Lübeck (All.) : Cenk massacre une mère de famille à coups de couteau

Note : "Cenk" étant un prénom d'origine turque.

Bien évidemment, aucun "racisme" n'est à déplorer lorsque cela se fait dans ce sens.


À Lübeck, Cenk G. (29 ans) a poignardé la mère de deux enfants, Bianca G. (27 ), dans un immeuble.

Les coroners ont déterminé que la jeune mère était morte par une "multitude de coups de couteau".

Il semblerait que les deux personnes aient mis fin à leur relation il y a trois semaines, Bianca étant partie avec un nouvel homme, Tim B.

Sur la photo, l'ex-petit ami Cenk (29 ans) est assis sur les marches devant l'immeuble de Lübeck avec un pantalon taché de sang après le crime. Il est en train de parler avec le nouveau petit ami de Bianca G.

 

 

 

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Bild.de / Facebook du Bild / Thesun.co.uk

Lübeck (All.) : un Turc accusé de viol, d’enlèvement et de tentative de meurtre sur une étudiante. Il est également accusé d’un deuxième enlèvement.

La police a arrêté un suspect dans l'affaire de l'étudiante ligotée qui a été retrouvée le 12 octobre sur un chemin de terre isolé près de Mönkhagen (district de Stormarn) dans le Schleswig-Holstein.

Entre-temps, on a également appris que l'étudiante avait été violée. Le ministère public enquête sur une tentative de meurtre, comme l'a déclaré le porte-parole Christian Braunwarth.

Vendredi matin, les agents d'une patrouille civile ont arrêté un Turc de 43 ans dans les environs de Lübeck Lohmühle, selon le ministère public et la police. Le tribunal de district compétent a délivré un mandat d'arrêt.

L'homme arrêté est accusé d'un autre crime : Il aurait enlevé une jeune femme de 25 ans tôt le matin du 26 septembre. Cependant, l'habitante de Lübeck a pu se libérer et s'enfuir.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

Massacre au couteau de Lübeck. Les médias romands refusent de publier l’origine iranienne de l’agresseur.

Christian Hofer : Nous parlions de cette agression abominable déjà ici.

La Suisse Romande semble être la seule région d'Europe où l'information n'est plus traitée que d'un seul point de vue. Lausanne Cités, subventionné par le biais de la gauche et le Matin, soutenu par les jeunes socialistes, ont démontré ce qu'est devenue notre presse politisée à l'extrême.

Pendant ce temps, les médias français dans leur grande majorité - et pourtant généralement de gauche - ont stipulé l'origine de ce criminel.

C'est le cas notamment du Parisien, qui n'hésite pas à parler d'un germano-iranien.

Francetvinfo, Reuters. le Figaro, ou encore Le Daupiné mentionnent également cette information.

Il n'y a guère que les médias romands, RTS en tête, qui la passent sous silence.

La RTS va même plus loin puisque ce média met en exergue que c'est un "Allemand" sans aucune mention ni rectificatif, plus de 17 heures après les faits. Aucun rappel non plus des attentats islamistes passés afin de ne pas faire "d'amalgames" ni d'instiller un quelconque doute sur le véritable pédigrée de l'individu. Y a bon la redevance obligatoire!

 

 

Les Suisses qui ont voté aveuglément pour une redevance ad aeternam, sans garde-fous, sont pleinement responsables de ce genre de dérapage. En définitive, ils reçoivent l'information qu'ils méritent.

Quant aux autres "médias romands", ils reprennent le texte qu'un torchon comme Libération publie. A savoir un vague rappel concernant les attentats, afin d'aiguiller légèrement le lecteur sur une possible naturalisation du criminel "peut-être né à l'étranger", et ceci afin de se prémunir d'une information future qui attesterait d'un attentat. Il s'agit de sauver ses fesses sans faire le jeu de "l'extrême-droite". Un superbe exercice d'équilibriste.

 

Le 20 minutes.ch

Le Matin

La Tribune de Genève

Le 24 Heures

 

Vous noterez également la fameuse diversité d'information dont nos journaux se vantent tant.

On ne s'étonnera guère que cette gauche milite sans arrêt pour la naturalisation. Vous en voyez les conséquences désirées dans ce cas symbolique: une culpabilisation infondée des autochtones tout en cachant les méfaits de la naturalisation et de la criminalité importée. Je vous laisse également deviner dans quelles statistiques ce crime odieux va être classé. Le fameux amalgame que les bien-pensants prétendent combattre est une notion qu'ils utilisent sans aucune retenue... lorsqu'il s'agit des Européens.

 

 

 

 

Dans le nord de l’Allemagne, le mélange explosif entre migrants et dealers génère de vives violences

La ville de Lübeck est de plus en plus fréquemment en proie à des violences liées à la drogue et impliquant des migrants. Avec l'arrivée de plusieurs dizaines de milliers d'entre eux dans la région, les dealers ont trouvé une aubaine pour recruter.

La police de Lübeck, dans le Land de Schleswig-Holstein, à la frontière dano-allemande, tire la sonnette d'alarme face à la recrudescence du trafic de drogues et de violences qui y sont liées. Parmi ces derniers, nombreux sont ceux qui tenteraient en effet de s'implanter dans le marché local de la drogue.

Le Schleswig-Holsteinischer Zeitung note que le nombre de rixes de rue à Lübeck a explosé depuis moins de deux mois : cette cité médiévale de 200 000 habitants a été le théâtre de pas moins de douze affrontements depuis début mai, impliquant parfois jusqu'à vingt individus. Plusieurs personnes ont été blessées par des coups de couteaux lors de ces combats. Stefan Muhtz, porte-parole de la direction de la police municipale, commente : «Nous savons avec certitude que certaines de ces violences ont un lien avec le milieu de la drogue.» Les témoins rapportent que les individus impliqués sont souvent des migrants nord-africains ou venus du Moyen-Orient.

Les policiers lübeckois constatent en effet que les migrants sont de plus en plus nombreux à fréquenter les lieux de vente, notamment «autour de la porte de Holstein et de la gare routière», explique Stefan Muhtz. «La consommation de drogues dures et le trafic sont en pleine croissance», ajoute-t-il, confirmant ainsi la tendance nationale – plus de 1 300 personnes sont mortes de leur consommation de drogues en 2016, soit 9% de plus que l'année précédente. Ces phénomènes ont également été observés dans d'autres villes de la région, comme Kiel.

A quelques kilomètres de là, à Ostholstein, une quinzaine d'individus se sont récemment affrontés au moyen de matraques, de poignards et de poings américains. Sur la place du marché, d'ordinaire paisible, la violence était extrême selon les témoins. Parmi les blessés, un jeune kurde de 20 ans, qui a témoigné auprès du Schleswig-Holsteinischer Zeitung : «Les agresseurs étaient des dealers bien connus, et pas seulement des migrants.» Alors que le milieu de la drogue dans la région était jusque-là dominé par les Allemands d'origine russe, l'arrivée depuis 2014 de près de 75 000 migrants dans ce Land septentrional d'Allemagne semble donner lieu à des luttes d'influence, à mesure que certains d'entre eux se tournent vers le trafic pour tenter de gagner un peu d'argent.

Comment les migrants ont-ils accès à la marchandise qu'ils revendent ? Christian Braunwarth, porte-parole du parquet de Lübeck, explique que certains dealers infiltrent directement les structures d'accueil de migrants et contactent de manière ciblée certains individus pour les recruter «en tant que mules ou revendeurs de rue». «Ce sont malheureusement les classes les plus fragiles économiquement qui sont les plus visées par ce genre de recrutement», déplore-t-il.

Source

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet