Je vous ai signalé hier, grâce à une information transmise par une lectrice, la profanation musulmane contre une église orthodoxe en Crète. Une recherche matinale sur la “toile” me confirme que notre Observatoire a été le premier média en ligne à la signaler. Si notre information a été reprise par une pincée de blogues, aucun support de la große presse n’a daigné y consacrer ne serait-ce qu’un écho…
Cette même große presse a traité jusqu’à plus soif de la « profanation » de la grande mosquée de Perpignan. En fait une croix gammée et un tag peints sur un mur extérieur de l’enceinte de ce lieu de culte – et non pas sur ce lieu de culte lui-même –, inscriptions qui, curieusement reprennent en partie celles déjà apposées sur ce même mur d’enceinte en janvier de cette année : croix gammée (tracée dans le bon sens) et le mot « DEHORS »… Nous verrons bien ce que nous en diront les résultats de l’enquête de police, si ils sont communiqués…
Dans un cas, rien dans la große presse ; dans l’autre, abondance de signalements. C’est assez frustrant, mais ce n’est pas surprenant. Une autre lectrice, que je remercie, m’a signalé hier un excellent papier paru le 13 décembre dernier dans le nom moins excellent Observatoire des journalistes et de l’information médiatique (OJIM). Quelle relation entre ces deux articles me direz-vous ? Pour le savoir, je vous invite à lire le papier de l’OJIM : vous devriez y trouver une réponse à ce deux poids, deux mesures qui traduit souvent, en fait, un déni de réalité.
Le sociologue canadien Mathieu Bock-Côté signait en juillet de cette année, peu de temps après l’attentat de Nice, une tribune dans le Figaro, dans laquelle il dénonçait le fait qu’une « bonne partie du système médiatique active le logiciel du déni d’islamisme après chaque attentat ».
Il expliquait que d’autres pistes que le fanatisme religieux sont souvent mises en avant comme une excuse ou comme un paravent par le « système médiatique » : la piste psychiatrique, la piste de l’exclusion sociale, la théorie de la guerre révolutionnaire.
La moindre importance donnée aux motivations religieuses des auteurs des attentats concerne aussi certains intellectuels français, comme l’a démontré Eugénie Bastié dans un article intitulé « comment les islamistes ont fracturé la vie intellectuelle ». Le journaliste Brice Couturier de son côté relatait lors d’un colloque à l’Assemblée nationale le 5 novembre dernier quelques exemples de ce déni de certains médias dans une intervention intitulée «Les médias malades de la bien-pensance ». Il cite ainsi un de ses collègues d’une radio publique qui y lit son billet chaque jour, et qui s’est vu refuser l’emploi du terme « islamiste » par l’animatrice de l’émission qu’il préparait, le mot « intégriste » semblant plus politiquement correct.
La piste psychiatrique a été largement développée par les médias, puisque maintenant nous n’ignorons rien des orientations sexuelles, apparemment contrariées, des auteurs des attentats de Nice et d’Orlando. Il suffit de faire une requête sur un moteur de recherche pour accéder aux informations dispensées sur ce sujet par de nombreux journaux et chaines de radios et de télévision.
Ainsi, le 19 juillet, une journaliste du site Slates’interroge : « Pourquoi la sexualité de l’auteur de l’attentat de Nice n’est pas anodine ». Le même jour, BFMTV consacre un reportage à l’ « Attentat à Nice : la personnalité trouble de Mohamed Lahouaiej Bouhlel ». Après avoir certes indiqué la soudaine radicalisation du terroriste, le premier chapeau de l’article mentionne cependant « une sexualité débridée ». Le 18 juillet, le site Atlanticoconsacre un article à l’ « Attentat de Nice : la sexualité hors norme de Mohamed Lahouaiej-Bouhlel ». On pourrait multiplier les exemples.
La piste de l’exclusion sociale a quant à elle été souvent mise en avant dans les médias au travers notamment du récit de vie des frères Kouachi. Le site Reporterre enquête le 15 janvier 2015 sur « L’enfance misérable des frères Kouachi ». Un reportage qui semble avoir été coréalisé par Reporterre et Arrêts sur image, et repris par L’Obs. Un thème proche a été traité par Arrêts sur image dans une vidéo mise en ligne le 18 janvier 2016 intitulée « L’insurrection, si elle était là ? ».
Source : OJIM, 13 décembre Via Christianophobie.fr
Henri Charpentier, unanimement respecté comme un grand journaliste dans la profession, s’adresse à Patrick Cohen et Radio France pour critiquer la partialité de ses confrères dans le traitement de l’élection américaine, dans une lettre ouverte.
« Cher confrère,
Je soutiens totalement le journal “Causeur” qui décrit l’exacte vérité sur les dérives de notre radio nationale.
La victoire de Donald Trump, que vous le vouliez ou non, c’est aussi la vôtre car il n’y a aucun doute, à force de “taper” dessus comme tous les confrères bien-pensants de gauche, vous avez fait son bonheur et du même coup le malheur de votre idole Hillary Clinton dont vous avez fait en permanence la campagne.
Désormais, comment voulez-vous être crédibles et même audibles, après une telle gamelle ? Alors pour détourner l’attention, vous dédouaner de vos fautes et erreurs professionnelles répétées, en compagnie de vos invités triés sur le volet pour éreinter le camp républicain, vous accusez maintenant les sondages qui ne vous ont pas permis de prédire cette “surprenante” victoire, selon vous bien sûr. De toute façon, il n’y avait qu’à vous écouter, le succès des Républicains n’était pas possible tant Hillary Clinton, si merveilleuse et si admirable à tous points de vue, était déjà installée, selon vos voeux clairement exprimées, dans le bureau ovale de la Maison Blanche, comme si l’élection n’avait pas lieu d’être et était inutile !!!
