Les médias sociaux menaceraient « la qualité de l’information »

Christian Hofer: Analyse hypocrite au possible puisque les médias mainstreams ont démontré leur total manque d'objectivité et d'impartialité dans de nombreuses affaires (censure de l'origine ethnique des délinquants, censure des commentaires, modération des lecteurs traitée au Maghreb, déni et manipulation). L'exemple le plus parlant étant peut-être celui des agressions sexuelles en Allemagne par les "réfugiés", délits immondes que Les Observateurs.ch avaient dénoncés alors que nos médias avaient décidé de les censurer. Faire confiance à de tels manipulateurs tiendrait de la folie pure et simple, spécifiquement en sachant que les journalistes sont orientés à gauche.

Qui plus est, ce rapport ose pointer du doigt les réseaux sociaux après les mensonges véhiculés par certains grands médias à l'égard de Donald Trump et autres partis pris révoltants. Les auteurs de ce rapport sont incapables de comprendre la réaction du peuple qui n'a plus confiance dans de tels médias politisés. Au lieu de remettre en question le travail journalistique biaisé depuis de nombreuses années, ils pointent du doigt la seule alternative qui décèle les magouilles du système médiatique.

Dans ce cadre, les internautes qui y participent sont autant de chercheurs de vérité. Enfin, les journaux tels le 20 Minutes et le Matin utilisent aussi les réseaux sociaux pour débusquer des informations lorsque cela les arrange. Ce rapport écrit par des "experts" ne semble pas être au courant de telles pratiques.

Dès lors, soit les auteurs de ce rapport n'ont rien compris au phénomène, soit leur unique but est de discréditer les réseaux sociaux afin de rabattre la population sur un contenu payant et politiquement correct en prétextant une qualité d'information qui tient du fantasme. Il est bien clair que pour nos institutions et certains politiciens de gauche, la réinformation qui se construit via tous ces réseaux sociaux pose un énorme problème à leurs mensonges. Par conséquent, le premier élément à connaître porte sur l'idéologie politique qui anime les auteurs d'un tel document ainsi que sur leur financement.

En réalité, c'est bien une plus-value de l'information et un outil alternatif inespéré qui s'offre désormais à la population: La liberté de choix.

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Les médias sociaux, Facebook et Google en tête, contribuent avec les gratuits à un appauvrissement de l'information, selon les auteurs des Annales 2016 sur la qualité des médias.

Les médias sociaux prennent toujours plus d'importance dans les sources d'information de la population. Près d'un quart des jeunes adultes (22%) s'en servent comme source d'information principale.

Au vu de cette offre en ligne souvent gratuite, la qualité et la diversité des nouvelles sont faibles, note l'étude.

Vers une perte de confiance

Vu la proportion de gens peu ou mal informés, "il faut s'attendre à voir la confiance dans le système médiatique diminuer aussi en Suisse à l'avenir".

Selon le rapport, la part de ces "indigents médiatiques" est passée de 21% en 2009 à 31% en 2016. "Leur regard sur le monde (...) les rend réceptifs à la politique populiste basée sur la peur avec ses solutions simples en apparence".

Selon les chercheurs, il est urgent de convaincre les utilisateurs à choisir davantage des offres de bonne qualité quitte à ce qu'elles soient payantes. Or, à peine 10% des personnes disent accepter de payer pour des nouvelles en ligne.

Source Source de l'analyse

9 commentaires

  1. Posté par Eric le

    On voit dans ce troupeau de moutons que dans une dictature telle que celle qui prétend nous gouverner, il suffit d’un berger à l’image d’une secte et de trois chiens ou chiennes (…de garde) comme ceux ou celles des politiques qui vont faire faire aux moutons n’importe quoi. La seule contre-mesure possible, c’est de briser l’école des imbéciles qui se perpétue à travers les médias et les religions barbares. Le mouton crédule doit devenir un lion et chasser TSR RTS et les débillaguant et pour les Tamedia-Pravda, en ne payant plus leurs manipulations. Mais il est évident qu’il faut un véritable média papier pour que les entrepreneurs et les entreprises ne soient plus obligé de casquer pour leur publicité dans des médias opposés à leurs opinions et à la libre entreprise, sans subventions et coups fourrés.

  2. Posté par Christian Hofer le

    L’analyse en elle-même passe sous silence le principal sujet: la raison de la présence massive de la droite sur les réseaux sociaux.

    Les médias ont systématiquement censuré les commentaires de droite qui essayaient de diffuser la vérité, de contrer les mensonges de la gauche. Et tout cela alors même que les gauchistes insultaient, provoquaient, traitaient de fascistes les personnes qui avaient « l’audace » de ne pas penser comme eux:

    http://lesobservateurs.ch/2015/11/25/censure-de-netino-nos-medias-sommes-plein-pic-de-haine-internet/

    Même lorsque les insultes fusaient de la part des protagonistes de gauche, il était impossible de leur répondre et la modération refusait d’effacer leurs publications.

    Dès lors, il est tout à fait normal que la droite ait investi ces réseaux sociaux dès le début car elle est désirait simplement s’exprimer et diffuser la vérité, car elle avait été humiliée et dénigrée comme nul autre avant elle. C’est la revanche du peuple contre les bien-pensants. C’est la revanche des simples citoyens contre les groupes de médias multimillionnaires.

    Et on comprend mieux pourquoi les journaux détestent à ce point les réseaux sociaux. Ils ont perdu leur pouvoir de propagande et de coercition alors qu’ils jouissaient de voir les protagonistes de droite être muselés et humiliés.

  3. Posté par olivier durand le

    ca leur va bien, à tous ces PRAVDA2.0 de faire la morale aux « sans dents »… les médias officiels n’informent plus: ils ORIENTENT!!!! gare au retour de boomerang dans leurs gueules de colabobos!!!!

  4. Posté par Aubert Marie le

    je dis simplement que je ne regarde aucune info TV DEPUIS des lustres ……je ne les supporte plus du tout . voilà .

  5. Posté par Le Taz le

    Très bon article.

    La vérité est que les médias sociaux menacent l’efficacité de la désinformation !!!

    Mais d’où vient cette culture du mensonge, de la manipulation, de l’inversion accusatoire systématique et de la dissimulation ??? Elle vient bien de quelque part !!!

  6. Posté par aldo le

    Cette page est exemplaire et illustre la haute et abondante qualité du travail présenté par Christian Hofer. Ici il y a des affirmations qui ne sont pas gratuites, mais sérieusement documentées. En cliquant sur chaque point en rouge on peut retrouver le fil conducteur qui démonte le baratin des pseudo journalistes de la TSR, qui eux soutiennent en toute circonstance qu’il faut des sources, mais ne s’embarrassent pas trop de cette contrainte éthique lorsqu’il s’agit de cracher sur les sites réinformation et sur l’offre de Google par exemple. En analysant cette dernière, on remarque bien que le Point paie et c’est ce qu’ils reprochent à Google et rien d’autre. On comprend mieux qu’ils tardent à en parler et à en apporter les preuves. Eux aussi ne veulent pas payer. C’est pour cela qu’ils font appel à l’AFP dont les contenus sont pollués et exempté de certaines problématiques de l’immigration, à cause des subventions croissantes, tant du gouvernement Hollande que des flibustiers de l’Europe totalitaire qui rêvent d’une Pravda unique. Ils ne vont quand même pas cracher sur la main qui les nourrit ces plumitifs d’occase.

  7. Posté par philippe le

    La réaction des merdias est prévisible. Faire croire que nous soutenons la mauvaise information c’est encore de l’intox. Heureusement que nous pouvons consulter les pages d’information sur internet et disposer alors d’éléments épurés de la pensée unique. Payer nos médias officielles – non alors nos médias doivent se remettre en question .

  8. Posté par aldo le

    Oui les médias sont politisés, mais ce n’est pas toujours connu. Il manque cette obligation de déclaration par analogie avec les produits alimentaires. Mais il existe encore une frange importante de la population qui n’en a pas conscience. Par exemple ceux qui n’ont pas accès à internet, ou ceux qui croient toujours en l’objectivité des médias « officiels », parce qu’ils sont incapables d’analyser les situations ou que ce travail pénible les rebute, à cause des omissions et des mensonges. C’est aussi possible, qu’il remette en cause des convictions fausses mais confortables, qui sécurisent le lecteur pour qu’il puisse s’adonner à d’autres activités.

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