; elle n'a, par exemple, pas pris en considération l'information de la télévision car cela aurait requis une étude beaucoup plus complexe sur le rapport existant entre les images et les mots. Mais l'idée générale est claire. Selon Michael Haller, le directeur de recherche, les journalistes allemands "ont ignoré leur rôle professionnel et leur rôle d'informateurs dans les moyens de communication" utilisant "trop de sentimentalisme bisounours" et posant "trop peu de questions critiques aux responsables de ces décisions". Cela a contribué à générer une profonde division dans l'opinion publique allemande et contribué à jeter un discrédit total sur le monde de l'information. Jupp Legrand, directeur de la Fondation Brenner, a précisé que cette recherche montre "une crise structurelle de la presse soi-disant mainstream" car "la réalité décrite par les journalistes était très éloignée de ce que vivaient chaque jour leurs lecteurs". Une façon élégante et neutre pour dénoncer le fait que les vraies "fake news" en Occident se trouvent dans les rédactions des grands journaux du pouvoir économique et culturel.

En ces jours où, en Europe, l'échec du multiculturalisme progressiste se dévoile, où, même en Italie, on se rend compte de la stupidité avec laquelle une classe politique irresponsable et criminelle a affronté le thème de l'immigration, où le dessein criminel construit autour d'un projet d'immigration voulue est toujours plus évident, une information correcte est vitale pour une démocratie.

ET EN ITALIE ?

Si on devait faire une recherche similaire en Italie, les résultats seraient probablement les mêmes : chez nous aussi, depuis des années, les grands journaux ont agi de la même façon que les journaux allemands, criminalisant ceux qui ne se couchent pas devant la pensée dominante et ignorant les voix dissidentes par rapport à la vision idyllique de l'immigration.

Pourtant actuellement, il semblerait que le climat change. Par chance, quand les grands journaux donnent la parole aux intellectuels et leurs profondes réflexions, l'irréalité idéologique, comme d'habitude, s'impose et verse quasiment dans la stupidité. Mais quand ils se limitent à raconter des faits, alors la vérité [...] émerge impétueusement. Et là, les Saviano, les Boldrini ne seront pas assez nombreux pour travestir la réalité.


Su Twitter: @GiampaoloRossi Source en italien / traduction D. Borer pour lesobservateurs.ch