Dommage pour vous, l’ouragan Trump est passé par là et a soufflé violemment sur vos belles illusions : 306 grands électeurs en sa faveur contre 232 à Madame Clinton, soit 30 états pour le vainqueur contre 20 seulement à son adversaire malheureuse. Cet échec retentissant, que vous le vouliez ou non, c’est aussi le vôtre.
Une question primordiale se pose aujourd’hui : fait-on du journalisme d’après les sondages ? Non, il suffisait d’aller au coeur de l’Amérique profonde pour deviner que Trump allait l’emporter.
J’ai assez de famille et amis à New York, Denver, Los Angeles, Las Vegas et même à Anchorage pour “sentir” le frémissement d’une importante colère populaire. Vous n’avez rien vu venir car vous avez fait du “journalisme de salon” avec autour de vous, pour pérorer, des intellectuels ou des spécialistes, pratiquement tous inconditionnels partisans de Madame Clinton.
L’information à sens unique vous savez très bien faire… mais parfois, “trop c’est trop” et il ne faut pas prendre les auditeurs et téléspectateurs pour des imbéciles car eux, ils sont quotidiennement en phase avec les réalités économiques et sociales de la vie.
Aujourd’hui, les plus grands journaux américains s’excusent publiquement d’avoir mal fait leur travail. Ils ont le sens de l’honneur.
Mais vous, à France Inter qu’allez-vous faire ou dire à vos auditeurs après un tel fiasco de la part de la rédaction que vous représentez cher ami ? Rien, puisque vous avez toujours raison et que vous détenez la vérité à longueur d’années.
Il y a peu de temps je vous écrivais pour vous dire que vous ne respectiez même pas la plus élémentaire éthique professionnelle. Et vous ne m’avez même pas répondu car bien sûr je ne suis plus rien à vos yeux. Vous oubliez simplement que notre génération de journalistes professionnels a appris que la base du métier ce sont en priorité “les faits, rien que les faits et toujours les faits”. (…)
Dès lors, soit les auteurs de ce rapport n'ont rien compris au phénomène, soit leur unique but est de discréditer les réseaux sociaux afin de rabattre la population sur un contenu payant et politiquement correct en prétextant une qualité d'information qui tient du fantasme. Il est bien clair que pour nos institutions et certains politiciens de gauche, la réinformation qui se construit via tous ces réseaux sociaux pose un énorme problème à leurs mensonges. Par conséquent, le premier élément à connaître porte sur l'idéologie politique qui anime les auteurs d'un tel document ainsi que sur leur financement.
En réalité, c'est bien une plus-value de l'information et un outil alternatif inespéré qui s'offre désormais à la population: La liberté de choix.
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Les médias sociaux, Facebook et Google en tête, contribuent avec les gratuits à un appauvrissement de l'information, selon les auteurs des Annales 2016 sur la qualité des médias.
Les médias sociaux prennent toujours plus d'importance dans les sources d'information de la population. Près d'un quart des jeunes adultes (22%) s'en servent comme source d'information principale.
Au vu de cette offre en ligne souvent gratuite, la qualité et la diversité des nouvelles sont faibles, note l'étude.
Vers une perte de confiance
Vu la proportion de gens peu ou mal informés, "il faut s'attendre à voir la confiance dans le système médiatique diminuer aussi en Suisse à l'avenir".
Selon le rapport, la part de ces "indigents médiatiques" est passée de 21% en 2009 à 31% en 2016. "Leur regard sur le monde (...) les rend réceptifs à la politique populiste basée sur la peur avec ses solutions simples en apparence".
Selon les chercheurs, il est urgent de convaincre les utilisateurs à choisir davantage des offres de bonne qualité quitte à ce qu'elles soient payantes. Or, à peine 10% des personnes disent accepter de payer pour des nouvelles en ligne.
[...] R&N : Vous expliquez justement être, en tant que maire, contraint de signer des demandes de regroupement familial. Quelles sont finalement les possibilités pour un maire de résister quand l’État et les différentes strates du millefeuille administratif sont contre vous ?
Robert Ménard : Le sous-préfet m’a écrit pour me dire que, comme je disais trop souvent non à certains regroupements familiaux ou à l’attribution de cartes de séjour de dix ans, il fallait dorénavant que je justifie les refus. Il ne m’a jamais demandé de justifier les réponses positives… Bien sûr, ma marge de manœuvre est étroite. C’est bien pour cela que je participe – avec ce livre notamment – au débat national. Bien des problèmes auxquels je suis confronté comme maire ne peuvent trouver de solution qu’à Paris ou à Bruxelles. [...]
Robert Ménard : Ce que je veux retenir de Trump, c’est tout d’abord qu’il faut dire les choses telles qu’elles sont. J’entends des commentateurs moquer le fait qu’il n’emploierait que 700 mots dans ses discours. Et alors ? Il emploie les mots des gens. Il faut convaincre les gens avec leurs mots. Quand je m’adresse à mes concitoyens, je ne fais pas une thèse de troisième cycle, je m’adresse à eux avec leurs mots qui, ça tombe bien, sont les miens.
La deuxième chose à retenir, c’est qu’il ne faut prendre aucun gant avec la presse. La presse est contre nous, elle est contre le peuple. [...] Il faut en tirer toutes les conséquences. Demain au pouvoir, il faudra commencer par supprimer toutes les aides publiques à la presse. On verra bien qui survivra, qui répondra aux attentes du public… [...]
R&N : Vous écrivez que les patriotes, s’ils ont le pouvoir, devront agir assez vite.
Robert Ménard : C’est l’expérience que j’ai tirée des erreurs à une toute petite échelle, celle de ma ville : il faut réagir immédiatement. Il ne faut pas hésiter à se séparer d’une partie de ceux qui peuplent la haute administration. Un peu à la manière du système américain.
R&N : Et d’un point de vue législatif ?
Robert Ménard : Je crois qu’il va falloir, dans un premier temps, diriger ce pays par ordonnance. Vous avez vu l’hystérie médiatique entre les deux tours des régionales ? Vous imaginez ce que cela va être entre les deux tours de la présidentielle. Alors si Marine Le Pen l’emporte… Il faudra aller vite et frapper fort !
Grave dérapage sur le média national français. Toutes les normes morales ont été inversées par cette caste répugnante qui prétend donner des leçons. La haine peut se déverser publiquement lorsqu'il s'agit d'une personnalité de droite. C'est même un gage de bonne vertu au sein de cette élite autoproclamée. On comprend mieux pourquoi le racisme anti-Blanc et la violence d'extrême gauche sont escamotés ou minimisés par ces mêmes médias.
France Inter est visiblement très fière de sa trouvaille et l'affiche ostensiblement sur son Tweet. Après tout, les Français ne sont là que pour payer grassement un service public qui se fiche éperdument du respect dû à ses auditeurs.
Bien évidemment, le politiquement correct, sous l'excuse de "l'humour" donne le droit d'insulter, de faire la promotion du meurtre et de la violence tout en prétendant représenter le Bien. Son hypocrisie semble ne pas connaître de limite.
L'édito de Pablo Mira :
"Trump c’est le candidat qui redonne aux Américains l’espoir, l’espoir qu'il soit assassiné avant son investiture." @pabl0mirapic.twitter.com/j2zaPBaJQa
Une surprise. Donald Trump a conquis la Maison-Blanche, assurément. Plus étonnant encore, la victoire du camp républicain s'annonce nette et sans bavure. La veille du scrutin encore, tous les spécialistes, analystes donnaient une légère avance pour Hillary Clinton.
(...)
Le monde des médias est aujourd'hui visé par les critiques. "Les médias traditionnels sont pris à partie parce que, eux non plus, n’avaient rien vu venir", analyse Jean-Bernard Cadier, correspondant BFMTV à Washington. Pis, ils ont largement soutenu la candidate démocrate. Plus de 200 journaux ont pris position pour Hillary Clinton, contre six seulement pour Donald Trump, poursuit le journaliste. A l'annonce des résultats, Vanity Fair s'interroge encore: "Comment ça a pu arriver?"
From the Editors: 2 special edition covers for 2016 election outcomes were produced by a Newsweek licensee, Topix Media, and not by Newsweek pic.twitter.com/MwC4RytGbC
Le prestigieux New York Times, quotidien américain le plus vendu, avait apporté clairement son soutien à la candidate démocrate dans un édito saluant son "intelligence", son "expérience" et "son courage". Même message affiché du côté du Los Angeles Times qui parlait de "catastrophe" si Donald Trump était élu. "Hillary Clinton fera une présidente sobre, brillante et pragmatique", écrivait le quotidien. Le Daily News, à sa manière, dénigrait le Républicain le qualifiant de "seigneur des porcs".
Visiblement la désinformation et les mécanismes de manipulation qu'ils pensaient inébranlables prennent l'eau et la réalité leur est insupportable.
Bien entendu, la remise en question est tout simplement impossible pour eux. Vous ne les verrez jamais avoir un quelconque sentiment de culpabilité.
Enfin, on constate que pour cette élite autoproclamée, "le monde" s'arrête à leur corporation élitiste. On comprend mieux l'immense mépris dont ils font preuve envers le peuple.
Ceci est un simple décompte effectué sur la base des articles du Temps qui prétend informer: J'ai bien essayé de chercher des articles favorables à Trump: il n'y en a quasiment aucun. Les articles neutres (traitant de l'avancée de tel ou tel candidat par exemple) ne sont pas pris en compte.
Il s'avère que l'on est face à une propagande impressionnante, à sens unique. Ici, le décompte des articles effectué se base sur 30 jours (du 22 septembre au 21 octobre 2016) alors que le bourrage de crâne dure depuis de nombreux mois, sans discontinuer.
Qu'ils soient à charge, insultants, jouent sur la peur (ce que les journalistes reprochent hypocritement à l'UDC) ou ridiculisent le candidat républicain, nous avons un florilège d'articles qui démontrent l'arrogance journalistique.
Plus encore, c'est un splendide aveu de leur manipulation qui vise à "éduquer la population" afin que leur idéologie politique s'imprègne dans nos esprits, comme si nous n'étions que des gueux à leur service.
Au-delà de ce parti pris répugnant, on peut se demander si ces journalistes connaissent encore le mot "déontologie".
1. Trump sape la légitimité des élections
Par Stéphane Bussard, publié le
Lors du troisième débat présidentiel, le candidat républicain a souligné une nouvelle fois qu’il n’était pas prêt à reconnaître le verdict des urnes. Pour lui, les médias et la corruption du système électoral œuvrent à sa défaite. Son attitude est condamnée tant par les démocrates que par les républicains
2. Trump-l’œil
Par Séverine Saas, publié le
A l’aube de la présidentielle américaine, la chevelure de Donald Trump s’impose comme la tendance la plus poilante de la saison
3. L’éloquente Michelle Obama accable Donald Trump
Par AFP, publié le
La première dame a éreinté jeudi le candidat républicain à la Maison-Blanche, qui se dit victime de «mensonges éhontés»
4. Donald Trump, cet authentique vaurien révélé dans sa lubricité
Par Joëlle Kuntz, publié le
Les femmes et les filles des Etats-Unis ne s’accordent pas sur le projet d’une présidence féminine. Mais elles éloigneront un prédateur de la Maison-Blanche. L’hypocrisie a du bon
5. L’assaut des médias américains pour stopper Donald Trump
Par Stéphane Bussard, publié le
Depuis quelques semaines, les journaux regorgent d’éditoriaux, de chroniques et de tribunes pour dénoncer la démagogie du candidat républicain à la Maison-Blanche. Même des titres très républicains comme l’Arizona Republic appellent à soutenir Hillary Clinton
6. Donald Trump, l’impunité de l’éphémère
Par Stéphane Bussard et Philippe Mottaz, publié le
Le millionnaire a appuyé toute sa campagne sur les réseaux sociaux, persuadant 14 millions d’Américains de lui donner l’investiture d’un parti dont il n’était même pas un élu. Le livre «#Trump» raconte ce rapt viral, l’irruption d’un candidat surprise qui se prépare à être président des Etats-Unis depuis trente ans. Extrait
7. Berzelius Windrip, ancêtre de Donald Trump?
Par André Clavel, publié le
Dans un récit d’anticipation écrit dans les années 1930, Sinclair Lewis met en scène un démagogue américain qui arrive au pouvoir. (...) Son programme? Désinformation (sic!), censure de la presse, propagande, création d’une milice paramilitaire et de camps de détention où seront expédiés les dissidents. (...)
8. Le hara-kiri des démocraties
Par Frédéric Koller, publié le
Donald Trump est un danger pour la démocratie et son image dans le monde
9. Donald Trump refuse de dire qu’il va respecter le résultat de la présidentielle
Par Stéphane Bussard, publié le
Le candidat républicain aurait dû livrer un excellent débat pour renverser la vapeur lors de cette troisième rencontre télévisée. Il n’y est pas parvenu
10. Donald Trump sort la Silicon Valley de son apolitisme
Par Yves Genier, Palo Alto, publié le
Le candidat républicain horrifie l’industrie technologique, qui redoute la fermeture des frontières qu’il préconise. La Silicon Valley aurait beaucoup à perdre s’il était élu: ses subsides, sa ligne directe avec la Maison-Blanche, et jusqu’à sa vision du monde. Reportage
11. Le «New York Times» publie le témoignage de femmes harcelées par Donald Trump
Par AFP, publié le
Plusieurs femmes ont accusé mercredi Donald Trump de harcèlement sexuel, un nouveau coup dur pour le candidat républicain en difficulté dans la course à la Maison-Blanche même s’il dément. (Nd Christian Hofer: On appréciera le fait que le journaliste se moque éperdument de la présomption d'innocence.)
12. Donald Trump ferait bondir le franc, Hillary Clinton l’affaiblirait
Par Mathilde Farine, publié le
Dans une étude, UBS étudie l’impact de la victoire de l’un ou l’autre candidat à l’élection présidentielle américaine pour l’économie suisse. Elle en conclut, comme d’autres économistes, que celle-ci s’en tirerait mieux avec une victoire démocrate. (Nd Christian Hofer: En clair, pour le bien de notre pays, il faudrait une victoire de Hillary Clinton.)
13. Avec Donald Trump, les républicains craignent une déconfiture au Congrès
Par Valérie de Graffenried, publié le
Outré par les propos du candidat sur les femmes, Paul Ryan, le président républicain de la Chambre des représentants, se détourne de Donald Trump et se concentre sur les élections législatives. Il craint que les républicains ne perdent la majorité au Congrès
14. Coup dur pour Donald Trump, abandonné par le patron des républicains
Par AFP, publié le
«Ecœuré» par les propos dégradants tenus par Donald Trump, le président républicain de la Chambre des représentants Paul Ryan coupe tout lien avec le candidat, se consacrant désormais au sauvetage du Congrès
15. Donald Trump dit vouloir jeter Hillary Clinton en prison s’il est élu
Par Stéphane Bussard, publié le
Le second débat présidentiel s’est déroulé dimanche dans un climat extraordinairement tendu. Donald Trump a fait mieux que prévu après trois jours de chaos provoqué par une vidéo compromettante. Mais Hillary Clinton a montré une attitude plus présidentielle
16. Le coup peut-être fatal asséné par Michelle Obama à Donald Trump
Par Stéphane Bussard, publié le
La First Lady a tenu jeudi à Manchester dans le New Hampshire un discours d’une extraordinaire puissance qui restera sans doute dans l’histoire (sic!) comme un moment crucial de la présidentielle 2016
17. Donald Trump, Marine Le Pen: l’Occident au bord du basculement
Par Joschka Fischer, publié le
L’ancien ministre allemand des affaires étrangères Joschka Fischer dresse un constat pessimiste de la montée des nationalismes en Europe et aux Etats-Unis
18. Donald Trump fait plonger le Parti républicain dans une crise sans précédent
Par Stéphane Bussard, publié le
La diffusion vendredi d’une vidéo montrant le candidat républicain à la Maison-Blanche tenir des propos qui en font, selon les plus critiques, le profil type du «prédateur» et de l’abuseur sexuel n’en finit pas de faire des remous. Une quarantaine de républicains ont retiré leur soutien au candidat et certains lui demandent même d’abandonner la course à la Maison-Blanche
19. La fondation et les impôts de Donald Trump épinglés
Par AFP, publié le
Une nouvelle affaire éclabousse le candidat. Mal enregistrée auprès des autorités, sa fondation pourrait avoir été utilisée à des fins personnelles. Il n’a plus le droit de collecter des fonds à New York
20. Donald Trump pourrait avoir évité de payer des impôts pendant 18 ans
Par Le Temps/AFP, publié le
Le «New York Times» s'est penché sur les déclarations du candidat républicain qui multiplie les casseroles et conclut une semaine désastreuse pour sa campagne
21. Donald Trump est accusé d’avoir violé l’embargo avec Cuba
Par Julie Conti, publié le
L’hebdomadaire «Newsweek» publie une enquête affirmant que le candidat à la présidentielle a fait des affaires avec Cuba en 1999. Alors que c’était une pratique illégale, et qu’il clamait son anticastrisme
22. Paul Krugman: «Avec Trump, la démocratie pourrait se défaire assez vite»
Par Frédéric Koller, publié le
Pour l’économiste américain Paul Krugman, la présidence de Barack Obama a permis d’inverser la révolution néolibérale engagée par Ronald Reagan. Il craint à présent l’élection à la Maison-Blanche d’un homme dont le moteur électoral est le racisme et qui pourrait mettre en danger la démocratie
23. En cas de victoire, Trump serait le «Mussolini américain», juge l’écrivain Douglas Kennedy
Par AFP, publié le
Le romancier américain Douglas Kennedy estime que le phénomène Donald Trump est significatif de «la montée de l’extrême droite partout dans le monde»
24. Michelle Obama, la dignité démocratique
Par Stéphane Bussard, publié le
Dans un discours qui fera date, la First Lady a dénoncé le comportement de Donald Trump avec les femmes. Acculé, le candidat républicain joue l’une de ses dernières cartes: la victimisation
Christian Hofer: Bien entendu, on peut établir le même constat en Suisse Romande via nos médias bien pensants. Ces derniers s'arrogent le droit de choisir ce qui est bien ou mal, manipulent les débats (les protagonistes de droite étant souvent en infériorité numérique, comme lors de l'émission avec Zemmour), imposent une propagande en faveur de la gauche, sélectionnent soigneusement les invités, afin que seule leur idéologie triomphe.
Un dictat qui se fait évidemment avec l'argent du simple péquin. Dans ce cadre, se gaver avec l'argent de ceux qu'ils méprisent, qu'ils considèrent comme inférieurs ne leur pose aucun problème de morale: Une hiérarchisation qui confine au racisme social.
"Pour stopper le FN, notre travail de journaliste, c'est la pédagogie, c'est attaquer le programme sur le fond." @C_Barbierpic.twitter.com/9SapIhyYK7
FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Alors qu'il lance sa propre Web TV en lien avec l'Université populaire de Caen, le philosophe Michel Onfray dresse un réquisitoire sans concession contre des médias devenus symboles de la défaite de la pensée.
Michel ONFRAY. - Pour disposer de temps afin de développer des argumentations et des démonstrations, ce qui est impossible dans un média dans lequel le temps c'est de l'argent. Et souvent: beaucoup d'argent… Dès lors, dans un média classique, ce qui est visé est moins l'information, vraie ou fausse d'ailleurs, que le spectacle susceptible de créer le buzz. Autrement dit, il faut obtenir le maximum de consommateurs devant leur écran à l'heure où le clystère publicitaire se trouve infligé. Or on n'obtient pas un public massif avec de l'argumentation ou de la démonstration, mais avec de la grossièreté ou du dérapage, de l'insulte ou de la haine, du mépris ou de la boxe. Quand jadis Paul Amar apportait sur un plateau une paire de gants de boxe, il montrait ce qu'étaient vraiment les choses. On l'a d'ailleurs congédié pour avoir dénudé le roi. Il faut désormais cogner, en dessous de la ceinture si l'on veut, pour obtenir le vacillement ou le k.-o. de l'adversaire. Ce média que j'initie avec mes amis s'adresse à tous ceux qui veulent prendre le temps d'entendre des arguments sur les questions d'actualité afin de se faire un avis par eux-mêmes, mais aussi sur mille autres sujets qui constituent les séminaires de l'UP.
"Que faire lorsqu’il s’agit d’un candidat comme Trump, dont les propos ne semblent reculer devant aucune forme de provocation? Au point de dessiner au fil des mois le profil d’un candidat sanguin, inconséquent, irresponsable et potentiellement dangereux. Comment ne pas mettre en débat, non d’abord ses idées politiques, mais sa capacité même à occuper le symbolique bureau ovale?
Cette candidature hors norme compromet par elle-même l’équilibre recherché par la presse d’information. La couverture des faits et gestes de Trump est à leur mesure; elle n’a pas manqué non plus de contribuer à sa notoriété. Le malaise est là."
Christian Hofer: Après ce ragoût dégoulinant d'excuses pour le moins pitoyables et autres inversions, regardons qui est ce personnage.
Daniel Cornu est déjà tristement connu sur notre site pour défendre la censure concernant la délinquance d'origine étrangères dans notre pays. Pour cet individu, il convient de considérer comme "Suisses" des personnes ayant simplement acquis administrativement notre passeport: c'est là une perception de gauche, qui ne s'embarrasse guère des racines, de la culture et surtout de la violence inhérente à certaines communautés. Bien évidemment, pour certains, il suffit d'un tampon, d'une petite photo collée sur un papier administratif, pour croire qu'un individu se transforme soudainement en Helvète... Il ne viendrait pas à l'esprit que certaines personnes y voient tous les avantages, notamment éviter le risque de se faire expulser lors de certains délits. Non vraiment, il ne faut pas y penser.
On est tout de même surpris de voir un "médiateur" qui devrait être neutre sur le plan politique ou au moins garder une certaine retenue, s'enfoncer dans la bien-pensance et même excuser l'inégalité de traitement par des pirouettes rhétoriques grotesques. De quel droit donne-t-il son avis? De quel droit assène-t-il aux lecteurs sa perception d'un candidat politique?
"Le médiateur est une instance d’arbitrage et de conciliation à la disposition des lecteurs des publications de Tamedia Publications romandes.
Il peut être sollicité par tout lecteur qui n’est pas satisfait de la réponse réservée par une rédaction à ses remarques ou réclamations d’ordre déontologique, touchant aux pratiques journalistiques.".
Dès lors que cet individu n'est pas neutre politiquement, il est incapable d'exécuter son travail d'arbitre et il doit se récuser. C'est ce qui se passe pour un juge dans un tel cas de figure. Aucun lecteur ne peut faire confiance à un tel arbitrage biaisé d'office.
Daniel Cornu semble l'ignorer ou mieux, pense que son statut l'exonère de toute critique, qu'il est au-dessus de la mêlée, oubliant qu'il n'est qu'un simple individu, remplaçable à souhait. C'est ainsi que les "Je suis Charlie" s'octroient tous les droits, tel celui de donner des leçons de morale puis de légitimer la censure ou encore une cabale à l'encontre d'un candidat de droite. L'UDC pour sa part, a été la cible de Tamedia à de multiples reprises (comme ici ou ici). Bien entendu, "c'est de la faute à l'UDC". On connaît la rhétorique parfaitement rodée à présent: systématiquement disculper les pauvres journalistes, victimes de la méchante droite. Jamais un journaliste n'oserait manipuler l'opinion, pensez donc!
Par ailleurs, ces mêmes médias exigent une transparence parfaite de la part des commentateurs alors que leur médiateur ne se gêne pas pour agiter son idéologie politique. De qui se moque-t-on? Comment peut-on ainsi prendre à la gorge le lecteur lambda tout en s'arrogeant le droit de décider ce qui est bien ou mal? ce qu'il faut aimer ou détester? Ce dictat des valeurs est indéfendable et démontre comment la population est perçue, comment une "élite" autoproclamée se donne le droit de décider, voire de nous "éduquer" comme on éduque un animal. Et il est plus que temps de les remettre à leur place!
Mais pas Le Parisien, du puissant Bernard Arnault, l’ami de Blair et Sarkozy
C’est la magie de la presse dominante : alors qu’elle participe de toutes ses forces au contrôle de l’opinion, en distillant chaque jour son information pour les nuls, ses grands écarts avec le réel ou la vérité, elle s’en prend de plus en plus à la contre-propagande, qui ne supporte plus sa collusion avec le pouvoir oligarchique.
Il suffit pour cela de qualifier d’« extrême droite » tout ce qui conteste la parole officielle, de criminaliser tout acte, toute parole, toute pensée non conforme au projet oligarchique, dont les journalistes mainstream se font le relais, et le tour est joué. On reste du côté du Bien, peu importe si c’est au prix de la vérité.
Cette « fachosphère » qui veut manipuler l’opinion
Des sites proches de l’extrême droite s’agitent pour créer des polémiques sur le Net. Des manœuvres qui vont se multiplier pendant la campagne.
C’est la magie des réseaux sociaux : quelques tweets suffisent pour qu’une simple querelle de clocher devienne un événement de portée... nationale. La « fachosphère », cette nébuleuse d’extrême droite de plus en plus active sur Internet, a parfaitement intégré cette nouvelle réalité. Et sait, comme personne, transformer un simple fait divers en phénomène médiatique.
L’évacuation mercredi dernier de l’église Sainte-Rita, dans le XVe arrondissement de Paris, constitue un modèle du genre. À l’origine, il ne s’agit que d’un banal conflit de quartier : l’édifice néogothique doit être détruit pour laisser la place à des logements (certains sociaux) et à des parkings pour les résidents. Le propriétaire du lieu, l’association belge des Chapelles catholiques et apostoliques, doit au préalable faire évacuer le bâtiment, occupé par une poignée d’irréductibles catholiques traditionalistes, afin de finaliser la vente avec un promoteur immobilier. L’évacuation — validée par ordonnance du TGI en janvier 2016 — est donc programmée pour le 3 août. Un cas de figure on ne peut plus classique.
C’est sans compter sur la fachosphère. La veille, les premiers messages d’alerte fleurissent sur Twitter. Concocté par l’association Sainte-Rita, l’un d’eux est un « appel à tous les Franciliens. L’église Sainte-Rita est menacée de destruction. Des impies (sic) veulent la vider et la raser pour y construire un parking ». Les royalistes de l’Action française, le sulfureux Alexandre Gabriac, un ancien membre du FN viré du Front en 2011 pour une photo où il fait un salut nazi, ou encore les sites Ripostelaïque et Fdesouche figurent parmi les premiers à relayer le message. Des anonymes très actifs sur le Web embrayent. Le lendemain matin, le sujet devient l’un des plus commentés sur Twitter.
Christian Hofer. A noter que ces médias parlent de "désintox" alors qu'ils imposent une propagande médiatique unilatérale, concertée, sans aucune honte ni remise en question. Et c'est cela que l'on nomme de "grands médias", des journalistes grassement payés pour mentir au peuple et lui servir avec mépris des informations soigneusement sélectionnées. en concordance avec l'idéologie dominante.
C'est ainsi que l'on tombe dans l'inversion la plus ignoble: les manipulateurs qui parlent de "désintox" tout en incriminant "l'horrible extrême droite" alors que ce mouvement a su voir les dangers de ce qui se passerait aujourd'hui, en pointant du doigt les véritables coupables.
Bien entendu, ces mêmes médias appliquent avec soin la censure des commentaires: ainsi, de toute part, la vérité est bâillonnée.
Pire encore, depuis les attentats du 7 janvier 2015, le gouvernement français cherchait par tous les moyens à combattre "le complotisme et la désinformation". La ministre de l’Education nationale Najat Vallaud Belkacem avait annoncé le lancement d’une plate-forme de journaux gratuits dans les collèges et lycées à la rentrée 2016, afin de développer l’esprit critique des élèves et leur apprendre à se méfier de la désinformation sur les réseaux sociaux.
Les titres sélectionnés étaient: Les Echos, Le Monde, Libération, Le Parisien, Le Figaro, La Croix, L’Humanité, L’Express, Courrier International, L’Obs, l’International New York Times, le New York Daily News, La Vanguardia et Cinco Dias, a précisé le ministère.
Or, ce sont certains de ces journaux qui ont menti et ont accusé à tort, impressions d'écran à l'appui!
Le mensonge est donc organisé et promulgué comme référence par l'état français lui-même qui prétend... combattre la désinformation. C'est une vieille technique de manipulation: Accuser autrui des crimes que l'on commet afin de se faire passer pour un représentant du Bien et de la Justice.
Enfin, on ne sera guère surpris de constater que ces mêmes médias sont très rapides lorsqu'il s'agit de clamer qu'un attentat a été fait par un "déséquilibré".
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Le Nouvel Observateur – 5 août 2015
« Des terroristes se cachent parmi les migrants »
Faux. Régulièrement agité par l’extrême droite, le chiffon rouge de prétendus terroristes cachés parmi les migrants ne dispose d’aucun véritable précédent. Néanmoins, l’arrestation près de Milan, au mois de mai dernier, d’un Marocain de 22 ans soupçonné d’avoir participé à l’élaboration de l’attentat du musée du Bardo a ravivé ces craintes. En effet, l’homme avait réussi à atteindre la Sicile au mois de février sur une embarcation clandestine partie de Libye. Pour autant, nul ne sait si l’individu avait rejoint l’Europe pour échapper à la justice tunisienne ou pour commettre un attentat.
Non, Daech n’utilise pas les flux de migrants pour s’infiltrer en Europe
Désintox. « Combien de Mohamed Merah dans les bateaux, les avions, qui chaque jour arrivent en France remplis d’immigrés ?», demandait Marine Le Pen pendant la campagne présidentielle de 2012. Christian Estrosi, maire de Nice et député LR a repris la rhétorique frontiste ce matin sur France Info, liant afflux de migrants et menace terroriste : «Parmi les migrants, nous avons des terroristes de Daech qui s’infiltrent», a-t-il déclaré. Rien n’est moins sûr, réplique le journaliste de RFI spécialiste de l’Etat islamique David Thomson, qui note sur Twitter que «jamais l’EI n’a encore utilisé les flux de migrants pour s’infiltrer en Europe dans le but d’y réaliser des attentats. »
Non, les terroristes de Daech ne s’infiltrent pas parmi les migrants
INTOX – L’argument mis en avant ce mardi par Christian Estrosi, député « Les Républicains », selon lequel des djihadistes se cacheraient parmi les migrants venus d’Afrique, n’est pas corroboré par les faits. Mais d’ailleurs, d’où vient ce mythe bien utile aux nationalistes de tout poil ?
Christian Hofer: Et il ne fait nul doute que la presse romande va emboîter le pas.
A noter que Bernard-Henri Lévy est derrière cette censure. Le même énergumène qui est responsable de la situation et des atrocités en Libye.
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Alors que les attentats se multiplient en France, le débat sur une éventuelle « glorification » des terroristes est relancé dans les médias français. BFMTV et Le Monde ont décidé de ne plus diffuser les photos d’auteurs d’attentat. Elements de réflexion.
La médiatisation de l’image d’auteurs d’attentats peut-elle influencer les candidats au jihad, et les pousser à passer à l’acte? Après les attentats de Nice et Saint-Etienne-du-Rouvray, le débat est relancé dans les médias français, et notamment par Jérôme Fenoglio, directeur de la rédaction du Monde, qui publie ce matin un édito en ce sens.
Notre radio @Europe1 ne citera plus les noms des terroristes à l'antenne.
« A la suite de l’attentat de Nice, nous ne publierons plus de photographies des auteurs de tueries, pour éviter d’éventuels effets de glorification posthume » explique le journaliste qui en appelle à un « certain nombre d’introspections » dans les médias français. Une position partagée et adoptée par BFMTV sur tous ses supports. Suite à l’attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray, la chaîne a décidé de ne pas publier la photographie d’Adel Kermiche, auteur présumé du meurtre du père Hamel.
Urgence d'un "grand accord" entre les médias: ne plus donner ni le nom, ni la photo, ni l'itinéraire et la vie des assassins djihadistes.
« Face à l’accumulation des attentats en France, nous ne voulons pas créer un trombinoscope des terroristes. Nous arrêtons donc de publier leur photo, ce qui n’empêche pas un travail d’enquête et de fond sur leur profil et leur parcours. La seule exception à ce principe, ce sont les avis de recherche diffusés par les forces de l’ordre et qui peuvent aider les enquêteurs » précise Alexis Delahousse, directeur adjoint de la rédaction de BFMTV.
Tour d'horizon des médias qui s'empressent de mettre en Une la photo de la victime musulmane. Visiblement, le contre-feu doit s'opérer immédiatement, sans décence, en discriminant la très grande majorité des morts non musulmans. Il faut à tout prix clamer que "ce n'est pas ça l'islam".
Mieux même, "elle serait la première victime". Systématiquement hiérarchiser les morts en mettant en exergue les victimes musulmanes. Pensez-vous un seul instant que si les rôles étaient inversés, la presse d'un pays musulman réagirait ainsi?
Les nombreux enfants non musulmans morts, eux, n'ont pas eu l'honneur de ces titres.
Or, en réalité le terroriste visait le symbole de la fête du 14 juillet et cette fête était une célébration pour des non musulmans dans un pays kouffar.
Dès lors, il y avait peu de chance de voir de vrais musulmans célébrer une fête rendant hommage à la France et c'est ce que ce terroriste musulman avait aussi conclu.
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Nice: "Ma mère est morte dans l'attentat. Elle pratiquait un vrai islam"
Hamza, 28 ans, a perdu sa mère le soir du 14 juillet dans l'attentat de Nice. "Ce que je peux dire, c'est qu'elle portait le voile, pratiquait un islam du juste milieu. Un vrai islam. Ce n'est pas celui des terroristes."
Fatima Charrihi, la musulmane voilée qui pourrait être la première victime de l'attentat de Nice
Fatima Charrihi est morte le 14 juillet à Nice. Selon son fils, Hamza, interrogé par L'Express, elle serait la première victime de la terrible course du camion blanc qui a tué au moins 84 personnes. " Il n'y avait pas d'autres cadavres avant elle...", explique-t-il.
Attentat à Nice : un jeune homme pleure la mort de sa mère qui "pratiquait un vrai islam"
La mère de Hamza figure parmi les victimes de l’attentat de Nice survenu dans la soirée du 14 juillet. Le jeune homme a défendu l’islam pratiqué par sa mère qui n’est pas celui des terroristes.
Fatima, Robert, Linda… la longue liste des victimes
La première victime de ce carnage semble être Fatima Charrihi, une Marocaine résidant à Nice, mère de sept enfants et morte sous les yeux de sa famille, comme l’a raconté son fils Hamza à l’Express : « Mon frère a essayé de la ranimer. Mais elle est décédée sur le coup […]. Elle portait le voile, pratiquait un islam du juste milieu. Un vrai islam. Mais ce n’est pas celui des terroristes. »
Christian Hofer: Éditorial du 24H. Visiblement ce média a décidé de ne plus retranscrire docilement ce que l'administration tente de faire croire à la population. La bonne question est de savoir pourquoi alors que les autres médias continuent leur propagande unilatérale (comme ici et ici ou encore ici).
Notamment cet éditorial souligne l'augmentation des demandes sur l'année 2016 au lieu des bidouillages par mois/trimestres effectués par les autres médias: c'est ce que nous dénoncions sur Les Observateurs.ch depuis de nombreux mois comme vous pouvez le constater, preuve que Les Observateurs, loin d'être un site "d'extrême droite" comme le prétendent certains médias, est objectif et cherche véritablement à vous informer, malgré ses ressources financières modestes, loin des salaires de ces journalistes dont la préférence politique ne fait aucun doute.
Mieux, nous dénonçons ces manipulations depuis de nombreux mois, avant ceux qui auraient dû le faire et qui sont payés pour cela!
L’été sera-t-il chaud ou pas sur le front de l’asile en Suisse? Et faut-il s’attendre à ce que le nombre de 40'000 nouveaux requérants, enregistré l’an dernier, soit atteint, voire dépassé?
A ces questions, que nous lui posions il y a tout juste deux jours, le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) répondait par l’esquive. Et agitait une salade de chiffres disant tout et son contraire, pour mieux camoufler la réalité: à la fin de ce premier semestre, le nombre des migrants est bel et bien en hausse par rapport à 2015.
«Les tensions à la douane de Chiasso ne laissent guère de doute: oui, l’été sera chaud!»
Alors que la réalité du terrain est en train de se tendre du côté de la frontière italienne, c’est une véritable politique de l’enfumage que Berne met en place.
Une politique hélas habituelle. L’an dernier déjà, le SEM avait plus que tardé avant de corriger, par deux fois, le nombre des demandeurs d’asile.
Christian Hofer: Les Africains peuvent produire des films et des séries ethniquement homogènes sans que cela ne soit pris comme un "repli sur soi nauséabond", sans que la diversité ne soit exigée...
Cela démontre toute l'hypocrisie du système qui ne vise qu'à imposer la mixité en Europe, dans notre culture, dans notre histoire, dans nos médias tout en agitant le terme "racisme" à la moindre opposition.
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Sarah Sakho s’est rendue sur le tournage de la saison 2, dans le quartier populaire imaginaire de Ratanga, et a rencontré les créateurs et les acteurs de la série, qui met en scène des femmes autour d’un lieu, un centre de santé, et qui permet de sensibiliser les spectateurs à la santé maternelle et aux violences domestiques.
Comme je viens de le faire, la fameuse pétition pour un deuxième vote#Brexit peut être signée par n'importe qui, avec n'importe quel faux nom, depuis n'importe où. Elle n'a strictement aucune valeur. Les médias français devraient donc cesser de nous en faire l'indécente promotion.
Christian Hofer: ce qui ne prive pas nos médias, comme le Matin ou la RTS (cette dernière osant même affirmer que "Trois millions de Britanniques signent une pétition pour revoter sur le Brexit") d'en faire un argument. C'est donc cela "le travail sérieux" effectué par nos journalistes surpayés et arrogants.
Vous pourrez constater que la vidéo fait bien référence à la même pétition dont les médias parlent tant en cliquant sur ce lien. J'ai moi-même testé: il n'y a aucun contrôle et n'importe quel manipulateur pro-UE, n'importe quelle organisation favorable à l'UE peut faire pression par le biais de cet instrument.
Il a été formé à la pratique de cette désinformation auprès de l'Otan, la gentille Organisation du traité de l'Atlantique nord censée nous protéger: un très bel aveu.
Ces techniques se sont à présent répandues dans nos médias: manipulation des individus et censure, ce que Les Observateurs dénoncent depuis des années.
A présent, on découvre que le Matin systématise la censure lorsque les commentaires ne vont pas dans le sens de son idéologie. Les commentaires sont tout bonnement effacés et le sujet bouclé. Et ce n'est guère la première fois que je constate que le Matin joue à ce petit jeu. Le respect des musulmans avant celui des lecteurs kouffars. Il y a des priorités vous comprenez...
Voilà donc toute l'hypocrisie des "Je suis Charlie.". Le peuple est obligé d'accepter et de se taire.
Capture d'écran effectuée lors du premier article.
Article visible à présent:
Le coup de balai magique: "le peuple n'a jamais rien dit, cela prouve qu'il n'est pas opposé à l'immigration musulmane qui déferle aujourd'hui". Ce qui est bien, c'est que cela ne laisse pas de traces... sauf si une personne a eu le temps de faire une copie d'écran naturellement. J'ai pu lire quelques commentaires avant qu'ils ne soient effacés: l'un d'entre eux criait à la manipulation. Les autres allaient dans le même sens, mais de manière moins virulente. Bien évidemment, une telle résistance dérange ces journalistes pétris de moraline. Il serait insupportable que le simple citoyen puisse se rebeller et ne pas accepter de se faire manipuler.
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